Texte de Coulybaca.
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Les trois femmes se soumettent à leurs "maîtres".
Vers 9 heures du matin, le soleil et les tendres caresses de Denise réveillèrent Ibrahim. Allongée à ses cotés, elle caressait tout son corps de ses mains fébriles, explorant le corps de son maître.
Elle savait déjà qu'elle lui appartenait, il l'avait trop marquée, il lui faisait trop bien l'amour, elle ne pourrait plus rien lui refuser, pensait-elle sans même penser à son mari.
Se penchant sur son ventre, elle empoigna sa virilité et avec des gestes doux, tendres, elle lui caressa fiévreusement les testicules et la hampe. Déjà sa bite prenait de la consistance entre ses doigts malhabiles. Elle posa les lèvres sur le méat et l'embrassa amoureusement, puis elle suivit de la pointe de la langue une veine qui battait le long de l'épaisse hampe, et ce jusqu'aux testicules velues, elle les mâchouilla alors sans se préoccuper des poils qui gênaient ses efforts, puis elle remonta au méat et emboucha la flamberge frémissante.
Etonné il la laissait faire, c'était la première fois qu'une victime qu'il pliait à subir ses assauts réagissait ainsi, une femme mariée de surcroît, il envisageait déjà les suites qu'il donnerait à cet enthousiasme, elle pourrait lui rendre de gros services dans son bar.
Pour l'instant, s'y reprenant à plusieurs reprises, variant les angles elle cherchait à l'admettre dans son arrière gorge, au-delà de ses amygdales, elle savait que c'était possible et connaissait la manœuvre ayant visionné dernièrement le film "gorges profondes". Enfin, en déglutissant elle parvint à lui faire franchir le seuil de sa luette, elle respirait à petits à coups par les narines adaptant le rythme de ses avalements à celui de sa respiration.
Ebloui il se laissait faire, bientôt ses flancs frémirent, elle comprit le message, sa langue se fit encore plus agile, sa bouche plus suave et avec ravissement elle avala le foutre qu'il crachait à flots continus dans sa bouche et sa gorge accueillantes.
Elle extrait sa bite de sa bouche, et en petite ménagère accomplie elle entama un nettoyage détaillé de sa bite, la léchant de bas en haut, suçotant la dernière goutte suintant de son méat, avant de se laisser retomber repus entre ses bras.
Il décida qu'après cette débauche de câlins, ils pouvaient bien s'accorder une grasse matinée, et alors qu'elle se levait dans la douce chaleur, il ferma les yeux et somnola.
Lorsqu'elle s'éveilla une bonne heure plus tard, elle s'ébroua et vit qu'il fouillait son sac en main, il en sortit son portefeuille et commença à déchiffrer ses papiers.
- "Tu es enseignante en primaire... Ton mari est responsable de forages de pétroles... Il doit pas souvent être là dis donc ?"
- "Non... Il est souvent pris par son travail... Actuellement il est parti pour une période de trois mois au Tchad."
Il poursuivit en sortant des photos :
- "C'est une photo de ton mariage ! Qui sont ces personnes ?"
Et saisissant la photo elle se mit à la lui décrire :
- "Là c'est Sylvie, ma belle mère."
- "Drôlement baisable la belle-mère. Elle parait bien jeune pour avoir un fils de 28 ans. Que fait-elle dans la vie ?"
- "Ce n'est pas la mère de Luc mon mari. C'est un remariage. Elle a 35 ans et elle s'occupe de ses deux enfants. Marc son mari et père de Luc est suffisamment riche pour qu'elle n'ait rien à faire. C'est lui le PDG de l'entreprise de forage dans laquelle travaille mon mari.
- "Céline ma jeune sœur, Michèle ma mère...
- "Elle parait drôlement bien conservée ta mère, quel âge a-t-elle ? As-tu des photos d'elle et de ta belle-mère en maillot de bain ? J'aimerai bien les voir un peu plus en détail.
- Non je n'ai pas de photos d'elle en bikini... mais peut-être... Céline emmène souvent des classeurs de photos. Il faudra lui demander. Ma mère a 45 ans, elle s'occupe de la maison de mon père qui est, tu le sais député de notre circonscription."
- "Hélène, sa sœur cadette et sa mère. Même chose, si tu veux en savoir plus, il faudra regarder les classeurs photos qu'elle ne doit pas avoir manqué d'emmener avec elle. Et différentes amies..."
Déjà Ibrahim se projetait dans l'avenir, comment pourrait il bien soumettre ces délicieuses femelles, les plier à sa volonté, les ajouter à son harem.
Inconsciente de ces pensées lubriques, Denise consciente de sa dépendance lui demandait alors :
- "Que puis-je mettre ce matin ?"
Il fouilla rapidement sa valise et en sortit une micro jupette de tennis et un vaste tee-shirt.
- "Enfile moi ça... On verra plus tard si le temps rafraîchissait."
- "Mais..." Voulut protester Denise consciente que cette tenue ne ferait que dévoiler ses charmes, alors qu'elle aurait voulu les dissimuler aux yeux de leurs compagnons.
Dans les tentes voisines aussi on se réveillait. Coincée entre Robert et Ahmed, Hélène s'ébrouait. Elle s'étonna tout d'abord, le temps de se remémorer les événements de la veille, de se réveiller lovée dans la chaleur de deux partenaires.
Elle sursauta lorsque tout lui revint. Ce mouvement incontrôlé réveilla les deux hommes qui instinctivement se serrèrent contre elle. Rapidement elle sentit leurs bites s'ériger, consciente qu'elle n'y échapperait pas, elle tentait de rester immobile espérant tout au moins de repousser leur assaut. Ne les voyant pas bouger, elle espéra un instant pouvoir se lever sans les réveiller, elle rampa vers le haut du lit, mais c'était trop, immédiatement un bras lui enserra la taille, la ramenant à sa position initiale.
Déjà Robert lui levait la jambe au dessus de son bassin et tendant le ventre s'introduisait lentement dans sa chatte légèrement humide. Ahmed, yeux grand ouvert le regardait faire glissant un coup d'œil curieux au dessus de son épaule, puis comme sa position dégageait confortablement sa raie culière, il y porta la main.
Elle frémit au contact de ses doigts qui cherchaient et trouvaient rapidement sa rosette palpitante.
Elle gardait le souvenir d'un empalement sévère, douloureux, se muant lentement en une savoureuse enculade. C'est vrai que depuis la veille au soir elle n'avait plus aucune virginité à offrir, et dire qu'elle refusait mordicus l'accès de ses reins à Gérald, son petit ami de toujours. Que dirait-il s'il venait savoir dans quelles circonstances humiliantes elle avait perdu son dernier pucelage ?
Mais devait-il le savoir après tout ?
Qui le lui dirait ? Toujours pas elle, pas plus que ses cousines ?
De toute manière elle lui avait déjà donné son bien le plus précieux, son pucelage !
Ahmed n'avait que faire de ses pensées, il s'était calé entre ses fesses et d'une tape sur le bras avait réclamé l'assistance de Robert qui s'immobilisa le laissant mener à bien son projet. Elle sentit sa pastille anale s'arrondir sous la pression et admettre souplement le gland dont visiblement son corps gardait l'empreinte, il n'eut pas à forcer pour s'engloutir dans son intestin frémissant.
Ils alternèrent alors pénétrations et retraits la labourant de concert avec une efficacité totale, bientôt elle gémit sourdement :
- "Ahhhhhhhhh... Mmmmmmmmmmm... Oh oui... Ouiiiii... Encore... Oh oui..."
Ses cris ravis provoquèrent rapidement l'éjaculation de ses deux partenaires, ils sombrèrent tous trois dans un orgasme intense.
Toujours imbriqués en elle, le temps de reprendre leur respiration, ils l'autorisaient à enfiler un long tee-shirt qui lui tombait sous les fesses, à ras la foufoune.
Ces cris et bruits avaient réveillé le dernier trio. A quatre pattes Céline suçait Moktar tandis que Denis la pénétrait en chatte sur un rythme paresseux, ils étaient tout à l'écoute du couple et du trio qui les environnaient. Lorsqu'ils comprirent que leurs copains allaient se vider les couilles dans leurs proies respectives, ils se sentirent si excités qu'incapable de contrôler le flot de sève durcissant leurs couilles, ils se vidèrent à grandes giclées dans sa bouche et dans sa moule. De même le temps de respirer et ils l'autorisaient à enfiler un chandail à résille sur un short aux larges enjambures.
A suivre...
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