mercredi 25 mai 2022

Nathalie Ch. 04

 Récit érotique écrit par Emile Hubert.

 *****
Le patron du mari à Nathalie.

Hélas, je n'aurais pas pu faire une grande carrière de voyante, car mes prédictions ne se réalisèrent pas le moins du monde. Les retrouvailles avec mon mari furent… glaciales. Il me traita de tous les noms et que pouvais-je bien rétorquer ? C'est vrai que c'était lui qui m'avait poussé dans des ébats érotiques avec des tiers. Mais là, au cas particulier, il est vrai que je l'avais trompé comme la dernière des dernières. Il ne servit à rien que je lui rappelle que c'est lui qui était à l'origine de mes débordements. Il me dit que ce genre de galipettes était terminé et m'interdit de revoir Hassan sous peine de me voir jetée à la rue. Pour bien des raisons je ne souhaitais pas le divorce.

Alors commença une période sombre, très sombre. Pascal avait vu le poste de Directeur du personnel lui filer sous le nez au profit de son ennemi intime. Il se consacra de plus belle à son travail pour tenter de décrocher une autre promotion. Il devint mauvais avec moi, mesquin, chafouin, me cherchant querelle systématiquement, et ne perdant aucune occasion de m'humilier. Il ne me touchait pratiquement plus, sauf hygiéniquement… Et cela était loin de me satisfaire. 

Comme je regrettais le beau membre d'Hassan... Plusieurs fois je fus tentée de l'appeler, puis je renonçai, Pascal était capable de me faire suivre. De cette période érotique il ne me restait que des souvenirs qui alimentaient mes séances de masturbations solitaires et un désir de vengeance.

Néanmoins, je continuais à fréquenter les sites Internet chauds ou je pouvais vivre par procuration les aventures des femmes qui, elles, avec un compagnon complice ou sans ; pouvaient se livrer à toutes leurs envies. Ayant (un peu) vécu cela, j'aimais lire les confessions de celles qui s'offraient à plusieurs mâles, et je me complaisais à regarder les photos pornographiques de ce type d’ébats. J'avoue que cela me faisait plus de mal que de bien. Au bout d'un moment je commençais malgré tout à penser à la séparation. A mon âge je pouvais recommencer une autre vie.

Pascal eut alors l'idée la plus idiote de sa vie. Son PDG offrait toujours un pot en début d'année. Jusque-là j'avais toujours esquivé ce genre de soirée. Mais cette année mon mari m'ordonna d'être présente (je suppose pour le bien de sa carrière). Il imposa également que je sois un peut chic et…pas comme une roulure crut-il bon de préciser. Il choisit dans ma garde-robe une petite robe noire dos-nu que je complétais d'une culotte de dentelle, collant et escarpins vernis. Légèrement maquillée, je faisais plutôt assez BCBG si l'on excepte les oscillations de mon 95D.

Arrivé à sa fameuse soirée, il me présenta à pas mal de personnes puis me laissa en plan pour discuter boutique avec ses amis cadres. Bon ! C'était dit, j'allais faire potiche toute la soirée.

En fait non, car me voyant esseulée, son patron vint, en hôte parfait, me faire un brin de conversation. Puis il vint de plus en plus souvent et finit par m'inviter à danser. Je refusai. Pour lui échapper, je me rapprochai de Pascal qui évidemment ne remarqua rien. Ce n'est peut-être pas très modeste, mais j'étais une des plus belles femmes de la soirée et ce cher Gérard, comme me l'avait présenté mon époux, avait, je pense, jeté son dévolu sur moi.

Il revint à la charge pour m'inviter à danser et ne voulant paraître vraiment impolie, je finis par accepter. C'était un remarquable danseur, il m'invita plusieurs fois, se collant à moi à chaque fois un peu plus. Plus la soirée avançait plus ses mains effleuraient mon dos nu me faisant, j'avoue, frissonner. Plusieurs fois également ses mains frôlèrent mes fesses et il me serrait aussi de plus en plus jusqu'à ce que je sente son sexe contre mon bas-ventre. Une bouffée de chaleur m'envahit. Malgré tout, j'étais gênée et cela sembla le divertir.

Enfin cette pénible soirée se termina et nous sommes enfin rentrés. Mon mari s'endormit vite (ronflant à cause de l'alcool absorbé) et, en repensant à son patron, je me retrouvais troublée et l'entrecuisse tout humide. A coté de mon époux, dans notre lit devenu si peu conjugal, je me caressais.  Cette fois mon envie avait un visage : Gérard.

Mon époux dont le plan de carrière semblait en bonne voie eut une idée encore peut être plus idiote que l'autre. Il décida d'inviter son cher patron à la maison pour dîner. Je fus la digne épouse d'un futur cadre supérieur, jupe droite serrée, chemisier léger un peu ouvert. Mon mari s'en moquait et d'ailleurs il ne le remarqua même pas, mais je mis des bas. Je ne voulais pas me sentir enfermée. J'eus raison, car les regards de son patron furent de braise. Je pouvais même sentir ses yeux braqués sur mes fesses lorsque j'allais à la cuisine chercher les plats. À un moment Pascal partit chercher du vin. Avant que je puisse réagir, Gérard me prit la main et me dit :

- Nathalie, je ne pense qu'à vous depuis cette soirée, vous êtes une très femme séduisante, j'ai très envie de vous…

En partant, il me fit des compliments un peu à double sens qui ne furent pas remarqués par mon cher et tendre qui alla se coucher. Ce soir-là, j'ai vite ôté mon slip et me suis caressée dans le salon, oui, sur le divan, en pensant à ce que ce cher Gérard m'avait susurré.

Le lendemain mon mari me laissa un message sur mon portable. Il passerait rapidement à la maison prendre quelques affaires et serait absents trois jours. Gérard lui avait demandé de partir en déplacement, ce qu’il s'était empressé d'accepter. Je n'y pris pas garde... En ce mercredi, après mes corrections de copies et mes petites visites sur le web, je vaquais à mes occupations ménagères. Il devait être à peine 19h00 quand on sonna à la porte. J'ouvris et surprise ! C’était Gérard, oui Gérard le cher patron. Interdite, je lui proposai d’entrer. Pour mes occupations de l'après-midi, j'étais en tee-shirt et en jean. Pourtant il commença à me complimenter de nouveau. Gênée et ne sachant quelle attitude prendre, je lui proposai un verre qu'il accepta de suite.

Après le 2ème verre, ses questions devinrent plus indiscrètes et Gérard a changea de place pour se mettre à côté de moi.

- Tu as déjà trompé Pascal ?

- …

- Je suis sûr qu'il te délaisse et que tu en as envie de faire l'amour ?

- Nnnnn…

Ne me laissant pas finir ma phrase il voulut m'embrasser, je détournai la tête, mais il insista.

- Non, s'il vous plaît Gérard !

- Tu sais que tu me plais Nathalie, regarde-moi !

Son visage s'approcha du mien, ses lèvres des miennes. Il m'enlaça, sa main se posa sur ma cuisse.

- Allons, tu en meurs d'envie, je l'ai senti l'autre jour, je suis sûr que tu es très excitée, n'est-ce pas ?

Je ne répondis pas et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Ne répondant pas à son baiser, je sentis sa langue sur mes lèvres qu'il força pour que je les entrouvre. Je sentis sa langue dans ma bouche qui cherchait la mienne.
 
- Ça fait combien de temps qu'il ne t'a pas baisée ?

Ne répondant pas, il reposa ses lèvres sur les miennes, sa langue fouillant ma bouche. Cette fois je lui rendis son baiser. A son troisième assaut, je passai mes bras autour de son cou et sa langue joua longtemps avec ma langue. Je sentis sa main se poser sur mes seins et me les caresser. Je ne puis retenir un petit soupir.

- Laisse-toi faire, je vais bien te baiser tu vas voir. Je ne rêve que de ta chatte depuis hier !

Ces mots étaient crus comme je les aimais et cela me fit tourner la tête. J'aime cela… Ses mains passèrent sous mon tee-shirt pour me palper les seins à travers mon soutien gorge. Puis il les abandonna pour commencer à déboutonner mon jean. Glissant sa main, il parvint à la poser sur ma vulve, il en constata l'humidité à travers mon slip.

Se mettant à genoux devant moi, il voulut m'enlever mon pantalon. Je soulevai les fesses pour qu'il y arrive. Ma culotte suivit dans le même mouvement. Il m'ouvrit en grand les cuisses et commença à y poser sa bouche. Je m'abandonnai à ses caresses, je vis sa tête plonger entre mes cuisses. Je sentis sa langue sur mes lèvres intimes puis il me les écarta doucement pour jouer avec mon clitoris. Je laissai échapper un petit gémissement.

- Tu aimes ça, n'est ce pas ? Tu es trempée petite salope…

Ses mains soulevèrent mon tee-shirt qui me fut enlevé. Il dégrafa ensuite mon soutien gorge et il libérera mes seins gonflés de désir. Il joua avec leurs pointes déjà dressées et sa langue continua de me laper, de me lécher. Ses mains quittèrent mes seins pour redescendre sur ma chatte et ouvrir mes cuisses impudiquement. Il me releva les genoux sur ma poitrine. J'étais à lui, à sa merci, le sexe béant, ouvert devant ses yeux. Je sentis ma cyprine couler sur ma vulve. Il se releva et quitta chemise et pantalon. Je vis son caleçon déformé par son sexe. Il n'eut pas besoin de m'indiquer ce que je devais faire. Mes mains se posèrent sur son caleçon pour le libérer.

Quelle vision ! Hassan était pourtant très membré. Mais là quel engin…plus long, certes un peu, mais aussi d'un diamètre supérieur avec une paire de testicules imposantes. Le genre de sexe que l'on peut voir dans les films ou les photos pornos. Je le pris en main.

- C'est bien, je vois qu'elle te plaît… Suce-moi, allez, je suis sûr que tu aimes cela !

Je le décalottai et mes lèvres s'approchèrent de cette queue. D'un mouvement de bassin il me l’enfonça dans la bouche.

- Oui, continue comme ça, caresse-moi bien les couilles, tu aimes sucer des grosses queues n'est ce pas ? Dis-le-moi !

- Oui.

- Oui quoi !

- J'aime sucer des grosses queues !

Je m'appliquai, salivant sur le gourdin dressé, le léchant, l'embrassant, ouvrant ma bouche en grand pour mieux l'avaler. Au bout de quelques instants il me fit mettre à genou sur le canapé, les seins sur le dossier et me prit ainsi sans ménagement. Sa queue était un véritable bélier qui se fraya un passage, distendant mes chairs intimes. Son sexe était gros et me remplissait complètement. Je me sentis complètement investie, plus encore qu'avec Hassan, c'était merveilleux ! Enfin une grosse bite ! Finalement il commença à m'apparaître que mon mari avait des dimensions plus que moyenne. J'étais certaine que Gérard allait merveilleusement combler le vide qui me tenaillait. Il se mit en mouvement… Divin ! Je m'entendis gémir sous ses coups de rein, ses mains caressant mes seins.

- J'aime tes gros seins, ils sont très doux, ils me font terriblement bander, surtout quand, comme l'autre jour, tu ne mets pas de soutien-gorge. J'ai dû me retenir pour ne pas les toucher… Tu te balades souvent sans soutif ?

- Non, rarement !

- Tu le feras plus souvent… Pour me faire plaisir !

- Oui, oui… Oui si tu veux !

- Ils ont l'air très sensibles, tu te les caresses souvent ?

- Oui… Oui !

- C'est bien… Et puis j'espère que tu me branleras entre tes gros nibards ?

- Oui bien sûr… Quand tu veux !

Sous ses va-et-vient, je gémissais de plus belle. Il me dit :

- En fait tu n'attendais que cela petite cochonne… Tu penses à ton mari en ce moment ?

Sentant que j'allais jouir, je ne pus répondre que :

- Non, non je me fous de mon mari, prends-moi… Oouiiiii… Comme çaaaaaaa… Encore…

Un orgasme retenu depuis longtemps me submergea et à l'unisson je le sentis d'abord trembler puis se vider en moi en longues saccades. Sans attendre, il m’amena dans notre chambre.

- Je veux te baiser sur ton lit !

Il me fit asseoir sur le lit et me remit de suite sa bite dans la bouche. Je la pris avec gourmandise léchant bien le gland cramoisi.

- Tu es vraiment belle ainsi avec ma bite dans ta bouche. J'aime te voir sucer…

Moi aussi j'aimais sucer, tout allait pour le mieux. Il m'enfonça loin sa queue dans la gorge m'étouffant presque mais cela eut l'air de lui plaire. Il s'allongea ensuite sur le dos et me demanda de venir le chevaucher. Je m'accroupis, d'une main j'écartai mes grandes lèvres laissant échapper la semence dont il m'avait gratifié, et de l'autre je pris son membre pour mieux le guider en moi. Ainsi disposée, je m'abaissai lentement sur la tige dressée. 

- Enfile-toi à fond ! Me conseilla-t-il.

Inutile de préciser que c'est ce que je fis avant de m'agenouiller de part et d'autre de lui. Avec lenteur pour ne rien perdre des sensations qu'il me procurait, je me mis à monter et descendre sur son mandrin. Au début il me tenait par la taille, puis il me prit bientôt les seins à pleines mains pour les malaxer avec une certaine rudesse. Il les serra l'un contre l'autre et les attira vers sa bouche pour en sucer longuement les tétons qui raidirent de plus belle. Il interrompit ma chevauchée en me demandant de lui faire une cravate de notaire. Je m'agenouillai bien volontiers pour lui prodiguer le massage mammaire qu'il demandait. Il avait l'air aux anges… Il me demanda ensuite de revenir le chevaucher mais dans l'autre sens, dos tourné vers lui. Il s'était un peu décalé sur le lit. De cette façon, je pouvais me voir dans la glace de mon armoire aller et venir sur lui. Il se redressa et me reprit par les hanches. Il me réclama de me caresser les nichons pendant qu'il me prenait. J'obéis… Non content, il m'enjoignit ensuite de lécher mes mamelles de salope. J'obéis derechef… Il voulut encore changer de position et m'annonça qu'il allait me baiser en levrette. Toujours face au miroir, je me mis à quatre pattes. Il m'enfila d'un seul coup de bite et se déchaîna, son pénis frappant au fond de mon utérus. Ce fut tellement fabuleux qu'il me fit crier lorsque j'accédai au plaisir. A peine passés les derniers frissons de mon orgasme, il se retira de moi, me fit asseoir et se planta debout devant moi en précisant :

- Allez, maintenant tu vas avoir ta dose !

A nouveau il me la remit dans la bouche toute poisseuse de son foutre de tout à l'heure et de ma mouille abondante. Il ne mit pas longtemps à éjaculer. Je m'évertuai malgré le flot de tout ingurgiter sous son œil satisfait.

- C'est parfait, tu suces pas mal du tout… Tu ne fais pas de manière pour avaler Nathalie, c'est bien… Tu vas avoir l'occasion de me sucer très souvent !

- Autant que tu le voudras…

Il était tard quand il partit en me disant que demain tu ne serais pas revenu et qu'il reviendrait me baiser.

- Sois prête à dix-huit heures et inutile de t'habiller…

Epuisée par ces jouissances je m'endormis comme une masse. Le réveil fut plus problématique. Si quelqu'un savait que j'étais devenue sa maîtresse, Pascal allait me jeter dehors… Tant pis ! Puisqu'il m'avait fixé un autre rendez-vous , j'allais courir le risque. Il me faisait trop bien jouir.

Cette journée entre deux parties de jambes en l'aire fut un délice. Même les élèves qui avaient des problèmes, non seulement avec les maths, mais aussi et surtout avec la discipline me parurent à peu près sympathiques. A tel point que l'un d'eux risqua un « vous avez l'air en pleine forme M'dame » peu coutumier. Si ce garçon (enfin si l'on peut dire, les redoublements successifs en avaient fait des adultes scolarisés) avait su que sa prof allait se faire admirablement sauter ce soir…

Je rentrai vite et me préparai. Les paroles de Gérard me raisonnaient encore dans la tête. Inutile de t'habiller avait-il dit. Oui, oui je serais nue et m'offrirais… oui comme une salope. Les hommes ont beau dire ils adorent… Je me douchai, me parfumai et me coiffai. Je n'allais pas être intégralement nue. Hassan et Aziz avaient apprécié, Gérard approuverait assurément, je mis donc une paire de dim-up et mes talons aiguille. Je me maquillai ensuite, assez mais pas trop, je ne savais pas s'il aimait ou pas. Une paire de boucle d'oreille, j'étais prête. Prête à emboucher sa grosse pine, prête à me faire baiser de la manière qui lui plairait… j'en mouillais fébrilement l'avance…

Malgré tout lorsque la sonnette retentit à dix-huit heures pile, je sursautai et mon cœur fit un bon dans ma poitrine.

Il apprécia ma tenue et me glissa à l'oreille que je n'allais pas le regretter. Tant mieux ! Pour savoir je le questionnai sur le maquillage. Un peu comme je m'en doutais, il répondit sans ambages :

- J'aime les petites épouses lorsqu'elles font pute… Alors, plus tu feras pute, plus tu m'exciteras… Et plus tu m'exciteras, plus je te baiserais…

C'était simple, et cela me convenait parfaitement. Tout en m'embrassant dans le cou, il me prit par la taille, puis sa main glissa sur mes fesses qu'il cajola un moment. Je sentis ensuite ses doigts fureter dans mon sillon fessier. Presque involontairement je me cambrai. Il me murmura :

- Tu dois aussi aimer n'est ce pas ? T'inquiètes, tu vas y avoir droit, j'ai pensé à ton petit cul toute la journée !

- Oooooh ! Tu n'as pas peur d'être trop gros ?

- Penses-tu, tu y auras droit comme les autres avant toi…

- Tu feras doucement... tentai-je de négocier.

- Bien entendu, je ne veux pas t'en dégoûter, je compte bien me farcir par ce côté la petite madame S. à chacune de nos rencontres… En attendant, suce-moi belle salope !

Abandonnant toute dignité, je m'agenouillai dans mon propre salon et commençai à lui prodiguer une superbe fellation. Il apprécia mes efforts et me complimenta. Je lui avouai aimer intensément le sucer. Il me répondit que c'était bon signe…

Pourtant il m'arrêta et maintenant qu'il connaissait le chemin, il m'invita vers ma chambre. Là, il attaqua par m'ouvrir les jambes en grand et me caresser la vulve de son gland. Je mouillai comme une fontaine… Voyant cela il n'hésita pas une seconde et m'embrocha à fond, m'écrasant sous lui. J'étais bien… Intégralement remplie de cette sorte. Plaçant mes jambes sur ses épaules, il se mit à me pistonner intensément. A chaque fois qu'il me sentait sur le point de jouir, il ralentissait son rythme, ou même le stoppait carrément. Il joua adroitement un moment au chat et à la souris avec moi avant de m'offrir un orgasme intense qu'il conclut en m'inondant de ses jets consistants. 

Nous roulâmes ensuite sur le lit, échangeant caresses et baisers passionnés. Jamais je crois, quelqu'un ne s'était aussi bien occupé de moi. Nous nous mîmes ensuite en position pour un merveilleux soixante-neuf où il joua de ses doigts et de sa langue pour me ravir la chatte et le clitoris. Dans cette position, il se risqua également à me titiller la rondelle. De mon côté, je m'acharnai à le pomper du mieux que je pouvais. Lorsqu'il me prévint que puisque j'aimais sucer, j'allais me régaler, je pressai ses couilles comme si j'allais en extraire quantité de foutre encore plus conséquente que j'ingurgitai avec une grande délectation.
 
Changeant de registre, je servis ensuite un petite collation destinée a à nous permettre de reprendre notre souffle et redonner des forces. 

A l'issue de celle-ci, et puisque j'avais l'air décidée à lui plaire ; il me demanda d'aller me refaire une beauté. Je filai à la salle de bain et revint pimpante… Et aguichante.

Revenant, il me fit asseoir devant lui sur la table de salon, jambes très écartées. Il me dit qu'il allait m'entendre en confession, et que pendant cet entretien, je devais me peloter les seins. En fait, la confession ne fut prétexte qu'à des questions salaces sur ma vie intime. Si mon mari me baisait souvent, si je le suçais à fond, s'il me sodomisait, était-il bon amant, s’il avait une grosse queue.
Je lui répondis la vérité. Cela sembla l'amuser, surtout quand je lui parlai des dimensions modestes de mon époux et il conclut que je devais m'ennuyer et que c'était dommage pour un joli petit lot comme moi.

Il continua l'interrogatoire et je songeai que je devais avoir l'air un peu ridicule ainsi, assise devant lui sur la table de salon, cuisses écartées, en train de me dorloter les seins qu'il me demandait de lécher parfois.

Je fus obligée de préciser si je m'étais exhibée, si j'avais déjà fait l'amour avec une femme, si j'avais déjà été dans des cinémas pornos, des sex-shops, si j'avais déjà fait l'amour avec plusieurs partenaires ou dans des partouzes ou des clubs échangistes.

La seule chose que j'avouai fut les deux premières soirées avec Hassan et encore sans mentionner la présence d'Aziz et en passant sous silence le plaisir fou que j'avais éprouvé. Ce récit sembla le divertir beaucoup et il me dit ironiquement :

- Je ne voyais pas Pascal S. sous cet angle… Ni sa charmante épouse d'ailleurs… Charmante, mais qui à beaucoup à apprendre… Nathalie je vais faire ton éducation… Si tu es d'accord !

- Oui… Oui Gérard… Si tu veux, oui je suis d'accord ! Répondis-je agitée.

Et d'autant plus agitée que son sexe était à nouveau dressé et qu'il le caressait lentement en me questionnant. Surprenant mon regard il me dit :

- Tu vois, tu me fais bander, tu sais où je vais te la mettre au moins ?

- Oui, oui… Je pense…

- Et où cela ?

- Tu vas me la mettre par-derrière.

- Allons, allons, ne fais pas ta chochotte… Soit plus claire !

- Tu vas me le mettre dans le cul.

- Et tu en as envie ?

- Oui, j'ai envie que tu me la mettes dans le cul… Bien profond…

- Bien ! je crois que nous pouvons y aller… Je ne voudrais pas te faire languir…

Nous repartîmes vers la chambre où il me fit mettre en levrette face à nouveau à la glace. Il prit place derrière moi et reprit le travail qu'il avait débuté tout à l'heure. Il me lécha consciencieusement la raie puis sa langue déplissa mon œillet. Puis d'un doigt il commença à m'assouplir l'anneau puis à le me dilater de deux doigts qu'il enfonça le plus profondément possible. Je haletai de désir percevant l'imminence de l'introduction. Une dernière fois il interrogea :

- Tu la veux ?

- Ouiii… Tringle-moi !

Il m'écarta la corolle entre le pouce et l'index et de l'autre main posa son membre contre l'ouverture de mes reins, l'énorme gland allait me trouer… Dans un combat perdu d'avance, mon sphincter tenta de résister, je relâchai autant que je le pus, une lente mais inflexible pression le fit lâcher.

L'intromission fut plus malaisée qu'avec Hassan, Gérard était plus gros, mais je me fichais de cette légère douleur, la félicité viendrait à son heure. Sans faiblir, il m'en avait enfilé une bonne moitié. Il fit une pause avant de recommencer à me pourfendre. Il alla loin, ouuuuhhhh très loin… Jusqu'à ce que ses couilles touchent mes grandes lèvres.  Me caressant le dos, il me dit :

- Habitue-toi à ma bite !

- Oui, oui je vais m'y habituer… Elle va me faire du bien… Tu pourras me la mettre autant que tu voudras ! balbutiai-je dans un souffle rauque.

Avec délicatesse, il fit un mouvement de retrait, puis revint à son point de départ. Il me le refit plusieurs fois, se retirant de plus en plus loin. La dernière fois, il me restait plus que le gland dans le fondement et lorsqu'il me ré-assaillit je gémis longuement, cette fois non plus de douleur mais de satisfaction d'être enculée de cette force. Dès lors les grandes manœuvres pouvaient commencer. Il varia ses rythmes, soufflant le chaud et le froid entre mes fesses, me faisant geindre ou ahaner de plaisir. Ses mains me parcouraient, parfois il appuyait sur mes épaules pour mieux m'empaler à fond, ou il me saisissait par la taille, ses doigts s'enfonçaient dans la chair de mes hanches ou se glissaient dans ma chatte ruisselante, sans oublier, mes gros lolos auxquels il se cramponnait de temps à autre. 

Sur la fin il me pistonna littéralement, sortant complètement pour mieux me pénétrer, j'avais l'impression qu'il me violait textuellement les reins… J'adorais… Et je l'encourageais.

Du fin fond de moi-même je sentis la jouissance poindre, puis déferler et me submerger… Sans la moindre retenue je râlai, proférai des exhortations et des obscénités sans suite et ce fut pire encore quand je le sentis se raidir et trembler de partout. Il rugit quand des flots de foutre me garnirent le rectum.

Cette première sodomie nous laissa pantelants. Je le remerciai de m'avoir tant fait jouir. Il me répondit :

- Moi aussi, il y a bien longtemps que je n'avais pas pris tant de plaisir. Tu es finalement une bonne petite salope Nathalie, tu as ça dans le sang… Crois-moi, nous n'allons pas en rester là, je vais prendre un plaisir jubilatoire à te dévergonder, si tu le veux bien…

Oh que oui j'étais partante… Et il tint parole… Comme dans les vaudevilles, à chaque départ de mon mari (qu'il organisait soigneusement) Gérard venait à la maison et me baisait dans toutes les pièces et dans toutes les positions. Comme il l'avait également promis à chaque j'avais droit à un petit coup dans le cul. Il me promit également que j'allais en voir de belles… Et choses promises choses dues…

A suivre...

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