Récit érotique écrit par Emile Hubert.
*****
Hassan revient accompagné de Aziz.
Dès le lendemain de notre soirée, disons d'initiation avec Hassan, il nous fallut mon mari et moi faire le point.
- Alors Nath, finalement, je crois que tu as bien fait d'accepter mon fantasme, je ne fais pas erreur ?
Je dus rougir jusqu'à la pointe des seins et j'admis :
- Non, je dois avouer que tu avais raison, mais quand même…
- Quand même quoi ?
- Je me sens affreusement gênée vis-à-vis de toi…
- C'est idiot, tu as fait exactement, ce que je voulais, tu as exhaussé un de mes rêves les plus chers…
- Il n'empêche… Et puis je t'en veux…
- De quoi ?
- De lui avoir proposé de me sodomiser, je t'avais dit que je ne voulais pas…
- Alors là, tu ne manques pas de culot, c'est bien toi que j'ai entendu le supplier de te défoncer… Ne me raconte pas d'histoire, je t'ai entendu crier ta jouissance…
Là aussi j'admis que j'essayais de trouver quelque chose de négatif. Ma mauvaise foi l'amusa.
- Sois honnête, il y a longtemps que tu n'as pas pris un tel plaisir, je ne t'avais jamais entendu crier ainsi.
- J'avoue… Mais je t'aime et j'ai honte… Et toi… Qu'as-tu pensé de cette soirée ?
- C'était encore mieux que dans mon imagination ou dans les écrits des lecteurs, tu as été formidable, belle sensuelle, torride. Et d'ailleurs…
Ce qui allait suivre, je m'en doutais, je le redoutais, car je ne pouvais me cacher la vérité. Il allait me demander si je voulais recommencer et j'allais dire oui. L'idée de me faire à nouveau prendre par ce mâle bien monté me faisait perdre tout sens moral.
- Et d'ailleurs, j'ai tellement aimé que j'aimerais bien que nous recommencions, qu'en penses-tu ?
-Franchement cette fois… Si cela t'a tellement plu… Je veux bien…
- Ne me fais pas croire que tu te sacrifies, la lueur dans tes yeux est très explicite,
- Soit ! Tu penses encore inviter Hassan ?
- Pourquoi pas ? Il t'a donné beaucoup de plaisir non ?
- Assurément, mais j'étais un peu ennuyée… Il se comportait comme si j'étais sa chose, sans beaucoup se préoccuper de toi…
- Justement, c'est cela qui m'a aussi beaucoup plu, son côté autoritaire, mais là encore je suis persuadé que cela ne t'a pas déplu, Madame la petite prof de math, d'être soumise à un jeune amant très dominateur à qui, soit dit en passant, tu obéissais bien obligeamment…
- Arrête veux-tu…
- Bon d'accord, mais je ne suis pas dupe… laissons passer quelque temps et plus tard je le contacterais, si tu es toujours partante.
Partante je savais que je l'étais dès maintenant. Nous laissâmes passer une quinzaine pendant lesquelles nous fûmes comme aux premiers temps de notre mariage, à faire l'amour pratiquement tous les jours et même plusieurs fois pas jour. Mon Pascal en profita pour me demander de redevenir un peu plus sexy, ce que je fis avec plaisir, et ma foi, les portes jarretelles et les balconnets firent leur réapparition (en dehors de ma vie professionnelle). Non content, il me demanda d'acquérir une paire de chaussure à talon aiguille. Mode obligeant, j'eus du mal à trouver… Une superbe paire de vernis noir à bride dont le talon mesurait onze centimètres que je trouvais dans un magasin spécialisé en lingerie légère, cela ferait l'affaire.
Cette aventure décidément avait énormément plu à mon Pascal qui décida de contacter de nouveau Hassan, d'ailleurs sans me consulter, se doutant par avance de mon accord, mais quand même. Il revint dépité, pas de Hassan ce dimanche-là. Le soir suivant, il retenta sa chance apparemment avec plus de succès, car je l'entendis converser. Anxieuse je le questionnai à son retour dans la pièce :
- Alors ?
- Je l'ai invité pour samedi prochain.
En me disant cela il avait l'air un peu ennuyé.
- Qu'est ce qui se passe, il n'est pas libre ?
- Non, ce n'est pas cela…
- Alors quoi ? Il ne veut pas venir… Je ne lui ai pas plu…
- Non, non bien au contraire…
- Alors ? dis voir !
- Bon ! en fait, il a été ravi et a accepté sans se faire prier notre invitation… Mais… Et là je le cite « comme tu es chaude et que tu aimes la bite », il va venir avec un copain…
- Co… Co… Comment un copain ? et tu as accepté ?
- En fait, il ne m'a pas demandé mon accord, il a dit qu'il viendrait avec un copain, Point ! Enfin, il a quand même ajouté que j'allais t'entendre à nouveau crier…
Complètement interdite, j'en restais muette, mais mon ventre s'était embrasé d'un seul coup.
- Tu… Tu vas le laisser venir avec un inconnu ? et tu vas accepter que tous les deux ils me…
- Je dois dire que cela me plairait en effet beaucoup…
- Mais… Mais enfin ! tu te rends compte…
- Oui bien sûr je me rends compte. Je sais pertinemment que tu vas avoir envie de cela, tu as pris trop de plaisir l'autre fois pour ne pas recommencer. Tu verras, tu vas passer encore une sacrée soirée.
Encore une fois, il eut raison de mes réticences, qui il faut le dire furent un peu molles. En m'endormant ce soir-là (j'eus d'ailleurs bien du mal à trouver le sommeil) des images torrides dansèrent devant mes yeux. L'autre fois j'avais été prise en sandwich, cette fois je me doutais que mes trois orifices allaient être occupés simultanément.
Et si l'ami de Hassan était lui aussi bien membré… Et s’ils leur prenaient la fantaisie de me prendre ensemble… J'allais le sentir passer… Et si… Et si… Je ne pensais pas qu'Hassan ait été extrêmement discret avec son ami donc fatalement mon petit derrière serait sollicité… Hoooo !. Intérieurement je crois que j'en avais terriblement envie, le souvenir du phallus d'Hassan entre mes reins était tenace.
Je ne vécus cette semaine-là que dans la pensée et l'attente de cette soirée. Même pendant mes cours j'étais angoissée et obsédée. Ce fut donc une semaine d'interrogations écrites (j'ai honte) pendant lesquelles mon esprit vagabondait. En revanche, je fis preuve d'une mansuétude inhabituelle dans mes corrections, moi qui étais pourtant le type de prof sévère, juste mais sévère, voir un peu « peau de vache ».
Le mercredi après-midi, après les corrections, je me jetai sur l'ordinateur et me connectai avidement sur des sites érotiques pour parcourir les récits de celles qui s'étaient livrée à plusieurs hommes. Édifiant et enflammé. Pascal exploita largement mon état. Le lendemain où je n'avais pas beaucoup de cours, mon après-midi fut à l'image de celui de la veille. Mon mari, en rentrant, me trouva pratiquement hystérique. Pascal prolongea encore cet état et profita de la situation en me demandant de me raser intégralement (je dis intégralement, car au début il n'était question de ma vulve et de mon périnée, mais…).
Dans mes lectures j'avais pu constater que cela se pratiquait souvent et que cela avait l'air de griser les hommes, alors… pourquoi pas. Je ne discutai même pas… même pour la forme. Pascal était très méticuleux, la séance dura longtemps. Il me fit admirer mon abricot tout lisse dans une glace. Pas mal… très canaille… Du coup, il voulut raccourcir la toison de mon pubis, et de fil en aiguille, je me retrouvais imberbe. Je suis certain que c'est bien cela qu'il avait en tête. Il me le confirma d'ailleurs plus tard. Cette opération m'avait mise en transe et je l’implorai de me prendre… des deux cotés, ce qu'il fit à merveille, bien que j'attende plus gros.
Le vendredi passa à la fois très vite et fut interminable, j'avais la désagréable impression que tout le monde me regardait bizarrement. Comme s'ils savaient qu'aucune toison n'ornait plus mon bas-ventre et comme s'ils savaient également à quelles turpitudes j'allais me livrer le lendemain.
Enfin samedi. Je préparai quelques en-cas que nous pourrions déguster ce soir, Pascal prépara à boire. Au milieu de l'après-midi, je décidai de commencer à me faire belle. Un bon bain, brushing, je peins mes ongles (les vingt), me parfumai, pas trop, juste aux bons endroits. Voilà, je n'avais plus qu'à m'habiller et me maquiller. Je demandai à Pascal :
- Dis, comment je m'habille ?
- Comme l'autre fois, mais sans le déshabillé. Par contre maquille-toi davantage que l'autre jour !
Sans le déshabillé. Cela voulait dire que j'allais accueillir nos invités uniquement vêtue (si l'on peut dire) de mon porte-jarretelle et d'une paire de bas, je bafouillai :
- Mais… Mais… Tu tu es conscient je vais ressembler à une… Enfin je veux dire, ils vont me prendre pour… Tu vas me faire passer pour une…
- Une ?
- Une pute…
- Absolument ! C'est exactement le but recherché…
- Salaud… Bon Tu l'auras voulu ! Si c'est cela que tu veux ! Ta chère petite femme va se faire sauter par ces types, par ces deux types, et devant toi, bien sûr! Oh la la !. Tiens, demande leur de baiser ta femme comme une salope, propose-leur si tu l'oses !
- On parie !
Je savais que j'avais perdu d'avance, mais c'est ce que je voulais, être assujettie aux caprices de ces messieurs dans une sorte de soumission sexuelle librement consentie. Très librement consentie, car je n'avais envie que de cela et de subir déraisonnablement de gros membres. Il faudrait que je fasse le point sur mes pulsions profondes…
C'est à cela que je pensais en me maquillant excessivement (du moins je trouvais par rapport à mes habitudes en la matière). Une fois habillée, j'étrennai mes escarpins. En me regardant, je me surpris à me trouver pas mal, très… Comme le voulait Pascal, très pute ! Je sortis me faire admirer. La bosse au niveau de sa braguette fut éloquente bien qu'il me jugea un peu terne…
- Mais pour cette fois ça ira, il faudra faire mieux la prochaine fois… Dit-il ?
L'heure fatidique approchait, j'avais la chair de poule, mon cœur battait à toute allure, mes seins se durcissaient, les bouts en étaient tout tendus… d'angoisse surtout !
Dix-neuf heures pile ! Sonnerie ! Cette fois ce fut Pascal qui alla ouvrir. Je me levai et entendis parler dans l'entrée. Puis ils entrèrent, d'abord Hassan, puis, sur ses talons, un homme aussi jeune que lui paraissant également baraqué mais beaucoup plus typé. Pendant qu'ils s'approchaient de moi, j'entendis Pascal dire :
- Nathalie est à vous pour la soirée, vous pouvez lui faire ce que vous aurez envie…
En me prenant par la taille, Hassan répondit :
- Mais c'est bien là-dessus que je comptais, avec Aziz on va tout lui faire…
J'en frissonnai. Le dénommé Aziz me prit également par la taille et sans gêne (pourquoi en aurait-il eu après tout ?) commença à me soupeser les seins.
- Elle est bien roulée… Constata-t-il.
- Et de plus elle aime la baise tu verras. Répliqua Hassan qui ajouta :
- Au fait, qui t'as dit de te raser ?
- Pascal, tu aimes ?
- Je suis sûr qu'il t'a fait faire cela pour nous exciter et qu'on te baise bien à fond ! quel gentil mari ! Et dire que toi tu vas le faire cocu ! C'est cela dis-voir ?
- Oui…
- Oui quoi ?
- Oui je vais le faire cocu…
- Dis-lui !
- Chéri… Je sais que c'est cela tu veux… Tu veux les voir faire… Hassan a raison, tu seras cocu avant ce soir mon chéri…Tant pis pour toi…
Hassan tout en caressant mon bas ventre conclut en disant que ce soir il voulait que je ne m'exprime qu'en termes grossiers et que cela les ferait encore plus bander d'entendre une petite bourgeoise s'exprimer de cette sorte. Il glissa un doigt dans mon sexe… enfin dans ma chatte et la trouva abondamment mouillée.
- Regarde Aziz comme elle est chaude !
Je pensai que Hassan allait laisser la place à son copain. Erreur, il resta son doigt fiché en moi pendant qu’Aziz ne se faisait pas prier et introduisit également un majeur conquérant dans ma vulve. Deux doigts, de deux hommes en moi… Mes jambes se mirent à flageoler.
- Elle a vraiment envie qu'on la baise avec nos grosses queues, hein ma belle ?
- Oui j'ai envie de vos queues, bien grosses… bien dures… Répondis-je entrant dans le jeu de la vulgarité.
- Et puis ce n'est pas tout, j'ai parlé de toi à Aziz, il a très envie de t'enculer… Tu vas te laisser enculer aussi par Aziz n'est ce pas ?
- Je ferais tout ce que tu veux Hassan, je te le promets…
Là, j'avais peut-être fait une erreur… Mais sur l'instant c'est vraiment ce dont à quoi j'aspirais, faire les quatre volontés de ce jeune amant despotique.
- En attendant, tu vas faire voir à Aziz comment tu suces.
Ce dernier se laissa tomber sur le canapé du salon, jambes écartées. L'air prometteur, je m'agenouillai devant lui et déboutonnai son pantalon. J'entrepris de lui quitter (supposant qu'il ne le garderait pas le reste de la soirée). Il ne portait pas de slip et c'est un beau membre en semi-érection, de taille et de diamètre proche de celui d'Hassan mais beaucoup plus brun, qui m'apparut. Je le pris en main et il fut vite à sa taille adulte… Le frère jumeau de celui d'Hassan. Je l'engloutis avec voracité et serrant bien les joues autour de ce beau pénis… De cette belle bite je m'efforçai de lui donner beaucoup de plaisir.
Pendant ce temps Hassan s'était mis nu et s'assit à côté d'Aziz en se caressant. Il me fit signe de le masturber… branler de ma main droite, puis de le sucer à son tour. C'était comme je l'avais imaginé toute cette semaine… Moi en tenue légère… En tenue de salope, une grosse bite dans chaque main et devant mon mari, cocu complaisant, je les pompai de mon mieux alternativement.
Au bout d'un moment ils se levèrent et se rapprochèrent pour que je puisse passer plus vite de l'un à l'autre. Je m'appliquai, léchant avec délectation leurs glands, lissant de ma langue leurs méats, les absorbant en suite le plus loin que je pouvais (ce n'était jamais assez), les branlant lentement, flattant leurs test… couilles. Se rapprochant encore, ils m'enjoignirent de les prendre tous les deux dans ma bouche. Je dus me distendre les lèvres pour les accueillir conjointement, mais là encore j'obéis avec bassesse sans savoir trop pourquoi. Ils demandèrent ensuite à Pascal de se joindre à eux. Je me retrouvai donc avec un membre dans la bouche pendant que je branlais les deux autres. Je changeai, j'alternai, j'intervertis leur donnant le plus de plaisir.
- Ta femme suce bien ! Commenta Aziz à l'adresse de Pascal.
- Attends, t’as pas tout vu, elle te vide les couilles en avalant tout, un vrai pied… Intervint Hassan qui poursuivit :
- Et en plus, elle est vraiment très obéissante, c’est un vrai régal de s’amuser avec elle et de se vider les couilles dans ses petits trous serrés de cochonne.
- On la baise ? questionna Aziz.
La proposition fut acceptée, je fus relevée, assise sur un fauteuil. Aziz s'agenouilla devant moi, m'écarta les jambes en les relevant et entrouvrit mes grandes lèvres révélant l'ouverture de mon vagin qui devait être brillante d'humidité tellement je mouillais. Il caressa cette orée un bref instant de son gland et commença à me l'introduire posément, mais de toute sa longueur. Doté d'un instrument du même calibre que Hassan, il me remplit parfaitement bien à fond. Je vis Hassan s'approcher d'un côté du fauteuil et me tendre sa pine. Je l'embouchai avec ravissement. Pour ne pas être en reste, Pascal se plaça de l'autre côté, je le pris en main. Pendant que Aziz me fourrait fougueusement, je pompai alternativement les deux autres. Que j'étais bien !
Sur proposition d'Hassan ils changèrent de place. Enfin j'allais être enfilée par mon amant. Il le fit sans fioriture, comme s'il voulait me prouver que j'étais sa chose. Je m'en moquais, la seule chose qui m'importait était d'arrondir mes lèvres pour accueillir la queue d'Aziz bien raide et toute luisante de ma mouille.
Le moins résistant fut Pascal, sans doute trop excité par la situation qui se déversa dans ma bouche. J'allais pouvoir me consacrer aux autres. Je dois dire, pour être honnête, que cela ne me déplaisait pas que mon mari fut momentanément hors-jeu. J'allais pouvoir m'abandonner à mes jeunes partenaires.
Je jouis deux fois rapprochée sous les coups de boutoir d'Hassan. Puis ce fut le tour d'Aziz que je sentis gonfler sur ma langue avant que son foutre ne jaillisse dans ma bouche. La quantité fut telle que je ne pus tout ingurgiter et il m'en coula sur le menton. Hassan lui aussi, eut une très forte émission qui fusa dans ma chatte comblée.
Ils me firent relever et au milieu des trois hommes, je subis délicieusement tous leurs attouchements et répondis langoureusement à leurs baisers. Sous ces câlineries, je me sentis prête à de nouvelles folies et je constatai que eux aussi. Hassan, s'étant auto-proclamé maître de cérémonie exigea que Pascal me sodomise sur la table du salon. Mon époux me fit signe qu'il approuvait cette proposition et me fit signe de m'installer sur notre robuste table de salon où je me plaçai à quatre pattes. Comme à son habitude il me dilata consciencieusement même si les autres lui enjoignaient d'accélérer, car ils voulaient me voir emmancher, vite fait. Je n'étais pas loin de penser comme eux, un peu de préparation, certes, mais point trop n'en faut. Il se décida quand même à m'envahir et à m'astiquer allègrement le rectum. Comme je l'avais remarqué depuis peu, je commençais à devenir adepte de cette pénétration. Mais ce soir ce n'est pas par Pascal que je souhaitais être prise, mais c'est bien par Hassan et sa grosse trique que je souhaitais être enculée, et tant qu'à y être, eh bien, par Aziz également. Sans doute pour faire bonne mesure, Hassan exigea que je me branle la moule, encore une fois, je m'exécutai. Pascal allait et venait librement en moi, dorénavant sans obstacles. A mon avis c'est ce qu'attendaient les autres, qu'il chauffe la place… Hassan se leva et pria mon époux de se retirer. Peu contrariant il obtempéra, pensant sans doute à une variante. Non point ! Car me prenant par la main, Hassa m'attira à lui et décréta :
- Viens on va dans ta chambre. On sera plus à l'aise :
Et il ajouta en s'adressant à Aziz :
- Amène-toi, on va la tirer en double !
« Ooooooh oui Hassan ! » pensais-je « c'est ça que je veux, c'est à ça que je pense tous les jours depuis une semaine ».
Je le suivis donc sans aucune, mais vraiment aucune résistance (pour un peu je l'aurais devancé) tout en remarquant l'air piteux de Pascal. Arrivé dans notre chambre, Aziz s'allongea sur le dos, et en termes particulièrement crus, je fus conviée à le chevaucher.
Excitée comme je l’étais, le dard d’Aziz me remplissait pleinement et je le sentis encore grossir en moi à chaque coup de bassin. Je mouillai en continu sous la puissance de l'acclimatation et la grosseur de son engin. Il me prit par les hanches en écartant mes fesses ou pesant sur mes épaules. Hassan me fourra sa queue dans la bouche en me plaquant contre lui. Nous étions tous en sueur, mes muscles intimes se contractaient autour du sexe qui me perforait et je gémissais de plus en plus fort pendant que son engin me ramonait. Il me tringlait de plus en plus rudement, mes seins tressautaient à chaque secousse et j’eus un premier orgasme. Je tenais la hampe de Hassan mais sous les coups de boutoir, j’avais des difficultés à assurer ma fellation donc c’est lui qui me la mettait au fond de la gorge en encourageant son compère et en me sommant de me peloter les nibards. Enfin ce que j'attendais arriva et , il sortit sa queue de ma bouche et la présenta en m'écartant mes fesses pour forcer mon anus. Il avait été assez bien préparé par Pascal, qu'il n'eut pas trop à forcer pour introduire son gland dans mon cul dilaté.
Malgré le volume pris par Aziz, le membre glissa dans mon boyau d'une façon merveilleuse. Je perçus qu'il y allait avec une certaine retenue pour m'épargner (enfin pour l'instant). Je manque de mots pour décrire ce que je ressentais ouverte… fissurée en deux… farcie… je ne sais quoi. Mes deux amants arabes me saisirent et sans aucune opposition, je laissais Aziz m’enfiler loin sur sa queue. Il m’attira à lui et m’embrassa à pleine bouche. Derrière moi, Hassan finit de m'empaler jusqu'à la garde en me disant que j’allais aimer ça et qu’ils allaient me fourrer à fond.
- Tu vas avoir deux grosses bites en même temps comme tu les aimes, gonflées à bloc. Tes trous, vont se faire farcir de jus par des mecs bien montés et aux couilles bien pleines. Tu en en rêvais, non ?
- Oui… Je ne sais pas, oui, ouiiii j'en rêvais… De me faire prendre par deux grosses pines, mais faites doucement vous êtes tellement gros.
- Mmmmm tu es trop bonne, je bande comme un cerf, tu aimes ça, regarde tes seins, ils sont gonflés à bloc tellement tu attends que ça. Je sens ta chatte déborder sur mes couilles… Et celle d'Hassan tu la sens bien aussi, tu le fais bien bander à mort petite salope, tu vas bien jouir avec une comme ça dans le cul ! dit Aziz.
Il m'empoigna les seins, pinçant et étirant mes tétons si sensibles qui réagirent instantanément en se raidissant.
Pascal voulut s'approcher avec l'intention de proposer son sexe à mes lèvres. Les deux autres le repoussèrent prétextant qu'ils voulaient m'entendre gueuler. Il n'insista pas.
C'était tout bonnement prodigieux, d'un côté Aziz me baisait jusqu'au tréfonds, son gland cognant au fond de moi, et de l'autre Hassan qui continuait de m’enculer, enfilant toute la longueur son sexe dans mon petit trou. Déchaînés et résistants, ils continuaient de me travailler en me tenant fermement tous les deux et, incapable de soutenir davantage leur rythme effréné, je criai mon plaisir lorsqu'un premier orgasme me parcourut en demandant qu'il continuent plus fort et plus loin.
J’étais envahie par des ondes de plaisir qui partaient de ma grotte pilonnée et rejoignaient celles provoquées par la puissante sodomie qui m'était imposée, elles remontaient le long de mes vertèbres pour se terminer aux pointes de mes seins érigées. Ce fut démentiel. Ils devaient certainement se surveiller mutuellement car dès qu'ils me sentirent partir une seconde fois ils devinrent enragés. D'abord Aziz dont je sentis les jets brûlants au fond de mon vagin. Et là je criai :
- Ouiiii vas-y, encore, elle est trop bonne ta grosse queue, bourre-moi bien, et toi aussi Hassan encule-moi plus fort, remplis-moi de foutre !
- Oui salope, je vais jouir… je vais t'en mettre plein le cul, oh ouiiiii ça vient, j’explose… c’est trop bon…
Il m’enfila à fond d’un coup et en me tenant la taille il se mit à se vider au fond de mon petit cul en longues saccades sans bouger et je tendis mes fesses vers lui pour mieux le sentir. Nous restâmes un moment dans la même position. Épuisée mais écrasée entre mes deux amants j'étais bien. Lentement je sentis leur membre perdre de la vigueur et tout doucement sortir de moi. J'avais besoin de souffler un peu… Hassan ne l'entendait pas ainsi et me montrant Pascal il me dit :
- Regarde ton cocu, regarde comme il trique… Ça le fait bander hein, de voir sa petite pute de femme se faire mettre par des arabes… Tu l'a entendue brailler ta petite bourgeoise bien élevée mais qui a le feu au cul, hein Pascal, et je te parle pas de sa bouche qui est faite pour sucer et avaler. Viens te faire vider les couilles !
Il me força à m'agenouiller devant Pascal et à lui faire une pipe. Je le pris dans ma bouche, elle avait encore l'odeur de mes fesses, mais je n'en avais cure. Trop excité il ne tint pas longtemps sous mes caresses vicieuses et je dirigeai le jet sur mes seins, puis le reprit en bouche pour les dernières gouttes. Enfin je pus me reposer et me rafraîchir un peu en écoutant les conseils qu'Aziz et Hassan prodiguaient à Pascal pour me rendre encore plus désirable et salope (bien entendu ! puisque c'était le mot de la soirée). Après un moment de pause, Aziz se manifesta près de moi :
- Allez Nathalie, c'est à mon tour… Vas te mettre sur la table comme avec ton mari tout à l'heure !
Bien consciente que mes fesses étaient convoitées, je me rendis en ondulant vers la table où je me mis à quatre pattes.
- Ton petit cul de prof est fait pour la queue, tu sais. Il est très beau surtout labouré comme il est et tu as une raie faite pour être écartée. Ma bite va t'exploser le fion, je vais te l'emplir de foutre !
J'étais prévenue. Je vis Aziz se mettre derrière moi et sa queue était effectivement raide et pointait vers mon cul comme une lance qui allait me transpercer. Il la prit en main et il pointa son gros gland contre mon petit trou béant. Les fesses écartées par les mains de mon enculeur, je sentis son pieu dur comme de l'acier forcer petit à petit mon anneau. Il poussait doucement et lorsque le gland d’Aziz passa mon sphincter d’un coup, il m’arracha un cri de surprise. Vu ce que j'avais déjà pris, il n'eut aucun problème me pénétrer profondément, je l'encourageai même en gémissant.
- Oui Aziz, encore… oui… fais-moi tout ce que tu veux. Mes trous sont à toi, remplis-moi à fond…
- Espèce de salope tu vas t'en souvenir ! Tiens, prends-la toute entière, je vais te casser le cul…
De fait, Il me ramonait en poussant des hans de bûcheron et je sentis ses couilles frapper ma chatte enfiévrée. Tout mon corps prenait plaisir à cette pénétration profonde et à cette exhibition devant mon mari et Hassan. Ce dernier se leva et vint me caresser les cheveux et me passer sa pine sur le visage. Puis il l'enfonça entre mes lèvres humides et je la léchais et la suçait autant que me permettaient les coups de boutoir dont j'étais la cible.
Peut-être plus encore (quoique…) que d'être prise en double, c'est cette position que je crois que j'aimais le plus. Le rectum implacablement rempli par un membre épais, saisie par les hanches, mes seins ballottant au rythme qui m'était imposé et pressée vers un partenaire qui pouvait m'enfoncer sans rémission son engin dans le gosier. J'adorais… Et la pensée d'avoir un beau phallus à chaque extrémité de mon appareil digestif me fit jouir une nouvelle fois. Heureux de me voir si disciplinée, ils me demandèrent de m'astiquer la chatte dans laquelle j'introduisis deux doigts. Je ne voyais plus mon mari qui devait se masturber devant la scène, je me consacrai uniquement à mes amants comme une catin, mais ils me donnaient trop de plaisir pour que j'en éprouve du regret.
Pascal vint éjaculer sur mon dos. Mes partenaires furent vaillants et me prirent longtemps, me faisant encore éprouver deux orgasmes, puis ils déchargèrent, Aziz au fond de mes entrailles et Hassan au fond de ma gorge.
Cette fois c'était fini. Je me sentais comme vermoulue de partout. Ooouuuuh ! la soirée avait été torride. Ils remercièrent Pascal de m'avoir rendue si disponible à leurs envies et lui firent part de leur désir de renouveler cette séance. Et en m'embrasant une dernière fois, ils m'assurèrent qu'ils n'attendaient déjà que de pouvoir me refaire passer une autre soirée de salope… On est pas plus galant… Comment allais-je assumer mon avenir ?
A suivre...
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