dimanche 29 septembre 2024

La réunion

Traduction d’un texte de PAS.

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Julie entre dans la salle de conférence avec confiance. C’est une femme ravissante : Grande, un joli visage, de longs cheveux bruns et un corps qui exige de l’attention. Surtout sa poitrine qui fait du 100 D. Julie sait que les hommes aiment la regarder. Et elle en a toujours profité autant que possible tout au long de sa carrière.

A l’université, beaucoup de ses amis l’ont encouragée à faire du mannequinat. Elle a essayé bien sûr, mais elle a fini par faire certaines choses qu’elle regrettait, alors elle a été heureuse d’arrêter. Elle est devenue une femme d’affaires très professionnelle et prête pour une promotion à l’âge de 32 ans. Elle est mariée depuis six ans et elle a une fille de trois ans.

Julie regarde autour de la table. Elle est la seule femme au milieu de huit hommes. Elle s’assoit à côté de Billy, père de trois enfants et celui avec qui elle s’entend le mieux. Elle hoche la tête en direction des autres dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. 

A côté de Billy est assis Ron, l’aîné du groupe. Puis Carl et Eric, deux hommes célibataires dans la mi-vingtaine. Ensuite vient Harold, un homme corpulent avec un visage peu avenant et une attitude toujours grossière. Julie se demande comment sa femme arrive à supporter son comportement grossier. Puis il y a Franck, 37 ans, divorcé, qui a la réputation d’être un homme à femmes. Il se dit aussi qu’il a une grosse bite. C’est du moins ce qu’a entendu Julie de temps en temps. Franck ne lui plaît pas, mais il a beaucoup d’argent et il est toujours le mieux habillé au bureau. Souvent, elle se surprend à remarquer sa grande taille, ses grandes mains et ses grands pieds et elle se demande toujours si les histoires entendues sur la proportionnalité sont vraies. Mais Franck et Julie sont depuis toujours rivaux. Et c’est lui qu’elle cherche à battre pour la promotion.

Assis à la droite de Franck se trouve Doug, un travailleur gentil et fiable. Il est très intelligent, mais il ne se met jamais en avant. Lui aussi est divorcé et il a du mal à obtenir des rendez-vous même s’il est beau. Enfin, assis entre Julie et Doug, il y a Bob Carter l’actuel directeur de leur groupe. Il doit quitter l’entreprise et la raison de la réunion est qu’il doit choisir qui va le remplacer comme directeur.

Julie et Franck sont les préférés de Bob. Ron était le plus vieux et aurait pu être promu, mais ses résultats de cette dernière année ne sont pas aussi bons que ceux des deux autres.

Julie a toujours travaillé dur et elle a toujours réussi. De plus, aujourd’hui, elle utilise son apparence pour l’aider. Elle porte un chemisier rouge moulant qui accentue sa poitrine. Et comme d’habitude, elle remue sur son siège pour s’assurer que tout le monde regarde ses seins. Elle adore attirer le regard des hommes pendant qu’elle s’étire sur son siège.

Julie regarde sa montre. Il est 17 h 15. Elle déteste quand ces réunions se tiennent après les heures de bureau. Mais elle sait que celle-ci est importante pour sa carrière. Ils passent tous en revue leur rapport. Julie lit le sien d’une voix forte en soulignant que sa dernière négociation allait rapporter un bénéfice considérable à l’entreprise. 

Ensuite, ils commencent à parler de la chose qu’ils attendent tous. Qui sera le prochain directeur, ou directrice comme Julie espère.

Bob est chargé de faire le choix final. Mais il voudrait l’avis honnête des sept autres pour voir s’il y a un consensus. Il sait que ce sera probablement Julie ou Franck, même s’il pense qu’il y en a d’autres qui feraient un excellent choix.

- Avant de trop avancer dans la discussion, je crois qu’il y a quelque chose que vous devez tous savoir. Dit Franck.

Il sort des enveloppes et les distribue à tout e monde autour de la table.

- Doug a fait récemment une découverte sur internet qui pourrait affecter la réputation de notre entreprise si c’est découvert, surtout sur le choix du nouveau directeur.

Julie entend des cris de surprise ainsi qu’un « Oh mon Dieu » quand les enveloppes sont ouvertes. Elle attrape rapidement la sienne et l’ouvre pour trouver plusieurs photos. Il s’agit d’elle à 21 ans, posant la plupart du temps complètement nue et quelques-unes la montre en train de faire des fellations. 

Le cœur de Julie accélère à la vue de ces photos. Elle avait pris du retard sur certains paiements à l’université alors qu’elle expérimentait le mannequinat. Un de ses amis lui avait parlé de poser nue pour gagner plus d’argent. Avant qu’elle ne s’en rende vraiment compte, elle était passée de la pose nue à quelques films osés. Elle s’était toujours limitée à sucer le gars et à le faire jouir sur son visage, ou alors à se masturber devant la caméra. Quand elle avait arrêté, ayant suffisamment d’argent pour payer ses factures, elle ne s’était plus préoccupée des photos et de films. Aujourd’hui, elle pensait que c’était assez loin dans son passé pour ne plus avoir à s’en inquiéter.

- D’où tu les tiens ? Demande-t-elle en forçant ses mots à sortir de sa bouche.

Doug la regarde d’un air penaud.

- Je les ai trouvées sur un site payant que je visite de temps en temps. Je n’arrivais pas à croire que c’était toi alors je les ai montrées à Franck pour avoir son avis.

Julie est mal à l’aise avec les regards de huit hommes posés sur elle. Ils la regardent avant de revenir aux photos puis sur elle.

- C’était il y a onze ans. Ça n’a plus rien à voir avec celle que je suis aujourd’hui. Insiste-t-elle.

Franck secoue la tête.

- Je n’en suis pas si sûr. Nous avons une moralité assez stricte dans notre entreprise. Et notre réputation pourrait être en jeu si l’un de nos clients découvre cela. Surtout si tu deviens la directrice.

Julie comprend qu’elle est battue. Son passé est utilisé pour l’empêcher d’obtenir la promotion qu’elle désire. Bob prend alors la parole :

- C’est pire que ça. Je crains que cette découverte ne signifie que tu dois démissionner complètement.

- Non, je vous en prie, ne me forcez pas à démissionner. Si je perds mon travail, ma carrière sera ruinée. Surtout si la nouvelle que j’ai été remerciée pour avoir posé pour du porno. Supplie Julie pour garder son emploi.

Bob ne peut détacher ses yeux d’une photo de Julie, une grosse bite enfoncée à mi-chemin dans sa bouche et ses yeux regardant l’objectif de la caméra.

- Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te virer. Mais une fois que j’aurai nommé mon remplaçant, les autres devront décider si tu peux rester dans l’entreprise.

- S’il vous plaît, c’était il y a longtemps. j’étais à l’université et j’avais besoin d’argent.

- D’après toi, ça vaut quoi de garder ton travail ? Demande Harold.

- Que veux-tu dire ? Questionne Julie.

Harold sourit d’un air vicieux en regardant les photos.

- Eh bien, je pense juste que ces photos peuvent définitivement ruiner ta carrière. Mais ce pourrait être encore pire si ton mari les découvre.

Julie reste sans voix. Son mari est un homme pudique et la découverte de ces photos pourrait le pousser à divorce. Et avec ça, elle se doute qu’elle perdra la garde de ses enfants. Harold continue :

- Mais nous pourrions oublier ces photos si tu nous fais une démonstration. 

Julie est hébétée de voir que plusieurs de ses collègues semblent d’accord avec Harold.

- Tu veux que je te suce pour garder mon travail ? Demande Julie.

- Tu nous suces et on te baise ! Répond Harold.

Julie est tentée de leur faire une fellation à tous. Elle aime le faire tant qu’elle n’est pas obligée d’avaler. Mais elle n’est pas prête à se faire baiser. Même si elle a posé pour du porno et sucé des dizaines d’hommes cette année-là, elle n’a eu des rapports sexuels qu’avec quatre hommes dans sa vie.

- Je vais vous sucer, c’est tout ! Dit-elle.

Elle n’arrive pas à croire à quelle vitesse ces hommes reculent leur chaise et défont leur pantalon.

- Déshabille-toi ! Demande Ron.

Sa demande reçoit l’assentiment des autres hommes.

Vaincue, Julie se lève et se déshabille lentement jusqu’à se retrouver entièrement nue au bord de la table, exposée à tous ces collègues.

Billy, assis sur sa chaise, lui offre sa bite en érection. Julie tombe à genoux devant lui et prend son sexe dans sa bouche. Billy prend sa tête entre ses deux mains et guide sa bouche le long de sa queue. Julie a honte de ce qu’elle fait. Elle n’a jamais trompé son mari. Mais elle n’a plus vraiment le choix si elle ne veut pas perdre son emploi et peut-être son mariage.

Les hanches de son collègue commencent à remuer sur le siège. Elle comprend qu’il va bientôt jouir. Elle sent les mains se resserrer sur sa tête et la bite commence à gicler dans sa bouche.

- Avale Julie ! Crie-t-il en éjaculant.

Elle veut essayer de retirer sa tête, mais les mains de Billy la tienne solidement. Alors elle déglutit avec dégoût, avalant le sperme salé. Billy continue de baiser sa bouche jusqu’à ce qu’il commence à débander.

Ensuite Julie se dirige vers Ron et prend sa bite dans sa bouche. L’homme se penche en avant et joue avec ses gros seins pendant qu’elle le suce. Elle sent ses tétons durcir alors que les doigts masculins les pincent. Puis, en seulement une minute, son collègue jouit.

Carl est prêt et il attend. Julie est surprise de voir que son entrejambe est rasé. Elle n‘a jamais vu d’homme le faire. Bien sûr, elle-même se rase soigneusement la chatte, mais elle n’aime pas ça sur un homme. Carl attrape sa tête et enfonce sa bite dans sa bouche. Julie commence à sucer son troisième sexe de la soirée. Elle est vraiment dégoûtée de la situation, mais elle sent que l’humidité s’invite dans son sexe. Elle continue à sucer Carl jusqu’à ce qu’il vide ses couilles dans sa bouche. Comme Billy, il lui tient la tête pour la forcer à avaler son foutre.

Eric n’a pas attendu qu’il vienne à elle. Il se tient juste à côté de Carl quand celui-ci retire sa bite. Eric saisit Julie et enfourne sa queue dans la bouche de sa collègue. Il baise sa bouche pendant qu’elle le suce et ça dure juste un peu plus longtemps que Ron avant qu’il n’éjacule.

Puis vient l’homme qu’elle n’aime pas, Harold. Il est vulgaire et obèse. Elle n’a pas envie de toucher sa bite sûrement visqueuse.

- Monte sur la table ! Ordonne-t-il.

Julie obéit et s’allonge sur le dos, la tête suspendue au bord de la table. Harold presse sa queue dans sa bouche jusqu’à ce que ses couilles poilues touchent ses yeux. Il tend la main et prend ses gros seins dans ses mains pour les tripoter. Julie gémit alors qu’il sert fort et commence à baiser son visage durement et rapidement, enfonçant sa bite profondément dans sa gorge. Julie veut se lever, mais elle est maintenue en place par les grosses mains qui malmènent ses seins.

C’est alors qu’elle sent quelque chose entre ses jambes. Elle réalise que quelqu’un touche sa chatte. Elle marmonne quelque chose d’inintelligible quand elle sent un doigt glisser dans sa fente.

- Putain les gars, elle mouille ! Crie Franck à la grande honte de Julie.

- Je savais que cette garce aimait ça ! Dit Harold en enfonçant son engin plus profond das sa gorge.

C’est avec un grand soulagement pour Julie que Harold jouisse et sorte de sa bouche. Franck prend alors sa place. Les yeux de Julie s’écarquillent quand elle voit pour la première fois le sexe de son collègue. La bite fait bien vingt-cinq centimètres et il a bien l’intention de baiser sa gorge comme Harold vient de le faire.

Harold avait été vicieux, car il savait qu’il dégoûtait Julie. Mais Franck est pire. En partie parce qu’il la viole tout en sachant qu’il lui vole sa promotion, mais aussi parce que son énorme queue l’étouffe alors qu’elle s’enfonce dans sa gorge encore et encore. Comme Harold, Franck s’agrippe à sa grosse poitrine, mais moins violemment que l’obèse. Malheureusement pour Julie, Franck dure plus longtemps que les autres et martèle sa bouche pendant plusieurs minutes avant de gémir de plaisir alors que sa bite gicle dans sa gorge.

Doug l’aide à descendre de la table et à s’agenouiller pour qu’elle puisse le sucer. Julie est impressionnée que pour un homme aussi mince, sa bite est plus grosse que la moyenne. Elle suce l’homme qui a découvert son passé caché pendant qu’il lui caresse doucement les cheveux. Ça fait un moment que Doug n’a pas touché une femme alors il profite des douces lèvres de Julie sur sa bite jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche.

Enfin c’est au tour de Bob d’enfourner sa queue dans sa bouche. Il la laisse faire sa fellation et, comme Ron et Eric, il met peu de temps pour éjaculer.

Quand Bob a fini, Julie s’essuie la bouche en essayant d’oublier en vain le goût de leur sperme. Elle se lève lentement et leur fait face.

- Voilà ! Vous êtes satisfait maintenant ? Demande-t-elle avec une grimace de dégoût.

Harold répond alors en regardant ses collègues :

- Je ne crois pas qu’elle ait tout compris. Elle est toujours arrogante. Je propose qu’on la baise maintenant !

- Oh non non ! Dit Julie en s’approchant de ses vêtements.

- Attrapez-la ! Crie Frank.

Julie est saisie par les hommes qui la tirent sur la table. Elle lutte et crie, mais elle est maintenue couchée. Harold s’agenouille entre ses jambes et commence à lécher sa chatte humide. Julie se débat sur la table en essayant d’échapper à la langue, mais ce n’est pas la peine.

Pendant qu’Harold mange sa chatte, les autres en profitent pour la tripoter de partout. Puis Eric monte sur la table et chevauche sa poitrine. Julie lève la tête pour le voir placer sa bite entre ses gros seins qu’il serre ensemble. Il branle sa queue entre ses nichons pendant qu’Harold continue de grignoter son sexe humide.

Julie sent que sa chatte répond à ces stimuli. Elle sait que ce vicieux d’Harold veut lui provoquer un orgasme. Elle essaie de combattre la montée de plaisir, mais la langue de l’homme travaille sur son clitoris alors qu’il la pénètre avec deux doigts. L’inévitable arrive, elle gémit contre sa volonté alors que son corps subit un orgasme.

Tandis qu’elle jouit, Eric se branle entre ses seins à un rythme effréné. Puis Julie sent Harold s’éloigner de sa chatte avant de sentir sa bite frotter ses petites lèvres.

- S’il te plaît, ne me baise pas ! Supplie-t-elle.

Mais l’homme obèse enfonce sa bite en elle. Juste au moment où il commence à la baiser, Eric presse sa poitrine plus fort et commence à gicler son foutre sur son cou et son menton.

- Oh putain, tu as une chatte bien chaude ! Crie Harold en labourant son trou.

Puis il crie :

- Putain, je jouis…

- NON, pas en moi ! Supplie Julie.

Mais Harold la pistonne encore plus fort et plus vite alors que sa semence pénètre profondément dans sa chatte.

Ensuite vient Billy, le gentil collègue dont elle a toujours été proche.

- Désolé Julie, mais je ne peux pas résister à l’opportunité de te baiser. Dit-il en glissant sa tige raide dans sa chatte.

Il se penche en avant et suce son mamelon droit pendant qu’il la baise. Cela provoque une réaction en Julie et elle voit son corps répondre à nouveau. Elle se surprend à monter ses hanches alors que Billy la baise. Et elle sent l’orgasme se rapprocher. Elle est sur le point de jouir quand il éjacule et se retire. 

Ron lui saute dessus. Il ne la baise pas depuis trente secondes que Julie jouit. L’homme sent son orgasme et la regarde avec une satisfaction suffisante tout en continuant à la marteler. Il la baise jusqu’à ce qu’elle ait un troisième orgasme avant de jouir à son tour.

Julie tremble de tout son corps quand Ron se retire de sa chatte. Pour quelqu’un qui avait joui si vite quand elle l’avait sucé, il avait duré plus longtemps que prévu pour la baiser. Elle regarde alors la longue et épaisse tige de Franck. Elle écarte les jambes, impatiente de sentir une si grosse queue en elle.

- Tourne-toi ! Lui ordonne Franck.

Julie roule sur le ventre et l’homme la tire en arrière de sorte que ses pieds touchent le sol alors qu’elle est penchée sur la table. Elle gémit doucement alors que la bite entre lentement dans sa chatte humide.

- Ta chatte a été un peu trop utilisée pour moi. Il est temps d’essayer un autre trou. Dit Franck.

- NON ! Crie-t-elle en comprenant son intention avant même que la bite ne commence à se frotter sur la raie de son cul. 

Julie n’a jamais permis à personne de la sodomiser. Et elle ne veut sûrement pas commencer avec un sexe aussi gros. 

Elle est maintenue en place pas ses autres collègues alors que Franck presse son sexe, lubrifié par le mélange de jus féminin et de sperme, contre son petit trou plissé. Julie crie quand il commence à pénétrer petit à petit son trou du cul.  Julie pense qu’il va la déchirer alors que la bite continue à s’enfoncer. Puis, tandis qu’il est à mi-chemin, il commence à la baiser avec des mouvements lents, détendant son trou du cul jusqu’à ce qu’il soit capable de faire entrer entièrement sa queue en elle. 

Julie hurle une fois de plus alors que la bite de Franck la fore complètement. Son rival prend un grand plaisir à pénétrer son cul vierge avec son énorme bite. Julie ne peut rien faire d’autre que de rester allongée pendant que Franck l’encule de plus en plus fort et rapidement pendant plusieurs minutes.

Quand il se retire, elle est saisie et tirée au sol. Doug se place sous elle et elle empale sa chatte sur sa bite. Elle est contente qu’il ne veuille pas suivre l’exemple de Franck. D’autre part, comme sa chatte picotait de plus en plus quand Franck l’enculait, elle sait qu’elle a besoin d’une autre bite dans sa chatte. 

Une fois que Doug est en elle, elle est prête à le chevaucher, mais elle sent quelqu’un derrière elle. Elle se tourne et voit Bob qui présente sa bite sur son cul.

- Non je t’en prie… Supplie-t-elle.

- Je veux aussi ce cul ! Répond l’homme en enfonçant sa queue dans le petit trou déjà utilisé.

Julie se retrouve pris en sandwich. Les deux bites s’enfoncent en elle simultanément. La douleur traverse son corps. Mais cette douleur la remplit aussi de plaisir et elle se retrouve à avoir plusieurs orgasmes entre les deux hommes qui la baisent vigoureusement. Bob est le premier à jouir. Il éjacule dans son cul, mais continue à la baiser alors qu’elle pousse ses hanches de haut en bas sur la queue de Doug jusqu’à ce qu’il jouisse lui aussi.

Quand les deux hommes se retirent, elle est saisie par Carl et Eric qui suivent l’exemple de leurs collègues. Carl pénètre sa chatte alors qu’Eric l’encule. Julie pleure de douleur et de plaisir alors qu’elle jouit encore et encore  jusqu’à ce que les deux hommes éjaculent eux aussi.

Enfin, Julie reste allongée sur le sol, incapable de comprendre à quel point elle a aimé être baisée par ses huit collègues. Même si elle a été forcée, c’est devenu l’expérience la plus satisfaisante de sa vie. Elle reste immobile, trop fatiguée pour bouger. Elle sent le sperme couler de sa chatte et de son cul pendant que les hommes s’habillent. Bob prend alors la parole :

- Pour en revenir à ma succession dans l’entreprise, il est temps que je vous fasse connaître ma décision.

Franck baisse les yeux sur Julie et sourit avec triomphe avant de revenir vers Bob.

Celui-ci s’éclaircit la gorge et commence à boutonner sa chemise.

- Je recommande Doug pour être le prochain directeur.

- Doug ? Dit Franck sous le choc.

Bob continue :

- Oui, Doug ! Non seulement il est parfaitement capable de diriger, mais c’est lui aussi qui a trouvé ces photos. Il a aussi réussi à amener deux d’entre vous à les utiliser pour forcer Julie à nous baiser tous. Et pour garder son travail, elle devra continuer à baiser. C’est une très bonne gestion des effectifs.

Tout le monde sauf Franck approuve la décision de la promotion de Doug. Celui-ci accepte bien sûr.

- Je crois que je vais transférer Franck et Harold dans nos filiales. J’ai des amis qui seront heureux de venir travailler avec moi, surtout avec Julie comme collègue. Mais vous pourrez revenir chaque fois que vous le souhaitez pour certaines réunions en fin de soirée.

- Putain ! Les Filiales ? C’est le pire endroit où aller. Les trois derniers collaborateurs ont été contraints de démissionner faute de résultats. Et Julie ? Crache Franck.

Bob sourit.

- Julie est promue comme assistante personnelle. C’est-à-dire tant qu’elle est prête à prendre soin des autres membres de ce conseil comme elle l’a fait ce soir.

Au sol, Julie se met à rire. Elle est peut-être forcée de continuer à baiser ces hommes pour garder son travail, mais au moins, elle va en profiter. Alors que Franck, lui, est foutu.

FIN

vendredi 27 septembre 2024

Miss Laitière

 Récit de Bimur.

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Candauliste, j’apprécie, provoque et encourage les expériences de mon épouse, Nyssia. C’est ainsi que j’ai été contacté par Paul X. après qu’il ait vu la page racoleuse placée sur un site spécialisé intitulé La Bourgeoise Soumise :
 
"Bourgeoise mûre à gros seins, toujours accompagnée de son mari candauliste, Nyssia exhibe et laisse palper ses mamelles pleines, lourdes et sensibles. Elle aime qu’on les lui tripote et qu’on les lui tète. Elle se fait aussi tirer les bouts maintenant qu’elle assume sa grosse poitrine après en avoir été très complexée pendant fort longtemps.

Ses gros seins de salope sont fermes et sont sa fierté : elle aime se les caresser en regardant vos excitations monter! Complètement docile, elle se laisse "travailler" ses gros pis. Docile, elle est dotée d'un superbe cul avec de magnifiques longues jambes gainées de bas noirs et de hauts talons! Elle est parfaite pour servir d'hôtesse lors de vos soirées! Elle peut faire la soubrette chez de vieux pervers distingués et aime être traitée comme une bonniche par de vieux messieurs autoritaires au langage cru : vous pouvez ainsi passer une soirée entre amis avec une jolie et docile traînée, bien et fortement bustée.

Nyssia cherche donc des admirateurs mûrs, voire très mûrs (plus de 60 ans), raffinés, voyeurs et pervers pour être une vraie pute, excitante et salope. Bien sûr, vous devrez être corrects, avec du savoir-vivre et une hygiène irréprochable, et pouvoir recevoir dans un cadre agréable, si possible inhabituel."

Ce monsieur, manifestement sévère et habitué à l’obéissance sans restriction, vivait seul dans une maison bourgeoise située en dehors de l’agglomération lyonnaise. Il m’avait contacté après la lecture de cette annonce délicate et m’avait dit avoir été séduit par la plastique et le port de ma femme. J’en avais déduit assez sommairement que ce monsieur, au caractère manifestement trempé, souhaitait vérifier que son autorité s’exerçait toujours, y compris à l’égard de bourgeoises mures à lourdes tétasses, libertines à leurs heures…
 
Rendez vous avait donc été pris pour un Mardi soir, à 21 heures, à son domicile.
 
Conformément à ses instructions particulièrement précises, mon épouse ne portait pas de slip, un soutien gorge laissant ses appâts libres, des chaussures à hauts talons ainsi que des bas noirs, et, pour couvrir le tout, une robe chic et simple d’apparence, de couleur noire mais très décolletée avec une fente lacée au niveau de la raie.
 
Pendant le trajet en voiture le silence de Nyssia traduisait son inquiétude et son appréhension. Arrivés à destination, je suis descendu sonner à l’interphone de la grille du jardin. Avant même que j’y parvienne, le mécanisme s’est mis en route et les vantaux se sont ouverts : nous étions à l’évidence attendus et guettés. 

Sitôt la grille passée, celle-ci s’est refermée et les phares de la voiture nous ont fait découvrir au milieu de la nuit noire une maison bourgeoise de la fin du XIXème, sans grand intérêt architectural mais dont la taille et la qualité des matériaux manifestaient le statut social de son occupant. 

J’ai stationné notre voiture au pied du perron, au moment où une accorte jeune fille, habillée en soubrette traditionnelle, est venue nous accueillir. 

- Monsieur vous attend. dit-elle courtoisement. 

Nous précédant, j’en profitai pour la détailler : environ vingt-cinq ans, des nichounets de petite taille recouverts par un chemisier blanc suffisamment fin pour que l’on puisse deviner qu’il ne cachait pas de soutif, des jambes gainées de bas de voile noir, une jupe courte en jersey galbant ses fesses, et des chaussures à talons. 

Je laissais passer Nyssia devant moi pour entrer dans le salon, la soubrette s’effaçant également. Nous étions à l’entrée d’un grand salon meublé classiquement, avec nombre de tableaux et objets aux murs : au centre, trônait une table basse qui séparait deux canapés profonds en velours, placés symétriquement de part et d’autre. Le propriétaire des lieux se leva à notre entrée mais à ma grande surprise ignora mon épouse et se dirigea vers moi pour me saluer. Nyssia resta debout les bras ballants, peu habituée à un tel manque de courtoisie. 

- Agathe, laissez nous pour l’instant. 

- Bien Monsieur. 

Paul me proposa de le suivre et de m’asseoir à côté de lui dans le canapé dont il venait d’émerger. 

- Excusez moi, mais je ne vous ai pas présenté ma… 

- Ne vous excusez pas, m’interrompit-il. Il s’agit d’une pute. 

J’étais prêt à répliquer, mais notre hôte s’adressa alors à ma femme : 

- Va à la cuisine nous chercher du champagne ! 

Médusée, Nyssia sortit de la pièce, restant sans voix et sans réaction devant tant d’impudence. 

- C’est la règle du jeu, me dit mon hôte. J‘ai demandé une pute soumise d’excellente éducation : vous me l’avez amenée. Elle gardera ce statut toute la soirée. 

De fait, je n’avais pas prêté attention, lorsque nous nous étions parlé au téléphone, à cette demande : j’en avais maintenant la traduction concrète. Nyssia apparut alors sur le seuil du salon, portant un plateau avec une bouteille de champagne et trois coupes. Je tentai de lui faire un signe pour la rassurer et lui faire comprendre que tout se passait comme convenu : je m’en suis alors voulu de ne pas l’avoir suffisamment affranchie des termes de notre accord, mais, après tout, c’est elle qui ne veut pas savoir ce qui l’attend pour ne pas être trop inquiète avant nos petites séances. 

- Pose-le sur la table. 

La pute s’approchait. Elle allait s’accroupir pour poser le plateau sur la table basse. 

- Mais non, reste les jambes tendues ! 

Elle ne comprit pas sur l’instant. Mais s’exécuta. L’emprise de notre hôte commençait à se faire sentir. Jambes tendues, elle dut se pencher en avant et ainsi donner à la vue le haut de ses loches que découvrait largement le décolleté de sa robe. Les mamelons tendaient le tissu. Paul appréciait manifestement : il aimait le lourd… 

Alors qu’elle était penchée et avant qu’elle ne se relève, il lui intima l’ordre de rester dans cette position, les mains appuyées sur la table. Ce qu’elle fit. Il sortit alors, de la profondeur des coussins garnissant le canapé où nous étions assis, une longue badine avec laquelle il s’amusa à explorer les contours des pis de Nyssia au travers de son chemisier. Exercice humiliant. Puis, du bout de la badine, il écarta le chemisier au niveau des deux gros globes pour en avoir une meilleure vision. 

- Belle paire, dit-il élégamment. Redresse-toi. 

Du bout de la badine, il commença à remonter lentement le bas de sa courte jupe, manifestement pour s’assurer que ses ordres vestimentaires avaient bien été suivis. 

- Ecarte les cuisses, tiens-toi droite, les mains dans le dos ! 

Cette position était particulièrement avantageuse, compte tenu de l’anatomie de Nyssia : ses tétines dardaient et tendaient sa robe à l’en faire exploser. Sa jupe remontait doucement, sa respiration s’accélérait : il ne la quittait pas de yeux, observant ses réactions au fur et à mesure de la montée du tissu. Arrivé à la lisière des bas, il l’interpella : 

- Ecarte bien. Je dois m’assurer que tu ne portes pas de slip. Et je serais intéressé de savoir dans quel état tu es déjà. Es-tu encore une femme du monde ou es-tu déjà une salope, la chatte trempée ? 

Ma femme rosit immédiatement. Si elle n’avait pas de slip, par contre elle était forcément déjà très mouillée. Je n’avais pas de doute : c’est une femme-fontaine qui pisse sa mouille… 

- Bien. Je pense avoir la réponse donc… Une petite salope qui se cache sous des airs de sainte-nitouche.

La badine poursuivait son chemin : la fente aux limaces bien gonflées apparaissait, libre de tout tissu mais manifestement bien humide. Ayant vérifié ce qu’il souhaitait, Paul laissa brusquement retomber la courte jupe, déstabilisant ainsi encore un peu plus mon épouse. Du bas, il repassa au haut en recommençant à lui caresser le tour et le bout des nibards de sa badine : les doudounes étaient gonflées comme jamais et les bourgeons, naturellement très érectiles, durs. Il s’en amusait. 

- Tu aimes cela, salope. Tourne-toi et présente-moi ton cul. 

Nyssia fit demi-tour sur place et attendit. La badine cingla sa fesse droite. Elle sursauta en retournant le haut du corps vers nous. 

- Je t’ai dit de me présenter ton cul : tu te penches en avant, tu relèves ta jupe pour dégager tes globes et tu t’écartes la raie avec tes deux mains. Tu ne bouges pas jusqu’à ce que je t’y autorise. 

L’exécution ne tarda pas, de crainte que la fesse gauche ne reçoive la même punition. 

- Agathe ! 

Ma femme n’osa pas manifester sa gêne de se voir ainsi exposée devant la petite soubrette qui apparut dans l’encadrement de la porte. 

- Sers nous à boire, veux-tu ! 

- Bien Monsieur. 

Nullement impressionnée par le spectacle qu’offrait Nyssia, nichons pendants, raie exposée par des globes fessiers bien écartés, Agathe se pencha sur la table basse, face à nous pour verser le champagne dans deux coupes : elle exposait ainsi généreusement ses deux petits mamelons aux tétons bien dressées, d’un brun sombre et percés chacun d’un anneau lourd que je n’avais pas eu l’occasion de remarquer jusque là. 

- A genoux ! Et suce lui la raie ! 

- Merci Monsieur ! 

J’ai réalisé à ce moment là que la petite soubrette n’avait rien perdu du début de notre visite et était manifestement habituée à servir Paul en toutes circonstances… Elle contourna la table basse, se mit à genoux, empauma les deux miches et plongea le nez et la langue avec délectation dans la raie de Nyssia qui n’osait ni bouger ni protester de peur de raviver les ardeurs fouetteuses de Paul… Agathe, en bonne salope habituée aux exigences de son patron, se donnait du mal… et du plaisir : sa langue dardait et la pointe s’enfonçait dans le cul de ma femme arrachant des gémissements non équivoques à cette dernière. Manifestement cette opération ne laissait pas la petite bonne insensible : sa courte jupe ne laissait rien ignorer de son cul qu’elle moulait parfaitement. 

- Regardez moi ces deux putes : deux chiennes en chaleur ! 

- Agathe, continue à lui bouffer le cul ! Je veux voir ses grosses mamelles s’agiter. 

Agathe avait la bouche pleine... Elle ne répondit pas mais redoubla d’ardeur et de fait, Nyssia se tortillait de plus en plus sous les assauts de la langue dans son fion : le résultat souhaité fut ainsi obtenu. Les gros airbags débordaient de son piège à nichons qui en laissait les trois-quarts libres et se balançaient provoquant la satisfaction manifeste de notre hôte : les tétines érigées et durcies, les flotteurs pleins, ronds et lourds d’excitation, tout dans les somptueux obus de ma femme traduisaient l’envie et le besoin de se faire mettre. 

Paul se pencha en avant depuis le fond du canapé où nous nous trouvions et, utilisant le majeur de sa main droite, fouilla la fente d’Agathe sous sa petite jupe en l’enfonçant jusqu’à l’y faire entièrement disparaître et provoquant ainsi le trémoussement des meules de la bonne qui ne cessait pas d’enfouir sa langue dans celles de ma femme. 

- Petite salope ! Tu es trempée, comme d’habitude ! Elle te plait cette pute bourge à gros lolos ! 

Tout en disant cela, après avoir porté son doigt à se narines pour humer le fumet du con de la bonne, il l’introduisit d’un coup sec jusqu’au fond dans le trou du cul de cette dernière qui sursauta et cria aussitôt. 

- Tais toi ! Tu aimes cela, en plus ! Ton inconduite se paiera plus tard ! A la cuisine ! 

Agathe se releva et sortit de la pièce, contrite, les yeux vers le sol et les mains dans le dos. 

- A nous maintenant ! dit notre hôte en s’adressant à ma femme. Relève-toi, les mains sur la tête, face à nous, cuisses écartées. 

Le ton de Paul ne laissait guère le choix… Nyssia s’exécuta. 

- A poil ! 

L’ordre cingla. Ma femme rougit, hésita. 

- J’ai dit : à poil ! Vite ! Montre ce que tu proposes ! Déballe la marchandise ! 

La robe tomba sur le sol. Les bouées apparurent encadrées par le kestos qui en laissait toute la partie antérieure bien exposée. 

- Ta taille ? 

- Pardon ? 

- Ta taille de bonnets ? 

- 90F 

- Les mains sur la tête. 

Cette position rendait ses montgolfières encore plus arrogantes. Reprenant sa badine, Paul commença à les lui effleurer en tournant autour des mamelons. 

- Vous devriez la faire anneler. Compte tenu du volume de ses boîtes à lait, ce serait agréable de pouvoir l’attacher par les bouts. Vous la faites traire ? 

Les propos avaient un côté irréel. Paul détaillait le bestiau, évaluait la marchandise pour voir ce que l’on pouvait en tirer de mieux. Un maquignon. On tâte la bête, on apprécie les différents morceaux. Il était trop tard pour reculer, mais j’appréhendais le retour avec mon épouse, dont l’existence à l’instant présent ne valait que par les formes avantageuses de sa plastique… 

- Elle reçoit un tire-lait quelquefois. 

- Intéressant. Ça doit lui tirer les bouts qu’elle a déjà bien durs et développés. 

En même temps que ce commentaire flatteur, il abattit le bout de la badine sur le téton gauche de Nyssia qui gémit. 

- Et sensibles. Je confirme : faites la anneler. Ou plutôt, non. Faites la traire. Elle a tout ce qu’il faut. Elle rapportera bien. Une vraie laitière. Nommez la donc ainsi : c’est suffisamment évocateur… 

La badine poursuivit son chemin et descendit vers le ventre avant de toucher la fente lisse, aux lèvres gonflées. Nyssia, devenue la Laitière, sursauta. 

- Ramenez la moi pour une séance de traite. Avec une trayeuse, une pompe à vide. Compte tenu de la taille de ses pis et de leur forme, vous devriez trouver sans problème des embouts qui conviendront chez un marchand de matériel agricole… 

FIN

mercredi 25 septembre 2024

Dans un train de banlieue

 Récit d'un anonyme

*****

La voiture est en panne et ce soir-là il faut rentrer en train. La soirée avait été luxueuse et Chantal rentrait, habillée dans cette robe blanche entièrement boutonnée sur le devant, un peu transparente et surtout légère pour l'été. Une ceinture la serre à la taille. Une simple veste la recouvre. Pas de soutien-gorge et si la veste s'ouvre un peu, on peut nettement discerner le contour d'un sein. A cette heure tardive le wagon est peu fréquenté. Deux noirs nous font face, sur la banquette devant, un autre est derrière nous. Deux arabes, un jeune et un gros barbu sont un peu à l'écart.

Bercée par le bruit monotone du train, Chantal s'est endormie sur mon épaule. Les deux noirs en face la fixent sans vergogne. Ils n'ont rien de bien rassurants. J'ai un peu peur. Celui de derrière ne cesse de se retourner pour essayer d'apercevoir quelque chose. Même si j'ai peur, je suis en même temps excité. La tache toute blanche de ma femme au milieu de ces regards menaçants et cupides. Seuls les deux arabes ne semblent pas concernés par la situation.

Chantal se met à bouger, ses genoux viennent à toucher un des voisins en face. La veste s'ouvre un peu et le léger tissu de la robe laisse deviner les seins. Chantal a une belle poitrine et elle sait la mettre en valeur sans exagération.

Un des noirs les fixe. Je ne bouge pas. Un moment s'écoule, lourd. Elle bouge à nouveau découvrant cette fois une partie de ses cuisses gainées de blanc. Les regards se déplacent. Celui de derrière se penche pour mieux profiter. Je le trouve bien gonflé mais je ne dis rien. Il n'a pas l'air bien normal. Il a des yeux tout injectés de sang et sa peau bien noire est toute marquée de traces peu esthétiques.

Un arrêt à une station détend l'atmosphère, mais quand le train redémarre à nouveau, la tension revient. Cette fois l'étape sera plus longue... Les deux noirs d'en face me sourient, le fêlé se déplace derrière nous pour voir de biais.

Alors, poussé par la folie, discrètement, je prends le revers de la veste et l'écarte un peu plus pour mieux exposer la poitrine de l'endormie aux regards avides de ces hommes excités. Je suis excité et en même temps j'ai l'impression de pouvoir gagner leur complicité et les calmer. Les deux d'en face rigolent gentiment car ils ont compris mon jeu.

Puis, tout va très vite. Chantal est toujours endormie, un peu saoule il est vrai. Ma main déboutonne un à un les boutons de la frêle robe blanche. Jusqu'à la ceinture ! Je tremble quand j'écarte les pans et les seins apparaissent, nus et blancs au milieu de ce wagon d'un train de banlieue. Les seins nus exposés en public sont superbes. Blancs, bien dessinés avec deux aréoles marron foncé et des pointes dressées comme excitées ! Bien séparés par une gorge profonde, ils prennent la forme de deux melons. Ils ne sont pas très gros mais c'est leur forme qui les rend si beaux et si désirables. Je sens que tous les spectateurs sont sous le charme de cette poitrine nue. Cette poitrine que je leur montre à l'insu de leur propriétaire et qu'ils voudraient bien peloter.

Le noir derrière se penche sans bruit vers notre banquette pour ne rien manquer du spectacle. Les plus éloignés se rapprochent en silence. Ils ont deviné qu'il se passait quelque chose.

On sait tous qu'il ne faut pas la réveiller. Je défais lentement la boucle de la ceinture à la taille. Et je continue de défaire les boutons. Quand la robe est entièrement ouverte sur le devant, elle s'ouvre simplement toute seule découvrant entièrement les jambes. Au dessus des bas blancs une petite surface de peau douce attire les regards. Sa culotte blanche laisse voir les poils de son pubis. Les noirs sont tout excités. Celui de derrière a sorti sa bite et se branle ostensiblement près du visage de mon épouse. Je suis soudain effrayé par la tournure que prend la situation. Mais je suis encore plus excité !

Alors tout va très vite. Chantal se réveille. Elle ne comprend pas. Vite elle se rajuste. Je la rassure alors que tous dans le wagon se replacent pour ne pas l'effrayer. Elle se blottit dans mes bras. Elle a peur mais j'arrive à la rassurer et puis le train arrive à destination.

En sortant du wagon ils nous font un petit salut sympathique. Deux des noirs descendent en même temps que nous. Ils ne paraissent pas agressifs. Au contraire ils adressent à mon épouse un sourire comme un remerciement et un compliment.

Dehors c'est plutôt désert. Il va falloir remonter à pied. Chantal se colle à moi en marchant. Elle ne se s'est pas aperçue que les deux hommes nous suivent. L'excitation me reprend et des idées folles parcourent ma tête. Je m'arrête, la prend dans mes bras et commence à l'embrasser avec fougue en lui disant que la scène du train m'a drôlement excité.

Elle se laisse faire tant elle est fatiguée. Je l'appuie contre le muret d'un pavillon. Elle s'assoit à moitié dessus. J'ouvre sa veste et défais un peu sa robe dénudant un sein. Pour bien l'exposer au regard des deux noirs, je m'écarte légèrement. Ils s'approchent. Et quand elle les aperçoit, elle ne réagit pas comme si elle n'avait plus de conscience. Elle a compris mon désir. Elle reste appuyée sur ce mur, les bras balans le long du corps, les yeux fermés.

J'appelle d'un geste les deux voyeurs et je m'éloigne de quelques mètres pour assister au viol de mon épouse que je livre, là dans la rue, à deux inconnus. Ils se précipitent sur elle. De chaque côté, ils l'encadrent laissant leurs mains parcourir ce corps qui s'abandonne sans défense. Chantal ne résiste pas, elle se laisse faire sans bien comprendre la situation. Leurs lèvres parcourent son visage cherchant à ouvrir sa bouche. Ils lui ouvrent entièrement la robe boutonnée sur le devant jusqu'à la ceinture mettant à nu ses seins qui apparaissent éclairés par la lumière pâle de la rue. Ils se saisissent chacun d'un téton qu'ils font rouler sous leurs doigts. C'est sans doute ce qu'ils avaient désiré dans le train quelques instants plus tôt !

Ma femme reste sans réaction tandis qu'ils pelotent sans ménagement sa poitrine. L'un d'entre eux passe sa main sous la robe qui s'ouvre découvrant les cuisses longues et fines. Elle se saisit de la culotte qu'elle arrache dans sa précipitation. Le sexe apparaît alors nu dans cette rue. Et l'homme écarte largement le vêtement pour bien contempler ce trésor. Le pubis est bien poilu dessinant un triangle bien net à la lumière de l'éclairage de la rue.

Mais il n'en a pas assez et brutalement il lui enlève sa ceinture qu'elle porte encore pour pouvoir cette fois ouvrir complètement la robe. Chantal est nue, entièrement nue dans ce lieu public, à deux pas de la gare, à l'exception de ses bas qui ajoutent à la sensualité du moment dans cette rue déserte où tous dorment. 

Et une grosse main noire s'empare de son sexe. Le premier la prend alors par la tête et la force à se baisser pour lui faire sucer la bite qu'il vient de sortir toute bandée et luisante de sécrétions. Là encore elle n'offre aucune résistance tant elle est résignée. Le second passe par derrière, soulève la robe et se saisit à pleine main de ses fesses tendues. Il les écarte brutalement pour bien admirer le cul offert. Puis sans ménagement il introduit un doigt dans l'anus. Sous la violence du geste elle laisse échapper un cri. Mais l'homme n'écoute pas et sortant une queue énorme il la présente à l'entrée du sexe ouvert et d'un seul coup s'introduit dans le ventre pour commencer un brutal va et vient rapide ne recherchant que son propre plaisir. Il lime la chatte luisante, il écarte les fesses pour mieux contempler sa bite qui ramone le sexe de la femelle. Ses deux pattes toutes noires sur les fesses blanches de Chantal sontt excitantes. Elles s'agrippent à la peau pour mieux ouvrir le sillon du cul et montrer son petit trou. Mais ce qui l'intéresse en ce moment c'est baiser, baiser cette moule en pleine rue. Et il en profite plongeant profondément à chaque coup son pieu dans ce vagin ouvert !

Rapidement il ferme les yeux quand la jouissance arrive et je le vois accélérer son rythme pour finir par râler quand il déverse son abondante semence dans mon épouse. Repu, il se retire, son sperme ressort du sexe tout ouvert et s'écoule le long des cuisses pour venir tacher les bas tant il est abondant.

Son copain abandonne la bouche qui le suçait. Il retourne Chantal, la plaque contre le mur, lui écarte sans ménagements les cuisses pour se saisir de son sexe qu'il entreprend de malaxer avec violence. Il plonge un doigt puis deux dans la fente et commence une rapide branlette. Ses doigts sont tout brillants du foutre de son pote, facilitant la branlette. Il s'écarte un peu du corps nu pour regarder et nous montrer ce qu'il fait. Le voilà même qui viole le sexe pour y introduire cette fois trois doigts et continuer la masturbation. Ma femme semble, à ce moment, apprécier cette caresse sauvage et je la vois qui saisit le noir à la nuque pour s'emparer de ses lèvres humides et l'embrasser à pleine bouche. De sa main libre elle caresse la queue de son amant. Elle est encore plus grosse que celle de son copain ! Toute noire, son gland qu'elle vient de décalotter est tout rouge gonflé de sang. On le dirait prêt à éclater !

C'est elle même qui aide maintenant à la pénétration de cette queue énorme et noire. Elle s'empale dessus tandis que le second lui pelote les seins et à son tour s'empare de sa bouche. Il bande à nouveau et ne veut pas rester en reste et tandis qu'il caresse ce corps nu, il lui débite des propos salaces. Il glisse une main sous ses fesses qu'il malaxe fébrilement. 

Moi, j'ai sorti mon sexe et je me masturbe devant ce spectacle. Celui qui la baise accélère soudain son rythme et en soufflant bruyamment, il éjacule au plus profond du ventre de mon épouse qui jouit à son tour, fouillée et souillée. 

J'éjacule à mon tour. Une fois repus les deux hommes se rajustent et en silence ils s'éloignent dans la nuit. Ma femme reste là nue, le sperme coule à l'intérieur de ses cuisses. Elle est comblée sans vraiment se rendre compte de ce qui lui est arrivé. Je lui rends ses vêtements et lentement nous prenons le chemin de la maison.

FIN

lundi 23 septembre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 07

 Texte de Ricki Black (2012)
*****

J'invente une histoire pour ma belle-fille.

Je suis en pleine forme, après une nuit de repos et un sommeil profond et réparateur. Je me prépare et me fais tout beau, car je rencontre Elodie, Ma future belle fille, à midi suite à sa demande d’hier. Je vais lui raconter une belle histoire inventée de toutes pièces sur mon ex, Brigitte. Effectivement cette salope a été raconter des mensonges pour essayer de l’éloigner de moi. 4 ans après notre séparation, elle n’a pas supporté que je refasse ma vie avec une  femme 20 ans plus jeune qu’elle. Alors elle a commencé à m’enmerder sérieusement et depuis ça continue.

Mais je ne peux pas laisser Elodie croire que je suis un psychopathe sexuel.

J’ai donc commencé par piéger mon ex avec l’aide de Léa et Virgile pour la discréditer, et ça a marché encore mieux que je ne l’espérais. Elodie s’est maintenant écartée d’elle, mais pour éviter le moindre risque, il faut que je lui  démontre que sa future belle-mère est une vraie nymphomane, perverse et vicieuse ce qui m’a amené à la quitter, comme ça en plus aux yeux d’Elodie, j’en sors en victime.

Mais en même temps je veux aussi prêcher pour mon fils et Elodie a l’air un peu coincé sur les aspects sexuels, certainement du à son éducation catho. Je vais en profiter pour essayer de passer des messages.

Il est 11h45 quand je me stationne sur le parking du petit centre commercial où m’a donné rendez-vous Elodie. Je reconnais le quartier, en arrivant je suis passé devant la petite cité ou habite Malika. Le quartier est très sympathique avec des parcs arborés et des airs de jeux pour enfants, en plus il fait encore un temps magnifique.

Je rejoins Elodie qui m’attend déjà. Je l’embrasse et nous nous installons en terrasse, à une table un peu isolée. Nous passons commande de l’apéritif au serveur. Elodie commence à m’expliquer que si je l’ai sentie distante ces derniers mois, c’est que Brigitte, mon ex, lui a raconté des choses sur moi pas très belles. Je l’interromps, en lui expliquant qu’elle n’était pas à son premier coup d’essai. Je commence à lui dire que notre relation s’est dégradée au fur et à mesure du temps, car son tempérament a changé, et je me reprends pour aiguillonner Elodie, je dirai plutôt qu’il a évolué dans le mauvais sens.

J’ai piqué la curiosité d’Elodie qui me demande ce que j’entends par là. Je fais le gars embarrassé, je lui explique que c’est un peu délicat, car ça touche à l’intime. Puis sachant que de cette manière je pourrais lui dire des choses terribles je lui dis :

- Écoute, je veux bien t’expliquer, car il me semble normal que tu saches, mais je te demande de me promettre de ne jamais en parler à mon fils. 

Elle me répond dans un souffle :

- Je vous le promets… Allez Michel, confiez-vous à moi, je vous en prie.

Je ne peux pas espérer plus bel encouragement. Bien sûr, la veille, j’avais pensé à ce que j’allais lui dire, il me fallait être crédible et ne pas trop grossir le trait, mais toutefois j’allais mettre la barre assez haute.

- Voila, lorsque nous nous sommes rencontrés, nous étions assez jeune et sans expérience. Passé les six premiers mois la passion a commencé à s’estomper. Puis, deux ans plus tard, la routine s’était installée, avec la fatigue, la fréquence de nos rapports allaient en diminuant. De plus notre sexualité était banal, beaucoup moins de préliminaires, beaucoup moins de fellations et moi forcement moins de cuni et nous passions direct au missionnaire.

Elodie me regarde un peu embarrassée, je lui demande si je ne la choque pas ? Elle me répond que ça lui fait drôle de parler de "ces choses-là" avec moi, car c’est resté un sujet plus que tabou avec ces parents. Mais elle m’engage à continuer et me demande de ne rien omettre dans mes explications. Je suis un peu surpris par ce dernier vœu. Il y a peu être une coquine qui sommeille en elle, c’est d’ailleurs ce que je souhaite pour mon fils.

Je reprends l’histoire :

- Cela s’est encore aggravé à la naissance de notre premier enfant : le retour de couche, le baby blues, puis toutes les attentions sont orientés vers le bébé et c’est bien naturel. Mais les conséquences sur notre sexualité ont été désastreuses. La situation ne pouvant plus durer, je décide d’en discuter un soir avec elle. Je lui explique qu’il faudrait remettre un peu de piment dans notre vie sexuelle sinon nous courrons à la catastrophe. Elle me demande si j’ai des idées...

J’arrête là mon récit pour expliquer à Elodie que je ne peux pas tout lui dire. Qu'il y a des choses ou des situations qu’elle pourrait trouver très inconvenantes, surtout racontées par son futur beau-père. Je joue le mec respectueux alors que je n’ai qu’une envie, c’est de discréditer mon ex aux yeux d’Elodie et il faut que je puisse entrer dans les détails salaces pour ça. De plus, je voudrais bien qu’elle soit consciente que si elle veut devenir la femme de mon fils, il faut qu’elle en soit aussi sa maîtresse, son amante, voir même dans certaines circonstances bien sûr, sa salope, et j’ai prévu dans mon histoire de la sensibiliser sur ce point. Elodie me répond sans même réfléchir :

- Je vous en prie Michel, j’ai besoin de savoir et je vous remercie de m’accorder une telle confiance en me racontant la vérité, aussi sombre soit-elle. Alors je vous le redis, n’omettez rien et n’ayez pas peur de me heurter. 

Là je suis satisfait, elle vient de me donner carte blanche et je vais l’exploiter. C’est à partir de ce moment que je mets en route mon imagination.

- Très bien, si toutefois vous souhaitez que j’arrête, demandez-le moi. 

Je reprends ce fameux soir et je raconte que j'ai dit à mon ex :

- Oui j’ai des idées, il faut que nous redécouvrions notre envie l’un pour l’autre. Je me suis alors déshabillé devant elle, puis debout tout en la regardant dans les yeux j’ai commencé à me masturber. ses yeux étaient rivés sur mon membre qui grossissait. Je ne te cache pas que la situation m’excitait et il y avait fort longtemps que je n’avais pas eu une telle érection.

Elodie me coupa pour me demander, pressée :

- Alors qu’a-t-elle fait ?

- Eh bien, au bout d’un petit moment je lui ai demandé d’en faire autant. Alors sans discuter, elle a ôté sa culotte, ouvert ses cuisses et a commencé également à se masturber… C’était divin, nous étions à nouveau excités l’un par l’autre sans même s’être touché mutuellement et nous avons joui ensemble. Je recommande à n’importe quel couple de pratiquer la masturbation en face à face. 

Premier message subliminal pour son subconscient.

- Cette soirée a marqué le renouveau de notre désir. Nous avons acheté par la suite des sextoys. Brigitte commençait à apprécier de plus en plus nos jeux sexuels. Il y a une chose de très accessible pour n’importe quel couple et de très excitant, en tout cas ça excitait au plus au point Brigitte, c’était d’aller en soirée, au restaurant ou au ciné sans culotte (Deuxième message subliminal). Nous étions tellement excités qu’ils nous arrivaient de nous arrêter sur le chemin du retour pour faire l’amour comme au premier jour. Tout allait pour le mieux lorsqu’un jour, de retour d’une de ces soirées, alors que nous étions arrêtés sur un parking, je prenais Brigitte en levrette sur la banquette arrière, un voyeur s’est approché de la voiture. Cela nous était déjà arrivé auparavant, et nous le laissions regarder discrètement alors qu’il se masturbait, mais cette fois fut différente car le mec, un black, était devant la vitre, il avait sorti sa grosse verge et se masturbait, et Brigitte fit descendre la vitre et demanda au mec s'il voulait qu’elle le suce. 

Je m’excuse auprès d’Elodie pour ce mot cru, mais je lui explique que c’était justement ce mot qui m’avait choqué et qu’elle lui propose une fellation sans même m’avoir demandé mon avis. Elodie est rouge, je lui propose un petit verre de vin qu’elle accepte et me presse de continuer l’histoire.

- Le black s’est alors approché de la voiture, il a saisi Brigitte par les cheveux et lui a fourré sa verge dans la bouche, alors que j’étais dans son sexe. Je sentis immédiatement l’excitation de Brigitte, car son sexe est devenue trempée et de mon coté voir ma femme prendre une aussi grosse verge dans la bouche m’excitait aussi, même si j’étais blessé dans mon amour propre de mari. Le gars m’a demandé si c’était ma femme, puis…

Je stoppe le récit faisant mine de remonter à la surface des souvenirs douloureux en expliquant à Elodie que je ne pouvais pas lui répéter ce qu’avait dit le black. Je sais que ma réaction va susciter chez elle le besoin de savoir. Elle me dit que ça me fera du bien de me confier, qu’il faut que je sorte ça de mon esprit et elle me pousse à continuer. Ne me faisant pas prier trop longtemps, je cède et reprends :

- Puis il m’a dit que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi bonne suceuse de bite à la maison. Ensuite il m’a demandé si son cul était aussi bon que sa bouche. Cette vulgarité avait fini de m’exciter et je jouis en même temps que l’inconnu qui éjacula sur son visage. Lorsque je l’ai vu se réasseoir auprès de moi le visage dégoulinant du sperme de cet inconnu, j’ai pris conscience que notre relation prenait un tournant et que je ne la verrai plus comme avant. Et effectivement, son comportement commença à changer. Elle s’habillait de manière plus provocante et ne portait plus de culotte. Elle profitait de la moindre occasion pour s’exhiber discrètement. En ballade, dans les magasins, au restaurant, bref à chaque fois qu’elle le pouvait, qu’il y avait un gars qui l’observait, elle s’arrangeait pour écarter les jambes subtilement et lui montrer son entrejambe nue. L’effet était garantie et plus les mecs se rendaient compte qu’elle désirait les exciter et plus ils la mataient, plus cela l’incitait à s’exhiber. Je n’aimais pas la tournure que prenaient les événements. Plus le temps passait, plus elle prenait de risques. Un jour, au concert d’un célèbre groupe de rock, nous étions dans la fosse. Il y avait une foule immense et nous étions tous très serrés. Je sentis la main de Brigitte sur ma braguette, elle l’ouvrit, puis en extraya mon sexe. Elle commença à le masturber. Je m’aperçus qu’elle se caressait en même temps, se foutant des gens qui nous entouraient. Mon sexe sous la caresse avait grossi. Alors elle s’accroupit devant moi en se frayant une place dans la foule et avala mon sexe. Les gens qui nous entouraient la regardaient faire. Elle s’activait et j’étais entre deux états d’âme, excité par la situation et embarrassé par l’indécence de la dite situation. Un couple qui était à côté s’est rapproché de nous, la femme regardait Brigitte. Je l’observais en espérant qu’elle ne crie pas au scandale. Mais pas du tout en fait, elle ouvrit la braguette de son mari, en sortit sa verge déjà bien raide, et en saisissant les cheveux de Brigitte elle l’obligea à lâcher mon sexe pour lui fourrer celui de son mec dans la bouche. Brigitte se prêta avec beaucoup de mansuétude à cette obligation alors qu’elle continuait à me masturber.

Elodie n’en revient pas de ce que je lui confie. Elle a la bouche entreouverte et est comme figée à l’écoute de mes confessions. Elle me dit que jamais elle n’aurait pu imaginer, à la voir, que sa future belle-mère, fusse aussi perverse. Je lui dis que je vais arrêter ma confession car je la sens profondément  dérangée par cette vérité qui lui est révélée. Si elle savait que tout est inventé et que j’aurais bien aimé que mon ex fut un peu cette femme immorale que je décris...

- Non ! Me répond-elle, je veux savoir toute la vérité, maintenant j’ai besoin de savoir jusqu’où elle vous a emmené. 

Je me permets de lui resservir un petit verre de vin histoire de la détendre un peu et je reprends mon histoire.

 *****

Brigitte suçait l’homme devant sa femme qui à priori appréciait particulièrement la scène. Elle avait glissé la main de son mari sous sa jupe et j’imaginais bien qu’il la masturbait pendant qu’elle se rinçait l’œil. 

Au bout de quelques minutes, le mec gicla dans la bouche de Brigitte et je vis le sperme couler aux commissures de ses lèvres, ne pouvant contenir la pression de l’éjaculation. Une fois fini, ma femme revint sur ma verge pour, à mon tour, jouir dans sa bouche et cette fois elle avala tout mon sperme. 

Cette situation m’inquiétait car je perdais le contrôle et surtout je ne reconnaissais plus la femme que j’avais épousée. 

Quelques temps après, nous devions fêter mon anniversaire, et Brigitte m’avait organisé un petit diner en amoureux le soir à la maison. Elle m’avait dit de me préparer, qu’elle arriverait le soir avec tous les préparatifs, je n’avais qu’à l’attendre, installé dans le canapé. Pour l’occasion je m’étais fais beau et attendais comme convenu lorsque j’entendis la clé dans la serrure. 

Je vis alors entrer Brigitte accompagnée de sa collègue et très bonne copine Sandrine. Je la connaissais pour avoir fait des sorties avec elle et son mari. Brigitte m’avait dit d’ailleurs qu’elle était en instance de divorce. Sandrine était une belle femme de 35 ans environ. Son visage était raffiné et fin sur des cheveux assez longs châtains.  Apparemment une généreuse poitrine, une taille fine et des hanches plus larges. Je pense qu’elle devait avoir un cul large. Elle était habillée, d’une jupe rouge, d’un chemisier noir, ses jambes étaient gainées d’un voile noir sur des hauts talons rouges. 

Les deux filles s’arrêtèrent au milieu du salon, face à moi. Brigitte alors passa derrière Sandrine, puis passant ces mains autour des épaules de Sandrine commença à dégrafer son chemisier, tout en me disant:

- Bonsoir  Chéri, et bon anniversaire… Cette année c’est un cadeau particulier que je veux t’offrir. Je vais réaliser un de tes fantasmes. Je t’offre Sandrine et en même temps je t’offre un spectacle en deux actes. Premier acte, tu es spectateur, plutôt voyeur du plaisir que nous allons nous donner toutes les deux, puis deuxième acte tu deviens acteur et nous allons toutes les deux te baiser ensemble, ça te plaît comme cadeau ? finit-elle en ouvrant le corsage de Sandrine et laissant apparaître un soutien-gorge seins nus. 

Elle avait une splendide poitrine grosse et lourde mais bien mise en valeur par le soutien. Brigitte les attrapa à deux mains et commença à les malaxer, titillant les tétons, les soupesant. Le spectacle était très excitant et ma verge commençait à durcir. Le chemisier tomba à terre lorsque Brigitte s’attaqua à la jupe rouge qui finit par rejoindre le chemisier.

Sandrine était face à moi, je vis distinctement son triangle noir qui ornait son entrecuisse. C’était aussi une adepte du sans-culotte. Elle portait des bas noirs. Et lorsque Brigitte détacha le soutien-gorge à Sandrine, je ne pus pas ne pas penser à la fameuse photo de Man Ray, ou l’on voit le corps d’une femme comme un violoncelle. Eh bien, elle était de ces femmes aux seins tombants, à la taille fine et aux hanches larges et aux formes arrondies de l’instrument. Je la trouvais tellement sensuelle, tellement femme, que je la désirais déjà terriblement. 

Brigitte étant toujours derrière plaça sa main entre ses deux cuisses, qu’elle avait maintenant écartées. Je pus voir ses doigts jouer dans la fente juteuse. Puis brusquement elle les enfonça au plus profond. Sandrine ne put contenir un long gémissement alors qu’elle tournait la tête vers Brigitte qui lui plaqua ses lèvres sur la bouche pour l’embrasser fiévreusement. Je vis leurs langues se mélanger dans une ardeur presque indécente.

Puis tout s’accélèra et Sandrine se retrouva allongée sur le sol, son visage à mes pieds. Brigitte se déshabilla très rapidement  et vint se placer face à moi. Elle se  plaça au-dessus de son visage. Puis, me regardant droit dans les yeux elle se baissa lentement en s’accroupissant sur Sandrine qui ouvrit la bouche en tendant une langue, avide de mouille.

Le spectacle qui s’offrait à moi maintenant était la langue de Sandrine fouillant, léchant, aspirant et pénétrant. Je vis son visage se couvrir du jus de Brigitte qui gémit de plaisir. Dans un souffle elle me demanda si ça me faisait bien bander tout en posant sa main sur ma queue raide déformant mon pantalon. Elle en profita pour la sortir et commença à la branler.

Elle ajouta, qu’en effet ma queue est énorme et que ça a l’air de me faire beaucoup d’effet de voir deux belles femmes se gouiner pour moi.

Puis les deux filles décidèrent d’inverser leur place et Sandrine se retrouva face à ma queue raide. Je décidai de me déshabiller et repris place. Brigitte fourragea entre les cuisses ouvertes de Sandrine qui  saisit ma bite en main. Elle me branla et me caressa les couilles en même temps. Je durcis encore. Je pris conscience que cette jolie femme était en train de me masturber vigoureusement. Je vis ses superbes gros seins se balancer au rythme de ses caresses. Etant au summum de mon excitation je lui saisis les cheveux, l’obligeant ainsi à s’approcher de mon sexe. Elle comprit vite et ouvrant la bouche, l’enfonça au fond de sa gorge chaude et humide. Elle avala toute ma queue et son nez vint taper mon pubis. C’était une sacrée bonne pipeuse.

J’entendis Brigitte crier "surtout ne le fais pas gicler tout de suite". Un petit moment après d’ailleurs elle vint rejoindre sa copine et commença alors une divine séance. Les deux bouches féminines s’activèrent sur ma bite, leurs langues se mélangeant autour de mon gland gonflé. Je sentais qu’elles s’excitaient en retour à me sucer la queue et une compétition s’engagea sur celle qui me ferait le plus gémir. Pendant cette séance je pus voir qu’elles se branlaient mutuellement. Alors que Brigitte gobait ma tige, Sandrine glissa son index sous mes couilles et le plaçant sur mon anus elle l’enfonça délicatement au fond. J’adorai cette initiative qui me fit encore grossir.

Brigitte, alors, cessa sa caresse et dit à Sandrine que ma queue était assez dure !!

Sandrine se leva et se retourna, me présentant son superbe cul. Brigitte, elle, maintint ma queue à sa base et la dirigea. Sandrine alors vint poser son anus sur mon gland. Puis, aidé du poids de son corps elle s’assis dessus en criant. Brigitte lui dit de s’empaler dessus jusqu’à la garde. Ma queue était énorme et je sentis le fourreau l’étrangler sur toute sa longueur jusqu’à ce que mes couilles l’arrêtent. Sandrine me complimenta sur ma taille et qu’elle n’avait jamais eu une aussi grosse queue dans le cul. Pendant ce temps Brigitte se plaça entre les cuisses de Sandrine pour lui lécher la chatte. Par moment elle en profita pour me lécher les couilles et me fourrer un doigt dans le cul. Sandrine, elle, s’était mise en action. S’empalant sur mon pieu, ressortant presque intégralement de son anus, elle se planta brutalement dessus à nouveau.  Quelques minutes à ce régime et je cèdai, éjaculant d’abondante quantité de sperme dans le fondement de Sandrine qui elle aussi jouit plusieurs fois dans la bouche de sa copine.

Sandrine extraya ma bite de son cul, et là se passa une séance folle. Brigitte fut allongée sur le sol, Sandrine vint placer son cul au dessus de son visage. Puis poussant, elle fit couler le sperme de son fourreau anal dans la bouche grande ouverte de Brigitte qui l’avala. Incroyable, jamais je n’aurai imaginé qu’elle puisse faire se genre de chose.

Mais c’était un super cadeau d’anniversaire je l’avoue.

Toutefois il se passa, quelques semaines plus tard, un événement bien plus grave.

Le CE de mon boulot nous avait proposé une journée au zoo. Nous nous étions inscrits pour cette journée avec les enfants. L’ensemble des participants devait se retrouver devant la boite, pour prendre le car. Nous nous retrouvions tous le matin de bonne heure et partions pour le zoo. Les enfants, très heureux, étaient turbulents et joyeux. Brigitte, elle, dormit à moitié pendant tout le trajet. 

Une fois arrivée, elle me dit qu’elle n’était pas bien et qu'elle préfèrait rester dormir dans le car, elle viendrait nous rejoindre dès qu’elle se sentirait mieux. Nous sortîmes tous et nous entrâmes dans le zoo. J'étais avec mes collègues et leurs enfants. Une fois passé le guichet, nous nous dirigeâmes vers les différents enclos. 

Trois quart d’heure passèrent et nous arrivâmes au vivarium. J’appréciai particulièrement les serpents et là je m’aperçus que je n’avais pas pris l’objectif macro de l’appareil. Sans cet objectif, je ne ferais pas de belles photos. Je confiai les enfants à mon collègue et décidai d’aller au car récupérer l’objectif et en même temps prendre des nouvelles de Brigitte. 

J’arrivai devant le car, et remarquai que la porte n’était pas bien fermée. Ne voyant pas le chauffeur à son poste et imaginant que Brigitte pouvait encore dormir j’ouvris doucement la porte et entrai. Je m’arrêtai en entendant  des bruits venant du fond du car. J’avançai en me cachant, car je crus comprendre ce qui se passait. 

En effet, une fois assez près, je vis le chauffeur du car, un jeune black, en train de besogner ma femme. Il la pénètrait avec force et presque avec brutalité. Il lui dit que c’est une bonne salope de bourgeoise et qu’elle avait l’air d’aimer les bites de black. J’entendis Brigitte lui répondre qu’elle adorait se faire fourrer par des grosses queues blacks et qu’elle aimerait bien qu’il l’encule maintenant. 

Je ne fus qu’à moitié étonné, depuis un certain temps maintenant je savais qu’elle profitait de la moindre occasion, mais se qui me troubla le plus c’est qu’elle le fasse en cachette et en plus au sein d’une activité organisée par mon travail et avec mes collègues. N’importe qui pourrait les surprendre comme moi je l’avais fait. Les conséquences pourraient être très graves, il y avait des enfants et heureusement que je n’avais pas demandé à un des mes enfants d’aller chercher cet objectif. Et tout ça pour un coup de bite.

Je décidai de laisser Brigitte se faire enculer et de rejoindre les autres sans me manifester. J’attendais en fait de savoir si elle allait me dire la vérité. 

Brigitte nous rejoignit, et elle resta silencieuse sur les événements.

Elle m’avait trompé et je ne supportais plus ce manque de respect et de confiance. Je décidai de la piéger pour en être certain...

****

Elodie est abasourdie et me dit que cette femme est le mal personnifié. Qu’elle ne peut même pas imaginer que de tels comportements existent. Je ne me suis pas rendu compte, mais au fur et à mesure que je lui racontais ce conte, mon excitation grandissante, j’utilisais des mots de plus en plus triviaux et crus. Je m’en excuse auprès d’elle, lui expliquant que je revivais les situations telles qu’elles s’étaient déroulées. Malgré tout cela, je sens Elodie troublée par ce récit que je pourrais qualifier de pornographique. Je suis étonné qu’elle n’ait pas mis un terme à notre entretien, ne pouvant en entendre plus. Et bien non c’est le contraire, elle est toujours aussi avide de connaitre la suite et me prie de continuer.

****

Donc la situation n’était plus tenable et j’étais prêt à me séparer d’elle, ne pouvant plus lui faire confiance. J’imaginais qu’au bureau cela devait y aller, elle devait se faire tous les mecs et les nanas qu’elle voulait. Je ne contrôlais plus ma femme et du fait nous nous étions éloignés l’un de l’autre. Je voulais en avoir le cœur net. 

Je décidai de la tester une dernière fois. Nous avions des amis qui habitaient en Bretagne, et qui étaient en train de faire construire pas très loin de chez nous. Ne pouvant se déplacer régulièrement sur place, ils m’avaient demandé si je pouvais allez sur le chantier de temps en temps, pour vérifier que les ouvriers étaient bien là et que les travaux avançaient bien. Une présence régulière incitait les ouvriers à ne pas se relâcher de trop. J’avais déjà fais quelques visites surprises. Tout était correct, les ouvriers travaillaient et la construction avançait. A cette occasion, j’avais vu que sur les six ouvriers du chantier, il y avait quatre blacks, des costauds très sympas.

Connaissant le goût de Brigitte pour les blacks, il ne me restait plus qu’à mettre en place mon scénario et observer comment elle allait se comporter.

Inventant un déplacement, je demandai à Brigitte si elle pouvait passer le lendemain sur le chantier de nos amis afin de vérifier que tout se passait bien. Elle n’était pas très motivée, et me dit que ça l’embêtait, qu’elle avait des choses de prévu. J’insistai en lui signalant que c’était toujours moi qui devait y allez, mais je la rassurai en lui disant qu’il lui suffisait simplement de vérifier que les ouvriers étaient bien là, que c'était des blacks super sympas. Elle finit par accepter.

Le lendemain matin, après avoir embrassé ma petite femme, je partis pour mon soi-disant rendez-vous professionnel. En fait je me rendis directement au plus près du chantier, dans une rue adjacente, histoire qu’elle ne voit pas la voiture en arrivant. Puis je me dirigeai très discrètement sur le chantier en passant par l’arrière du grand terrain. J’avais de la chance, car il n’était pas clos de murs et il offrait une végétation un peu sauvage du fait du manque d’entretien. C’était la situation idéale pour voir ce qui se passait. 

Les gars étaient au casse croute du matin, pâté, saucisson et vin rouge. Ils s'étaient tous réunis dans ce qui sera plus tard le futur salon. Pour le moment il y avait une table faite de planches de palettes et des cartons en guise de siège. Il était 10h00 et le temps était au beau fixe, lorsque j’entendis une voiture stationner de l’autre coté de la maison. 

Un des ouvriers se lèvà pour allez à sa rencontre. Je reconnus la voix de Brigitte qui salua gentiment tout le monde. Elle leur expliqua qu’elle venait voir si tout se passait bien et s’ils n’avaient besoin de rien. Je trouvai son entrée en matière plutôt dangereuse. Les gars l’observèrent. Je pouvais maintenant la voir. Je fus scotché en voyant comment elle s’était habillée pour la circonstance. Elle était en tailleur noir, jupe très courte, laissant apparaitre le haut de ses bas noirs, La veste était très cintrée et s’ouvrait sur un décolleté et des bottes noires talons hauts.

Elle s’installa sur un carton en ouvrant légèrement les jambes. Je savais qu’ils pouvaient maintenant voir son sexe nu. D’ailleurs, un des blacks commença à se toucher au travers de son bleu de travail. On pouvait distinctement voir la forme de sa bite gonflée au travers. Brigitte leur demanda alors si elle pouvait goûter leur gros saucisson, puis elle saisit le jésus sur la table et le fourra entre ses jambes. Les gars voyant cela ouvrirent un a un leur braguette et sortirent leurs queues.

J’aperçus alors ma femme se mettre à genoux devant toutes ses queues déjà tendues et les sucer les unes après les autres.

J'étais au désespoir et mes doutes se révèlaient être vrais, ma femme était une vraie salope et je ne pouvais plus espérer retrouver la jeune femme que j’avais épousée. Après la séance de pipes, je la vis se faire prendre sur la table. Pendant que deux gars la besognaient, j’imagine un devant et l’autre derrière, elle suçait deux gars en même temps et en branlait deux autres. C’est plus que je ne pouvais en supporter et je décidai de m’en aller pour ne pas la voir se faire couvrir de sperme...

****

- Et voila l’histoire, Elodie, un mois après, nous nous séparions définitivement. J’espère que tout cela ne t’a pas trop choqué. Tu sais, tu es la première personne à qui je raconte cet enfer. Excuse-moi pour tout ça… Mais tu saisn c’est du passé maintenant. Aujourd’hui je suis très heureux et loin de tout ce stupre…

Je lui confie que, bien sûr, elle n’est pas obligée de croire à cette histoire, mais elle m’avoue en retour  qu’elle me croit, car elle a eu la preuve visuelle que, ce que je lui ai confié est vrai.

Elle me remercie encore pour cette confiance, et je lui fais promettre de ne jamais dévoiler cette histoire à personne, que ce doit rester notre secret.

Puis nous nous quittons et je retourne à ma voiture. Cette petite histoire m’a bien excité et il va falloir que je prépare le diner de demain chez Martine avec Pierre. Il faut que je médite à la stratégie que je vais employer pour soumettre Pierre.

A suivre....

samedi 21 septembre 2024

Tournante aux Caraïbes - 3ème partie.

   Bande dessinée de Roberta Morucci (dessin) et N. Tulli (scénario).

*****
A suivre...

jeudi 19 septembre 2024

Été de servitude - Ch. 02

 Traduction d’un texte de RallyWeasel

 *****

La soumission d’Erin est complète.

La sonnerie de la sécheuse invite Erin à descendre. En chantonnant doucement, elle plie les vêtements un par un et les place dans le panier. Toujours en chantant, elle ramasse le panier et monte l’escalier. Alors qu’elle tourne pour entrer au salon, elle voit Shawn assis sur le canapé. Effrayée, elle laisse tomber le panier qui claque bruyamment sur le sol.

- Shawn, que fais-tu ici ? Jacob n’est pas à la maison.

- Je sais ! Dit l’adolescent en se levant du canapé.

Paresseusement, il s’approche d’elle et passe un doigt dans une boucle de ceinture sur le devant de son short et il la tire doucement vers le canapé.

- Que fais-tu ?

- Je sais ce que tu fais avec James et il accepte de te partager. Si je te blesse ou si je laisse Jacob le découvrir, je devrais lui en rendre compte. Mais ne t’inquiète pas, je ne ferais ni l’un ni l’autre.

Shawn attrape le poignet droit d’Erin avant que la gifle tombe sur lui. Tenant toujours son bras, il fait un pas sur le côté, pose son autre main dans son dos et pousse. Erin tombe la tête première sur le pouf.

- Ce n’est pas très gentil, Erin. Je suis blessé que tu préfères James à moi.

Avec une facilité effrayante, Shawn la maintient en place alors qu’il déboutonne et enlève son short. Au grand dam d’Erin ce sentiment d’impuissance attise son excitation. L’index de Shawn passe sur les lèvres de sa chatte et la caresse lentement.

- Bonne fille ! Roucoule-t-il à chaque fois que Erin bouge ses hanches.

L’intérieur de ses cuisses est maintenant humide alors que le doigt de Shawn se retire. Erin ne peut s’empêcher de gémir lorsque la tête de la bite de Shawn pousse contre sa chatte. Il tâtonne pendant plusieurs secondes avant de trouver l’ouverture. Puis avec une pression légère, mais constante, il pousse en elle. Malgré son mélange déroutant d’émotions, elle gémit et agrippe le pouf.

Shawn glousse en donnant trois coups rapides et durs avec ses hanches. Puis lentement il se retire. Erin sent bien la bite glisser hors d’elle. Le gland encore à l’intérieur, Shawn prend une profonde respiration avant de saisir les hanches de la mère de famille et de pousser en avant. Après plusieurs coups de rein tranquilles, il s’installe dans un rythme régulier.

Le bruit de la porte d’entrée qui claque glace Erin. Les mains se serrent autour de ses hanches et la maintienne en place alors qu’elle tente d’échapper à cette position humiliante. James, un soda à la main, se laisse tomber devant elle sur le tapis et s’adosse au canapé. L’amusement se lit dans ses yeux quand il fait un signe amical à Erin.

- Oh putain, elle est serrée. Gémit Shawn.

- Tu vois, je te l’avais dit ! Répond James.

Erin est mortifiée au plus profond d’elle-même. Les garçons parlent entre eux comme si elle n’était pas là. La pensée que James ait pu discuter de détails intimes sur elle lui tourne l’estomac.

- Putain, cette chatte est bien meilleure que celle de Jen ! Déclare Shawn.

- Je sais bien ! Mais attends qu’elle soit bien chaude, elle poussera des petits gémissements quand tu toucheras le fond et sa chatte saisira ta bite.

Erin frissonne. Elle n’est qu’un objet, simplement un jouet à utiliser, à abuser et à discuter ouvertement. Aucune des voix des deux garçons ne témoigne de l’affection pour elle. Ils s’amusent. Ce traitement dégradant ne fait qu’éveiller le désir en elle. A sa grande honte, elle sent sa chatte se serrer sur la bite de Shawn alors qu’il continue à la marteler d’avant en arrière.

- Il faudra que tu la baises de face un jour. Dit James.

- Oh oui.

- Ouais, son expression du visage lors de l’orgasme est fantastique, un mélange d’impuissance et de bonheur.

Erin se sent rougir.

- Jacob sera bientôt à la maison ! Plaide-t-elle en voulant désespérément échapper à cette situation.

- Il va bien, il s’entraîne avec Trevor. Une fois qu’ils auront terminé, ils iront manger une glace. Donc nous avons tout notre temps. Dit James en se mettant à genoux. 

Il s’approche d’elle, déboutonne son jean et baisse son caleçon.

- Ouvre la bouche, je me sens un peu exclu pour le moment.

 ****

Trois passent sans incident. Jacob prépare le petit-déjeuner par deux fois. Ses efforts sont amusants et les résultats mitigés. Erin lave les tapis, nettoie les fenêtres et loue un nettoyeur haute pression pour laver la façade de la maison. Jacob s’en saisit immédiatement et se met au travail. Une partie d’Erin est contente qu’il soit désireux de l’aider, mais cela la force à trouver d’autres taches pour occuper son temps.

Sa brosse à dent s’attaque à la moisissure entre les carreaux de la cuisine tandis que la pensée de sa luxure s’attaque à son esprit. A mesure que la saleté s’en va, la véhémence de ses objections font de même. Les genoux d’Erin sont à vif et ses épaules lui font mal. En s’arrachant à la concentration sur son travail, elle se surprend à se demander quand les garçons vont revenir.

Le bruit de la porte du patio et un mouvement attire son attention. Elle sort la tête de la cuisine. Elle est un peu agacée d’être interrompue. Les joints de sa cuisine ne sont terminés qu’aux trois-quarts et il reste les deux salles de bain. Erin cligne des yeux de surprise en voyant James se tenir au pied de l’escalier menant à l’étage. Avec un signe du doigt, il disparaît en haut.

- C’est l’heure de se coucher ! Crie Erin à Jacob.

- Ah, maman. Je suis presque en haut. Encore cinq minutes ?

- Non. c’est l’heure d’aller au lit Monsieur.

Erin se mordille la lèvre inférieure en approchant de sa chambre. Le couloir lui semble inhabituellement long et les ombres dans les coins lui paraissent sinistres. James se tient près de son lit.

- Déshabille-toi ! Ordonne-t-il.

Les mains tremblantes, elle s’exécute.

- Sur le lit ! Ordonne encore James en lui montrant où il veut qu’elle soit.

Face à James, elle pose ses mains sur le lit derrière elle et balance ses fesses vers le haut, sur le doux couvre-lit. Le garçon fouille dans un sac qu’il a apporté. D’une main il lui lance deux objets. Erin, avec une inquiétude croissante, examine les objets. Ce sont deux bandes en cuir noir souple avec des boucles de couleur argent.

- Elles se mettent à tes chevilles ! Dit l’adolescent.

Des papillons voltigent dans le ventre d’Erin. 

- Tu n’es pas sérieux ? Dit-elle.

James croise les bras et tape du pied. L’expression fermée de son visage ne laisse pas la place à l’argumentation.

L’inquiétude chatouille la nuque d’Erin, mais elle n’arrive pas à réprimer le sentiment d’excitation naissant. Elle entend Jacob entrer dans la salle de bain au bout du couloir et allumer la douche. Après qu’elle ait mis en place la deuxième bande, une autre paire lui est lancée par le garçon.

- C’est pour tes poignets ! Dit James avec un large sourire.

Erin déglutit difficilement et sent la sueur se former sur son corps. Lorsque son deuxième poignet est enveloppé de cuir, James s’approche et brandit deux anneaux en forme de « C » allongé. Il semble s’amuser alors qu’il tire son poignet gauche vers sa cheville gauche et qu’il attache un anneau entre les deux bandes de cuir. Erin tire et découvre qu’elle a peu de liberté de mouvement. Pendant qu’elle examine cette attache, James répète l’opération du côté droit.

Avec une légère poussée et un rire de James, elle roule sur le dos. Erin se mord la lèvre inférieure. Malgré le comportement moqueur de James et le fait qu’il ne l’a pas encore touchée, elle sait qu’elle mouille. Les tintements dans sa salle de bain lui envoie des picotements dans l’estomac. Il faut deux voyages à James pour ramener tous les objets prévus.

Une main chaude passe sous les fesses d’Erin alors qu’il glisse une serviette de bain sous elle. Elle retient un gémissement alors qu’un gant de toilette chaud caresse son monticule. Erin laisse tomber sa tête sur le lit alors qu’elle apprécie la sensation. Même dans sa situation, la texture et la chaleur sont agréables. Le gargouillement d’une crème à raser lui fait secouer la tête. Une énergie frénétique la prend et elle secoue les hanches pour tenter de se soulever du lit.

James place une main ferme sur son nombril :

- Ne bouge pas, Il est dans ton intérêt de rester complètement immobile.

La crème soyeuse est doucement étalée sur sa peau. Le contact fait fondre son inquiétude. Un léger gémissement s’échappe de ses lèvres.

- Tu vois ! Mais attends, il y a plus à venir ! Dit James avec amusement.

Erin sursaute lorsque le rasoir la touche. Une sensation de fraîcheur et de picotement taquine sa peau sensible alors que James manœuvre habilement le rasoir. Erin halète et se surprend à espérer que le garçon prenne son temps. Les minutes passent lentement alors que James s’occupe d’elle avec soin. La sensation fraîche de la mousse à raser et sa peau manipulée par James l’excitent sans fin.

Un coup à la porte de sa chambre interrompt le plaisir que lui donne une deuxième fois le gant de toilette chaud.

- Bonne nuit maman ! Dit Jacob, la voix étouffée à travers la porte. 

- Bonne nuit chéri ! Répond-elle.

Elle entend son fils s’éloigner dans le couloir et fermer sa porte de chambre.

- C’est une bonne chose que j’aie posé une serviette, tu coules comme une fontaine. Dit James.

Des larmes se forment et coulent au coin des yeux d’Erin. Le copain de son fils est dans sa chambre et elle est nue, impuissante au milieu de son lit. Elle s’exhibe pendant que son fils prend une douche avant de se coucher. Au fond, elle sait qu’elle devrait avoir honte, mais elle est plus excitée que jamais.

Quand James monte sur le lit et la pénètre, sa seule envie est de verrouiller ses chevilles derrière lui. Dans sa vie professionnelle, Erin est une gestionnaire de projets faisant preuve de sagesse et de sens des affaires. Des gens lui demandent conseils, ses subordonnés suivent ses ordres à la lettre. Pourtant, sous un adolescent, elle est impuissante, docile et vicieusement excitée tout en se haïssant pour cela.

James prend son temps. Erin a la nette impression qu’il savoure la situation. Lentement, mais fermement il la baise. Le plaisir se construit couche après couche dans son corps. Ses doigts et ses orteils se recroquevillent alors qu’elle cherche désespérément à évacuer la tension qui s’accumule en elle.

Le rythme de James ne faiblit pas. Avec ses mains plantées de chaque côté de ses épaules, il se penche en avant et garde ses yeux fixés sur les siens. Lorsqu’elle jouit enfin, sa main se pose sur sa bouche pour étouffer ses cris. James éjacule et reste en elle.

Quelques secondes après, il roule à côté d’elle et reste affalé sur le lit. La lumière douce scintille sur la transpiration sur la poitrine et les épaules du jeune homme.

- Où est ta clé de secours ? Demande James.

- Sur le côté droit de l’escalier du sous-sol.

- Je vais te l’emprunter quelques jours.

Erin secoue les attaches qui la maintiennent.

- Est-ce que tu vas les enlever ?

- Nous nous sommes tous cotisés pour te les offrir.

Un sourire amusé se dessine sur son visage.

- Qu’est-ce que tu es censé dire quand quelqu’un t’offre un cadeau ? Demande-t-il.

Elle retient une remarque acerbe. Impuissante et nue sur son lit n’est pas la meilleure position pour râler. James arque un sourcil.

- Merci. Dit-elle aussi doucement qu’elle le peut.

James saute du lit et ouvre la porte pour sortir dans le couloir.

- Je vais chercher la clé et boire un verre. Quand je reviendrai, tu devras gagner ta liberté.

  *****

L’orage du soir illumine le ciel. Tout en sirotant du vin, Erin s’assoit sur une chaise et regarde le spectacle de la nature. De brillants éclairs de lumière traversent les nuages sombres. L’emploi du temps d’Erin a bien évolué, elle passe ses journées avec Jacob et ses soirées avec les trois garçons.

Il est facile pour les adolescents de se couvrir les uns les autres et de passer autant de temps qu’ils veulent avec elle. Un frisson lui parcoure la colonne vertébrale pour s’installer dans son bas-ventre. Une fois que Jacob est couché, elle appartient au trio.

Après que l’orage se soit éloigné, Erin se lève et se dirige vers la douche. Il est temps pour elle de se débarrasser de la crasse de la journée. Une serviette autour de son corps, une autre autour de ses cheveux, elle sort un pyjama.

- Bonsoir Mme Sinclair ! Dit Shawn en se glissant dans sa chambre.

Erin retire la serviette de ses cheveux. Elle fronce les sourcils, mais elle sent ses mamelons commencer à durcir.

- Enlève ton pyjama et mets tes bracelets ! Dit le jeune garçon avec un geste impatient de la main.

Lentement Erin obéit et enlève son pyjama. Shawn lui passe les mains dans le dos et les attache ensemble. Puis il s’agenouille et lui attache les chevilles l’une contre l’autre.

- J’ai un nouveau cadeau pour toi ce soir ! Dit-il.

Alors que le silence s’installe, il hausse les sourcils.

- Sois une bonne fille !

- Merci.

- Bien, bonne fille, Erin !

Il brandit une balle rouge liée à des sangles noires qui pendent. Les yeux d’Erin s’écarquillent et elle secoue la tête.

- Ouvre la bouche !

Sa résistance est courte. Après une brève lutte, l’adolescent cale la balle dans sa bouche et la fixe fermement en place.

- C’est Trévor qui l’a achetée pour toi. A bien y réfléchir, je crois qu’il ne t’aime pas beaucoup.

Aidée par une légère poussée de la main, Erin tombe en arrière et roule sur le côté. Shawn regarde par-dessus son épaule et se fixe. La respiration d’Erin se bloque dans sa gorge.

- Eh bien, qu’est-ce que c’est que ça ? Demande-t-il.

Erin frissonne lorsque qu’elle entend le bourdonnement rauque de son vibromasseur. Dès qu’il la touche elle sursaute. Une main ferme sur sa hanche la maintient en place alors que la tête de l’objet vibrant est fiché dans son sexe. Il ne faut pas longtemps avant qu’une première vague de plaisir déferle dans son corps. Shawn garde le jouet en place pendant les spasmes de son premier orgasme. Erin n’a pas le temps de se ressaisir qu’un deuxième orgasme la traverse.

- James a raison, tu fais une tête vraiment mignonne ! Dit Shawn.

Au troisième orgasme, elle crie à travers le bâillon et elle sent des gouttes de sueur couler le long de sa nuque. Le quatrième lui fait perdre son souffle et elle respire du mieux qu’elle le peut par le nez tandis que son corps tremble de façon incontrôlable. Des larmes de frustration jaillissent de ses yeux et coulent sur ses joues. Elle ne veut rien de plus que Shawn la prenne plusieurs fois de la façon qu’il veut.

Heureusement le vibromasseur est retiré. Avec un tiraillement sur ses épaules et une poussée sur ses hanches, Shawn ajuste légèrement sa position, mais la laisse sur le côté. Erin gémit et a un frisson de plaisir lorsqu’il la pénètre.

- Waouuuh, tu es vraiment mouillée et tu trembles encore. Je pense que nous t’exciterons comme ça à l’avenir. Dit le jeune garçon.

Les mains sur ses épaules, il l’attire vers lui pour s’enfoncer plus profondément. Erin crie sous le bâillon alors que l’adolescent lui provoque un nouvel orgasme.

  *****

Jacob est au lit depuis une heure. Avec la fenêtre mi-ouverte et le ventilateur, sa chambre est devenue confortable. Le trajet avait été long, mais elle était contente que Jacob l’ait convaincue d’aller à ce rodéo. Malgré ses réticences initiales, elle avait pris plaisir à regarder ce genre de spectacle. Avec une énergie intense et frénétique, la foule avait acclamé cavaliers et bêtes. Les taureaux étaient énormes, mais ils avaient une agilité surprenante. Plusieurs fois leurs quatre pattes quittaient le sol pour ruer en l’air. Erin remue ses orteils alors qu’une bouffée d’air les chatouille. La porte de sa chambre s’ouvre et un adolescent vêtu d’un tee-shirt sombre et d’un jean entre. Trevor lui fait un signe du doigt.

- Je viens de finir mon rendez-vous avec Claire et j’ai bien besoin que l’on me soulage.

Erin lève les yeux au ciel, sort du lit et s’agenouille devant le jeune garçon. Il ouvre la fermeture éclair de son jean et pêche sa bite dans son caleçon. Sa main se pose à l’arrière de la tête d’Erin et il la tire vers lui. Elle ferme les yeux et se concentre pour lécher le gland. Une tape sur son front la surprend.

- Continuer de me regarder ! Déclare Trevor.

De sa main libre, il fouille dans sa poche et brandit l’objet qu’il vient de trouver. C’est une clé dont la tête est enveloppée d’un caoutchouc rose.

- C’est la clé de ta maison. Tu sais pourquoi nous avons choisi le rose pour ces copies ?

Erin se sent rougir. Elle connaît bien la signification de cette couleur. Avec un hochement de tête elle pousse plus loin ses lèvres sur le membre de Trevor. Son gland cogne contre l’arrière de sa bouche et avec l’aide d’une petite traction sur l’arrière de sa tête, il entre dans sa gorge. Erin s’écarte et tousse.

- C’était génial ! Recommence ! Ordonne le garçon.

Du revers de la main, elle essuie ses yeux humides. Quand sa bouche a de nouveau englouti le membre, Trevor défait les boutons de son haut de pyjama et il prend les seins dans ses mains. Ses doigts pincent et tirent ses mamelons. La salive coule à la commissure de ses lèvres et le long de son menton tandis qu’elle bouge sa tête de haut en bas sur la bite.

- Bon travail. Voilà ta récompense ! Grogne Trevor.

Sa main se resserre sur l’arrière de la tête et il la tient en place alors qu’un liquide chaud jaillit dans sa bouche. Erin ne pense à rien d’autre qu’à déglutir. Lorsque la main se retire, elle recule. Trevor lui donne une tape sur la tête avant de se détourner et partir. Erin rougit quand elle s’aperçoit que sa langue glisse sur ses lèvres.

  *****

Le dernier jour des vacances est parti. Le vacarme et la fatigue du bureau reviennent lundi. Erin fait un rapide calcul mental. Sur ses vingt jours de vacances programmés, elle avait été sous ou agenouillée devant un des amis de Jacob pendant quinze de ces vingt jours.

Ce fut une période frustrante et déroutante, mais pas sans quelques souvenirs agréables. Elle était satisfaite du laps de temps qu’elle avait pu passer avec son fils. Jacob l’avait serrée dans ses bras et remerciée la veille au soir.

Erin gratte les restes de poulet au chutney de mangue et les met dans un récipient pour le mettre au réfrigérateur. Tant que la porte de celui-ci est ouverte, elle attrape trois bouteilles et referme le frigo avec sa hanche avant de s’éloigner.

C’est une nuit où elle est seule. Jacob est sorti avec ses amis et il doit rentrer tard. Les jours d’été se faisant plus courts, Erin avait décidé de lui accorder plus de temps.

Un livre sous le bras, et ses boissons dans un petit seau de glace, elle va dans le patio arrière et ferme la porte-fenêtre derrière elle. Un cercle de bougies à la citronnelle tient à distance les moustiques.  Erin s’installe dans son fauteuil, ouvre une bouteille et son livre. L’acidité du cidre lui pique la langue quand elle boit une gorgée.Elle suit du doigt le premier paragraphe. 

Au bout de deux pages, elle est plongée dans son roman. Ses doigts attrapent et tournent les pages l’une après l’autre alors que la brise fraîche taquine sa peau et fait s’envoler doucement ses cheveux. Le raclement de la porte-fenêtre qui s’ouvre fait sursauter Erin et la sort de l’intrigue croissante entourant l’héroïne courageuse. Le livre tombe de ses mains alors qu’elle se retrouve à regarder dans les yeux James, Shawn et Trevor.

- Est-ce que Jacob est avec vous ? Demande-t-elle.

Des frissons de panique parcourent sa colonne vertébrale.

- Non, il a rendez-vous avec Sally ! Déclare Trevor en la prenant fermement mais doucement par le coude pour la tirer de son fauteuil. Sa main sur le bas de son dos la guide à travers la porte-fenêtre jusqu’au salon. James et Shawn suivent après avoir ramassé le seau de glace.

- Un rendez-vous ? Il est trop jeune pour avoir un rendez-vous. Dit Erin.

Ses genoux menacent de céder. Et pourtant, un autre aspecte de sa vie a échappé à son contrôle au cours de l’été.

- Détends-toi, ce n’est pas un vrai rendez-vous. Jacob nous avait posé quelques questions alors nous avons arrangé cette soirée avec Sally. Ils vont aller manger une pizza, puis ils iront voir un film. Déclare James en retirant le bouchon d’une des bouteilles. 

- Je vous parie cinq dollars que Jacob va laisser Sally commander sa dégueulasse pizza aux artichauts. Ton fils est bien trop poli pour dire quelque chose. Déclare Shawn.

- Je parie dix dollars ! Dit Trevor par-dessus son épaule alors qu’il monte les escaliers.

- Ne t’inquiète pas ! Sally pense que Jacob est « mignon », donc au plus il pourra toucher ses nichons. Et il aura peut-être un petit bisou. Honnêtement, je pense qu’il est trop gentil pour essayer quoi que ce soit. Dit James.

Shawn sort de la cuisine avec deux autres bouteilles. De la condensation collante brille à la lumière et goutte. 

- Je mise cinq dollars sur le baiser. Je suis sûr que Sally adorerait l’envoyer au lit avec une bonne érection. Déclare Shawn en riant.

James roule des yeux.

- J’en parie dix !

Lorsque Trevor revient, James hoche la tête et se lève de son siège.

- Ce soir est notre dernière nuit avant de partir à l’université. Alors nous avons une petite surprise pour toi. Dit-il.

Quinze doigts coordonnés ne font qu’une bouchée des vêtements d’Erin. Ils la mettent ensuite à genoux. Shawn place les liens en cuir autour de ses poignets et il les attache derrière son dos pendant que Trevor lui attache les chevilles. Puis on lui ajoute des talons noirs. Trevor hausse les épaules.

- Ils ajoutent à l’ambiance. Dit-il.

- Maintenant la touche finale ! Dit James alors qu’il place un bandeau derrière les yeux d’Erin et qu’il le noue derrière sa tête. 

Erin peut sentir le mouvement autour d’elle, mais le bandeau lui bloque complètement la lumière.

- Bon, nous allons voir si elle peut nous différencier ! Déclare Trevor, la voix chargée d’excitation. 

Erin entend le bruissement des vêtements que l’on enlève. Puis la main de Trevor se pose derrière sa tête et la pousse en avant. Lorsque la chair chaude touche ses lèvres, elle ouvre la bouche et permet à la bite d’entrer. Après trois balancements de tête de haut en bas, une main dans ses cheveux tire sa tête et la déplace sur le côté. La bouche d’Erin est encore ouverte et prête pour engloutir le deuxième membre. Encore une fois, elle n’a droit qu’à trois balancements de tête.

- Ok Miss salope facile ! Tu as 50 pour cent de chance. A qui est la première bite ? Demande Trevor.

Erin se mord la lèvre inférieure. La première a un goût de propre, elle est longue, mais pas épaisse. La deuxième est un peu plus épaisse avec un goût salé et un peu plus prononcé. Elle avait eu plusieurs fois les garçons dans sa bouche, mais elle n’avait jamais pensé à les comparer. Erin est sûre que si l’un ou l’autre restait dans sa bouche, elle serait capable de dire qui est qui.  Elle inspire profondément.

- C’était Shawn le premier ! Dit-elle

- Et non ! Je pensais que tu serais capable de faire la différence. Bon sang, tu t’es retrouvée à genoux assez souvent. Déclare Trevor.

Le visage d’Erin devient rouge. James dit alors :

- Maintenant l’évènement principal. Chacun de nous va prendre place dans ton salon. Quand nous appellerons ton nom, tu auras cinq secondes pour nous localiser et mettre notre bite dans ta bouche.

- Que se passera-t-il si j’échoue ? Demande Erin.

- Si je te le dis, où est le plaisir ? Nous allons nous mettre en position. Lorsque tu entends l’un de nous t’appeler, le jeu commence.

Erin retient son souffle et incline la tête pour mieux écouter. Ses yeux s’efforcent de repérer des détails qui pourraient l’aider à surmonter le vacarme normal des bruits nocturnes du voisinage.

- Viens me voir, petite salope ! Dit Shawn.

Ses chevilles attachées, Erin est forcée de faire des petits pas sur les genoux, sinon elle risque de tomber. Elle s’assure de lever les genoux du tapis pour éviter les brûlures dues aux frottements. Après cinq petits pas, son sein gauche entre en contact avec la peau de l’adolescent.

La panique l’envahit quand elle réalise que personne ne compte le temps à haute voix. Elle se déplace vers la gauche, se penche en avant, ouvre la bouche et balance sa tête d’avant en arrière. Son cœur accélère alors que ses lèvres ne trouvent pas la bite qu’elle cherche.

Le visage brûlant de honte, elle appuie sa bouche ouverte sur la cuisse nue. Elle n’a pas vraiment le temps de réfléchir. A tout hasard, elle déplace sa bouche sur sa droite. Dès qu’elle sent son objectif, elle referme ses lèvres dessus.

- Félicitation, tu as réussi, mais c’était juste ! Dit James.

Des agrippent les côtés de la tête d’Erin et la guident jusqu’au bout. Alors que les lèvres coulissent sur sa bite, Shawn gémit. Les mains quittent la tête de la mère de famille et le garçon la laisse faire. Erin sait ce que Shawn aime. Normalement elle le caresse avec la main droite tout en bougeant sa tête de haut en bas. Mais comme ses mains sont liées, elle décide d’utiliser sa langue du mieux qu’elle peut. Elle garde les lèvres bien serrées autour de son engin pendant qu’elle le caresse avec la langue.

Puis elle embrasse et aspire la queue. Bientôt Erin entend un gémissement familier. Elle recule tout en gardant les lèvres serrées autour du gland de l’adolescent. Un liquide chaud se répand dans sa bouche.

Une fois qu’il a fini d’éjaculer, Erin aspire le sperme sur le gland tout en retirant ses lèvres. Puis Shawn se retire d’un coup. Erin penche la tête en arrière, ouvre la bouche et montre le contenu avant d’avaler. Elle s’était habituée à faire ça. Elle ne fait plus la grimace en consommant le cadeau des garçons.

- Bonne fille ! Roucoule Shawn en l’embrassant sur le front.

Une bouffée d’orgueil réchauffe Erin de la tête aux pieds.

- Viens vers moi Madame Sinclair ! Dit alors Trevor en sifflant.

Erin fait un décompte silencieux dans son esprit. Quand elle atteint trois, elle commence à être inquiète. Elle essaie de faire de plus grands pas sur ses genoux, mais elle est déséquilibrée.

Avec un cri, elle tombe en avant. Elle effleure des avant-bras dans sa chute. Des mains attrapent ses épaules et elle sent quelque chose sous son menton. Elle se redresse et déplace rapidement sa bouche vers le bas. Trevor soupire alors qu’elle avale sa bite.

- C’était encore juste ! Dit James.

Erin sourit. Une petite chute est un petit prix à payer. Une vague de fierté la traverse. Trevor l’a empêchée de tomber. Tant de fois, il avait agi hautainement et autoritairement, mais il se soucie suffisamment d’elle pour accomplir cet acte de gentillesse. Sa queue a une saveur piquante étrange.

- Tu as un goût différent. Dit-elle.

- Oui, Claire m’a fait un cadeau de départ plus tôt ce soir. Répond-il.

Une main dans les cheveux attire Erin Contre lui. Elle est mortifiée. Un tremblement de répulsion la secoue alors que ses tétons durcissent et que sa chatte se contracte. Une fois que la bite est bien humidifiée, Erin se met au travail. Elle sait que Trevor aime s’enfoncer profondément dans sa gorge. Elle retient son souffle et baisse la tête.

Le gland cogne au fond de sa bouche, puis se glisse dans sa gorge. Erin reste comme ça un battement de cœur avant de reculer la tête pour qu’il quitte sa gorge, puis elle pousse de nouveau vers le bas. Avec la queue dans sa gorge pour la deuxième fois, elle reste en place pendant trois battements de cœur tout en tournant la tête d’un côté à l’autre.

- Oh oui… Gémit Trevor.

En reculant elle sourit. Il peut l’utiliser quand il veut et lui donner des surnoms humiliants, mais quand Trevor est au fond de sa bouche, il est à elle. Le désir lui étreint le ventre et la chaleur augmente entre ses cuisses.

- Je ne savais pas qu’elle pouvait faire ça ! Déclare Shawn.

Erin déglutit, prend deux grandes inspirations et reprend Trevor dans sa gorge. Cette troisième fois, elle le garde aussi longtemps qu’elle le peut. Les hanches du jeune garçon se tordent sous elle. Les larmes s’accumulent au coin de ses yeux. Erin repousse sa tête en arrière et se prépare pour un autre voyage. Les minutes passent alors qu’elle répète le processus.

Avec Trevor une fois de plus dans sa gorge, elle sent le sexe trembler contre sa langue. Une main se pose à l’arrière de sa tête et la tient en place. C’est une sensation étrange, presque comme un étranglement, mais pas tout à fait alors qu’il se vide dans sa gorge. Après qu’il l’ait relâchée, elle tousse et combat l’envie d’essuyer les coins de sa bouche. Des lèvres touchent son front.

- Bonne fille ! Déclare Trevor.

- A mon tour ! Dit James.

Erin respire toujours fortement alors qu’elle se dirige vers la voix. Lorsque son décompte silencieux atteint deux, ses cuisses entrent en contact avec les coussins du canapé. Le bout de son nez frotte le tissu du canapé, elle cherche à l’aveuglette. Le temps s’écoule et elle n’arrive pas à savoir où se trouve l’adolescent.

Alors qu’elle compte quatre, il lui reste peu de choix. Alors elle se jette sur la gauche. Le bord du genou de James s’enfonce dans sa poitrine. Elle va y arriver. L’excitation la traverse. Elle ouvre grand la bouche et plonge vers le bas. De la chair chaude effleure sa joue alors que ses lèvres entrent en contact avec la cuisse musclée.

- Ah dommage, tu étais si proche ! Dit James.

Erin le sent glisser et s’installer devant elle. Les hanches bougent alors que la bouche de la mère de famille cherche sa bite. A sa grande honte, un cri de frustration s’échappe de sa bouche. Une main la tire doucement par les cheveux.

- Et voilà ! Dit James en s’enfonçant dans sa bouche.

Erin ronronne alors qu’elle lèche lentement le dessous du gland. James aime qu’elle ronronne. Elle espère que si elle arrive à faire du bon travail, il oubliera qu’elle a dépassé le temps pour le trouver. Erin recule la tête et laisse ses lèvres le caresser avant de le reprendre en bouche. Elle laisse ses lèvres glisser sur sa peau. La main ne tire plus ses cheveux, mais reste sur l’arrière de sa tête. Erin travaille patiemment et méthodiquement avec sa langue.

Au fil du temps, elle a appris à connaître intimement chaque renflement et chaque courbe du pénis du jeune garçon. Si elle pouvait le dessiner, Erin est sûre qu’elle pourrait créer une image exacte du membre. Sa mâchoire commence à lui faire mal quand elle entend James gémir. Un liquide chaud remplit sa bouche. Une fois que l’éjaculation est terminée, elle s’assoit sur ses talons et montre l’intérieur de sa bouche. Ensuite, d’un mouvement exagéré elle avale le tout. Des lèvres effleurent son front.

- C’était super ! Bonne fille !

La satisfaction et la fierté la couvrent de la tête aux pieds comme une couverture douce et chaude.

- Maintenant, il est temps de te punir pour avoir mis autant de temps pour me trouver. Dit James.

Des mains l’attrapent par les épaules et la taille pour la placer face contre terre sur les genoux de James. Le bandeau est dénoué et retiré. Erin doit cligner des yeux rapidement et à plusieurs reprises pour permettre à ses yeux de s’adapter au salon brillamment éclairé.

Erin est perplexe. Pourquoi sa brosse à cheveux est-elle posée sur le canapé en face d’elle ? James se penche et l’attrape. Erin tend le cou et regarde James prendre la brosse dans sa main droite et l’abattre dos à l’envers sur ses fesses.

Elle glapit et essaie de se débattre. Shawn s’assoit sur le canapé et saisit ses pieds alors que Trevor s’agenouille près de sa tête et place des mains fermes sur ses épaules. James resserre sa prise sur sa taille et fait tomber la brosse à nouveau. La douleur augmente et se propage alors que l’adolescent la fesse avec la brosse encore et encore.

Des larmes coulent de ses yeux à chaque coup. Elles tombent de ses joues. Elle devra acheter une nouvelle brosse. Elle ne veut pas la garder en sachant comment elle aura été utilisée contre elle. Erin essaie de tourner la tête pour établir un contact visuel avec James, mais Trevor saisit ses cheveux et garde sa tête tournée en avant.

- S’il vous plaît, s’il vous plaît ! Supplie-t-elle.

Mais la brosse continue à maltraiter son cul. Le temps cesse d’exister. Il n’y a que le bruit de la brosse entrant en contact avec sa peau et la douleur constante et lancinante.

- Quelle belle nuance de rouge ! Dit Shawn.

- Elle dégouline sur mes jambes ! Dit James avec stupéfaction.

Un par un, les garçons font glisser un doigt dans sa fente humide. Erin se sent rougir. Son excitation n’a pas diminué malgré la douleur et l’humiliation. A sa grande honte, elle a même augmenté. Erin entend une sonnerie et un bourdonnement derrière elle.

- C’était Sally. Elle est en route avec Jacob. Dit James.

Les mains, qui la tenaient quelques secondes auparavant, la soulèvent doucement et la porte à l’étage, puis dans sa salle de bain. Trevor la tient fermement pendant que James lave doucement son visage. Shawn enlève ses liens. James prend son menton dans la paume de sa main, penche sa tête en arrière et met quelques gouttes de collyre dans ses yeux.

On lui donne un mouchoir et Erin se mouche. Le trio d’adolescents la ramène dans sa chambre, l’habille de sa robe de chambre en la nouant solidement. Puis ils la posent doucement sur le ventre sur le lit.

Erin ne bouge pas. Elle n’est qu’un volcan d’émotions. La luxure, l’humiliation, la honte et la douleur se mélangent. Une émotion domine les autres avant de laisser la place à une autre. Elle se concentre sur l’excitation qui picote sa colonne vertébrale et la promesse de plaisirs à venir.

Le bruit de la porte d’entrée la fait sursauter. Elle retrouve Jacob au pied de l’escalier. Heureux, il n’arrête pas de passer d’un pied sur l’autre en racontant sa soirée. Erin pense apercevoir un peu de rouge à lèvres sur ses lèvres alors qu’il parle. Au fur et à mesure que l’excitation du jeune garçon se calme, le rythme de son histoire ralentit.

Quand il a terminé son compte-rendu, Erin le conduit à l’étage et dans son lit. Laissant à son fils un peu d’intimité, elle attend dans le couloir pendant qu’il enfile son pyjama. Erin sourit en pensant que Jacob a oublié de lui dire que Sally l’avait embrassé avant de le quitter.

Elle tire sur les draps en lui disant bonne nuit. La douleur dans son cul se réveille alors qu’elle se penche. Avec le goût du sperme de James toujours dans sa bouche, elle embrasse Jacob sur le front. Un frisson d’excitation la traverse à cette pensée alors qu’elle ferme la porte.

Les trois garçons sont assis sur son lit, souriant d’un air suffisant, quand elle revient dans sa chambre. Shawn tapote le lit. En peu de temps sa robe de chambre est enlevée et on lui remet ses liens. Trevor enfonce le bâillon dans sa bouche, sourit et la tapote du bout des doigts. Elle est roulée sur ses genoux, sa figure forcée sur le lit. 

Les poignets attachés à ses chevilles, son cul est en l’air. Shawn s’installe derrière elle. James s’agenouille à côté du lit près de sa tête. Elle halète et cambre le dos lorsque Shawn la pénètre. James lui prend le menton et tourne sa tête de façon à ce qu’elle le regarde dans les yeux.

- Ne t’inquiète ma petite salope, nous avons tous décidé de venir te voir lorsque l’on reviendra de l’université. Et pour que tu ne t’ennuies pas sans nous, nous avons parlé de toi à quelques amis et nous leur avons donné nos clés.

FIN.