lundi 7 février 2022

Paiement de loyer - Ch. 09

Texte de gkcdqho

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Léa devient une vraie pute.

Le lendemain soir, une fois que Léo a quitté l'appartement, je descends, pressée de retrouver Mario d'autant que mon cul me fait moins mal. Il fallait le déboucher, voilà tout. Je suis rapidement devant sa porte. Je sonne :
 
- Entre Léa c'est ouvert !

J'entre au salon. Mario boit une bière avec une dizaine d'autres hommes, principalement des Arabes et des Noirs.
 
- Si tu viens me sucer, fais-le ici, au milieu de la pièce !

Il tient à montrer sa domination sur la jeune bourgeoise que je suis. Il sait déjà que pour lui, j'irais jusqu'au bout de ses turpitudes et il abuse clairement de son pouvoir sur moi. Après une demi-seconde d'hésitation, j'accepte la requête. Comme je commence ma tâche, des rires gras et salaces se font entendre, rapidement éteints devant mon application de salope.

Les hommes se taisent et sortent leur queue, bien décidés à profiter du spectacle. Cette situation redouble mon excitation, je demande à Mario de me prendre sur le champ. Mario m'ordonne de me mettre le ventre sur la table. Pendant qu'il me besogne, il peut ainsi m'écarter les fesses, pour contempler mon trou de balle. 

C'est alors qu'une queue énorme se présente devant mes yeux. C'est un Arabe qui tente carrément de rentrer son sexe dans ma bouche. Comme je n'aime pas ce genre d'individu, je tergiverse. Mario m'ordonne de sucer son pote. Je m'exécute. Ma moule limée, ma bouche pleine, je me sens comme une héroïne de vidéos pornos. Le plus jeune des hommes, n'en tenant plus devant ce spectacle, m'éjacule dans le creux des reins. La chaleur du foutre sur ma peau accroît mon excitation.

- Va y ! Encule moi ! Que je crie à Mario, bien décidée à montrer que j'en ai envie.

Mario refuse et demande à l'Arabe que je suce, dont la queue est aussi longue mais encore plus large que la sienne, de le faire à sa place. Pour que je puisse être correctement sodomisée par son pote, Mario s'allonge par terre et me demande de me mettre à cheval sur lui.

Cette fois, je me retiens de faire ma mijaurée mais j'e n'en mène pas large face à cette queue qui doit faire pas loin de six cm de large. Mon anus est tendu et l'Arabe commence à s'énerver.

- Ouvre ton trou du cul Kabha !

Comme il force à la fois les mains sur mes épaules et son gland contre mon anus, cela finit par rentrer. 

Prise violemment dans les deux trous, je connaît l'orgasme le plus puissant que je ai connu jusqu'à présent. A demi-évanouie, ma tête est soutenue par un autre homme, un Gitan, qui en profite pour tenter de se faire sucer. Pas encore descendue de mon septième ciel, réalisant à peine ce qui m'arrive,  je ne songe pas à ouvrir la bouche. 

Pressé de se vider les couilles, le Gitan me pince le nez, ce qui m'empêche de respirer, et me force à ouvrir ma bouche. Ainsi, il peut enfourner sa queue. Il éjacule très rapidement dans ma bouche chaude et humide. Je bave maintenant d'un mélange de foutre et de salive. Cela n'arrête pas, les hommes veulent tous s'enfoncer entre mes lèvres. 

Pendant que je suce ses amis à la chaîne, Mario jouit dans ma grotte. Il se retire alors et cède sa place à un de ses potes tandis qu'il vient se faire sucer pour regagner sa vigueur perdue. Il ne lui faut pas longtemps avant de rebander. Entre-temps, l'Arabe qui me sodomisait a joui. De façon à ne pas trop graisser la voie pour ses copains, il a eu la délicatesse d'aller se finir dans ma bouche. Ainsi, Mario peut aller enculer la nouvelle soumise. 

Le gang-bang se prolonge toute la nuit. Mon corps entier est blanchi, maculé de sperme. Enfin, il se fait tard et les hommes, les couilles vidées et bien vidées, songent à regagner leurs foyers. Lorsque je tente d'embrasser Mario pour lui dire au revoir, il me repousse. Je lui demande si je peux prendre une douche. Il me répond qu'il y a sûrement une douche chez moi.

Alors, c'est nue, épuisée et remplie, que je sort de chez Mario, je remonte chez moi.

Léo rentre le lendemain matin de travail. Comment vais-je accueillir ce sous-homme qui me semble désormais plus étranger que jamais.

 ****

Ce soir, vingt et une heure, Léo est parti travailler, Mr Alain déboule avec Mario. Mr Alain nous pilote dans toute la ville pour nous montrer les coins chauds. Assise sur la banquette arrière avec Mario qui me pelote et m'embrasse,  je le branle un peu, ce qui me rends folle de désir.

Puis ensuite Mario me baise à l'arrière de la voiture pendant qu'on circule dans la nuit. Comme je suis partie complètement, Mr Alain appelle un ami congolais qui tient un night-club près de la gare, en plein dans le quartier qu'on surnomme Chicago, pour lui proposer une attraction impromptue. Je suis déjà nue par cette chaude nuit d’été. 

Pour aller de la voiture à l'entrée je passe un imper genre trench-coat. Mes yeux sont bandés par un de mes bas faisant office de foulard. Dans le bureau du patron, je suis mise nue à nouveau, caressée par lui qui me roule la pointe des seins dans ses doigts avant de m'en enfoncer trois doigts dans ma moule trempée à souhait. Pendant qu'il me branle et que je frémis, il m'embrasse à pleine bouche pour me faire sienne un peu plus.

Quand je suis sur le point de jouir vraiment il arrête son petit jeu et me dit à mi-voix :  

- Tu mérites mieux que ça, il te faut de vrais hommes qui te remplissent bien !

Après une double tournée d'un alcool sombre et fort, Mario et lui me descendent dans le club, où il y a peu de monde. Il me font traverser toute la boîte, toujours intégralement à poil en me caressant les fesses, le ventre et les seins jusqu'à la salle de billard du fond où trois clients et l'un des barman, très mince et très grand, prennent le relais. 

Le patron pose une poignée de capotes au coin d'un des billards pendant que Mario m'enfile dans ma moule détrempé le gros bout d'une queue de billard, pour inaugurer le passage. Allongée sur le tapis vert les cuisses grandes ouvertes je gémis en bougeant mon bassin vers l'avant. Un géant filiforme a sorti un engin conforme à sa morphologie, très long, dur et mince pour l'enfoncer dans ma bouche de salope aussi loin qu'il peut, étouffant mes gémissements. Les trois autres ont le glaive en main, trois tiges énormes d'ébène.

Le plus vieux, trapu au crâne rasé et aux lèvres épaisses me tire jusqu'au bord de la table de jeu et remplace avantageusement la queue de billard par la sienne, dûment couronnée d'un condom XX large d'un beau noir luisant. Bien qu'excitée depuis des heures j'en ai un peu le souffle coupé par l'intromission du gland, énorme, violet foncé mais ma moule avale ensuite les vingt cinq cm. Je feule faiblement suçant toujours avidement l'engin fiché entre mes lèvres supérieures.

Le locataire de ma grotte se met à imprimer des va et vient dans mon puits d'amour gluant et palpitant. Celui que je suce m’envoie une grande goulée de sperme dans la gorge, vu qu'il est déjà au fond et qu'il n'a pas mis de préservatif. J'avale le tout avec délice, lui pressant encore les couilles d'une main fébrile. Un des autres prend la place, il revêtu d'une protection. Autant ma moule est élastique, autant ma bouche ne l'est pas. 

Il force son pieu énorme de plus de sept cm de diamètre à entrer tant il est frustré de se branler uniquement. C'est un colosse musculeux, très sombre de peau, King Kong en costume de soie groseille, pantalon aux chevilles. Comme je n'arrive pas à le sucer, la commissures de mes lèvres est distendues au maximum, il se branle dans ma bouche en me traitant de pute blanche. Le vieux a fini par se vider dans sa capote entre mes jambes. Ma tête ballotte en tous sens, en proie à une profonde jouissance, de celles qui ne s'arrêtent pas à une seul saillie, chez moi ça peut durer des heures, jusqu'à épuisement.

Le costaud change d'orifice, entre cette fois sans problème et il se met à me secouer sans ménagement pendant que je hurle et râle sans cesse, la bouche libre pour l'instant. L'engin hors nomes me possède à ce rythme pendant un quart d'heure pendant que le troisième m'a enfin embouchée. Il est super monté, mais raisonnablement, comparé a mes deux premiers occupants. Celui-là je peux le déguster vraiment en faisant tourner ma langue autour du gland et de la hampe, mordillant le méat, car il n'a pas mis de capote. 

D'une main plus distraite, je masturbe maintenant le patron qui me promet à mi-voix d'autres nuits africaines à chaque escapade gourmande.  King Kong se retire  d'un seul coup, jouissance finie et vide sa capote de laitance sur mon ventre, je râle parce que  mon puits d'amour est si brutalement délaissé, mais le troisième vient le combler, heureusement d'à peine plus de vingt cm de chair dure et brûlante. J'en sourit et soupire d'aise disant :

- Oh oui, encore, baisez-moi encore !

Il me ramène les jambes sur les épaules et m'imprime un rythme soutenu et profond pendant au moins dix minutes avant d'accélérer de plus en plus la cadence. Un vrai marteau pilon devenu fou et je jouis profondément, longtemps, toute ouverte et abandonnée au plaisir avec un hurlement modulé comme une plainte heureuse. Il se finit juste à l'entrée de ma grotte aux plaisirs, sur mon pubis imberbe. 

Mais c'est loin d'être terminé !!

Le filiforme barman veut encore profiter de moi, et du côté pile qui n'a pu être honoré. Le patron me fait mettre à genoux sur un pouf en cuir près d'un canapé recouvert d'une peau de zèbre. Je tourne ma tête vers eux par dessus mon épaule, je les regarde tous. Le barman enfonce brièvement son gland bulbeux dans la mouille de ma moule pour lubrifier sa bite enfiler une nouvelle capote en forçant quand même un peu, il enfonce son braquemart lentement dans mon puits d'amour arrière. Je me mords les lèvres, entre douleur et désir, jusqu'à ce que je crispe mon ventre car il a dépassé la petite porte de mes reins. Je lui demande : 

- Tu me fais mal, retire-toi un peu s'il te plaît.

 Ce qu'il fait. Alors il me soulève sans effort et me prend contre lui, toujours fiché dans mon fondement, il s'assoit dans le canapé, il me tient les jambes ouvertes et relevées en grenouille pendant que le patron s'enfonce dans ma grotte d'amour jusqu'au fond. Alors ils me liment doucement d'abord, en cadence. Ils doivent avoir l'habitude de partager ainsi leurs proies, puis ils alternent les rythmes, en baiseurs africains accomplis. Ils me font devenir complètement folle de jouissance et d'orgasme. Ils me disent : 

-  Maintenant tu nous appartiens ! On va t'acheter pour notre plaisir et t'offrir à tous nos copains !

Leurs paroles décuplent encore plus ma jouissance, jusqu'à ce que je m'évanouisse presque quand ils me remplissent simultanément le ventre de leurs sperme.

Nous quittons tous les trois cet endroit de luxure. Dans la voiture je m’effondre en larmes.

-  Je suis encore devenue une pute et le comble c'est que je n’ai pas pu m’empêcher de jouir énormément.

Mario me prends dans ses bras et me console. Mr Alain nous dépose enfin devant notre immeuble. En rentrant Mario m'invite à boire un dernier verre. Tu parles, comme si je n'avais pas compris qu'il veux encore me sauter une dernière fois avant que je remonte chez moi.

Devant sa porte, je vois deux hommes qui attendent. Ils ont l'air tous les deux très jeunes, ils sont habillés comme des adolescents avec des jeans, des tee-shirts et des baskets. Mais ils ont l'air d'être assez bien outillés.

- On t'attendait ! Dit l'un deux à Mario.

Mario ouvre sa porte et les invite a rentrer.  Je dis d'un air malicieux :

- Bonsoir les garçons. Vous n'avez pas passé l'heure du coucher ?

- On t'attendait pour pouvoir profiter d'une aussi jolie pouffe que toi. Me répond l'un des deux.

Ils sont plutôt mignons et je veux sentir leur jeune virilité en moi.

- Très bien les gars, vous pouvez la baiser au tant que vous le voulez. Dit Mario.

Après ces mots, le plus grand se précipite et commence à tripoter ma poitrine. Il la malaxe, la soupèse, joue avec mes mamelons. L'autre jeune se met à genoux sous ma jupe et s'amuse avec mon clitoris. Je trouve agréable d'avoir ces jeunes qui explorent mon corps. J'ai l'impression de rajeunir. Ça me fait chaud au cœur de voir que des jeunes hommes ont envie de moi.

- Oh oui les garçons, profitez de moi !

Ils me mettent à genoux et présentent leur bite. À tour de rôle je les suce, alternant caresses et succions. Après quelques minutes, le grand me prend par le bras et me tire au milieu devant le canapé de Mario. Il s'assoit sur le bord du canapé et me tire vers lui. Il veut que je chevauche sa bite. J'enroule mes jambes autour de sa taille et je m'empale sur sa jeune queue. Je pousse mes seins en avant sur son visage. Il commence à sucer et mordiller mes tétons alors que je le chevauche.

J'ai oublié l'autre garçon jusqu'au moment où je sens une queue qui pousse contre l'entrée de mon petit puits d'amour. Il attrape mes seins et celui que je chevauche me soulève un peu. En tandem, ils me baisent. Je ne bouge pas alors qu'ils s'enfoncent en rythme dans ma chatte et dans mon cul. Mes puits d'amour adorent ce traitement. J'aime que deux jeunes bites me baisent.

- Mon Dieu ! Oui les garçons, baisez-moi c'est trop bon.

Mario me demande alors :

- Eh bien Léa ? Que dirait ton mari s'il te voyait ?

- Oh ! OH ! OH ! Je m'en fous. Je veux profiter de ces bites, elles sont trop bonnes.

Les jeunes garçons sont très endurants et me baisent longuement. Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin. Ils me libèrent et me positionnent à genou. Mario triture mes seins et pince mes mamelons pendant que les jeunes se tiennent au-dessus de moi en se masturbant.

- Allez les garçons, venez jouir dans ma bouche de salope, couvrez-moi de votre foutre.

J'aime parler comme une putain. Les deux garçons éjaculent dans ma bouche et j'avale tout leur foutre.

- MMMMMM !

J'aime le goût de leur foutre. L'un d'entre eux dit alors :

- Oh c'était génial! C'est vraiment une sale pute! Quand seras-tu là ?

- Je vais voir si je peux faire travailler mon mari la nuit. Et si je Mario le veut, je serai là pour vous, jolis bites. 

Je rentre à cinq heures du matin après avoir sucé et avalé le jus de Mario. Il y eut beaucoup d'hommes qui sont venus  pour me baiser. J'en ai perdu le compte. Et tous mes orifices sont douloureux.

J'entre dans ma chambre et je me regarde dans le miroir. Je pue le sperme. Mais l'odeur m'excite de plus en plus. Je passe le reste de la nuit avec mes vêtements couverts du sperme et je me masturbe sans cesse. J'aime être une sale pute. Je veux plus. Qu'est-ce que Mr Alain va-t-il me faire faire ensuite ? Je ne peux pas attendre. 

A suivre...

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