mercredi 29 novembre 2023

L'enseignante - Ch. 02

 Récit de Lecteur9 (2007)

*****

Humiliée dans sa classe.

Le lendemain matin les yeux rougis par les pleurs, Catherine se leva comme un automate, son mari venant de partir travailler. Seule, la jeune femme réfléchissait à sa position, et elle comprit qu'elle ne pouvait pas endurer un scandale dans la position sociale où elle se trouvait. La jeune rousse ne pouvait pas non plus se permettre d'obéir à ces deux gamins dépravés.

Pourtant comme lui avait dit Joussouf, elle n'avait aucun choix, mais de là, à leur obéir et à subir.

Puis repensant à la nuit dernière, Catherine sentit son visage s'empourprer et sentit un frémissement lui parcourir la colonne vertébrale. La jeune professeur avait aimé, oui elle en était sûre, elle avait adoré cela.

Puis escomptant qu'elle ne l'avait pas trop montré et dégoûtée par ce que Catherine découvrait en elle, la jeune femme se promit de tout faire pour contenir ce chantage. Elle alla se vêtir, choisissant une robe noire en coton, assez légère et ample, assez sobre mais boutonnée devant et au décolleté profond, dénudant sa poitrine plus que ce qu'elle n'aurait voulu. La jeune femme l'enfila, pressée et fébrile, se représentant les réactions que cela susciterait chez les deux élèves.

Puis au dernier moment elle décida qu'il était hors de question de leur obéir et la jeune rousse enfila une petite culotte en dentelle noire, sexy, dont la bande de tissu s'insinuait bien entre ses fesses. Mais elle restait la poitrine dégagée, la laissant ressortir sous le fin tissu de la robe.

Catherine se coiffa en chignon, enfilant un collier en or et s'examinant, elle découvrit dans la glace une superbe jeune femme élégante et raffinée, à la silhouette et aux formes très voluptueuses.

La jeune femme arriva en cours un peu troublée, et prenant une profonde inspiration, elle entra dans la classe. Catherine poussa un petit soupir de soulagement en découvrant la classe entière, turbulente à son habitude mais personne ne semblait être au courant de ce qui s'était passé la veille. Elle aperçut Joussouf et Mahoui au fond de la classe, en grand conciliabule mais ne faisant pas de bruit, manigancant à voix basse, la dévisageant un instant quand la jeune femme entra.

L'institutrice commença son cours qui se déroula sans interventions puis pour les travaux pratiques de physique la classe se divisa en deux. Il restait une quinzaine d'élèves dont Joussouf et Mahoui. Elle leur énonca les expériences à faire et parcourut les rangs pour expliquer ou aider ceux qui le lui demandaient. Soudain Joussouf leva la main et l'appella doucement.

- Madame... pouvez vous venir s'il vous plaît ?

La jeune rousse ébaucha un bref sourire et elle se dirigea sans gêne apparente, du moins l'espérait-elle, vers les deux élèves dont la table se trouvait à l'écart au fond de la classe. Ils semblaient travailler et Catherine se pencha un peu vers Joussouf, debout entre les deux élèves assis sur leur hauts tabourets. Ce dernier lui montra une feuille blanche et murmura en fixant son décolleté à vingt centimètres de son visage :

- Mhmmm..tu vois... ca te va mieux d'être la poitrine nue sous ta robe...

Catherine sursauta comme sous l'effet d'une douche froide, jetant un coup d'oeil vers la classe mais personne ne semblait avoir entendu. Les autres élèves étaient assez éloignés et tous plongés dans leur expériences. La jeune femme répondit d'une voix aussi ferme et assurée que possible.

- Cela suffit... il n'est pas question que cela continue ainsi... Et encore une réflexion de ce style et je ferais mon possible pour vous faire renvoyer.

Pour des enfants infortunés comme eux, être dans cette école était un privilège extraordinaire et son avertissement était très sérieux aussi pensait-elle avoir gagné en voyant l'air ébahi et incrédule de Joussouf. Mais ce dernier se reprit vite et soupirant il murmura:

- T'es réellement trop conne. Tu crois qu'on va te laisser, mais tu n'a pas de choix. Si tu ne veux pas que ce soit toi qui soit renvoyée !!!!! Et de plus, ajouta-t-il avec un air dépravé, je ne crois pas que cela t'ai déplu hier soir... non ?

Catherine paniqua, ainsi ils avaient découvert sa faiblesse. La jeune femme réfléchit à toute vitesse mais trop épouvantée elle ne sut quoi répondre et la jeune rousse vit Joussouf la dévisager et questionner d'une voix plus forte.

- Au fait... C'est bien d'étaler tes grosses miches... mais tu n'as pas mis de culotte j'espère... Cul nu et ta belle chatte à l'air comme on te l'avait demandé ???

Catherine blêmit, levant les yeux mais personne ne semblait avoir fait attention et apeurée la jeune rousse murmura :

- Moins fort, je vous en prie... Doucement...

Joussouf sourit et lui dit qu'il était satisfait qu'elle redevienne « raisonnable », c'était dans son intérêt. Mahoui qui n'avait pas dit un mot, recula peu à peu son tabouret et s'approcha un peu d'elle. Catherine sentit son souffle s'accélérer et un frissonnement honteux lui parcourir le ventre. Joussouf fixa la jeune femme dans les yeux et prenant sa main gauche il la coinça contre son entrecuisse.

- Bouge pas... laisse-toi faire gentiment... sinon...

Abdiquant sa fierté, la jeune femme était incapable de résister, l'anxiété mêlée à l'humiliation la laissait sans force. Catherine sentait le sang affluer vers ses joues et malgré elle une jouissance sale l'envahit, comme si la jeune femme prenait plaisir à ce qui arrivait. Mais les larmes aux yeux elle comprit l'avertissement de Joussouf et la jeune rousse faillit hoqueter de stupéfaction et de confusion quand elle sentit Mahoui prendre l'ourlet de sa robe et entreprendre de relever le tissu.

- Non... je vous en prie... arrêtez... pas ça...

Mais Catherine prononça ces mots d'une voix faible et hachée. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier, les joues cramoisies par la honte, la main droite crispée contre la table, elle fixait le mur, n'osant pas regarder Joussouf, l'air railleur et triomphant. Ce dernier tenant son autre main la forçait à l'effleurer à travers son jean. La jeune institutrice sentait son sexe se raffermir sous ses doigts.

Mahoui, lui, se délectait de la situation, lentement il découvrait les jambes longues et soyeuses de la jeune rousse, ravi de lui infliger cela. Il remontait la robe sur elle, parvenant à mi-cuisse et là, trop nerveux il la souleva d'un coup et la rabattit sur les hanches de la jeune femme.

Elle faillit hurler de honte et d'humiliation, fixant la classe les yeux écarquillés, écarlate mais nul ne semblait s'apercevoir de ce qui de passait. En effet la table haute et avec un rebord, fermée devant ne laissait voir que son torse pour les autres élèves. Pour Mahoui, le spectacle qu'il vit, faillit le faire éjaculer sur place. Catherine se rendait bien compte de ce qu'elle lui offrait.

La culotte-string, faisait rentrer une mince bande de tissu en dentelle noire entre ses fesses rondes et blanches. Le contraste devait être saisissant entre le tissu noir qui semblait ouvrir son cul et ses fesses plantureuses et laiteuses de vraie rousse. Soudain Catherine le sentit tâter d'une main son fessier, caressant sa peau douce et satinée, quant il lui murmura à l'oreille.

- C'est mieux comme ça, non ? Et dis-moi... ça te plaît de montrer ton cul bien blanc en plein jour. Tu as raison, tu es bandante, une vraie salope soumise...

Et en disant cela il glissa un doigt vers son sexe et écartant le tissu sentit l'humidité honteuse que la jeune rousse laissait deviner. Joussouf lui fit signe de se dépêcher, alors tirant sur l'élastique de la culotte il la fit tomber à ses chevilles. Complètement affolée, Catherine halète presque, le sexe en feu à sa grande stupeur et le fait de se savoir nue, exhibant ses fesses en cours, la troubla et lui arracha un gémissement qu'elle parvint à contrôler.

La jeune femme sentit alors Mahoui lui écarter les fesses et glisser un objet froid contre son anus qui se mit à palpiter. Joussouf lui dit alors :

- Serre bien les fesses ma jolie... oui comme ca... serre les bien... alors ça fait quoi d'avoir un bouchon de stylo contre le petit trou ?

Mahoui laissa retomber le tissu de la robe et se penchant ramassa la petite culotte qu'il posa bien en évidence sur la table. Le fait de voir sa culotte en soie noire, un de ses dessous les plus suggestifs posé là, sur les carreaux blancs de la table humilia fortement la jeune femme. Alors qu'elle restait là sans bouger, comme pétrifiée, Joussouf ajouta en lui caressant les fesses :

- Tu vas continuer le cours avec ça dans le cul. Sûr que tu trouveras un moyen pour mouiller encore plus !!! Et gare a toi si tu écartes trop tes grosses fesses. Imagine un peu quel effet cela produirait... allez... dégage...

Catherine l'imaginait sans peine, et la jeune rousse se redressa, serrant les fesses, sentant l'objet intrus contre son anus, prêt a tomber si elle se relâchait. La jeune institutrice marchait lentement vers son bureau mais elle n'osa pas s'y asseoir de peur de faire tomber le capuchon du stylo. Elle continua à surveiller les travaux pratiques, comme dans un cauchemar, la jeune femme sentait le bouchon bouger à chacun de ses pas, venant frotter contre l'entrée de ses reins. Catherine voyait Joussouf et Mahoui ricaner en voyant son allure coincée et ces derniers, sadiques, l'appelaient souvent.

Lorsque la jeune rousse arrivait, tremblante, Joussouf lui demandait si cela lui plaisait et ils l'obligeaient à rester entre eux, les mains sous la table. Catherine devait plaquer une main sur leurs braguettes qui à chacune de ses visites se déboutonnaient un peu plus. La jeune rousse en avait les larmes aux yeux, morte de honte, mais serrant les fesses pour que le bouchon ne tombe pas.

Enfin la sonnerie retentit et les élèves sortirent pour la pause. Seuls Mahoui et Joussouf restèrent assis. Elle les vit et crut que son coeur allais s'arrêter de battre. Quand tout le monde fut parti, Joussouf s'approcha d'elle et arrivé à quelques mètres, il s'assit à son bureau et dit :

- Allez... ça suffit... tu as été gentille ! Tourne-toi et penche-toi bien, on va te l'enlever !

A ces mots il éclata de rire, la mortifiant dans sa honte. Mais comme résignée, la jeune femme se tourna, se penchant, cambrant bien ses fesses qui se moulaient dans le tissu de la robe. Mahoui alla fermer la porte restée ouverte et Joussouf s'approcha et d'un coup sec, remonta la robe jusqu'aux hanches nues de l'institutrice.

- C'est vrai que tu as un beau cul.

Puis lui tâtant les fesses :

 - Bien douces et blanches comme tes miches ! Dommage que tu ne le montres pas plus souvent, mais enfin t'inquiètes pas !!! On va changer ça, avec nous tu vas bien bronzer. Allez maintenant, penche-toi bien, plie un peu les genoux ! Je veux que tu me tendes bien ton cul, mais sans l'ouvrir !!

Les joues baignées de larmes, Catherine obéit avec une écoeurante faiblesse, humiliée et se pencha bien en avant, jambes pliées, les fesses tendues, la tête à quelques centimètres du sol. Mahoui vint devant elle et la bloqua dans cette position. La jeune rousse gémit et les suppliait mais en vain.

- C'est bien... Passe tes mains derrière, tu vas bien t'ouvrir le cul, mais lentement. Compris salope ?

Elle murmura un « oui » étouffé dans ses sanglots et prenant ses fesses blanches dans ses mains, Catherine les ouvrit peu a peu, les écartant pour faire tomber le bouchon. La jeune bourgeoise s'ouvrait et s'offrait de la façon la plus obscène qu'il soit. Les fesses assez écartées elle ne comprenait pas pourquoi le bouchon ne tombait pas, c'est alors que la jeune femme comprit que Joussouf le retenait. Dans un souffle rauque il lui dit:

- Oui comme ça ! Ouvre bien, écartes plus que le bouchon tombe !! mmhhh, quelle jolie rondelle dans ce sillon poilu. C'est une vraie forêt rousse... humm et si douce... c'est bandant comme ça... mais il faudra quand même que l'on te rase un peu... hein ! ah.ah.ah !!

Catherine sanglotait et écartait les fesses de plus en plus, la jeune femme poussait bien, s'ouvrant bien a fond. Joussouf bandait comme un fou, il retenait le bouchon, fixant l'étroite ouverture de son anus. Il la voyait, elle, sa maîtresse, forcer et s'ouvrir du mieux que la jeune rousse pouvait. Cette scène lui paraissant irréelle, il aurait voulu la prendre de suite, dans cet anus qui commençait à s'ouvrir et à palpiter.

Soudain alors que la jeune femme poussait, son anus s'entrouvrit un peu et le bouchon poussé par Joussouf força l'ouverture de ses reins et s'enfonça de moitié dans son cul. Joussouf, stupéfait, éclata de rire, imité par Mahoui. Catherine sanglota et éclata en pleurs, humiliée comme jamais.

La jeune femme tenta de se redresser mais Mahoui lui bloquait la nuque d'une main et de l'autre caressait sa gorge découverte et glissait une main dans son décolleté soupesant les seins lourds à tour de rôle.

- Allons, doucement !! Tu ne vas pas faire d'histoires pour un simple bouchon dans le cul, non ?

Mais, affolée, Catherine n'écoutait même plus les insultes et les commentaires et elle essayait de se relever. Les contractions eurent pour conséquences de faire sortir le bouchon de son anus avec un bruit de succion obscène. Joussouf, toujours derrière la jeune rousse, lui écarta les fesses qu'elle avait lâché et passa un doigt dans son sillon.

- Ohhh, mais tu es moite et trempée chérie. Et ça alors, tu mouilles autant du cul que de la fente. Ben ma cochonne !

Il glissa un doigt vers son anus pendant que de l'autre main il jouait avec son sexe. De sentir leurs mains tripoter ses seins, les pointes dures, fouiller son sexe et caresser l'entrée de ses reins, la jeune professeur poussa un gémissement qui les fit rire. Catherine halète, épuisée par le plaisir immonde qui monte en elle mais quand la jeune rousse sent le doigt de Joussouf essayer de forcer son anus, elle ne peut retenir un cri.

- Eh mais ! Tu es étroite, encore vierge de ce côté ? Noonnn ! Pas avec le cul que tu as !!! Ton mari n'a jamais essayé de te faire sauter la rondelle ??

A ces mots, la jeune femme ne peut s'enpêcher de penser qu'elle offre plus à ces deux gamins, que ce que son mari n'avait jamais pu obtenir d'elle, bien que ce ne soit pas faute d'avoir essayé. Puis Joussouf, pensif, la lâcha, imité par Mahoui.

Catherine se releva les jambes tremblantes, le visage écarlate, les cheveux défaits, la poitrine se soulevant avec rapidité. La jeune rousse était superbe dans sa honte, les yeux étincelants, la bouche humide, les narines pincées. Elle détourna la tête, morte de honte, se repeignant avec des gestes fébriles. Puis elle lissa sa robe, froissée et elle rattacha les boutons de son décolleté que Mahoui avait défait, et qui montraient largement ses seins blancs qui pointaient, aux tétons durs et érigés.

Joussouf l'attrapa par le poignet et sans douceur la força à s'asseoir sur le bureau...

Il vint devant la jeune femme, la fixant dans les yeux et remonta sa robe devant, révélant ses cuisses nues et bloquant le tissu sur ses hanches, il lui écarta les cuisses. Catherine resta ainsi face à la porte, cuisses écartées, montrant sa toison rousse et bouclée et plus bas sa fente et son clitoris tendu. Muette, la jeune femme ne savait comment réagir quand elle vit Joussouf prendre un gros feutre noir.

Mahoui passa derrière elle et lui bloqua les poignets. Affolée et inquiète la jeune rousse les supplia de la lâcher. Elle vit alors Joussouf prendre le feutre et dessiner sur sa cuisse très haut un énorme sexe dont le gland frôlait sa toison.

La jeune institutrice se débattit mais en vain, il lui bloqua l'autre cuisse et écrivit en gros sur sa peau laiteuse « Baisez-moi ».

Le contraste entre l'encre noire et les cuisses blanches de la jeune femme tranchait et elle se sentit sale et obscène. Il recula et contempla son oeuvre avec un rire gras. Elle entendit Mahoui faire de même. Catherine était assise devant lui sur le bureau les bras bloqués derrière, la poitrine tendant sa robe, cuisses bien écartées, humiliée. Pendant un moment la jeune rousse crut qu'ils allaient l'obliger à rester ainsi jusqu'à ce que les élèves rentrent. Elle paniqua mais finalement Mahoui la lâcha et elle se releva hagarde, rabaissant sa robe.

Joussouf reposa le feutre et ils restèrent à la regarder dans un silence humiliant et pervers.

Catherine ne savait plus où se mettre et finalement, en sanglots, la jeune femme se précipita vers la porte, courant dans les couloirs vides jusqu'aux toilettes, entendant les rires des deux jeunes arabes résonner dans les couloirs. Elle resta cinq minutes à pleurer en silence, enfermée dans les toilettes puis reprenant courage la jeune femme retourna en cours.

En entrant, elle vit la classe en train de discuter mais au fond Catherine aperçut Joussouf et Mahoui en train de parler avec trois de leurs camarades, des mauvais élèves comme eux. Ils se turent en la voyant rentrer et la jeune institutrice crut mourir de honte en voyant les regards moqueurs que lui lançaient les cinq jeunes magrehbins.

Elle s'assit à son bureau, prête à faire une crise de nerfs quand le silence revint et que les élèves s'assirent. La jeune femme vit, tremblante, deux des gamins avec qui parlaient Joussouf et Mahoui, venir s'asseoir juste devant son bureau. Machinalement dans un geste inutile la rousse serra les cuisses sachant que sa longue robe cachait bien ses jambes et surtout les traces humiliantes du feutre.

Sachant que Catherine ne pourrait pas tenir un cours, énervée, elle leur donna une interrogation surprise qui fut mal acceptée par la classe. Pour éviter les regards gênants des élèves, la jeune professeure se plongea dans la lecture d'un livre, jetant de temps en temps un coup d'oeil pour voir les élèves concentrés à réfléchir. Cela faisait une vingtaine de minutes que l'interrogation avait commencé quand levant les yeux la jeune femme vit un des deux élèves devant elle, Sidi, faire des gestes discrets.

Catherine le fixa quand il la regarda et montrant sa robe de son menton lui fit signe discrètement de la remonter. Son bureau sans planche était presque collé contre leur table. Catherine pâlit et fit mine de feindre la colère sachant tout au fond d'elle que la jeune femme était terrorisée et qu'un plaisir diffus la poussait à obéir. Devant son regard, il lui montra Joussouf, qui lui fit comprendre par gestes que la jeune institutrice devait lui obéir ou sinon...

Elle jeta un regard circulaire et puis discrètement les mains tremblantes, elle fit remonter un peu sa robe jusqu'à ses genoux. Jetant un regard, la jeune femme vit les deux arabes les yeux rivés sur ses jambes et elle en éprouva un dégoût profond pour son obéissance.

N'osant pas les regarder, Catherine tourna la tête, mais elle sentit un pied taper contre le sien et levant les yeux la jeune femme comprit que ca ne suffisait pas. Affolée et humiliée la jeune rousse ne savait comment réagir, et elle s'interrogeait sur les conséquences d'un refus. Elle baissa la tête, se replongeant dans la lecture espérant que cela les découragerait mais il n'en fut rien.

Le premier geste d'obéissance de la jeune femme leur avait fait comprendre qu'ils la tenaient. Sidi lui donna un deuxième coup plus poussé et elle leva les yeux dans un réflexe. Il fixait la jeune rousse, d'un regard dur et cupide, son voisin, Ali faisait de même. Catherine sentit sa force la quitter.

Sidi lui montra une ligne invisible sur sa cuisse et du menton lui ordonna de la relever plus. Heureusement pour la jeune femme, eux seuls pouvaient voir sous le bureau. Complètement soumise et honteuse, la jeune bourgeoise glissa ses mains sur la robe et tournant la tête elle fit remonter le tissu, les cuisses serrées dans un dernier sursaut de dignité. Catherine pouvait sentir leurs regards palper sa chair.

La jeune femme remonta doucement le tissu, leur dévoilant ses cuisses nues et laiteuses et elle s'arrêta, la robe remontée à cinq centimètres de son sexe. L'humiliation lui cuisait les joues, même les cuisses serrées la jeune rousse savait qu'ils pouvaient voir en partie les traces au marqueur. Catherine tourna lentement la tête et elle les vit, penchés sur leur table ne perdant pas une miette du spectacle qu'elle leur offrait.

Elle ferma les yeux un moment, avilie et pourtant la jeune rousse sentait un nouveau plaisir la gagner. En les ouvrant, Catherine vit Sidi qui la regardait, l'air moqueur et sûr de lui, puis, par gestes, il lui montra les hanches. La jeune institutrice fit non de la tête mais au fond de la classe, elle vit Joussouf se lever lentement.

Paniquée, elle obéit et remonta sa jupe sur ses hanches, la jeune rousse mit une main devant ses yeux pour cacher les larmes de honte. Mais Catherine pouvait les voir, Sidi et Ali fixant le haut de ses cuisses puis les boucles de sa toison rousse et enfin une partie de ses hanches nues. La jeune professeur s'exhibait devant ces deux arabes, ayant perdue toute notion de pudeur.

Sidi la fixa à nouveau et avec ses mains, il lui fit comprendre qu'il désirait qu'elle écarte les cuisses. Comme dans un cauchemar trop réel, Catherine obéit, écartant ses cuisses d'un vingtaine de centimètres. La jeune femme les vit sourire en découvrant les dessins obscènes sur ses cuisses. Ali sortit sa langue et il fixa la jeune rousse en caressant sa braguette, murmurant « baisez-moi ».

Catherine pâlit, le ventre s'humidifiant, les pointes des seins dressées malgré elle, en le voyant sortir son sexe en demi-erection. Sidi lui fit encore et encore écarter les cuisses, et la jeune femme obéissait avec de moins en moins de dégoût, jusqu'à ce que la jeune rousse soit complètement ouverte et offerte, le sexe en avant, la vulve bien découverte.

Catherine De Montfort avait honte d'elle, jamais la jeune femme n'aurait pensé que l'on pouvait s'offrir de cette façon. Elle ne pouvait soutenir leurs regards brillants et vicieux alors baissant les yeux la jeune femme réprima ses sanglots.

Soudain Catherine vit un papier roulé que l'on jetait sur son bureau. Levant les yeux, inquiète, la jeune femme fixa la classe mais tout le monde semblait travailler même Sidi et Ali. Défroissant le papier la jeune institurice lut :

- C'est très bien, mais maintenant tu vas remonter ta robe très haut sur tes hanches ma belle. Je te veux cul nu sur la chaise...

Tremblante, elle vit Sidi et Ali ricaner, et glissant une main mal assurée vers la robe la jeune rousse obéit. Elle remonta lentement le tissu fin sur ses hanches, la tête baissée, ne pouvant regarder la classe. Il lui semblait que tous savaient ce qu'elle faisait. Doucement, aussi discrètement que possible la jeune femme tira sa robe dans son dos, se soulevant un peu. Catherine se rassit, posant ses fesses nues et delicates sur le bois de la chaise. A ce contact la jeune femme eut un frisson de honte violent.

La jeune bourgeoise resta dans la même position, cuisses écartées, le sexe en avant, offerte et humiliée. Les narines pincées, elle les fixait, les yeux sur leurs sexes sortis et nus, durs. Ils se masturbaient devant elle, fixant la jeune rousse d'un air merdeux et ironique. La vision de ces gamins hautains, devant lesquels pour la première fois elle s'offrait impudiquement, provoqua un spasme violent qui la secoua entièrement tel un frisson qui lui parcourait le corps. Catherine ne put soutenir leurs regards lubriques et elle baissa les yeux, essayant d'oublier la situation mais en vain. Quelques minutes après, la jeune femme vit Sidi lancer une feuille pliée sur le bureau.

Catherine ne voulait pas la voir, ayant peur de ce qui pouvait lui être encore demandé. Mais d'une main hésitante l'institutrice prit le papier et l'ouvrit :

"Chère madame,
Quelques mots pour dire ce que je vois. Il faut bien que vous appreciez la situation à sa juste valeur. Pour la classe vous êtes très sérieuse avec votre robe classique malgré votre poitrine trop arrogante. Mais il suffit que l'on se penche et là alors tout devient différent. Là, tu es cuisses bien ouvertes, et les inscriptions sur tes jambes ne font que confirmer ce que l'on voit. Tu as une toison superbe, douce et légère mais assez fournie, il parait que tu as la raie très poilue. Mais ces poils roux sur cette peau blanche, c'est fichtrement bandant, surtout qu'ils dévoilent bien ta fente que je crois un peu mouillée, non ???
T'as pas l'habitude de te montrer hein ? Mais tu vas vite apprendre avec nous."

Complétement avilie, Catherine se rendit compte de sa pose et d'un geste nerveux elle rabattit la robe sur ses cuisses. Les joues cuisantes de honte la jeune femme n'osait les regarder mais elle entendait leurs rires étouffés et leurs remarques obscènes. C'est à ce moment que la cloche se mit à sonner. Dans un brusque réflexe la jeune professeur resserra ses jambes, réajustant sa tenue, afin de retrouver une allure normale.

Mais devant elle, les deux jeunes arabes ne paraissaient ni pressés ni gênés. Ils ne firent que rabattre leurs tee-shirts sur leurs braguettes ouvertes afin de dissimuler leurs sexes que la jeune rousse devinait tendus. Catherine essaya de cacher sa gêne quand les élèves se levaient pour me rendre leurs copies en sortant. Mais son coeur battait de plus en plus fort à chaque fois que la salle se vidait petit a petit.

Elle ne pouvait s'empêcher de jeter un coup d'oeil vers les deux arabes qui semblaient penchés sur leurs copies. Mais son regard se troublait lorsque la jeune femme pensait à leurs tenues. Soudain alors que Catherine les fixait, Sidi leva les yeux et croisa son regard. Il lui sourit avec une lueur ignoble dans les yeux et posa sa main sur son entrecuisse, fixant la jeune rousse d' un air ironique.

Affolée, elle détourna la tête, honteuse et avilie, ne remarquant pas qu'un élève lui tendait sa copie avant de sortir. La jeune femme la prit avec précipitation, les mains tremblantes. Joussouf se leva à ce moment et en lui rendant sa copie, il murmura « Ce n'est qu'un début », qui la fit frémir et Catherine dut se contrôler afin de ne pas s'enfuir en courant. Les élèves sortirent un par un. Il ne restait plus que Sidi et Ali dans la classe.

A son grand soulagement ils se levèrent rhabillés et Ali lui rendit sa copie et sortit sans un mot. Sidi s'approcha de sa jeune institutrice, elle recula, mais avec un sourire amusé il lui lanca un papier sur le bureau et dit :

- Demain, viens une heure avant les cours pour suivre les instructions que l'on te donnera ! ah ! ah ! Et je te rendrais la copie... si tu es gentille ah ! ah !

Surprise et soulagée de le voir partir la jeune femme resta assise quelques minutes pour se calmer puis elle prit le papier et le glissait avec ses copies sans le lire, le ventre noué par la peur. Ce matin Catherine était résolue à arrêter ce chantage odieux mais maintenant la jeune femme faiblissait. Elle se rendait compte avec horreur qu'elle continuerait même si les situations devenaient de plus en plus éprouvantes et humiliantes, enfin surtout si elles le devenaient...

La faiblesse et ce plaisir nouveau et sale lui faisait perdre toute notion de logique et l'empêchaient de penser aux risques encourus. Catherine rentra chez elle, et seule, la jeune rousse resta assise à penser à ce qui s'était passé aujourd'hui et se rappelant de leurs sourires ignobles, des frissons malsains lui parcourèrent le corps. Elle se coucha de bonne heure. Lorsque son mari rentra, la jeune femme fit semblant de dormir, espérant qu'il n'oserait pas la réveiller. Au milieu de la nuit, elle se réveilla, haletante, la respiration saccadée, constatant avec honte son ventre trempé. Enfin le matin arriva, et Catherine se leva, laissant dormir son mari et elle courut prendre une douche froide pour effacer les traces de cette nuit agitée et calmer ses sens affolés.

A suivre...

lundi 27 novembre 2023

Jennifer - Ch. 01

 Traduction Par Coulybaca d'un texte de Black Demon

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Le dépucelage de Mademoiselle Emerson.

Assis au second rang, Dwight Nelson regardait la prof inscrire sur le tableau la solution du problème. C'était la seconde année qu'il fréquentait la classe tenue par cette ravissante prof toujours si élégamment habillée. Le seul problème qu'il se posait était :

- Comment pourrai-je bien faire pour me la sauter ?

Mais il savait qu'il n'avait aucune chance de coucher avec elle, du moins en employant les voies normales. Cependant il aimait rêver que la jolie jeune femme soit attirée par ses charmes.

Au collège Wilson, tout le monde considérait Dwight Nelson comme un pauvre type, un handicapé social. Il se situait dans la marge basse de la classe en Education Physique, et ne se maintenait dans cette classe que grâce à ses capacités intellectuelles bien supérieures à la moyenne.

Des aînés aux plus jeunes, tout le monde se moquait de lui. Lorsque les cours commencèrent, cette année, un arrogant étudiant blanc fit l'erreur de le brutaliser pour impressionner les jeunes filles de première année, il avait arraché les livres des mains de Dwight et les avait lancés dans la poubelle, obligeant Dwight à se ridiculiser pour les reprendre.

Ce jeune athlète, inscrit de fraîche date, ignorait que Nate Thompson, le musculeux joueur de foot américain, était le meilleur ami de Dwight, son protecteur. Il pesait 125 kg et était une des vedettes de l'équipe de football. A eux deux, ils alliaient force et intelligence et formaient une étroite paire d'amis depuis la maternelle. Dwight aidait Nate dans ses études, et Nate protégeait Dwight des brutalités des collégiens qui se montraient violents à son égard.

L'année précédente, un joueur de baseball fit l'erreur fatale de ridiculiser Dwight devant ses coreligionnaires, cet élève postulait pour une bourse, il devait l'obtenir s'il se montrait aussi performant que l'année précédente, malheureusement, avec un bras cassé, une mauvaise fracture, on ne peut pas prétendre réaliser une bonne saison sportive.

Comme l'infortuné athlète qui venait de lancer les livres de Dwight dans la poubelle, il ne sut jamais qui l'avait agressé. La seule chose qu'il savait c'est qu'il gisait par terre, les lèvres fendues, trois dents cassées, il avait alors entendu une voix grommeler :

- Si touches à un seul cheveu de Dwight, ou si tu le brutalises à nouveau, tu ne pourras plus bouffer que de la purée...

Une seconde plus tard, il vomissait tripes et boyaux après avoir reçu un coup de pied dans les couilles. La mâchoire fracturée, tenue par des broches, le jeune athlète était bien incapable d'intégrer l'équipe de basket.

C'était assez surprenant de voir un couple d'amis si dissemblable, Dwight ne s'intéressait qu'à la lecture, ils se réunissaient principalement lorsque Nate avait besoin d'aide pour faire ses devoirs, ce qui arrivait presque tous les deux jours.

Ils habitaient deux immeubles voisins, et Dwight était habituellement si solitaire que ses parents s'étaient réjouis quand ils avaient vu qu'il avait un véritable ami, étrangement, ils riaient avec les camarades qui se gaussaient de leur paradoxale amitié. Dwight se referait à son ami l'appelant : - l'athlète noir muet alors que Nate se moquait de son pauvre visage boutonneux de blanc.

Athlète talentueux, Nate avait beaucoup d'admiratrices au collège, alors que Dwight n'avait jamais fréquenté de fille, et que cela n'entrait pas ses projets. Nate cherchait à convaincre son ami de se lancer, et de ne pas se tracasser parce qu'une fille lui tournait le dos.

Un soir, alors qu'une fois de plus il cherchait à convaincre Dwight de draguer les filles, il lui demanda :

- Y-a-t-il une fille dans le collège qui te donne la trique ?

Voyant son ami hocher la tête, il se demanda qui ce pouvait bien être, ça demandait une petite enquête. Alors que Dwight l'aidait à solutionner son problème de math, Nate le poussa du coude, l'interrogeant sur le nom de sa dulcinée. Il voyait que son copain était très embêté.

- Allons Dwight... Tu sais que ça restera entre nous... Dis-moi qui te fait bander...

Grinçant des dents, ayant besoin d'exprimer son amour pour son adorable prof, Dwight allait le dire à son seul et unique ami.

- D'accord Nate... Mais tu me jures que ça restera entre nous, et que personne n'en saura rien...

Le voyant hocher la tête en signe d'approbation, il hésita quelques secondes, puis se lança :

- La seule qui me fasse vraiment bander , c'est... Mademoiselle Emerson...

Ebahi parce qu'il venait d'entendre, Nate regardait son ami les yeux vides, il lui demanda de confirmer :

- Mademoiselle Emerson ? Ta prof de maths ?

Dwight murmura un oui misérable. Effaré Nate retomba dans son fauteuil et soupira profondément. Il avait déjà croisé la jolie mademoiselle Jennifer Emerson dans les couloirs du collège, mais il ne l'avait jamais approchée d'assez près pour avoir la trique à sa vue. Il n'avait jamais fréquenté ses classes et ne les fréquenterait jamais, elle n'exerçait que dans les classes accueillant des surdoués.

Nate ne se moqua pas de Dwight. Un jour qu'il était convoqué au bureau du principal, il passa par les couloirs et s'arrêta pile en face de la salle de classe de mademoiselle Emerson. elle était assise à son bureau, ses longues jambes sexy croisées l'une sur l'autre. Il vérifia que personne ne l'observait, il se rua alors sur la porte et toqua pour l'attirer au dehors. Elle se leva découvrant largement ses cuisses qu'il put mater, et vint ouvrir la porte pour voir qui avait toqué, mais Nate était déjà reparti.

- Bordel, Dwight... Elle est drôlement baisable ta prof... C'est pas une de ces stupides minettes avec lesquelles on baise facile... J'ai pas plus de chance que toi de m'la faire... As-tu vu qu'elle porte une alliance... Comme c'est là elle va bientôt épouser un de ces poseurs de blanc... Et t'aimerai te la faire bien sûr... cette salope...

Bien qu'entêté, Nate était incrédule. Maintenant qu'il avait dévoilé son secret à son seul et unique ami, Dwight voulait lui en dire plus.

- Je rêve d'elle chaque nuit depuis que je l'ai vue l'année dernière dans sa classe. Elle... Elle, je ne pense qu'à elle quand je suis en classe... et le soir dans mon lit... commenta-t-il pour son ami.

- J'aimerai qu'elle voit en moi un homme... pas un élève... Ou un pauvre type... continua-t-il rêveusement.

- Eh mon gars... Fais attention où tu mets les pieds... Tu ne pourras jamais la baiser... Tout ce que tu risques c'est de te faire virer... Tu n'es qu'un de se élèves... Tous les élèves se payent une de ces triques quand ils la croisent... La salope, ce que j'aimerai passer la nuit dans son lit... Mais pour ça faudrait l'enlever... La violer... Oublie ça mon ami... lui conseilla finalement son copain.

C'était la deuxième année que Jennifer Emerson effectuait, elle était chargée de la classe des surdoués et prenait cela comme un honneur. Agée de 25 ans, elle était toute excitée à l'idée d'épouser Tim Harrington son amour des années collèges. Sa licence d'enseignement en poche, elle avait été toute surprise d'être contactée par le principal du lycée pour prendre en main la classe des surdoués. Au départ cela l'effrayait un peu d'enseigner à un niveau bien supérieur à celui du collège. Ce genre de poste, fort bien rémunéré, était rarement proposé à un débutant. Pour l'enseignant chargé de ces élèves qui sortaient de l'ordinaire, c'était une attestation de sa compétence, mais le principal du lycée était un ami de son censeur et il l'avait chaudement recommandée. C'était le pourquoi de cette proposition.

Elle fut convaincue en apprenant qu'elle n'aurait affaire qu'à de jeunes étudiants sérieux et doués, qu'elle n'enseignerait que dans les classes d'élite. On n'y trouvait pas de drogués ou d'élèves grossiers encore moins des fauteurs de troubles. Cette constatation du principal la mit à l'aise et elle accepta le poste espérant y obtenir la qualification idoine pour enseigner à ce niveau.

Jennifer mettait un point d'honneur s'habiller élégamment, elle voulait se montrer professionnelle jusqu'au bout des ongles. Elle savait d'expérience, elle l'avait maintes fois constaté dans ces années collège, que les hommes se sentaient attirés par elle, elle en avait parfois joué, s'habillant de façon parfois un rien suggestive. Tout le monde la complimentait sur sa beauté, mais ces compliment l'embar-rassaient, elle en était assez peu friande.

Sa beauté naturelle avec ses longs cheveux bruns faisait tourner la tête des hommes, beaucoup pensait qu'lle était modèle de mode, ce qui lui aurait d'ailleurs assez plu. Dans l'exercice de ses fonctions, elle s'habillait élégamment mais de façon très classique, parfois même sévère. De toute manière, quoi qu'elle porta, elle charmait l'oeil de ses étudiants et des membres de l'équipe éducative. Elle était si absorbée par la préparation et la tenue de sa classe qu'elle ne prêtait aucune attention aux regards concupiscents qui se posaient parfois sur elle.

Comme les cours se terminaient à la mi-juin, elle espérait épouser son futur fin juin. Ces deux dernières années, Tim travaillait dans une ville éloignée, leurs relations se bornaient à des échanges téléphoniques, et aux rencontres du week-end.

Maintenant que Tim avait obtenu son transfert, ils avaient pu fixer la date des noces, ils avaient même consacré une somme assez importante à l'achat d'un petit pavillon dans la banlieue.

On arrivait à la troisième semaine de mai, et Jennifer voulait voir les travaux à effectuer dans leur pavillon aussi vite que possible. Ils en avaient pris possession la semaine précédente, et avaient déjà acheté un tas de fournitures, ils avaient demandé leur livraison à la mi-juin à l'issue de l'année scolaire.

Jennifer considérait que le début des vacances formait un moment privilégié pour prendre possession d'un nouveau domicile. Tim devait retourner à son ancien appartement pour faire ses bagages et préparer son déménagement, en fait Tim avait accumulé certains achats à son domicile et il fallait maintenant les rapatrier. Comme Tim terminerait son déménagement à la mi-juin, elle avait décidé de faire ses propres préparatifs ces trois week-ends.

Elle se sentait excitée. A la vue des nombreux articles qu'elle avait déjà emballés, elle se félicitait d'avoir loué un camion de déménagement et demandé à un de ses étudiants de l'aider.

De retour dans sa chambre, Nate se moqua un peu de son ami et de ses envies luxurieuses. Il voulait le convaincre qu'il n'avait aucune chance de tirer la jolie prof et qu'il fallait l'obliger à affronter la réalité.

- Navré mon ami, mais il ne te reste qu'à rêver d'elle la nuit, comme on espère un bon dessert. Mais bordel, fais face mon ami, tu n'as aucune chance de seulement te retrouver seul avec la ravissante demoiselle Jennifer Emerson, pas plus que d'autres d'ailleurs !

Dwight sourit tout excité :

- Bon , je vais te dire... Hier, mademoiselle Emerson a demandé si quelqu'un voulait gagner une paire de dollars le prochain week-end, apparemment elle déménage dans un pavillon de banlieue qu'elle a acheté pour y vivre avec le type qu'elle épouse. J'ai sauté sur l'occasion et je me suis proposé pour l'aider. Bien sûr je n'ai aucune chance de me la faire. Mais je suis tout excité rien qu'à l'idée de me trouver seul avec elle toute la journée !

- Ca alors... tu vas être tout seul avec ta ravissante prof ! s'exclama Nate ébahi.

Il ne se serait jamais attendu à ce que son malheureux copain prit l'initiative de proposer son aide, ce qui allait lui permettre de rester seule avec sa belle prof. Secouant la tête avec incrédulité, Nate ne parvenait pas à le croire, mais Dwight avait l'air sérieux. Il lui demanda :

- As tu préparé un plan ?

Dwight haussa les épaules lui répondant :

- Tu... Tu penses qu'elle me giflerait si je tentais de l'embrasser !

Il soupira, sachant que son copain avait raison, il n'avait aucune chance de se la faire, il révéla :

- Je rêve toujours d'embrasser ses lèvres si douces, puis de glisser mes mains sous son corsage pour jouer avec ses jolis tétons. Et une fois que je lui aurai caressé les seins, elle me laisserait lui sucer la chatte et nous ferions l'amour !

- Si t'essayes de l'embrasser, elle t'arrachera les yeux Dwight... le prévint Nate.

Il ne voyait pas comment l'aider, mais il sentait sa queue s'ériger à l'idée ce qu'ils pourraient faire avec la jolie prof de maths. Son copain était mal embarqué, il y avait un large ravin entre ses rêves et la réalité, il ne pouvait l'en blâmer, lui aussi aimerait bien se la faire. Il cherchait comment son copain pourrait profiter de cette journée seul avec la jolie prof pour concrétiser ses rêves. Peut-être bien qu'il existe un moyen d'en profiter tous les deux.

Il réfléchissait.

- Hey, Dwight... Est-ce que tu veux vraiment te faire mademoiselle Jennifer Emerson ? Si oui, je connais bien un moyen sûr de la baiser... l'informa Nate.

Dwight s'était figé, il fixait Nate les yeux écarquillés, ce dernier ajouta :

- Tu vas te livrer à un travail physique pour l'aider à déménager... Un moment donné, elle t'offrira sûrement un rafraîchissement... pendant une pause... Quand elle sera distraite, tu glisses une pilule dans son verre, ça l'assommera ou tout au moins ça sapera sa résistance.

- Tu penses à la... A la violer ! demanda Dwight effrayé par la proposition de son ami.

- Je veux lui faire l'amour, c'est sûr... Mais de là à la violer !

- Enfin si tu veux te la faire... il suffit de corser sa boisson... Mais je ne sais pas où trouver une drogue... Crois-tu que je puisse l'acheter en pharmacie ? s'enquit-il.

Nate secoua la tête.

- Avec tes connaissances tu crois que je pourrai en trouver ?

- Mais bordel, y'a plein de dealers dans cette foutue école, tu peux te procurer tout ce que tu veux en rodant dans les couloirs. Mais tel que je te connais, tu t'adresserais à la mauvaise adresse et tu te ferais casser. Allez, je vais m'en occuper, mais j'aurai aussi le droit de me la faire en second. Je vais te dégotter une drogue qui va l'assommer totalement, ça va être d'enfer tu pourras la baiser tout ton saoul, éveillée et sans lutte. Imagine là se tortillant sous tes assauts quand tu lui mettras ta bite dans la chatte. T'en fais pas copain je lui maintiendrais les bras immobiles, comme ça elle ne pourra pas t'arracher les yeux et tu pourras la baiser dans son petit trésor.

Et le week-end suivant, Dwight se présenta à l'heure juste au rendez-vous de Jennifer Emerson. Poliment il salua la ravissante jeune prof. Il suivait ses instructions, emportant les cartons étiquetés de la chambre à la porte d'entrée. Cette tache effectuée, ils firent de même avec les paquets qui encombraient la salle de bain, puis ils chargèrent la camionnette. Enfin ils démontèrent quelques étagères qu'il faudrait remonter dans le pavillon.

Alors que Dwight travaillait à son rythme, Jennifer s'affairait fiévreusement, emplissant de nouveaux cartons, cherchant à déterminer les choses dont elle pourrait se passer plusieurs semaines. Puis le téléphone sonna, Jennifer répondit. C'était le magasin où son fiancé et elle même avaient commandé des fournitures.

- Ok, c'est d'accord, livraison le mercredi 18 juin, c'est noté... vers 10 heures, bien je serai là... ce sera parfait, ainsi tout sera terminé pour le 21... l'adresse... Oui c'est ça... 355 rue du port... Dites à votre livreur que la maison est beige avec des volets brun sombre.

Comme tous les intellectuels, Dwight avait toujours un stylo et un carnet sur lui, mademoiselle Emerson avait pris le coup de téléphone dans la chambre pendant qu'il empilait les caisses dans la salle de séjour. Saisissant son stylo et son carnet, il nota l'heure, le jour et l'adresse de livraison. Dwight était si anxieux qu'il n'avait même pas remarqué la tenue habituelle de la jeune prof. Au lieu des tenues ultra classique qu'elle arborait au collège, dans son appartement elle circulait pieds nus, ses longues jambes dépassant d'une courte jupe. S'en rendant compte Dwight se sentit tout excité, sa queue frémissait dans son pantalon.

La jolie mademoiselle Emerson portait un chandail, avec une courte jupe bleue clair et un corsage, Dwight avait bien du mal à décoller les yeux de ses pieds nus et de ses longues jambes. Une heure plus tard, elle posa une main sur son épaule, suggérant de faire une pause en buvant un coca. Assis à même la carpette, le dos appuyé contre le mur, Dwight sirotait son coca. Ebahi, il vit mademoiselle Emerson prendre son coca et venir s'asseoir à ses cotés, sur le tapis. Il nota qu'elle s'y prenait habilement pour s'asseoir, plissant sa jupe contre ses jambes, pour ne rien révéler de son intimité.

Ils récupéraient ainsi côte à côte. Dwight aurait bien aimé que dans un coup de folie elle lui tombe dans les bras, ce qui lui aurait permis de raconter à Nate que tout était consommé.

Ils discutèrent à bâtons rompus pendant quelques minutes. Elle le questionnait sur ses intérêts hors travaux scolaires, elle semblait vraiment s'intéresser à lui et juste au moment où il allait lui confier ses désirs, le téléphone sonna à nouveau. Il la regarda se ruer dans la chambre pour répondre à l'appel, abandonnant son coca sur la carpette.

- Salut chéri... Je te manque tant que ça... j'espère que tu reviens ce week-end... l'entendait Dwight répondre au téléphone.

A cet instant le plan concocté avec Nate lui revint à l'esprit, à l'entendre discourir avec son bien-aimé au téléphone, il comprit qu'il n'avait aucune chance de se la faire autrement qu'en suivant le plan de Nate. Il prit donc la pilule que Nate lui avait remis plus tôt, et il la glissa dans la boite de coca de mademoiselle Emerson. Puis il la secoua brièvement pour faciliter la dissolution de la pilule dans le breuvage épais avant de l'amener à mademoiselle Emerson, conversant avec son fiancé, assise sur le lit.

Sirotant une lampée de son coca, il tendit sa boite à mademoiselle Emerson, elle lui sourit en remerciement tandis qu'il repartait continuer sa tache. Abandonnant mademoiselle Emerson dans la chambre, il se rendit dans la salle de bain, hors de vue de la belle. Coeur battant la chamade, il se dirigea tout droit vers le carton de vêtements sales qu'il avait remarqué plut tôt. Il ouvrit le couvercle et jeta un oeil sur le contenu. Le carton contenait des petites culottes roses, des soutien-gorges et encore d'autres sous-vêtements. Il prit un des soutien-gorges, et la main en cloche sur le bonnet il apprécia la taille des seins de la belle. Drapant le soutien-nibard sur le carton il prit alors une soyeuse petite culotte rose, la portant à ses narines, il inhala fortement se régalant des flagrances intimes de la jolie prof, puis il lécha avidement le fond de la petite culotte.

Jennifer écoutait Tim lui préciser ce qu'il faisait, quels effets il emballait.

- Oui, l'élève dont j'ai loué les services m'aide à démonter les étagère du salon et de la salle de bain, je vais emmener le plus possible de cartons ce week-end. Ce garçon me donne un bon coup de main, je suis contente d'avoir loué ses services...

Mademoiselle Emerson aurait été bien étonnée en voyant le garçon si réservé se branler dans une de ses petites culottes. 

Ayant juté dans la petite culotte de sa prof adorée, Dwight retourna dans la salle de séjour d'où il pouvait surveiller la chambre. Il se remit à bander instantanément au spectacle de ces longues jambes dénudées. Tout à la conversation avec son fiancé, Jennifer ne prenait pas garde à ce que sa position révélait de ses charmes.

Tout en conversant avec son fiancé elle but une large rasade de son coca elle avait presque vidé la boite. Dix minutes plus tard, elle termina son coca et jeta la boite vide dans la poubelle. Nate l'avait informé que la drogue mettait une quinzaine de minutes à faire son effet.

- Bordel... Je vais enfin la baiser... Grognât-il en prenant sa veste accrochée au portemanteau.

Il rechercha les numéros d'appel pour prévenir Nate qu'elle avait ingurgité la drogue.

Jennifer roucoulait dans le combiné :

- J'en ai marre d'attendre chéri... Je ne pourrai pas attendre d'être devenue officiellement madame Tim Harrington... Je t'aime chéri... Oui je comprends... Appelle moi dimanche soir... Après ta visite à ta grand-mère... Au revoir chéri...

Jetant un oeil dans la chambre, il vit mademoiselle Emerson se diriger lentement vers son lit. Elle s'approcha, légèrement chancelante, de la porte qu'elle ferma. Un moment plus tard, elle réapparut, elle s'était changée et portait maintenant un pantalon bleue pâle.

- Dwight, tu m'attends 5 minutes... Je descends nous prendre une pizza pour ce midi...

Lorsque mademoiselle Emerson revint dans l'allée du garage, il était évident que la drogue agissait. la voyant tituber accrochée au portail, Dwight sauta sur ses pieds, s'informant :

- Eh bien mademoiselle Emerson, ça ne va pas... 

Il l'agrippa alors par la taille. Coeur battant la chamade, il pensait :

- Ca y'est... Je peux enfin mettre mes mains sur son corps... Ohhh... Sa peau est si douce... si sexy... 

Une main autour de sa taille, il l'affermit et constata :

- Vous feriez mieux de vous allonger un instant, Mademoiselle Emerson. Je vais vous aider à vous allonger.

Il l'aida à s'asseoir sur le lit, puis il lui suggéra de s'étendre. Tendant les mains, il la prit sous les mollets gainés de bas en nylon, et lui remon-ta les jambes sur le lit, il sentait sa bite grossir alors qu'il glissait la main sur ses cuisses les insérant sous sa jupe. Le simple fait de toucher ses cuisses faisait grincer des dents Dwight. Il sentait son excitation grandir considérablement, mais il ne voulait pas se vider les couilles si vite, il disposait de toute la nuit pour cela.

Il entendit clairement tourner la poignée de porte et la porte s'ouvrit. Il savait que c'était Nate muni de la caméra vidéo que lui avait donné Dwight avant de venir aider mademoiselle Emerson.

En constatant que mademoiselle Emerson commençait à perdre la notion de la réalité, tournant la tête en tous sens, Dwight poursuivit les caresses mains toujours insérées sous sa jupe. Clignant des yeux, cherchant à récupérer un peu de lucidité, elle constatait que son élève était assis à ses cotés sur le lit.

- Que... Que se passe-t-il ? se demanda-t-elle le sentant caresser ses cuisses.

"Oh... Mon Dieu... Il a glissé ses mains sous ma jupe !" réalisa-t-elle soudain.

- Nonnnn... Nonnn... .Dwight... Que fais-tu ? Nonnnn....  balbutia-t-elle paniquée.

- Arrête... Cesse ce petit jeu... rugit-elle trouvant un peu de force pour le repousser.

Depuis l'entrée, Nate regardait son ami caresser sa dulcinée. Il trouva un bon endroit où disposer la caméra lorsqu'il s'agirait de filmer les scènes de baise dans le lit. Voyant la jolie prof chercher à repousser Dwight, il se rua vers le lit. La voyant sur le point de hurler, il la bâillonna de la main. Il était temps, il étouffa son cri dans sa gorge. De sa main libre, il saisit l'un de ses bras et le tira au dessus de sa tête, le coinçant sous un de ses genoux, puis il fit de même avec l'autre bras. Ouvrant d'une chiquenaude le couteau suisse qu'il avait posé sur le lit, il l'agita devant les yeux effrayés de la jeune prof.

- Si tu cries, prof chérie... Je te défigure... 

la prof pétrifiée de peur fixait des yeux la lame acérée. Puis il captura facilement ses poignets, l'empêchant de se débattre. Il interpella alors Dwight

- Ca y'est... Tu peux y aller !

A la vue de sa tête s'agitant de plus en plus mollement, Nate comprit que l'effet de la drogue s'amplifiait. Elle serrait et desserrait convulsivement ses petites menottes manucurées, Nate les repoussa sur la bosse qui gonflait sa braguette lui disant :

- C'est ici que ça se passe prof chérie... agrippe-le bien !

Totalement sous l'influence de la puissante drogue, Jennifer leva la tête vers le visage du noir qui la surplombait, ce visage lui semblait assez familier. Elle serra soudain les mains, agrippant quelque chose, elle pressa la bosse épaisse, ignorant totalement ce dont il s'agissait, elle caressa alors la hampe sur toute sa longueur, au travers de l'épais jean. Dans sa tête enfiévrée elle subodorait qu'il devait s'agir d'un serpent, d'un grand serpent captif.

Bien que totalement inexpérimenté, Dwight, pris d'un courage soudain, agrippa la ceinture de sa petite culotte, et roula bas et slip sur ses chevilles, dénudant ses longues jambes crémeuses. Il lui ôta ses hauts talons et la débarrassa alors de sa petite culotte et de ses bas qu'il jeta au sol roulés en boule. Il pouvait maintenant apprécier la douceur de la peau de ses cuisses. Nate l'appela alors le sortant de sa béatitude :

- Allez Dwight... Baise-la... Qu'attends tu pour t'installer entre ses cuisses... Vire lui sa jupe...

Coeur battant la chamade, bite frémissant dans son pantalon, il s'assit sur le lit et entreprit de dégrafer sa jupe. N'ayant jamais déshabillé de jeune femme, anxieux et inexpérimenté, il arracha le bouton du haut puis tira sur la jupe qui se déchira.

Les frôlements à sa taille et la déchirure de sa robe ramenèrent momentanément Jennifer dans la réalité. Affaiblie par la puissante drogue, les yeux vitreux, elle cherchait désespérément à lever la tête, alors quelqu'un la bâillonna à nouveau tandis qu'une main secourable était glissée sous sa nuque, l'aidant à lever la tête. Elle pouvait maintenant voir que sa jupe lui avait été enlevée et que les mains de son élève couraient entre ses cuisses.

- Nonnn... Nonnnn... Dwight... Cesse... Arrête... Je t'en prie... cesse cette folie... Immédiatement...

Elle essayait d'adopter un ton autoritaire. D'au dessus de sa tête, une voix rauque rugit :

- Allez mon pote... Elle est à toi, maintenant... Tu peux la baiser jusqu'à l'os comme dans tes rêves...

Jennifer ne pouvait pas croire ce qui lui arrivait, elle aurait voulu repousser le jeune ado à grands coups de pieds, mais ses jambes ne lui obéissaient pas, elle se sentait si faible. Elle balbutia :

- S'il te plait... Nonnnn... Je t'en prie... Arrête...

Dwight ôta ses chaussures rapidement et les jeta au loin. Très excité, il retira son tee-shirt et déboutonna son jean. une seconde plus tard, nu au pied du lit, la bite à la main, il contemplait la ravissante prof. N'ayant jamais couché avec une fille auparavant, il restait figé, la bite à la main. Nate l'interpella alors :

- Regarde ce joli chaton soyeux...Tu vas commencer par lui bouffer le gazon... Tu vas goûter ta première femme... Montre lui quel genre d'homme tu es... Bouffe lui la chatte... Allez vas y... 

Lui bouffer la chatte, que voulait donc dire Nate ? Il n'allait tout de même pas lui demander, et lui montrer ainsi son ignorance dans les questions sexuelles. Se reculant, il saisit mademoiselle Emerson aux chevilles, lui écartant les cuisses en grand, l'empêchant de les refermer. Puis il pressa son visage contre ses cuisses crémeuses, frottant son visage contre sa peau soyeuse. Bien installé entre ses cuisses, il se réjouissait du désespoir de mademoiselle Emerson qui se tortillait cherchant à échapper à son étreinte murmurant d'une voix misérable :

- S'il te plait... Je t'en prie... Arrête... Dwight... S'il te plait... Cesse... C'est si sale... 

Le nez de Dwight était maintenant au niveau de sa toison. Inhalant profondément, il s'emplit les narines des flagrances intimes de sa belle. Alors, instinctivement il enfouit son visage dans sa fourche et se mit à lécher ce qu'il avait à sa portée, parcourant de sa langue sa fente charnue.

- Ohhhhhhh... Ohhhhh... Arrête... Tu n'es qu'un sale pervers... sanglotait la ravissante prof.

Mais cela ne servait qu'à l'exciter, alors qu'il pénétrait maintenant sa fente de la pointe de la langue.

- Ohhhhh... Mon Dieu... Ohhhhh... Mon Dieu... ahhhhh... ahhhhh... oh, s'il te plait... Oh... ohhh... ohhh... ahhhhhhhhhhh ! gémissait Jennifer à gorge déployée, son corps se tortillant sur le lit sous les caresses de son jeune élève pervers.

- Arrête... Je t'en prie... Cesse... Ohhhhh... S'il te plait... le suppliait-elle alors que son corps innocent vibrait sous les ondes de plaisir, un plaisir qui la submergeait toute.

Répondant à ces stimulations inattendues, son corps s'arquait, talons enfoncés dans le lit, les cuisses tétanisées, grandes ouvertes ventre frémissant.

- Ohhhhh... ahhhhhhh... ohhhhhhhhh ! gémit-elle, la langue frétillant toujours dans sa fente.

Elle s'arc-boutait sur les talons, tendant son ventre, se cambrant pour mieux offrir ses babines à la langue fouineuse. Dwight se sentait très fier, en entendant mademoiselle Emerson grommeler :

- Ohhhhhhhhh... ohhhhhhhhh... Mon Dieu...

C'est alors qu'il trouva le bouton magique, son clitoris décapuchonné, érigé hors de son petit nid. Il se mit à le lui mâchonner, le mordiller, son corps trembla comme pris de convulsions.

- Ohhhhhhhh... Mon Dieu... Ohhhh,oui... Ouiiiiii... 

Enfouissant son visage dans sa fourche, la langue profondément enfoncée dans sa fente ruisselante de ses secrétions, il n'en revenait pas de réussir à faire jouir ainsi une jolie femme, de lui faire pousser de tels cris d'extase.

- Eh bien, mon gars... Tu l'as drôlement fait jouir... Tu lui as bouffé le gazon... Elle a apprécié ta belle mademoiselle Emerson... entendit-il Nate s'exclamer.

Fièrement il releva la tête et sourit à son ami, lui montrant sa figure rayée des filaments des secrétions intimes de la ravissante mademoiselle Emerson. Jetant un oeil sur sa délicieuse prof, Dwight fixait sa toison luisante des secrétions intimes de la belle et de sa salive. Il était tenté de se branler pour gicler sur son corps. Nate l'interpella à nouveau :

- Ben quoi gars... Tu ne sais pas comment la fourrer ?

Nerveusement, Dwight enfourcha sa dulcinée. Espérant que Nate ne remarquerait pas son anxiété, il s'installa entre ses cuisses et se guidant d'une main il parcourut la fente détrempée de son bourgeon turgescent. Il plongea son gland dans les méandres enfiévrés de ses babines détrempées, elle poussa des gémissements de plaisir. Incapable de se retenir, Dwight empoigna sa jolie prof aux hanches et d'un seul élan forcené il s'engouffra dans sa moule accueillante.

- Aieeeeeeeeeeee... owwwwwwwwww... nonnnnnnnnn... oh, nonnnnnnnnnnn ! sanglota à nouveau la jolie prof se tortillant sur le lit, puis elle noua ses chevilles dans son dos, étreignit sa bite dans un gant de velours, lui faisant perdre tout contrôle.

Il était parcouru par des spasmes de plaisir, alors qu'il se vidait dans sa cramouille affolée. Une seule pénétration, et déjà il jutait. Il entendit alors son copain éclater de rire :

- T'es une vraie merveille de baiseur... T'as battu des records... C'est toi moins d'une minute !

- Non... Tout ça n'est qu'un rêve... Ca ne peut pas m'arriver... pensait-elle anxieusement.

Secouant la tête de droite à gauche, ses longs cheveux bruns s'étalant sur son visage, Jennifer faisait d'intenses efforts pour revenir à elle... Pour sortir de ce cauchemar.

- Comment peut-on rêver d'une telle absurdité ?

- Sacré Dieu... Je n'en crois pas mes yeux... Tu lui pris son pucelage... Qui aurait cru qu'elle était encore pucelle ? Tu viens de dépuceler la ravissante mademoiselle Emerson... Elle était vierge... Imagine la tête du pauvre cocu qui espérait cueillir sa fleur... s'esclaffa Nate qui avait noté le cri de désespoir lorsque Dwight s'était enfoncé impitoyablement en elle, et avait vu ses petites menottes se crisper.

Elle réalisa que tout était vrai, que ce n'était pas un cauchemar, à la violente douleur et fugitive douleur irradiant brusquement son pubis et à l'annonce de son dépucelage par le comparse de Dwight. Jennifer sanglota de plus belle, se refusant à comprendre qu'après toutes ces années d'attente pour se présenter vierge au soir de la nuit de noce, en un fatal instant on venait de lui dérober son pucelage. Elle avait été prise de force par un de ses élèves ! Elle se sentait si gênée, si humiliée, comment pourrait-elle épouser Tim maintenant ? C'est alors qu'elle sentit sa main s'ouvrir, libérant la bite rigide qu'elle étreignait à pleine main.

En descendant du lit, Dwight jeta un oeil à Nate qui se préparait à prendre sa place. Il resta muet de stupéfaction à la vue du gourdin de chair que Nate tenait dans sa main. C'était la première fois qu'il voyait la bite de Nate, et il réalisait qu'elle était deux fois plus longue et plus épaisse que la sienne.

- Tu... Tu vas la tuer... Avec une telle bite... Elle ne pourra jamais... t'es bien trop gros... Trop long...  bégaya-t-il effaré.

Nate éclata de rire en entendant les commentaires effarés de Dwight, sachant que mêmes les pires salopes et les putes expérimentées mettaient un certain laps de temps à s'habituer à ses mensurations hors du commun.

- T'inquiète pas... Je n'vais pas la tuer... Juste lui dévaster la chatte... dégrader la camelote de son futur... Je vais la dilater de façon conséquente... lui dit Nate s'installant entre les cuisses de mademoiselle Emer-son.

Parcourant du gland les replis de sa fente, il lubrifia son bourgeon au jus épais qui suintait de sa moule. Se pressant contre la fente détrempée, il jeta un oeil sur le visage angoissé de la jolie prof, ses yeux exprimaient de l'horreur comme elle réalisait ce dont elle était à nouveau menacée. Comme elle allait pousser un cri d'horreur, Nate la bâillonna vivement de la main.

- Ma jolie prof chérie, tu vas apprendre comme c'est bon de baiser... Tu as une sacré veine que ce soit Dwight qui t'ait dépucelé avec sa petite queue... Je vais maintenant te dévaster la moule mademoiselle Emerson... Je vais te préparer pour ta nuit de noce... Je vais te dilater la cramouille, il te prendra à l'aise... lui murmura Nate à l'oreille se positionnant pour la pourfendre.

- J'espère que tu prends la pilule... Même la première fois tu peux attraper le gros ventre... rigola Nate.

D'une vigoureuse poussée de ses hanches, il vainquit la résistance de l'étroite entrée de son vagin, ce dernier céda soudain enveloppant son épais bourgeon de sa moite chaleur.

- Mmmphhhhhhh... mmmphhhhhhhhfffff ! fusa le cri étranglé de la malheureuse prof de math qui se tortillait pour échapper à l'assaut.

Nate sourit se réjouissant de voir la grimace angoissée qui enlaidissait le visage de la jeune femme horrifiée.

- Mademoiselle Emerson... c'est vraiment délicieux... T'es si étroite... Ohhhh chérie... Le sang de ton pucelage colle à ma bite... T'es vraiment étroite... Si je ne t'avais pas vu saigner quand Dwight s'est enfoncé dans ta chatte, t'es si étroite que je croirai que t'es toujours pucelle...

Il la chopa aux hanches pour faciliter son effraction, elle cherchait toujours désespérément à échapper au viol, à la douleur cuisante que lui infligeait le jeune noir.

- Mmmmmpffffffffff... nnnnnnnnn... nnnnnnnnnnn !

C'étaient les seuls sons qui parvenaient à s'échapper de sa gorge. Elle griffa ses épaules, ses bras cherchant toujours à se dégager.

- Ohhhhh... Mais oui chérie... Oui... défends-toi... frappes moi de tes petits poings... Encore...  grommelait Nate. 

Et voyant Dwight saisir ses poignets pour l'immobiliser, il lui dit :

- Non... .Lache ses mains... Laisse la se défendre... C'est beaucoup plus amusant... Prends plutôt la caméra... Et prends moi en train de lui dévaster la chatte... lui conseilla-t-il.

A la vue du menu corps de la petite prof de maths secoué de sanglots, Nate enleva sa main de sa bouche et posa ses lèvres sur les siennes. Comme elle grommelait, il profita de cette opportunité pour insinuer sa langue dans sa bouche, lui roulant une pelle. Il savait qu'il affolait la ravissante prof. Il chercha entrer en contact avec sa langue, à la première touche, elle retira sa langue rapidement, un deuxième essai entraîna la même réaction. Jennifer frémissait de révulsion en sentant la langue de son agresseur explorer sa bouche.

- Oh, Mon Dieu... ohhhhhhh, Mon Dieu... S'il te plait... Dis lui d'arrêter... S'il te plait... Pourquoi me faire ça ? pleurnichait Jennifer désespérée.

Jennifer pleurait de plus en plus au fur et à mesure de la pénétration de la monstruosité de Nate dans son tunnel d'amour qu'il élargissait de force, Jennifer n'était plus qu'une boule de douleur, il lui semblait qu'on la pourfendait en deux. Elle grinçait des dents en le sentant forer son logement.

- Oh,Mon Dieu... Oh, Mon Dieu... Même pas un homme... Même pas un homme... Ce serait moins humiliant... Un adolescent... un de mes élèves... Ce n'est pas possible... Nonnnnnn... Ca fait mal...  Arrête, Je ne peux pas en prendre plus... Il me va me déchirer... .Nonnnnn J'ai trop mal... S'il vous plait... Arrêtez... Je vous en prieeeeee... Pleurnichait-elle alors que centimètre après centimètre il se logeait inexorablement dans sa cramouille distendue, alors qu'il continuait l'exploration de sa bouche de la langue.

- Aieeeeeeeee... ahhhhhh ! gémit-elle dans la bouche de son agresseur, alors que d'un mouvement rageur, il progressait encore dans son tunnel explosé.

Yeux fermés, l'énorme pine entamant des allées et venues douloureuses dans son bas ventre, bouche explorée par la langue de ce maudit bâtard, Jennifer ressentait d'un seul coup une sensation totalement inattendue d'un plaisir diffus, une onde électrique parcourut son corps, sa langue vint enrober celle de son suborneur noir.

La drogue produisait maintenant son plein effet, la projetant dans un monde fantasmé. Son expérimenté violeur constatant qu'elle flottait dans les brumes d'un monde fantasmagorique, chassant la réalité pour la remplacer par un cocktail de sensations lascives, il se propulsa une fois de plus dans sa cramouille qui cette fois l'accueillit avec plaisir.

Soudain Nate la sentit reprendre pied, elle retira sa langue, alors qu'il allait et venait dans sa chatte. Il ne voulait pas qu'elle imagine se faire baiser par son fiancé, il voulait qu'elle sache que c'était lui, Nate, qui la baisait jusqu'à l'os.

- Alors ça te plait la prof ? Je vais bientôt me vider les couilles dans ton vagin prof chérie. Nate va te faire grimper aux rideaux mademoiselle Emerson... Et par la suite, prof chérie, tu ne pourras plus te passer des grosses queues noires... 

Jennifer essayait de reprendre le contrôle de son corps, refusant de céder aux ondes de plaisir qui couraient de ses reins à sa tête. Cependant, inconsciemment, elle étreignit la bite noire de ses muscles vaginaux. Mais à chaque va et vient de l'énorme bite dans sa cramouille, son ventre frottait contre le clito érigé de la belle enseignante, déclenchant des éclairs entre ses cuisses alors que ses muscles vaginaux se contractaient puis se relâchaient massant l'énorme hampe.

- Oh, Mon Dieu... Faites que... Faites que je ne prenne pas de plaisir à cet immonde viol... Nonnnnnnnnn... Oh, nonnnnnn... grommelait-elle inquiète alors qu'une puissante vague de plaisir déferlait dans son corps et son cerveau.

Sentant le corps de la jolie prof onduler de plaisir, Nate compris qu'elle prenait son pied tandis qu'elle nouait ses chevilles dans son dos. Sa langue jouait maintenant avec la sienne. Jamais elle n'oublierait cette baise pensait-il fièrement.

Il refréna sa propre excitation, alors qu'elle s'arcboutait sur les talons approfondissant les pénétrations. Alors, très lentement, il sentit le corps de la ravissante prof se décontracter, elle revenait sur terre. Juste à l'instant où mademoiselle Emerson épuisée, relâchait son étreinte, laissant retomber bras et jambes sur le lit, Nate sentit monter sa jouissance, alors que sa bite coulissait de plus en plus vite dans sa caverne détrempée. Cessant momentanément ses baisers, il lui chuchota à l'oreille :

- Tu diras à l'homme qui va t'épouser que c'est tu t'es faite violer et dévaster la chatte par un de tes élèves noirs ! Tu lui diras qu'il t'a rempli le vagin de sa semence épaisse... De sa crème de bébé...

A nouveau capable de raisonner, elle comprit toute l'horreur de sa situation.

"Oh, Nonnnnn... Nonnn .. Il crache son venin dans mon ventre... Enceinte d'un bébé blanc c'est déjà une chose difficile à endurer... Mais comment pourrai-je expliquer accoucher d'un bébé noir !" rationalisait déjà son esprit.

Jennifer poussait sur ses épaules, cherchant désespérément à l'obliger à se retirer. De toute manière il était trop tard, il l'embourbait déjà depuis quelques secondes.

- Ohhhh... Nonnnnn... pas ça... grognait-elle misérablement.

La martelant comme un marteau piqueur, Jack se vidait à gros bouillon dans la cramouille embrasée de la jolie mademoiselle Emerson, espérant l'engrosser :

- Profites en chérie... Tu sens mon foutre épais... Sûr, dans neuf mois t'accouches d'un bébé noir... Sûr... J'te mets la dose... Aahhhhhhhhhhhhh... yeaaaaaaaaahhhhhhhhhh ! grognait-il inondant ses profondeurs intimes d'une chaude gelée fertile.

Sa jouissance provoqua un nouvel orgasme chez Jennifer qui noua à nouveau ses chevilles dans son dos, tandis qu'elle plantait ses griffes dans la chair de ses épaules. Le corps arqué, elle rejoignait son violeur dans un puissant orgasme qui submergeait leur deux corps unis dans la jouissance.

Un moment plus tard, Il se retira de son entrecuisse. Ce faisant, il sourit à la ravissante prof recroquevillée dans une position foetale, sanglotant et pleurant de honte. Il s'essuya la bite dans le drap blanc, puis il remarqua la large tache visqueuse au centre du lit.

Relevant la main, il tapa dans celle de son copain pour célébrer leur fait d'arme, le viol de la ravissante prof de maths de Dwight.

Comme la jolie prof, épuisée, s'était endormie, Nate en profita pour lui enlever son chandail et son soutien-gorge, dénudant ses seins. Il se mit ensuite à sucer ses tétons, alors que son ami contemplait les cuisses, la toison et le sexe béant de sa jolie prof.

Tout l'après-midi et la nuit qui suivit, Nate et Dwight se succédèrent entre les cuisses de la ravissante prof.

Mademoiselle Emerson, totalement sous l'influence de la drogue, ne manifesta pas de révolte. Encore et encore elle ouvrit en grand ses cuisses pour leur permettre de tirer de son corps tout le plaisir qu'ils escomptaient. A chaque fois, enfoui dans ses profondeurs intimes, ils bombardèrent son utérus de leur foutre crémeux.

Elle était bien incapable de dénombrer le nombre de fois qu'ils l'avaient possédé, satisfaisant leur insatiable lucre.

Epuisés, ils l'abandonnèrent au petit matin, gisant sur le dos, cuisses grandes ouvertes, sperme s'écoulant de sa chatte inondée, poissant le drap de lit. Un rayon de soleil frappant son visage la réveilla brusquement, elle remua et grommela, elle subissait un terrible mal de tête, alors qu'une lancinante douleur émanait de son entrecuisse. 

Incapable d'affronter ses étudiants, et plus spécialement Dwight Nelson, Jennifer se fit porter malade pendant toute la semaine. Elle se sentait incapable de retourner dans sa classe tant que ses violeurs arpenteraient les couloirs. Mais la semaine écoulée, Jennifer réalisa qu'elle ne pouvait pas, pour autant, sacrifier ses autres élèves qui comptaient sur elle, aussi, malgré sa répulsion, elle reprit la classe la dernière semaine.

Elle constata avec une certaine joie que Dwight Nelson s'était assis au dernier rang et non pas au second comme il le faisait habituellement, malgré tout elle se sentait angoissée en faisant classe. Elle frémit en voyant Nate l'épier au travers de la fenêtre,. Elle se figea muette d'effroi alors qu'il la déshabillait du regard, la replongeant dans les affres du viol qu'elle venait de subir. Elle était très heureuse de n'avoir qu'une semaine de classe avant les vacances d'été.

Regardant sa montre, elle finit rapidement sa tasse de café, et se précipita vers le pavillon, elle ne voulait pas manquer le camion de livraison qui apporterait le lit géant et la chambre qu'ils avaient choisi ensemble. Reprenant quelques cartons dans son appartement, elle se dirigea alors vivement vers sa nouvelle maison.

Depuis l'immonde viol, de la semaine précédente, Jennifer se posait des questions sur son mariage, ce problème quittait plus son esprit. Mais, elle ne voyait pas comment expliquer à tous le report de leur mariage alors que tout était programmé depuis un an. Elle avait donc décidé de faire comme si rien n'était, elle suivrait le programme prévu.

Quelques instants après son arrivée au pavillon, le camion de livraison apparut. Indiquant au livreur le chemin de la chambre conjugale, elle les regarda monter le lit et le disposer ainsi que prévu. Une fois les livreurs partis, elle prit les draps neufs fraîchement lavés et entreprit de faire le lit, puis elle enveloppa les oreillers dans leurs taies et les mit en place. Lissant les oreillers elle contempla le grand lit qu'elle devait partager avec Tim le restant de ses jours.

A l'insu de Jennifer, le pavillon avait été forcé la nuit précédente, ses deux jeunes violeurs se tenaient cachés dans la chambre d'amis. Ils avaient consulté les notes de Dwight et avaient décidé de tester le lit immédiatement.

Tranquillement, les deux ados se dirigèrent vers la chambre principale. Une fois dans la chambre, ils étaient prêt à agir. Nate empoigna la jolie prof, couvrit sa bouche d'une main tandis que Dwight lui face. Tendant la main, Dwight agrippa le col de son chemisier et d'une brusque saccade il l'arracha, le soutien-gorge subit le même sort, puis il s'agenouilla la dépouillant de son short.

A quatre pattes sur le lit, Jennifer ouvrit la bouche pour hurler, alors que le démoniaque élève cherchait à introduire sa bite en elle. Elle était figée par l'angoisse, il ne cherchait pas à la prendre par la voie ordinaire, mais il essayait de lui forcer le trou du cul.

- Nonnnnn... mpffffffhhhhhhhhh !

Le cri s'étrangla dans sa gorge, interrompu par la grosse queue noire qui venait d'envahir sa bouche.

Quelques instants plus tard, Jennifer gisait sur le ventre dans le lit conjugal. Elle frissonnait de douleur, une bite enfouie profondément dans son boyau culier, alors qu'elle s'efforçait d'avaler les flots de foutre chaud qui avaient fusé dans sa bouche, lui inondant la gorge. Elle grogna à nouveau lorsqu'on la prit aux hanches, la repositionnant à quatre pattes alors que les deux jeunes ados échangeaient leurs places.

L'épreuve subie par Jennifer aux mains des deux ados se poursuivit encore et encore. Elle fut le jouet de tous leurs désirs, ils réalisèrent toutes leurs fantaisies. Le pire, pour Jennifer fut d'être prise en sandwich, Nate lui ravageant la chatte alors que Dwight lui perforait le cul.

Finalement, plusieurs heures plus tard, ils lui permirent de remettre ses vêtements sur son corps englué de sperme. Assise sur le bord du lit, frémissant de honte, elle lissa ses bas sur ses longues jambes avant d'enfiler les hauts talons blancs que lui tendait Dwight.

Hormis le soutien-gorge et la petite culotte, elle était maintenant vêtue comme pour son mariage.

Elle avait été si humiliée de se tenir nue devant ses deux élèves, c'était pire maintenant ayant été obligée de revêtir sa robe de mariée sous leurs yeux. Elle s'accroupit devant le petit salaud comme il lui disait :

- A genoux mademoiselle Emerson et suce moi pour me remercier !

Le musculeux copain noir de Dwight appuya ses mains sur ses épaules la forçant à obéir à la requête de Dwight. Les larmes ruisselèrent sur ses joues à l'idée de cette dernière dépravation. Agenouillée sur la carpette, vêtue de sa robe de mariée, elle sanglota alors qu'il levait son voile. Elle ouvrit les lèvres accueillant la visqueuse virilité entre ses lèvres. Heureusement il jouit rapidement, se vidant rapidement les couilles dans sa bouche.

Une fois le stupre de son copain satisfait, Nate prit sa place et releva à son tour le voile de la future mariée. Il souriait goguenardement en lui jetant un oeil, il plaça sa main sur sa nuque, sous le voile et tonna :

- Il est temps d'avaler ton bol de sperme noir... Allez chérie suce moi... Encore... Suce... 

Le nez collé à sa toison crépue, Jennifer avait du mal à respirer, la grosse bite lui obstruant la bouche. Elle cherchait désespérément à le repousser pour respirer librement. Alors qu'il venait et allait dans sa bouche, elle frissonna de dégoût devant cet acte méprisable qu'il lui imposait.

Nate baissa les yeux sur la ravissante petite prof dans sa robe de mariée, agenouillée entre ses cuisses tandis qu'il fourrait sa grosse bite dans sa bouche domptée. Il se moquait la voyant au bord de la suffocation, la bouche emplie de sa grosse biroute. Se retirant lentement à l'orée de ses lèvres il lui permit de respirer un grand coup, puis il s'enfonça loin au delà des amygdales en dépit de ses nausées et il vomit ses dernières salves dans sa gorge apprivoisée. Il la sentait tenter de le repousser mains agrippées à ses hanches. Nate aurait aimé que son futur époux soit là pour voir sa future agenouillée entre ses cuisses suçant sa grosse bite. Il le lui dit d'ailleurs.

- Je ne regrette qu'un chose : que ton futur époux blanc n'assiste pas à ta fellation ! Il aurait pu voir la pute qu'il va épouser en pleine action... Pourquoi essayer de me repousser ma prof chérie... Tu ne veux plus avaler mon sperme chaud ?

La tenant fermement par la nuque, il continuait à lui asperger la glotte et tandis qu'elle suffoquait, ayant de la peine à déglutir, il ajouta :

- Eh bien mademoiselle Emerson, on ne veut plus de mon sperme chaud ?

Et il éclata de rire comme elle tentait vainement de retirer la grosse bite frémissante de sa bouche. Il paraissait intarissable, jet après jet il tapissait sa gorge de sa semence gluante, terminant en se retirant et aspergeant de ses dernières le corsage de sa robe de mariée.

Tout en sanglotant de honte, Jennifer voulut effacer la tache visqueuse qui maculait le satin soyeux du corsage de sa robe de mariée, mais elle ne fit qu'en enduire totalement ses doigts. Elle regardait désespérément la tache sur son corsage et ses doigts poisseux lorsqu'elle entendit Dwight lui dire :

- Viens ici ma prof chérie... Regarde moi et viens ici...

Elle gémit le voyant braquer une caméra sur elle, réalisant qu'elle avait été filmée les suçant dans sa robe de mariée. L'immature Dwight Nelson s'approcha d'elle susurrant :

- Etends-toi sur le lit, ma jolie mademoiselle Emerson, je veux te baiser dans ta robe de mariée ! Ainsi, s'il te venait l'idée de nous dénoncer, tous les élèves recevraient une photo de toi nous suçant à genoux, vêtue de ta robe de mariée le corsage maculé de sperme.

Continuant à la filmer, Dwight se délectait de voir son angoisse s'afficher sur son visage, il savait, de plus, que tout ce qu'ils disaient étaient captés par le micro de la caméra.

- C'est ça ma jolie, étends-toi comme ça, c'est très bien... Maintenant retrousse ta robe de mariée et montre nous ta chatte...

Puis, il tendit la caméra à Nate, et grimpa sur le lit pour enfourcher sa jolie prof de maths.

- Chérie, tu es si belle dans ta robe de mariée... Oui c'est ça ma prof adorée... Écarte tes cuisses... Bien mademoiselle Emerson... Oh ouiiii... Ouiiiii...

Cette fois Dwight ne put se retenir plus de deux minutes avant d'exploser dans sa cramouille distendue.

- Ahhhhhh... Je jouis... Je me vide les couilles dans ta foufoune... Que c'est bon !

Dwight était trop inexpérimenté pour réaliser que sa ravissante prof était juste couchée sur le dos, subissant ses assauts sans manifester d'émotion, sans réagir tandis qu'il se démenait entre ses cuisses pour prendre son plaisir.

Mais elle ne put cacher ses sensations lorsque Nate s'installa entre ses cuisses. Il était décidé à la faire grimper aux rideaux. Il la voyait tenter de se contrôler, se refusant à répondre à ses lubriques assauts, mais son expérience lui donnait un sacré pouvoir : celui de la circonvenir.

Regardant au travers de la visée de la camera, Dwight vit sa prof adorée nouer ses chevilles dans le dos de Nate s'arc-boutant pour amplifier la pénétration dans sa chatte embrasée. Il l'entendait grommeler, gémir, ce qu'elle n'avait pas fait sous lui :

- Ohhh... Ohhhh... Ohhhhh... Ouiiii... Ouiiiiii... Encore... Plus pro-fond... .Ohhhh... Oui... 

- Dis moi ce que tu veux ma prof chérie... Dis le moi ou j'arrête de te baiser... s'esclaffaNate.

Et Dwight vit, à sa grande surprise, mademoiselle Emerson supplier :

- Nonnnn... Nonnnnn... n'arrête pas... Mon Dieu... S'il te plait... Nonnnn... Nonnnnn... N'arrête pas... Oh ouiiiiii...

Le contraste était énorme, le musculeux colosse noir baisait vigoureusement la délicate et menue prof blanche qui s'agrippait à lui chevilles nouées dans son dos, bras refermés sur ses épaules. Encore plus excitant était de constater qu'il la baisait dans sa robe de mariée, amidonnée de semence masculine. Les capacités de contrôle de Nate effaraient Dwight qui le voyait chevaucher la ravissante prof depuis dix bonnes minutes, enfin il entendit Nate gémir :

- Ohhhh... Je vais jouir... Ma jolie prof je vais t'embourber... Veux-tu que je me retire ?

L'impensable réponse retentit alors :

- Nonnnn... Nonnnnn... Ne te retire pas... Nonnnn... Jute... Jute dans ma moule... Ouiiiii... Ouiiiii... C'est bon... Mon Dieu... Je jouis... ohhhhh oui... Je Jouisssss !

La nuit même, couchée dans la chambre conjugale qu'elle devait bientôt partager avec Tim, Jennifer se débarrassa de sa robe de mariée la jetant au sol. Elle s'était douchée, curant son corps des souillures extérieures, se disant en elle-même :

- Comment... Comment ai-je pu supplier ce bâtard d'ado de jouir dans ma foufoune... Mon Dieu, Tim ne mérite pas de se déshonorer avec une pute comme moi... Et... Et ils ont tout filmé... Dieu sait ce qu'ils voudront encore obtenir de moi...

Toute la nuit elle se tourna et se retourna incapable de trouver le sommeil. Au petit matin, elle était décidée à annuler le mariage. Elle ne savait comment l'annoncer à Tim, sans le blesser, mais elle se sentait trop salie pour l'épouser. De plus elle voulait lui cacher qu'elle avait été violée et peut-être même engrossée par un de ses élèves et son copain noir.

Ses yeux se posèrent alors que la cassette vidéo que les deux élèves avaient posés sur la commode avant de partir. La saisissant elle poussa un gémissement misérable en lisant le titre ; "Le dépucelage de mademoiselle Emerson". Elle n'avait pas remarqué que ces deux pervers l'avaient filmée se faisant violer dans son appartement lorsqu'ils l'avaient droguée. Elle se rappela alors les derniers mot de Dwight avant de la quitter :

- C'est une copie pour toi ma chérie... Je garde l'original dans mon sac... Maintenant on va faire une copie de la cassette où tu te fais baiser dans ta robe de mariée.

Le lendemain, assise à coté du téléphone, elle le décrochait pour appeler Tim, mais le reposait immédiatement. Elle ne parvenait pas à lui annoncer la rupture de leurs engagements sans lui en donner la véritable raison. Elle était perdue, ne sachant comment résoudre cette pénible situation.

Soudain la sonnerie du téléphone retentit, elle se saisit du combiné pour répondre. Elle avait fait le report d'appel de son appartement au pavillon, et c'était l'un de ses élèves préféré qui tout excité lui dit :

- Avez regardé les nouvelles à la télé mademoiselle Emerson ?

- Non, je n'ai pas allumé la télé... Qu'est-il arrivé ?  demanda Jennifer.

La conversation terminée, Jennifer s'assit sur le lit, sous le choc, cherchant à rassembler ses idées et à réfléchir. Le téléphone sonna à nouveau. Cette fois elle regarda quel numéro s'affichait sur l'écran récepteur. C'était Tim qui l'appelait de son mobile. Coeur battant la chamade elle se rassit le laissant sonner, réalisant qu'elle avait besoin de plus de temps de réflexion. Elle se tourna alors vers la télévision et se brancha sur le canal local qui traitait les nouvelles locales pour vérifier l'information sur laquelle son jeune élève avait attiré son attention. Elle s'assit écoutant religieusement chaque parole. L'accident était survenu une demi-heure plus tôt, le reporter disait :

- Deux voitures faisaient la course sur le périphérique, lorsque l'une des deux quitta la route, dévala un ravin et prit feu. 

Les deux élèves du lycée Wilson avaient été tués sur le coup, alors que leur voiture brûlait après avoir fait plusieurs tonneaux. Les deux jeunes tués dans l'accident avaient été identifiés, il s'agissait des jeunes Dwight Nelson et Nate Thompson.

A voir les photos de la voiture accidentée, on constatait qu'elle était totalement détruite tout avait brûlé.

Jennifer laissa échapper un soupir de soulagement, elle savait que la bande originale du viol se trouvait dans le sac de Dwight et qu'il n'avait pas eu le temps matériel d'effectuer une copie. Ses craintes de se voir soumise à un chantage s'évanouissaient, les deux détenteurs de la cassette compromettante étaient morts dans l'accident, la bande vidéo était détruite.

Deux semaines plus tard, Tim Harrington rayonnant d'orgueil regardait sa belle épouse traversant l'allée centrale de l'église pour le rejoindre. Elle était si belle dans sa robe de mariée de satin blanc, elle semblait si innocente, il ne pouvait croire qu'il était si chanceux, il était impatient de l'aimer pour la première fois. Il ne pouvait se douter qu'elle avait déjà copieusement était utilisée et de plus dans sa robe de mariée.

Quelques larmes perlèrent aux yeux de Jennifer qui, cachée sous son voile, regardait Tim, elle avait rêvé de ce moment depuis des années. Après le viol enduré récemment et l'accident dans lequel était morts ses violeurs, elle avait décidé d'épouser Tim comme prévu initialement. Elle ne se sentait plus sous l'épée de Damoclès, les éventuels maîtres chanteurs et la cassette compromettante avaient disparus dans l'accident.

Elle eut à nouveau l'envie de mettre fin à cette comédie de mariage, mais que pouvait-elle faire maintenant, alors que les invités étaient installés dans l'église. Ayant toujours eu un cycle régulier, comme ses règles n'étaient pas venues au moment escompté, elle craignait d'être enceinte, mais elle avait bien trop peur des ragots pour aller se procurer un test de grossesse avant même son mariage. Pensant à son futur époux, elle se disait : "Comment ai-je bien pu te faire ça mon chéri ! Je me présente à toi comme une promise virginale alors qu'en réalité j'ai été dépucelée, dévastée, souillée, par deux pervers. Je viens vers toi un polichinelle dans le tiroir... Je n'espère qu'une chose : que ce soit Dwight le géniteur."

Cinq semaines plus tard, début août, Jennifer assistait à la réunion habituelle réunissant personnel enseignants et autres personnels du lycée dans la cafétéria du lycée. Tous les nouveaux professeurs, le staff technique, les gardiens, étaient réunis, ainsi tout le monde pouvait associer le visage à la fonction. Les salles de classe étaient prêtes, les consignes avaient été distribuées, les élèves disposaient de leurs emplois du temps et avaient identifié les lieux. Le principal présenta les nouveaux membres de l'équipe.

Léon Smith revenait en tant que concierge dans l'école où il avait terminé sa scolarité deux ans plus tôt. Il connaissait la plupart des enseignants, mais une nouvelle tête attira son attention, il nota son nom lorsque le principal avisa joyeusement les participants :

- Comme vous le savez certainement, il y a eu un changement important cet été, mademoiselle Emerson est devenue madame Harrington... Allez venez chère Jennifer, ne soyez pas si timide, levez vous...

Léon devait vider les armoires encore occupées pour les préparer pour l'année à venir, tous les élèves savaient qu'ils devaient libérer leurs casiers à la fin de l'année scolaire. Effectuant ce travail, Léon tomba sur un casier encore cadenassé. Il se rendit au bureau des entrées pour s'informer de l'identité de l'élève enregistré sous ce numéro pour le prévenir de venir vider son armoire.

Ayant identifié le détenteur du casier, la secrétaire appela le principal pour avoir ses consignes. Le principal répondit qu'il se chargeait du problème et il convoqua Léon dans son bureau. Là Léon apprit que le casier avait été occupé par Nate Thompson, un des deux élèves décédé dans un accident de la route cet été. Il lui commanda de briser le cadenas et de remettre les effets du jeune homme au secrétariat, qui contacterait les parents et se conformerait à leurs voeux.

Le principal voulait que Léon inspecte les effets de façon à éliminer tout ce qui pouvait s'avérer illégal avant de les remettre au secrétariat. Les secrétaires n'avaient pas à savoir s'il avait trouvé de la drogue ou quoi que ce soit d'illégal. Les parents avaient déjà assez de problèmes sans leur en ajouter, la perte de leur fils suffisait à leur chagrin, il était inutile qu'ils apprennent éventuellement que leur fils se livrait à des activités illégales.

Léon força donc le cadenas du casier de Nate Thompson, puis il se rendit à la salle de maintenance. Chemin faisant, il croisa la ravissante madame Harrington qui venait vers lui dans le couloir, ils échangèrent quelques mots, et Léon quitta la jolie prof alors qu'elle entrait dans sa classe. Il se mit à bander et se murmura :

- Toi chérie, j'aimerai bien faire un tour dans ton lit ! jeune mariée de cet été... Mon Dieu... Ces longues jambes doivent faire le bonheur d'un petit mari blanc.

Les affaires du jeune Nate Thomson se trouvaient dans un sac d'école, il referma le sac et une fois rendu dans la salle de maintenance il commença le tri avant d'emporter le contenu au secrétariat. Ouvrant un petit compartiment sur le coté du sac, il comprit combien le principal avait eu le nez fin en lui demandant de trier les effets du jeune homme avant de les remettre aux secrétaires.

Léon jeta les deux paquets de préservatifs sur son bureau, ainsi que les sachets de sheet, un sachet contenait des pilules et d'autres drogues. Léon secoua la tête regardant s'il ne restait rien dans le petit compartiment, puis il ouvrit le compartiment central, qui était rempli de livres, de cahiers et de magazines, il confisqua les magazines pour homme. Sentant une épaisseur dans le fond du sac, il tendit la main et ramena une cassette vidéo, le titre était claire : le dépucelage de mademoiselle Emerson.

Se pouvait-il qu'il s'agisse de la même mademoiselle Emerson, la nouvelle madame Harrington ?

Léon se réjouit, il rangea la cassette se promettant de la visionner dès son retour dans son petit appartement, il se sentait tout excité dans la perspective de ce qu'il espérait.

A suivre...

samedi 25 novembre 2023

Changements de vie pour Jessica Ch. 09

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

****

Encore et encore soumise sur son lieu de travail.

*** Semaine 2 *** Mercredi *** 

Le lendemain matin je reçois un SMS de Daniel pendant que je m’habille.

« Tu ne veux pas que j’abîme une deuxième tenue ? Alors tu ne mets pas de soutien-gorge. Et tu montres ton décolleté comme il convient à une pute de bureau. »

Je m’étouffe et j’ai du mal à reprendre ma respiration après la lecture du message. N’est-ce pas suffisant qu’il utilise sa supérieure comme une salope au travail ? Doit-il être aussi vicieux ? Jusqu’où va-t-il aller ?

Malgré mes réticences, je sens l’effet du message autoritaire sur moi. Ça enclenche ma nature soumise, ce qui me rend folle furieuse. J’ai l’impression de me trahir. Il ne faut pas que je tombe dedans une fois de plus. Je dois rester forte cette fois.

Donc, malgré mon esprit en ébullition, j'obéis à Daniel. Je ne suis pas enthousiaste à l'idée de ne pas respecter la règle numéro 1 une autre fois. Alors j'oublie l'idée de porter un soutien-gorge ou une culotte. Au lieu de ça, je mets un chemisier soyeux noir, une jupe crayon brune m'arrivant aux genoux, une paire de bas assortis et une élégante paire de chaussures couleur caramel avec bouts ouverts et talons de dix centimètres.

Je me tourne devant mon miroir pour m'assurer que ma tenue soit suffisamment décente pour le bureau tout en respectant le règlement de mon tourmenteur. Comme il me l'a ordonné, je laisse les deux boutons supérieurs de mon chemisier ouverts. Le tissu n'est pas transparent donc, à première vue, on ne peut voir que je n'ai pas de soutien-gorge. A vrai dire, ma tenue est très ajustée mais reste élégante.

Cependant, je me sens à peine habillée. Le chemisier est ouvert et offre un beau décolleté à chaque fois que je me penche un peu. À chaque mouvement de ma part, mes seins bougent et me rappellent que je ne porte pas de soutien-gorge. Je me sens vraiment comme la Pute de Bureau que Daniel veut que je devienne.

Pendant tout le chemin du travail, mon cœur bat si fort dans ma poitrine que je sens mes nichons se tendre contre le chemisier noir soyeux. Je redoute de rencontrer mes subordonnés. Vont-ils remarquer le soutien-gorge manquant ? Je crois que je ferais mieux de ne pas y penser.

En arrivant au bureau, je passe d'abord prendre un café. Le claquement de mes talons sur le sol m’accompagne dans le couloir, un son auquel je me suis habituée maintenant. Bien sûr je ne passe pas inaperçue. Une fois de plus, tous les stagiaires me détaillent quand je passe devant leur bureau. Je vois que Daniel est là aussi et je sais qu'il va vouloir inspecter ma tenue.

Sans penser à rien d'autre, j'entre dans l'espace des stagiaires après avoir pris mon café. Mieux vaut terminer cette inspection au plus tôt n'est-ce pas ? Inconsciemment, je commence à bouger mes hanches tandis que je me dirige vers le bureau de Daniel. J'ai l'impression de faire de la publicité pour mon corps. Pendant tout le trajet, je sens les yeux des autres stagiaires posés sur moi, me déshabillant du regard.

Je m'arrête devant Daniel. Heureusement les cloisons me protègent du regard des autres stagiaires. Je me penche en avant pour ouvrir mon décolleté et laisser le latino me regarder de la tête aux pieds. Ensuite, je pose mon pied gauche sur sa chaise, juste entre ses jambes, et je relève ma jupe. De cette façon, il a une vue dégagée sur ma chatte imberbe sans culotte.

Daniel passe la main le long de mes bas noirs. Il est presque sur le point d'atteindre ma chatte. Il est déjà palpitant d'excitation. Dire que la journée vient juste de commencer. Je ferme les yeux pour me préparer à ce contact que je désire ardemment. Mais ça n'arrive pas.

Quand il atteint le haut de mon bas droit, ce macho passe simplement la main sur mon bas gauche. Il évite complètement ma chatte et fait glisser sa main sur ma cuisse gauche. Je suis sur le point de soupirer bruyamment, je suis tellement déçue. Mais heureusement je ne le fais pas. Je ne veux pas savoir comment les autres stagiaires pourraient réagir.

Étonnamment, je ne vois pas Daniel le reste de la matinée de travail. Je suis totalement confuse. Qu’en est-il du défi quotidien au bureau ? A-t-il oublié ? Je ne crois pas, quelle idée ridicule ! Est-ce qu'il en a marre de son animal de compagnie ? Ça serait une chance inespérée ! Cette idée idiote me cause malgré moi une pincée de tristesse. A-t-il révélé notre secret de bureau à quelqu’un ? Bon sang, quelle pensée ! Ça me fait presque m'évanouir de peur.

De seconde en seconde, je deviens de plus en plus nerveuse. Et finalement, je suis si anxieuse que je prends mon téléphone pour appeler le bureau des stagiaires et demander que Daniel monte dans mon bureau. Mais la partie rationnelle de mon esprit m'arrête avant que je le fasse. J'ai envie de me gifler. Quelle sorte de salope soumise suis-je devenue ?
Je ne vais pas ramper devant Daniel pour qu'il abuse de moi ! Sois respectueuse envers toi ma fille !

Puis vient l'heure du déjeuner et je n'ai toujours pas vu le latino. J'ai du mal à rester assise. Mon regard se dirige maintes fois vers le bracelet en argent avec la petite règle. A chaque fois que je me surprends à regarder ce symbole de ma douleur et de mon plaisir, je me rabroue. Reprends-toi ma fille !

Cependant je ne peux pas m'en empêcher. Mon esprit se remémore l'utilisation de ma règle de bureau qui a abouti à un furieux orgasme. Plus j'essaie d'oublier cet instant, plus je me sens excitée. Ce symbole de ma soumission me rend folle.

Toc Toc !

Quelqu'un frappe à ma porte et me tire de mes pensées. Je sursaute et tombe presque de ma chaise. Mon Dieu, J'ai rêvassé tout en regardant mon bracelet et je me suis caressée les mamelons à travers mon chemisier. Celui-ci est tout de travers. Qu'est-ce que j'ai foutu ?

Peut-être qu'il s'agit enfin de Daniel ? Peut-être est-ce le moment du défi au bureau ? Une fois encore je me maudis d'espérer que ce soit mon tourmenteur. Et puis Daniel n'a jamais frappé à ma porte. Ce n'est sûrement pas lui.

Et si c'est une des secrétaires comme Michelle KEELAN ? Et si elle remarque que je ne porte pas de soutien-gorge ? Les commérages vont se répandre à la vitesse de l'éclair. Et s'il s'agit d'un de mes employés ? Il perdra tout respect pour sa patronne. Et si c'est O'BANNON le directeur général de la société ? Il va reconsidérer mon ambition de devenir son successeur. De toute façon toutes les possibilités sont mauvaises. J'en viens à prier que ce soit Daniel malgré mes résolutions.

Le coup sur la porte semblait urgent et indiquait que la personne était sur le point d'entrer dans mon bureau d'une seconde à l'autre. A la hâte, j'ouvre des dossiers sur mon bureau pour paraître occupée et j'ajuste mon chemisier du mieux que je le peux. Je ne peux rien faire de mieux, car il est trop tard. La porte s'ouvre et Damon, l'un de mes subordonnés entre.

- Bonjour ! Je peux vous interrompre ? Me demande-t-il gaiement en voyant que je ne lui parle pas.

Ouf ! Je viens de réussir à éviter le scandale. Je n'ose pas imaginer la réaction de mon subordonné s'il m'avait vu me caresser les seins.

Mais ma tenue semble l’intéresser. Son regard se pose immédiatement sur mon chemisier et il voit mes tétons essayer de transpercer le tissu soyeux noir. Il n'y a pas moyen que je cache que je ne porte pas de soutien-gorge. C'est évident et je suis gênée. Je ne sais pas comment faire pour le cacher et je rougis de honte.

Mon subalterne fait de son mieux pour ne rien laisser paraître. Rapidement il me parle de l'avancement de son projet et me pose des questions sur des problèmes en suspens. Je lui réponds le plus rapidement possible. Toutefois il nous faut du temps pour trouver des solutions appropriées aux problèmes. Il s'assoit de l'autre côté de mon bureau pour me montrer le travail qu'il a déjà accompli. Je sens bien qu'il n'arrête pas de lorgner ma poitrine. Et sans m'en douter, je lui donne toutes les chances de voir mon décolleté.

Damon me demande de vérifier certaines choses. Mais au lieu de me donner les documents, il les place de son côté du bureau. Automatiquement je me penche pour les voir. C'est alors que je m'aperçois que cette position, penchée en avant, a presque fait sortir mes gros seins sans soutien-gorge de mon chemisier. Damon a droit à la vue complète de ma grosse poitrine.

Et merde, mes subordonnés sont exactement le même genre de salaud que Daniel.

Je suis sur le point de lui crier dessus. Je suis sur le point de décharger toute ma frustration sur lui. Mais je me calme à la dernière seconde. Ça ne ferait qu'attirer plus d'attention. Et on se poserait des questions sur ma tenue. Je dois subir ses regards lubriques comme si je ne m'en rendais pas compte.

Damon pose question après question. Il est clair qu'il cherche à gagner du temps pour continuer à lorgner mes seins. Et cette attention n'améliore pas l'état de mes mamelons. Au lieu de ça, ils continuent à pointer sous mon chemisier devant le regard de l'homme. Je suis sur des charbons ardents.

Enfin, Damon est à court de questions et je peux lui demander de partir. Je soupire profondément de soulagement quand il a quitté le bureau. Bon sang, j'ai besoin d'un café bien fort maintenant. Je regarde l'horloge et je me rends compte que la journée est presque terminée. Je n'arrive pas à y croire. Je n'ai pas réussi à faire le moindre travail dans la journée. Et Daniel n'est même pas venu pour me soumettre le défi du jour.

Cependant les choses vont changer. Avant que je puisse essayer de travailler, ma porte s’est à nouveau ouverte. Et cette fois on n'a pas frappé. Bien sûr, il s'agit de Daniel.

- Hé hé ! Tu as vraiment excité ton collègue n'est-ce pas ?

Il se moque de moi en guise de salutation.

- Mais je comprends ! Tu fais juste ton travail de Pute de Bureau n'est-ce pas ?

Furieusement je lui lance un regard acéré, mais je ne dis pas un mot. Il n'y a rien à dire. Quoi qu'il en soit, c'est mieux que ce soit Daniel qui entre dans mon bureau plutôt qu'un des employés de la société. C'est déjà assez grave que l'un deux se soit rendu compte que je ne porte pas de soutien-gorge.

Mon me demande en rigolant :

- Tu attends ton défi journalier ? Montre-moi ta chatte !

Avec un soupir agacé, je me lève et je m'arrête devant le latino. Une fois de plus je me retrouve à retrousser ma jupe caramel sur mes hanches et à lui présenter ma chatte nue.

- Votre animal de compagnie est prête pour le défi Monsieur Daniel. Dis-je en serrant les dents et en forçant sur le Monsieur Daniel.

Dans cette posture de soumission, je ressens immédiatement le besoin de tomber sous le charme dominant du garçon. Mais je résiste. Je ne céderai pas ! Pas cette fois !

- Tu mouilles déjà comme une vraie salope non ? Ajoute-t-il en s'approchant de moi.

Mes joues deviennent rouges de colère. Je ne veux pas qu'il ait raison mais c'est vrai. Je n'ai pas pu me concentrer sur quoi que ce soit lié à mon travail en attente de ce moment et mon excitation s'est amplifiée.

Bien que sa présence dominatrice m'enveloppe, je soutiens son regard. Daniel réagit en mettant sa main entre mes jambes. Forçant pour écarter mes cuisses, il passe sa main sur ma fente et sonde ma chatte avec un doigt.

- Exactement comme je l'ai dit ! Une vraie salope ! S'exclame-t-il en tenant son doigt humide devant mon visage.

Je ferme les yeux devant cette preuve. Non, non, non, je ne suis pas une salope ! Je suis une femme d'affaires respectée prise dans un chantage par un stagiaire. Cependant, que cela me plaise ou non, l'attention de mon subalterne avait rendu mes mamelons bien durs et mon entrejambe humide.

Quand j'ouvre les yeux, Daniel est devant moi, la règle en bois à la main. Un frisson de froid me parcoure la colonne vertébrale, autant par peur de recevoir une autre raclée sur le cul que par l'anticipation de me faire frotter le clitoris. Le garçon ne perd pas de temps et pousse la règle entre mes jambes pour la poser sur ma fente.

- Ooooooohhhhh… Gémis-je.

Je ne peux pas m'en empêcher. La longue attente durant cette journée de travail, l'attention que m'a porté Damon mon employé, la domination de Daniel m'embrouille mes pensées. Je ne peux plus le supporter. Au moment où la règle en bois touche ma chatte, ma volonté de résister est brisée. La femme d'affaire respectable est partie. Je ne peux que me mordre les lèvres pour réprimer mes gémissements et profiter du plaisir.

Je commence à bouger mes hanches d'avant en arrière pour me frotter sur la règle. Ma tête est remplie de la seule idée d'avoir du plaisir. Je suis tellement excitée que mes jambes tremblent.

- Veux-tu jouir petite pute de Bureau ? Dis-moi à quel point tu as envie de jouir mon petit animal de compagnie ! Supplie-moi ! 

Daniel me taquine méchamment. Mais je suis au-delà de la raison. Peu importe que je sois dans mon bureau ou non. Peu importe que ce soit un stagiaire. Un interrupteur a basculé en moi, me transformant en salope totale. Debout dans mon bureau, ma jupe retroussée à la taille, les jambes écartées, je me frotte sans vergogne sur une règle en bois. Pour le moment j'ai trop besoin de jouir pour me sentir gênée.

- Mmmmm… Ouiii… Amusez-vous avec votre bimbo Monsieur ! Oooohhh… Merci ! Monsieur, faites jouir votre animal de compagnie ! Ooohhh… Ouiii.. 

C'est tout ce que j'arrive à dire. J'ai tellement le vertige que j'arrive à peine à tenir debout.

CLAC !

La règle en bois atterrit sur ma fesse droite avec un violent claquement.

- Tu dois gagner ton orgasme salope ! C'est trop tôt maintenant ! Grogne Daniel.

En réponse je sanglote, plus frustrée par le refus soudain que par le coup qui me brûle encore la fesse. La règle n'est plus sur mon clitoris. Alors j'agis sur un coup de tête, sans réfléchir, et je tends la main droite pour toucher mon petit bouton.

CLAC.

Un autre coup sévère tombe sur mon cul, rougissant ma fesse gauche. Puis Daniel me frappe la main et me regarde d'un air ennuyé et désapprobateur.

- Tsssss ! Et l'obéissance Miss Pute de Bureau !

Il me gronde comme une écolière.

- Si tu continues tu ne seras pas autorisée à jouir. Tu es ici pour me servir avant tout. Si je ne suis pas satisfait de toi, je ne te laisserais pas jouir.

- Oui Monsieur ! Merci monsieur ! Répondis-je la tête pendante.

J'ai honte du fait que je ne peux pas jouir avant d'avoir servi ce macho arrogant. Il me fait comprendre une fois pour toute que je suis bien son animal de compagnie.

- Es-tu prête pour ton défi, petite salope de bureau ? Demande-t-il avec son sourire prétentieux.

Et il ajoute :

- mais ta tenue est encore trop stricte pour une pute de Bureau.

Mon cœur manque s'arrêter quand il fait référence à mon habillement. L’excitation est remplacée par de la nervosité. Je ne porte ni soutien-gorge ni culotte déjà. Il me semble que je fais assez salope non ?

- Tu ne montres pas assez de chair pour une Pute de Bureau. Ce décolleté nécessite plus de boutons ouverts que fermés. Déclare-t-il sur un ton neutre.

Je baisse la tête pour me regarder et j'avale ma salive. Mon chemisier soyeux noir a cinq boutons au total. Les deux supérieurs sont déjà ouverts et je me sens déjà à peine habillée. Le troisième bouton est au niveau de mes tétons. Quand je le défais avec mes doigts tremblants, le tissu soyeux s'écarte instantanément. Mon Dieu, mes nichons sans soutien-gorge sont sur le point de tomber. Mon chemisier ouvert révèle un décolleté vertigineux, mes mamelons étant presque visibles. De cette façon j'affiche sans vergogne ma poitrine à tout le monde.

- une Pute de Bureau devrait toujours porter une jupe de bimbo tu ne penses pas ?

Avec un petit rire, il continue :

- Tu sais bien, Une bonne jupe de bimbo arrive seulement à mi-cuisse au maximum. Tu ne crois pas ?

Oh non ! Pas ça aussi ! Je voudrais protester. Je me sens déjà comme une salope à moitié nue. Le décolleté actuel est complètement inapproprié au travail. Cependant je me suis jurée de ne pas supplier. Je ne donnerai pas cette satisfaction à mon stagiaire.

Pendant quelques secondes nous nous sommes regardés dans les yeux, les miens lançant des éclairs. Je ne fuis pas son regard, même si je sens une vague de soumission me traverser. Finalement, j'attrape l'ourlet de ma jupe caramel et je la relève jusqu'à couvrir à peine la moitié de mes cuisses. J'utilise quelques épingles de bureau pour fixer l'ourlet dans cette position tout en fixant Daniel. Mon Dieu, je n'ai jamais porté une jupe aussi courte au bureau.

J'avais perdu toute raison quand ce voyou avait frotté mon clitoris avec la règle. Mais maintenant j'ai retrouvé mon calme. Je veux lui faire savoir qu'il ne m'a pas encore totalement soumise. Cependant Daniel ne semble pas impressionné. Il sort de sa poche deux sacs en plastique transparent et s'exclame :

- Regarde ça ! J'ai préparé un petit quelque chose que tu vas aimer. Et tu vas avoir le choix salope.

Mon regard change de l'obstination à la confusion alors que mes yeux passent du sourire arrogant aux sacs en plastique. Il y a des papiers pliés à l'intérieur. Mais je n'ai absolument aucune idée de ce que mon stagiaire prépare,

- Le défi d'aujourd'hui est basé sur une loterie. Tu vas choisir où ça va se passer. M'explique Daniel.

Puis il me donne les détails :

- Peut-être que ce sera ton bureau. Peut-être que ce sera les toilettes. Peut-être la salle de photocopieuse ou la salle de pause. Çà dépend de toi. Peut-être vas-tu t'en sortir avec une simple fellation,  une baise de ta chatte, ou alors un enculage bien violent. Nous allons voir. 

Comprendre sa loterie de salope me coupe le souffle. Jusqu'où veut-il aller ?

La salle de photocopieuse ?

Elle est à l'étage en dessous, juste à côté du bureau de stagiaires qui est bien occupé.

Les toilettes ?

Il s'agit d'un lieu où il y a un va-et-vient constant de tous les employés de la société.

La salle de pause ? 

C'est une pièce sale et minable au sous-sol qui n'est utilisée que par les stagiaires.

Nous ne serons en sécurité dans aucun de ces endroits. N'importe qui pourra nous surprendre et nous voir. Est-ce qu'il devient fou ? Ou veut-il seulement me faire peur ? Ça ne lui a pas suffi que nous nous fassions presque prendre hier ? Doit-il pousser notre chance plus loin ?

- Tirage au sort salope !

Le jeune latino martèle son ordre avec impatience, insistant bien sur chaque mot.

Mes doigts tremblent follement pendant que je glisse la main dans le premier sac en plastique et que j'y prends un papier plié. Sortant ma main, je remets le mot à Daniel. Il le déplie en exagérant bien ses mouvements pour me narguer.

- Et le choix est… Une pipe ! Tu vas avoir la tâche facile Miss Pute de Bureau. 

Honnêtement, je ne peux que partager son opinion. Une fellation sera rapide et facile. Au moins j'ai encore un peu de chance. Je mets ma main dans l'autre sac et j'en sors un autre papier plié.

- Taddadada… ce sont….

Daniel fait une pause pour augmenter ma nervosité.

- Les toilettes !

Non, non, non ! Merde ! Fini ma chance ! Bien entendu, le meilleur choix devait être suivi du plus mauvais. Tandis que je maudis ma malchance ? Daniel a un grand sourire qui va d'une oreille à l'autre. De toute évidence c'est le tirage qu'il voulait.

- Allons-y ! Suis-moi Miss Pute de bureau ! Demande-t-il avec impatience.

Avant que je ne comprenne ce qui se passe, il est sorti de mon bureau et m'attend dans le couloir. Je dois me préparer à y aller. Je n'arrive pas à m'imaginer de sucer mon jeune stagiaire dans les toilettes. C'est tellement vicieux comme idée.

Mais au moins, les réunions sont terminées pour aujourd'hui. Comme seuls, O'BANNON, ORTEGA et moi avons des bureaux à cet étage, les toilettes doivent être désertes à cette heure de la journée. Secouant la tête avec résignation, je suis finalement Daniel hors de mon bureau. 

En marchant dans le couloir, je suis plus que consciente de ma « mini-jupe de bimbo » couvrant à peine le haut de mes bas. Immédiatement je me sens comme une vraie cochonne. A la seconde où je suis dans le couloir, le jeune latino se met en mouvement. Il descend les escaliers.

Je le regarde avec étonnement. Que fait-il ? Pourquoi est-il passé devant les toilettes ? Je reste debout en haut des escaliers, comme enracinée dans le sol. Quand Daniel remarque que je ne le suis plus, il s'arrête et me regarde.

- Hé Miss pute de Bureau, tu viens ou quoi ? Appelle-t-il.

Je sursaute quand il crie « Miss Pute de Bureau » dans l'escalier. Et Je prie fortement pour que personne ne l'ait entendu.

- Mais… et les toilettes ? Murmuré-je en n'osant pas parler plus fort.

Daniel éclate de rire.

- Ahaha salope ! Tu ne croyais pas vraiment que nous parlions des toilettes de ton étage. 

Il se moque en ajoutant :

- Où serait le plaisir sinon ? Il n'y a personne ici pour te voir. Nous allons aux toilettes des hommes en bas. C'est là que se passera la gâterie.

Sans rien dire de plus, il se retourne et s'éloigne. Il me laisse debout en haut des escaliers, ma jupe caramel remontée et mon chemisier déboutonné dévoilant un décolleté à décorner les bœufs. J'ai l'impression que mes pieds sont collés sur le sol. Je ne peux pas descendre dans cette tenue ! Je ne peux pas être vue par les employés dans cette tenue lubrique. Je ne peux pas non plus aller dans des toilettes pour homme. Avec tous les hommes de l'entreprise, ces toilettes sont beaucoup utilisées. Quelqu'un va nous voir !

A ce moment, le latino a atteint l'étage inférieur et a disparu de mon champ de vision. Je ne peux pas le laisser attendre, il va se fâcher. Et je ne peux pas risquer qu'il m'appelle encore avec mon surnom dégradant dans les escaliers.

Finalement je bouge et je descends lentement les escaliers. Quand j'atteins l'étage inférieur, ma peau est couverte de sueur. Je regarde soigneusement par-dessus mon épaule. Je ne sais pas trop que faire. Mais si je marche lentement, il y a plus de chance que quelqu'un m’aperçoive dans cette tenue de salope.

Finalement, je prends mon courage à deux mains et je me dirige directement vers les toilettes. Il faut que je traverse tout le couloir pour y arriver. Après quelques pas, je suis sur le point de me mettre à courir. Mais je dois me retenir. Mes escarpins avec mes talons aiguilles claqueront encore plus fort et attireront l'attention.

Heureusement, la plupart des portes des bureaux sont fermées. La fin de la journée approche et mes collègues sont occupés à terminer le travail en cours. Les bureaux aux portes ouvertes sont inoccupés. Toutefois je dois passer devant l'espace réservé aux stagiaires. Approchant lentement, je vois Justin, Taylor et Matt en train de ranger leurs affaires. Je m'arrête à quelques pas de leur bureau. J'entends mon cœur battre dans ma poitrine et je tremble sous la tension du moment. Lorsque les stagiaires commencent à se dire au revoir, je cours en avant et je rejoins Daniel devant les toilettes homme le plus rapidement possible.

- Tu as aimé la promenade Miss Pute de Bureau ? Me nargue Daniel.

Ma balade dans le couloir l'a visiblement amusé. Une fois de plus il vient de crier mon surnom dégradant sans se soucier que quelqu'un l'entende. Je regarde dans le couloir. Personne ne sort de son bureau. Et les stagiaires doivent encore ramasser leurs affaires. J'ai de la chance pour une fois.

Après m'avoir nargué, Daniel disparaît dans les toilettes. Je ne peux que le suivre et en finir. Un fois encore, je regarde dans le couloir pour m'assurer que personne ne me voit. Ensuite je me précipite derrière le jeune latino.

A l'intérieur des toilettes pour homme, je pousse un soupir de soulagement. Je vois Daniel adossé à un lavabo. A-t-il déjà perdu cette allure prétentieuse ? Alors que je le regarde il pointe le sol du doigt.

- N'oublie pas salope, les bimbos de bureau travaillent à quatre pattes. Explique-t-il avec un sourire sournois.

Non, non, non ! Pas encore ! Il va beaucoup trop loin. Je suis presque prête à répliquer mais son regard m'arrête immédiatement. Il n'autorisera aucune discussion. C'est lui qui décide. 

Je regarde le carrelage et je déglutis difficilement. Le sol est vraiment crasseux. Beaucoup d'hommes sont venus ici avec leurs chaussures sales. C'est si dégoûtant que je frissonne. Chaque fibre de mon corps refuse que je m'agenouille.

Pourtant, je me laisse lentement tomber à genoux. Je sens les carreaux froids à travers le tissu fragile de mes bas noirs. Je me penche en avant et je place mes mains nues sur le carrelage encrassé. Je frissonne de dégoût.

C'est horrible !

Je peux sentir la saleté sur mes mains. Je voudrais désespérément me débarrasser de cette souillure. Mais je rassemble toute ma volonté et je reste en position.

Le pire c'est que je sens ma jupe raccourcie remonter sur mon cul, exposant ainsi mes fesses. Sachant ce qu'attend Daniel de moi, je ne veux pas qu'il ait des idées plus humiliantes. Résignée à mon sort, je sors mes seins de mon chemisier noir et je les laisse tomber sous moi.

- Tu te mets dans l'ambiance n'est-ce pas petit animal de bureau ? 

Il me sourit moqueusement avant de partir plus loin dans les toilettes. Il y a quatre cabines de chaque côté et les urinoirs sont placés tout au fond. Mon Dieu, pas les urinoirs s'il vous plaît ! J'ai été un bon petit animal de compagnie non ?

Je transpire abondamment à cette perspective dégradante. Ramper dans les toilettes des hommes au travail est déjà assez humiliant. Mais avant que Daniel n'atteigne les urinoirs, il tourne et disparaît dans la dernière cabine sur la droite.

Ouf, elle peut être fermée.

A la hâte, je rampe derrière lui et je le rejoins dans la cabine. Le latino est déjà assis sur le couvercle du siège des toilettes et il m'attend. Au moment où je suis à l'intérieur, il ferme la porte derrière moi. Une main sur mon épaule il me fait signe de rester à genoux.

- Nous voulons que tes jambes soient visibles n'est-ce pas ? Me dit le jeune voyou.

En jetant un coup d’œil au-dessus de mon épaule, je comprends ce qu'il veut dire. La cabine est si petite que mes jambes sont coincées sous la porte. Elles sont bien visibles  où que l'on soit dans les toilettes. Et les bas et les talons indiquent clairement qu'il s'agit de jambes de femmes. Et il est plus qu'évident de deviner ce que cela implique : Une salope en train de sucer un homme. Et les seules femmes de l'entreprise sont les secrétaires et moi.

Une sueur froide s'étend dans mon dos. Il n'y a aucun moyen de s'échapper de l'enfer. Mon travail est foutu. Je peux voir tout mon avenir prometteur s'éloigner à grands pas.

Mais Daniel ne me laisse pas beaucoup de temps pour m'apitoyer sur mon sort. Il sort sa queue de son pantalon et m'ordonne :

- Maintenant, montre-moi ce que tu sais faire Miss Pute de Bureau. Et n'utilise pas tes mains ! Travaille comme une vraie salope !

Depuis ma position agenouillée, je lève mes yeux vers le jeune latino. C'est si vicieux, si obscène. Je suis là, dirigeante d'entreprise mature, agenouillée devant une cuvette de WC dans des toilettes pour hommes, m’apprêtant à sucer un stagiaire. Mais je dois faire preuve de l'enthousiasme nécessaire pour réussir ce défi.

Mon Dieu, je me sens plus dévergondée que jamais, plus salope que jamais. Mon cœur bat la chamade quand je me mets au travail pour faire plaisir à ce bâtard. C'est vraiment contradictoire. J'essaie au maximum de garder ma force de volonté intacte. Pourtant je suis bien décidée à lui faire plaisir au maximum.

Je place ma tête sur sa bite bien raide et j'ouvre les lèvres. En récupérant de la salive, je pousse ma langue. Je laisse ma bave tomber sur sa bite jusqu'à ce que ma langue soit connectée avec son gland par des filaments de salive. C'est vraiment une image obscène.

Puis en baissant la tête, je commence doucement à lécher la hampe de Daniel. Je glisse ma langue tout le long de son membre et je la tourne autour de son gland. Je ne m'arrête pas avant que chaque centimètre de sa peau ne soit mouillé et luisant. Puis je baisse encore plus ma tête et je m’intéresse à ses couilles. J'aspire celle de droite dans ma bouche et je laisse ma langue travailler dessus. Puis je la laisse sortir de ma bouche pour m’occuper de celle de gauche de la même façon. Quand j’ai fini avec ses couilles, elles sont brillantes et bien polies.

Ensuite je remonte ma tête en faisant glisser ma langue tout le long de sa hampe. Puis je place mes mains sur chacune de ses cuisses et je prends une profonde respiration. La seconde suivante, je baisse la tête et j’empale mon visage sur sa queue. Je la laisse glisser en profondeur jusqu’à ce qu’elle frappe l’entrée de ma gorge. Je ne m’arrête que lorsque je ressens un réflexe nauséeux.

Néanmoins, j’ai les deux tiers du sexe de mon stagiaire dans la bouche. Je serre mes lèvres douces et veloutées autour de sa tige et je fais tournoyer ma langue autour de son gland. J’entends Daniel gémir doucement en réponse. Bien, je suis sur la bonne voie. Si je continue comme ça, il ne va pas tenir longtemps et j’en aurais fini pour la journée.

Mais l’environnement autour de moi commence à m’atteindre. Inconsciemment, j’enlève mes mains des cuisses du jeune latino. Ma main droite tombe sur mon entrejambe tandis que ma main gauche se pose sur mes seins. Je halète sur la bite du latino quand j’enfonce un doigt dans ma chatte.

Bon sang, je suis encore humide. Mon doigt glisse plus profondément. Je me maudis une fois de plus pour m’être trahi pour la deuxième fois dans la journée. Mais je ne retire pas mes mains de ma chatte ou de mon sexe.

Lorsque j’avais posé mes mains sur les cuisses de Daniel, je lui avais carrément laissé le champ libre et il en avait fait bon usage en saisissant mes cheveux châtains et en les utilisant comme une poignée. Ce voyou commence à pousser ma tête de haut en bas, faisant glisser ma bouche le long de son membre raide. Il augmente le rythme jusqu’à me baiser le visage avec sa bite. Des gargouillis sortent de mes lèvres lorsque je commence à étouffer sous l’effet de la baise violente.

Une bave blanche avec des petites bulles commence à couler de mes lèvres le long de sa queue et tombe sur ses couilles. Pour éviter la bave je serre mes lèvres autour de sa bite, donnant encore plus de plaisir à Daniel. Quand finalement je réussis à endiguer la salive qui coule de ma bouche, le latino tire sur mes cheveux et libère sa bite de ma bouche.

 Il ne me laisse pas le temps de reprendre mon souffle et ramène rapidement ma bouche sur son sexe. Cette fois cependant, il poignarde son outil dur contre ma joue droite, la faisant gonfler. Ça doit être si ridicule et obscène que le gonflement de ma joue fait hurler de rire Daniel.

Gauche droite, gauche droite, gauche droite.

Le gland de sa grosse bite s’enfonce dans mes joues, ce qui les fait gonfler de façon obscène. Et il ne peut s’empêcher de rire à ce spectacle comique. Finalement, il étire ma joue droite jusqu’à ce que sa queue glisse de ma bouche avec un son incongru qui le fait encore plus hurler de joie.

PLOP PLOP PLOP

Il recrée le son en étirant mes joues jusqu’à ce que je commence à pleurnicher. C’est incroyablement humiliant. Ça ne peut pas lui donner beaucoup de plaisir mais c’est fait pour me dégrader. Il ne sait vraiment plus comment me montrer que je ne suis qu’un jouet pour lui. Pire encore, je ne suis qu’un objet de bureau, lui laissant libre mes trous pour son divertissement sans poser de questions sur l’heure et le lieu.

Pourtant je ne suis pas un jouet. Je suis une cadre d’entreprise. Je dirige un département avec un certain nombre d’employés. Quelle contradiction !

Mais cette contradiction me fait plonger mes doigts dans ma chatte bien humide et me fait tirer brutalement sur mes tétons bien durs. Je sens l’excitation monter. Je m’approche du point de rupture. Encore un peu et la vague d’un orgasme va me submerger.

Finalement, Daniel repousse sa queue de ma bouche et commence à pousser ma tête de bas en haut. Il utilise ma tête comme un trou de baise, comme s’il baisait une poupée gonflable. Ce sale bâtard aime bien être rude et violent.

- Il est temps de partir !

J’entends soudainement une voix familière crier. Ces mots sont accompagnés du son de la porte des toilettes qui s’ouvre. Mes yeux s’écarquillent et je manque de mordre la bite de Daniel.

- Oui c’est l’heure ! Répond une autre voix.

Deux hommes entrent dans les toilettes. Je reconnais leur voix. Ils sont tous les deux membres de mon département. Le premier est Damon, le subalterne qui a bien vu ma poitrine aujourd’hui. L’autre est un employé relativement nouveau qui s’appelle Eric.

A tout moment ils peuvent aller plus loin dans la rangée des cabines. Ils sont sur le point de voir mes jambes. Hystériquement, je commence à me débattre pour essayer de tirer mes jambes dans la cabine. Mais l’espace étroit me laisse peu de place.

- Tu ne vas pas croire ce qui m’est arrivé aujourd’hui ! Dit Damon à son collègue.

Ils se rapprochent. Ça ne va prendre que quelques secondes avant que je perde tout. Dans la panique je ferme les yeux.

Puis je sens une traction s’exercer sur mes épaules. Daniel me tire du sol et m’assoit sur ses genoux. Instantanément je jette mes bras autour de son cou et je m’accroche fermement. Je tremble de partout.

- J’ai vu les seins de la patronne aujourd’hui ! S’exclame Damon dans l’intervalle.

Ses mots font que je tends l’oreille de curiosité. Il ne peut que parler de moi. Après tout je suis la directrice de son département. Bon sang , quel stupide bavard !

- Non je te crois pas. Répond Eric avec incrédulité.

Et il ajoute :

- Nous parlons de la même chienne dans la société n’est-ce pas ? La salope qui a un bâton dans le cul et qui s’habille toujours de la manière la plus sévère possible. c’est ça ?

« Chienne ? Salope ? Un bâton dans le cul ? Quel connard ! Attendez de voir quelles tâches amusantes je vais vous attribuer à tous les deux. » Pensé-je tout en me blottissant sur les genoux de Daniel. c’est un peu incongru de penser à punir mes employés alors que je suis assise sur les genoux d’un stagiaire comme une petite écolière, n’est-ce pas ? Mais je suis toujours la patronne ici.

- Exactement ! Cette garce complètement coincée ! Je te promets !

Ensuite Damon raconte son histoire alors qu’ils passent tous les deux devant notre cabine et s’arrêtent aux urinoirs.

- Je ne sais pas ce qu’il se passe avec elle. Mais aujourd’hui elle ne portait pas sa tenue habituelle de fille coincée qui ne pense jamais au sexe. Elle ne portait pas de soutien-gorge mec ! J’ai eu une vue complète sur sa poitrine.

- C’est pas vrai ! Dit Eric qui ne semble toujours pas convaincu.

- Je te le dis, notre patronne a des nichons d’enfer.

Les deux éclatent de rire. Tout en continuant à pisser ils échangent des descriptions colorées de mes seins. Leurs rires salaces remplissent les toilettes.

- De gros melons bien mûrs, ahaha !

- Un pare-choc de compétition ! Ahaha !

- Des mamelles de grosse vache ! Ahahaha !

- De vrais obus à ne pas se prendre dans la gueule ! Ah ah ah ah !

Je dois retenir mon souffle pour ne pas grimacer à chaque terme vulgaire. Je suppose que je ne pourrais jamais plus les regarder dans les yeux sans rougir profondément.

Finalement ils partent, nous laissant à nouveau seuls, Daniel et moi. Mais pour combien de temps ? Au moment d’arrêter le travail, les toilettes sont généralement surchargées, car tout le monde veut se soulager avant de rentrer à la maison.

Je dois faire jouir Daniel rapidement ! Je descends très vite de ses genoux et me replace sur le carrelage froid. Je ne pense même plus à l’état de propreté des toilettes homme. De toute façon, la situation dans laquelle je suis est beaucoup plus sale. Cependant quand je veux attrapé sa queue, Daniel m’arrête subitement et s’exclame !

- Allez Miss Pute de Bureau, après cette discussion exhibe les !

Zut, ce putain de bâtard n’a pas oublié la conversation de mes deux employés. Mais je ne dis rien. Je me redresse et je mets mes seins en coupe avec mes mains pour son plus grand plaisir. Je les soulève et je les fais rebondir. Ensuite je saisis mes gros nichons sur le côté et je les presse ensemble. Me penchant en avant, je frotte doucement mes tétons bien durs sur sa queue dressée.

- Ouais, très bien petite Pute de Bureau. Mais tes seins ont besoin d’un nom. Lequel choisis-tu ?  gros melons bien mûrs,  pare-choc de compétition, mamelles de grosse vache ou vrais obus à ne pas se prendre dans la gueule ?

Oh mon Dieu, qu’est-ce qu’il me demande maintenant ? Toutes ces dénominations sont plus humiliantes l’une que l’autre. Chacune est vulgaire et chacune me fait grimacer. Je réfléchis sur ces expressions. Mais aucune ne me plaît. Je ne peux pas laisser Daniel en choisir un. J’ai déjà assez de mal à ce qu’il m’appelle Miss Pute de Bureau tout le temps.

- Gros melons bien mûrs Monsieur Daniel. Dis-je enfin, ayant fait mon choix.

- Bien ! C’est comme ça que tu appelleras tes seins dorénavant Miss Pute de Bureau. Tout autre terme est banni. Tu comprends petite salope ?

- Oui Monsieur Daniel ! J’espère que vous aimez les gros melons bien mûrs de votre Pute de Bureau. Répondis-je gentiment.

Waouhhh, je sens que ma volonté m’échappe face à cette dégradation. Pourtant ça augmente l’excitation de ma chatte déjà dégoulinante. Toutefois ce n’est pas une excuse. Je dois m’empêcher de sombrer plus profondément dans ce rôle de soumise.

Daniel est visiblement satisfait du comportement de son animal de compagnie. Du moins c’est ce que je déduis de son sourire. De toute évidence, l’interruption de mes employés lui avait envoyé une décharge d’adrénaline. Et ça l’a amené près de la jouissance. Il peut à peine se retenir plus longtemps.

Il se lève de la cuvette des WC et se place devant moi. S’élevant au-dessus de ma petite silhouette agenouillée, il attrape mes cheveux châtains et me plaque contre la porte de la cabine. Je ne peux pas m’échapper. Daniel pousse sa queue dure en avant et l’enfonce profondément dans ma bouche. Il se fout pas mal que je vomisse. Il pousse sa bite aussi profondément que possible dans ma gorge. Quand le manche long et épais de son sexe entre dans ma gorge, je bafouille et j’étouffe pitoyablement. 

Le latino me baise la bouche comme s’il s’agit d’une vraie chatte, mais il ne dure pas longtemps. Il entre encore quatre fois dans ma gorge avant que sa bite explose. Giclée après giclée, il inonde ma gorge et ma bouche de son sperme chaud et crémeux. Une partie de son foutre descend directement dans mon ventre.

Après quelques jets de semence, Daniel retire sa queue de mes lèvres pour asperger mon visage. Je crie de surprise lorsque le premier tas de sperme touche ma joue gauche. Il me semble qu’il ne va pas s’arrêter de jouir. C’est une énorme éjaculation. Il m’enduit les deux joues et l’arête du nez de sperme épais et visqueux avant que ses couilles soient vides.

Mon visage est couvert de sperme. Il est trempé. Quelle puissance a ce jeune latino !

- Le défi de la journée est rempli. Il est temps de rentrer à la maison mon petit animal de compagnie.

Il ouvre la porte de la cabine sans attendre ma réaction. Je dois ramper vers les lavabos à quatre pattes alors que je sens son regard sur mon cul nu. Toutefois je veux laver mon visage. Mais quand je me redresse et que j’ouvre le robinet d’un lavabo, Daniel m’arrête.

- Ma semence reste sur ton visage Miss Pute de bureau. C’est mon cadeau. Porte-le fièrement ma petite salope. Déclare-t-il d’une manière arrogante et désinvolte.

Je le regarde, incrédule. Après tout ce qu’il m’a fait, c’est la pire chose. Comment suis-je censé retourner à mon bureau ? Je ne peux pas rester dans les toilettes pour homme éternellement.

Mais mon stagiaire ne se soucie pas de ces détails mineurs. Il se borne à sortir des toilettes, les mains dans les poches. Je m’attends presque à ce qu’il commence à siffler en s’éloignant. Il agit comme si rien n’était arrivé. Cette saloperie de bâtard a définitivement trouvé le moyen de m’énerver. Mais je n’ai aucun mayen de contourner le problème. Je dois sortir des toilettes avant que quelqu’un n’y entre.

Plus que prudemment j’entrebâille la porte. Avec hésitation, je jette un coup d’œil de tous les côtés. Deux des employés se préparent à quitter le bureau. Ils se tiennent dans le couloir pour se dire au revoir.

A la hâte je referme la porte des toilettes. Mon cœur bat la chamade. Appuyée contre le mur carrelé, j’essaie de me calmer et de reprendre mon souffle. J’attends quelques minutes avant de faire un autre essai. Une nouvelle fois j’ouvre légèrement la porte et je jette un coup d’œil en dehors des toilettes homme.

Cette fois le couloir est vide. Toutefois, plusieurs portes de bureau restent fermées. Peut-être que les employés sont encore occupés. C’est maintenant ou jamais. Je pense qu’une meilleure chance ne viendra pas alors je me précipite hors des toilettes et je marche aussi vite que je peux sans faire de bruit. Tout le temps, je rase le mur. Je me sens comme une espionne qui marche sur la pointe des pieds, une espionne en costume de salope avec un masque de sperme.

J’y suis presque. J’arrive aux escaliers. Alors que j’atteins les premières marches, j’entends une porte s’ouvrir et deux hommes sortent et empruntent le couloir. Je reconnais leurs voix. l’un d’eux est Carlos ORTEGA.

Heureusement ils ne peuvent voir que mon dos. Mais je ne suis pas hors de danger. Je ne peux pas m’arrêter maintenant. Je ne peux pas laisser mon rival me voir dans cet accoutrement.

- Mme ADDAMS ?

ORTEGA m’a évidemment reconnu alors il m’a appelé. C’est la goutte qui fait déborder le vase. Je me précipite dans les escaliers aussi vite que je peux, sans regarder en arrière. Je me fiche de ce que pense ORTEGA. Je me fiche de savoir s’il est contrarié que je n’ai pas réagi. Tout ce qui m’importe est qu’il ne voit pas mon visage recouvert de sperme.

Lorsque j’atteins l’étage supérieur, je suis à bout de souffle et mes nerfs sont à vifs. En entrant dans mon bureau, j’y trouve Daniel qui m’attend.

- Bravo salope ! Tu as aimé cette petite promenade couverte de sperme n’est-ce pas petite pute exhibitionniste ? Me dit-il en m’applaudissant.

Je ressens une pointe de fierté devant ses applaudissements, et simultanément une vague de honte devant sa conception de l’exhibitionnisme. Mais il a raison. Je suis excitée comme une folle. J’ai presque envie que Daniel me donne la règle en bois pour la frotter sur mon clitoris, mais je me hais pour cette idée. Je jette un coup d’œil à mon bracelet. Je suis maudite. Je me dirige alors vers les toilettes pour femme pour me laver le visage.

Quand ma figure est propre et que je reviens à mon bureau, Daniel est parti. Il ne veut rien obtenir de plus aujourd’hui.

A suivre…