mercredi 25 septembre 2024

Dans un train de banlieue

 Récit d'un anonyme

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La voiture est en panne et ce soir-là il faut rentrer en train. La soirée avait été luxueuse et Chantal rentrait, habillée dans cette robe blanche entièrement boutonnée sur le devant, un peu transparente et surtout légère pour l'été. Une ceinture la serre à la taille. Une simple veste la recouvre. Pas de soutien-gorge et si la veste s'ouvre un peu, on peut nettement discerner le contour d'un sein. A cette heure tardive le wagon est peu fréquenté. Deux noirs nous font face, sur la banquette devant, un autre est derrière nous. Deux arabes, un jeune et un gros barbu sont un peu à l'écart.

Bercée par le bruit monotone du train, Chantal s'est endormie sur mon épaule. Les deux noirs en face la fixent sans vergogne. Ils n'ont rien de bien rassurants. J'ai un peu peur. Celui de derrière ne cesse de se retourner pour essayer d'apercevoir quelque chose. Même si j'ai peur, je suis en même temps excité. La tache toute blanche de ma femme au milieu de ces regards menaçants et cupides. Seuls les deux arabes ne semblent pas concernés par la situation.

Chantal se met à bouger, ses genoux viennent à toucher un des voisins en face. La veste s'ouvre un peu et le léger tissu de la robe laisse deviner les seins. Chantal a une belle poitrine et elle sait la mettre en valeur sans exagération.

Un des noirs les fixe. Je ne bouge pas. Un moment s'écoule, lourd. Elle bouge à nouveau découvrant cette fois une partie de ses cuisses gainées de blanc. Les regards se déplacent. Celui de derrière se penche pour mieux profiter. Je le trouve bien gonflé mais je ne dis rien. Il n'a pas l'air bien normal. Il a des yeux tout injectés de sang et sa peau bien noire est toute marquée de traces peu esthétiques.

Un arrêt à une station détend l'atmosphère, mais quand le train redémarre à nouveau, la tension revient. Cette fois l'étape sera plus longue... Les deux noirs d'en face me sourient, le fêlé se déplace derrière nous pour voir de biais.

Alors, poussé par la folie, discrètement, je prends le revers de la veste et l'écarte un peu plus pour mieux exposer la poitrine de l'endormie aux regards avides de ces hommes excités. Je suis excité et en même temps j'ai l'impression de pouvoir gagner leur complicité et les calmer. Les deux d'en face rigolent gentiment car ils ont compris mon jeu.

Puis, tout va très vite. Chantal est toujours endormie, un peu saoule il est vrai. Ma main déboutonne un à un les boutons de la frêle robe blanche. Jusqu'à la ceinture ! Je tremble quand j'écarte les pans et les seins apparaissent, nus et blancs au milieu de ce wagon d'un train de banlieue. Les seins nus exposés en public sont superbes. Blancs, bien dessinés avec deux aréoles marron foncé et des pointes dressées comme excitées ! Bien séparés par une gorge profonde, ils prennent la forme de deux melons. Ils ne sont pas très gros mais c'est leur forme qui les rend si beaux et si désirables. Je sens que tous les spectateurs sont sous le charme de cette poitrine nue. Cette poitrine que je leur montre à l'insu de leur propriétaire et qu'ils voudraient bien peloter.

Le noir derrière se penche sans bruit vers notre banquette pour ne rien manquer du spectacle. Les plus éloignés se rapprochent en silence. Ils ont deviné qu'il se passait quelque chose.

On sait tous qu'il ne faut pas la réveiller. Je défais lentement la boucle de la ceinture à la taille. Et je continue de défaire les boutons. Quand la robe est entièrement ouverte sur le devant, elle s'ouvre simplement toute seule découvrant entièrement les jambes. Au dessus des bas blancs une petite surface de peau douce attire les regards. Sa culotte blanche laisse voir les poils de son pubis. Les noirs sont tout excités. Celui de derrière a sorti sa bite et se branle ostensiblement près du visage de mon épouse. Je suis soudain effrayé par la tournure que prend la situation. Mais je suis encore plus excité !

Alors tout va très vite. Chantal se réveille. Elle ne comprend pas. Vite elle se rajuste. Je la rassure alors que tous dans le wagon se replacent pour ne pas l'effrayer. Elle se blottit dans mes bras. Elle a peur mais j'arrive à la rassurer et puis le train arrive à destination.

En sortant du wagon ils nous font un petit salut sympathique. Deux des noirs descendent en même temps que nous. Ils ne paraissent pas agressifs. Au contraire ils adressent à mon épouse un sourire comme un remerciement et un compliment.

Dehors c'est plutôt désert. Il va falloir remonter à pied. Chantal se colle à moi en marchant. Elle ne se s'est pas aperçue que les deux hommes nous suivent. L'excitation me reprend et des idées folles parcourent ma tête. Je m'arrête, la prend dans mes bras et commence à l'embrasser avec fougue en lui disant que la scène du train m'a drôlement excité.

Elle se laisse faire tant elle est fatiguée. Je l'appuie contre le muret d'un pavillon. Elle s'assoit à moitié dessus. J'ouvre sa veste et défais un peu sa robe dénudant un sein. Pour bien l'exposer au regard des deux noirs, je m'écarte légèrement. Ils s'approchent. Et quand elle les aperçoit, elle ne réagit pas comme si elle n'avait plus de conscience. Elle a compris mon désir. Elle reste appuyée sur ce mur, les bras balans le long du corps, les yeux fermés.

J'appelle d'un geste les deux voyeurs et je m'éloigne de quelques mètres pour assister au viol de mon épouse que je livre, là dans la rue, à deux inconnus. Ils se précipitent sur elle. De chaque côté, ils l'encadrent laissant leurs mains parcourir ce corps qui s'abandonne sans défense. Chantal ne résiste pas, elle se laisse faire sans bien comprendre la situation. Leurs lèvres parcourent son visage cherchant à ouvrir sa bouche. Ils lui ouvrent entièrement la robe boutonnée sur le devant jusqu'à la ceinture mettant à nu ses seins qui apparaissent éclairés par la lumière pâle de la rue. Ils se saisissent chacun d'un téton qu'ils font rouler sous leurs doigts. C'est sans doute ce qu'ils avaient désiré dans le train quelques instants plus tôt !

Ma femme reste sans réaction tandis qu'ils pelotent sans ménagement sa poitrine. L'un d'entre eux passe sa main sous la robe qui s'ouvre découvrant les cuisses longues et fines. Elle se saisit de la culotte qu'elle arrache dans sa précipitation. Le sexe apparaît alors nu dans cette rue. Et l'homme écarte largement le vêtement pour bien contempler ce trésor. Le pubis est bien poilu dessinant un triangle bien net à la lumière de l'éclairage de la rue.

Mais il n'en a pas assez et brutalement il lui enlève sa ceinture qu'elle porte encore pour pouvoir cette fois ouvrir complètement la robe. Chantal est nue, entièrement nue dans ce lieu public, à deux pas de la gare, à l'exception de ses bas qui ajoutent à la sensualité du moment dans cette rue déserte où tous dorment. 

Et une grosse main noire s'empare de son sexe. Le premier la prend alors par la tête et la force à se baisser pour lui faire sucer la bite qu'il vient de sortir toute bandée et luisante de sécrétions. Là encore elle n'offre aucune résistance tant elle est résignée. Le second passe par derrière, soulève la robe et se saisit à pleine main de ses fesses tendues. Il les écarte brutalement pour bien admirer le cul offert. Puis sans ménagement il introduit un doigt dans l'anus. Sous la violence du geste elle laisse échapper un cri. Mais l'homme n'écoute pas et sortant une queue énorme il la présente à l'entrée du sexe ouvert et d'un seul coup s'introduit dans le ventre pour commencer un brutal va et vient rapide ne recherchant que son propre plaisir. Il lime la chatte luisante, il écarte les fesses pour mieux contempler sa bite qui ramone le sexe de la femelle. Ses deux pattes toutes noires sur les fesses blanches de Chantal sontt excitantes. Elles s'agrippent à la peau pour mieux ouvrir le sillon du cul et montrer son petit trou. Mais ce qui l'intéresse en ce moment c'est baiser, baiser cette moule en pleine rue. Et il en profite plongeant profondément à chaque coup son pieu dans ce vagin ouvert !

Rapidement il ferme les yeux quand la jouissance arrive et je le vois accélérer son rythme pour finir par râler quand il déverse son abondante semence dans mon épouse. Repu, il se retire, son sperme ressort du sexe tout ouvert et s'écoule le long des cuisses pour venir tacher les bas tant il est abondant.

Son copain abandonne la bouche qui le suçait. Il retourne Chantal, la plaque contre le mur, lui écarte sans ménagements les cuisses pour se saisir de son sexe qu'il entreprend de malaxer avec violence. Il plonge un doigt puis deux dans la fente et commence une rapide branlette. Ses doigts sont tout brillants du foutre de son pote, facilitant la branlette. Il s'écarte un peu du corps nu pour regarder et nous montrer ce qu'il fait. Le voilà même qui viole le sexe pour y introduire cette fois trois doigts et continuer la masturbation. Ma femme semble, à ce moment, apprécier cette caresse sauvage et je la vois qui saisit le noir à la nuque pour s'emparer de ses lèvres humides et l'embrasser à pleine bouche. De sa main libre elle caresse la queue de son amant. Elle est encore plus grosse que celle de son copain ! Toute noire, son gland qu'elle vient de décalotter est tout rouge gonflé de sang. On le dirait prêt à éclater !

C'est elle même qui aide maintenant à la pénétration de cette queue énorme et noire. Elle s'empale dessus tandis que le second lui pelote les seins et à son tour s'empare de sa bouche. Il bande à nouveau et ne veut pas rester en reste et tandis qu'il caresse ce corps nu, il lui débite des propos salaces. Il glisse une main sous ses fesses qu'il malaxe fébrilement. 

Moi, j'ai sorti mon sexe et je me masturbe devant ce spectacle. Celui qui la baise accélère soudain son rythme et en soufflant bruyamment, il éjacule au plus profond du ventre de mon épouse qui jouit à son tour, fouillée et souillée. 

J'éjacule à mon tour. Une fois repus les deux hommes se rajustent et en silence ils s'éloignent dans la nuit. Ma femme reste là nue, le sperme coule à l'intérieur de ses cuisses. Elle est comblée sans vraiment se rendre compte de ce qui lui est arrivé. Je lui rends ses vêtements et lentement nous prenons le chemin de la maison.

FIN

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