samedi 7 mai 2022

Hobie, la vengeance d'un innocent. Ch 05

 Histoire de Black Demon traduite par Coulybaca

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Au tour de la juge de subir la vengeance de Hobbie.

Linda Darnell avait l'honneur d'être la première femme à être appointée pour siéger à la cour d'état. A 34 ans, elle avait passé ses dix dernières années au sein d'un prestigieux cabinet privé, maintenant alors qu'elle siégeait depuis deux ans, elle était respectée autant pour sa beauté que pour son incorruptibilité. Tout le monde admirait cette juge aussi belle qu'intelligente, il était peu commun, surtout pour un juge, d'être aussi belle et intelligente, Le juge Linda Darnell était l'exception à la règle qui voulait que les femmes ravissantes soient idiotes et les laiderons des femmes d'une brillante intelligence.

Elle mesurait 1,75 m pour 60 kg, toute en voluptueuses courbes, avec de longues jambes crémeuses à faire rêver plus d'un. Cependant elle était guindée et sévère avec tous. Beaucoup de juristes masculins auraient donné leur couille gauche pour partager le lit d'une beauté d'une telle intelligence, même si elle guerroyait contre eux au tribunal.

Elle dégageait une telle autorité que pas un ne tentait sa chance de peur de voir sa carrière compromise, ainsi elle vérifiait l'adage "Regardez mais ne touchez pas" parmi les éléments masculins de la profession, et plus spécialement parce qu'il était bien connu qu'elle faisait un excellent couple avec son banquier d'époux avec qui elle était très heureuse.

Après une longue journée de travail, un irritant trajet dans les bouchons, la juge Darnell était éreintée. Elle rentrait lentement chez elle au volant de sa BMW, elle ignorait qu'une vieille Ford la filait. Sur le chemin du retour, elle pensait à son adorable mari et à ses grandes filles, deux ravissantes jumelles qui rentraient au collège.

Bien que de savoir comment elles réagiraient si elles se faisaient prendre de force faisait partie des préoccupations féminines naturelles, les différents cas de viols qu'elle avait du juger dernièrement l'amenaient à évoquer fréquemment cette question. Elle détestait entendre ces femmes hystériques rapporter les détails les plus crus de leurs viols : l'horreur d'être forcées à des actes dégradants par des violeurs pervers, l'horreur de se faire sodomiser sauvagement. Elle se sentait honteuse lorsque ces femmes lui expliquaient comment elles avaient du sucer leurs agresseurs, alors qu'elle, elle espérait secrètement que Franck, son mari la force à effectuer cet acte dégradant, la tenant par les cheveux pour lui injecter ses larges rasades de foutre au fin fond de la gorge. Bien sur, relativisait-elle, elle ne voulait faire ces choses qu'avec son mari et personne d'autre, ce n'était qu'un fantasme qu'elle aimerait concrétiser avec son mari.

Elle fut accueillie chaleureusement par son mari à son arrivée, il l'embrassa tendrement tentant gaiement de déboutonner son corsage, l'entraînant sur le canapé pour y faire l'amour. Linda posa ses mains sur ses épaules, lui disant qu'ils n'avaient pas le temps, devant se préparer pour arriver à l'heure au restaurant. Sur ces mots, Franck cessa ses caresses et lui obéit docilement. Elle se gourmandait d'avoir eu des pensées perverses plus tôt, ce genre de pensées la perturbait profondément sachant ce que Franck pensait de leur environnement n'envisageant que de faire l'amour qu'avec elle.

-"Peut-être... " pensa-t-elle "Que je ne suis pas au diapason de Franck. J'aimerai tant qu'il me force à devenir une salope... Qu'il me baise quand il le veut, où il le veut, comme il le veut !"

Mais ce qu'elle voulait vraiment c'est qu'il lui montre qu'il était le chef et qu'elle devait lui obéir. 

La semaine suivante, Frank et Linda avaient organisé une soirée agréable au dehors le vendredi. Toutefois, comme le vendredi Frank s'attardait souvent avec ses collègues après le travail, ils avaient négocié un arrangement entre eux. S'ils rentraient tous deux assez tôt, ils iraient voir un film et puis souperaient dans un restaurant chic, sinon ils se contenteraient du souper au restaurant. Elle espérait que Frank rentre tôt ainsi ils pourraient aller au cinéma et ils passeraient toute la soirée ensemble.

Sortant de l'autoroute, Linda se gara devant le garage fermé. Comme elle se servait de la voiture la plus récente, où qu'ils aillent, Frank prendrait sa voiture. Se campant devant la porte d'entrée elle appela Frank, mais n'obtint pas de réponse. Elle était un peu déçue, il n'était pas rentré assez tôt pour qu'ils puissent passer toute la soirée ensemble.

Si Linda avait ouvert la porte du garage, elle aurait vu que Frank ne s'était pas attardé avec ses collègues. En fait Frank était rentré tôt, mais il se trouvait ligoté sur une chaise dans les toilettes de leur chambre, la bouche obstruée par une bande adhésive.

Linda se dirigea vers la chambre conjugale. S'étant déjà débarrassée de ses hauts talons et de sa veste, assise sur le lit elle roulait ses bas de nylon blanc sur ses cuisses. Puis elle se releva et déboutonna son corsage blanc et sa jupe noire. Elle s'exposait ainsi en soutien-gorge de dentelle et froufrou et en petite culotte, à son insu, à deux paires de yeux grands écarquillés de mateurs qui se trouvaient dans les toilettes.

Puis elle gagna la salle de bain pour prendre une douche bien chaude et se rafraîchir pour la soirée à venir.

La vue au travers des fentes de la porte des cabinets était à couper le souffle. Bien que bâillonné et ligoté, Frank désespérait de ne pouvoir avertir son adorable femme du danger latent, Frank ne pouvait s'empêcher d'admirer le somptueux corps de sa femme. Il imagina alors l'impact que pouvait avoir son somptueux corps laiteux sur l'intrus noir à ses cotés, une grosse brute noire qui lui tenait une lame de rasoir sur la gorge. Il avait peur d'émettre un seul son, bien qu'il aurait aimé alerter sa femme, sachant que la brute lui trancherait le cou dans la seconde qui suivrait.

Alors qu'ils entendaient ruisseler l'eau de la douche, Frank gémit : l'importun dans son dos lui exposait ironiquement ce qu'il comptait faire endurer à sa petite femme chérie. Des gouttes de sueur se formaient sur son front alors qu'il écoutait leur pervers agresseur.

-"Je vais la casser ton arrogante bonne femme ! Bordel, c'est vrai qu'elle est ravissante. Imagine ses longues jambes crémeuses verrouillées dans mon dos. Crois-tu qu'elle ait fort faim ? J'ai amené une grosse saucisse noire pour la sustenter. Une belle saucisse bien juteuse ! Je vais la faire hurler ton adorable bonne femme quand je la remplirai de mon foutre chaud. Ce serait peut-être bien pour vous que je l'engrosse. Il serait temps pour vous d'avoir un nouveau bébé et je vais me vider dans sa chatte pour t'aider à l'engrosser. Penses-tu qu'elle va me résister ?"

Réfrénant des larmes de désespoir, Frank le vit avec horreur quitter l'abri des toilettes juste avant que la douche s'arrête. L'intrus noir se cacha derrière la porte de la salle de bain attendant son insouciante femme. Incapable d'avertir sa femme il regardait s'ouvrir la porte. Sa ravissante femme fut entièrement prise par surprise elle poussa un cri aigu et se mit à trembler comme une feuille. Déjà le colosse noir agrippait le devant de sa sortie de bain pour dévoiler ses charmes somptueux. Frank voyait l'expression de panique qu'affichait son visage et sa bouche grande ouverte alors qu'elle braquait les yeux sur son gigantesque agresseur. Son assaillant torse nu déboutonna son pantalon et ouvrit la cage du monstre. Sa femme en laisser tomber les mâchoires de stupeur à la vue du gourdin noir qui se déployait à l'air libre. Cette monstrueuse bite était deux fois plus longue que la sienne et mesurait bien plus du double en diamètre, on aurait dit un gros serpent noir.

Linda frémit longuement à la vue de la menace planant sur elle. Elle supplia son assaillant de la laisser en paix. Elle le menaçait par ailleurs de le faire emprisonner s'il persévérait dans son méfait. Elle pensait que ces menaces allaient lui ramener du bon sens et qu'elle allait profiter d'une embellie. Toutefois depuis que ses pensées tournaient autour des sensations ressenties par les femmes victimes de viols, elle espérait que son mari la soumettrait brutalement à sa volonté, et à cet instant elle ne pouvait s'empêcher de river ses regards sur la grosse bite noire frémissante.

-"Oh mon Dieu, ce qu'elles disaient de noirs semble vrai !" haletait-elle fascinée.

L'horreur et la peur qu'affichaient initialement son visage viraient maintenant à la fascination, une crainte révérencielle la submergeait alors que sa tête hochait à l'unisson des soubresauts qui secouaient la grosse queue de son agresseur. Sachant que son époux observait intensément la suite des événements, Hobie décida de lui montrer à quel point sa respectable femme s'avérait fascinée par son engin démesuré. Il allait lui laisser croire qu'elle avait la chance de pouvoir goûter à la virilité d'un noir à l'insu de son mari.

-"Chienne, tu m'as envoyé derrière les bureaux pour un délit que je n'avais pas commis. Cette fois ce sera pour un crime que j'aurai commis. Je me réjouis d'annoncer aux copains de détention que j'ai niqué la juge. Je parie que la salle d'audience sera comble lorsque tu devras expliquer comment je t'aurai dégradée. Mais que penses-tu des bites noires madame Darnell ? Aimerais-tu goûter au jus de bite d'un ex détenu noir ?  Approche et caresse-la ! Sens comme elle est belle et dure." la raillait Hobie se réjouissant de la voir trembler de peur.

-"Enlève ta robe de bain pour moi ma chérie. Fais moi voir les appâts que tu caches sous ta sortie de bain. Cette robe est bien plus jolie que les robes strictes et noires que tu portes dans le prétoire. Et maintenant à poil salope ! " Commanda t-il s'impatientant.

Hobie se réjouissait de voir la belle jeune femme sangloter, des larmes ruisselant sur ses joues les yeux fermés par la honte, obéir à ses ordres. A sa grande surprise, l'adorable jeune épouse saisit les pans de sa robe et les écarta vivement offrant son corps laiteux à ses regards.

-"Bordel, cette salope a vraiment un corps de star !" pensait Hobie se régalant à la vue de ses nibards fermes surmontés de tendres mamelons rouges vifs déjà érigés.

Il se demandait comment son mari appréciait la situation. En constatant qu'il n'était nul besoin d'employer la force pour la faire obéir, il décida de voir jusqu'où elle irait. Elle haletait, fascinée par l'image de sa grosse bite noire. Cette splendide femelle semblait avoir besoin d'un homme qui la domine qui lui ordonne de satisfaire sa lubricité. Il était celui qu'il fallait. Voulant tester son impression, il grogna rudement :

-"A genoux femme... Tu vas voir ce que c'est qu'une vraie bite !"

A sa stupéfaction, il la vit s'agenouiller lentement sans un lot de protestation. Abasourdi, il la vit tendre sa douce petite main et il grogna lorsque les doigts fins enserrèrent fermement sa bite palpitante.

Frank, dans l'obscurité des toilettes, était tout aussi abasourdi. Il était fasciné en voyant son adorable petite femme s'agenouiller face à la monstrueuse mentule de l'intrus noir, puis en la voyant poser la main sur la grosse bite noire pour le branler ensuite sans même qu'il le lui ordonna. Il pensait que sa gentille femme se serait vivement débattue se battant fermement pour défendre son honneur. Alors que cet agresseur noir n'avait eu qu'à ordonner d'une voix rude pour que sa paisible femelle lui obéisse servilement.

-"As-tu déjà sucé des bites, madame Darnell ?" Demanda Hobie d'un ton bourru.

La ravissante jeune secoua négativement la tête.

-"Tu vas sucer ma grosse bite, n'est ce pas madame Darnell ? Tu vas te régaler de mon foutre de noir !" l'interrogea t-il crûment.

Des torrents de larmes ruisselaient maintenant sur les joues de la malheureuse femme éperdue tandis, piteusement, qu'elle approuvait de la tête.

-"Dis moi ce que tu veux faire madame Darnel ? Dis-moi pourquoi tu n'as jamais sucé ton gentil mari ?. Dis le moi ! "

Il voulait que son mari entende et observe ce qu'elle allait faire alors qu'il lui donnait l'occasion de sucer une queue noire!

-"Je... j'ai... J'ai toujours rêvé que mon mari... Que mon mari m'obligerait... M'obligerait à sucer sa bite... Me forcerait à emboucher sa queue... " balbutia Linda honteusement les larmes continuant à rouler sur son visage.

- "Mais... Il s'est toujours comporté en gentleman, il ne m'a jamais forcée à... A le faire !" répliqua-t-elle éperdue.

Elle branlait toujours machinalement son gros serpent noir alors que quelques perles de sperme suintaient du méat, il lui intima alors :

-"Montre moi ce qu'a manqué ton faible époux madame Darnell !"

Hobie et le malheureux époux caché à la vue de Linda furent surpris de voir la faible épouse se tourner vers la bite palpitante, pour lécher les quelques gouttes suintant du méat, la naïve jeune femme s'avérait une vrai pouffe pour bites noires. Hobie grogna lourdement lorsque, ouvrant la bouche en grand, elle emboucha sa grosse bite frémissante, frissonnant de tous ses membres. Hobie cherchait désespérément à se contrôler, pour ne pas cracher son foutre prématurément

Dans le cabinet, Frank était abasourdi de voir ce qui se déroulait devant ses yeux. Sa somptueuse femme faisait à ce nègre la pipe de sa vie. Il ne parvenait pas à assimiler ce qu'il avait entendu ; que de tout temps Linda avait espéré qu'il la force à le sucer. Qu'il n'aurait eu qu'à l'y obliger. Sa bite pulsait follement dans son caleçon, tant il était excité de voir sa femme sucer cet intrus noir comme si elle voulait le dévorer. Il n'y avait pas de main appliquée qui la forcerait à commettre cet acte si dégradant, il n'y avait eu qu'un ordre donné sur un ton bourru et sa femme avait obéi servilement faisant tout pour complaire à son agresseur noir.

Ni Hobie ni Frank n'auraient cru que cette jolie petite femme puisse avaler les 20 cm de queue qu'elle avait totalement enfouis dans sa bouche, alignant sa tête pour permettre à la grosse bite de visiter sa gorge. Puis Linda avait saisi la taille de Hobie guidant ses mouvements alors qu'elle aimait et venait de la bouche sur sa hampe turgescente.

-"Je ne vais plus tarder à jouir madame Darnell. Je vais cracher mon jus de nègre dans ta jolie petite gueule. Tu vas bientôt te régaler avec du jus de nègre madame Darnell." la raillait Hobie, mais c'était surtout pour le plaisir d'humilier son petit mari ligoté dans les toilettes.

-"Si tu veux que je jute plus rapidement, madame Darnell, caresse-moi les couilles. Cajole-les de tes blanches mains !" lui conseilla-t-il vicieusement.

-"Ohhhhhhhhh mon Dieuuuuuuu... Ouiiiiiiiiiiii... Ahhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhh..." gémissait Hobie alors qu'immédiatement elle empoignait ses grosses burnes pour lui complaire, lui causant un tel plaisir qu'il perdit tout contrôle.

Il posa ses grosses mains dans ses cheveux, pas pour l'empêcher de se retirer mais pour garder son équilibre alors que ses genoux faiblissaient sous lui. Quelques instants plus tard, Frank vit Hobie extirper lentement sa grosse bite de la bouche de sa femme haletante. Lorsque toute la tige apparut, un épais filet de foutre continua quelques instants à relier la bouche et le méat du gros gourdin.

La jeune femme paraissait en transes elle gardait la bouche entrouverte les yeux braqués sur cette bite qu'elle avait sucé avec tant d'enthousiasme. Soudain il la gifla de sa bite enrobée de foutre. C'est alors qu'elle réalisa ce qu'elle venait de faire, son visage afficha une expression horrifiée alors que son estomac était soudain secoué de nausées intempestives.

Il regardait sa femme révulsée, haleter tentant de conserver en bouche le foutre qu'elle venait d'ingurgiter, le temps d'attraper la poubelle et de recracher l'épaisse semence.

Hobie éclata de rire en voyant l'innocente petite chienne recracher son foutre dans la poubelle. La petite salope cherchait à retrouver une certaine dignité, essayant de surmonter sa honte d'avoir goûté avec délice à son jus de nègre. Mais il savait qu'il l'avait menée là où il le voulait, il savait qu'elle ne pourrait plus lui refuser quoi que ce soit et que pour obtenir ce qu'il voulait, il n'aurait pas à employer la force.

Il tourna sa tête vers la porte des toilettes, souriant au mari de la mignonne repentante tout en se branlant d'une main décidée. Puis il cria un nouvel ordre :

-"C'est bon salope, t'as suffisamment dégobillé, c'est trop riche en protéines ?. Maintenant magne-toi le cul de d'aller au lit. On va copuler sur le lit que tu partages habituellement avec ton mari."

Franck regardait sa ravissante femme se lever et se conformer à son ordre, grimpant dans le lit pour s'allonger au milieu. Il n'en croyait pas ses yeux. Sa gentille femme n'élevait aucune objection et prenait la pose indiquée, en fait, elle obéissait docilement aux ordres de ce colosse noir. Selon ses ordres elle releva les genoux écartant largement ses cuisses dans une invite muette à se faire baiser par l'intrus autoritaire.

-"Ma salope de femme ne pourra jamais prétendre que c'était un viol. Par l'enfer elle écarte d'elle-même ses cuisses et elle l'invite pratiquement à la baiser. Damné salope... " grommelait-il dans son bâillon.

Il la regardait empoigner la virilité de son agresseur, l'attirer contre son mont de vénus, pour lui faire parcourir du gland sa fente juteuse. Son adorable petite femme si prude relevait haut ses jambes, formant un grand V, suppliant son assaillant :

-"Ohhh... baisez-moi... violez-moi... violez-moi sauvagement... prenez-moi comme la véritable pute que je suis..."

-"Ohhhhhhhhhh Mon Dieuuuuuuuuuuuu... Ahhhhhhhhhhhhh... C'est si grossssssss..." s'époumonait Linda à la frontière de la suffocation.

-"Ohhhhh oui... Ouiiiiiiiiiiiiii... Je jouisssssss... baise-moi... baise-moi... Oh ouiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... " hurlait-elle en serrant son violeur noir entre ses bras et ses cuisses.

Son mari, toujours ligoté dans les toilettes était atterré de son comportement. Il voyait sa ravissante femme se plier en arrière aux marges d'un nouvel orgasme. Depuis qu'ils avaient eu 2 beaux enfants, Linda lui faisait mettre des capotes afin de ne pas prendre de risque de se retrouver à nouveau enceinte. Linda était allergique à la pilule aussi s'en remettaient-ils à la sécurité procurée par les capotes, c'était une chose que détestait Frank, la capote amoindrissant nettement ses sensations lorsqu'ils faisaient l'amour. Et depuis des années il endurait le port de ces saloperies de préservatifs. Il réalisait qu'il n'avait à aucun moment entendu sa femme prier le noir d'enfiler une capote, il l'ait bien vu empoigner la bite de ce salaud et l'enfourner à nu dans sa chatte impatiente. De plus lorsque l'agresseur noir avait annoncé qu'il allait jouir, il l'avait entendue au contraire le supplier :

-"Ohhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh... Nonnnnnnnnnn... Ne vous retirez pas... Ohhhhhhhh... Videz-vous les couilles dans ma chatte... Votre foutre... Votre foutre dans mon ventre... Crachez votre foutre dans ma cramouille... Ohhhhhhhh... engrossez-moi... Ouiiiiiiiii... faites-moi un bébé noir... "

Alors que Linda épuisée par ses orgasmes successifs, somnolait, Hobie alla discrètement dans les toilettes et murmura à Frank :

-"Je vais couper tes liens. Tu pourras te casser sans faire de bruits. J'espère que t'as apprécié de voir ton adorable petite femme jouir comme jamais elle n'avait joui. Je parie que tu demandes comment elle va réagir lorsque je la quitterai et que tu seras supposé arriver chez toi. Je vais lui dire de te tenir éloigné du domicile vendredi soir, voyons ce qu'elle va te dire. Tu pourras te cacher dans les toilettes pour me voir casser le cul de ton adorable petite femme si prude. Je parie qu'elle est encore vierge du cul."

Frank se débarrassa de ses derniers liens, puis il observa le géant noir qui revenait vers le lit et roulait une pelle passionnée à sa femme, il la vit reprendre vie et répondre à son baiser. Il lui annonça alors exactement ce qu'il venait de lui dire, ajoutant :

-"Tu ferais mieux de prendre une douche si tu ne veux pas que ton mari sente mon foutre de nègre. Mais je t'interdis de te rincer la bouche, je veux que tu roules un patin à ton époux lorsqu'il rentrera et qu'ainsi il goûte ainsi à son insu à mon foutre. Laisse ton mari te faire l'amour ce soir. Je veux que tu te fasses bouffer le gazon, il goûtera ainsi au mélange de ta cyprine et de ma semence."

Il vit alors sa femme se relever et gagner la salle de bain, l'agresseur noir lui fit un au revoir et disparut. Frank descendit discrètement l'escalier, s'empara d'une bouteille de scotch et se rendit dans le garage. Après quelques bonnes rasades de scotch, Frank entendit le bruit de l'eau circulant dans les tuyauteries cesser, ce qui lui indiqua que Linda devait sortir de la douche. Il attendit encore quelques minutes, il ouvrit la porte du garage et la claqua sachant que sa femme entendrait le bruit et croirait qu'il venait de rentrer. Il se demandait si sa prude femme si réservée lui raconterait la terrible agression qu'elle venait de subir.

Faisant mine de rentrer comme de normal dans sa maison, il vit sa belle femme très bien habillée alors qu'elle accourait pour l'accueillir d'un baiser amoureux. Jamais elle ne l'avait accueilli si chaleureusement. A sa grande surprise, elle pointa sa langue entre ses lèvres, et l'introduisit profondément dans sa bouche lui faisant apprécier le goût du foutre de son agresseur noir qui l'enrobait largement.

Après le repas du soir, Rachel le prévint qu'elle devait sortir avec des copines de fac vendredi soir, elle lui suggéra de faire de même avec ses copains. Frank acquiesça gentiment, mais il savait déjà où il serait cette soirée bien particulière, il se demandait déjà si elle opposerait la moindre résistance quand son amant lui péterait la rondelle.

Cette même nuit, dans leur lit, Frank lui roula une pelle passionnée, puis lui suça ses tendres mamelons observant qu'ils portaient la trace de morsures vraisemblablement faites par son agresseur de la fin de matinée. Puis Linda lui empoigna la tête et l'attira vers le bas alors qu'elle s'arquait sur les talons, et il l'entendit le supplier :

-"Frank... Mon chéri... embrasse-moi là... J'ai toujours rêvé que tu m'embrassais à cet endroit... S'il te plait, Frank..."

C'était un total revirement d'attitude de la part de sa femme qui, jusqu'ici avait toujours interrompu ses entreprises en grondant :

-"Frank... Arrête... C'est dégoûtant de faire des choses comme ça..."

Et voila que ce soir il léchait sa chatte juteuse, elle ouvrait ses cuisses pour lui, pour lui donner un meilleur accès à la crème qui lui engorgeait la chatte. C'est alors qu'elle referma fermement ses cuisses sur sa tête l'invitant à lui sucer plus lubriquement la chatte. Il réalisa tout de suite, qu'elle était pleine de l'épaisse semence de son agresseur alors qu'elle crispait ses sphincters pour lui faire absorber plus du savoureux jus de sa chatte. Ayant copieusement bouffé le gazon de sa femme, se délectant du mélange foutre cyprine qu'il recelait, il pensa soudain :

-"Sûrement que ce soir je ne serai pas obligé d'enfiler une de ces saloperies de capote !"

Mais, alors qu'il se préparait à la pénétrer, elle lui empoigna fermement la bite lui intimant :

- Tu as oublié de mettre une capote ! Je suis en plaine ovulation, c'est l'instant du mois où je suis la plus fertile... Tu m'engrosserai à coup sûr si tu éjaculais dans mes profondeurs."

Peut-être croyait-elle que parce qu'il avait absorbé une grosse part du jus du nègre elle n'avait pas à s'inquiéter de se retrouver enceinte des œuvres de ce bâtard de colosse noir.

Le vendredi suivant, au soir, Il rangea sa voiture à une distance de son domicile et se glissa furtivement dans les toilettes obscures de la chambre. C'était bien mieux que d'aller faire la foire avec ses copains, là c'était une action réelle. Tout en attendant, il se demandait si le violeur allait réellement revenir comme il l'avait annoncé. Puis il entendit la porte du garage s'ouvrir, il savait que sa femme venait de rentrer. Il l'entendit alors discuter avec une voix qui lui était familière depuis la semaine dernière. Il observa le couple se démener dans le lit conjugal et vit sa femme hurler de douleur alors qu'il lui cassait impitoyablement son étroit petit trou du cul vierge. Mais elle ne l'avait pas supplié de ne pas lui forger un nouveau trou du cul, puis il les vit s'aimer en 69, c'était la première fois qu'elle pratiquait cette position. Puis il entendit sa femme supplier son amant noir de la baiser jusqu'à l'os et de se vider les couilles dans son utérus fertile.

A la vue de la grosse bite serpentine qu'il extirpait luisant de foutre dans sa chatte engorgée, une épaisse crème s'écoulant doucement de sa chatte sur ses cuisses, Frank comprit qu'il allait pouvoir se régaler d'un dessert bien crémeux lorsqu'il rentrerait officiellement cette nuit. Frank comprit que l'homme qui partageait le lit avec sa femme était arrivé avec elle.

C'était tout simplement parce qu'il s'était pointé dans la salle des audiences pour observer la ravissante jeune femme rendant la justice. Lorsque la séance se termina, Hobie demanda à un assistant s'il pouvait voir le juge pour discuter avec elle de son temps de probation. Naturellement elle était toute proche, et elle donna son accord dans l'interphone.

Hobie souriait de toutes ses dents en suivant madame la juge vêtue de sa stricte robe de fonction. Une fois dans son bureau, Hobie se chargea alors de retrousser sa robe fonctionnelle au tour de sa taille, puis il roula sa petite culotte sur ses genoux et la courba sur son bureau. La seule longueur dont il voulait discuter avec la somptueuse jeune juge était celle de sa grosse bite qui coulissait dans sa chatte détrempée. Lorsqu'il explosa au fin fond de son utérus, il extirpa lentement sa bite poisseuse et l'essuya sur le plastron de la robe judiciaire de madame la juge.

Puis il était parti l'attendre dans le parking.

FIN.

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