Récit érotique écrit par Emile Hubert.
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Quatre arabes pour Nathalie.
Bon ! il fallait que je fasse le point, honnêtement et sans complaisance… Pascal, mon mari avait fini par me convaincre d'accepter son fantasme de faire l'amour avec un autre homme. Non content, il avait même permis à ce dernier d'amener un ami lors de la deuxième rencontre. Là, tous deux avaient bien abusé de moi (pour ma plus grande joie) sans se préoccuper tellement de lui. Je crois que c'est cela qui l'avait froissé… Ne plus être le maître du jeu. Hassan avait pris cette place. En ce qui me concerne j'allais de découvertes en découvertes. Je ne savais pas que je pouvais jouir autant… et autant de fois… Certes, je me savais plutôt jolie femme (ceci dit sans vanité), mais je n'étais pas peu fière de plaire à de jeunes hommes, bien baraqués et surtout si bien membrés… En fait je dois l'avouer je ne pensais plus qu'à eux et leur sexualité débridée qu'ils m'imposaient. Voilà, c'était cela… qu'ils m'imposaient… Je vais peut-être choquer, mais je prisais leur côté très, très macho. J'adorais qu'il fasse de moi, leur jouet, leur objet de plaisir. Je n'attendais qu'une chose devenir une esclave sexuelle… Oui moi ! La prof de math un peu vache faisant régner la crainte sur des classes entières… Oui, moi je n'attendais que ces jeunes hommes me plient à leurs fantaisies érotiques. Je me faisais docile, soumise à leurs caprices pervers, captive de leurs exigences vicieuses et de leurs appétits immoraux. Je crois qu'Hassan l'avait compris… Je ne me faisais pas d'illusion sur deux points, il y avait peut-être danger à tout accepter d'une part et d'autre part, je savais qu'une fois lassée de moi ils me rejetteraient sans égard. Pour l'instant cela m'était égal.
Pendant les jours suivant Pascal ne me parlait plus de nos fantaisies, ni, à mon grand regret d'une autre soirée érotique. De peur de sa réaction, je n'osais aborder le sujet, j'avais quand même un peu honte de l'avoir négligé, moi aussi… J'eus même l'impression que plus je me faisais belle, aguichante, sensuelle et allumeuse, plus il me délaissait, s'acharnant au travail. D'ailleurs son emploi lui fournissait, je pense, une échappatoire, fatigue, stress, et, fait nouveau, des déplacements qui duraient de plus en plus longtemps. De ce fait, je m'accordais de longues soirées de masturbation en pensant à mes amants.
Au cours d'un de ses déplacements (il partit un mercredi matin pour revenir le vendredi suivant) je réalisais que j'étais devenue vraiment ce que les hommes appellent communément une salope. Le mercredi alors que j'avais corrigé mes copies et préparé mes cours, je flânais sur quelques sites chauds d'Internet me préparant à une soirée solitaire lorsque le téléphone sonna. Je reconnus Hassan immédiatement :
- Nathalie, cela fait longtemps que nous n'avons pas de nouvelle de toi… Tu nous manques… Nous avons très, très envie de toi… Demain, comme tu dois le savoir il y grève des profs. Nous avons pensé avec Aziz que nous pourrions nous voir ce soir, comme cela tu aurais tout le temps de te reposer demain.
- Euh ! Je… Enfin… Pascal est en déplacement et je ne sais pas si je peux…
- Nous n'avons pas vraiment besoin de lui pour te baiser. Ce sera encore beaucoup mieux, nous pourrons te faire tout ce que nous voudrons sans empêchement et tu pourras te lâcher complètement, tu verras tous tes trous vont abondamment servir…
- Ecoute Hassan, je ne dis pas non… Mais il faut que je lui demande la permission…
- Fais comme tu veux, si tu veux passer une soirée à te faire tirer comme la petite pute que tu es, viens chez moi à dix-neuf heures… Et sans slip et sans soutien gorge. Si tu n'es pas là à l'heure nous ne nous reverrons plus jamais… A tout à l'heure j'espère…
Et sans me laisser le temps de répondre il raccrocha, me laissant coite. Hummm ! Que j'avais envie de cette soirée… Je n'avais pas prévu de faire grève mais après tout… Mes élèves seraient ravis de l'aubaine. Je repris le téléphone et appelais Pascal. Portable éteint… Je laissais un message :
- Pascal, Hassan m'invite à aller chez lui ce soir, rappelle-moi avant dix-huit heures pour me dire ce que tu en penses, je dois rendre réponse, je t'embrasse, Nath.
Pour tromper mon attente, j'allai prendre une douche. Dans un cas se serait une bonne chose de faite, dans l'autre j'espérais que cela me détendrait. Erreur ! cela ne me détendit point du tout et dans le miroir mes seins durcis me dirent le contraire. Sans vouloir me l'avouer encore, ma décision était, je crois déjà, prise et je caressai distraitement mon pubis épilé (je m'étais faite intégralement épilée, les poils repoussant après mon rasage, je ne tenais pas à avoir un balai brosse entre les jambes). En fait, je n'attendis même pas l'heure que j'avais fixée à mon époux et je commerçais à me coiffer et me maquiller. A dix-huit heures pile, j'étais encore nue mais bien arrangée. A dix-huit heures et cinq minutes je repris le téléphone.
- Pascal, c'est Nath. Comme tu ne réponds pas, il faut que je me décide. Je vais aller chez Hassan, malgré tout, il m'a prévenu, Aziz sera là aussi. Il m'a demandé de venir sans slip, ni soutien gorge… Pas besoin de te faire un dessin… Je vais leur laisser me faire tout ce qu'ils voudront et je te raconterais pour t'exciter… A vendredi…
J'enfilai une pair de bas auto-fixant, un dernier regard dans la glace, décidément je m'étais faite une belle bouche (j'étais certaine qu'elle allait beaucoup servir). Obéissante je ne mis qu'une jupe et qu'un chemisier sous mon manteau. Je ne pouvais pas conduire avec, donc je mis mes talons aiguille dans un sac et je partis. Je vais peut-être vous paraître un peu godiche, mais c'était la première fois que je sortais sans slip. Cette sensation m'excita… Comme si j'avais eu besoin de cela.
Coup de chance il y avait une place presque devant chez Hassan. Je changeai de chaussure et me dirigeai vers l'entrée d'un immeuble cossu. J'avais un quart d'heure d'avance. Tant pis, je pris l'ascenseur, le cœur cognant dans ma poitrine. Le sang battant à mes tempes je sonnai… Un temps… la serrure joua. Un Hassan rayonnant m'ouvrit :
- Ainsi tu es venue… Ton mari t'a autorisée ?
- Non enfin je n'ai pas pu le joindre…
- Et tu es venue quand même jolie salope, tu dois avoir super envie de te faire reluire !
- Oui… j'ai envie de toi, de ta grosse queue et de celle d'Aziz aussi… je ferais tout ce que tu me demanderas.
- Tu es sûre ? remarque, avec ton air de Sainte Nitouche et d’allumeuse, ton joli cul et tes gros roploplos, sans parler de ta bouche de suceuse, tu as dû passer à la casserole souvent.
- Non jamais, je te jure, jamais je n’avais trompé mon mari jusqu’à maintenant, jamais…
- Hé bien, on va te faire rattraper le retard que tu as pris ma belle…
Il me priva de mon manteau et me collant contre le mur, il se mit en devoir de vérifier si ses ordres avaient été bien respectés. Il ouvrit mon chemisier et manipula mes seins gonflés de désir. Il rejoignit mon manteau sur le sol. Tout en m'embrassant dans le cou (il réservait sûrement le dessin de ma bouche à autre chose) il me murmurait à l'oreille de folles paroles et aussi pas mal d'obscénités. Il me troussa le long du mur, palpa mon entrejambe nu. Je crus qu'il allait m'honorer séance tenante, mais non. J'entendis Aziz demander s'il me sautait dans l'entrée. Hassan lui répondit qu'il me mettait en tenue…
De fait, il retira ma jupe ne me laissant que mes bas et me prit par le bras pour passer dans la pièce où devait se trouver Aziz. Effectivement Aziz était là… En compagnie de deux autres arabes qui se levèrent à mon entrée.
J'eus un mouvement de recul idiot, mais Hassan me tenait fermement, il me fit avancer vers ses amis en disant :
- Tu es vraiment une très belle salope et tu ne vas pas être déçue du voyage, tu peux me faire confiance…
Il me fit passer devant lui et me maintint les mains croisées derrière la nuque, m'offrant ainsi à la convoitise des autres qui posèrent immédiatement leurs mains sur moi. Sous la direction d'Aziz, mes seins furent pétris sans précaution puis ils s'attaquèrent à mon intimité que leurs doigts sondèrent. Aziz continuait, lui, à me titiller et me suçoter le bout des seins.
- Tes seins sont très excitants comme ça, ils sont vraiment faits pour nous faire bander… Mmmm, tu aimes quand je te fais durcir les tétons comme ça hein ?
- Oui c’est trop bon Aziz, j’adore…
Hassan me fit me retourner et me demanda de le débraguetter. Impatiente, je m'empressai d'obtempérer. L'un des hommes continua cependant de me doigter et les deux autres à qui je tournais le dos désormais, s'attaquèrent à mes fesses. Elles furent écartées, des doigts s'immiscèrent dans ma raie culière, puis finalement un d'abord, puis deux et enfin trois doigts fureteurs enduits de mouille ou de salive entreprirent mon œillet fripé.
- Tu mouilles comme une fontaine c’est un plaisir de t'astiquer et tu as vraiment l’air d’aimer ça, hein ?
Avant que je ne puisse répondre (par l'affirmative, cela va sans dire), Hassan dont le pantalon gisait à ses pieds me pesa sur les épaules. Mmmm enfin ! j'allais enfin me retrouver avec son gros membre dans la bouche. Je l'embouchai avec un ravissement non feint. Il en grogna d'aise et voulut faire participer ses copains.
- Venez, vous allez voir sa bouche, elle suce super bien et elle aime tellement ça qu’elle avale tout, et elle en redemande…
Inutile de vous dire qu'ils ne se firent pas prier et je fus vite encadrée par deux hommes nus et ma fois, assez bien pourvu. Aziz s'agenouilla derrière moi et continua de me peloter les lolos et de fourrer ses doigts dans mes orifices. Je m'occupai tour à tour des trois hommes, suçant, branlant, léchant, gobant, aspirant, pompant les trois queues et les trois paires de grosses couilles pleines de foutre. Pendant ce temps-là, ils n'arrêtaient pas de rire et de parler entre eux en arabe (il valait sans doute mieux que je ne comprenne pas…).
Au bout d'un moment, Aziz, dont je sentais la bite tendue contre mon dos, se sentit sûrement délaissé et malgré les protestations des autres me fit relever e m'emmena vers un fauteuil où il me mit à quatre pattes. « Oui, vas-y prends-moi » pensai-je. Et je ne fus déçue. Comme ma chatte avait été un peu ouverte, il put me pénétrer facilement d'un seul coup de rein puissant.
Les autres se présentèrent face à moi et je dus reprendre mes activités buccales alternées. Souvent, pendant que je suçais l'une, une autre queue me caressait le visage, parfois même, l'un d'eux se masturbait dans mes cheveux. Privée de sexe comme je l'étais depuis plusieurs jours et très exacerbée par la situation, j'eus vite un orgasme étouffé par un gourdin raide comme un piquet. Aziz ne me laissa aucun répit et je sentis qu'il ne pourrait plus se retenir. En grognant il dit :
- Tiens salope, prends tout !
Et en me gratifiant d'une bonne claque sur les fesses il se vida au fond de mon vagin affamé.
Sa place fut prise aussitôt sans fioriture et le manège recommença. Celui que je suçais manifesta aussi ses limites et me prit (inutilement) la tête pour se déverser dans ma bouche. La situation devenait plus gérable… Baisée par un homme et suçant Hassan. L'homme derrière moi me tringlait plus que convenablement, les mains crochetées à la chair de mes hanches. Sans doute pour s’exciter encore plus, de temps à autre, il me mettait son pouce dans l'anus, me propulsant au-devant de la belle trique d'Hassan. Les sensations qu'il me procurait, exacerbées par cette exhibition devant les autres, me firent atteindre un plaisir divin. Il me rejoignit dans la jouissance et lui également contribua à me remplir la chatte. Je me consacrai ensuite à Hassan dont le sperme épicé me baigna brusquement la bouche.
Bien entendu, après ce premier soulagement, les quatre hommes bandaient encore. Hassan décida de m'offrir à ses amis et leur demanda de me prendre en sandwich assurant que j'aimais cela. Celui qui avait joui dans ma bouche prit place sur un canapé et je dus le chevaucher. Connaissant la suite du programme, je pris bien mon temps pour m'installer autour de cet axe improvisé. L'homme me prit par les fesses pour me faire monter et descendre sur son vit. Une main m'appuya sur la nuque pour je me penche en avant et que j'embrasse mon baiseur. Je ne me fis pas prier en lui prenant la tête à deux mains je lui imposai un long et savant baiser. Le second inconnu vint se poster derrière moi. Je me cambrai pour lui offrir mes fesses écartées en grand par le premier. Le gland pesa sur ma rondelle. C'était ce dont je rêvais, une double pénétration… Mes derniers réflexes de retenue s'évanouir et je m'entendis l'encourager :
- Oui enfonce la bien au fond, défonce-moi l'œillet…
- Tu en veux au fond de tes boyaux, hein ! prends ça salope…
- Tu aimes vraiment çà, en avoir plein les trous Nathalie ! hein petite pute, dis-nous que tu es une pute… renchérit Hassan.
- Oui je suis une pute… Ce soir je suis votre pute, je vous obéirai, mmmm vas-y, enfile moi bien le cul, pinez-moi autant que vous voudrez.
Où était passé la petite prof de math BCBG ? quel rapport y avait-il entre elle et la femelle déchaînée que j'étais en cet instant. Aucun, je pense… sauf une inégalité toute mathématiques entre le nombre d'orifices que je proposais et le nombre de membres qui me les fourraient puisque Hassan de temps à autre m'attirait la tête pour que je le pompe, et que de l'autre côté Aziz me contraignait à la même activité.
Je me déchaînai littéralement, vraiment heureuse de m'abandonner dans ce tourbillon pervers. Des ondes de plaisir me parcouraient, me vrillant le bas ventre, m'enflammant les reins sous les coups de queues qui me taraudaient le rectum, remontant le long de ma colonne vertébrale et irradiant mes seins gonflés comme jamais…
J'avais honte, honte de tromper Pascal, honte de ma conduite inouïe, honte aussi de me livrer à ses hommes si différents du milieu que je côtoyais habituellement, honte de répondre sans vergogne à leurs frustes assauts. Justement, c'était là, où se rejoignait honte et plaisir… Me livrer à leurs manières de macho, le mot est faible ! plutôt de rustre ! Je savais que je n'avais que peu de chose à attendre d'eux. Dès qu'ils auraient fini, dès qu'ils se seraient vidées les couilles, ils me renverraient. Mais, je crois qu'ils n'en avaient pas encore fini et que ma chatte, ma bouche et mon cul (qu'ils avaient l'air de vraiment apprécier) allaient encore pas mal servir.
La jouissance me surprit m'empêchant de continuer mes travaux buccaux. Je ne puis faire qu'une chose : hurler.
- Ouiiiiiiii, ouiiiiii, oui, oui, encooore ouiiiiii, oh ouiiiiii, je me fais baiser comme une pute et enculer comme une salope ! C'est trop bon ! Plus fort, je vais jouiiiiiiiiir…aaaaaaaaahhh !
Je dus vraiment exciter mes deux baiseurs et les comprimer par les contractions de mes muscles intimes, car je les sentis enfler et des salves brûlantes presque simultanées m'inondèrent les deux conduits.
A peine celui de derrière eut-il déculé que je fus happé par les bras d'Hassan qui m'embrassa longuement. Il m'entraîna vers un fauteuil où il me demanda de m'agenouiller, un genou sur chacun des bras du fauteuil et de m'y accouder. Il me fit me cambrer, me demanda de lever haut mes fesses et dans cette position obscène ou j'exposais sans pudeur mes orifices d'où devaient sourdre des filets de sperme, je fus la cible des commentaires salaces des quatre. Hassan se plaça derrière moi présenta son gland à ma chatte et entama une lente mais inexorable pénétration… J'étais bien ! Je trouvais cette situation délicieusement dégradante d'être ainsi disposée sur le fauteuil dans une position particulièrement obscène qui ne me permettais que d'ouvrir mes cuisses dans leur plus grand écartement et supporter les assauts de mon partenaire qui m'ouvrait le vagin et me faisait intentionnellement ballotter les seins au rythme de la pénétration.
Aziz se préparait à se faire sucer lorsque mon téléphone portable sonna. Mon mari… Ce devait être mon mari… Hassan dit à Aziz :
- Donne-lui son portable, on va s'amuser !
- Allo Nath, j'ai eu ton appel, qu'est ce qui ce passe… Je ne comprends pas…
Comme je haletai, secouée par Hassan, il réalisa :
Mmmais, mais je ne rêve pas… Tu est en train de, de…. te faire sauter… Qui est ce qui te baise Nath, dis-le moi…
- C’est Hassan qui me baise et il est en train de me baiser la chatte.
- Salope, comment il te prend ? Et… Il est seul ?
- Il me prend en levrette sur un fauteuil… Non il n’est pas tout seul, ils sont quatre mon chéri et ils m’ont prise par tous les bouts, si tu savais comme ils sont montés… Ils vont me remplir de foutre toute la nuit…
- Tu n'es qu'une salope…
- C'est bien toi qui voulais cela ! je croyais que ça t’excitait de te savoir cocu, de savoir que ta femme chérie était la salope d’un autre pendant tout une nuit, alors là, rends-toi compte, quatre d'un coup !
- Tu n'es qu'une traînée, tu vas voir quand je vais rentrer, nous en reparlerons…
Hassan m'arracha le portable et s'adressant à Pascal lui dit :
- Je croyais que tu aimais ça, que ta femme se fasse mettre par des arabes. Tu vois ta femme, elle adore la bite, là je lui mets profond comme jamais tu sais, j’ai l’impression de la transpercer et maintenant je vais changer de trou et Aziz lui giclera dans la bouche… Ecoute comme elle en veut… Nathalie pendant que ton mari écoute, demande-moi de t'éclater le cul !
- Ooooh chéri si tu savais ce que je vais prendre… Oui Hassan défonce-moi le trou, ramone-moi le boyau, Ouiiiiiii élargit- moi la rondelle… Aaarrgh tu me casses le cul !
Et en moi-même je pensais « et tant pis pour la suite… »
Mon boyau ayant été bien dilaté auparavant, Hassan n'eut aucune peine à l'investir et y alla franchement pendant qu'Aziz me fourrait sa pine dan la bouche. Je crois vous l'avoir déjà dit, c'était ainsi que j'adorais que l'on me fasse l'amour, enfin si l'on peut dire, plutôt que l'on me baise, un sexe dans la bouche et un autre entre les reins. Hassan allait me dévaster le fondement, encouragé par les autres qui l'encourageaient à… défoncer la pute blanche… et qui pendant ce temps ne ménageaient pas de leurs doigts, ni mes seins, ni ma chatte. Excessifs (enfin je trouvais quand même un peu…) ils voulurent changer de place et pour la première fois je dus gober une queue sortant de mon anus. Malgré une certaine répugnance, je ne songeai même pas à regimber… Et j'engloutis avec bassesse la pine bizarrement maculée.
Consciente de m'avilir, je fis ce que l'on attendait de moi. Ils firent plusieurs fois le même manège. J'eus deux orgasmes avant qu'Hassan n'éjacule dans mon petit cul manifestement élargi, qu'Aziz ne me laisse la bouche gluante de son jus copieux et épais. Je n'eus pas le temps de dire ouf, ni autre chose d'ailleurs… Les deux autres, attisés par la scène, m'imposèrent les mêmes délicieux outrages, soit une belle bite entre les lèvres et une non moins belle entre les fesses. Après quelques instants, eux aussi me soumirent à leur changement de voies… avec un petit plus… avant ou après le passage par ma bouche, ils enfilaient leurs queues dans mon con affamé qui n'attendait que cela. Je ne jouis qu'une fois, la position sur ce fauteuil devenant inconfortable. Eux par contre s'en donnèrent à cœur joie et comme je leur avais déjà permis d'évacuer leur trop-plein, ils tinrent longtemps. Brutalement, celui que j'avais en bouche, se retira pour m'éjaculer sur le visage (puis il me la remit pour que j'en aspire les dernières gouttes) et finalement il prit un plaisir sournois à m'en badigeonner les joues, les lèvres et le menton pendant que son compère m'enculait fermement. Tout ayant une fin, je le sentis lui aussi, se raidir dans mon boyau culier avant qu'il ne se déchaîne dans les ultimes spasmes du plaisir. Lorsque sa verge commença à débander, il se retira précautionneusement, me laissant cette impression de vide empreinte de nostalgie, l'anus dilaté et tapissé de foutre.
Je pus enfin descendre de mon fauteuil, l'ankylose me gagnait. J'eus juste le temps de me désaltérer un peu et je crus que j'allais défaillir… C'était clair, ils voulaient me faire mourir… Je fus empoignée par Hassan et Aziz pour un dernier sandwich maison qui me laissa épuisée. Hassan me complimenta sur la soirée :
- Tu as été super Nathalie, tu nous as bien vidés les couilles, je suis content de toi…
Il ne voulut pas me rendre ni ma jupe, ni mon chemisier, décidant que :
- Tu reviendras les chercher une autre fois, et j'inviterais d'autre copains, nous seront plus nombreux pour se farcir la petite prof… Tu vas devenir une bonne petite pute…
Je n'en doutais pas… Et je répondis :
- S’il n'en tenait qu'à moi je te dirais oui tout de suite Hassan, mais il y a mon mari…
- Et alors, c'est lui qui t'as poussé à le faire cocu ?
Alors… Alors… Je repartis souillée et nue sous mon manteau en songeant que dans ma conversation téléphonique avec lui tout à l'heure, quelque chose m’avait paru bizarre… L'avenir me rassurerait… j'aimais me le prédire…
A suivre...
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