Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 17

Auteur inconnu.

Le cocu finit par perdre sa femme.

Pendant que je cours dans la rue pour aller acheter une vingtaine de capotes afin qu'un maximum de gars puissent se soulager entre les cuisses de ma femme, Akim lui lime la chatte assez brutalement, et Youss lui tiens la tête. Rachid finit de se dessaper, il sort une bite de malade, Youss tourne la tête de ma femme vers cette grosse queue et lui dit :

- Voilà la suivante ! 

Rachid s'approche, il se met à genoux sur le canapé, la bite bien tendue vers le visage de Sarah, et il la lui met dans la bouche. Elle recommence à pomper, même si on peut voir qu'elle commence à avoir mal partout. En fait ils s’en foutent pas mal. 

Chacun des potes se branle la bite, l'un dans le vagin de Sarah, l'autre dans sa bouche, et ils gémissent tous les deux comme deux bourrins en train de baiser. Sarah ressemble de plus en plus à un morceau de viande sans importance, juste deux trous que des gars utilisent pour soulager leurs queues.

Je reviens au bout d'une dizaine de minutes, avec tout un tas de capotes dans mes poches, j'en ai pris une trentaine pour plus de sécurité. J'ai les joues en feu, je ne sais plus où je suis, j'ai l'impression de vivre un cauchemar. J'en sors une de ma poche et je la tends à celui qui défonce la chatte de ma femme. Il ne se retourne même pas vers moi, je vois juste son dos et ses fesses qui bougent au rythme de ses coups de bites, et il me dit :

- Finalement, je continue à la baiser sans capotes, connard. Elle va prendre du jus, cette putain ! C'est trop bon de faire coulisser ma grosse queue dans cette chatte de meuf mariée, ahhhhhhh....

Et il se met à jouir abondamment dans la vulve de Sarah. Le dernier arrivé se lève en sortant sa queue de la bouche de ma femme, et il vient prendre la place de son autre pote. Dès que le premier est sorti, le deuxième enfonce son gros gourdin dans cette petite chatte chaude et martyrisée. Je lui tends aussi une capote, et il me répond :

- Vas te faire foutre, pauvre lopette !!

Je comprends finalement qu’ils prennent trop leur pied à l'enfiler sans capotes et que celles que j'ai achetées ne serviront à rien.

Akim se lève, la queue débandant doucement, il me regarde d'un air bizarre, le regard lourd, et il se dirige vers moi, il me dit :

- On va faire un jeu le cocu. 

Il m’explique qu’on va boire un verre d’alcool fort puis faire un bras de fer. Pour pimenter le jeu il m’oblige à parier de l’argent. Soumis, je m'exécute et sans surprise je perds. Je perds une fois, puis deux, puis trois. L’alcool monte vraiment beaucoup à ma tête et mon portefeuille pourtant bien fourni se vide dangereusement. Je paie celui qui me fait cocu. 

Youss est toujours assis sur le canapé, et juste à côté du dernier pote qui baise vigoureusement ma femme, en levrette. Il se retire juste à ce moment, et viens s'asseoir sur le canapé qui est maintenant maculé de taches douteuses. Il empale Sarah sur sa queue, face à face. Pendant qu'elle commence à monter et à descendre sur son gros gourdin, il lui lèche goulûment les seins et lui caresse les hanches et les fesses. Enfin si les grosses claques sont des caresses. On distingue bien les traces de doigts. Et elle, elle lui dit merci et l’embrasse langoureusement.

Youss allume la télé, pendant que son pote se tape ma femme qui monte et descend sur ses genoux, et il regarde le téléphone portable pour voir si d'autres copains sont dans le coin cette nuit. Son pote qui continue de limer Sarah dit, la tête entre ses seins :

- Je vais l'enculer, cette salope, je vais l'enculer !! 

Et là stupeur c’est Sarah elle-même qui prend le monstre de chair pour se l’enfoncer d’un seul coup dans le fondement en poussant un râle roque et profond.

Quinze minutes après, je suis complètement saoul et je commence à être dans les vapes. Je ne peux comprendre ce qu’il se passe que par bribes et il n’est pas encore 22h00. J’aperçois Akim qui s'assied devant l’ordinateur qui est dans le salon pour brancher la webcam. Youss se rapproche de lui, toujours à poil, sa grosse queue pendante entre ses cuisses. Je me fais la réflexion que, au repos, sa bite à la taille que fait la mienne en érection. J'ai l'impression d'être en dehors de la réalité, ce qui m'arrive est à la fois terrifiant et terriblement excitant, la réalisation de mon destin, d'un destin inscrit depuis toujours. Je suis comateux, un des potes tringle ma femme sur le canapé comme si elle était sa femme, et les deux autres, qui l'ont tirée sans capotes juste avant, filment les deux animaux qui copulent. Sarah est comme une proie que trois prédateurs auraient capturée et qu'ils s'apprêtent à dévorer.

A ce moment, l'autre pote jouit bruyamment dans le cul de Sarah, et elle gémit fort. Il n’y a pas de doute elle vient d’avoir un nouvel orgasme foudroyant.

Je finis par m’endormir. La nuit continue, ils baisent Sarah chacun leur tour plusieurs fois et bien sûr aussi à plusieurs en même temps. Toutes les pièces sont visitées, ils la ravagent dans la chambre principalement, et des fois sur la table de la cuisine et dans la salle de bain. Ils filment leurs ébats avec elle, et font tourner les vidéos par téléphone et sur leur facebook, super fiers de leurs exploits sexuels collectifs. Je ne sais pas si je rêve ou si je capte des moments réels.

Le lendemain, je reprends connaissance. Les trois sont en train de vider mon frigo. J'entends la douche,  ça doit être Sarah. Je me relève, je passe entre les cadavres de bouteille pour les rejoindre dans la cuisine, ils éclatent de rire en me voyant entrer. Devant mon air effondré, Youss dit : 

- 6 fois !

Akim dit :

- Moi 5 !

Et Rachid dit :

- 5 aussi !

Je comprends qu’ils parlent du nombre de fois où ils ont sauté ma femme au total, je compte, cela fait 16 fois. C'est tellement énorme que je n'en reviens pas. 

Je ne comprends pas à qui sont les habits et les chaussures dans l’entrée. Je commence à réaliser que j'entends des gémissements. Et il ne semble pas y avoir qu’une seule voix féminine. Les colosses m’expliquent qu’ils ont fait venir la meilleure amie de Sarah et deux potes à eux. Ils s’amusent à regarder les vidéos faites. C’est d’un hard sans nom. Les pénétrations sont profondes, intenses et sans discontinuer. Sarah et Hélène se livre à une compétition de la plus grosse salope. Elles sucent en gorge profonde, réclament de se faire baiser plus fort et dans tous les trous. Les mecs sont insultants et les filles les embrassent amoureusement. 

Les potes sont pliés de rire. Sarah et Hélène entrent à ce moment-là, seins nus avec une serviette autour de la taille. Deux blacks sont derrière elles. Youss et Akim se lèvent, les attrapent par les hanches, caressent leurs seins. Akim sort la thune qu’il m’a tiré de sa poche, et dit à Hélène :

- Tu viens, on va faire les boutiques ? J'ai envie de t'enfiler ma grosse bite dans une cabine d'essayage.

Elle sourit, il lui roule une pelle en lui mettant la main au cul. Youss propose la même chose à Sarah en lui disant :

- On fait la même chose salope. A moins que tu aies peur de ne pas assumer. 

Pour toute réponse elle pose sa main sur sa queue et dit :

- Vous nous laissez 15 minutes pour nous préparer.

Les trois amis de Youss et Akim partent enfin, je reste avec les deux compères qui rigolent sur mon cas. Les filles reviennent habillées de façon très provocante. Elles partent avec les garçons avec une belle main sur le cul de chacune de leur conquêtes. Comble de tout, Youss me prend mes clefs en me disant :

- A partir de maintenant c’est chez moi ici. Tu n'as plus besoin de tes clefs alors que moi je dois pouvoir venir quand je veux pour décharger sur la petite salope blanche…

FIN.