Traduction d’un texte de Tony King.
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C’est juste après le départ de nos filles adolescentes que j’ai pu mettre mon plan à exécution. Pendant des années j’ai nourri l’idée de regarder ma femme sexy se faire baiser par un jeune étalon. Et aujourd’hui il est temps que mon fantasme devienne réalité. Bien que cette idée soit venue comme ça alors que nous faisions l’amour, elle m’a toujours répondu que ce n’était qu’un fantasme et que ça resterait un fantasme, ça n’arriverait jamais.
Caroline a la quarantaine, mais conserve une silhouette jeune avec une belle paire de nichons fantastique, du 100DD, de longs cheveux blonds, et, à ma demande, une chatte rasée en permanence. Avec ses jambes galbées et sa grosse poitrine, elle fait tourner les têtes et a beaucoup d’admirateurs.
C’est lorsque j’ai reçu un rappel d’impôts que j’ai eu la chance de mettre mon plan à exécution.
- Tu sais chérie, maintenant que les filles ont quitté la maison, je crois que la façon la plus simple de payer ce rappel d’impôts est de louer une chambre.
- Pas question, je ne veux pas d’étrangers dans ma maison. Répond-elle avec colère.
- D’accord, mais alors on oublie nos voyages pour les deux ans à venir.
Je sais qu’elle ne peut se passer d’une semaine par an au soleil tropical. Je crois que ça devrait la faire réfléchir.
- C’est vraiment si grave ? Demande-t-elle sur un ton plus adouci.
Nous devons 1 000, mais je lui dis qu’il s’agit d’une dette de 4 000.
- Pour combien de temps ? Questionne-t-elle.
- Eh bien, je pense que l’on peut compter sur un loyer de 150 par semaine donc d’après mes calculs il suffit de 6 ou 7 mois de location. Ce n’est pas terrible non ?
A contrecœur elle accepte.
Je passe alors des annonces sur divers sites échangistes en décrivant l’offre : « 6 mois de loyer réduit et la chance de séduire ma femme ». Comme nous vivons près d’une grande université, j’ai été inondé de réponses. Le problème était que la plupart d’entre elle étaient vulgaires, dans le genre « J’ai vu votre annonce et j’adorerai baiser cette salope ». ce n’est pas vraiment ce que je cherchais. Puis, après quelques semaines, une réponse attire mon attention.
Je voulais que ce soit un jeune qui la baise. Mais la réponse venait d’un professeur d’université à la recherche d’un logement pour une courte période dans notre région pendant qu’il faisait construire une maison. Il avait 50 ans, était marié avec des enfants, et n’avait apparemment rien fait de tel auparavant. Je me suis dit qu’il n’y aurait pas de soucis de MST. Dans son message il m’indiquait que ce serait un défi de séduire ma femme et que sinon il aurait un endroit où vivre en attendant sa maison. Nous avons alors prévu de nous rencontrer.
Ray a un an de plus que moi, il est un peu plus petit et plus mince. Il reste en forme en faisant du jogging et il a le corps et l’endurance d’un homme de la moitié de son âge. Il s’avère qu’il s’installe par ici après plusieurs années de boulot à l’étranger. Sa femme et ses enfants sont toujours à Hong-Kong et le rejoindront quand sa maison sera prête. Je lui montre quelques photos de Caroline dans diverses tenues et poses sexy. La vue de ma charmante épouse vêtue seulement de bas, porte-jarretelles et talons fait qu’il se tortille sur sa chaise. Je le vois plusieurs fois porter la main à son renflement dans son pantalon.
- Woaw, J’aimerais que ma femme s’exhibe comme ça. Tu veux vraiment que j’essaie de la séduire ? Dit-il en regardant une photo où elle est jambes écartées, sa chatte rasée bien visible.
- Bien sûr, je pense qu’elle va adorer.
- D’accord alors, si c’est ce que tu veux, je n’ai rien à perdre.
J’emmène alors Ray à la maison pour lui présenter Caroline. Et après que celle-ci ait donné son accord, nous nous mettons d’accord pour qu’il emménage la semaine suivante.
Semaine 1 – Ray emménage.
Ray arrive à la maison avec un gros bouquet de fleurs et une bouteille de vin. Je l’avais déjà informé des points faibles de mon épouse et de la meilleure façon de la séduire. Caroline est flattée de l’attention que lui porte Ray, et au bout de trois jours, elle parle avec lui comme s’il s’agissait d’un ami de longue date. Il gagne sa confiance en lui montrant des photos de sa femme et de ses enfants. Puis le samedi nous l’accompagnons pour voir l’avancement des travaux de sa maison. Le dimanche, on peut penser que Caroline et Ray forment un couple tellement ils s’entendent bien.
Semaine 2 – Caroline se fait baiser.
Point de vue professionnel, j’ai de nombreux délais à respecter, donc je reste tard au bureau. Cela donne à Ray plus de temps pour être avec elle pour la séduire. De plus, j’ai délibérément privé ma femme de sexe depuis deux semaines en argumentant que je suis trop fatigué. D’ailleurs elle confie à Ray qu’elle pense que j’ai une liaison. Bien sûr Ray ne fait rien pour la rassurer.
Une crise apparaît lorsque je lui dis que je dois me rendre à Milan pour une réunion le lundi suivant. Ce qui veut dire que je prends l’avion le dimanche après-midi. Et ce dimanche c’est notre anniversaire de mariage. Nous l’avons toujours célébré en sortant au restaurant. C’est là qu’elle se fâche et s’énerve :
- Tu ne peux pas faire ça ! C’est notre foutu anniversaire de mariage et tu pars pour Milan. Et pourquoi je ne peux pas venir avec toi ?
- Écoute, tu connais notre situation. Nous ne pouvons pas nous permettre que tu viennes avec moi. Pourquoi tu ne demandes pas à Ray de te sortir ? Tu sais à quel point j’ai travaillé dur sur ce projet, je ne peux pas me permettre de tout foutre en l’air maintenant.
Dimanche après-midi, je prépare mon sac de voyage et je pars à l’aéroport. Mon épouse ne me dit même pas au revoir. Ma réunion ne consiste simplement à signer le contrat officiel avant le retour à l’hôtel. Je passe une nuit blanche à me demander s’il se passe quelque chose chez moi. Avez-vous déjà essayé de vous endormir avec une érection qui fait rage ? Chaque fois que je ferme les yeux, je m’imagine ma femme Caroline sur notre lit, les jambes écartées, en train de se faire baiser par Ray. Ou alors, elle est à genoux, le chemisier ouvert pour exposer ses gros seins, la mini-jupe troussée à la taille, ses lèvres enroulées sur la bite de notre locataire. Je suis vraiment pressé de revenir chez moi.
Le lendemain, quand j’entre dans le salon, je vois Ray assis sur le canapé. Il me fait un clin d’œil et lève son pouce. Mon cœur bondit. Caroline est à l’étage, dans la chambre principale, en train de ranger des vêtements.
- Bonjour ! Contente de me revoir ? Demandé-je en jetant mon sac sur lit.
Elle me répond sur un ton sarcastique :
- Alors ? Tu as signé ton contrat ?
Je sais qu’elle se demande si c’était vrai. Il faut voir son expression quand j’ouvre mon sac et que je lui montre le dossier.
- Oui bien sûr ! Dis-je en l’embrasant sur la joue.
Puis je demande innocemment :
- Et toi ? As-tu passé un bon moment avec Ray ?
Elle devient rouge pivoine.
- Qu’est-ce… Qu’est-ce que tu veux dire ?
- le dîner… Tu sais… Dimanche soir.
- Ah oui le repas… Oui, c’était sympa.
Elle se détourne de moi pour essayer de cacher ses rougeurs.
- Je vais juste faire un tour au pub, tu veux venir ?
Je sais qu’elle ne peut me faire face.
- Non, non, merci, j’ai encore beaucoup de choses à ranger.
- Ok, je vais voir si Ray veut m’accompagner.
Avant qu’elle ne puisse répondre, je quitte rapidement la chambre. J’appelle Ray et nous nous dirigeons vers le pub.
Bien caché dans un coin, je lui demande :
- Alors ?
Il sourit d’un air satisfait et me répond :
- Mon Dieu, je ne sais pas trop par où commencer. Après ton départ dimanche, elle était de très mauvaise humeur et elle a passé des heures dans un bain. Puis elle est descendue dans le salon. Je ne pouvais en croire mes yeux. Elle avait noué ses cheveux, elle était joliment maquillée et elle portait une courte robe de soirée boutonnée sur le devant. Oh oui aussi, elle avait la plus grande paire de talons hauts que j’aie jamais vue. Quoi qu’il en soit, nous avons dîné et j’ai fait en sorte que le vin coule à flots. Lentement, mais sûrement elle devenait de plus en plus ivre. Elle a passé tout son temps à se plaindre de toi et de ton travail ainsi que du peu d’attention que tu lui accordais ces derniers temps. Elle était convaincue que tu avais une relation. Nous sommes rentrés à la maison vers 22h30 et elle s’est assise à côté de moi sur le canapé et elle s’est mise à pleurer.
A ce stade, je me sens un peu coupable et je me dis que je suis peut-être allé un peu loin. Ray continue :
- J’ai mis mon bras autour de ses épaules pour la réconforter et je lui ai dit à quel point elle était belle et quel idiot tu étais de la laisser avec un autre homme. Ensuite ses lèvres se sont verrouillées sur les miennes et sa langue explorait ma bouche. Je me suis dit que c’était le moment ou jamais et j’ai posé mes mains sur ses seins pour doucement les serrer. Elle continuait de m’embrasser. J’ai commencé alors à défaire les boutons de sa robe et j’ai caressé ses seins à travers son soutien-gorge. Elle m’embrassait encore, mais sa main s’est déplacé sur ma bite. Tu m’avais montré sa poitrine en photo, mais je n’arrivais pas à croire à quel point ses seins étaient gros et doux.
- Est-ce qu’elle t’a laissé déboutonner sa robe complètement ?
- Hein ? Bien sûr ! Elle était même si impatiente qu’elle a défait le dernier bouton pour moi avant d’ouvrir sa robe en grand.
- Qu’est-ce qu’elle portait en dessous ?
- Des bas noirs, une petite culotte transparente,un porte-jarretelles, et un soutien-gorge soyeux.
Je souris intérieurement. C’est l’ensemble que je lui avais offert à Noël. En plaisantant nous l’avions appelé son uniforme de pute.
- Continue !
- J’ai embrassé son cou et ses épaules, puis j’ai sorti ses seins du soutien-gorge et j’ai commencé à sucer ses mamelons. Elle tenait ma tête entre ses mains en poussant de petits gémissements. Quand j’ai mis ma main sur sa jambe et que j’ai commencé à remonter le long de sa cuisse, elle a juste ouvert les jambes en grand. Elle m’a demandé si j’aimais sa chatte lisse. Je n’arrêtais pas de la caresser à travers sa culotte et je me suis souvenu de ce que tu m’avais dit à propos de son clitoris sensible. Elle gémissait à mon oreille et je sentais qu’elle mouillait. Alors j’ai simplement glissé mon doigt sous sa culotte, dans sa petite fente et j’ai cherché et trouvé son clito.
Je ferme les yeux une seconde et j’imagine la scène. Ma charmante femme guindée, assise sur le canapé, jambes écartées, en sous-vêtements sexy, se faisant doigter la chatte par un autre homme en même temps qu’il lui suce les seins.
- Tu l’as faite jouir ?
- Jouir ? C’est comme si quelqu’un avait allumé une mèche. Elle a eu un orgasme à la seconde où j’ai touché son clitoris. J’ai dû la tenir tellement elle tremblait. Puis elle m’a dit : « maintenant c’est à ton tour : ». Elle m’a repoussé sur le canapé, jeté sa robe par terre et s’est agenouillée devant moi. Elle a ouvert ma braguette et a sorti ma bite. Tu sais quoi ? Elle m’a regardé droit dans les yeux en baissant sa bouche sur ma bite. C’était incroyable. Ma femme ne veut pas faire ça, elle dit que c’est dégoûtant. C’est la première pipe que j’ai eue depuis plus de vingt ans.
- Est-ce qu’elle t’a fait jouir ? Demandé-je.
Je bande et il m’est difficile de rester assis ;
- Tu crois quoi ? Je lui ai dit que j’allais jouir, mais elle a continué de me sucer. A un moment elle a fait quelque chose avec sa langue et je n’ai pu me retenir tellement la sensation était incroyable. J’ai éjaculé encore et encore. Et tu sais quoi ? Elle a tout avalé jusqu’à la dernière goutte. Et quand j’ai fini elle s’est même appliquée à bien lécher ma bite.
- Est-ce que tu l’as baisée ?
Ray me regarde :
- Je l’ai baisée toute la nuit et je pense qu’aujourd’hui je serai incapable de bander encore. Elle est insatiable.
Nous prenons une autre bière et Ray continue :
- Donc, après qu’elle m’a sucé, elle s’est assise sur le canapé et elle a ouvert ses jambes en grand en m’invitant à lui lécher la chatte. Au moment où je l’ai faite jouir une nouvelle fois, j’étais vraiment prêt à la baiser. Je l’ai tirée sur le bord du canapé et j’ai glissé ma bite dans sa chatte. Elle donnait l’impression d’être au paradis et elle n’arrêtait pas de pousser ses hanches sur moi.
Ray a l’air un peu embarrassé alors je l’incite à continuer.
- Je ne suis pas sûr que tu vas aimer. Mais elle a dit que c’est la plus grosse bite qu’elle n’ait jamais eu.
Je réalise soudain que c’est la seule question que je n’aie jamais posée à Ray, la taille de sa bite.
- Dis-moi alors quelle taille elle fait ? Demandé-je.
- Eh bien, ma femme l’a mesuré une fois et elle m’a dit qu’elle faisait 27 centimètres.
- Putain de merde, pas étonnant qu’elle soit contente.
Maintenant, mon imagination se met en route alors que je m’imagine cette grosse et longue bite entrant et sortant de la chatte humide de Caroline. Le maximum que je pouvais lui donner était de quinze centimètres alors qu’elle m’avait parlé d’un de ses anciens petits amis qui avait une queue de vingt centimètres.
- Alors, que s’est-il passé ensuite ?
- Je crois que je l’ai baisée dans cette position pendant environ vingt minutes avant de jouir. Pour sa part elle a eu plusieurs orgasmes en essayant de m’attirer plus profondément en elle. Finalement nous avons attrapé nos vêtements et nous sommes allés nous coucher.
- Mais tu m’as dit que tu l’avais baisée toute la nuit ?
- Ouais, mais bon , pas toute la nuit. Au début nous nous sommes juste blottis l’un contre l’autre en nous embrassant. Elle a recommencé à jouer avec ma bite pendant que je lui doigtais la chatte. Puis elle m’a sucé une nouvelle fois avant de me chevaucher. Je crois que c’était le meilleur moment. La voir installée sur ma bite avec ses gros seins se balançant était génial. Elle a encore joui de nombreuses fois avant de descendre. Puis elle s’est mise à quatre pattes et elle m’a demandé de la prendre ainsi. Ce que j’ai fait. Après que j’ai éjaculé, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
- Quoi ? Elle a gardé ses bas toute la nuit ?
- Ouais. Elle m’a réveillé en me suçant et j’ai vu qu’elle les avait encore. Je l’ai tellement baisée le matin que j’en ai mal à la queue. Et ça nous a pris si longtemps que nous avons pris une journée de congé et nous sommes restés au lit. Je l’ai encore baisée au déjeuner et en fait, je viens encore de la faire juste avant que tu ne rentres.
Je dis alors à Ray ce que je veux qu’il fasse. Nous finissons nos verres et nous rentrons à la maison.
Semaine 3 – Le film avec Caroline.
La caméra vidéo est discrètement cachée dans une étagère, les fils passant par la fenêtre vers un téléviseur situé dans le garage. Je peux zoomer et dézoomer à ma guise, faire des panoramiques de haut en bas ou de droite à gauche. J’ai dit à Caroline que je travaillais tard, donc ce n’est pas long avant que le spectacle commence.
Ray baise souvent ma femme, et selon lui, elle n’en a jamais assez. La scène débute avec Ray assis sur le canapé vêtu seulement d’une robe de chambre. Caroline apparaît dans l’embrasure de la porte vêtue seulement de ses sous-vêtements noirs sexy et de ses chaussures à talons de quinze centimètres. Elle défile dans la pièce pour Ray en lui demandant s’il aime ce qu’il voit. Pour toute réponse mon locataire ouvre sa robe de chambre pour révéler la plus grosse bite que je n’ai jamais vue. Elle est bien dressée comme un mât.
- Hummm, je vois quelque chose de prêt ! Dit Caroline en se léchant les lèvres et en s’agenouillant devant lui.
Je fais un zoom avec la caméra et je vois son rouge à lèvres se refermer sur le gland de Ray. Les lèvres glissent lentement vers le bas. Ray ferme les yeux et gémit.
Elle réussit à mettre douze à treize centimètres dans sa bouche avant de revenir sur son gland et de recommencer. Je peux voir ses joues se creuser pendant qu’elle le suce. De temps à autre elle sort complètement le membre pour lécher le gland et le manche de haut en bas. Lorsque Ray lui dit qu’il est sur le point de jouir, elle plonge sa bouche sur le membre et elle accélère sa fellation. Il en faut peu pour que j’éjacule moi-même dans mon pantalon quand Ray explose dans sa bouche. Comme il me l’a dit, cette garce avale chaque goutte avant de bien nettoyer sa bite avec sa langue.
Se léchant toujours les lèvres, elle se met debout devant lui. Il lui enlève sa culotte et elle ouvre les jambes en grand pour que sa langue trouve sa chatte. Ses gros seins sont magnifiquement enfermés dans son soutien-gorge et Ray pose ses mains sur les cuisses gainées de bas pendant qu’il la lèche.
Je m’aperçois du moment où elle est sur le point de jouir. Son corps se met à trembler et elle plis légèrement les genoux. Ray tient son cul serré en poussant sa chatte vers sa bouche.
- Oh Ray, ne t’arrête pas… Oooohhh OUIIIIIIII !
Elle s’effondre sur le canapé et ils s’embrassent passionnément, mélangeant dans leur bouche le sperme et le jus de chatte. Pour un homme de cinquante ans, Ray se rétablit rapidement et bande de nouveau. En peu de temps sa bite est de nouveau dure comme de la pierre et se dresse pour recommencer. Cette fois, pour mon bénéfice, Ray demande à Caroline de le chevaucher dos à lui, c’est-à-dire face à la caméra.
Quand sa chatte plane au-dessus de lui, Ray frotte son membre le long de la fente avant de lui permettre de descendre. Je fais un zoom et je vois les lèvres de sa chatte s’ouvrir puis presque disparaître en elle, entraînées par sa grosse bite. La queue de Ray n’est pas seulement longue, elle est aussi très grosse. Une fois qu’elle est entièrement empalée sur le membre je fais un zoom arrière. Caroline à la tête appuyée sur son épaule, les yeux fermés avec un grand sourire sur le visage. Ray a les deux mains sur ses seins et titillent ses tétons alors qu’il fait pivoter ses hanches sous elle. Puis il descend une main vers son clitoris et commence à le pincer entre le pouce et l’index. Caroline entre en transes. Elle commence à chevaucher sa grosse bite, se levant jusqu’à ce que seul le gland reste à l’intérieur, puis se laissant tomber vers le bas, prenant le sexe jusqu’à la garde. Ray serre sa poitrine et pince son clitoris en l’accompagnant.
- Oui c’est ça salope, baise ma grosse bite.
Caroline avait toujours détesté les propos vulgaires et elle m’avait toujours dit que ça la bloquait. Je voulais voir comment elle réagirait si c’était Ray qui l’insultait.
- Mon Dieu, tu ferais une bonne pute. Allez salope, plus vite !
Caroline gémit bruyamment alors qu’un autre orgasme la traverse. Elle se repose, la bite totalement enfouie en elle en attendant que les tremblements de son corps cessent. Elle tourne la tête sur le côté et embrasse Ray.
- Alors, tu aimes être ma salope . Demande Ray.
Elle murmure d’un air endormi en s’appuyant fort sur sa queue :
- Hummm, j’aime la sensation de cette bite en moi.
- Donc je peux faire ce que je veux avec toi ?
- N’importe quoi, je suis tout à toi !
- Et tu seras ma salope, ma pute ?
- Hmmm, si c’est ce que tu veux.
A ce moment j’éjacule sur tout le mur du garage. Ma douce épouse innocente vient de dire à un autre homme qu’elle serait sa salope. Je continue à regarder et à me branler pendant que Ray l’achève en remplissant sa chatte de foutre. Puis il lui fait ouvrir grand les jambes afin que je puisse bien voir quand il sort de sa chatte.
Je décide alors de faire peur à ma femme. Alors qu’elle est toujours assise sur la bite de mon locataire, je sors du garage et je mets ma clé avec bruit dans la porte d’entrée. Plus tard, je vois sur la vidéo qu’un air de pure panique s’est affichée sur son visage et qu’elle a sauté du canapé pour se précipiter dans les escaliers juste au moment où j’ouvrais la porte. Ray bien sûr, reste assis sans bouger, un sourire sur le visage.
Je me précipite aussi dans les escaliers en prétextant une envie urgente de pisser. Je sais qu’elle a dû s’enfermer dans la salle de bain, mais je ne veux pas lui laisser le temps de se changer ou de s’habiller.
- Caroline, vite ouvre la porte ou je vais me pisser dessus.
Elle me laisse entrer et reste là, son peignoir serré autour d’elle. Ses talons sont jetés sur le sol, mais elle n’a pas eu le temps d’enlever ses bas. Je la fais attendre jusqu’à ce que j’ai fini de me soulager, puis j’ouvre son peignoir.
- Mon Dieu, qu’est-ce que c’est que tout ça ?
- Je… Euhh… J’ai… J’ai pensé que ça pourrait te plaire. Je me préparais pour ton retour à la maison. Ment-elle.
- Hein ? Tu allais mettre ton costume de pute avec Ray assis dans le salon ?
- Je voulais t’attendre dans la chambre, je savais que tu allais bientôt rentrer.
Je fais glisser le peignoir sur ses épaules pour le laisser tomber par terre. Puis je commence à tripoter ses seins. Quand je descends une main sur sa chatte, elle recule et s’éloigne vers la chambre en disant :
- Viens me baiser, ça fait si longtemps. s’il te plaît !
Elle ne veut pas que mes doigts sentent le sperme de Ray qui coule presque le long de sa jambe. Alors je lui réponds :
- Pas avant d’avoir joué avec ma chatte préférée.
Je prends son monticule lisse et collant dans ma main. Elle s’allonge sur le lit, réticente à ouvrir les jambes. Alors je les écarte. Puis je fais courir mes doigts de haut en bas sur ses lèvres gonflées. Je ne touche pas son clitoris, mais pénètre sa chatte avec un doigt.
- Hummmm, chaude et mouillée ! Tu as des pensées cochonnes ou tu t’amuses seule quand je ne suis pas là ?
Elle rougit de nouveau :
- C’est à l’idée que tu rentres à la maison et que tu me fasses ça. Ment-elle une nouvelle fois.
Je me déshabille rapidement et je grimpe entre ses jambes. J’ai l’impression de mettre ma bite dans un pot de mélasse chaude. Je me relève sur les bars et je la regarde.
- Eh bien, soit tu es sacrément excitée, soit tu as passé les dernières heures à baiser avec Ray.
Honnêtement j’ai l’impression qu’elle va faire une crise cardiaque. Elle tousse et s’étouffe presque.
- Hé je plaisante ! Je sais que tu ne ferais pas ça !
Son regard effrayé devient un regard de soulagement alors qu’elle m’assure qu’elle est mouillée simplement parce que j’ai joué avec sa chatte et que je la baise. Elle ajoute que bien sûr elle n’aime pas Ray, qu’il est trop vieux et moche.
Semaine – Ray devient dominateur.
Comme nous l’avions prévu, Ray commence à prétendre qu’il s’ennuie pendant leurs séances de sexe. Il parle de sa femme et de la façon dont elle aime que deux hommes la prennent en même temps. C’est un mensonge, mais Caroline ne le sait pas.
- Peut-être que l’on devrait essayer ça pour pimenter un peu les choses ! Dit-il un jour en lui doigtant paresseusement la chatte.
Bien sûr, Caroline lui dit non. Alors Ray sort de la maison en lui disant qu’il va au pub. Je quitte ma cachette et je le rejoins, laissant ma femme habillée comme une pute sur le canapé. Deux heures plus tard nous revenons, Ray dans le salon et moi au garage. Caroline a toujours sa tenue sexy, mais elle a enfilé un peignoir. Elle est très en colère :
- Où diable étais-tu ? Je suis restée ici habillée comme une pute bon marché pendant qu tu vas picoler dans un pub ?
Ray la saisit alors par les cheveux et lui crache :
- Écoute salope ! En ce qui me concerne, toute femme mariée qui se laisse baiser par un autre homme est une pute bon marché. Maintenant tu peux enlever ce putain de peignoir et me sucer la bite !
Ray défait sa braguette, sort sa bite et s’assoit sur le canapé. Au début, Caroline semble complètement choquée, mais elle laisse tomber son peignoir sur le sol. Je regarde son cul couvert de sa petite culotte sexy se dandiner alors qu’elle se dirige vers la queue offerte de Ray.
- Suce salope ! Montre-moi quelle petite pute tu peux être !
Ma femme lui obéit et s’agenouille devant lui. Ray la laisse le sucer pendant environ cinq bonnes minutes avant de la faire asseoir dans un fauteuil.
- Enlève ta culotte, écarte les jambes et prépare ta chatte pour moi !
C’est une chose qu’elle n’a jamais faite pour moi. Elle m’a toujours dit que ça la gênait et qu’elle ne pouvait se résoudre à le faire. Elle enlève sa culotte et s’assoit sur le fauteuil, les jambes fermées.
- Ok ! Si c’est comme ça, je m’en vais ! Dit Ray en se levant comme s’il allait partir.
- NON ! S’il te plaît Ray ! C’est juste que… eh bien, que j’ai du mal à le faire.
Ray se tient à côté d’elle, sa bite près de son visage.
- Si tu en veux plus, fais-le !
Vraiment à contrecœur, elle place ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil puis elle écarte les lèvres de sa chatte. En regardant la grosse bite de Ray, elle commence à caresser son clitoris puis à le frotter en petits cercles.
- Mets tes doigts dans ta chatte ! Ordonne Ray.
- S’il te plaît Ray, je ne peux pas faire ça !
- Doigte ta chatte de salope ! Dit-il d’une voix autoritaire.
Il se masturbe en la regardant jouer avec elle-même. Manifestement il apprécie son nouveau rôle de Maître. Caroline met un doigt dans sa grotte humide et le déplace lentement dans et hors de sa chatte.
- Maintenant les autres doigts ! Dit Ray en se penchant sur elle pour sortir ses gros seins de son soutien-gorge.
Tandis qu’elle se met au travail avec trois doigts, Ray passe d’un mamelon à l’autre pour les tirer et les tordre, sa bite à quelques centimètres du visage de mon épouse.
Caroline ne quitte pas une seconde des yeux la grosse queue devant elle. Maintenant elle est occupée à jouer avec sa chatte à deux mains. l’une fourre trois doigts dans son trou humide alors que l’autre frotte énergiquement son clitoris. Des frissons révélateurs commencent à parcourir son corps à mesure que l’orgasme approche, Ray se branle de plus en plus vite. Alors qu’elle a des spasmes de plaisir, Ray lui attrape la tête en disant :
- Ouvre ta putain de bouche, salope !
Les premières giclées couvrent son visage et ses cheveux. Deux autres suivent et couvrent ses yeux et sa lèvre supérieur avant qu’elle ne prenne le gland dans sa bouche. Ses propres mains sont maintenant inactives, mais je peux la voir déglutir donc je comprends que Ray éjacule encore. Quand enfin il recule, je peux voir le visage rouge vif de ma femme à cause de son orgasme, du sperme blanc et collant contrastant joliment. Des gouttes tombent de sa lèvre supérieure et je ne suis pas loin de jouir moi aussi quand elle sort sa langue pour les laper. Je continue de les regarder pendant deux heures où Ray assure son emprise. Quand ils terminent enfin, il lâche une bombe :
- Caroline, tu m’as dit une fois que je pouvais te faire tout ce que tu voulais, tu le penses toujours ?
Elle est blottie contre lui, se sentant visiblement bien après cette baise marathon qu’il vient de lui offrir.
- Hmmmmm, n’importe quoi.
Elle joue doucement avec la bite molle, qui même ainsi, est plus longue que la mienne.
- Bien, alors je veux te voir te faire baiser !
Elle se redresse d’un coup :
- Quoi ?
- Tu as bien entendu, je veux regarder un autre homme te baiser !
- Qui ? Où ? Je veux dire non plutôt. Ray, je ne veux que toi. S’il te plaît ne me force pas à faire ça !
- Juste une fois ! Je veux voir à quoi tu ressembles avec la bite d’un autre homme.
Caroline réfléchit très vite.
- Et si je laisse la porte de la chambre ouverte quand Tony me baise. Tu pourrais jeter un coup d’œil.
- Non, je veux regarder un vrai homme te baiser. Quelqu’un avec une grosse bite comme la mienne. Je veux t’entendre crier de plaisir comme tu le fais pour moi.
Ma femme est déboussolée. Elle ne veut pas perdre Ray. Ils se disputent pendant près d’une heure avant que Ray ne lui lance un ultimatum. Soit elle faisait ce qu’il veut, soit il déménageait. A contrecœur elle cède.
Semaine 5 – Caroline la pute.
Après avoir passé une autre annonce sur le web, Ray et moi examinons les réponses. Finalement nous choisissons un jeune de 23 ans s’appelant David. Ce gars chanceux avait une bite de 27 centimètres encore plus épaisse que celle de Ray. Il nous affirme qu’il peut baiser plusieurs fois par nuit et qu’il est un gros éjaculateur. Ce jeune homme est dans l’armée, il a donc passé récemment un examen médical complet avec des tests sanguins. Donc nous pouvions le laisser baiser sans capotes.
Au cours des deux-trois semaines qu’il faut pour mettre notre plan en place, Ray, à contrecœur, passe moins de temps à baiser ma femme, lui disant qu’il est fatigué et qu’il doit travailler tard. Caroline devient de plus en plus frustrée par ce désintérêt, alors elle se console en baisant avec moi plus souvent. Elle ne m’a jamais laissé entendre que Ray la baisait et elle réussissait même à mentir sans rougir. Mais j’ai commencé à réaliser que Ray avait fait éclore un côté d’elle que je ne connaissais pas. Elle est une vraie salope avide de grosses bites.
Je lui dis un jour que le mercredi soir je serai en voyage d’affaires. Ray lui dit alors qu’elle recevra ce soir -là deux hommes, lui et David. Elle lui répond qu’elle n’est pas très chaude à cette idée, mais lorsqu’il lui promet de passer plus de temps avec elle si elle le fait, elle accepte facilement. Ray m’a ensuite raconté comment elle a passé la journée à se pomponner et comment elle est devenue plus excitée quand il lui a dit à quel point la bite de David est grosse. En début de soirée, je suis à ma place habituelle dans le garage, juste à temps pour entendre Ray expliquer à Caroline comment il veut qu’elle se comporte.
Elle est vêtue de noir de la tête aux pieds, chaussures compensées noires à talons hauts menant à des bas à coutures et un porte-jarretelles assorti. Ray lui a acheté quelques culottes ouvertes à l’entrejambe. Je peux clairement voir sa chatte rasée dans l’ouverture du tissu. Il lui a également acheté un soutien-gorge sexy qui laisse ses mamelons exposés et fait paraître ses seins deux fois plus gros. Ses cheveux blonds sont attachés à l’aide d’un nœud rouge assorti à son rouge à lèvres et à son vernis à ongles. Elle ressemble à une prostituée grand luxe.
- S’il te plaît Ray, laisse-moi au moins mettre mon peignoir ? Je vais avoir l’impression d’être une vraie salope en l’accueillant à la porte comme ça !
Ray rigole :
- Chérie, tu es une salope. Et puis souviens-toi, ce soir tu dois avoir l’air et agir comme une vraie putain. Je veux te voir jouer avec tes seins et ta chatte en suppliant ce mec de te baiser. Je veux que tu utilises des mots vulgaires comme bite, chatte, nichons, pute… En fait je veux t’entendre utiliser tous les mots vicieux auxquels tu peux penser. J’ai dit à David que tu es une vraie pute qui adore
les grosses bites et qui ferait tout pour se faire baiser, donc ne me déçois pas.
Je vois qu’elle n’est pas très heureuse. Elle boit de grands verres de vin avant l’arrivée de David. Son langage corporel me montre qu’elle commence à s’énerver. Lorsque finalement la sonnette retentit, elle essaie de s’enfuir dans l’autre sens. Ray lui bloque le chemin et dit :
- Tu sais ce qui est en jeu. Tout dépend de toi.
Prenant une profonde inspiration, elle se dirige vers la porte d’entrée. Ray et moi retenons notre souffle alors qu’elle lui obéit finalement et ouvre la porte en grand. David se tient sous notre porche et admire la vue qui se présente à lui.
Notre maison n’est qu’à quelques mètres d’une rue principale très fréquentée. Avec la lumière allumée sous le porche, toute personne passant pas là peut voir ma femme. David reste immobile pendant cinq bonnes minutes. A un moment donné, une voiture ralentit et donne un coup de klaxon. Ma femme retourne à l’intérieur et David la suit, une main déjà sur son cul par-dessus la culotte.
- Oh putain, c’est vraiment ce que tu as dit Ray, une vraie salope !
Caroline se contente de fixer le jeune gars. Peut-être que Ray aurait dû lui dire que David était noir. Caroline reste debout au milieu de la pièce pendant que les deux hommes font des commentaires salaces, comme si elle n’était qu’un morceau de viande.
- Tu veux vois à quel point cette chatte mouille une fois qu’elle est bien excitée ? Dit Ray en ouvrant les lèvres de la chatte de mon épouse.
David se penche pour regarder de plus près.
- Et ses mamelons ! Il suffit de les pincer légèrement pour qu’ils deviennent bien durs.
- Est-ce qu’elle sait sucer des bites ? Demande David en passant ses mains sur tout son corps.
- Bien sûr ! Dit Ray en forçant Caroline à s’agenouiller devant lui.
Comme hypnotisée et sans qu’on lui demande, ma femme ouvre la braguette de David et sort sa bite. Le jeune homme bande à moitié alors qu’elle déplace lentement ses deux mains le long de la tige épaisse. Il commence vraiment à bander dur quand elle le prend entre ses lèvres peintes en rouge.
- C’est bon ? Demande Ray.
- Ouais, cette garce semble savoir sucer. Mais arrive-t-elle à prendre une bite entière ? Dit David en lui tenant la tête serrée alors qu’il pousse en avant.
Ma femme n’a jamais fait de gorge profonde. David force sa bite plus loin dans sa bouche et elle commence à étouffer. Alors elle essaie de le repousser. Mais David la tient fermement et pousse encore plus sa queue en elle.
- Urmmphhhhh !
C’est le seul bruit qu’elle peut émettre alors qu’il continue à envahir sa gorge. Elle étouffe vraiment et a l’air de vouloir vomir, mais elle n’a pas le choix. Finalement, David se retire légèrement et elle lutte pour reprendre son souffle. Le jeune homme attend un peu avant de pousser sa bite en avant.
Caroline commence à prendre le rythme et prend une profonde inspiration avant chaque poussée. Sa gorge commence à s’habituer à la taille de la bite de David, et lentement, mais sûrement, il fait entrer son membre en entier. J’ai deux superbes photos tirées de la vidéo : l’une montrant ma femme avec juste le gland dans la bouche, la seconde avec le nez enfoncé dans le pubis de David, un gros renflement dans sa gorge et les yeux grands ouverts.
Tenant sa tête entre ses deux mains, David continue de baiser son visage.
- Oh oui, je vais jouir ! Continue salope, tu vas tout prendre ! OUIIII !
Sa première giclée de foutre descend directement dans la gorge, mais David se retire pour tenir sa bite à quelques centimètres de sa bouche. Une autre puissante giclée de sperme remplit sa bouche, éclaboussant ses lèvres et coulant le long de son menton. Plusieurs giclées suivent encore et couvrent ses yeux et ses joues, du foutre atterrissant même sur ses seins. David continue de branler sa grosse bite noire jusqu’à ce que chaque goutte soit expulsée. Puis il lui fait lécher les derniers restes sur sa bite encore dure. Quand il s’éloigne je fais des gros plans superbes sur mon épouse, le visage couvert de foutre. On peut le voir couler le long de son menton et dégouliner sur ses seins.
Ray dit alors qu’il veut faire la même chose et essayer la gorge profonde. Tandis que David s’assoit sur le canapé, Ray baise le visage de mon épouse. Alors que lui aussi se vide dans sa bouche, je ne peux me retenir d’éjaculer contre le mur du garage.
- Tu veux voir cette salope se faire plaisir ? Demande Ray à David.
- Bien sûr, il n’y a rien de meilleur comme spectacle que de voir une belle salope blanche de la classe moyenne préparer sa chatte pour une grosse bite de nègre.
Le jeune homme fixe Caroline avec convoitise en parlant. Les deux hommes assoient ma femme dans le fauteuil avec les jambes écartées et posées sur les accoudoirs. Puis ils lui donnent un gros vibromasseur rose.
- Ok salope, c’est l’heure du show et n’oublie pas de commenter !
Caroline regarde les deux hommes avant d’allumer le vibromasseur et de commencer à le frotter lentement sur les lèvres de sa chatte rasée.
- C’est ça que vous voulez ? Demande-t-elle en ouvrant ses lèvres visiblement humides et en glissant les premiers centimètres de l’objet rose à l’intérieur de sa chatte.
- Ou peut-être ça ?
Elle sort le vibromasseur et commence à le lécher pour le nettoyer. Ensuite elle l’utilise pour récupérer le sperme qui couvre son visage et le lèche à nouveau pour le nettoyer. Ray et David sont assis sur le canapé , caressant lentement leurs bites déjà raides.
Caroline est entièrement dans le spectacle qu’elle donne. Tout en fixant les deux queues dressées à quelques mètres d’elle, elle s’applique à faire le show. Le vibromasseur réglé à pleine puissance, elle l’insère dans sa chatte jusqu’à ce que seul le bouton d’arrêt soit visible. Puis elle s’amuse avec son clitoris et ses mamelons jusqu’à ce qu’ils soient bien durs.
- Je veux ces belles bites dans ma chatte et dans ma bouche en même temps. Oh oui, je veux qu’elles étirent ma chatte et me remplissent de foutre chaud et juteux.
Elle se tortille sur le fauteuil et son jus intime coule sur le coussin, formant une petite flaque. Quand elle a un orgasme elle les supplie de la baiser.
David est le premier. Il amène son cul au bord du fauteuil et il remplace le vibromasseur par sa bite. Il glisse profondément au fond de la chatte humide, ses couilles venant battre les fesses de Caroline. Il lui enfonce le gode dans la bouche pour lui faire lécher et nettoyer. Ray est agenouillé à côté pour jouer avec ses seins et faisant de son mieux pour ne pas cacher la vue à la caméra.
David s’accroche aux hanches de mon épouse alors qu’il commence son assaut sur sa chatte. On peut entendre à chaque fois ses couilles frapper son cul. Puis Ray suggère :
- Mettons cette garce à quatre pattes pour que je puisse en profiter.
Dans cette position au milieu de notre salon, caroline voit son souhait réalisé, deux bites en même temps, une grosse noire et brillante dans sa chatte et une longue et grosse blanche dans sa bouche. De temps en temps, les deux hommes changent de position et lui font lécher son jus sur leurs outils.
David est le premier à éjaculer dans sa chatte. La tenant fermement par les hanches, il cambre son dos et pousse en avant, enterrant sa bite au plus profond pour inonder son ventre. Ray dit qu’il veut faire pareil. Alors, à la seconde où David se retire, il saisit les hanches de ma femme et la baise violemment avant de tirer sa charge lui aussi dans son ventre pendant qu’elle nettoie avec sa langue la bite de David.
Quand il se retire, Caroline s’affale sur le sol, épuisée. Mais la fête n’est pas finie. Quand ils ne la baisent pas ou ne la doigtent pas, ils lui font utiliser le vibromasseur. Les trois protagonistes passent les heures suivantes d’orgasme en orgasme. A la fin de la soirée, les deux hommes ne peuvent plus bander et Caroline se plaint d’avoir mal à la chatte. Pour ma part j’ai éjaculé trois fois et j’ai dû laver le garage le lendemain.
A mon tour.
Il ne reste que trois semaines avant que la famille de Ray ne le rejoigne dans sa nouvelle maison. Il est vraiment devenu le Maître de Caroline. Elle est au stade où elle fera tout ce que lui demandera l’homme. Sa seule réticence est la sodomie. Elle refuse toujours catégoriquement que Ray ou David l’enculent en prétextant que leurs bites sont trop grosses.
- Qu’en dirais-tu de la sodomiser ? Me demande Ray un jour.
- Mais elle ne sait pas que je sais qu’elle me trompe. Est-ce qu’elle ne va pas le découvrir ? Dis-je.
- Pas si elle a les yeux bandés. Mieux encore, je vais lui dire que je veux la voir se faire baiser par deux inconnus. Tu sais bien qu’elle fera tout ce que je veux.
Apparemment Caroline n’est pas trop contente à cette idée, mais comme Ray insiste, elle accepte à contrecœur.
Le jour venu, elle est vêtue de son costume de pute et elle a les yeux bandés. Ray s’est assuré qu’elle soit excitée. Ses instructions sont d’attendre dans le salon jusqu’à ce que les hommes arrivent, puis de les laisser faire ce qu’ils veulent d’elle. Ray lui assure qu’il sera présent et que peut-être il participera. En tout cas, elle ne doit jamais retirer son bandeau.
A 20 heures, John et moi entrons dans la pièce. John a 35 ans environ. Il est trapu et travaille comme magasinier au même endroit que Caroline. Elle s’était souvent plainte de lui en le traitant de vrai pervers qui essayait toujours de la toucher et qui lui faisait des remarques vicieuses. Elle n’aimait vraiment pas ce gars. Alors, imaginez sa surprise quand je lui ai fait la proposition :
- Quoi ? Tu veux dire que nous pourrons faire tout ce que nous voudrons et elle nous laissera faire ?
- Et oui !
Je lui montrais les photos de David et Ray en train de la baiser. Il était impatient.
- Il y a juste une règle à respecter. Elle ne doit pas savoir qui nous sommes, don nous ne devrons pas prononcer un seul mot.
John accepta volontiers.
Ce soir-là, elle est assise sur le canapé, ses longues jambes couvertes de bas tendues devant elle dans que sa culotte fendue à l’entrejambe laisse voir un petit bout de chair lisse. Ses seins s’efforcent d’échapper au soutien-gorge, et d’après sa respiration, je devine qu’elle dort. Ray la tire sur ses pieds, la faisant crier de surprise. Il l’amène au milieu de la pièce et la fait rester debout, jambes écartées.
- Messieurs, c’est la salope dont je vous ai parlé. Elle fera tout ce que vous voudrez, alors amusez-vous !
John se jette sur ma femme. Tout en la tenant par les cheveux, il l’embrasse à pleine bouche tout en lui doigtant la chatte. Je passe derrière elle et je tends les mains pour sortir ses seins du soutien-gorge. John force sa bouche avec sa langue et explore sa bouche pendant qu’elle lutte pour tenir debout, l’alcool ayant visiblement fait des ravages. Je me tiens en retrait pendant que John suce ses tétons. Il est comme un gamin dans un magasin de bonbons, voulant tout goûter, mais ne sachant où donner de la tête.
Caroline gémit alors qu’il doigte sa chatte et suce ses mamelons. Elle a finalement son premier orgasme. Ses genoux cèdent et elle tombe au sol devant lui. John retire rapidement ses vêtements et présent sa bite à la bouche de mon épouse. Je suis content de voir que son membre fait la même taille que le mien. Cel rend la tâche facile à Caroline qui pose ses mains sur ses fesses et le tire en avant jusqu’à ce que sa bite disparaisse totalement dans sa bouche. John grogne encore et encore pendant que ma femme le suce. Après seulement une minute ou deux, il explose dans sa bouche. Comme d’habitude, elle avale tout et lèche la bite pour la nettoyer.
C’est mon tour maintenant. Ray s’allonge sur le sol et la fait grimper sur lui. Son monstre pointe vers le ciel alors qu’elle baisse lentement sa chatte humide dessus. John joue avec ses seins, sa bite redevenant dure. A mon signal, Ray la couche en avant jusqu’à ce que ses seins s’écrasent sur sa poitrine. Je prends alors du lubrifiant sur mes doigts et je commence à enduire son trou du cul serré. Je commence à lubrifier le conduit avec un doigt puis deux, faisant de mon mieux pour l’étirer légèrement sans la blesser. Quand elle réalise ce qui se passe, elle se débat comme une folle, mais avec Ray qui la tient solidement elle ne peut pas s’échapper.
- Ray, non ! S’il te plaît, tu m’as promis !
- Ne t’inquiète pas, tu vas apprécier. Maintenant, reste tranquille, salope !
Je retire mes doigts et je présente mon gland sur son petit trou. Je suis étonnée de voir à quel point j’ai du mal à pénétrer. Il faut que je pousse vraiment pour que ma bite passe son sphincter.
- Aie ! S’il te plaît non, ça fait mal ! S’il te plaît Ray, dis-lui d’arrêter !
Je pousse plus fort et quelques centimètres de plus entrent. Putain qu’elle est serrée ! Un coup de rein supplémentaire et je suis dedans. La chaleur et l’étroitesse sont incroyables. Je peux sentir la bite de Ray bouger dans sa chatte, un minuscule morceau de chair mince nous séparant.
- ARGGGHHHH Ummmphhh !
Alors qu’elle commence à crier, John fourre sa bite dans sa bouche et serre sa tête contre lui. Elle comprend vite le message et cesse de lutter. John la relâche pour lui permettre de reprendre son souffle pendant que Ray et moi commençons à la baiser.
Le lubrifiant fait son office et ma bite glisse plus facilement dans et hors de son petit trou vierge. Parfois je reste immobile à l’intérieur et je profite de la sensation de la bite de Ray qui lui baise la chatte. A d’autres moment c’est Ray qui reste immobile et moi je l’encule fort et vite. John continue de baiser sa bouche. Bien trop tôt à mon goût, je remplis son cul de mon foutre, c’est merveilleux. Elle serre très fort quand elle me sent venir et ça ne fait qu’intensifier la sensation. Après m’être retiré, John prend ma place. C’est génial de voir ma pute de femme prendre deux bites en même temps dans sa chatte et son cul. C’est encore mieux quand les deux hommes commencent à jouir.
Finalement, Ray emménage dans sa nouvelle maison. Mais à ce jour, ma femme continue de se faire baiser par lui ou David. A certaines occasions, le jeune noir amène des copains avec lui et lui montre à quoi sert vraiment une salope.
Est-ce qu’elle m’en a déjà parlé ? Foutaises !!!
FIN.