dimanche 29 mai 2022

Abigail à La Tête de Sanglier

Traduction d’un texte de The_Mercyslayer

Attention scènes violentes !!!

 ****

Abigail n’arrive pas à croire à ce qu’elle vient de trouver dans les tiroirs de son mari Dave. Elle ne cherchait rien, elle voulait juste faire du tri et du ménage dans les centaines de paires de chaussettes que son mari garde dans ce tiroir. Quand elle tombe sur les papiers, elle se dit qu’il s’agit sûrement de reçus ou de serviettes en papier. Toutefois en lisant les premiers mots écrits, il est évident pour elle que Dave ou quelqu’un d’autre a ou avait une liaison avec une certaine « Vicky ». Sur chacune des trois serviettes en papier, une main de femme avait écrit « Je t’aime, Vicky ». Abigail déchiffre le logo inscrit sur les serviettes. Elles viennent de « La Tête de Sanglier », un genre de pub  à la périphérie de la ville où elle et son mari ne sont jamais allés.

- Eh bien, Dave a quand même dû y aller plusieurs fois ! Pense-t-elle à voix haute.

Abigail et Dave sont mariés depuis dix-huit ans et ils ont eu deux beaux enfants. A trente-huit ans, et après deux grossesses, Abigail est toujours une femme très séduisante. Sa taille d’1m72 et son poids de 65 kilos la font paraître beaucoup plus jeune. Elle a fait beaucoup d’exercice après la naissance du deuxième enfant pour revenir en forme. Elle est fière aussi de sa belle et grosse poitrine qui après deux allaitements ne s’affaisse pas. La seule imperfection si on peut appeler cela ainsi est que ses mamelons se sont étirés et mesurent bien deux centimètres. Mais Dave trouve cela sexy, alors Abigail ne s’en soucie pas. Bien qu’elle s’habille de manière assez prude, Dave et elle ont toujours eu une vie sexuelle active et son mari semble heureux.

C’est pourquoi que les serviettes trouvées dans le tiroir étonnent Abigail. Elle a la preuve que son mari est probablement infidèle.

Sur la première serviette, en plus du « Je t’aime, Vicky » est inscrite la phrase « Je veux ta grosse bite bien raide en moi ».

Les yeux d’Abigail se remplissent de larmes en lisant ces mots. Elle remet soigneusement les papiers dans le tiroir avant de le fermer, puis elle s’effondre sur le sol en pleurant. « Je ne l’abandonnerai pas sans me battre » se dit-elle bien qu’elle ne sache que faire.

Quand son mari rentre à la maison le soir, elle essaie d’agir comme d’habitude, comme si tout va bien. Elle prépare le souper, aide les enfants dans leurs devoirs et écoute Dave parler de sa journée.

- Et je terminerai tard vendredi ! Finit Dave.

Abigail a des doutes et lui répond alors en essayant de cacher sa tristesse :

- Pourquoi chéri ?

Son mari lui explique qu’il s’agit d’un nouveau client et que son associé et lui allaient l’emmener dîner et discuter affaires.

- Donc je reviendrais sûrement très tard, ne m’attends pas pour te coucher. Dit Dave.

Abigail regarde son mari monter les escaliers pour aller dans la chambre. Elle pense alors : « Vendredi ! Ce sera une chance de pouvoir le surprendre avec cette Vicky ». Nous sommes le mercredi soir, donc elle a le temps d’appeler sa mère pour garder les enfants vendredi soir et d’aller à l’établissement où elle est sûre de trouver son mari avec sa maîtresse. Abigail n’est pas sûre de savoir ce qu’elle allait faire quand elle les aurait surpris, mais elle est déterminée à l’attraper avec cette autre femme.

Cette nuit-là, au lit, Dave se tourne vers elle et commence à caresser sa poitrine. Abigail sait qu’il s’agit de sa façon de commencer des préliminaires. Mais elle n’a aucune envie d’avoir de relations sexuelles avec cet homme infidèle.

- Je suis fatiguée ! Dit-elle en lui tournant le dos et en s’écartant de lui.

Abigail réussit à cacher son ressentiment pour le reste de la semaine. Quand le vendredi soir arrive, elle est prête. Elle a essayé plusieurs tenues, en passant du jean à la tenue de soirée. Elle veut être bien habillée, mais pas trop. Elle ne veut pas que cette « Vicky » puisse critiquer son apparence. Finalement elle opte pour une jupe noire qui tombe à cinq centimètres au-dessus de son genou et un pull blanc qui fait paraître sa poitrine encore plus grosse. Comme elle veut éviter les marques d’une culotte sous sa jupe, elle enfile un string. Elle est un peu gênée quand elle le tire sur ses hanches n’ayant pas l’habitude d’en porter en public. « La seule fois où j’ai mis un string c’était pour Dave » pense-t-elle. Ensuite elle réunit ses longs cheveux auburn et fait une queue de cheval.

Abigail choisit aussi un soutien-gorge blanc qui ne se verra pas à travers le pull. Ses seins sont si volumineux et fermes qu’aucun rembourrage n’est nécessaire. Une paire de collants noirs et des escarpins avec des talons moyens complète sa tenue. « C’est juste un peu plus sexy qu’une tenue de travail » se dit-elle en se regardant dans le miroir juste avant que sa mère ne sonne à la porte.

- Bon, je suis assez bien pour que cette « Vicky » soit jalouse sans montrer que je suis désespérée. Dit-elle à voix haute avant d’aller ouvrir à sa mère.

Celle-ci est contente de prendre les enfants et elle dit à sa fille qu’elle les gardera pour la nuit.

- Tu les récupéreras demain !

« C’est parfait » Pense Abigail. Elle ne sait pas trop comment va se passer la soirée après avoir découvert Dave et sa maîtresse. Donc c’est mieux si ses enfants ne sont pas à la maison si les choses tournent mal.

Abigail regarde partir sa mère avec les enfants puis elle attrape son sac à main et rejoint sa voiture. Elle démarre pour rejoindre « La Tête de Sanglier ». Elle a une boule au ventre et elle s’efforce de retenir sa colère alors qu’elle quitte les limites de la ville et se dirige vers l’établissement.

Comme elle le pense, le pub se trouve à deux ou trois kilomètres de la ville. Il est environ dix-neuf heures et Abigail remarque que le parking est presque plein. Il y a plusieurs motos, des camionnettes, mais elle ne voit pas la voiture de son mari. Elle se dit alors qu’elle est en avance. Elle décide d’entrer et attendre.

Abigail ouvre la porte et tout de suite l’odeur de cigarette l’assaille. « La Tête de Sanglier » est faiblement éclairée, mais elle peut voir des hommes assis autour de table en train de boire et discuter et d’autres jouer au billard. Plusieurs clients semblent être membres d’un club de motard. Elle voit sur le dos de leur veste l’insigne brodé « Serviteurs du Diable ». Abigail n’arrive pas à croire que Dave vienne dans un endroit comme celui-ci, sans parler d’y emmener une femme. Elle voit quelques têtes se tourner vers elle avant de retrouver leur occupation. Elle se dirige vers le bar et s’installe sur un tabouret en tirant sur sa jupe pour l’empêcher de remonter trop haut.

- Qu’est-ce que ça sera ? Demande le barman en essuyant le comptoir devant elle.

- Un Jack Daniels. Marmonne-t-elle juste assez fort pour que l’homme l’entende.

Elle ne sait pas pourquoi elle a commandé ça, elle qui boit des choses à peine plus fortes que de la bière. La fumée dans le pub lui donne mal à la tête. Elle entend la musique qui sort de l’enceinte dans le coin ainsi que les cris et les rires des autres clients. Le barman lui apporte son verre de Whisky et le pose devant elle.

- Que faites-vous ici ? Ce n’est pas votre place. Dit l’homme.

Abigail ne répond pas et prend lentement une gorgée de whisky.

- Tant pis ! Grogne le barman avant de se diriger vers l’autre bout du bar où se trouvent deux motards en train de boire une bière.

Abigail peut les voir discuter, mais elle ne s’inquiète pas. Elle sirote sa boisson et regarde la porte à chaque fois qu’elle s’ouvre. Son mari n’est pas encore arrivé.

Après environ vingt minutes, un homme s’assoit sur le tabouret à côté d’elle.

- Puis-je vous offrir un verre, jolie dame ? Demande-t-il.

Abigail regarde l’homme. Il est grand et costaud, plus d’1m80 et environ 120 kilos. Il porte un gilet sans manches et ses bars sont couverts de tatouages. Son haleine sent le whisky et la cigarette. Il a une barbe de dix jours et Abigail remarque que ses mains sont sales.

- Non merci, j’attends quelqu’un ! Répond-elle poliment avec un petit tremblement dans la voix.

L’homme qui s’est assis à côté d’Abigail n’est pas n’importe qui. Il s’agit du chef des « Serviteurs du Diable », son surnom est Lucifer. Il a remarqué Abigail depuis qu’elle est entrée dans le pub. Ses yeux l’ont complètement déshabillée et imaginé à quoi peuvent ressembler ces énormes seins sous le pull. Après s’être assurée qu’elle est seule, il décide de le découvrir.

- Eh bien… Peut-être que je suis celui que tu attends ! Dit l’homme en plaçant sa main sur la cuisse d’Abigail.

Celle-ci ne se rend pas compte de la situation où elle s’est mise. Si elle l’avait fait, elle n’aurait pas été si prompte à pousser la main de Lucifer et d’essayer de s’enfuir.

- Excusez-moi ! Dit-elle en se levant du tabouret.

Elle sent qu’elle n’est plus en sécurité et qu’elle doit partir. Elle affrontera Dave son mari à la maison.

- Non, pas si vite jolie dame ! Dit Lucifer.

Il fait un signe de la main et deux autres motards bloquent le chemin.

- S’il vous plaît, laissez-moi partir ! Supplie Abigail.

Au même moment, elle sent une main saisir sa queue de cheval pour la ramener vers le bar. Elle commence à crier, mais elle est stoppée par la main sale de Lucifer sur sa bouche.

- Verrouillez la porte, les gars. Nous allons nous amuser. Dit Le chef des motards.

Abigail essaie de lutter alors que l’homme la tient avec sa main serrée sur sa bouche. Son autre main glisse sur sa jambe jusqu’à son entrejambe. Abigail tremble alors qu’il essaie d’enfoncer un doigt à travers son collant. Elle se met à sangloter. Alors Lucifer demande de la bande adhésive au barman et lui colle rapidement sur la bouche.

- Foutez-la à poil ! Crie l’homme à plusieurs de ses hommes qui se tiennent tout autour.

Il tient fermement les bras de la mère de famille derrière son dos pendant que ses gars essaient de lui enlever ses vêtements. Abigail essaie de donner des coups de pieds, mais les hommes rigolent. L’un d’eux attrape sa jupe et l’arrache en un mouvement rapide. Les yeux d’Abigail sont grands ouverts sous la frayeur. Elle se fige quand elle voit un autre homme s’approcher d’elle avec un grand couteau. Elle a vraiment peur qu’ils la tuent. Elle n’ose plus bouger. Le motard place la lame du couteau sur son pull et le fend en deux pour l’ouvrir. Abigail sent l’air froid sur ses seins.

Lucifer la fait tourner et avant qu’elle ne puisse réagir Abigail se retrouve presque nue dans le bar avec vingt hommes autour d’elle. Son soutien-gorge et son pull sont déchirés sur le sol. Elle essaie de couvrir sa poitrine, mais Lucifer n’arrête pas de lui retirer les mains. Elle essaie de traverser en courant le groupe d’hommes, mais ils se contentent de rire en la repoussant au centre.

- Maintenant, veux-tu enlever tes collants ? Demande Lucifer.

Abigail secoue la tête alors que des larmes coulent sur son visage.

- Nous allons avoir besoin que sa bouche soit ouverte ! Laissons-la crier ! Dit un autre homme.

- Dernière chance ! Dit Lucifer.

Abigail secoue violemment la tête en espérant que ces hommes vont s’arrêter. Mais sans avertissement supplémentaire, des mains sont partout sur elle. Ses seins sont tripotés, ses tétons pincés durement. Elle sent des doigts qui agrippent ses collants et les déchirent en lambeaux en quelques secondes. Le string est rapidement abaissé et jeté au loin.

- Regardez cette touffe ! Rit Lucifer alors qu’Abigail essaie de couvrir son entrejambe.

Elle ne s’est jamais rasée la chatte et les poils entre ses jambes sont épais et noirs sur ses cuisses blanches. Elle sent des mains la saisir partout, tripoter sa poitrine. Des doigts sondent son entrejambe et serrent ses fesses. Elle gifle ces mains et essaie de se frayer un chemin sans succès.

Soudain, le bâillon est arraché de sa bouche. Abigail est nue, avec déjà des marques rouges sur ses seins et ses cuisses devant vingt membres du club de motards. Elle regarde le barman d’un air suppliant, mais celui-ci se contente de sourire en retour et secouer la tête.

- S’il vous plaît, s’il vous plaît ! Supplie Abigail alors que les hommes la pousse vers le bar.

- Penche-toi salope ! Crache Lucifer en la pliant en deux et en pressant sa poitrine contre le comptoir.

Abigail sent qu’on lui écarte les jambes et que des doigts tirent sur les lèvres de son vagin. Elle sursaute et recommence à se débattre alors que d’autres mains la palpent sans ménagement. Soudainement elle tombe par terre, aux pieds des hommes qui la maltraitent. Elle se couvre le visage en entendant leur rire. Lucifer tend la main et saisit à nouveau sa queue de cheval. Il remonte son visage vers le haut. Abigail sursaute en voyant sa bite pointée vers sa bouche. Elle n’a jamais vu d’aussi grosse queue. Elle se dit qu’elle doit bien mesurer trente centimètres et au moins sept centimètres d’épaisseur.

- Maintenant ouvre ta bouche ! Ordonne Lucifer.

Abigail essaie de se dégager et gifle la bite déjà raide de l’homme.

- Faites lui ouvrir la bouche ! Demande Lucifer aux autres.

Soudain, Abigail sent des mains sur ses seins, ses mamelons sont pincés par deux hommes différents et sont tirés vers l’extérieur. Les deux hommes triturent sa poitrine, tordent ses tétons. La douleur la fait crier. Au moment où sa bouche s’ouvre, elle sent le gland de la bite de Lucifer pénétrer à l’intérieur. Elle essaie de le repousser avec sa langue et de le cracher, puis finalement elle mord fort. Lucifer crie de douleur et la gifle si fort au visage qu’elle s’écroule sur le sol.

- Cette salope est une guerrière ! Il faut me l’adoucir ! Dit le chef des motards.

Abigail secoue la tête pour se remettre de la gifle. Elle sent que ses bras et ses jambes sont attrapés par quatre hommes et elle est tirée sur le sol. Elle peut sentir le goût du sang dans sa bouche et elle essaie de lutter, mais c’est inutile. Alors qu’elle est maintenue, des mains malaxent et giflent ses seins pendant que d’autres sondent sa chatte et son cul. Elle sent bientôt deux puis trois doigts enfoncés dans sa chatte. D’autres tirent ses poils pubiens tandis qu’un autre doigt est enfoncé dans son cul. Abigail remue les hanches de bas en haut pour essayer d’échapper aux intrusions dans son cul et son sexe. Mais un homme costaud s’assoit sur son ventre pour tenir efficacement ses hanches au sol pendant que les abus se poursuivent. Maintenant Abigail sent trois peut-être quatre doigts entrer et sortir de sa chatte.

- Elle est sèche comme un pruneau ! Dit quelqu’un.

Abigail crie encore et encore. Deux doigts sont maintenant dans son cul et un troisième essaie de forcer le passage. Un des hommes place des pinces attachée à une chaîne sur chacun de ses mamelons. Puis la chaîne est tirée vers le haut au point qu’Abigail pense que ses tétons vont être arrachés. Sa chatte et son cul sont remplis de doigts qui poussent à l’intérieur sec de son intimité. Et sa poitrine est tirée à l’extrême. Ses mamelons sont maintenant engourdis, mais ses seins lui font mal. Pour ajouter à son humiliation, il y a quelqu’un ou quelque chose qui tire ses poils pubiens à grosses touffes. Chaque arrachage de poils lui envoie une autre vague de douleur dans son bas-ventre. Étendue sur le sol avec l’homme assis sur elle, Abigail finit pas s’épuiser de se battre et elle reste immobile en gémissant sous la douleur.

Lucifer s’est assis au bar et regarde ses hommes s’amuser avec la femme. Il caresse sa bite dure et il se dit qu’il est bien temps de l’enfoncer dans cette salope. Il dit alors :

- Je crois qu’elle est prête. Levez-la et amenez-la au bar !

Abigail est libérée et on l’aide à se relever. Elle peut entendre les rires tout autour d’elle alors qu’elle essaie de marcher. Elle sent que sa poitrine est tirée vers le bas et elle voit les pinces toujours sur ses mamelons. Elle ne ressent plus aucune douleur, car ses tétons sont engourdis. Elle peut aussi voir que l’épais buisson sur sa chatte n’est plus que quelques touffes de poils par-ci par-là. Elle remarque aussi des marques rouges, des empreintes de morsure et de pincement sur tout le devant de son corps. Bientôt elle est devant Lucifer qui tend la main et enlève les pinces. Alors que le sang regagne ses mamelons, Abigail tremble de douleur, mais se reteint de crier. Elle essaie de reculer quand le chef de la bande tend la main et saisit doucement chacun de ses tétons, maintenant durs et dressés à cause de la torture, et l’attire vers lui.

- Maintenant essayons à nouveau ! Dit Lucifer en poussant Abigail à genoux devant lui.

La femme se retrouve une fois de plus avec la grosse bite bien raide de Lucifer devant elle. Il essaie de la mettre dans sa bouche, mais Abigail garde ses lèvres étroitement serrées tout en essayant de le repousser. Lorsque ses tétons sont serrés par les doigts, la douleur traverse sa poitrine et elle arrête de bouger tout en continuant de refuser d’ouvrir la bouche. Lucifer pince plus fort les tétons dressés et il les tord tous les deux. Abigail gémit, mais refuse d’ouvrir la bouche. Elle ne veut pas sucer la bite d’un homme aussi violent, même si elle doit en mourir. Lucifer dit alors :

- Bon ! Voyons si cela va te persuader !

- Prends le marteau et les clous ! Crie Lucifer au barman en remettant Abigail sur ses pieds.

Celle-ci ne comprend pas trop ce qui va se passer et sa peur commence à se changer en panique. Lucifer la pousse sur le bar, la poitrine aplatie sur le comptoir. Deux hommes saisissent ses bras et les tiennent fermement derrière son dos au point que ses épaules la brûlent. Ses jambes sont écartées et sont attachées avec des ceintures au rail du bar. Si bien que sa chatte et son cul sont exposés. Le barman saisit et tire le mamelon dur et dressé de son sein gauche vers l’extérieur et il place un clou au centre.

- NON ! Crie Abigail de douleur alors que le marteau tape le clou qui traverse son téton et le cloue sur le comptoir.

Un petit peu de sang coule de la blessure. Abigail commence à se débattre, mais tous ses mouvements provoquent une douleur fulgurante dans son mamelon. Elle regarde avec horreur le barman faire la même chose avec le téton de son sein droit.

Abigail manque s’évanouir de douleur. Maintenant elle est immobile, ses tétons cloués sur le bar. Les hommes relâchent alors ses bras. Elle étend ses brass et ses mains se posent sur le comptoir pour essayer de libérer la pression dans ses mamelons. Elle sent alors deux mains écarter les lèvres de sa chatte, puis trois doigts s’introduisent profondément en elle. Elle lâche le comptoir et instantanément elle sent la douleur déchirante dans ses seins. Rapidement elle saisit le bar à nouveau.

- Je pense qu’elle va coopérer maintenant. Se réjouit Lucifer.

Abigail peut sentir la grosse bite de l’homme à l’entrée de sa chatte. Elle sent la pression, baisse la tête et se met à sangloter alors que ses petites lèvres s’entrouvrent pour permettre à l’énorme queue du motard de la pénétrer.

- Cette chatte est sèche comme un désert ! Dit Lucifer aux autres hommes qui se tiennent en retrait.

Ils ont tous leur bite à la main et se caressent tout en regardant leur chef enfoncer sa bite de trente centimètres dans la chatte de la femme impuissante en une seule poussée.

- MON DIEU ! Arrêtez s’il vous plaît ! Je ferais ce que vous voudrez, mais laissez-moi partir ! S’il vous plaît ! Sanglote Abigail.

Lucifer lui dit qu’il est trop tard et il commence à la baiser sans pitié. Chaque coup de rein force Abigail à glisser sur le comptoir. Elle a l’impression que ses tétons vont être arrachés de sa poitrine. Alors elle tient fermement le bar pour essayer de ne pas bouger pendant que sa chatte est pilonnée. Elle pose la tête sur le comptoir froid en sanglotant.

- Elle commence à mouiller et devenir aussi lubrifiée qu’avec du beurre ! Déclare Lucifer en continuant de baiser brutalement la femme impuissante.

Abigail n’en croit pas ses oreilles. Même si la douleur la traverse complètement, son corps est-il en train de la trahir ? Lucifer continue de la baiser violemment puis il se raidit. Elle sent alors son sperme inonder les parois de sa chatte. Puis la queue se retire et Abigail peut sentir le foutre couler à l’intérieur de ses cuisses. Elle soupire de soulagement en pensant que son calvaire est terminé. Mais elle est horrifiée quand elle entend Lucifer annoncer que pour un sou, n’importe qui peut avoir sa chatte.

Abigail sert encore plus fort le bar quand elle sent une autre bite entrer en elle rapidement. L’homme la pilonne également sans pitié. Il se vide rapidement en elle puis est remplacé par un autre homme. Abigail tourne la tête pour regarder derrière elle et elle voit environ quinze hommes alignés, la bite en main, prêts à la baiser. Elle ne peut rien y faire. Chaque homme prend son tour et défonce sa chatte. Le sperme s’accumule dans une flaque à ses pieds attachés. Abigail sent maintenant la douleur de ces pénétrations sauvages. Ses mamelons sont à nouveau engourdis, mais la douleur est descendue dans sa chatte et elle ne peut la bloquer dans son esprit.

Soudain, elle est consciente qu’il n’y a plus de bite dans son sexe. Le dernier homme s’est retiré en lui giflant le cul. Elle s’était préparée au suivant, mais rien ne se passe. Elle pense alors que son tourment est terminé. Mais elle sent une main qui inspecte sa chatte.

- Waouuu, elle est bien ouverte, je peux facilement introduire ma main dans sa chatte. Pas de problème ! Dit Lucifer.

Puis il ajoute :

- Maintenant, agrandissons l’autre trou !

Abigail ne réagit pas à ces derniers mots. Elle a relâché la pression et elle reste affalée sur le comptoir. Ses mamelons sont toujours engourdis, mais elle est bien consciente des clous qui la maintiennent contre le bar. Elle sent la main dans sa chatte puis plus rien. Le chef des motards vient de prendre du sperme et il l’étale sur son cul. Il enfonce un doigt puis un autre dans son petit trou. Quand Abigail réalise ce qu’il veut faire, elle essaie en vain de bouger son cul. Son effort est totalement inutile. Elle sent le gland de la grosse bite se poser sur l’ouverture vierge de son cul. Elle est affolée et supplie Lucifer de ne pas l’enculer. Elle lui propose de le sucer, de tous les sucer, de faire tout ce qu’ils voudront pourvu qu’ils épargnent son cul. Lucifer lui répond alors qu’ils faisaient déjà tout ce qu’ils voulaient et il commence à pénétrer lentement son cul.

Abigail hurle encore plus fort à cause de la douleur. Elle essaie de se contracter pour empêcher l’invasion, mais l’homme maintient la pression. Abigail a l’impression de pouvoir sentir chaque centimètre qui passe l’anneau serré de son cul. Jamais personne ne l’a sodomisée auparavant et là elle est violée brutalement. Finalement la pression s’arrête et Abigail peut sentir le ventre de Lucifer contre ses fesses.

- J’y suis ! Annonce-t-il.

Les autres hommes applaudissent. Lucifer commence alors à faire sortir et entrer sa grosse queue du cul abusé d’Abigail. La douleur est presque insupportable, Abigail hurle à chaque poussée. 

Mais bientôt elle ne ressent plus de douleur et une autre sensation commence à apparaître dans ses reins. Elle se bat contre cette idée, ne voulant pas que son corps la trahisse. Lucifer s’en rend compte et passe une main pour titiller son clitoris. C’en est trop pour Abigail. Elle se met à gémir de plaisir alors qu’un orgasme se propage dans tout son corps. 

Elle tremble, ses jambes cognent le bar, ses mamelons cloués sont étirés. Elle continue à avoir des spasmes de plaisir. La douleur s’accumule dans sa poitrine et ne font qu’accroître son plaisir. Elle se dit qu’elle va devenir folle alors que vague après vague, le plaisir orgasmique se répand dans son corps. Puis elle sent la bite dans son cul grossir et du foutre chaud se répandre dans son intestin. Finalement, elle s’effondre, inconsciente, sur le comptoir.

Lucifer lutte pour maintenir le corps mou sur le bar alors qu’il sent les dernières gouttes de sa semence jaillir dans la femme. Il sort sa bite maintenant molle du cul et un filet de sperme s’écoule. Le trou du cul d’Abigail est béant, incapable de se contracter après cette sodomie brutale.Abigail reste inconsciente.

Plus tard, quand elle se réveille, elle est tout d’abord complètement désorientée. Puis elle réalise qu’elle est dans sa voiture, sur le bord d’un chemin de terre. Elle porte une vieille chemise en flanelle et sa jupe noire. Ses mamelons lui font mal, sa chatte palpite et son cul est en feu. Elle déboutonne lentement sa chemise et regarde ses seins. Ils sont couverts de bleus et de marques de morsure. Ses mamelons sont violets avec deux croûtes de sang où les clous ont été plantés. Abigail passe sa main sous sa jupe et sent les lèvres gonflées de sa chatte. Elle est embarrassée. Elle bouge sur son siège et ressent la douleur brûlante de son trou du cul ravagé. Elle commence à pleurer en cherchant ses clés. Elle les trouve sur le sol avec un mot. Elle le lit :

« Nous avons ton portefeuille, nous savons où tu habites. Si tu veux que ta famille soit en sécurité, tu oublies ce qui s’est passé. Ne reviens jamais à La Tête de Sanglier » 

Abigail fouille son sac à main et cherche son portefeuille en vain. A travers ses larmes, elle démarre sa voiture et roule sur le chemin de terre, ne sachant pas trop vraiment où elle va. La pensée de son mari la trompant lui revient et sa colère est encore plus forte qu’auparavant. Elle se rappelle de son calvaire aux mains des motards et elle sent un picotement entre ses jambes alors que ses tétons durcissent.

« Peut-être que je retournerai à La Tête de Sanglier » pense-t-elle alors qu’un sourire vient à ses lèvres tout en continuant de sangloter.

FIN

1 commentaire:

Merci de vos retours