dimanche 29 mai 2022

Abigail à La Tête de Sanglier

Traduction d’un texte de The_Mercyslayer

Attention scènes violentes !!!

 ****

Abigail n’arrive pas à croire à ce qu’elle vient de trouver dans les tiroirs de son mari Dave. Elle ne cherchait rien, elle voulait juste faire du tri et du ménage dans les centaines de paires de chaussettes que son mari garde dans ce tiroir. Quand elle tombe sur les papiers, elle se dit qu’il s’agit sûrement de reçus ou de serviettes en papier. Toutefois en lisant les premiers mots écrits, il est évident pour elle que Dave ou quelqu’un d’autre a ou avait une liaison avec une certaine « Vicky ». Sur chacune des trois serviettes en papier, une main de femme avait écrit « Je t’aime, Vicky ». Abigail déchiffre le logo inscrit sur les serviettes. Elles viennent de « La Tête de Sanglier », un genre de pub  à la périphérie de la ville où elle et son mari ne sont jamais allés.

- Eh bien, Dave a quand même dû y aller plusieurs fois ! Pense-t-elle à voix haute.

Abigail et Dave sont mariés depuis dix-huit ans et ils ont eu deux beaux enfants. A trente-huit ans, et après deux grossesses, Abigail est toujours une femme très séduisante. Sa taille d’1m72 et son poids de 65 kilos la font paraître beaucoup plus jeune. Elle a fait beaucoup d’exercice après la naissance du deuxième enfant pour revenir en forme. Elle est fière aussi de sa belle et grosse poitrine qui après deux allaitements ne s’affaisse pas. La seule imperfection si on peut appeler cela ainsi est que ses mamelons se sont étirés et mesurent bien deux centimètres. Mais Dave trouve cela sexy, alors Abigail ne s’en soucie pas. Bien qu’elle s’habille de manière assez prude, Dave et elle ont toujours eu une vie sexuelle active et son mari semble heureux.

C’est pourquoi que les serviettes trouvées dans le tiroir étonnent Abigail. Elle a la preuve que son mari est probablement infidèle.

Sur la première serviette, en plus du « Je t’aime, Vicky » est inscrite la phrase « Je veux ta grosse bite bien raide en moi ».

Les yeux d’Abigail se remplissent de larmes en lisant ces mots. Elle remet soigneusement les papiers dans le tiroir avant de le fermer, puis elle s’effondre sur le sol en pleurant. « Je ne l’abandonnerai pas sans me battre » se dit-elle bien qu’elle ne sache que faire.

Quand son mari rentre à la maison le soir, elle essaie d’agir comme d’habitude, comme si tout va bien. Elle prépare le souper, aide les enfants dans leurs devoirs et écoute Dave parler de sa journée.

- Et je terminerai tard vendredi ! Finit Dave.

Abigail a des doutes et lui répond alors en essayant de cacher sa tristesse :

- Pourquoi chéri ?

Son mari lui explique qu’il s’agit d’un nouveau client et que son associé et lui allaient l’emmener dîner et discuter affaires.

- Donc je reviendrais sûrement très tard, ne m’attends pas pour te coucher. Dit Dave.

Abigail regarde son mari monter les escaliers pour aller dans la chambre. Elle pense alors : « Vendredi ! Ce sera une chance de pouvoir le surprendre avec cette Vicky ». Nous sommes le mercredi soir, donc elle a le temps d’appeler sa mère pour garder les enfants vendredi soir et d’aller à l’établissement où elle est sûre de trouver son mari avec sa maîtresse. Abigail n’est pas sûre de savoir ce qu’elle allait faire quand elle les aurait surpris, mais elle est déterminée à l’attraper avec cette autre femme.

Cette nuit-là, au lit, Dave se tourne vers elle et commence à caresser sa poitrine. Abigail sait qu’il s’agit de sa façon de commencer des préliminaires. Mais elle n’a aucune envie d’avoir de relations sexuelles avec cet homme infidèle.

- Je suis fatiguée ! Dit-elle en lui tournant le dos et en s’écartant de lui.

Abigail réussit à cacher son ressentiment pour le reste de la semaine. Quand le vendredi soir arrive, elle est prête. Elle a essayé plusieurs tenues, en passant du jean à la tenue de soirée. Elle veut être bien habillée, mais pas trop. Elle ne veut pas que cette « Vicky » puisse critiquer son apparence. Finalement elle opte pour une jupe noire qui tombe à cinq centimètres au-dessus de son genou et un pull blanc qui fait paraître sa poitrine encore plus grosse. Comme elle veut éviter les marques d’une culotte sous sa jupe, elle enfile un string. Elle est un peu gênée quand elle le tire sur ses hanches n’ayant pas l’habitude d’en porter en public. « La seule fois où j’ai mis un string c’était pour Dave » pense-t-elle. Ensuite elle réunit ses longs cheveux auburn et fait une queue de cheval.

Abigail choisit aussi un soutien-gorge blanc qui ne se verra pas à travers le pull. Ses seins sont si volumineux et fermes qu’aucun rembourrage n’est nécessaire. Une paire de collants noirs et des escarpins avec des talons moyens complète sa tenue. « C’est juste un peu plus sexy qu’une tenue de travail » se dit-elle en se regardant dans le miroir juste avant que sa mère ne sonne à la porte.

- Bon, je suis assez bien pour que cette « Vicky » soit jalouse sans montrer que je suis désespérée. Dit-elle à voix haute avant d’aller ouvrir à sa mère.

Celle-ci est contente de prendre les enfants et elle dit à sa fille qu’elle les gardera pour la nuit.

- Tu les récupéreras demain !

« C’est parfait » Pense Abigail. Elle ne sait pas trop comment va se passer la soirée après avoir découvert Dave et sa maîtresse. Donc c’est mieux si ses enfants ne sont pas à la maison si les choses tournent mal.

Abigail regarde partir sa mère avec les enfants puis elle attrape son sac à main et rejoint sa voiture. Elle démarre pour rejoindre « La Tête de Sanglier ». Elle a une boule au ventre et elle s’efforce de retenir sa colère alors qu’elle quitte les limites de la ville et se dirige vers l’établissement.

Comme elle le pense, le pub se trouve à deux ou trois kilomètres de la ville. Il est environ dix-neuf heures et Abigail remarque que le parking est presque plein. Il y a plusieurs motos, des camionnettes, mais elle ne voit pas la voiture de son mari. Elle se dit alors qu’elle est en avance. Elle décide d’entrer et attendre.

Abigail ouvre la porte et tout de suite l’odeur de cigarette l’assaille. « La Tête de Sanglier » est faiblement éclairée, mais elle peut voir des hommes assis autour de table en train de boire et discuter et d’autres jouer au billard. Plusieurs clients semblent être membres d’un club de motard. Elle voit sur le dos de leur veste l’insigne brodé « Serviteurs du Diable ». Abigail n’arrive pas à croire que Dave vienne dans un endroit comme celui-ci, sans parler d’y emmener une femme. Elle voit quelques têtes se tourner vers elle avant de retrouver leur occupation. Elle se dirige vers le bar et s’installe sur un tabouret en tirant sur sa jupe pour l’empêcher de remonter trop haut.

- Qu’est-ce que ça sera ? Demande le barman en essuyant le comptoir devant elle.

- Un Jack Daniels. Marmonne-t-elle juste assez fort pour que l’homme l’entende.

Elle ne sait pas pourquoi elle a commandé ça, elle qui boit des choses à peine plus fortes que de la bière. La fumée dans le pub lui donne mal à la tête. Elle entend la musique qui sort de l’enceinte dans le coin ainsi que les cris et les rires des autres clients. Le barman lui apporte son verre de Whisky et le pose devant elle.

- Que faites-vous ici ? Ce n’est pas votre place. Dit l’homme.

Abigail ne répond pas et prend lentement une gorgée de whisky.

- Tant pis ! Grogne le barman avant de se diriger vers l’autre bout du bar où se trouvent deux motards en train de boire une bière.

Abigail peut les voir discuter, mais elle ne s’inquiète pas. Elle sirote sa boisson et regarde la porte à chaque fois qu’elle s’ouvre. Son mari n’est pas encore arrivé.

Après environ vingt minutes, un homme s’assoit sur le tabouret à côté d’elle.

- Puis-je vous offrir un verre, jolie dame ? Demande-t-il.

Abigail regarde l’homme. Il est grand et costaud, plus d’1m80 et environ 120 kilos. Il porte un gilet sans manches et ses bars sont couverts de tatouages. Son haleine sent le whisky et la cigarette. Il a une barbe de dix jours et Abigail remarque que ses mains sont sales.

- Non merci, j’attends quelqu’un ! Répond-elle poliment avec un petit tremblement dans la voix.

L’homme qui s’est assis à côté d’Abigail n’est pas n’importe qui. Il s’agit du chef des « Serviteurs du Diable », son surnom est Lucifer. Il a remarqué Abigail depuis qu’elle est entrée dans le pub. Ses yeux l’ont complètement déshabillée et imaginé à quoi peuvent ressembler ces énormes seins sous le pull. Après s’être assurée qu’elle est seule, il décide de le découvrir.

- Eh bien… Peut-être que je suis celui que tu attends ! Dit l’homme en plaçant sa main sur la cuisse d’Abigail.

Celle-ci ne se rend pas compte de la situation où elle s’est mise. Si elle l’avait fait, elle n’aurait pas été si prompte à pousser la main de Lucifer et d’essayer de s’enfuir.

- Excusez-moi ! Dit-elle en se levant du tabouret.

Elle sent qu’elle n’est plus en sécurité et qu’elle doit partir. Elle affrontera Dave son mari à la maison.

- Non, pas si vite jolie dame ! Dit Lucifer.

Il fait un signe de la main et deux autres motards bloquent le chemin.

- S’il vous plaît, laissez-moi partir ! Supplie Abigail.

Au même moment, elle sent une main saisir sa queue de cheval pour la ramener vers le bar. Elle commence à crier, mais elle est stoppée par la main sale de Lucifer sur sa bouche.

- Verrouillez la porte, les gars. Nous allons nous amuser. Dit Le chef des motards.

Abigail essaie de lutter alors que l’homme la tient avec sa main serrée sur sa bouche. Son autre main glisse sur sa jambe jusqu’à son entrejambe. Abigail tremble alors qu’il essaie d’enfoncer un doigt à travers son collant. Elle se met à sangloter. Alors Lucifer demande de la bande adhésive au barman et lui colle rapidement sur la bouche.

- Foutez-la à poil ! Crie l’homme à plusieurs de ses hommes qui se tiennent tout autour.

Il tient fermement les bras de la mère de famille derrière son dos pendant que ses gars essaient de lui enlever ses vêtements. Abigail essaie de donner des coups de pieds, mais les hommes rigolent. L’un d’eux attrape sa jupe et l’arrache en un mouvement rapide. Les yeux d’Abigail sont grands ouverts sous la frayeur. Elle se fige quand elle voit un autre homme s’approcher d’elle avec un grand couteau. Elle a vraiment peur qu’ils la tuent. Elle n’ose plus bouger. Le motard place la lame du couteau sur son pull et le fend en deux pour l’ouvrir. Abigail sent l’air froid sur ses seins.

Lucifer la fait tourner et avant qu’elle ne puisse réagir Abigail se retrouve presque nue dans le bar avec vingt hommes autour d’elle. Son soutien-gorge et son pull sont déchirés sur le sol. Elle essaie de couvrir sa poitrine, mais Lucifer n’arrête pas de lui retirer les mains. Elle essaie de traverser en courant le groupe d’hommes, mais ils se contentent de rire en la repoussant au centre.

- Maintenant, veux-tu enlever tes collants ? Demande Lucifer.

Abigail secoue la tête alors que des larmes coulent sur son visage.

- Nous allons avoir besoin que sa bouche soit ouverte ! Laissons-la crier ! Dit un autre homme.

- Dernière chance ! Dit Lucifer.

Abigail secoue violemment la tête en espérant que ces hommes vont s’arrêter. Mais sans avertissement supplémentaire, des mains sont partout sur elle. Ses seins sont tripotés, ses tétons pincés durement. Elle sent des doigts qui agrippent ses collants et les déchirent en lambeaux en quelques secondes. Le string est rapidement abaissé et jeté au loin.

- Regardez cette touffe ! Rit Lucifer alors qu’Abigail essaie de couvrir son entrejambe.

Elle ne s’est jamais rasée la chatte et les poils entre ses jambes sont épais et noirs sur ses cuisses blanches. Elle sent des mains la saisir partout, tripoter sa poitrine. Des doigts sondent son entrejambe et serrent ses fesses. Elle gifle ces mains et essaie de se frayer un chemin sans succès.

Soudain, le bâillon est arraché de sa bouche. Abigail est nue, avec déjà des marques rouges sur ses seins et ses cuisses devant vingt membres du club de motards. Elle regarde le barman d’un air suppliant, mais celui-ci se contente de sourire en retour et secouer la tête.

- S’il vous plaît, s’il vous plaît ! Supplie Abigail alors que les hommes la pousse vers le bar.

- Penche-toi salope ! Crache Lucifer en la pliant en deux et en pressant sa poitrine contre le comptoir.

Abigail sent qu’on lui écarte les jambes et que des doigts tirent sur les lèvres de son vagin. Elle sursaute et recommence à se débattre alors que d’autres mains la palpent sans ménagement. Soudainement elle tombe par terre, aux pieds des hommes qui la maltraitent. Elle se couvre le visage en entendant leur rire. Lucifer tend la main et saisit à nouveau sa queue de cheval. Il remonte son visage vers le haut. Abigail sursaute en voyant sa bite pointée vers sa bouche. Elle n’a jamais vu d’aussi grosse queue. Elle se dit qu’elle doit bien mesurer trente centimètres et au moins sept centimètres d’épaisseur.

- Maintenant ouvre ta bouche ! Ordonne Lucifer.

Abigail essaie de se dégager et gifle la bite déjà raide de l’homme.

- Faites lui ouvrir la bouche ! Demande Lucifer aux autres.

Soudain, Abigail sent des mains sur ses seins, ses mamelons sont pincés par deux hommes différents et sont tirés vers l’extérieur. Les deux hommes triturent sa poitrine, tordent ses tétons. La douleur la fait crier. Au moment où sa bouche s’ouvre, elle sent le gland de la bite de Lucifer pénétrer à l’intérieur. Elle essaie de le repousser avec sa langue et de le cracher, puis finalement elle mord fort. Lucifer crie de douleur et la gifle si fort au visage qu’elle s’écroule sur le sol.

- Cette salope est une guerrière ! Il faut me l’adoucir ! Dit le chef des motards.

Abigail secoue la tête pour se remettre de la gifle. Elle sent que ses bras et ses jambes sont attrapés par quatre hommes et elle est tirée sur le sol. Elle peut sentir le goût du sang dans sa bouche et elle essaie de lutter, mais c’est inutile. Alors qu’elle est maintenue, des mains malaxent et giflent ses seins pendant que d’autres sondent sa chatte et son cul. Elle sent bientôt deux puis trois doigts enfoncés dans sa chatte. D’autres tirent ses poils pubiens tandis qu’un autre doigt est enfoncé dans son cul. Abigail remue les hanches de bas en haut pour essayer d’échapper aux intrusions dans son cul et son sexe. Mais un homme costaud s’assoit sur son ventre pour tenir efficacement ses hanches au sol pendant que les abus se poursuivent. Maintenant Abigail sent trois peut-être quatre doigts entrer et sortir de sa chatte.

- Elle est sèche comme un pruneau ! Dit quelqu’un.

Abigail crie encore et encore. Deux doigts sont maintenant dans son cul et un troisième essaie de forcer le passage. Un des hommes place des pinces attachée à une chaîne sur chacun de ses mamelons. Puis la chaîne est tirée vers le haut au point qu’Abigail pense que ses tétons vont être arrachés. Sa chatte et son cul sont remplis de doigts qui poussent à l’intérieur sec de son intimité. Et sa poitrine est tirée à l’extrême. Ses mamelons sont maintenant engourdis, mais ses seins lui font mal. Pour ajouter à son humiliation, il y a quelqu’un ou quelque chose qui tire ses poils pubiens à grosses touffes. Chaque arrachage de poils lui envoie une autre vague de douleur dans son bas-ventre. Étendue sur le sol avec l’homme assis sur elle, Abigail finit pas s’épuiser de se battre et elle reste immobile en gémissant sous la douleur.

Lucifer s’est assis au bar et regarde ses hommes s’amuser avec la femme. Il caresse sa bite dure et il se dit qu’il est bien temps de l’enfoncer dans cette salope. Il dit alors :

- Je crois qu’elle est prête. Levez-la et amenez-la au bar !

Abigail est libérée et on l’aide à se relever. Elle peut entendre les rires tout autour d’elle alors qu’elle essaie de marcher. Elle sent que sa poitrine est tirée vers le bas et elle voit les pinces toujours sur ses mamelons. Elle ne ressent plus aucune douleur, car ses tétons sont engourdis. Elle peut aussi voir que l’épais buisson sur sa chatte n’est plus que quelques touffes de poils par-ci par-là. Elle remarque aussi des marques rouges, des empreintes de morsure et de pincement sur tout le devant de son corps. Bientôt elle est devant Lucifer qui tend la main et enlève les pinces. Alors que le sang regagne ses mamelons, Abigail tremble de douleur, mais se reteint de crier. Elle essaie de reculer quand le chef de la bande tend la main et saisit doucement chacun de ses tétons, maintenant durs et dressés à cause de la torture, et l’attire vers lui.

- Maintenant essayons à nouveau ! Dit Lucifer en poussant Abigail à genoux devant lui.

La femme se retrouve une fois de plus avec la grosse bite bien raide de Lucifer devant elle. Il essaie de la mettre dans sa bouche, mais Abigail garde ses lèvres étroitement serrées tout en essayant de le repousser. Lorsque ses tétons sont serrés par les doigts, la douleur traverse sa poitrine et elle arrête de bouger tout en continuant de refuser d’ouvrir la bouche. Lucifer pince plus fort les tétons dressés et il les tord tous les deux. Abigail gémit, mais refuse d’ouvrir la bouche. Elle ne veut pas sucer la bite d’un homme aussi violent, même si elle doit en mourir. Lucifer dit alors :

- Bon ! Voyons si cela va te persuader !

- Prends le marteau et les clous ! Crie Lucifer au barman en remettant Abigail sur ses pieds.

Celle-ci ne comprend pas trop ce qui va se passer et sa peur commence à se changer en panique. Lucifer la pousse sur le bar, la poitrine aplatie sur le comptoir. Deux hommes saisissent ses bras et les tiennent fermement derrière son dos au point que ses épaules la brûlent. Ses jambes sont écartées et sont attachées avec des ceintures au rail du bar. Si bien que sa chatte et son cul sont exposés. Le barman saisit et tire le mamelon dur et dressé de son sein gauche vers l’extérieur et il place un clou au centre.

- NON ! Crie Abigail de douleur alors que le marteau tape le clou qui traverse son téton et le cloue sur le comptoir.

Un petit peu de sang coule de la blessure. Abigail commence à se débattre, mais tous ses mouvements provoquent une douleur fulgurante dans son mamelon. Elle regarde avec horreur le barman faire la même chose avec le téton de son sein droit.

Abigail manque s’évanouir de douleur. Maintenant elle est immobile, ses tétons cloués sur le bar. Les hommes relâchent alors ses bras. Elle étend ses brass et ses mains se posent sur le comptoir pour essayer de libérer la pression dans ses mamelons. Elle sent alors deux mains écarter les lèvres de sa chatte, puis trois doigts s’introduisent profondément en elle. Elle lâche le comptoir et instantanément elle sent la douleur déchirante dans ses seins. Rapidement elle saisit le bar à nouveau.

- Je pense qu’elle va coopérer maintenant. Se réjouit Lucifer.

Abigail peut sentir la grosse bite de l’homme à l’entrée de sa chatte. Elle sent la pression, baisse la tête et se met à sangloter alors que ses petites lèvres s’entrouvrent pour permettre à l’énorme queue du motard de la pénétrer.

- Cette chatte est sèche comme un désert ! Dit Lucifer aux autres hommes qui se tiennent en retrait.

Ils ont tous leur bite à la main et se caressent tout en regardant leur chef enfoncer sa bite de trente centimètres dans la chatte de la femme impuissante en une seule poussée.

- MON DIEU ! Arrêtez s’il vous plaît ! Je ferais ce que vous voudrez, mais laissez-moi partir ! S’il vous plaît ! Sanglote Abigail.

Lucifer lui dit qu’il est trop tard et il commence à la baiser sans pitié. Chaque coup de rein force Abigail à glisser sur le comptoir. Elle a l’impression que ses tétons vont être arrachés de sa poitrine. Alors elle tient fermement le bar pour essayer de ne pas bouger pendant que sa chatte est pilonnée. Elle pose la tête sur le comptoir froid en sanglotant.

- Elle commence à mouiller et devenir aussi lubrifiée qu’avec du beurre ! Déclare Lucifer en continuant de baiser brutalement la femme impuissante.

Abigail n’en croit pas ses oreilles. Même si la douleur la traverse complètement, son corps est-il en train de la trahir ? Lucifer continue de la baiser violemment puis il se raidit. Elle sent alors son sperme inonder les parois de sa chatte. Puis la queue se retire et Abigail peut sentir le foutre couler à l’intérieur de ses cuisses. Elle soupire de soulagement en pensant que son calvaire est terminé. Mais elle est horrifiée quand elle entend Lucifer annoncer que pour un sou, n’importe qui peut avoir sa chatte.

Abigail sert encore plus fort le bar quand elle sent une autre bite entrer en elle rapidement. L’homme la pilonne également sans pitié. Il se vide rapidement en elle puis est remplacé par un autre homme. Abigail tourne la tête pour regarder derrière elle et elle voit environ quinze hommes alignés, la bite en main, prêts à la baiser. Elle ne peut rien y faire. Chaque homme prend son tour et défonce sa chatte. Le sperme s’accumule dans une flaque à ses pieds attachés. Abigail sent maintenant la douleur de ces pénétrations sauvages. Ses mamelons sont à nouveau engourdis, mais la douleur est descendue dans sa chatte et elle ne peut la bloquer dans son esprit.

Soudain, elle est consciente qu’il n’y a plus de bite dans son sexe. Le dernier homme s’est retiré en lui giflant le cul. Elle s’était préparée au suivant, mais rien ne se passe. Elle pense alors que son tourment est terminé. Mais elle sent une main qui inspecte sa chatte.

- Waouuu, elle est bien ouverte, je peux facilement introduire ma main dans sa chatte. Pas de problème ! Dit Lucifer.

Puis il ajoute :

- Maintenant, agrandissons l’autre trou !

Abigail ne réagit pas à ces derniers mots. Elle a relâché la pression et elle reste affalée sur le comptoir. Ses mamelons sont toujours engourdis, mais elle est bien consciente des clous qui la maintiennent contre le bar. Elle sent la main dans sa chatte puis plus rien. Le chef des motards vient de prendre du sperme et il l’étale sur son cul. Il enfonce un doigt puis un autre dans son petit trou. Quand Abigail réalise ce qu’il veut faire, elle essaie en vain de bouger son cul. Son effort est totalement inutile. Elle sent le gland de la grosse bite se poser sur l’ouverture vierge de son cul. Elle est affolée et supplie Lucifer de ne pas l’enculer. Elle lui propose de le sucer, de tous les sucer, de faire tout ce qu’ils voudront pourvu qu’ils épargnent son cul. Lucifer lui répond alors qu’ils faisaient déjà tout ce qu’ils voulaient et il commence à pénétrer lentement son cul.

Abigail hurle encore plus fort à cause de la douleur. Elle essaie de se contracter pour empêcher l’invasion, mais l’homme maintient la pression. Abigail a l’impression de pouvoir sentir chaque centimètre qui passe l’anneau serré de son cul. Jamais personne ne l’a sodomisée auparavant et là elle est violée brutalement. Finalement la pression s’arrête et Abigail peut sentir le ventre de Lucifer contre ses fesses.

- J’y suis ! Annonce-t-il.

Les autres hommes applaudissent. Lucifer commence alors à faire sortir et entrer sa grosse queue du cul abusé d’Abigail. La douleur est presque insupportable, Abigail hurle à chaque poussée. 

Mais bientôt elle ne ressent plus de douleur et une autre sensation commence à apparaître dans ses reins. Elle se bat contre cette idée, ne voulant pas que son corps la trahisse. Lucifer s’en rend compte et passe une main pour titiller son clitoris. C’en est trop pour Abigail. Elle se met à gémir de plaisir alors qu’un orgasme se propage dans tout son corps. 

Elle tremble, ses jambes cognent le bar, ses mamelons cloués sont étirés. Elle continue à avoir des spasmes de plaisir. La douleur s’accumule dans sa poitrine et ne font qu’accroître son plaisir. Elle se dit qu’elle va devenir folle alors que vague après vague, le plaisir orgasmique se répand dans son corps. Puis elle sent la bite dans son cul grossir et du foutre chaud se répandre dans son intestin. Finalement, elle s’effondre, inconsciente, sur le comptoir.

Lucifer lutte pour maintenir le corps mou sur le bar alors qu’il sent les dernières gouttes de sa semence jaillir dans la femme. Il sort sa bite maintenant molle du cul et un filet de sperme s’écoule. Le trou du cul d’Abigail est béant, incapable de se contracter après cette sodomie brutale.Abigail reste inconsciente.

Plus tard, quand elle se réveille, elle est tout d’abord complètement désorientée. Puis elle réalise qu’elle est dans sa voiture, sur le bord d’un chemin de terre. Elle porte une vieille chemise en flanelle et sa jupe noire. Ses mamelons lui font mal, sa chatte palpite et son cul est en feu. Elle déboutonne lentement sa chemise et regarde ses seins. Ils sont couverts de bleus et de marques de morsure. Ses mamelons sont violets avec deux croûtes de sang où les clous ont été plantés. Abigail passe sa main sous sa jupe et sent les lèvres gonflées de sa chatte. Elle est embarrassée. Elle bouge sur son siège et ressent la douleur brûlante de son trou du cul ravagé. Elle commence à pleurer en cherchant ses clés. Elle les trouve sur le sol avec un mot. Elle le lit :

« Nous avons ton portefeuille, nous savons où tu habites. Si tu veux que ta famille soit en sécurité, tu oublies ce qui s’est passé. Ne reviens jamais à La Tête de Sanglier » 

Abigail fouille son sac à main et cherche son portefeuille en vain. A travers ses larmes, elle démarre sa voiture et roule sur le chemin de terre, ne sachant pas trop vraiment où elle va. La pensée de son mari la trompant lui revient et sa colère est encore plus forte qu’auparavant. Elle se rappelle de son calvaire aux mains des motards et elle sent un picotement entre ses jambes alors que ses tétons durcissent.

« Peut-être que je retournerai à La Tête de Sanglier » pense-t-elle alors qu’un sourire vient à ses lèvres tout en continuant de sangloter.

FIN

vendredi 27 mai 2022

Une Prof Sous Contrôle - Ch. 02

 Traduction par Coulybaca d'un texte de Dread666.

 *****

Simon élargit son emprise.

Abasourdi, Simon gagna sa salle de classe, ce qui venait de se passer le préoccupait. Il avait les jambes en coton et ses mains tremblaient alors qu'il s'asseyait sur sa chaise

- Que s'était-il passé au juste? se demandait-il se repaissant encore et encore des derniers délicieux événements.

Il prit son visage entre ses mains son visage, il sentait les douces flagrances de son corps sur ses doigts. Il avait vu sa somptueuse prof entièrement nue, avait senti l'humidité de sa chatte, et plus important encore, l'avait entièrement en son pouvoir. Il pouvait lui faire faire tout ce qu'il voulait. Il sourit largement à cette pensée réjouissante. Que pouvait-il bien lui faire faire maintenant ? 

Il avait désespérément envie de la baiser, mais n'osait pas encore, retenu par son inexpérience. En fait, jusqu'à ce jour, ses seules expériences sexuelles s'étaient bornées à regarder des DVD pornos ou des images sur le web.

Chaque fois qu'il fantasmait sur mademoiselle Baird en se masturbant, il éjaculait très vite. A quoi bon détenir ce pouvoir sur elle depuis le temps qu'il la convoitait s'il éjaculait précocement en elle, ou pire encore, s'il jutait dans son caleçon avant même de la posséder. Il était parvenu à contrôler ses émois ce matin et il se jurait bien de continuer à l'humilier jusqu'à ce qu'il se sentit lui même gêné.

Mademoiselle Holly Baird se tenait devant sa salle de classe, elle attendait les derniers traînards. Elle se tenait debout, son cul la brûlait bien trop suite à la fessée, pour qu'elle puisse s'asseoir tout de suite. Elle sentait l'air frais caresser sa fourche dénudée, ses tétons non entravées par un soutien-gorge se dressaient fièrement à chaque fois qu'ils frottaient sur le tissu de son corsage. Son estomac vibrait et sa chatte se détrempait rien qu'à l'évocation de son humiliante soumission matinale. Son esprit était submergé par d'étranges pensées.

Un élève, de six ans son cadet, lui avait donné une fessée ici même dans sa salle de classe, et elle avait aimé ça ! Elle rougissait furieusement à ces pensées intimes, elle se demandait si la suite la ferait tout autant jouir, son excitation grandissait à cette idée. Elle avait la tête pleine de rêveries portant sur la domination sexuelle et son cortège d'humiliations. Elle ne pourrait jamais dire la vérité à qui que ce soit, qu'elle avait adoré être dominée et que l'idée de n'être qu'un jouet sexuel, qu'on utilise et dont on abuse la comblait.

Elle se rappela soudain qu'elle devait se raser la chatte, mais comment le faire ? 

Elle était de service au moment du repas aussi pourrait-elle rentrer chez elle sur son temps libre à 11 heures. La douleur de sa croupe s'était calmée, mais elle ne tenait pas à prendre une autre fessée aussi se résigna-t-elle à lui complaire.

La matinée se traînait, Holly ne parvenait pas à se concentrer sur son enseignement aussi laissait-elle ses élèves étudier silencieusement un texte tandis qu'elle rêvassait perdue dans ses fantasmes. 

A la fin de son troisième cours de la matinée, juste avant 11 heures, Holly remballa prestement ses affaires et quitta rapidement l'édifice scolaire pour gagner sa voiture. Il y avait peu de trafic et elle fut chez elle en moins de 10 minutes, cela lui laissait 25 minutes pour se raser le pubis et retourner à l'école se dit-elle en entrant dans la salle de bain. 

Elle empoigna un rasoir, du savon à raser une grande serviette duveteuse et gagna sa chambre à coucher. Elle laissa choir sa jupe au sol, elle la ramassa et la posa sur une chaise, elle étala la serviette au pied du lit et s'assit, le tissu soyeux lui caressait agréablement le joufflu. Elle promena ses doigts dans sa toison châtain taillée en triangle, elle retint son souffle alors que ses doigts parcouraient sa fente coulissant aisément entre ses babines embrasées. Elle les sentit se gonfler alors que sa chatte s'ouvrait sous ses caresses, son clito vibrait réclamant l'attention de ses doigts habiles. Sa chatte était toute poisseuse, glissante gorgée de cyprine, elle haleta de nouveau alors qu'elle insérait deux doigts fureteurs dans sa caverne béante alors qu'elle se mignotait furieusement le clito de l'autre main.

Son corps se mit à trembler, alors que des vagues successives de plaisir la submergeaient, ses doigts fouillaient sa chatte de plus en plus rapidement, de plus en plus profondément alors que son souffle se faisait lourd. Soudain elle jouit, ses muscles se crispèrent alors que des vagues de plaisir déferlaient de son clitoris dans tout son corps. 

Elle se relaxa quelques instants, respirant profondément alors que son orgasme s'affadissait. Elle resta parfaitement calme une minute environ, et enleva ses doigts de sa chatte alors qu'elle reprenait sa respiration. Elle regarda l'heure, 11h25, elle ne disposait plus que 10 minutes maintenant, que m'a donc bien fait ce garçon, il a fait de moi une parfaite nymphomane !

Elle étala lentement la crème à raser sur son pubis, la mousse fleurissait sur sa chatte et elle soupira légèrement alors que le rasoir courrait sur sa peau délicate détruisant le petit triangle châtain objet de ses soins minutieux. Elle se tenait jambes grandes écartées, ses babines vibraient alors que le rasoir les frôlait. Des ondes de plaisir parcoururent à nouveau son ventre alors que d'un doigt expert elle vérifiait la parfaite nudité de ses lèvres. Elle était satisfaite, il ne subsistait pas un seul poil. Elle s'essuya prestement la chatte, son clito vibra instantanément, et elle promena ses doigts sur sa chatte glabre comme au jour de sa naissance. Elle se sentait belle, elle ne s'était jamais sentie aussi dénudée, si offerte et elle adorait les pensées vicieuse qui lui venaient à l'esprit.

Simon l'attendait à la grille alors que sonnait la cloche annonçant le premier service au réfectoire. Il avait vu mademoiselle Baird se ruer vers sa voiture à la fin de son dernier cours de la matinée et il supposait qu'elle s'était rendue chez elle pour observer ses instructions. Il afficha une mine satisfaite en la voyant revenir aussi pressée qu'en partant.

Il se plaça dans l'ombre alors qu'elle bousculait les enfants pour gagner sa place de surveillance. Elle était rouge écarlate, était-ce dû à sa course ou à autre chose de plus intime ?

Le temps du repas et l'après-midi passèrent relativement vite pour tous deux.

Ce jour là, en dernière heure, Simon avait histoire avec mademoiselle Baird. Lorsque la cloche sonna, il mit en route son plan d'attaque. Il rédigea une courte missive qu'il mit sous enveloppe avant de gagner la salle de classe. Mademoiselle Baird se tenait à la porte de sa classe et il murmura en lui donnant l'enveloppe :

- "c'est pour toi miss Baird !" 

Elle leur donna un texte à expliquer illustrant la leçon du matin. Alors que les élèves étaient occupés à étudier leur texte, toute tremblante d'anxiété elle ouvrit l'enveloppe et lut le court message

- "J'espère que tu as suivi mes instructions à la lettre, demande-moi de rester après la classe et je te donnerai de nouvelles instructions."

Le cours lui sembla durer une éternité. Enfin la cloche annonçant la fin des cours résonna, tous les élèves rassemblèrent leurs affaires et quittèrent promptement la classe. La voix de mademoiselle Baird couvrit le brouhaha du départ :

- "Monsieur Wiles, j'ai besoin de vous voir, attendez quelques minutes !"

Quelques camarades le regardèrent intrigués, ils pensaient qu'il allait lui en arriver une mauvaise. S'ils avaient su ce qu'il se passait en réalité, ils l'auraient tous enviés. Ils ne furent bientôt plus que tous deux dans la salle de classe, elle regardait humblement le sol alors qu'il s'approchait d'elle.

- "Va verrouiller la porte et tiens toi devant !"

Holly tourna la clé dans la serrure et se retourna vers son maître.

- "Il est temps de vérifier si tu as obéi dans les moindres détails, relève ta jupe !"

Le visage de la somptueuse jeune femme prit instantanément une belle teinte écarlate. Elle se redressa, empoigna l'ourlet de sa jupe et la retroussa lentement lui offrant la vue de son mont de Vénus rasé de frais.

- "Tourne toi !"

Silencieusement elle tourna sur elle-même lui exposant sa croupe au teint de pêche. Simon tendit la main et lui agrippa la fesse gauche malaxant sans vergogne la chair ferme de sa croupe. Il s'émerveillait de la douceur de sa peau légèrement bronzée.

Il fit soudain un pas en avant. Trouvant assez de courage pour continuer ses palpations, il pressa à nouveau la chair ferme de sa croupe qu'il gifla brusquement de sa main droite, le bruit sourd se réverbéra dans la salle vide.

- "C'est très bien ma petite chérie, je vois que tu m'as scrupuleusement obéi. Voyons maintenant la suite... Tu vas me ramener chez moi où je laisserai un message informant mes potes que je fais un extra chez ma prof d'histoire. Puis on se rendra tous deux à ton appartement. Je suis sûr que tu as besoin de retrouver certains fichiers pour préparer tes cours, je vais te donner l'occasion de les regagner ! T'as bien compris ?"

Holly hocha humblement la tête.

- "Bon, eh bien allons-y, tu peux laisser retomber ta jupe maintenant."

Après un trajet silencieux, ils arrivèrent devant la porte de Holly. Elle tourna la clé dans la serrure et l'introduisit chez elle. Simon s'assit sur le canapé. La pièce était bien rangée, une grande table et des chaises occupaient l'espace, ainsi qu'un grand sofa et un poste de télé coté fenêtre. Holly se tenait immobile en face de lui attendant ses ordres, mais il se contentait, pour l'instant de la regarder attentivement. Elle rougit et baissa les yeux au sol.

- "Regarde moi !"

Elle leva la tête et le regarda droit dans les yeux.

- "Veux tu récupérer quelques fichiers dont tu as besoin ?"

Holly hocha affirmativement la tête.

- "Si tu fais bien tout ce que te commande, je t'en rends deux, comprends-tu ce que je te dis ?"

Holly hocha de nouveau humblement la tête.

- "Déshabilles toi que je te traite comme la pute que tu es !"

S'éloignant de la fenêtre, Holly se dirigea vers le centre de la pièce.

- "Où penses-tu aller ?"

- "Je m'éloigne de la fenêtre Maître, des passants pourraient me voir !" pleurnicha-t-elle pitoyablement.

- "T'ai-je dit de changer de place ? Me l'as tu demandé ?"

- "Non maître."

- "Alors reprends ta place et fais ce que je t'ai dit !"

Elle reprit sa place près de la fenêtre et commença lentement à déboutonner son joli corsage jaune. Elle le passa au dessus de ses épaules et le posa sur les bras du sofa. Elle tendit la main dans son dos et dégrafa sa jupe. De nouveau sa jupe tomba au sol la livrant entièrement nue aux yeux de son maître chanteur. Elle se baissa pour ramasser le vêtement et le poser avec son corsage sur le bras du sofa. Instinctivement elle croisa les bras sur ses nibards couvrant ses nichons d'une main et sa chatte de l'autre.

- "Que fais-tu ?" cria-t-il brutalement.

Holly sursauta au son de sa voix et mit ses bras le long de son corps, exposant ses mamelons dardés et son mont de Vénus glabre sous ses yeux avides.

- "Je suis désolée Maître." murmura-t-elle misérablement.

Simon s'est assis épaté par l'aspect par la somptuosité de son corps. Ses longs cheveux châtains cascadaient sur ses épaules et alors qu'un sourire radieux éclairait son visage. Il détaillait sa proie, son opulente poitrine aux petites aréoles couleur chocolat, ses seins fastueux bien fermes qui se tenaient droits, sans tomber.

- Quelle taille faisaient-ils  95, 100 ?

Il lisait depuis longtemps des histoires cochonnes, mais son inexpérience en la matière le desservait, cependant ces seins lui semblaient parfaits. Sous son ventre plat s'évasait de somptueuses hanches, elle avait vraiment ce qu'il fallait là où il le fallait. Son mont de Vénus glabre était proéminent bien qu'elle ait les jambes serrées. Ses yeux suivirent leur chemin descendant ses longues jambes, il s'approcha lentement savourant toutes les courbes affolantes de son corps. Puis il s'immobilisa face à elle, il sentait sa bite se déployer dans son caleçon, il avança la main cherchant désespérément à contrôler les tremblements qui l'agitaient.

Ses doigts rampèrent sur ses aréoles qui granulèrent, elle avala sa salive souffle coupé. Il pinça fortement l'un de ses tétons et l'étira, fasciné par sa réaction élastique lorsqu'il le relâcha. Ses mains coururent sur toute la surface de ses nibards à l'aguet de ses réactions. Elle rougissait, devenait écarlate sous le coup de l'embarras ou de l'excitation sexuelle ? Il n'était pas sûr de la réponse. Peut-être bien qu'il avait éveillé des instincts profonds qu'elle même ignorait.

Pour sa part, Holly attendait désespérément ses caresses, ses nibards étaient très sensibles, assez pour qu'elle sente sa fente s'humidifier alors que l'excitation grandissait en elle. 

Il recula doucement la laissant seule au beau milieu de la pièce.

- "Où se trouve ton ordinateur ?"

- "Dans ma chambre." répondit-elle instantanément.

- "J'ai faim, Je veux quelque chose à manger, téléphone et commande une pizza. Je mangerai la viande et tu auras les restes. Lorsque tu auras téléphoné, tu mets les mains sur ta tête et tu te tiens immobile devant la fenêtre !"

- "Bien Maître."

Il emmena un sac qu'il avait apporté dans la chambre. Très féminin pensa-t-il dans son fort intérieur en entrant dans la chambre remplie de fleurs, les murs roses et des coussins à foison sur le lit.

Il sortit une caméra vidéo de son sac, il l'attacha au dessus de l'écran, tourna l'ordinateur et s'assura qu'elle capterait la plus grande partie de la chambre. Dés lors, il n'aurait plus à sortir de sa chambre pour l'observer il pourrait la faire agir sur commande.

Elle téléphonait pour commander la pizza qu'il avait réclamée.

Une fois le logiciel lancé, il sortit de la chambre et vit qu'elle se tenait exactement à l'endroit qu'il avait ordonné, sa poitrine se soulevant au rythme de ses profondes inspirations.

Un bruit provenant de l'ordinateur le tira de ses rêveries, le programme tournait et il testait l'installation de la caméra. Tout était impeccable. Sa confiance croissait de minute en minute, et l'étape suivante de son plan démoniaque allait se mettre en place. Du moins l'espérait-il...

Il s'approcha de la garde-robe, l'ouvrit et se mit à trier ses fringues. Il trouva un nombre important de brassières avant de tomber sur ce qu'il cherchait, un corsage couleur crème. Il jaugea la finesse du tissu et le posa sur le lit.

Maintenant il était à la recherche d'une jupe à sa convenance, il en dégotta cinq ou six au dessus du genoux avant de trouver ce qu'il cherchait vraiment. Une courte jupe de jean qui devait lui aller à mi-cuisses. C'était parfait.

Et maintenant les chaussures. Il n'avait jamais vu autant de grolles de sa vie. A talons plats, à talons hauts, avec des semelles compensées, des trainings, des ballerines, des mocassins, et enfin la paire qu'il cherchait : une paire de bottes en cuir noir, montant à hauteur du genou avec des talons de 8 cm, et lacée du cou de pied au haut de la botte. Il avait vu une paire de bottes similaires sur un site SM qu'il avait visité, ça compléterait parfaitement sa tenue. Demain, tout le monde à l'école saurait quelle n'était qu'une salope de petite pute.

Il retourna dans le salon abandonnant les articles choisis posés sur le lit. Il fut ravi de voir qu'elle était demeurée dans la même position, les yeux rivés au sol.

- "S'il vous plait Maître puis-je changer de place ?"

Il entendait de fait des voix de l'autre coté de la fenêtre.

- "Je suis sûre que des gens me regardent par la fenêtre !"

Simon regarda par la fenêtre et vit qu'effectivement quatre ou cinq jeunes hommes de son âge, n'en croyant par leur chance, la reluquaient au travers de la vitre. Ils riaient et se gaussaient mais ils avaient les yeux rivés sur sa croupe bien ronde.

- "D'accord, je ne veux pas créer de scandale, mets-toi dans le coin face au mur."

Soulagée elle se mit hors de portée des yeux des voyeurs qui la reluquaient sans vergogne et se mit au coin comme ordonné.

Simon ne dit pas un mot les cinq minutes qui suivirent mais elle sentait qu'il l'observait minutieusement. L'atmosphère était lourde, électrique. Elle n'entendait que le tic-tac de l'horloge, mais elle sentait qu'il l'observait toujours avec acuité. Elle se sentait incroyablement faible, vulnérable, toute retournée par cette nouvelle expérience. Il jouait avec ses nerfs et y parvenait avec efficacité. Le dos tourné, elle ne pouvait pas voir s'il combinait sa prochaine humiliation, mais elle était sûre qu'il la concoctait soigneusement. Entièrement nue, le dos tourné, elle était totalement soumise à ce jeune gars de 18 ans, il contrôlait totalement ses faits et gestes et elle ne pouvait rien faire pour y remédier en quoi que ce soit. Il possédait cette vidéo si compromettante, il pouvait ruiner sa carrière et sa vie si elle ne lui obéissait pas servilement. Un seul faux mouvement et c'en serait fini, si seulement ce bâtard d'Andy ne lui avait pas envoyé cet e-mail, si seulement...

Des coups frappés à la porte sortirent Holly de ses pensées moroses, le livreur de pizza pensa-t-elle brusquement. Simon se leva du sofa et se dirigea vers la porte la laissant seule. Elle entendit des voix, une brève conversation suivit du bruit de pas revenant au salon.

- "Attendez moi dans le salon, pendant que je cherche de quoi vous payer !" entendit-elle Simon lui dire.

- "Mon Dieu non... " pleurnicha-t-elle intérieurement, horrifiée par ce qui se passait, par sa situation inconvenante.

Elle rougit furieusement en sentant quelqu'un bouger dans son dos. Son esprit galopait, il ne pouvait pas lui faire ça. Elle percevait une lourde respiration, des mouvements dans son dos, puis plus rien.

- "Vous pouvez la peloter si vous en avez envie !"

Ces mots résonnaient dans sa tête. Elle sursauta en sentant une main froide empaumer ses globes joufflus, elle sentait son haleine chaude sur son épaule. Il lui caressa gentiment les fesses et l'invita à écarter les cuisses d'une pression de la main. Elle ajusta sa position lui offrant un accès aisé à sa fente. Les doigts explorateurs se promenèrent sur son mont de vénus proéminent, le palpant lascivement puis il ouvrit sa chatte comma on aurait écarté les pétales d'une fleur luxuriante. Son jus coulait à flot, elle brûlait d'envie d'être doigtée, elle tendait sa cramouille vers ses doigts, priant pour qu'il les insère profondément dans sa chatte avide.

Elle avala sa salive lorsque deux doigts fureteurs plongèrent dans sa moule détrempée, coulissant immédiatement d'avant en arrière. On distinguait clairement les clapotis obscènes émanant de sa chagatte détrempée. Elle laissa échapper une plainte lorsqu'il pinça durement un de ses tétons, le roulant habilement entre index et pouce alors qu'il continuait à lui gamahucher la chatte. Elle se pencha en avant le front reposant contre le mur, jambes grandes écartées, cul cambré, dansant au rythme que lui imposait les doigts s'enfonçant de plus en plus profondément dans son intimité. Un fourmillement courut dans ses reins alors qu'il pressait son pouce contre son petit bouton de rose affolé.

Elle n'osait pas jeter un œil sur son assaillant. Elle se refusait à encourir le courroux de son maître, elle trouvait un plaisir malsain à être manipulée ainsi par un complet étranger. Elle sentait son pouce la pénétrer lentement lubrifié par ses propres secrétions. Il progressait lentement dans son tunnel asservi, son ongle éraflant ses muqueuses la faisant tressaillir. Elle s'en accommodait. Enfin, elle sentit sa main buter contre son portail encore secret.

Elle soupira, ses jambes tremblaient, elle était toute proche d'un orgasme fracassant. Une forte poussée, et elle s'évanouit presque alors que le pouce démoniaque se plantait encore plus profondément dans son anus palpitant, sa chatte était au bord de l'explosion à chaque mouvement du pouce enfoui dans son trou du cul.

Haletante, elle sentit un doigt s'échapper, pour venir mignoter son petit clito, ce simple effleurement de son petit bouton d'amour déclencha sa jouissance, ses jambes se dérobèrent sous elle, alors que le puissant orgasme qu'elle n'ait jamais ressenti la submergeait toute. 

Elle cherchait à reprendre haleine, ce qui lui était très difficile alors que tout son corps semblait embrasé. Il extirpa ses doigts de son minet chauffé au rouge et les tint devant sa bouche.

- "Nettoie mes doigts salope ! Goûte le miel sauvage de ta petite chatte !" lui ordonna-t-il d'une voix autoritaire.

Holly ouvrit la bouche, sa langue courut sur les doigts tendus savourant ses propres secrétions. Elle ne les avait jamais goûtées auparavant. C'était bon, elle les suçait avidement, savourant chaque goutte de cyprine qu'elle parvenait à lui arracher, le goût de ses secrétions semblaient lui parfumer durablement la langue.

- "Je vous prie de m'excuser, mais je n'ai pas assez d'argent pour payer la pizza, est-ce que cette séance de pelotage suffira à effacer l'addition ?" demanda Simon au livreur qui était tout sourire.

- "Chaque fois que vous voudrez une pizza, demandez Ray, je suis sûr qu'on pourra s'arranger pour le paiement !"

Il jeta un œil en arrière sur Holly qui demeurait toujours dans la même position, mains sur la tête, babines bien visibles entre ses jambes grandes écartées. Elle récupérait lentement de l'orgasme qu'il venait de lui procurer de ses mains habiles.

- "C'est sûr, on trouvera toujours un arrangement !"

FIN

mercredi 25 mai 2022

Nathalie Ch. 04

 Récit érotique écrit par Emile Hubert.

 *****
Le patron du mari à Nathalie.

Hélas, je n'aurais pas pu faire une grande carrière de voyante, car mes prédictions ne se réalisèrent pas le moins du monde. Les retrouvailles avec mon mari furent… glaciales. Il me traita de tous les noms et que pouvais-je bien rétorquer ? C'est vrai que c'était lui qui m'avait poussé dans des ébats érotiques avec des tiers. Mais là, au cas particulier, il est vrai que je l'avais trompé comme la dernière des dernières. Il ne servit à rien que je lui rappelle que c'est lui qui était à l'origine de mes débordements. Il me dit que ce genre de galipettes était terminé et m'interdit de revoir Hassan sous peine de me voir jetée à la rue. Pour bien des raisons je ne souhaitais pas le divorce.

Alors commença une période sombre, très sombre. Pascal avait vu le poste de Directeur du personnel lui filer sous le nez au profit de son ennemi intime. Il se consacra de plus belle à son travail pour tenter de décrocher une autre promotion. Il devint mauvais avec moi, mesquin, chafouin, me cherchant querelle systématiquement, et ne perdant aucune occasion de m'humilier. Il ne me touchait pratiquement plus, sauf hygiéniquement… Et cela était loin de me satisfaire. 

Comme je regrettais le beau membre d'Hassan... Plusieurs fois je fus tentée de l'appeler, puis je renonçai, Pascal était capable de me faire suivre. De cette période érotique il ne me restait que des souvenirs qui alimentaient mes séances de masturbations solitaires et un désir de vengeance.

Néanmoins, je continuais à fréquenter les sites Internet chauds ou je pouvais vivre par procuration les aventures des femmes qui, elles, avec un compagnon complice ou sans ; pouvaient se livrer à toutes leurs envies. Ayant (un peu) vécu cela, j'aimais lire les confessions de celles qui s'offraient à plusieurs mâles, et je me complaisais à regarder les photos pornographiques de ce type d’ébats. J'avoue que cela me faisait plus de mal que de bien. Au bout d'un moment je commençais malgré tout à penser à la séparation. A mon âge je pouvais recommencer une autre vie.

Pascal eut alors l'idée la plus idiote de sa vie. Son PDG offrait toujours un pot en début d'année. Jusque-là j'avais toujours esquivé ce genre de soirée. Mais cette année mon mari m'ordonna d'être présente (je suppose pour le bien de sa carrière). Il imposa également que je sois un peut chic et…pas comme une roulure crut-il bon de préciser. Il choisit dans ma garde-robe une petite robe noire dos-nu que je complétais d'une culotte de dentelle, collant et escarpins vernis. Légèrement maquillée, je faisais plutôt assez BCBG si l'on excepte les oscillations de mon 95D.

Arrivé à sa fameuse soirée, il me présenta à pas mal de personnes puis me laissa en plan pour discuter boutique avec ses amis cadres. Bon ! C'était dit, j'allais faire potiche toute la soirée.

En fait non, car me voyant esseulée, son patron vint, en hôte parfait, me faire un brin de conversation. Puis il vint de plus en plus souvent et finit par m'inviter à danser. Je refusai. Pour lui échapper, je me rapprochai de Pascal qui évidemment ne remarqua rien. Ce n'est peut-être pas très modeste, mais j'étais une des plus belles femmes de la soirée et ce cher Gérard, comme me l'avait présenté mon époux, avait, je pense, jeté son dévolu sur moi.

Il revint à la charge pour m'inviter à danser et ne voulant paraître vraiment impolie, je finis par accepter. C'était un remarquable danseur, il m'invita plusieurs fois, se collant à moi à chaque fois un peu plus. Plus la soirée avançait plus ses mains effleuraient mon dos nu me faisant, j'avoue, frissonner. Plusieurs fois également ses mains frôlèrent mes fesses et il me serrait aussi de plus en plus jusqu'à ce que je sente son sexe contre mon bas-ventre. Une bouffée de chaleur m'envahit. Malgré tout, j'étais gênée et cela sembla le divertir.

Enfin cette pénible soirée se termina et nous sommes enfin rentrés. Mon mari s'endormit vite (ronflant à cause de l'alcool absorbé) et, en repensant à son patron, je me retrouvais troublée et l'entrecuisse tout humide. A coté de mon époux, dans notre lit devenu si peu conjugal, je me caressais.  Cette fois mon envie avait un visage : Gérard.

Mon époux dont le plan de carrière semblait en bonne voie eut une idée encore peut être plus idiote que l'autre. Il décida d'inviter son cher patron à la maison pour dîner. Je fus la digne épouse d'un futur cadre supérieur, jupe droite serrée, chemisier léger un peu ouvert. Mon mari s'en moquait et d'ailleurs il ne le remarqua même pas, mais je mis des bas. Je ne voulais pas me sentir enfermée. J'eus raison, car les regards de son patron furent de braise. Je pouvais même sentir ses yeux braqués sur mes fesses lorsque j'allais à la cuisine chercher les plats. À un moment Pascal partit chercher du vin. Avant que je puisse réagir, Gérard me prit la main et me dit :

- Nathalie, je ne pense qu'à vous depuis cette soirée, vous êtes une très femme séduisante, j'ai très envie de vous…

En partant, il me fit des compliments un peu à double sens qui ne furent pas remarqués par mon cher et tendre qui alla se coucher. Ce soir-là, j'ai vite ôté mon slip et me suis caressée dans le salon, oui, sur le divan, en pensant à ce que ce cher Gérard m'avait susurré.

Le lendemain mon mari me laissa un message sur mon portable. Il passerait rapidement à la maison prendre quelques affaires et serait absents trois jours. Gérard lui avait demandé de partir en déplacement, ce qu’il s'était empressé d'accepter. Je n'y pris pas garde... En ce mercredi, après mes corrections de copies et mes petites visites sur le web, je vaquais à mes occupations ménagères. Il devait être à peine 19h00 quand on sonna à la porte. J'ouvris et surprise ! C’était Gérard, oui Gérard le cher patron. Interdite, je lui proposai d’entrer. Pour mes occupations de l'après-midi, j'étais en tee-shirt et en jean. Pourtant il commença à me complimenter de nouveau. Gênée et ne sachant quelle attitude prendre, je lui proposai un verre qu'il accepta de suite.

Après le 2ème verre, ses questions devinrent plus indiscrètes et Gérard a changea de place pour se mettre à côté de moi.

- Tu as déjà trompé Pascal ?

- …

- Je suis sûr qu'il te délaisse et que tu en as envie de faire l'amour ?

- Nnnnn…

Ne me laissant pas finir ma phrase il voulut m'embrasser, je détournai la tête, mais il insista.

- Non, s'il vous plaît Gérard !

- Tu sais que tu me plais Nathalie, regarde-moi !

Son visage s'approcha du mien, ses lèvres des miennes. Il m'enlaça, sa main se posa sur ma cuisse.

- Allons, tu en meurs d'envie, je l'ai senti l'autre jour, je suis sûr que tu es très excitée, n'est-ce pas ?

Je ne répondis pas et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Ne répondant pas à son baiser, je sentis sa langue sur mes lèvres qu'il força pour que je les entrouvre. Je sentis sa langue dans ma bouche qui cherchait la mienne.
 
- Ça fait combien de temps qu'il ne t'a pas baisée ?

Ne répondant pas, il reposa ses lèvres sur les miennes, sa langue fouillant ma bouche. Cette fois je lui rendis son baiser. A son troisième assaut, je passai mes bras autour de son cou et sa langue joua longtemps avec ma langue. Je sentis sa main se poser sur mes seins et me les caresser. Je ne puis retenir un petit soupir.

- Laisse-toi faire, je vais bien te baiser tu vas voir. Je ne rêve que de ta chatte depuis hier !

Ces mots étaient crus comme je les aimais et cela me fit tourner la tête. J'aime cela… Ses mains passèrent sous mon tee-shirt pour me palper les seins à travers mon soutien gorge. Puis il les abandonna pour commencer à déboutonner mon jean. Glissant sa main, il parvint à la poser sur ma vulve, il en constata l'humidité à travers mon slip.

Se mettant à genoux devant moi, il voulut m'enlever mon pantalon. Je soulevai les fesses pour qu'il y arrive. Ma culotte suivit dans le même mouvement. Il m'ouvrit en grand les cuisses et commença à y poser sa bouche. Je m'abandonnai à ses caresses, je vis sa tête plonger entre mes cuisses. Je sentis sa langue sur mes lèvres intimes puis il me les écarta doucement pour jouer avec mon clitoris. Je laissai échapper un petit gémissement.

- Tu aimes ça, n'est ce pas ? Tu es trempée petite salope…

Ses mains soulevèrent mon tee-shirt qui me fut enlevé. Il dégrafa ensuite mon soutien gorge et il libérera mes seins gonflés de désir. Il joua avec leurs pointes déjà dressées et sa langue continua de me laper, de me lécher. Ses mains quittèrent mes seins pour redescendre sur ma chatte et ouvrir mes cuisses impudiquement. Il me releva les genoux sur ma poitrine. J'étais à lui, à sa merci, le sexe béant, ouvert devant ses yeux. Je sentis ma cyprine couler sur ma vulve. Il se releva et quitta chemise et pantalon. Je vis son caleçon déformé par son sexe. Il n'eut pas besoin de m'indiquer ce que je devais faire. Mes mains se posèrent sur son caleçon pour le libérer.

Quelle vision ! Hassan était pourtant très membré. Mais là quel engin…plus long, certes un peu, mais aussi d'un diamètre supérieur avec une paire de testicules imposantes. Le genre de sexe que l'on peut voir dans les films ou les photos pornos. Je le pris en main.

- C'est bien, je vois qu'elle te plaît… Suce-moi, allez, je suis sûr que tu aimes cela !

Je le décalottai et mes lèvres s'approchèrent de cette queue. D'un mouvement de bassin il me l’enfonça dans la bouche.

- Oui, continue comme ça, caresse-moi bien les couilles, tu aimes sucer des grosses queues n'est ce pas ? Dis-le-moi !

- Oui.

- Oui quoi !

- J'aime sucer des grosses queues !

Je m'appliquai, salivant sur le gourdin dressé, le léchant, l'embrassant, ouvrant ma bouche en grand pour mieux l'avaler. Au bout de quelques instants il me fit mettre à genou sur le canapé, les seins sur le dossier et me prit ainsi sans ménagement. Sa queue était un véritable bélier qui se fraya un passage, distendant mes chairs intimes. Son sexe était gros et me remplissait complètement. Je me sentis complètement investie, plus encore qu'avec Hassan, c'était merveilleux ! Enfin une grosse bite ! Finalement il commença à m'apparaître que mon mari avait des dimensions plus que moyenne. J'étais certaine que Gérard allait merveilleusement combler le vide qui me tenaillait. Il se mit en mouvement… Divin ! Je m'entendis gémir sous ses coups de rein, ses mains caressant mes seins.

- J'aime tes gros seins, ils sont très doux, ils me font terriblement bander, surtout quand, comme l'autre jour, tu ne mets pas de soutien-gorge. J'ai dû me retenir pour ne pas les toucher… Tu te balades souvent sans soutif ?

- Non, rarement !

- Tu le feras plus souvent… Pour me faire plaisir !

- Oui, oui… Oui si tu veux !

- Ils ont l'air très sensibles, tu te les caresses souvent ?

- Oui… Oui !

- C'est bien… Et puis j'espère que tu me branleras entre tes gros nibards ?

- Oui bien sûr… Quand tu veux !

Sous ses va-et-vient, je gémissais de plus belle. Il me dit :

- En fait tu n'attendais que cela petite cochonne… Tu penses à ton mari en ce moment ?

Sentant que j'allais jouir, je ne pus répondre que :

- Non, non je me fous de mon mari, prends-moi… Oouiiiii… Comme çaaaaaaa… Encore…

Un orgasme retenu depuis longtemps me submergea et à l'unisson je le sentis d'abord trembler puis se vider en moi en longues saccades. Sans attendre, il m’amena dans notre chambre.

- Je veux te baiser sur ton lit !

Il me fit asseoir sur le lit et me remit de suite sa bite dans la bouche. Je la pris avec gourmandise léchant bien le gland cramoisi.

- Tu es vraiment belle ainsi avec ma bite dans ta bouche. J'aime te voir sucer…

Moi aussi j'aimais sucer, tout allait pour le mieux. Il m'enfonça loin sa queue dans la gorge m'étouffant presque mais cela eut l'air de lui plaire. Il s'allongea ensuite sur le dos et me demanda de venir le chevaucher. Je m'accroupis, d'une main j'écartai mes grandes lèvres laissant échapper la semence dont il m'avait gratifié, et de l'autre je pris son membre pour mieux le guider en moi. Ainsi disposée, je m'abaissai lentement sur la tige dressée. 

- Enfile-toi à fond ! Me conseilla-t-il.

Inutile de préciser que c'est ce que je fis avant de m'agenouiller de part et d'autre de lui. Avec lenteur pour ne rien perdre des sensations qu'il me procurait, je me mis à monter et descendre sur son mandrin. Au début il me tenait par la taille, puis il me prit bientôt les seins à pleines mains pour les malaxer avec une certaine rudesse. Il les serra l'un contre l'autre et les attira vers sa bouche pour en sucer longuement les tétons qui raidirent de plus belle. Il interrompit ma chevauchée en me demandant de lui faire une cravate de notaire. Je m'agenouillai bien volontiers pour lui prodiguer le massage mammaire qu'il demandait. Il avait l'air aux anges… Il me demanda ensuite de revenir le chevaucher mais dans l'autre sens, dos tourné vers lui. Il s'était un peu décalé sur le lit. De cette façon, je pouvais me voir dans la glace de mon armoire aller et venir sur lui. Il se redressa et me reprit par les hanches. Il me réclama de me caresser les nichons pendant qu'il me prenait. J'obéis… Non content, il m'enjoignit ensuite de lécher mes mamelles de salope. J'obéis derechef… Il voulut encore changer de position et m'annonça qu'il allait me baiser en levrette. Toujours face au miroir, je me mis à quatre pattes. Il m'enfila d'un seul coup de bite et se déchaîna, son pénis frappant au fond de mon utérus. Ce fut tellement fabuleux qu'il me fit crier lorsque j'accédai au plaisir. A peine passés les derniers frissons de mon orgasme, il se retira de moi, me fit asseoir et se planta debout devant moi en précisant :

- Allez, maintenant tu vas avoir ta dose !

A nouveau il me la remit dans la bouche toute poisseuse de son foutre de tout à l'heure et de ma mouille abondante. Il ne mit pas longtemps à éjaculer. Je m'évertuai malgré le flot de tout ingurgiter sous son œil satisfait.

- C'est parfait, tu suces pas mal du tout… Tu ne fais pas de manière pour avaler Nathalie, c'est bien… Tu vas avoir l'occasion de me sucer très souvent !

- Autant que tu le voudras…

Il était tard quand il partit en me disant que demain tu ne serais pas revenu et qu'il reviendrait me baiser.

- Sois prête à dix-huit heures et inutile de t'habiller…

Epuisée par ces jouissances je m'endormis comme une masse. Le réveil fut plus problématique. Si quelqu'un savait que j'étais devenue sa maîtresse, Pascal allait me jeter dehors… Tant pis ! Puisqu'il m'avait fixé un autre rendez-vous , j'allais courir le risque. Il me faisait trop bien jouir.

Cette journée entre deux parties de jambes en l'aire fut un délice. Même les élèves qui avaient des problèmes, non seulement avec les maths, mais aussi et surtout avec la discipline me parurent à peu près sympathiques. A tel point que l'un d'eux risqua un « vous avez l'air en pleine forme M'dame » peu coutumier. Si ce garçon (enfin si l'on peut dire, les redoublements successifs en avaient fait des adultes scolarisés) avait su que sa prof allait se faire admirablement sauter ce soir…

Je rentrai vite et me préparai. Les paroles de Gérard me raisonnaient encore dans la tête. Inutile de t'habiller avait-il dit. Oui, oui je serais nue et m'offrirais… oui comme une salope. Les hommes ont beau dire ils adorent… Je me douchai, me parfumai et me coiffai. Je n'allais pas être intégralement nue. Hassan et Aziz avaient apprécié, Gérard approuverait assurément, je mis donc une paire de dim-up et mes talons aiguille. Je me maquillai ensuite, assez mais pas trop, je ne savais pas s'il aimait ou pas. Une paire de boucle d'oreille, j'étais prête. Prête à emboucher sa grosse pine, prête à me faire baiser de la manière qui lui plairait… j'en mouillais fébrilement l'avance…

Malgré tout lorsque la sonnette retentit à dix-huit heures pile, je sursautai et mon cœur fit un bon dans ma poitrine.

Il apprécia ma tenue et me glissa à l'oreille que je n'allais pas le regretter. Tant mieux ! Pour savoir je le questionnai sur le maquillage. Un peu comme je m'en doutais, il répondit sans ambages :

- J'aime les petites épouses lorsqu'elles font pute… Alors, plus tu feras pute, plus tu m'exciteras… Et plus tu m'exciteras, plus je te baiserais…

C'était simple, et cela me convenait parfaitement. Tout en m'embrassant dans le cou, il me prit par la taille, puis sa main glissa sur mes fesses qu'il cajola un moment. Je sentis ensuite ses doigts fureter dans mon sillon fessier. Presque involontairement je me cambrai. Il me murmura :

- Tu dois aussi aimer n'est ce pas ? T'inquiètes, tu vas y avoir droit, j'ai pensé à ton petit cul toute la journée !

- Oooooh ! Tu n'as pas peur d'être trop gros ?

- Penses-tu, tu y auras droit comme les autres avant toi…

- Tu feras doucement... tentai-je de négocier.

- Bien entendu, je ne veux pas t'en dégoûter, je compte bien me farcir par ce côté la petite madame S. à chacune de nos rencontres… En attendant, suce-moi belle salope !

Abandonnant toute dignité, je m'agenouillai dans mon propre salon et commençai à lui prodiguer une superbe fellation. Il apprécia mes efforts et me complimenta. Je lui avouai aimer intensément le sucer. Il me répondit que c'était bon signe…

Pourtant il m'arrêta et maintenant qu'il connaissait le chemin, il m'invita vers ma chambre. Là, il attaqua par m'ouvrir les jambes en grand et me caresser la vulve de son gland. Je mouillai comme une fontaine… Voyant cela il n'hésita pas une seconde et m'embrocha à fond, m'écrasant sous lui. J'étais bien… Intégralement remplie de cette sorte. Plaçant mes jambes sur ses épaules, il se mit à me pistonner intensément. A chaque fois qu'il me sentait sur le point de jouir, il ralentissait son rythme, ou même le stoppait carrément. Il joua adroitement un moment au chat et à la souris avec moi avant de m'offrir un orgasme intense qu'il conclut en m'inondant de ses jets consistants. 

Nous roulâmes ensuite sur le lit, échangeant caresses et baisers passionnés. Jamais je crois, quelqu'un ne s'était aussi bien occupé de moi. Nous nous mîmes ensuite en position pour un merveilleux soixante-neuf où il joua de ses doigts et de sa langue pour me ravir la chatte et le clitoris. Dans cette position, il se risqua également à me titiller la rondelle. De mon côté, je m'acharnai à le pomper du mieux que je pouvais. Lorsqu'il me prévint que puisque j'aimais sucer, j'allais me régaler, je pressai ses couilles comme si j'allais en extraire quantité de foutre encore plus conséquente que j'ingurgitai avec une grande délectation.
 
Changeant de registre, je servis ensuite un petite collation destinée a à nous permettre de reprendre notre souffle et redonner des forces. 

A l'issue de celle-ci, et puisque j'avais l'air décidée à lui plaire ; il me demanda d'aller me refaire une beauté. Je filai à la salle de bain et revint pimpante… Et aguichante.

Revenant, il me fit asseoir devant lui sur la table de salon, jambes très écartées. Il me dit qu'il allait m'entendre en confession, et que pendant cet entretien, je devais me peloter les seins. En fait, la confession ne fut prétexte qu'à des questions salaces sur ma vie intime. Si mon mari me baisait souvent, si je le suçais à fond, s'il me sodomisait, était-il bon amant, s’il avait une grosse queue.
Je lui répondis la vérité. Cela sembla l'amuser, surtout quand je lui parlai des dimensions modestes de mon époux et il conclut que je devais m'ennuyer et que c'était dommage pour un joli petit lot comme moi.

Il continua l'interrogatoire et je songeai que je devais avoir l'air un peu ridicule ainsi, assise devant lui sur la table de salon, cuisses écartées, en train de me dorloter les seins qu'il me demandait de lécher parfois.

Je fus obligée de préciser si je m'étais exhibée, si j'avais déjà fait l'amour avec une femme, si j'avais déjà été dans des cinémas pornos, des sex-shops, si j'avais déjà fait l'amour avec plusieurs partenaires ou dans des partouzes ou des clubs échangistes.

La seule chose que j'avouai fut les deux premières soirées avec Hassan et encore sans mentionner la présence d'Aziz et en passant sous silence le plaisir fou que j'avais éprouvé. Ce récit sembla le divertir beaucoup et il me dit ironiquement :

- Je ne voyais pas Pascal S. sous cet angle… Ni sa charmante épouse d'ailleurs… Charmante, mais qui à beaucoup à apprendre… Nathalie je vais faire ton éducation… Si tu es d'accord !

- Oui… Oui Gérard… Si tu veux, oui je suis d'accord ! Répondis-je agitée.

Et d'autant plus agitée que son sexe était à nouveau dressé et qu'il le caressait lentement en me questionnant. Surprenant mon regard il me dit :

- Tu vois, tu me fais bander, tu sais où je vais te la mettre au moins ?

- Oui, oui… Je pense…

- Et où cela ?

- Tu vas me la mettre par-derrière.

- Allons, allons, ne fais pas ta chochotte… Soit plus claire !

- Tu vas me le mettre dans le cul.

- Et tu en as envie ?

- Oui, j'ai envie que tu me la mettes dans le cul… Bien profond…

- Bien ! je crois que nous pouvons y aller… Je ne voudrais pas te faire languir…

Nous repartîmes vers la chambre où il me fit mettre en levrette face à nouveau à la glace. Il prit place derrière moi et reprit le travail qu'il avait débuté tout à l'heure. Il me lécha consciencieusement la raie puis sa langue déplissa mon œillet. Puis d'un doigt il commença à m'assouplir l'anneau puis à le me dilater de deux doigts qu'il enfonça le plus profondément possible. Je haletai de désir percevant l'imminence de l'introduction. Une dernière fois il interrogea :

- Tu la veux ?

- Ouiii… Tringle-moi !

Il m'écarta la corolle entre le pouce et l'index et de l'autre main posa son membre contre l'ouverture de mes reins, l'énorme gland allait me trouer… Dans un combat perdu d'avance, mon sphincter tenta de résister, je relâchai autant que je le pus, une lente mais inflexible pression le fit lâcher.

L'intromission fut plus malaisée qu'avec Hassan, Gérard était plus gros, mais je me fichais de cette légère douleur, la félicité viendrait à son heure. Sans faiblir, il m'en avait enfilé une bonne moitié. Il fit une pause avant de recommencer à me pourfendre. Il alla loin, ouuuuhhhh très loin… Jusqu'à ce que ses couilles touchent mes grandes lèvres.  Me caressant le dos, il me dit :

- Habitue-toi à ma bite !

- Oui, oui je vais m'y habituer… Elle va me faire du bien… Tu pourras me la mettre autant que tu voudras ! balbutiai-je dans un souffle rauque.

Avec délicatesse, il fit un mouvement de retrait, puis revint à son point de départ. Il me le refit plusieurs fois, se retirant de plus en plus loin. La dernière fois, il me restait plus que le gland dans le fondement et lorsqu'il me ré-assaillit je gémis longuement, cette fois non plus de douleur mais de satisfaction d'être enculée de cette force. Dès lors les grandes manœuvres pouvaient commencer. Il varia ses rythmes, soufflant le chaud et le froid entre mes fesses, me faisant geindre ou ahaner de plaisir. Ses mains me parcouraient, parfois il appuyait sur mes épaules pour mieux m'empaler à fond, ou il me saisissait par la taille, ses doigts s'enfonçaient dans la chair de mes hanches ou se glissaient dans ma chatte ruisselante, sans oublier, mes gros lolos auxquels il se cramponnait de temps à autre. 

Sur la fin il me pistonna littéralement, sortant complètement pour mieux me pénétrer, j'avais l'impression qu'il me violait textuellement les reins… J'adorais… Et je l'encourageais.

Du fin fond de moi-même je sentis la jouissance poindre, puis déferler et me submerger… Sans la moindre retenue je râlai, proférai des exhortations et des obscénités sans suite et ce fut pire encore quand je le sentis se raidir et trembler de partout. Il rugit quand des flots de foutre me garnirent le rectum.

Cette première sodomie nous laissa pantelants. Je le remerciai de m'avoir tant fait jouir. Il me répondit :

- Moi aussi, il y a bien longtemps que je n'avais pas pris tant de plaisir. Tu es finalement une bonne petite salope Nathalie, tu as ça dans le sang… Crois-moi, nous n'allons pas en rester là, je vais prendre un plaisir jubilatoire à te dévergonder, si tu le veux bien…

Oh que oui j'étais partante… Et il tint parole… Comme dans les vaudevilles, à chaque départ de mon mari (qu'il organisait soigneusement) Gérard venait à la maison et me baisait dans toutes les pièces et dans toutes les positions. Comme il l'avait également promis à chaque j'avais droit à un petit coup dans le cul. Il me promit également que j'allais en voir de belles… Et choses promises choses dues…

A suivre...

lundi 23 mai 2022

20 Sur 20 Pour L'enseignante. Ch. 06

Traduction d'un texte de Usm1carbine.

 *****

Le concierge et sa petite amie viennent réconforter Gia.

Gia dort sur le canapé. Un coup à la porte la fait sursauter. Les yeux à moitié ouverts elle se dirige vers son entrée. Elle regarde à travers le judas et voit Buck. Immédiatement elle ouvre, oubliant sa tenue débraillée, ses cheveux en pagaille. Buck est là! Elle se précipite dans ses bras et l'embrasse. C'est alors qu'elle se rend compte qu'il n'est pas seul. Elle voit une femme noire derrière lui.

- Qu'est-ce qui se passe Gia? Tu m'as demandé de venir aussi vite que je le pouvais.

Gia se laisse lentement tomber sur ses pieds alors qu'elle reconnaît Denise, l'employée de la cafétéria que Julius lui a montré en train de baiser Buck. Son cœur se serre en se rendant compte que l'homme ne sera pas le sien, du moins pas ce soir. Elle se retient de pleurer et les invite à entrer. Elle regarde la femme noire qui suit le concierge. Les deux s'assoient côte à côte sur le canapé.

- Alors qu'est-ce qui ne va pas? Pourquoi c'était urgent que je vienne?

Gia combat ses larmes alors qu'elle a tant envie de sa grosse queue noire.

- J'ai eu une mauvaise semaine Buck, j'avais besoin de TE voir.

Elle insinue qu'elle avait besoin de le voir seul, mais il ne semble pas s'en soucier. Elle tombe à genoux devant lui et pose sa tête sur ses genoux. Denise la regarde tandis que Buck lui caresse doucement la tête. Avec sa tête cachée entre ses mains, elle commence à embrasser la queue dure de l'homme à travers le pantalon. Son envie grandit encore. C'est alors qu'elle entend Denise dire :

- Qu'est-ce que c'est que cette merde Buck? Que fais-tu à cette salope de professeure blanche.

Gia sourit intérieurement d'avoir agacé Denise. Elle espère que Buck va la renvoyer et restera avec elle. Le concierge dit alors :

- Attends Denise, Gia a besoin de réconfort, elle a eu une rude semaine. Je t'ai dit ce qui s'est passé avec Julius et ses copains.

La tête de Gia se relève :

- Buck, tu lui as tout dit?

Les larmes lui montent aux yeux en sachant que maintenant Denise pourrait lui faire du mal comme les autres.

- Ne t'inquiète pas Gia, Denise ne dira rien.

Elle sent une main sur son dos qui glisse jusqu'à ses fesses pour doucement les caresser. Puis la main s'introduit sous la ceinture du pantalon. Elle sent la douceur des doigts qui parcourent son cul nul et elle sent des ongles longs. C'est Denise!

- Tu sais Buck, cette petite chienne blanche a un beau petit cul. Dit la femme noire.

Elle serre la chair tendre et sa main continue plus bas. Elle demande :

- Que penses-tu si nous en profitions tous les deux?

Gia a une expression choquée en se rendant compte de ce qui va lui arriver.

- Je... je n'ai jamais été avec une femme avant.

L'idée ne lui semble pas désagréable, mais elle a un peu peur.

- Tu ne veux pas goûter une chatte noire petite salope? Qu'est-ce qui te fait penser que je vais vouloir de la chatte gluante que tu as entre tes jambes? Mais, peut-être si tu me lèches bien, je pourrais la vouloir.

Gia sent la main de Denise atteindre ses petites lèvres. Elle sursaute.

Elle a vu beaucoup de femmes nues dans sa vie, mais jamais une noire. Elle est à la fois ravie et inquiète. Denise l'attire vers ses pieds. Ses mains parcourent son corps alors qu'elle la regarde dans les yeux.

- Elle est un petit peu maigre. Dit Denise en essayant d'ouvrir son chemisier.

Gia jette un regard à Buck en espérant qu'il arrête tout cela. Mais elle peut le voir frotter son entrejambe et elle sait qu'il ne fera rien. Elle se tourne vers Denise pour voir la bouche de celle-ci se poser sur un de ses seins et aspirer.

Gia est nerveuse, c'est tout nouveau pour elle. Elle pose ses mains sur le dos de la femme noires qui sucent ses seins. Elle ferme les yeux et gémit.

-Hé Buck, les seins de cette salope sont si petits que je peux en tenir un entièrement dans ma bouche.

Elle rit avant de reprendre un nichon dans sa bouche pour montrer à l'homme qu'elle a raison. Gia voit qu'elle dit vrai et elle sent le nez de Denise contre sa gorge. La femme noire suce ses seins pendant un moment puis s'arrête et dit :

- Je vais te montrer ce qu'on appelle des nichons salope!

Elle enlève son haut pour révéler sa grosse poitrine qui fait du 115 C au moins. Denise prend ses seins et le fourre dans le visage de Gia.

- Allez, à toi chienne!

Gia regarde Buck, puis ouvre la bouche pour prendre un des mamelons.

Buck aime le contraste de la bouche blanche sur le sein noir. Sa queue se dresse quand il regarde Gia sucer les tétons. Denise attrape la tête de la professeure et essaie de la presser pour que plus de sein entre dans la bouche. Gia essaie de reculer mais l'autre femme est trop forte.

- Suce salope de professeure! Vous nous snobez toujours à la cafétéria vous les blancs. Mais maintenant c'est moi qui te regarde de haut sucer mon sein.

Gia sent la colère de Denise qui pousse son gros sein dans sa bouche.

- Tu crois que parce que tu as été à l'université, tu es trop bien pour faire plaisir à une femme noire. Suce bien! J'aurai d'autres choses à te donner à sucer plus tard.

Gia aspire le mamelon pour essayer de plaire à Denise. Elle regarde Buck qui a sorti sa belle queue et qui se branle. Elle voit la main se déplacer le long de l'engin et elle souhaiterait que ce soit sa bouche. Elle le veut. Elle le veut si ardemment qu'elle est prête à faire plaisir à sa copine pour l'avoir.

- Qu'en dis-tu Buck, si nous présentions à la petite professeure une chatte noire?

Denise fait un pas en arrière et baisse son pantalon. Gia regarde le buisson de poils noirs et bouclés qui se présente devant elle.

D'un geste du bras, la femme noire enlève tout ce qui se trouve sur la table basse et se couche dessus sur le dos. Elle lève les jambes et les écarte et montre du doigt à Gia qu'elle doit se mettre à genoux entre. Les petites lèvres de sa chatte sont légèrement écartées. Le contraste entre la peau d'un noir profond et les plis intérieures roses de la chatte hypnotise Gia. Elle n'a jamais vu de sexe de femme noire auparavant.

- Hé bien! Qu'est-ce que tu attends salope?

Denise écarte ses lèvres largement. Gia regarde Buck qui se masturbe encore en les épiant. Elle respire l'odeur musquée de la chatte qu'elle approche. Sa langue effleure les petites lèvres et les doigts de Denise en même temps.

Gia a déjà goûté sa chatte, et surtout ces derniers temps. Denise a, à peu près, le même goût même s'il est un peu différent. Elle a un énorme clitoris qui pointe sous son capot de protection. Gia passe sa langue dessus et elle peut entendre Denise gémir.

- Oh oui, mange-moi salope!

Gia obéit et pénètre la chatte avec sa langue. Denise se tortille sur la table. Elle jette ses jambes sur les épaules de l'enseignante. Celle-ci sent les pieds dans son dos alors qu'elle s'applique à manger la chatte pour faire jouir la femme noire. Les mains de Denise saisissent ses cheveux pour pousser la bouche contre son sexe. Les gémissements s'amplifient.

Gia n'a pas remarqué que Buck s'est levé, mais elle sent que l'on descend son pantalon sur ses jambes. Puis elle sent la grosse queue se positionner contre son cul serré. L'homme prend du jus de sa chatte pour lubrifier sa bite puis elle sent l'engin glisser entre ses fesses et pénétrer son trou du cul serré.

Elle mange la chatte de Denise avec application et ses efforts sont récompensés quand la femme crie qu'elle est sur le point de jouir. La grosse bite de Buck est sur le point de provoquer un orgasme à Gia en même temps. Les deux femmes jouissent au même moment. Gia essaie d'avaler le plus de jus qui tombe sur son menton tout en criant sa jouissance. Elle lèche et nettoie la chatte noire pendant que le concierge martèle son cul. Elle recule son bassin pour accompagner ses coups de rein. Quand il est sur le point de venir, Buck sort sa bite et gicle sur le cul de Gia en gémissant. L'enseignante quitte la chatte de Denise et se tourne pour nettoyer et avaler le reste de sperme sur la belle queue noire.

La femme noire pousse Gia à quatre pattes et se place derrière elle pour lécher le sperme de Buck sur les fesses exposées. Buck se remet à bander et se déplace derrière Denise. Gia aurait voulu sentir une nouvelle fois la grosse queue en elle, mais la langue de la femme noire lui fait du bien. Elle se déplace de la raie de son cul à sa chatte humide. Denise la force à se mettre sur ses coudes, le cul bien en l'air pour fournir un accès plus facile. Buck pénètre son amie, Gia l'entend crier et sa langue arrête momentanément de la lécher. Puis elle se remet au travail sur sa chatte et trouve le clitoris qu'elle se met à sucer.

Gia commence à balancer son corps en arrière pour répondre aux coups de langue. Ses mamelons traînent par terre et la blesse, mais elle sent un nouvel orgasme se former. Elle a du mal à reprendre son souffle après avoir joui, ses seins lui font mal. Elle entend Denise laper son jus. Puis la femme noire s'arrête. Gia comprend qu'elle va jouir elle aussi. Buck pousse une dernière fois, sort de la femme qui a un orgasme et éjacule sur elle. L'odeur musquée de sexe emplit la pièce. L'enseignante adore cette odeur maintenant.

Buck se lève et se laisse tomber sur le canapé, épuisé. Il dit :

- Je pense que vous avez besoin de vous nettoyer l'une l'autre.

Il sourit alors que les deux femmes se regardent. Denise s'allonge sur le sol et Gia prend place sur elle en 69. Pour cette fois, elle a une chatte à la place d'une queue en face de son visage. Elle nettoie le sperme de Buck avec sa langue, savourant le goût. De son côté Denise lape sa chatte.

Les deux femmes sont tellement occupées qu'elle ne remarque pas que Buck bande à nouveau. Il passe derrière Gia et Denise sent ses couilles glisser sur son front et son nez quand il pénètre la chatte humide de l'enseignante. La femme noire lèche les grosses couilles de concierge pendant qu'il baise Gia. Trois séries de gémissements retentissent dans la pièce. La professeure sent les gros mamelons durs de Denise frotter son ventre lisse. C'est une chose qu'elle n'a jamais connue auparavant. Mais elle décide de profiter de chaque moment de plaisir qu'elle peut obtenir du couple noir.

Buck saisit sa taille et pousse sa bite au fond de son vagin pour éjaculer. Puis il se retire, laissant Denise nettoyer le sperme qui suinte. Il s'assoit de nouveau sur le canapé et regarde les deux femmes qui se lèchent tout en caressant sa bite.

Mais bientôt Gia se déplace à côté de Denise. Les deux femmes ont besoin de reprendre leur souffle. Gia regarde le corps d'ébène de l'autre femme, ses seins énormes avec leurs tétons dressés. Puis elle voit Denise se mettre à genoux et se déplacer entre les genoux de Buck. L'enseignante ne veut pas qu'elle suce la grosse bite sans elle alors elle rejoint la femme et elles se battent presque pour prendre le gourdin en bouche.

Au bout d'un moment elles se mettent d'accord et se partage la bite. Leurs lèvres se rencontrent autour de la tige dressée de Buck. Elles se partagent aussi ses couilles qu'elles massent, câlinent et lèchent consciencieusement. Le concierge éjacule une nouvelle fois sur leurs visages. Les femmes s'appliquent à tout bien nettoyer.

Après un court repos, le couple noir s'habille est s'en va. Gia les supplie de rester pour la nuit, mais ils ne veulent pas. Avec mélancolie, elle les regarde s'en aller. Puis elle monte à l'étage pour prendre une douche avant de s'effondrer sur son lit, une serviette enroulée autour de son corps. L'alcool et le sexe ont raison d'elle et bientôt elle s'endort. Elle rêve de Buck et même de Denise dont le souvenir reste agréable.

Durant le week-end, elle essaie d'appeler Buck plusieurs fois. Mais elle tombe toujours sur son répondeur. Elle suppose alors qu'il est chez Denise. Le lundi matin, elle le cherche à l'université, mais elle apprend qu'il a pris un jour de congé. Son cœur se serre. Elle envisage de prendre elle-même un jour de congé maladie, mais comme elle n'avait pas travaillé vendredi après-midi, elle ne veut pas exagérer. Alors, elle se dirige vers sa première classe.

Alors qu'elle tourne dans un couloir pour descendre l'escalier vers sa salle de classe, elle sent quelqu'un pincer son cul. Elle se tourne et voit un garçon qu'elle ne connaît pas.

- Que pensez-vous faire jeune homme?

Elle pose la question d'un ton sévère, en essayant de se montrer sûr de soi. Mais le garçon la pousse dans les toilettes et sa main se pose et serre son sein droit.

- J'ai besoin d'une petite pipe professeure. Robert m'a dit que vous aimiez sucer les queues de noirs.

Gia a peur une fois de plus, encore un autre garçon à qui elle va devoir se soumettre. Il l'emmène dans la dernière cabine et la pousse à l'intérieur pour qu'elle s'asseye sur la cuvette des WC. Il ferme la porte et descend sa braguette. Gia reste assise et voit une queue noire apparaître. « Elle n'est pas vilaine » pense-t-elle. Les mains du garçon ouvrent son chemisier et baisse son soutien-gorge pour sortit ses seins. Il les tripote et présente sa bite à sa bouche. Gia avale le membre.

Elle n'a pas eu de bites depuis vendredi soir, alors elle en a envie. Et bien que celui-là ne soit pas celui qu'elle aurait voulu, elle s'applique et suce la queue que le garçon enfonce plus profondément dans sa bouche. Bientôt son gland touche le fond de sa gorge. Le jeune homme baise sa bouche tout en pinçant ses mamelons encore douloureux du vendredi. Ce n'est pas la queue de Buck, mais celle-ci est belle et jeune. Elle essaie de le faire éjaculer, non seulement pour en finir, mais aussi pour goûter la semence mâle une fois de plus. Elle grimace alors qu'il s'acharne sur ses tétons, et bientôt elle sent le foutre chaud qui inonde sa bouche. Elle avale.

Le garçon recule et elle le nettoie alors qu'il libère ses seins douloureux. Enfin il range sa queue ramollie en disant :

- Merci professeure, Robert avait raison, vous êtes une bonne suceuse.

Il la laisse là, assise sur la cuvette. Ses seins lui font mal quand elle remet son soutien-gorge. Puis elle boutonne son chemisier. Elle vérifie rapidement l'état de son visage et de ses cheveux avant de se précipiter vers sa classe où elle arrive cinq minutes en retard.

Toute la matinée, elle réfléchit à demander une mutation pour se sortir de ce piège. Elle sait que tôt ou tard l'administration de l'université saura. Mais, secrètement, elle aime cette attention qu'elle reçoit de tous ces possesseurs de bites noires.

A l'heure du déjeuner, elle va à la cafétéria où c'est son tour de surveillance. Elle regarde la salle et se demande combien de ces garçons ont eu une relation sexuelle avec elle. Soudain elle sent quelqu'un l'attraper par le bras et la tirer vers le bas sur un siège. Elle voit le visage de Julius lui sourire.

- Rejoignez-nous Gia!

Elle regarde tout autour et voit ses amis assis. La main du garçon se pose sur son entrejambe et masse sa chatte à travers le pantalon.

- Je t'ai manqué professeure? C'était un long week-end.

Gia est tendue. Un autre garçon prend le siège à côté d'elle et fait monter sa main sous son chemisier, puis il la passe sous la ceinture de son pantalon, et dans sa culotte pour atteindre sa chatte humide.

Elle reste assise, complètement figée. Elle regarde autour d'elle pour voir si quelqu'un remarque quelque chose. Mais toutes les autres personnes dans la cafétéria continuent leurs conversations comme si rien ne se passe.

- Hé Julius, cette salope a un clito bien dur.

Les doigts du garçon dansent sur son clitoris et elle sent qu'elle commence à bien mouiller.

- Je pense qu'elle a besoin d'une bonne queue. Qu'en penses-tu professeure?

Elle est humiliée, car elle est consciente qu'elle a laissé tout ça lui arriver. Elle est devenue un jouet de sexe, une esclave des bites noires, une salope qui en veut toujours plus. Le doigt sur son clitoris lui fait pousser un petit cri. Elle a des bouffées de chaleur, et un orgasme se construit dans son ventre. Elle sait que si elle jouit ici elle ne pourra jamais faire face à la situation.

- Retrouvez-moi à l'atelier automobile après le déjeuner! Murmure-t-elle en se tortillant pour déloger la main dans son pantalon.

Puis elle se lève et s'en va, le visage tout rouge de son humiliation.

A la fin du déjeuner, Gia va jusqu'à l'aile où se trouve l'atelier mécanique. Elle n'a pas de classe dans la prochaine période et personne ne viendra à l'atelier avant quatorze heures. Elle espère pouvoir prendre soin des garçons sans se faire attraper. Elle regarde à travers la porte ouverte et se rend compte qu'il n'y a que deux garçons. Ils sourient quand elle s'approche, contents de savoir qu'elle va faire tout ce qu'ils lui demanderont.

- Enlève tes fringues professeurs ou préfères-tu qu'on les arrache?

Ils rigolent pendant qu'elle commence à se déshabiller. Une fois qu'elle est nue, ils l'emmènent vers une banquette qui a été retirée d'une camionnette et ils lui demandent de se coucher dessus sur le dos. Les deux garçons prennent position à chaque extrémité.

Celui qu'elle ne connaît pas se baisse sur la banquette. Gia entend un clic et le dossier est baissé et fait une sorte de lit. Julius attrape avec ses mains ses deux seins pour les serrer. Elle grimace de douleur.

- On dirait que tes seins ont été frottés sur un tapis. Tu as été baisée sur un tapis Gia?

Il se met à rire tout en tordant ses tétons déjà douloureux. Elle glapit. Les deux garçons sortent leur bite. Elle jette un regard à chacune et salive. Elle est vraiment devenue accro à ces queues noires.

- Allez Michael, prends le trou que tu veux. Ça ne dérange pas Gia, n'est-ce pas?

Julius recommence à rire en secouant la tête et en sachant qu'elle n'a rien à dire en la matière. Il se baisse pour porter son épaisse queue aux lèvres féminines. Son membre s'enfonce dans sa bouche alors que l'autre garçon pénètre sa chatte. Ça pousse la bite au fond de sa gorge.

- Oh oui Gia, prend ma bite au fond de ta gorge. Tu es une bonne professeure blanche suceuse de bites.

Il se retire un peu puis enfonce à nouveau son sexe dans sa gorge. A chaque fois, Gia sent ses couilles frapper son nez.

L'autre garçon est inexpérimenté, mais l'épaisseur de sa bite étire sa chatte à chaque poussée. Ils la baisent en rythme, de plus en plus durement. A chaque fois que le garçon pénètre violemment sa chatte, son corps remonte sur la bite de Julius. Elle prie pour que ça se termine, mais son corps ne le veut pas. Julius est le premier à jouir, inondant sa gorge de son sperme épais. Elle avale alors que la bite ramollit entre ses lèvres. Ensuite l'autre garçon la fait jouir et gémir alors qu'il se vide dans son ventre.

Julius la force à nettoyer la bite de son copain. Elle obéit et lèche le sperme encore chaud sur son sexe. Ensuite les garçons rangent leur bite et laisse Gia sur la banquette. L'enseignante s'essuie la bouche et se rhabille. Ensuite elle va dans la salle des professeurs. Elle passe le reste de la journée sans incident.

Sur le chemin du retour chez elle, elle se maudit de céder si facilement à ses désirs. Elle a été violée, mais ils savaient qu'elle le voulait. Arrivée à la maison, elle se met à pleurer.

A suivre...