Texte de Ricki Black (2012)
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Dimanche à la messe.
J’arrive sur le parvis de l’église un peu avant l’heure de la messe, j’ai, avant de partir ce matin, glissé dans ma veste le plug anal avec la commande à distance trouvé chez Al, et surtout je ne me suis pas lavé de la veille au matin, dans l’idée d’humilier soit Martine soit Léa. J’ai eu du mal à tenir, car chez moi l’hygiène est capital et je ne supporte pas les crades. Mais dans ce cas précis, c’est pour m’assurer de l’obéissance totale de mon sujet.
Je vois arriver de loin la belle-famille presque au complet, car il ne manque que Loana l’ainée.
Léa est resplendissante, il fait à nouveau beau et pour l’occasion elle a mis une robe blanche très près du corps qui lui arrive à mi-cuisses, très moulante qui met en valeur ses gros seins et son cul généreux. Pour tempérer tout cela, elle a un petit gilet fuchsia et des chaussures basses avec socquettes blanches, et bien sûr pas de culotte, mais je suis le seul à le savoir.
Je vois arriver de loin la belle-famille presque au complet, car il ne manque que Loana l’ainée.
Léa est resplendissante, il fait à nouveau beau et pour l’occasion elle a mis une robe blanche très près du corps qui lui arrive à mi-cuisses, très moulante qui met en valeur ses gros seins et son cul généreux. Pour tempérer tout cela, elle a un petit gilet fuchsia et des chaussures basses avec socquettes blanches, et bien sûr pas de culotte, mais je suis le seul à le savoir.
Au bras de Léa il y a une autre jeune fille, charmante. Elle est très fine et typée asiatique. Elle semble plus jeune que Léa. A l’autre bras de Léa, Martine, sa mère que j’ai soumise par chantage à mes désirs sexuels. Elle est habillée d’une robe beige claire avec une ceinture noire épaisse marquant sa taille, des mocassins beiges avec grosses boucles. Elle fait vraiment bourgeoise comme ça.
A sa gauche, Elodie est habillée comme hier au magasin jeans et pull. Et pour finir le tableau son mari Pierre en costume gris est tellement banal auprès de sa grande bourgeoise de femme qui l’écrase rien que par sa présence à ses cotés. D’ailleurs elle regarde toujours avec un certain dédain. Moi je sais pourquoi, elle me l’a avoué par mégarde. Pierre ne la baise plus et jusqu’à ce que je m’occupe d’elle, elle se doigtait dans sa chambre cette salope en se remémorant les humiliations du passé.
Mais aujourd’hui elle est là pour aller à confesse cette "cul béni". Je ne pense pas qu’elle aille raconter au curé ce que je lui fais subir, mais peut-être le poids de sa culpabilité à prendre autant de plaisir à être humiliée.
Je vais au devant de la belle-famille, abordant un sourire carnassier. Je salue tout le monde. Martine pâlit en me voyant, Pierre me sourit en me tendant sa main, Elodie me fait la bise arborant un sourire franc et sincère et me glisse à l’oreille qu’à l’occasion elle souhaiterait me parler discrètement. Puis Léa me fait également la bise, approchant mes lèvres des siennes cette obsédée. Puis se tournant vers la jeune fille qui l’accompagne, elle me présente Béa, sa copine. Je la salue en l’embrassant.
- Je suis vraiment très content de faire ta connaissance, Léa me parle si souvent de toi, je t’imaginais plus âgée !
Mais aujourd’hui elle est là pour aller à confesse cette "cul béni". Je ne pense pas qu’elle aille raconter au curé ce que je lui fais subir, mais peut-être le poids de sa culpabilité à prendre autant de plaisir à être humiliée.
Je vais au devant de la belle-famille, abordant un sourire carnassier. Je salue tout le monde. Martine pâlit en me voyant, Pierre me sourit en me tendant sa main, Elodie me fait la bise arborant un sourire franc et sincère et me glisse à l’oreille qu’à l’occasion elle souhaiterait me parler discrètement. Puis Léa me fait également la bise, approchant mes lèvres des siennes cette obsédée. Puis se tournant vers la jeune fille qui l’accompagne, elle me présente Béa, sa copine. Je la salue en l’embrassant.
- Je suis vraiment très content de faire ta connaissance, Léa me parle si souvent de toi, je t’imaginais plus âgée !
Léa me répond en me confirmant qu’elles ont le même âge toutes les deux, soit 19 ans. Cette fille fait facilement 3 ans de moins que Léa, incroyablement fine, les yeux légèrement bridés et la morphologie des asiatiques, petite, brune, les cheveux longs mais raides et une poitrine assez généreuse, mise en valeur par des hanches fines. J’ai là la fille qui pose autant de question à Léa sur son aventure de soumise… Intéressant !
Alors que tout le monde rentre dans l’église pour s’installer, je prends Martine un peu à part et lui montre discrètement le plug. Elle rougit en voyant l’objet. Je lui demande si elle porte une culotte et à ma plus grande joie elle me répond que non. Je me dis que mon éducation commence à porter ses fruits.
Alors que tout le monde rentre dans l’église pour s’installer, je prends Martine un peu à part et lui montre discrètement le plug. Elle rougit en voyant l’objet. Je lui demande si elle porte une culotte et à ma plus grande joie elle me répond que non. Je me dis que mon éducation commence à porter ses fruits.
Alors nous nous plaçons derrière les personnes qui sont en train de rentrer à pas lents dans l’église formant une petite foule. Tout en marchant dans cette foule, au pas au coté de Martine, je sors le plug, crache discrètement dessus pour le lubrifier. Elle comprend de suite et me supplie du regard de ne pas faire ça. Je plonge alors ma main dans son dos, descends jusqu’au bord de sa robe puis la remonte dessous jusqu’à sentir ses fesses musclées et nues. Martine a stoppé tout mouvement au contact de ma mainn elle écarte les jambes pour me donner accès à son intimité. Je place le bout du plug sur son trou du cul que j’ai repéré avec mon index auparavant et l’enfonce doucement. Je dois forcer quelque peu son anneau de chair mais il céde et finit par engloutir l’objet. Martine gémit doucement, mais ses yeux sont brillants. D’ailleurs, avant de quitter le dessous de sa jupe, je glisse furtivement un doigt dans sa fente… Et oui vous commencez à la connaître vous aussi !! Cette salope est trempée une fois de plus.
Nous prenons place sur les bancs de bois et le curé commence son prêche. J’observe Martine qui est assise sur son plug. Elle est stoïque mais par moment je perçois un petit mouvement de ses hanches. De plus lors de la messe nous nous levons puis nous asseyons à plusieurs reprises. Moment assez excitant aussi c’est lorsque Martine se lève avec sa petite famille pour recevoir l’ostie. Je l’observe tendant la langue au curé alors que son anus est ouvert par un gros gode et je suis certain qu’elle mouille comme une folle. Cette pensée me fait durcir.
Puis vient le moment de sortir de l’église, sauf pour les personnes souhaitant se confesser. Alors que Martine s’apprête à quitter l’église avec sa famille, je l’apostrophe :
Nous prenons place sur les bancs de bois et le curé commence son prêche. J’observe Martine qui est assise sur son plug. Elle est stoïque mais par moment je perçois un petit mouvement de ses hanches. De plus lors de la messe nous nous levons puis nous asseyons à plusieurs reprises. Moment assez excitant aussi c’est lorsque Martine se lève avec sa petite famille pour recevoir l’ostie. Je l’observe tendant la langue au curé alors que son anus est ouvert par un gros gode et je suis certain qu’elle mouille comme une folle. Cette pensée me fait durcir.
Puis vient le moment de sortir de l’église, sauf pour les personnes souhaitant se confesser. Alors que Martine s’apprête à quitter l’église avec sa famille, je l’apostrophe :
- Martine, vous n’allez pas vous confessez, il me semble que Léa m’avait dit le contraire, allez-y, nous vous attendons !
Léa surenchérit et lui dit :
Léa surenchérit et lui dit :
- Oui Maman, le curé t’attend, allez !
Coincée, Martine se résoud à se diriger devant le confessionnal. Sans entrer, Monsieur le curé n’étant pas encore arrivé, elle ordonne sur un ton sans équivoque à Pierre d’aller l’attendre au bistrot d’en face, ce qu’il fait sans poser le moindre problème.
L’église est maintenant vide, Léa est à mes cotés et j’en profite pour lui glisser discrètement une main sous la robe. Histoire de vérifier que mes ordres sont bien exécutés. Effectivement pas de culotte. Je glisse mon index dans sa chatte humide et lui demande où elle en est avec Béa. Elle me répond qu’elle n’a pas encore d’idée sur ce qu’elle va lui demander. Je durcis mon regard et lui demande d’obtenir, avant ce soir, une réponse à mon ordre :
L’église est maintenant vide, Léa est à mes cotés et j’en profite pour lui glisser discrètement une main sous la robe. Histoire de vérifier que mes ordres sont bien exécutés. Effectivement pas de culotte. Je glisse mon index dans sa chatte humide et lui demande où elle en est avec Béa. Elle me répond qu’elle n’a pas encore d’idée sur ce qu’elle va lui demander. Je durcis mon regard et lui demande d’obtenir, avant ce soir, une réponse à mon ordre :
- Tu te démerdes, mais je veux une réponse ce soir.
Les yeux baissés, Léa me garantit que ce sera fait ce soir puis elle court rejoindre Béa qui est déjà sortie.
En fait, je ne voulais pas que Léa reste avec moi pour attendre sa mère. Le curé arrive et invite Martine à prendre place de son côté alors que lui entre de l’autre côté.
Je fouille dans ma poche et ressort la télécommande du plug. Al m’a assez bien expliqué son fonctionnement. Je place l’interrupteur sur le P comme Plug. Al m’a dit qu’il y avait différents programmes avec vibrations lentes ou rapides. De plus je peux également choisir la fréquence de fonctionnement, allant d’intermittente à continu. Mais il m’a recommandé un programme automatique pour le plug anal qui mixe vibrations et fréquences et qui garantit un orgasme en moins d’une minute.
Je règle le programme et appuie sur le bouton ‘ON’. Je suis à 10 mètres, mais j’entends le cri de surprise de Martine.
J’ai la bite qui durcit et j’imagine Martine devant expliquer au curé le pourquoi de ce cri en pleine confession. Puis son souffle va devenir court et elle va avoir du mal à exprimer ses pensées en ayant au fond de son cul ce gode qui la taraude de l’intérieur. Je bande dur et je sens mon gland s’humidifier.
En fait, je ne voulais pas que Léa reste avec moi pour attendre sa mère. Le curé arrive et invite Martine à prendre place de son côté alors que lui entre de l’autre côté.
Je fouille dans ma poche et ressort la télécommande du plug. Al m’a assez bien expliqué son fonctionnement. Je place l’interrupteur sur le P comme Plug. Al m’a dit qu’il y avait différents programmes avec vibrations lentes ou rapides. De plus je peux également choisir la fréquence de fonctionnement, allant d’intermittente à continu. Mais il m’a recommandé un programme automatique pour le plug anal qui mixe vibrations et fréquences et qui garantit un orgasme en moins d’une minute.
Je règle le programme et appuie sur le bouton ‘ON’. Je suis à 10 mètres, mais j’entends le cri de surprise de Martine.
J’ai la bite qui durcit et j’imagine Martine devant expliquer au curé le pourquoi de ce cri en pleine confession. Puis son souffle va devenir court et elle va avoir du mal à exprimer ses pensées en ayant au fond de son cul ce gode qui la taraude de l’intérieur. Je bande dur et je sens mon gland s’humidifier.
Voila presque 40 secondes que je laisse faire mon ami le plug dans le fondement de Martine et je pense que sa chatte doit être inondée de cyprine. Encore quelques instants et elle va jouir comme elle sait si bien le faire en femme fontaine. Ma patience est vite récompensée, lorsque je vois Martine sortir du confessionnal. J’arrête le gode et je m’amuse car je vois distinctement sur le devant sa robe beige, à mi-cuisses, une large auréole sombre.
Al ne m’a pas raconté de bobards, son programme est des plus efficaces et Martine vient d’en faire l’expérience en pleine confession. Plutôt excitant non…
Je me place à la sortie de l’église, Martine arrive à ma hauteur en marchant lentement.
- Eh bien petit cochonne, on prend son pied avec Monsieur le curé ? Dis-moi, est-ce qu’il a deviné ce qui se passait ?
Al ne m’a pas raconté de bobards, son programme est des plus efficaces et Martine vient d’en faire l’expérience en pleine confession. Plutôt excitant non…
Je me place à la sortie de l’église, Martine arrive à ma hauteur en marchant lentement.
- Eh bien petit cochonne, on prend son pied avec Monsieur le curé ? Dis-moi, est-ce qu’il a deviné ce qui se passait ?
Martine me regarde dans les yeux, son regard est brillant et j’aperçois presque une forme de luxure au fond lorsqu’elle me répond :
- Oui !
Elle me voit très étonné par sa réponse, elle ajoute :
- Il a sorti sa grosse queue, s’est branlé devant moi et a fini par cracher son foutre sur sa robe de bure !
Je la regarde avec insistance, je n’y crois pas. Martine alors s’esclaffe et me dit :
- Tu aurais bien aimé que ça se passe comme ça, hein mon Maître ?
Je n’y crois pas, cette salope fait de l’humour avec moi. Dans un sens, je me dis qu’elle commence à prendre goût à sa soumission sexuelle. Il faut dire qu’elle a eu plus d’orgasmes depuis qu’elle est mon esclave que pendant toute sa vie, ça peut aider à convertir une femme dominante en pure soumise.
Bref je profite de cet excès de zèle pour réaffirmer mon rôle et lui commande :
- Très bien, je vais aller au bistrot où t’attend ta gonzesse de mari et je vais t’attendre dans les chiottes. Tu t’arranges avec lui et tu me rejoins sans tarder, tu as compris ? Et on va voir si tu gardes ton humour !!!
Je laisse Martine pour me rendre au bistrot. Il ya foule au comptoir. J’aperçois Pierre, assis seul à une table devant un café. Il me sourit. Je m’approche et lui dit que je dois aller aux toilettes. Je suis conscient que Martine va avoir la même démarche et je suis certain que Pierre va se poser un certain nombre de questions et c’est là que je veux l’amener.
Je trouve les chiottes. Il n’y en a qu’un. Super, j’espère que Pierre le sait ! Pour le moment ils sont occupés. La porte s’ébranle et un mec sort tout en refermant sa braguette. Très élégant, j’entre et referme la porte.
Ce sont des toilettes à la turc. Ce n’est pas super propre, mais il n’y a pas d’odeur incommodante. L’endroit est exigu et il va falloir se serrer à deux la-dedans. Martine ne va plus tarder maintenant. Je descends ma braguette, plonge ma main dans mon boxer et en ressort ma bite. J’en profite pour extraire aussi mes couilles biens lisses. Oui je me rase les couilles c’est vraiment agréables de se faire sucer les boules toutes lisses.
Ma queue est légèrement dure lorsque je la décalotte. Une forte odeur alors envahit la petite pièce. Oh oui c’est vrai j’avais oublié, je ne me suis pas lavé depuis que j’ai fourré Brigitte dans le cul. Mon gland en a gardé un souvenir olfactif très puissant. Je remets le matos en place.
On toque à la porte, je déverrouille et laisse entrer Martine. Elle me dit qu’elle a raconté à Pierre qu’elle allait pisser et qu’en plus il fallait qu’elle nettoie sa robe.
Nous sommes à l’étroit, je place Martine les pieds sur les marches des toilettes turc. Puis je l’oblige à s’accroupir comme si elle se plaçait pour pisser. De cette manière son visage est face à ma braguette. Je lui demande de l’ouvrir et de sortir ma queue. Elle a un peu de mal car elle est maintenant très raide. Elle est maintenant dans sa main dure et tendue mais Martine ne l’a pas encore décalottée. Alors qu’elle va pour l’enfoncer dans sa bouche, je recule et lui dis :
- Tu vas me lécher le gland, je t’interdis de la mettre dans ta bouche, sors ta langue et lèche tout !
Martine ouvre la bouche, tend sa langue et décalotte mon gland. Son premier réflexe est de reculer la tête en arrière. Je ne la retiens pas, car je veux qu’elle vienne d’elle-même nettoyer cette bite sale. Elle s’écrit :
Bref je profite de cet excès de zèle pour réaffirmer mon rôle et lui commande :
- Très bien, je vais aller au bistrot où t’attend ta gonzesse de mari et je vais t’attendre dans les chiottes. Tu t’arranges avec lui et tu me rejoins sans tarder, tu as compris ? Et on va voir si tu gardes ton humour !!!
Je laisse Martine pour me rendre au bistrot. Il ya foule au comptoir. J’aperçois Pierre, assis seul à une table devant un café. Il me sourit. Je m’approche et lui dit que je dois aller aux toilettes. Je suis conscient que Martine va avoir la même démarche et je suis certain que Pierre va se poser un certain nombre de questions et c’est là que je veux l’amener.
Je trouve les chiottes. Il n’y en a qu’un. Super, j’espère que Pierre le sait ! Pour le moment ils sont occupés. La porte s’ébranle et un mec sort tout en refermant sa braguette. Très élégant, j’entre et referme la porte.
Ce sont des toilettes à la turc. Ce n’est pas super propre, mais il n’y a pas d’odeur incommodante. L’endroit est exigu et il va falloir se serrer à deux la-dedans. Martine ne va plus tarder maintenant. Je descends ma braguette, plonge ma main dans mon boxer et en ressort ma bite. J’en profite pour extraire aussi mes couilles biens lisses. Oui je me rase les couilles c’est vraiment agréables de se faire sucer les boules toutes lisses.
Ma queue est légèrement dure lorsque je la décalotte. Une forte odeur alors envahit la petite pièce. Oh oui c’est vrai j’avais oublié, je ne me suis pas lavé depuis que j’ai fourré Brigitte dans le cul. Mon gland en a gardé un souvenir olfactif très puissant. Je remets le matos en place.
On toque à la porte, je déverrouille et laisse entrer Martine. Elle me dit qu’elle a raconté à Pierre qu’elle allait pisser et qu’en plus il fallait qu’elle nettoie sa robe.
Nous sommes à l’étroit, je place Martine les pieds sur les marches des toilettes turc. Puis je l’oblige à s’accroupir comme si elle se plaçait pour pisser. De cette manière son visage est face à ma braguette. Je lui demande de l’ouvrir et de sortir ma queue. Elle a un peu de mal car elle est maintenant très raide. Elle est maintenant dans sa main dure et tendue mais Martine ne l’a pas encore décalottée. Alors qu’elle va pour l’enfoncer dans sa bouche, je recule et lui dis :
- Tu vas me lécher le gland, je t’interdis de la mettre dans ta bouche, sors ta langue et lèche tout !
Martine ouvre la bouche, tend sa langue et décalotte mon gland. Son premier réflexe est de reculer la tête en arrière. Je ne la retiens pas, car je veux qu’elle vienne d’elle-même nettoyer cette bite sale. Elle s’écrit :
- Mon Dieu, comme tu pus, je ne pourrais jamais !
Je souris et je lui ordonne à nouveau de sortir sa langue et de me laver. Elle sait qu’elle n’y échappera pas, alors elle s’approche à nouveau, tire sa langue et la dépose sur mon gland. Lentement elle le lèche s’attardant dans les petits recoins cachés. Petit à petit l’odeur quitte ma queue pour sa bouche. J’adore me faire sucer comme ça, doucement. Puis je lui demande de lécher mes couilles. Soulevant ma queue raide et dure, elle lape mes grosses couilles, allant chercher presque jusqu’à mon anus. Je commence à être sérieusement excité.
Je l’attrape par les cheveux et en déposant mon gland sur ces lèvres, j’enfonce l’intégralité dans sa bouche et maintiens la position. Je choisis ce moment pour lui avouer que l’odeur c’était parce que j’avais enculé mon ex hier soir et que je ne m’étais pas lavé depuis. Elle sent mon excitation car ma queue durcit encore plus.
Je l’attrape par les cheveux et en déposant mon gland sur ces lèvres, j’enfonce l’intégralité dans sa bouche et maintiens la position. Je choisis ce moment pour lui avouer que l’odeur c’était parce que j’avais enculé mon ex hier soir et que je ne m’étais pas lavé depuis. Elle sent mon excitation car ma queue durcit encore plus.
- C’est de ta faute, tu m’as donné cette idée avec ton histoire avec Pedro. Et je reste persuadé que si tu m’as donné tant de détail, c’est que tu avais aimé ça ! hein réponds-moi !
J’ôte mon membre de sa bouche dégoulinante de salive malodorante. Elle me fixe dans les yeux et me répond que c’est vrai, depuis cette expérience avec Pedro, les odeurs fortes l’excitent au plus haut point. J’aime quand Martine devient la complice de sa propre humiliation, elle commence à prendre plaisir à l’être et j’avoue qu’avec Léa, j’ai là deux belles perverses dans la même famille.
Je lui demande si sa position n’est pas trop inconfortable. Elle me répond qu’en fait ça lui donne envie de faire pipi. Qu’à cela ne tienne, je lui ordonne de remonter sa robe, d’écarter au maximum les cuisses et de se soulager. Elle obéit et pendant que son jet doré éclabousse ses mollets et ses mocassins dans un bruit d’averse, je me branle devant son visage. Elle a déjà ouvert en grand sa bouche pensant que je vais cracher dedans. Mais lorsque je sens que je vais exploser, je saisis le décolleté de sa robe, l’ouvre en le tirant en avant, dégageant ainsi sa petite poitrine et je jute dessus. De longs jets épais s’écrasent sur ses seins et sur sa gorge. Elle se retrouve avec la poitrine maculée de grosses giclées de sperme épais et collant lorsque je replace le décolleté tout en aplatissant le tissu sur ses seins pour bien l’imprégner de mon foutre.
- Eh bien, elle est jolie la bourgeoise, de la mouille et du foutre plein la robe, de la pisse sur les cuisses et les chaussures. Et tout ça un jour de messe, ce n’est pas très sérieux !
Je lui demande si sa position n’est pas trop inconfortable. Elle me répond qu’en fait ça lui donne envie de faire pipi. Qu’à cela ne tienne, je lui ordonne de remonter sa robe, d’écarter au maximum les cuisses et de se soulager. Elle obéit et pendant que son jet doré éclabousse ses mollets et ses mocassins dans un bruit d’averse, je me branle devant son visage. Elle a déjà ouvert en grand sa bouche pensant que je vais cracher dedans. Mais lorsque je sens que je vais exploser, je saisis le décolleté de sa robe, l’ouvre en le tirant en avant, dégageant ainsi sa petite poitrine et je jute dessus. De longs jets épais s’écrasent sur ses seins et sur sa gorge. Elle se retrouve avec la poitrine maculée de grosses giclées de sperme épais et collant lorsque je replace le décolleté tout en aplatissant le tissu sur ses seins pour bien l’imprégner de mon foutre.
- Eh bien, elle est jolie la bourgeoise, de la mouille et du foutre plein la robe, de la pisse sur les cuisses et les chaussures. Et tout ça un jour de messe, ce n’est pas très sérieux !
Martine se redresse dans le petit réduit puis posant ses deux mains dans ma nuque elle vient poser ses lèvres sur les miennes dans un furieux baiser. Nos langues se mélangent et un goût acre envahit mon palais. Je ne m’attendais pas à cette réaction de Martine. Le baiser dure une bonne minute, puis Martine me dit.
- Je t’aime mon Maitre, tu m’as prouvé à moi-même que je suis une chienne. Mais ce que je veux aujourd’hui c’est n’être que TA CHIENNE ! Finit-elle en baissant les yeux.
Je la remercie pour cette confession et lui dit que maintenant nous allons rejoindre Pierre qui nous attend depuis au moins 20 minutes. Je lui soulève la robe et lui retire le plug de son anus puis je demande à Martine de le nettoyer avec sa bouche.
Je m’attends à une réflexion de la part de Pierre, en tout cas je l’espère fortement.
Nous sortons des toilettes, je regarde Martine, la robe tachée de partout et les mollets encore humides de pisse. J’adore… Je l’accompagne, histoire de contrarier encore plus Pierre, qui nous voit arriver.
- Mais que s’est-il passé ? Ta robe est encore plus tachée, Martine. Et que faisiez-vous ? Je vous attends depuis une demi-heure. Vous étiez ensemble ?
C’est le moment que je choisis pour intervenir et sur un ton des plus sec je me lève en rétorquant.
- Pierre, vos questions sont remplies de sous-entendus que je ne saurais supporter plus longtemps, je vous propose de nous rencontrer chez vous mardi soir vers 19H00 et sans enfants afin de mettre fin à vos dires qui sont calomnieux et insultants. Je vous recommande d’être prêt à vous expliquer, Pierre !
Et je quitte le bar, bien heureux de la manipulation que je viens d’opérer, en voyant Pierre déjà apeuré par ma réaction.
Arrivé à ma voiture, je téléphone à Elodie, la future femme de mon fils suite à sa demande de ce matin. Je souhaite battre le fer pendant qu’il est chaud. Il faut que j’invente une belle histoire pour lui démontrer que sa future belle -mère est une vraie nymphomane perverse et vicieuse, ce qui nous a amené à nous séparer. Bon c’est vrai qu’elle a déjà eu un petit aperçu de la chose au magasin, mais bon j’ai forcé les choses. En fait je vais utiliser les mêmes armes pour atteindre ma salope d’ex.
Elodie décroche, et nous prenons rendez-vous pour Lundi midi. Elle me dit qu’elle a une heure pour déjeuner et elle connait un restaurant dans un petit centre commercial pas très loin de son bureau.
Je décide de rentrer pour prendre un peu de repos après une telle semaine. Alors que je suis sur la route du retour, je reçois un message de Léa qui m’informe qu’elle a réussi sa mission après de Béa. Et qu’elle m’attend devant chez Béa dont elle me communique l’adresse.
Je rentre l’adresse dans le navigateur de ma voiture et me stationne vingt minutes plus tard. Effectivement Léa est là, elle ouvre la portière tout sourire et me demande de redémarrer. Nous faisons le tour du pâté de maison et Léa me demande de me stationner à un endroit précis et au plus près de la clôture. A droite il y a la forêt. L’endroit est très résidentiel et vraiment charmant. Je demande des explications à Léa.
- Je t’aime mon Maitre, tu m’as prouvé à moi-même que je suis une chienne. Mais ce que je veux aujourd’hui c’est n’être que TA CHIENNE ! Finit-elle en baissant les yeux.
Je la remercie pour cette confession et lui dit que maintenant nous allons rejoindre Pierre qui nous attend depuis au moins 20 minutes. Je lui soulève la robe et lui retire le plug de son anus puis je demande à Martine de le nettoyer avec sa bouche.
Je m’attends à une réflexion de la part de Pierre, en tout cas je l’espère fortement.
Nous sortons des toilettes, je regarde Martine, la robe tachée de partout et les mollets encore humides de pisse. J’adore… Je l’accompagne, histoire de contrarier encore plus Pierre, qui nous voit arriver.
- Mais que s’est-il passé ? Ta robe est encore plus tachée, Martine. Et que faisiez-vous ? Je vous attends depuis une demi-heure. Vous étiez ensemble ?
C’est le moment que je choisis pour intervenir et sur un ton des plus sec je me lève en rétorquant.
- Pierre, vos questions sont remplies de sous-entendus que je ne saurais supporter plus longtemps, je vous propose de nous rencontrer chez vous mardi soir vers 19H00 et sans enfants afin de mettre fin à vos dires qui sont calomnieux et insultants. Je vous recommande d’être prêt à vous expliquer, Pierre !
Et je quitte le bar, bien heureux de la manipulation que je viens d’opérer, en voyant Pierre déjà apeuré par ma réaction.
Arrivé à ma voiture, je téléphone à Elodie, la future femme de mon fils suite à sa demande de ce matin. Je souhaite battre le fer pendant qu’il est chaud. Il faut que j’invente une belle histoire pour lui démontrer que sa future belle -mère est une vraie nymphomane perverse et vicieuse, ce qui nous a amené à nous séparer. Bon c’est vrai qu’elle a déjà eu un petit aperçu de la chose au magasin, mais bon j’ai forcé les choses. En fait je vais utiliser les mêmes armes pour atteindre ma salope d’ex.
Elodie décroche, et nous prenons rendez-vous pour Lundi midi. Elle me dit qu’elle a une heure pour déjeuner et elle connait un restaurant dans un petit centre commercial pas très loin de son bureau.
Je décide de rentrer pour prendre un peu de repos après une telle semaine. Alors que je suis sur la route du retour, je reçois un message de Léa qui m’informe qu’elle a réussi sa mission après de Béa. Et qu’elle m’attend devant chez Béa dont elle me communique l’adresse.
Je rentre l’adresse dans le navigateur de ma voiture et me stationne vingt minutes plus tard. Effectivement Léa est là, elle ouvre la portière tout sourire et me demande de redémarrer. Nous faisons le tour du pâté de maison et Léa me demande de me stationner à un endroit précis et au plus près de la clôture. A droite il y a la forêt. L’endroit est très résidentiel et vraiment charmant. Je demande des explications à Léa.
- D’abord changeons de place si tu veux bien ! me demande Léa.
****
Je prends place côté passager alors qu’elle passe côté conducteur. De cette façon je suis côté trottoir. Léa alors me raconte :
- Voila j’ai rejoint Béa à la sortie de l’église en lui expliquant que j’avais une photo comme elle le souhaitait. Mais que tu m’avais ordonné d’obtenir de sa part une concession d’ordre sexuelle en me laissant la possibilité de la choisir. Elle était à la fois paniquée mais aussi intriguée. Après un premier refus, elle revint et me demanda ce que j’attendais d’elle. Je lui ai demandé de bien vouloir se masturber devant moi, mais en gardant sa culotte si elle le souhaitait. Après quelques minutes de réflexion elle a accepté. Nous étions à pied. Sur le chemin du retour, j’ai choisi un banc isolé et nous nous sommes assises. Béa s’est installée à califourchon sur le banc, face à moi et après avoir vérifié que nous étions bien seules, elle a relevé sa jupe et découvert ses cuisses. La position qu’elle avait prise les écartait obligatoirement. J’avais déjà vu ma copine nue dans les vestiaires pendant la danse, mais cette fois-ci était très différente. Cette fois Béa obéissait à un de mes ordres, et elle allait se branler pour moi. Cela me remémorait la séance avec Muriel qui m’avait fait bouffer sa chatte et tout le plaisir que j’y avais pris. Oui je suis vraiment bi.
D’ailleurs je sentais une douce chaleur irradier mon ventre et ma fente. Béa me demanda de voir la photo promise. Je lui tendis le portable en lui expliquant que c’était la toute première fois que je suçais mon Maitre.
- Quelle salope tu fais, et comme elle est grosse sa bite !
- Voila j’ai rejoint Béa à la sortie de l’église en lui expliquant que j’avais une photo comme elle le souhaitait. Mais que tu m’avais ordonné d’obtenir de sa part une concession d’ordre sexuelle en me laissant la possibilité de la choisir. Elle était à la fois paniquée mais aussi intriguée. Après un premier refus, elle revint et me demanda ce que j’attendais d’elle. Je lui ai demandé de bien vouloir se masturber devant moi, mais en gardant sa culotte si elle le souhaitait. Après quelques minutes de réflexion elle a accepté. Nous étions à pied. Sur le chemin du retour, j’ai choisi un banc isolé et nous nous sommes assises. Béa s’est installée à califourchon sur le banc, face à moi et après avoir vérifié que nous étions bien seules, elle a relevé sa jupe et découvert ses cuisses. La position qu’elle avait prise les écartait obligatoirement. J’avais déjà vu ma copine nue dans les vestiaires pendant la danse, mais cette fois-ci était très différente. Cette fois Béa obéissait à un de mes ordres, et elle allait se branler pour moi. Cela me remémorait la séance avec Muriel qui m’avait fait bouffer sa chatte et tout le plaisir que j’y avais pris. Oui je suis vraiment bi.
D’ailleurs je sentais une douce chaleur irradier mon ventre et ma fente. Béa me demanda de voir la photo promise. Je lui tendis le portable en lui expliquant que c’était la toute première fois que je suçais mon Maitre.
- Quelle salope tu fais, et comme elle est grosse sa bite !
Béa avait commencé à passer son index sur le tissu de sa culotte en coton blanche, suivant le sillon de ses lèvres et s’arrêtant sur le clito pour y imprimer une pression plus importante.
- Dis-moi que tu aimes l’avoir dans ta bouche, allez raconte moi quel goût elle a !
- Dis-moi que tu aimes l’avoir dans ta bouche, allez raconte moi quel goût elle a !
Alors, j’utilisai des mots crus pour mieux l’exciter :
- Oh oui, j’adore le sucer, sa bite va et vient au fond de ma bouche, elle palpite sous mes doigts, prête à gicler à tout moment.
Les cuisses de Béa sont maintenant largement écartées, on peut distinguer les poils noirs de son pubis. Sa culotte est maintenant tachée d’une large auréole de mouille. J’ai alors soulevé ma robe à mon tour et présenté ma chatte offerte et nue à Béa en lui envoyant :
- Oh oui, j’adore le sucer, sa bite va et vient au fond de ma bouche, elle palpite sous mes doigts, prête à gicler à tout moment.
Les cuisses de Béa sont maintenant largement écartées, on peut distinguer les poils noirs de son pubis. Sa culotte est maintenant tachée d’une large auréole de mouille. J’ai alors soulevé ma robe à mon tour et présenté ma chatte offerte et nue à Béa en lui envoyant :
- Tu m’excites petite pute, et tu me fais mouiller !
Deux de mes doigts avaient déjà disparus dans ma fente. Béa fixait mon sexe et mes doigts qui fouillaient mon intimité. Puis soudain elle écarta le tissu de sa culotte détrempée et ouvrit de ses doigts sa fente. Ils glissaient sur sa vulve écartelée. Elle mouillait comme une folle et enfonça à son tour deux doigts bien au fond. Je ressortis alors mes doigts pour cette fois fourrer mon index au fond de mon cul. Béa avait les yeux écarquillés et se branlant elle voyait mon doigt percer mon anneau et elle finit par jouir bruyamment sur ses doigts.
J’arrêtai mes caresses et saisis sa main. Elle était inondée de sa mouille. Je pris alors ses deux doigts dans ma bouche et suçai son jus intime, Béa souriant jusqu’au moment ou je lui tendis mon index en lui disant :
J’arrêtai mes caresses et saisis sa main. Elle était inondée de sa mouille. Je pris alors ses deux doigts dans ma bouche et suçai son jus intime, Béa souriant jusqu’au moment ou je lui tendis mon index en lui disant :
« Tiens petite vicieuse, goûte mon jus de cul ! Allez, ouvre la bouche et suce !
Béa finit par céder et goba le doigt en le léchant.
- C’est bien, tu vois quant tu veux, tu peux être une vraie salope. Maintenant ôte ta culotte, car à partir de maintenant tu n’en porteras plus !
- C’est bien, tu vois quant tu veux, tu peux être une vraie salope. Maintenant ôte ta culotte, car à partir de maintenant tu n’en porteras plus !
Béa m’obéissait à mon grand étonnement. Elle fit glisser la culotte et me la tendit.
- D’abord tu vas t’essuyer la chatte avec, pour que mon Maitre puisse sentir ton odeur de femelle en chaleur !
Une fois fait, j’ai félicité Béa pour avoir bien obéi et je lui ai promis une récompense dès ce soir.
*****
- Voila mon Maitre ! Es-tu content de ma prestation ? finit-elle en me tendant la culotte de Béa.
La portant à mon nez, je respire à fond. Comme ça sent bon la petite vicieuse, le tissu est imprégné de cyprine odorante que je lèche. Ma queue ne s’y trompe pas et reprend à nouveau de la vigueur.
- Oui, plus que je ne pouvais espérer, mais dis-moi, as-tu aimé être le Maitre ?
- Oh oui, je crois que je suis née pour être et soumise et dominatrice, j’adore les deux.
- Dis-moi, c’est quoi la récompense de Béa ?
- Eh bien, c’est toi sa récompense ! Klaxonne discrètement, car sa mère est là !
Je donne un bref coup et attend. Pendant ce temps, Léa dégrafe mon pantalon, le baisse et baisse également mon boxer. Je me retrouve à moitié à poil dans la voiture et la queue bien raide à l’air. Léa l’attrape à pleine main. Puis elle me murmure :
- Descends ta vitre à fond !
Une fois la vitre baissée, je vois apparaitre Béa qui vient de se glisser derrière les tuyas. Elle est à ma hauteur et peut aisément voir l’intérieur de la voiture et de ce fait voir Léa en train de me branler. Elle regarde ma bite que Léa lui présente en décalottant mon gland au maximum. Il est gonflé.
- Alors salope, je ne t’avais pas menti, tu vois comme elle est grosse la bite de mon maitre !
Béa répond timidement :
- D’abord tu vas t’essuyer la chatte avec, pour que mon Maitre puisse sentir ton odeur de femelle en chaleur !
Une fois fait, j’ai félicité Béa pour avoir bien obéi et je lui ai promis une récompense dès ce soir.
*****
- Voila mon Maitre ! Es-tu content de ma prestation ? finit-elle en me tendant la culotte de Béa.
La portant à mon nez, je respire à fond. Comme ça sent bon la petite vicieuse, le tissu est imprégné de cyprine odorante que je lèche. Ma queue ne s’y trompe pas et reprend à nouveau de la vigueur.
- Oui, plus que je ne pouvais espérer, mais dis-moi, as-tu aimé être le Maitre ?
- Oh oui, je crois que je suis née pour être et soumise et dominatrice, j’adore les deux.
- Dis-moi, c’est quoi la récompense de Béa ?
- Eh bien, c’est toi sa récompense ! Klaxonne discrètement, car sa mère est là !
Je donne un bref coup et attend. Pendant ce temps, Léa dégrafe mon pantalon, le baisse et baisse également mon boxer. Je me retrouve à moitié à poil dans la voiture et la queue bien raide à l’air. Léa l’attrape à pleine main. Puis elle me murmure :
- Descends ta vitre à fond !
Une fois la vitre baissée, je vois apparaitre Béa qui vient de se glisser derrière les tuyas. Elle est à ma hauteur et peut aisément voir l’intérieur de la voiture et de ce fait voir Léa en train de me branler. Elle regarde ma bite que Léa lui présente en décalottant mon gland au maximum. Il est gonflé.
- Alors salope, je ne t’avais pas menti, tu vois comme elle est grosse la bite de mon maitre !
Béa répond timidement :
- Oui effectivement elle est énorme ! confirme-t-elle en s’approchant encore plus près pour mieux mater.
- Allez, remonte ta jupe et montre ta chatte à mon Maitre § Dépêche-toi, je veux qu’il te voie te branler pendant que je vais le sucer !
Béa obéit et laisse apparaitre sa chatte. Son pubis est très noir et ses poils raides comme les asiatiques. Elle est très poilue et je distingue sa fente rose. D’ailleurs elle écarte ses lèvres pour me laisser découvrir sa vulve déjà bien brillante. Puis en enfonçant un doigt au fond elle dit :
- Allez Léa ! vas-y, suce !
Léa s’exécute et se courbe vers moi pour m’enfourner dans sa bouche gourmande. Elle me suce s’appliquant à bien montrer à Béa comment elle fait. Béa n’en loupe pas une miette et se fourrant frénétiquement ses deux doigts.
Je préviens Léa que je vais jouir. Elle me demande l’autorisation de montrer mon éjaculation à Béa.
Alors qu’elle me branle, je gicle sur mon ventre, Béa observe le foutre jaillir de mon gland et s’écouler le long de ma hampe. Béa a joui en même temps que moi. Léa récupère avec son doigt le foutre et le dépose au creux de sa main. Elle recommence l’opération jusqu’à avoir récupéré presque tout le sperme. Puis elle descend de la voiture et fait le tour. Béa, elle, s’est approchée de Léa, elle ouvre la bouche.
- C’est bien Béa tu as encore joui, tu aimes ça hein… Très bien, maintenant comme convenu tout à l’heure tu vas prendre le sperme de mon Maitre dans la bouche sans l’avaler, puis tu vas lui montrer et devant lui tu l’avaleras. OK ?
- Allez, remonte ta jupe et montre ta chatte à mon Maitre § Dépêche-toi, je veux qu’il te voie te branler pendant que je vais le sucer !
Béa obéit et laisse apparaitre sa chatte. Son pubis est très noir et ses poils raides comme les asiatiques. Elle est très poilue et je distingue sa fente rose. D’ailleurs elle écarte ses lèvres pour me laisser découvrir sa vulve déjà bien brillante. Puis en enfonçant un doigt au fond elle dit :
- Allez Léa ! vas-y, suce !
Léa s’exécute et se courbe vers moi pour m’enfourner dans sa bouche gourmande. Elle me suce s’appliquant à bien montrer à Béa comment elle fait. Béa n’en loupe pas une miette et se fourrant frénétiquement ses deux doigts.
Je préviens Léa que je vais jouir. Elle me demande l’autorisation de montrer mon éjaculation à Béa.
Alors qu’elle me branle, je gicle sur mon ventre, Béa observe le foutre jaillir de mon gland et s’écouler le long de ma hampe. Béa a joui en même temps que moi. Léa récupère avec son doigt le foutre et le dépose au creux de sa main. Elle recommence l’opération jusqu’à avoir récupéré presque tout le sperme. Puis elle descend de la voiture et fait le tour. Béa, elle, s’est approchée de Léa, elle ouvre la bouche.
- C’est bien Béa tu as encore joui, tu aimes ça hein… Très bien, maintenant comme convenu tout à l’heure tu vas prendre le sperme de mon Maitre dans la bouche sans l’avaler, puis tu vas lui montrer et devant lui tu l’avaleras. OK ?
Je vois Léa lui faire glisser dans la bouche mon foutre. C’est dingue, cette Léa est vraiment une sacrée perverse. Ayant fini son opération, elle revient dans la voiture puis finit de nettoyer ma queue avec sa bouche.
Je regarde Béa qui a repris sa place face à moi, je peux distinctement voir mon foutre baigner dans sa bouche grande ouverte. A priori elle attend que Léa lui ordonne d’avaler, mais pour le moment celle-ci lèche mon gland et la moindre trace de foutre.
Puis une fois fini elle se relève, s’approche de moi pour mieux voir et lui dit d’avaler doucement. Je vois mon foutre épais et blanchâtre disparaitre au fond de sa gorge. C’est d’une excitation sans pareil.
Soudain nous entendons une voix féminine venant de la maison qui appelle Béa. Nous laissons cemme-ci rentrer et je raccompagne Léa chez elle. Il est l’heure pour moi de rentrer, je suis exténué par cette semaine de folie et une nouvelle arrive, tout aussi prometteuse.
Je regarde Béa qui a repris sa place face à moi, je peux distinctement voir mon foutre baigner dans sa bouche grande ouverte. A priori elle attend que Léa lui ordonne d’avaler, mais pour le moment celle-ci lèche mon gland et la moindre trace de foutre.
Puis une fois fini elle se relève, s’approche de moi pour mieux voir et lui dit d’avaler doucement. Je vois mon foutre épais et blanchâtre disparaitre au fond de sa gorge. C’est d’une excitation sans pareil.
Soudain nous entendons une voix féminine venant de la maison qui appelle Béa. Nous laissons cemme-ci rentrer et je raccompagne Léa chez elle. Il est l’heure pour moi de rentrer, je suis exténué par cette semaine de folie et une nouvelle arrive, tout aussi prometteuse.
A suivre...
J'adore cette histoire terriblement excitante :)
RépondreSupprimerOlivX