Récit de Realbluetit (2013)
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Poussée à s'exhiber dans des lieux publics.
Le lendemain comme prévu, il m'appela pour me dire qu'il devait s'absenter. Pour patienter, il exigea que durant le week-end j'aille faire des photos dans un photomaton situé dans une station métro et que je l'appelle à ce moment là. Pour ce faire il fallait bien évidemment que je m'habille de manière sexy.
A côté de cela, il me dit de profiter de mon enfant. C'était en effet le retour de mon fils d'Italie. Ainsi cela me permettait de palier l'absence de cet homme qui prenait une place de plus en plus importante dans ma vie.
Le samedi matin je laissai donc dormir mon fils un peu plus longtemps. Je m'habillai avec un tailleur strict que je réservais pour les réunions professionnelles, mais dessous je me vêtis des sous-vêtements tant apprécié par mon homme, c'est-à-dire bas coutures retenus d'un porte-jarretelle noir en dentelle que je venais d'acheter dans un magasin proche. Quant au haut ce fut un soutien-gorge noir qui évitait à mes seins de sortir de la veste. Du fait du froid de novembre je m'étais en outre couverte d'un chaud manteau pour sortir.
Lorsque j'entrai dans le photomaton, je l'appelai comme convenu :
- Comment es-tu habillée Laurence ?
- D'un tailleur avec une veste échancrée jusqu'à la naissance de mes seins. Quant à la jupe elle est droite et ouverte sur le côté.
- Et tes dessous ?
- Comme tu les aimes, porte-jarretelles et dentelle.
- Vouvoies-moi s'il te plaît ! Pour l'instant seul moi ai le droit de te tutoyer. D'accord ?
- Oui je m'en rappellerais.
- Et tu sais pourquoi tu dois me vouvoyer ?
- Parce que je suis une salope.
- Une salope qui aime être soumise. Répète !
- Je suis votre salope qui aime être soumise.
- C'est bien... Bon, je veux en fait des photos d'identité, mais comme tu t'en doutes, spéciales. Tu vas donc faire des photos montrant ton évolution. En clair tu vas poser telle que tu es, puis avec tes seins qui sortent de ta veste, puis tu te prendras en photo uniquement en sous-vêtements et enfin totalement nue. Entre les poses, il est hors de question que tu prennes les photos qui se seront développées en dehors de la cabine. Une fois terminé, tu resteras nue et tu m'appelleras, c'est compris ?
- Oui je ferais comme vous me le demandez.
Je n'avais pas pensé à cela, mais à tout moment quelqu'un d'attentif pourrait voir ce qui se tramait dans l'appareil. En outre je m'aperçus que le rideau ne cachait pas entièrement l'intérieur de la cabine et qu'il faudrait que je me dévoile pour remettre de l'argent.
Je commençai à rougir, mais décidai de me lancer dans cette nouvelle exhibition. Les premières photos furent rapides, car enlever un soutien-gorge ne prend pas beaucoup de temps. Par contre, enlever son tailleur dans un endroit aussi exigu sans dévoiler à l'extérieur ce qui se passe fut plus difficile. Habillée de mon porte-jarretelle, des mes bas et de ma fine culotte je me penchai pour insérer les pièces nécessaires à la troisième série. C'est alors que j'aperçus un clochard qui regardait dans ma direction. J'étais tétanisée, pourvu qu'il n'ouvre pas le rideau.
Tremblante de froid mais surtout de peur, à cause de l'homme qui, à quelques mètres de moi, devait se poser des questions, je lançai le déclenchement des photos. Le froid avait un autre effet sur mon corps, il raffermissait mes seins dont les tétons pointaient de manière obscène devant l'objectif. Je m'en aperçus en entamant l'effeuillage des dernières pièces protégeant ma peau.
Lorsque je me penchai pour insérer les dernières pièces, l'homme fixait toujours l'interstice entre le rideau et le montant. Il se mît à sourire en voyant mes seins se balançant dans le vide. J'étais cramoisie et comptais le nombre de secondes me séparant de la fin de ce calvaire. Une fois fini, j'appelai aussitôt mon inconnu pour clore le défi, ce qui dû se ressentir dans le son de ma voix.
- Je viens de finir les photos que dois-je faire maintenant ?
- Que se passe-t-il, tu as l'air stressée, tu as peur d'être surprise ?
- Je crois que c'est déjà fait, il y a un SDF qui me fixe et j'ai peur qu'il n'ouvre le rideau. Je veux partir.
- C'est moi qui décide ! Pour la peine tu vas remettre uniquement tes jarretelles et tes bas. Tu mettras ton manteau sans le fermer et tu montreras en sortant à cet homme ton joli minou rasé surligné de tes dessous. Tu en profiteras même pour le remercier de t'avoir maté. Quant à ta culotte tu vas la mettre dans ta bouche et la nettoyer avec ta salive.
- Mais mon tailleur ???
- Tu le mettras sur ton bras, ce qui ne te laissera qu'une main pour maintenir fermé ton manteau. Au fait n'oublie pas les photos !
- Mais je vais attraper froid avec la température qui fait.
- Je suis sûr que tu as tellement chaud par l'excitation que cela te procure que tu n'y prêteras pas attention. As-tu compris ce que tu dois faire ?
- Oui j'ai compris ce que vous voulez.
- C'est bien tu redeviens gentille ma petite... comment déjà ???
- ...Salope... je suis une petite salope.
- Dis plus fort ce que tu es et ce que tu fais pour qu'il t'entende avant de sortir.
- Je suis une salope qui vous est soumise.
- Et qui aime s'...
- Se déshabiller en public ?
- Dis le de manière plus cru !!!
- Se foutre à poil en public !
Abattue, par ce que je venais d'oser dire et par la tenue dans laquelle j'étais, je suivis donc les directives. Aussi, en sortant, j'exposai mon corps à l'individu et me rapprochai légèrement pour le remercier de m'avoir maté. Propos qui nécessitèrent que j'ouvre la bouche afin de pouvoir passer outre l'encombrement de la culotte dans ma bouche. Tout sourire, car non seulement il m'avait vue nue et surement entendue, il comprenait facilement ce que je mastiquais désormais tel un chewing-gum. Il me retourna les remerciements sans oser me toucher (je l'en remercie encore pour cela).
Faisant demi-tour pour prendre les photos, je m'aperçus qu'elles avaient disparues. J'étais désespérée, mais n'osai pas demander au SDF de me les rendre, car cela ne pouvait être que lui qui les avaient. Je rentrai effrayée à l'idée que ces photos circulent et soient échangées à n'importe qui, oubliant en parallèle la gêne de se balader dans la rue un samedi en dévoilant régulièrement le haut de mes bas voire la nudité du haut de mes cuisses.
Arrivée chez moi j'eus un appel de mon maître-chanteur.
- Alors ces photos ?
- Elles n'y étaient pas, c'est le SDF qui les a prises et il va les montrer à tout le monde.
Telle une gamine j'étais au bord des larmes.
- Arrête de pleurer car tu aimes cela t'exhiber.
- Oui mais là tout le monde va voir ces photos.
- Tout d'abord tu accuses sans savoir, car c'est moi qui aie les photos. Et si tu n'es pas prête à cela alors il vaut mieux arrêter tout de suite notre relation.
- Mais... ce n'est pas cela que je voulais dire...
- Alors que souhaites-tu exactement ???
- Euh... Faire ce que vous me demandez...
- Tu feras tout ce que je veux ?
- Tout ce que vous voulez.
- Je vais te laisser...
Je crois que mon cœur venait de s'arrêter de battre, il allait me quitter ?
- Je vais te laisser la semaine pour que tu réfléchisses, si tu me rappelles alors tu devras suivre mes ordres. Sinon je te dis adieu. Est-ce bien clair Laurence ?
- Oui je comprends.
- Si tu me rappelles, je veux que tu sois moins passive et que tu te lâches. Tu es bourgeoise de par ton éducation mais quand je vois les photos et ce que tu as fais auparavant, tu es une belle chienne.
- Attendez, j'ai décidé, je veux continuer, je veux poursuivre notre relation !!
- Je te laisse réfléchir, et nous verrons si tu rappelles d'ici vendredi prochain. Mais au-delà je n'existerais plus pour toi.
Sur ce, il raccrocha. J'étais décontenancée et ne savais plus que penser. La peur que les photos circulent m'avait fait oublier l'excitation que me procurent ces strip-teases et la domination qu'il a sur moi. Mais suis-je prête à continuer ?
Le week-end en famille me donnerait surement la réponse et je me décidai donc d'attendre le vendredi pour donner ma décision à mon inconnu.
Le week-end avec mon fils me fît le plus grand bien, car je n'avais pas le temps de réfléchir au choix que je devais prendre. Par contre le retour au bureau me laissa plus de temps à la question fatidique à laquelle je devais répondre : stop ou encore ?
D'autant plus que mon responsable m'avertit que nous devions partir 3 jours en séminaire en Tunisie, d'ici 10 jours, ce qui allait m'éloigner de ma vie parisienne. Que devais-je faire ? Impossible en plus de pouvoir partager ces doutes à mes amis ou ma famille.
Le lendemain, l'absence de mon inconnu et de ses ordres me manquait déjà. Il fallait bien se rendre à l'évidence, l'excitation d'être aussi impudique et de me soumettre aux demandes extrêmes de mon amant était devenue comme une drogue pour moi. J'aimais ce type de relations sexuelles alors étais-je prête à me soumettre totalement à cet homme ?
Mercredi main je n'y tenais plus. Non seulement la réponse à la question de la veille était oui, oui et oui !!! Mais en plus je ne pouvais plus patienter jusqu'à vendredi pour lui offrir mon corps à ses caprices. Excitée et tendue je composai alors le numéro.
- Bonjour.
- Bonjour. J'appelle pour vous dire que je souhaite poursuivre notre relation. Je ferais tout ce que vous demandez et j'accepterai vos désirs.
- Concrètement, qu'es-tu prête à faire ?
- Je suis prête à tout pour que vous restiez avec moi, à me balader nue, à ce que vous me sodomisiez quand vous le voulez, même à sucer des inconnus.
- Comment te trouves-tu ?
- Honteuse, mais j'aime cela me soumettre à vos ordres ?
- Tu es une petite bourgeoise qui aime qu'on la domine c'est ça ?
- Oui je suis votre bourgeoise soumise.
- Alors demain soir je vais profiter de toi ma petite esclave. Tu mettras la robe de soirée transparente que tu as achetée précédemment avec pour sous-vêtement un string blanc et rien pour tes seins. Pour les chaussures des escarpins avec des talons feront l'affaire. Auparavant tu iras chez l'esthéticienne pour te faire épiler ton minou. Enfin tu écriras au feutre sur ton corps cinq mots qui décrivent le mieux ton nouvel état physique et psychologique.
- Je le ferais pour vous avec plaisir.
- Et pour tous ceux à qui je vais te prêter... ah ah ah ! Appelle-moi demain à 17H00.
Ce dernier commentaire me glaça le sang, mais ma décision était prise, j'étais sa soumise. Le soir avec la honte et l'excitation mélangée, je me rendis chez une esthéticienne qui avait acceptée de m'épiler intégralement. Telle une petite fille punie, je me retrouvai face à une femme au regard dur et froid rendant cette séance humiliante. Elle me fît écarter les jambes et passa la cire chaude sur mon sexe et mes lèvres. Quelques minutes plus tard et sans ménagement elle tira d'un coup sec sur les bandes. Je ne pus m'empêcher de gémir, ce qu'elle réprima en m'indiquant que quand on voulait jouer les filles imberbes pour son homme il fallait en payer le prix. Elle touchait juste et je me sentis totalement humiliée d'être mise à nue comme cela par une illustre inconnue.
Elle poursuivie la séance avec la pince à épiler pour me débarrasser des quelques poils récalcitrants. Telle une coiffeuse elle me montra le résultat en passant un miroir. Il me semblait qu'on ne voyait plus que mes lèvres. C'est alors que mon esthéticienne me passa une crème pour reposer ma peau. Mais les caresses me firent mouiller rapidement, j'étais vraiment honteuse d'exposer à une femme mon excitation. Elle ne s'arrêta pas pour autant et même pris un malin plaisir à appuyer (au sens propre comme au sens figuré) ses massages autour de mon clitoris. Je commençai à sentir des chatouillements dans mon bas ventre et ma respiration devint plus forte. Sur ce elle stoppa net ses caresses avec le sourire en coin de me laisser sur ma faim.
Qui étais-je pour être excitée par des caresses féminines moi qui n'aie connu que des relations hétérosexuelles ? Gênée, l'abricot lisse, je payai et partis honteuse et la tête baissée devant celle qui m'avait épilée et donnée du plaisir.
Le lendemain, à 17H00 comme indiqué, j'appelai mon amant qui me donna les renseignements pour la soirée. J'allai donc au cinéma voire un film inconnu. Il exigea que je me place au troisième rang au fond sur le côté droit. Une fois assise, je devrais poser mon manteau et partir aux toilettes 10 minutes avant le début de la séance pour enlever le string cachant mon sexe imberbe. Et retourner à ma place.
Je me changeai donc dans les WC de mon bureau et excitée par ce qui allait m'advenir j'allai à mon rendez-vous. La place achetée, je me retrouvai seule dans cette salle et comme prévu partis dans les cabinets pour ôter le string. J'en profitai aussi pour écrire sur mon corps les mots définissant mon nouvel état.
De retour à ma place, la salle s'était remplie, si l'on peut dire, d'une femme d'environ 50 ans et d'un homme dans les premiers rangs. Sachant la transparence de ma robe je rejoins rapidement mon siège ou se trouvait une lettre que j'ouvris.
« Sous ton manteau se trouve des lunettes de soleil. Tu les mettras dès que tu auras fini de lire ce texte et tu laisseras ta place à ta droite bien disponible pour un ami. Tu devras alors faire tout ce qu'il te demande. »
Je mis les lunettes qui était bien foncée et couvraient l'ensemble de mes yeux. Deux minutes plus tard un homme s'assît à mes côtés. J'avais chaud et mouillais rien qu'à l'idée de ce qu'il allait me demander. Ces demandes, pour éviter qu'il ne parle, se firent par un dictaphone.
- (Dictaphone) Tout d'abord je veux que tu parles de façon crue avec des mots obscènes. Dis-moi quels mots tu as marqué sur ton corps et pourquoi ?
- Soumise, car j'aime quand on me donne des ordres. Salope, parce que j'aime montrer mon cul dans la rue et j'accepte de me faire enculer. Allumeuse, car j'aime séduire les inconnus mais suis effrayée par aller plus loin. Prête à tout, pour conserver mon amant. Humiliée, car j'aime quand on me bouscule.
En même temps que je répondais à sa question il me caressa. Puis au travers le tissu il pinça l'extrémité de mon sein. J'eus un cri de surprise qui ne l'empêcha pas de poursuivre. Il descendît sa main vers mon mont de vénus où il accrut la pression de sa main. Le film, mais aussi les spectateurs, avaient disparu pour moi. D'un coup, il stoppa les frictions sur mon clitoris et me fît écouter la suite de l'enregistrement.
- (Dictaphone) Lève-toi et enlève ta robe, puis rassis-toi jambes bien écartées.
Je suivis les ordres et de la manière la plus discrète dézippai ma robe, je passai alors mes bras dans les manches pour qu'elle tombe à mes pieds. Le son du film couvrait le bruit de la fermeture éclaire et du frottement du tissu sur ma peau. Une fois nue, je me rassis comme stipulé. Sa main ne tarda pas à me caresser mon abricot imberbe qui suintait tant j'étais excitée par ce qui se passait.
Sa main disparut, mais revînt avec un engin diabolique. C'était un vibromasseur à deux embouts. Il lubrifia les deux extrémités avec mes sécrétions et simultanément pénétra mes deux orifices avec. Même si la partie dédiée à mon anus était plus réduite que l'autre elle était de très bonne taille ce qui me fît lancer un petit cri que j'espérais être inaudible.
Cette intromission achevée mon « bourreau » appliqua à nouveau le dictaphone à l'oreille.
- (Dictaphone) Assois-toi normalement afin que tes trous soient perpendiculaires au siège et permettent à l'objet d'être au plus profond de toi. Tu vas désormais me sucer mais au préalable, je veux que tu me dises ce que tu ressens, comment tu te vois et ce que cela fait d'être enculée alors qu'il y pas si longtemps tu refusais cela à mon ami et en l'occurrence ton maître.
- C'est douloureux, mais après quelques minutes cela génère une sensation particulière qui me plaît. Et...
Tout d'un coup l'appareil se mît à bouger, ce qui entraîna une décharge électrique dans tout mon corps. Les tiges tournoyaient dans mon sexe et mon cul de façon aléatoire. Que c'était bon, j'en avais la tête qui tournait, néanmoins je tentai de donner une suite à ma réponse.
- Et j'aime ça être obligée de faire des choses obscènes... hum... Je veux satisfaire mon amant en étant aussi cochonne qui le souhaite... hum... je suis vraiment prête à tout pourvu qu'il m'excite par ses scénarii et me donne autant de plaisir que maintenant... hum, hum...
- (Dictaphone) Tu vas répéter exactement que je pense que tu es et après tu me pomperas la bite... Tu es une bourgeoise vicieuse qui est en train de découvrir sa vraie nature... jouir en étant humiliée et en se comportant comme une pute. A toi et pas doucement !
- Je suis une bourgeoise vicieuse qui est en train de découvrir sa vraie nature... jouir en étant humiliée et en se comportant comme une pute.
- (Dictaphone) Suce-moi maintenant !!!
Sans remords, je venais de m'avilir devant ce soi-disant ami et avais peut-être été entendue par les deux autres spectateurs. Il y avait du vrai dans les propos que je tenais sur moi. J'étais une autre femme et je prenais beaucoup de plaisir à l'être.
Le vibromasseur toujours en marche, je me penchai pour ouvrir la braguette et avaler le sexe dressé. Les lunettes de soleil, mais aussi mon incapacité à mémoriser les formes et les visages notamment, m'empêchaient de dire si je connaissais ce sexe. Je commençai donc à lécher ce bâton de chair. Mon inconnu posa alors ses mains sur l'arrière de mon crane. Il me fît aller jusqu'à la hampe puis fît ressortir son membre. Lentement au début, il accéléra le rythme rendant mon utilité limité à mouiller et caresser son membre avec mes lèvres et ma langue.
Au bout de quelques minutes, il réduisit la cadence pour me faire écouter son enregistrement.
- (Dictaphone) Je vais éjaculer dans ta bouche, car tu es une bouche à sperme ! tu es d'accord avec moi ?
Ne pouvant parler, j'acquiesçai, symbolisant mon agrément à ces propos.
- (Dictaphone) Mais tu ne vas pas l'avaler, tu vas le garder avec la bouche bien ouverte. Je vais t'enlever le vibromasseur et mettre à la place un autre instrument. Une fois que j'aurais terminée, tu videras ma semence dans tes escarpins et remettras tes pieds dans tes chaussures.
Il reprit les mouvements me faisant à deux reprises écraser mon nez dans ses poils pubiens. Son bout était à la limite de ma gorge mais je réussis à ne pas avoir de mouvement de recul. Le sperme tant attendu emplît ma bouche à force de succion.
Comme demandé, je me relevai et pendant une minute regardai l'écran bouche ouverte tel un pélican avec le poisson dans son gosier. Mon bourreau me poussa à me mettre au bord du siège pour ôter la machine d'une main et pour rouler et tirer mon téton droit. Il ôta l'objet pour mieux laisser trainer sa main et tirer mon clitoris ce qui me fît basculer dans une jouissance que je sus contenir en moi.
L'esprit dans le vague, je sentis alors une vive douleur au niveau de mon sexe. Il venait de me planter une pince sur les deux parties de mes lèvres. Pince qui se prolongeait d'une chainette et d'une petite clochette. A peine je bougeai qu'un bref son sortait de mon bas ventre. J'avais déjà honte à l'idée de sortir ainsi.
Une claque sur mes cuisses me fît comprendre qu'il fallait que je distribue le blanchâtre liquide dans ma paire de chaussure. Je me penchai donc et laissai tomber le sperme dans chacune d'elle. Une fois terminé, je les remis mes pieds. C'était poisseux et je craignais à l'avance le bruit que cela générerait en marchant.
Mais pas le temps de rêvasser, d'autres ordres tombèrent.
- (Dictaphone) Montre-moi que tu n'as plus rien dans ta bouche. Ensuite tu partiras remettre dans les toilettes ta robe mais pas avant. Une fois fait, tu sortiras ainsi, je te rendrais ton manteau à la sortie. Nous prendrons un taxi pour rentrer chez toi. Vas-y maintenant !
Telle une gamine qui a fait une bêtise je partis aux toilettes laissant à mon hôte mon string et mon manteau. Dès mes premiers pas, je compris le calvaire que j'allais vivre pour sortir de ce cinéma. La piqure des pinces avait vite disparu, mais la piqure morale d'entendre cette clochette et mes pieds faire "floc" dans mes escarpins soulignait ma nouvelle condition de fille facile.
Je remis ma robe qui en fait ne cachait rien de mon anatomie. Au contraire elle la laissait deviner voire la soulignait de manière érotique. J'avais le choix, marcher vite ce qui entrainerait des bruits gênants, ou lentement mais dans ce cas je m'exposai au risque d'être découverte dans une telle tenue. Cette réflexion me fît rougir et trembloter. Que faire, je n'allais pas rester toute ma vie dans ces WC et puis on m'attendait dehors.
Je me lançai donc vers la sortie. Sortir de la salle fût aisé, car les deux spectateurs restants étaient absorbé par le film en cours, mais dans les couloirs j'entendis des gens arriver. Je voulus alors faire demi-tour mais la porte coupe-feu se referma définitivement. Je pris alors la décision de marcher comme si de rien n'était, mais mon cœur devait faire 200 pulsations par minute et mon visage était en feu. J'avançai le regard baissé telle un animal soumis.
Deux jeune adolescents passèrent à mes côté tournant la tête avec un regard interrogateur et se mirent à rigoler une fois devant. J'étais humiliée, heureusement j'arrivais dehors. Mais point d'homme avec mon manteau, non il ne pouvait me faire cela, surtout que j'avais naïvement laissé mon portefeuille dans la poche de mon manteau. Je me cachai dans un renfort du bâtiment en attendant qu'il se montre, c'est alors qu'une personne me siffla d'un taxi. Je compris que c'était pour moi. L'œil du taxi en profita pour me déshabiller du regard ce qui n'était pas trop difficile avec la transparence du tissu.
On n'est jamais mieux servi que par soi-même:
Une fois assise, je dûs indiquer l'adresse au taxi. Toujours équipée de mes lunettes je n'osai tourner ma tête vers l'homme à mes côtés. De ses gestes il me fît comprendre d'écarter mes jambes, puis doucement il se mît à remonter la robe dévoilant au conducteur, très attentif aux événements qu'il apercevait dans le rétroviseur, mes jambes, suivi de mes cuisses.
J'en avais des gouttes de sueur, il n'allait quand même pas montrer ma chatte à cette personne. Toutefois je n'osai arrêter cette main perverse. C'est alors qu'il me prît ma main qui remplaça la sienne. Il réitéra une claque sur mes cuisses indiquant que c'était à moi de poursuivre. J'étais rouge comme une pivoine, car désormais je n'avais plus l'excuse de rester passive, je devais agir. Le test était diabolique, soit je ne remontais pas plus, soit je dévoilais mon intimité, révélant ce que j'étais devenue. Ce n'était pas la main qui était donc pervers mais l'homme qui venait de me mettre en face de ma déchéance.
Tremblante, je repris la montée du vêtement pour finir au dessus de mon sexe. Mon tortionnaire se mit alors à me doigter doucement devant le conducteur ébahi et heureux de l'action qui se tramait dans son taxi. J'étais chauffée à blanc par cette masturbation, quand le propriétaire du dictaphone sortit ses doigts de mon vagin pour me les faire sucer. Je me jetai dessus et les nettoyai du mieux que je pouvais. Le goût de mes sécrétions tranchait avec le sperme qui s'y trouvait peu avant.
Malgré la lenteur de notre taxi, nous étions arrivés, et au moment de payer le chauffeur nous offrit la course en regard du spectacle offert. Après l'avoir remercié, je me retrouvai avec l'inconnu dans l'entrée de l'immeuble. Il sortit alors son magnétophone.
- (Dictaphone) Enlève tout de suite et ici ta robe, salope, ensuite tu monteras par l'escalier chez toi.
Sans réfléchir, j'enlevai la robe et pris les clés pour ouvrir la porte d'entrée. Nue et lisse je marchai rapidement et avec appréhension jusqu'à l'escalier de secours. Je commençai à monter dans l'escalier toujours avec le tintement de la clochette que l'homme me claqua les fesses et mît en marche le magnéto.
- (Dictaphone) Tu n'as pas honte de te balader ainsi, et de te faire doigter en public. Dis à voix haute ce que tu es !
- Je suis une salope, mais j'ai tellement envie de sexe. J'aime quand vous me rabaissez, vous m'ordonnez d'être votre chose.
Il me claqua les fesses plusieurs fois. L'excitation m'empêcha d'ouvrir rapidement la porte risquant d'apparaître dans le plus simple appareil auprès de mes voisins. Heureusement mon enfant était chez des copains à lui, c'est donc le cœur battant mais soulagée que je rentrai avec mon persécuteur.
Je partis en direction des toilettes, car tous ces évènements m'avaient donné envie d'uriner. Mais je fus stoppée par... mon amant. Il venait de parler sans passer par le magnétophone. Ce n'était donc pas son ami mais lui. Cela me soulagea et me réjouit, car je venais de lui prouver ma servitude à ses désirs directs ou indirects (les ordres que je croyais venir de son ami).
- Que fais-tu ?
- J'allais aux WC, car j'ai envie de faire pipi.
- Alors tu vas faire devant moi.
- Mais ???
- Qu'est ce que j'entends, tu souhaites te rebeller ???
- Non, non.
- Alors va pisser !
C'est donc sous ses yeux que je m'assis, enlevai la clochette et me mis à uriner. Toujours avec les lunettes sur la tête, il me dit de les enlever et je me retrouvai face à un homme masqué de sa cagoule.
- Maintenant tu vas te nettoyer, car tu es sale.
Il me prit par la main et me fît rentrer dans la baignoire. Sans attendre il ouvrît la douche uniquement avec de l'eau froide. Je fus saisie par ce froid.
- Pour calmer les filles en chaleur il faut les asperger d'eau froide.
- L'eau est gelée Monsieur !
- Appelle-moi Nietzche s'il te plait !
Je compris après quelques secondes que mon maître chanteur n'était autre que mon amant virtuel du net, Nietzche.
- Accroupis-toi et penche-toi pour avoir ton sexe au niveau de ton robinet.
Sans comprendre, je fis comme il le désirait. Il me prît alors par les épaules et me poussa légèrement entrainant l'introduction du robinet dans mon vagin. La surprise passée, il me tira pour faire ressortir l'objet.
- Fais le toute seule comme une garce que tu es !
J'exécutai alors les mouvements de mon propre chef. La grosseur de l'objet métallique emplissait mon vagin. Mais cela ne devait pas suffire, car mon amant transféra l'eau du pommeau vers le robinet.
L'eau glacée s'insinuait dans tous les recoins de mon intimité, et sous les ordres de Nietzche je poursuivis la masturbation. Un sexe se retrouva vite en face de ma bouche. Le message était clair, j'avalai le membre et eus vite fait d'accorder les allés et venus dans ma bouche avec celle dans mon vagin.
Je ne pus réprimer, après cinq minutes d'un tel service, un cri de jouissance. Mais lui n'avait pas encore jouit. Sans aucun mot, il me fît me relever et m'appuyer contre le mur de la salle de bain. Il trimbala son sexe entre mon minou et la raie de mes fesses, puis le fixa sur ma rondelle. Le vibromasseur et toutes les péripéties de cette fin de journée rendirent la pénétration plus aisée mais aussi moins douloureuse. Je devais m'habituer semble t'il. En tout cas, il fît coulisser sa tige aisément dans mon conduit.
Ses mouvements étaient amples mais rapides et ses pénétrations se concluaient par un choc de ses hanches sur mes fesses rebondies de par ma position. Pour accentuer mon excitation, il me claqua les fesses, me faisant répondre par des cris de plaisirs. Je me faisais enculer et j'aimais cela, certes moins qu'une pénétration classique mais j'aimais.
Son aptitude à faire deux choses en même temps se prolongea par l'introduction de quatre de ses doigts dans ma chatte. Les « flocs » engendrés par la masturbation allaient de paire avec les « clacs ». Le traitement fût fructueux puisque j'eus à nouveau un orgasme puissant, qui se suivit de l'éjaculation de mon homme dans mon intestin.
Deux minutes plus tard, il m'ordonna de conserver « son cadeau » au fond de moi pour la nuit, puis il partît m'indiquant que « c'était à moi de le rappeler car j'aurais vite fait d'être en manque !».
Le lendemain, mon lit portait la trace de son cadeau mais j'avais au moins respecté tous ses ordres.
A suivre...
Superbe serie... excitante a souhaits....
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