mardi 17 mai 2022

Une Prof Sous Contrôle - Ch. 01

Traduction par Coulybaca d'un texte de Dread666.

 *****

Lorsque le passé vient perturber le présent.

Le soleil pénétrait au travers de la fenêtre alors que Holly Baird, qui venait de terminer ses études et était fraîchement diplômée déambulait dans sa future salle de classe. La jeune femme, âgée de 24 ans, se souriait à elle même en jetant un coup d'œil circulaire sur ces tables qui seraient bientôt occupées par sa première classe en ce début d'année scolaire.

Elle sortit ses livres de son sac, écrivit son nom au tableau noir et se plaça assez nerveuse derrière le grand bureau de chêne. Elle tira sur sa blouse blanche qui moulait son opulente poitrine, lia ses cheveux en une épaisse queue de cheval, ajusta sa jupe noire et nettoya ses lunettes. C'était parfait, elle rougit un peu en réalisant que ses tétons étaient érigés et pointaient au travers de son soutien-gorge. Quiconque l'observerait attentivement, s'en rendrait forcément compte. Elle mit cette réaction purement physique sur le dos de la tension nerveuse, elle était toute excitée de prendre pour la première fois une classe en charge sans aucune aide. Tout ce qu'elle devait faire, c'était de paraître confiante, calme, tout irait bien si elle tenait les choses sous contrôle pensait-elle naïvement.

Elle ne pouvait pas savoir ce que mijotait Simon Wiles, un paisible étudiant qui avait été fortement impressionné par ses charmes alors qu'elle faisait un remplacement l'année précédente. Il avait passé tout l'été à rêver de son somptueux corps en se masturbant frénétiquement.

Simon avait 18 ans, et était en terminale, et de son propre aveu il était un des meilleurs informaticiens du lycée, il passait son temps libre à pirater les équipements de grosses compagnies. C'était à peine s'il n'avait pas juté dans son caleçon, lorsqu'il avait visité l'ordinateur domestique de mademoiselle Holly Baird après avoir déniché son adresse IP.

Alors qu'il affinait ses plans pendant le long été, il venait souvent fouiner dans son ordinateur, copiant ses fichiers, lisant les émail qu'elle envoyait ou recevait. Un mail en particulier avait tout changé, une petite note d'un individu nommé Andy qui demandait :

- "Te rappelles-tu de cela ?"

Il avait copié le message et les pièces jointes, observant et remisant chaque jour la suite, un plan se formait petit à petit dans sa tête. Cela lui donnait le moyen de pression dont il avait besoin, il copia une paire d'images, les imprima et les mit sous enveloppe. Bientôt il disposerait de mademoiselle Baird entièrement nue et il entendait faire ce qu'il voulait d'elle. Il en était sûr maintenant...

Les élèves pénétrèrent dans la classe et prirent possession des lieux, Simon ne semblait pas prêter une attention particulière à la ravissante prof qui attendait patiemment la fin du remue ménage. Il la toisa alors de la tête aux pieds, ses nibards semblaient encore plus gros que dans ses souvenirs, il discernait même ses mamelons dardés au travers de sa blouse. Il s'assit à sa place habituelle, sortit ses affaires et attendit que les élèves les plus agités se soient assis à leur tour.

- "Bon maintenant que vous êtes tous assis, je vais faire l'appel."

Il aimait son léger accent écossais. L'appel se fit sans anicroche, comme si la classe d'histoire n'avait jamais été aussi intéressante, pensa-t-il tout sourire dehors. La sonnerie retentit sortant Simon de sa rêverie, ses mains tremblèrent lorsqu'il réalisa que c'était le moment de jouer cartes sur table.

- "Comment allait-elle réagir ?"

- "Faites que tout se passe bien !"

Tout le monde sortit de la classe, Simon était le dernier. Mademoiselle Baird était assise à son bureau lorsqu'il fouilla dans son sac et posa l'enveloppe sur son bureau. Son cœur battait la chamade alors qu'il se dirigeait vers la porte sans jeter un coup d'œil en arrière. Dès sorti de la pièce, il entendit le son d'une enveloppe que l'on ouvre et il osa jeter un regard pénétrant dans la classe.

Elle blêmit en lisant la courte bafouille. Elle haletait en regardant éperdue les photos les unes après les autres. Elle relut la missive qui les accompagnait jetant un rapide coup d'œil circulaire pour s'assurer que personne ne la regardait faire. Elle remit prestement les images dans l'enveloppe et la glissa dans son sac de classe. Elle se prit alors la figure entre les mains, secouant la tête incrédule. En quelques secondes, tous ses efforts, les années d'étude s'écroulaient... Tout cela à cause d'une stupide fête à laquelle elle avait participé.

Les mots inscrits sur la feuille tournaient dans sa tête : LES VICIEUSES DOIVENT ASSUMER LEURS PERVERSIONS.

Qui était derrière tout cela, et comment ce salaud avait-il bien pu dégotter ces photos compromettantes ? De nombreuses questions erraient dans sa tête, mais toutes sans réponses. Elle avait instantanément reconnu les clichés, ce bâtard d'Andy lui avait envoyé le film les contenant il y a quelques jours à peine. Avait-il quelque chose à voir avec ça ?

Cela l'étonnait de lui, il avait juré ses grands Dieux que jamais personne ne verrait ces images, c'était du domaine du privé et cela pouvait compromettre sa carrière. Non, c'était quelqu'un de sa classe ce qui était encore pire, il ou elle avait visiblement le film en sa possession.

- Mon Dieu ! Que faire ?

Elle agit tant bien que mal le reste de la journée, l'esprit en ébullition, jusqu'au moment où la cloche signifiant la fin des cours retentit. Elle emballa ses affaires et se préparait à retourner chez elle, lorsqu'un visage amical s'encadra dans l'entrée de la classe. Mademoiselle Broadbent lui souriait.

- "Alors comment s'est passé ce premier jour de classe Holly ?"

- "Pas trop mal Kelly." balbutia-t-elle.

- "Je pensais rentrer à la maison, et prendre une bonne douche pour me relaxer."

- "C'est bien normal. Ca ira de mieux en mieux tu sais. Le premier jour fait toujours peur, c'est tout à fait normal qu'on soit énervée."

Holly sourit amicalement, mais son esprit était ailleurs.

- "Il y avait ça dans ta boite en salle de prof, je te l'ai amenée puisque je passais te voir." 

Kelly Broadbent lui tendait une enveloppe, la même qu'elle avait reçue un peu plus tôt. Elle pâlit en la voyant.

- "Ca va ?"

- "Oui tout va bien." couina-t-elle d'une voix rauque

- "J'ai juste besoin de me reposer."

Elle s'efforça alors à sourire et se dirigea vers la porte sans ouvrir l'enveloppe. Elle avait déjà peur de son contenu.

- "A demain !" claironna-t-elle en quittant Kelly.

Le temps d'arriver à sa voiture et déjà une sueur glaciale lui baignait les sourcils alors que ses mains tremblaient. Elle ouvrit sa portière grimpa dans la voiture et inspira longuement avant d'ouvrir l'enveloppe. Son corps eut un raté lorsqu'elle vit d'autres photos tirées du film compromettant et un nouveau message. La sentence était la même que celle portée sur la première missive "LES VICIEUSES... " mais une phrase suivait : "En arrivant chez toi, allume ton ordinateur, ouvre ta boite à courrier et suis les instructions que tu liras."

Holly sentit son estomac se nouer en regardant les images, un pénible sentiment d'impuissance la submergea. Ce devait être Andy se dit-elle au fond d'elle-même, il détenait la cassette de ses exploits et connaissait son adresse e-mail. Elle s'assit se demandant pourquoi il lui faisait cela, cherchant à endiguer les larmes qu'elle sentait pointer à ses paupières. Elle sursauta, quelqu'un frappait à sa vitre.

- "Vous allez bien mademoiselle ?." lui demandait une petite grosse affichant un large sourire sur son visage joufflu.

- "Ou... Oui tout va bien..." bégaya Holly, cherchant à dissimuler les damnées photos.

- "Merci, ça va parfaitement bien je rentre chez moi maintenant."

- "Bien mademoiselle."

Satisfaite elle partit, franchit les grilles du lycée et se dirigea vers l'allée commerciale. Holly remit les photos dans l'enveloppe qu'elle glissa dans son attaché case avec les premières. Sur ce, lentement, elle mit le contact et couvrit les 5 kilomètres la séparant de la sécurité de son foyer.

De retour chez elle, elle se changea et enfila un vaste tee-shirt et un pantalon de jogging. Elle réalisa soudain qu'elle n'avait mangé qu'une salade à l'école, elle se sentait affamée. Cependant le souvenir de ce qui lui arrivait lui causait des aigreurs d'estomac. Elle s'assit devant son ordinateur, et l'alluma. Sa page d'accueil semblait différente, mais elle ne discernait pas en quoi. En cliquant sur le menu de démarrage elle nota que plusieurs fichiers manquaient.

"Ce doit être un bug", pensa-t-elle rapidement, "pas un virus."

Elle cliqua alors sur son provideur et alla directement sur son journal d'email. Il n'y avait rien de nouveau sinon un message de son amie Saskia et un autre qui semblait être un spam. Elle cliqua sur ce message adressé par "Vil Coyote" sans notification du sujet. Aussitôt paniquée elle vit s'inscrire en rouge le message redouté : " LES VICIEUSES DOIVENT ASSUMER LEURS PERVERSIONS." accompagné de nouvelles photos. Elle put lire :

"Holly Katherine Baird a été reconnue coupable de prendre des drogues dures et de participer à des activités sexuelles déviantes, sa punition sera à la fois pénible et humiliante. Si tu ne fais pas ce qui t'est ordonnée les photos et le film seront envoyés au principal, à tes collègues et à tes parents. Si tu refuses d'obéir, ce sera la fin de ta carrière dans l'enseignement. Bien sûr, si tu avais la mauvaise idée de rapporter ceci à la police, il en serait de même. Tu peux te rendre compte que les fichiers sur ton bureau ont été verrouillés avec un mot de passe, tu n'y auras plus accès tant que ta punition ne sera pas achevée. Sois dans ta classe à 8 heures tapantes demain, ta punition commencera à cet instant."

Holly relut trois fois de suite la missive, puis une quatrième fois pour bien en comprendre le contenu. Cela ne pouvait lui arriver à elle, elle, une jeune et brillante enseignante en tout début de carrière. Son esprit la ramena à la lettre et à cette "fête".

Elle était une fraîche et naïve jeune femme de 20 ans fréquentant l'université, elle était très jolie et cependant solitaire, jusqu'à ce jour où on l'avait invitée à une fête. Elle avait alors décidé que ce serait l'occasion de rencontrer du monde, et qui sait, de s'y faire des amis. Plusieurs de ses condisciples participaient à cette party et tout le monde était bien éméché lorsque Holly avait décidé de suivre son instinct. Elle ignorait que trois heures durant une main perverse avait corsé ses boissons, celle d'un de ces hommes qui avaient dansé avec elle trois heures plus tôt.

Elle pouvait sentir ses mains ramper sur sa croupe en palpant les courbes parfaites tout en la tenant serrée contre lui. Elle pouvait sentir son membre épais pressé contre son aine alors qu'ils évoluaient au rythme de la musique. Lentement, sournoisement, il releva l'ourlet de sa jupe, exposant aux yeux de tous les rondeurs de sa croupe dont les deux globes joufflus n'étaient séparés que par la mince ficelle de son string qui se perdait dans sa raie culière.

Elle ne remarqua que les gens qui les environnaient cessaient de danser pour la regarder, elle sentit la qu'on descendait la fermeture éclair du dos de sa robe, des mains rudes exploraient maintenant son dos dénudé alors que son danseur continuait à la tenir enlacée frottant sa poitrine contre son torse tout en continuant à séparer ses collines joufflues révélant aux yeux de tous ses charmes les plus intimes.

Sa robe chut au sol exposant ses appâts aux yeux de l'entière assistance. Elle entendit quelqu'un siffler alors qu'une douce paire de mains se glissait sous l'élastique de son string le roulant le long de ses longues et fines jambes. Elle était maintenant totalement nue, des doigts impatients courraient sur tout son corps, se respiration se fit plus laborieuse alors qu'elle reprenait ses esprits. Ses mamelons raides et écarlates attiraient les regards, une soudaine tiédeur gagna sa chatte qui s'humidifiait sous l'effet de l'excitation. 

Elle entendait des gens parler, mais elle ne comprenait rien à leurs discours. Elle chancelait au rythme de la musique jusqu'au moment où on l'allongea sur une grande table sur laquelle était déjà couché Michael Young un jeune irréfléchi organisateur de la fête. Il était nu lui aussi, son corps luisait de sueur sa grosse bite retenait l'attention de tous. Une fine ligne de poudre blanche courrait de son nombril à la base de son pénis.

On amena Holly à se courber sur lui, la joue reposant sur les abdominaux de Michael, elle entendit une femme lui dire de respirer par une narine en bouchant l'autre, ce qu'elle fit, ignorant qu'elle inhalait de la cocaïne. Des doigts impatients explorèrent ses replis intimes, un, puis deux droits la pistonnèrent, frénétiquement alors que du pouce on lui titillait le clito. Elle haleta alors que des mains invisibles lui écartaient largement les fesses, puis un doigt habile lui mignota la chatte avant de s'intéresser à son petit œillet frémissant.

Elle se balançait d'avant en arrière alors que les doigts qui la pistonnaient la guidaient vers un intense et imminent orgasme. Sa main agrippa quelque chose de chaud et dur lorsqu'on lui enjoignit d'inhaler un nouveau rail de cocaïne. Délirant, des étoiles éclatant dans sa tête, le corps en feu, elle frissonna emportée sur les ondes d'un orgasme foudroyant.

Cherchant désespérément à reprendre souffle, elle haletait et pantelait tandis que son émoi décroissait lentement. Tandis qu'elle reprenait ses esprits, elle sentit qu'on la soulevait dans les airs, de nombreuses mains palpaient ses charmes, Holly grogna tandis que d'autres mystérieuses mains lui titillaient les tétons. Les babines de sa chatoune étaient largement écartées lorsqu'on l'embrocha sur la virilité dressée de Michael, elle cria alors que l'énorme bite la remplissait aux limites de la rupture.

C'est alors qu'elle avait perdu connaissance, elle n'avait aucun souvenir de ce qui s'était passé ensuite. Au petit matin elle s'était réveillée étendue entièrement nue sur une table, couverte de flaques blanchâtres qu'elle n'identifia pas de prime abord.

Quelques jours plus tard, elle se sentait montrée du doigt par ses condisciples, certains mêmes gloussaient en la voyant. Ce n'est qu'une paire de jours plus tard qu'elle connut l'horrible vérité sur ce qui était advenu cette nuit, lorsque quelqu'un lui envoya des photos de sa performance lors de cette soirée.

Rien de plus ne vint troubler son existence, et elle s'était empressée d'oublier cet épisode fâcheux, ou tout au moins le ranger dans un tiroir retiré de sa mémoire jusqu'à ce moment où ce bâtard d'Andy lui avait envoyé film et photos.

Elle secoua à la tête pour sortir de ses souvenirs et lut de nouveau la lettre. Punition, humiliation et quoi encore à l'école ? Elle supposa que c'était l'un de ses collègues.

Toute la soirée, les termes du message tournèrent dans sa tête, incapable de se concentrer sur quoi que ce soit, elle ferma la télé et monta se coucher. Elle saurait qui était derrière tout ceci dès demain matin. 

Après une nuit agitée Holly se réveilla alors que le soleil filtrait au travers de la fenêtre, elle déjeuna, se doucha, et prépara à partir en classe. Elle se vêtit de façon fort conventionnelle, des sous-vêtements roses, un chemisier jaune, une jupe bleu marin couvrant les genoux et ses chaussures favorites, une paire de hauts talons noirs.

Elle jeta un œil sur l'horloge, il était 8 heures moins 20, elle devait être dans sa classe pour 8 heures pour savoir qui était derrière tout ceci. Elle saisit prestement sa veste jaune et se rua hors de son appartement. Cela lui prenait habituellement un quart d'heure pour gagner son lieu de travail, mais ce jour là, un accident la retarda et elle n'arriva à sa classe qu'à 8 heures 5. Elle se précipita dans sa salle de classe et n'y trouva personne, elle respira profondément, soupira et se laissa tomber sur sa chaise. C'est alors qu'elle remarqua l'enveloppe sur son bureau. D'une main tremblante elle l'ouvrit, il n'y avait que deux mots écrits en majuscules d'imprimerie.

- TROP TARD !

Alors que, frissonnante, elle fixait le message, du coin de l'œil, elle remarqua un mouvement furtif devant sa porte. Simon l'avait regardée se ruer dans sa classe et se tenait devant la porte, respirant profondément pour endiguer la vague de panique qui tendait à l'envahir.

- Devait il y aller maintenant ?

- Comment allait-elle réagir ?

- Prendrait-elle ses menaces au sérieux ?

- Avait elle ameuté la police ?

Tous ces doutes s'étaient enracinés dans son esprit, et il tentait de les ignorer. Il se concentra et après une dernière profonde inspiration il pénétra dans la salle de classe.

- "Oh bonjour Simon." Sourit misérablement mademoiselle Baird.

- "Vous êtes le premier arrivé ce matin."

Simon aimait beaucoup son léger accent écossais, en fait , il aimait tout chez elle. Il toussa, puis la fixa droit dans les yeux, c'était maintenant ou jamais.

- "Je vois que vous avez lu mon message. Ce retard n'est pas acceptable !"

- "Votre... Votre message ?" balbutia-t-elle confondue.

- "Oui mon message. J'ai pris le contrôle de ton ordinateur, carrément de ta carrière, maintenant je te contrôle entièrement."

Il avait adopté un tutoiement plus en rapport avec l'attitude qu'il voulait lui imposer.

- "C'est une plaisanterie ? Que voulez vous dire par me contrôler ?"

- "Je suis des plus sérieux, je détiens les clefs de ton avenir entre mes mains. Tu as le choix : ou tu suis les instructions que je t'ai donné dans cette lettre et tu préserves ta vie sociale... Ou... C'en est fini de ta carrière. Tu as vu quelques extraits des documents que je possède te concernant, et je suis sûr que le principal et le conseil d'école seraient intéressés par ces informations. Ils seraient étonnés de découvrir les passes temps favoris de cette nouvelle enseignante qui parait si compétente. Un film porno... La cocaïne... qu'en penseraient tes parents ? Ils ont payé pour que tu puisses suivre des études universitaires. Comment réagiraient-ils en découvrant les sordides détails de tes activités sexuelles ? Ils seraient peut-être moins fiers. Un clic sur ma souris et ta réputation, ta vie voleront en lambeaux."

Les yeux écarquillés, les mâchoires pendantes, hagarde, Holly fixait son tourmenteur, Simon lui sourit, toute nervosité enfuie.

- "C'est ainsi."

- "Bon et que voulez-vous que je fasse ? Je n'ai pas d'argent, je ne perçois qu'un salaire de débutante, aussi ne pourrai-je pas vous donner beaucoup d'argent."

Elle était blême.

- "Tu feras tout ce que je t'ordonnerai sans jamais protester. Je serai ton maître et tu seras ma petite esclave docile. Ce sont mes conditions. Si tu refuses... Pour le renom de l'école je me verrai obligé d'informer ta hiérarchie de la véritable personnalité de cette enseignante qu'ils ont choisi pour éduquer des jeunes gens impressionnables."

Effondrée, Holly se laissa tomber sur sa chaise, une larme se forma à la commissure de ses paupières et s'écoula lentement sur sa joue.

- "Pourquoi me faites vous ça ?" murmura-t-elle misérablement.

- "Ce n'es pas le plus important. Alors que fais-tu, tu acceptes oui ou non ?"

Elle restait assise, muette, yeux rivés sur son élève.

- "Ai-je vraiment le choix ? Que dois-je faire ?"

- "Simplement tu devras m'obéir dorénavant et personne ne saura rien au sujet de la cassette vidéo. Fais ton choix rapidement. La classe reprend dans une trentaine de minutes et je dois encore tester ton bon vouloir."

Ces mots résonnaient dans sa tête, elle ne pouvait se permettre ce pour quoi elle luttait depuis des années, quoi qu'elle fasse, rien ne serait pire que cela. Si elle venait à perdre son boulot, elle perdrait aussi son appartement et sa voiture. Quel choix lui restait-il donc ?

- "C'est d'accord, je vous obéirai." soupira-t-elle défaite.

- "T'es une bonne fille ma chérie. T'as pris la bonne décision. Et maintenant lève toi, et va fermer la porte, tu n'aimerai pas être surprise, non ?"

- "Non Simon." 

Elle chancela jusqu'à la porte, la referma et revint se poster face à son bourreau.

- "Dorénavant tu m'appelleras maître lorsque nous serons seuls, en classe tu m'appelleras monsieur Wiles. C'est bien compris ?"

- "Oui... Heu... Maître..."

- "Bien. Il est temps que je jette un œil sur ma propriété, ne penses-tu pas ?" railla-t-il relevant un sourcil sur un ricanement sournois.

- "Enlève ton corsage !"

- "Que... Quoi ! Vous n'êtes pas sérieux."

- "Je croyais avoir dit que tu devais obéir à mes ordres sans mot dire ! Tu n'as pas compris ? Puisque tu es indocile, tu ferais mieux de remballer tes affaires, je vais de ce pas envoyer le mail à tous les intéressés. Tu as eu ta chance."

- "Non... S'il vous plait maître je ferai ce que vous demandez." le suppliait-elle alors qu'il se tournait pour partir.

Il arrêta son mouvement et la regarda droit dans les yeux

- "C'est bon." accepta-t-il.

Holly se redressa et tendit la main vers le bouton du col. Elle le défit puis descendit au suivant, puis au suivant. Le chemisier s'ouvrit en deux exposant sous les yeux de Simon ses nibards crémeux, ses sombres tétons étaient nettement visibles au travers de la fine dentelle. Elle aurait souhaité porter quelque chose de moins transparent. Finalement elle retira son corsage d'un mouvement sec et le posa sur le bureau, elle se tortillait embarrassée, son visage était écarlate.

- "Soutien-gorge !" aboya-t-il claquant ses doigts.

Elle le regardait le suppliant du regard mais il n'eut aucune réaction. Lentement elle tendit la main dans son dos et dégrafa le clips de son soutien-gorge, libérant les plus beaux nibards que Simon ait contemplé à ce jour.

- "Tu n'en as plus besoin pour aujourd'hui, et maintenant relève ta jupe !"

Holly se courba, attrapa l'ourlet de sa jupe et le remonta sur ses hanches exposant ses longues cuisses jusqu'à sa petite culotte.

- "Tourne toi pour me montrer ton cul !"

Elle se retourna lentement dévoilant les courbes parfaites de sa croupe gainée de dentelles. Soudain Holly réalisa qu'elle pouvait être vue par le fenêtre de sa classe, par n'importe qui qui passerait au bon moment. Elle rabaissa vivement sa jupe et couvrit sa poitrine de ses mains.

- "Non, non, non, tu ne dois pas... Enlève ta jupe et mets tes mains sur la tête ! Et vite !"

Holly obtempéra lentement. Elle descendit la fermeture éclair de sa jupe et la laissa choir au sol. Elle s'avança vers lui, ramassa sa jupe et la posa sur la table avant de mettre ses mains sur sa tête. Elle jeta un œil sur la fenêtre espérant et priant que personne ne la verrait en cette tenue. Sa petite culotte rose la moulait comme une seconde peau, mettant en valeur ses courbes les plus intimes. Simon s'approcha d'elle et lui murmura à l'oreille :

- "Tu ne porteras plus jamais de culotte en ma présence ! As tu bien compris ?"

Holly hocha la tête en signe d'acquiescement.

- "Je veux pouvoir disposer de ton chaton aussi facilement que possible. Enlève la et donne la moi !"

L'air résignée, Holly glissa ses doigts sous la bande élastiquée de sa petite culotte et d'un seul mouvement la roula sur ses cuisses, exposant sa petite chatte touffue sous les yeux ravis de Simon... Et des gens qui éventuellement pouvaient la voir par la fenêtre. Des larmes roulaient sur ses joues alors qu'elle tendait à Simon sa croquignole petite fanfreluche rose.

- "Très bien, tu te montres très obéissante. Mais on doit encore traiter ton retard de ce matin. Je pense que puisque nous somme en classe; nous allons avoir recours à la punition séculaire de rigueur. Une bonne fessée cul nu pour te rappeler de ne jamais arriver en retard et pour t'encourager à ne pas renouveler cette erreur."

- "Et maintenant penche toi sur ton bureau. Presse tes nichons contre le bois. Ecarte bien les cuisses. Cambre tes fesses. C'est très bien. Maintenant tu vas compter les gifles que vais t'asséner sur les fesses et je suppose que tu ne crieras pas, de peur d'ameuter des gens qui viendraient voir ce qui se passe dans cette classe."

Holly secoua la tête et se mit en position, meurtrissant ses mamelons dardés en les pressant sur la surface en bois du bureau. Simon admirait les fesses de sa prof se demandant quand il oserait lui palper la chatte. Il jeta un œil sur sa montre, il était maintenant 9 heures moins 25, les élèves ne tarderaient plus à arriver, pensa-t-il énervé.

Sur cette réflexion il leva la main droite et la rabattit sèchement sur la croupe rebondie d'Holly.

CLAC !

Le son se réverbérait dans la classe vide et mademoiselle Baird prit une longue respiration avant de compter.

- "Une maître !"

CLAC !

- "Deux maître !"

CLAC !

- "Trois maître !"

CLAC !

Cette fois la claque avait débordé sa croupe, lui infligeant une douleur fulgurante sur l'extrémité de ses grandes lèvres.

- "Quatre maître !" couina-t-elle en respirant profondément.

CLAC !

- "Cinq maître !"

CLACK !

CLACK !

CLACK !

CLACK !

CLACK !

Les deux globes joufflus avaient pris une belle teinte écarlate. Elle aurait aimé se frotter les fesses, mais Simon lui maintenait les mains écartées de son postérieur. Il lui semblait que sa croupe était en feu.

- "Dix maître !"

CLAC !

Cette dernière tomba juste au même endroit que la précédente, Holly hurla puis renifla :

- "Onze maître !"

Simon empoigna sa petite culotte et la lui fourra en bouche.

- "Ca t'évitera d'ameuter tout le quartier avec tes cris !"

Il caressa ses fesses brûlantes avant de la gifler sur le haut des cuisses, sur sa fourche enflammée.

CLAC !

Elle hurla, mais ses cris furent étouffés par son bâillon. Il lui dit d'ouvrir la bouche et reprit la petite culotte trempée de salive.

- "Douze maître !" compta-t-elle d'une voix tremblante.

- "Bien incandescent !" se moqua-t-il lui caressant sa croupe brûlante.

Ses doigts se promenèrent dans sa toison touffue caressant ses babines enflées, gorgées de sang, il fut fort surpris de constater à quel point elle était trempée. Elle aime ça, pensa-t-il au fond de lui-même, du coup il décida de voir jusqu'où il pourrait aller dans la maltraitance.

- "Et maintenant rhabille toi ! Ton premier cours débute dans un quart d'heure. A l'avenir, rappelle toi : pas de sous-vêtements que ce soit à l'école où pour nos rendez-vous à l'extérieur. Des jupes très courtes qui me permettent d'accéder facilement à ta chatte chaque fois que je le désirerai, même en classe. Je veux que tu mettes des bas et un porte jarretelle comme la vulgaire pute que tu es, d'ailleurs, tu mérites de t'habiller en pute. C'est bien compris ?"

- "Oui maître !" répondit-elle humblement, son visage reflétant les étranges émois qui l'agitaient.

Elle aurait du être horrifiée de ce qui lui arrivait, mais elle ne ressentait qu'une excitation intense, sans vergogne, son corps la trahissait. Elle en était bouleversée, il n'y avait aucun doute, les lèvres de sa chatte étaient gonflées, palpitantes de désir, sa chatte était brûlante et ses tétons étaient raides comme des petits bouts de bois.

Que lui arrivait-il donc ?

Elle enfila prestement sa jupe et son corsage et regarda timidement Simon empoigner ses sous-vêtements et les fourrer dans son sac avec ses mémentos. Il regarda sa prof dans les yeux et lui sourit ironiquement, ses épreuves ne faisaient que commencer.

- "Oh, je veux que tu te rases la chatte, je te veux aussi glabre que le jour de ta naissance, je vérifierai cet après-midi si tu as obéi à mes ordres, sinon tu seras fessée à nouveau. Prépare toi à souffrir parce que ce n'est là que le début de ta punition en ce qui concerne la drogue et ton comportement sexuel."

Sur ces mots, il ouvrit la porte et sortit dans le couloir.

A suivre...


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