Texte de gkcdqho
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Léa est baisée par son beau-frère.
Mr Alain est venu me rechercher.
Nous revenons à mon appartement. Je remarque que mon propriétaire a un autre sac du sex-shop avec lui, mais je n'ai aucune idée de ce qui peut être à l'intérieur. Il s'assoit sur mon canapé et allume la télé. Il est presque quatorze heures. Il passe sur une chaîne sportive où un match de football vient de commencer. Il m'ordonne d'aller m'habiller avec ce que j'ai essayé dans le magasin. Je pars dans ma chambre et je prends mon temps pour m'habiller. Je déteste le football.
Mr Alain a posé le sac à côté de lui sur le canapé. Il me regarde et me demande de m'agenouiller. J'obéis. Il tend la main vers le sac et fouille dedans. Il en ressort un collier noir avec des clous dorés et une chaîne métallique reliée au collier.
- Penche-toi en avant !
Je le fais et il attache le collier autour de mon cou.
- Tu es ma chienne Léa et tu m'obéiras, Comprends-tu ?
- Oui Monsieur.
- Bonne fille ! Maintenant mets-toi à genoux sur le sol et suce ma bite. Tu ferais bien de mieux t'appliquer que Mia !
- Oui Monsieur.
Je prends sa bite et je commence à le sucer. Pendant ce temps il regarde le match à la télévision. Mia doit vraiment mal sucer car il ne lui faut pas longtemps avant de se vider dans ma bouche. Le goût de son sperme est toujours aussi fort. Je nettoie proprement sa queue.
- AAAARRFFF !! Bonne fille ! Assis-toi !
Je m'assieds sur le sol, toujours tenue en laisse par mon propriétaire. C'est très excitant, mais je n'aime pas trop le port du collier, j'ai l'impression d'être étouffée. Je reste assise là très longtemps. Le match doit durer encore vingt bonnes minutes. Sans prévenir, Mr Alain tire sur la laisse. Je m'évanouis presque sous la force du coup.
- Léa, je reste jusqu'à la fin du match donc recommence à me sucer la bite.
Son ton de voix me parait inquiétant donc je commence à sucer sa bite une fois de plus. Alors que j'essaie de lui pratiquer une bonne fellation, je suis soudainement frappé par un liquide chaud dans ma bouche. Il urine dans ma gorge. Ça sort de sa bite avec un grand jet. Je m'étrangle sur le liquide, je n'arrive pas à tout avaler. J'essaie de bouger la tête mais Mr Alain tient solidement la laisse. C'est long, l'urine s'échappe de ma bouche et tombe sur son pantalon.
Quand il a fini de se vider, il lâche la laisse. Je cours dans la salle de bain en toussant, m'étranglant et essayant de respirer. J'en suis malade, sa pisse chaude est maintenant dans mon estomac. Je vomis dans les toilettes.
Je sais que je suis très excitée lorsque que l'on me baise comme une pute, mais ce n'est pas le cas actuellement. J'ai envie de me révolter. J'ai l'air d'une chienne puante qui vit dans la rue. Je suis tombée bien bas.
Je retourne dans mon salon et je me rends compte que le match est terminé. Lorsqu'il me voit, mon propriétaire éclate de rire :
- AH ah ah ah. ! Quel est le problème Léa ? Tu avais aimé l'autre jour.
- Oui ! Mais j'étais très excitée et je le voulais bien. Mais pas là.
- Ah ah ! Je m'en fous! Nettoie-toi bien salope, tu as deux visiteurs qui vont venir pour toi bientôt.
- Qui est-ce ?
- Juste deux de mes associés. Tu commences à avoir une certaine réputation. Allons dans la chambre maintenant.
Je le devance et je m'assois sur le lit. Mr Alain me rejoint avec son sac.
- Léa, où sont les choses que tu as achetées auparavant ?
- Sous le lit maître.
Il attrape mon sac sous le sommier et verse le contenu sur le lit.
- Tiens-toi près de la fenêtre !
Je m'approche de la fenêtre et je regarde le parking en bas en entendant l'homme tripoter quelque chose de métallique. Je l'entends approcher derrière moi.
- Peux-tu atteindre le rail du rideau ?
Je tends la main vers le haut et le bout de mes doigts arrivent quatre centimètres en dessous du rail. Je sens ses mains me saisir le bras puis une sensation de froid. Il y a un cliquetis alors qu'il referme une menotte sur mon poignet. Une deuxième menotte est attachée à mon autre poignet.
- Ne panique pas Léa, je gère.
Il saisit chaque double des menottes pour les attacher au rail du rideau. La chaîne entre deux menottes est assez longue pour que je ne sois pas tendue. Mr Alain recule vers le lit. Je suis contente que nous ayons des rideaux sur nos fenêtres, sinon, quelqu'un se promenant dans le parking verrait une femme vêtue d'une robe , menottée à la tringle à rideau de la fenêtre.
Mon Dieu, j'ai peur. Quel genre de personnes sont-ils ? Ma chatte commence à mouiller à l'idée que je suis impuissante et à la merci de deux hommes. J'entends Mr Alain déposer des choses sur le lit. Il m'est possible de me retourner, mais je n'ose pas.
Mes pensées sont coupées brusquement par le bruit de quelqu'un frappant à la porte. Mon propriétaire quitte la chambre pour ouvrir la porte. J'entends des voix et la porte se refermer. Les voix se rapprochent.
- Mmmm ! C'est donc elle ! Dit un des deux hommes.
- Bon sang ! Regarde-moi ça, je suis impatient. Dit une autre voix qui me semble familière.
- Allons-nous la retourner pour qu'elle puisse voir qui va la baiser ?
- Ouais, vas-y Pat, tourne-la !
Je frissonne d'anticipation. Mr Alain s'approche et me tourne. Je regarde les deux hommes et instantanément je reconnais l'un deux.
- Maxime !
Il s'agit de Maxime, le frère de Léo, mon mari.
- Je crois que tu as été reconnu mon pote ! Dit l'autre.
- Ma chère Léa, si seulement mon frère pouvait te voir, quel choc ça lui ferait !
Les deux hommes rigolent de leurs paroles. Je n'arrive pas à y croire. C'est mon beau-frère. Je ne sais pas quoi dire et que va-t-il faire ? Que va-t-il dire ? Oh mon Dieu, s'il va tout raconter à Léo...
- Max, s'il te plaît, ne... ?
- Oui ! Je sais ! Ne dis pas à mon frère que sa femme est une vraie pute ? Ne dis pas à mon frère que la femme qu'il aime offre ses trous à tous les hommes qui viennent la baiser ?
- S'il te plaît Max.
Je le supplie, je ne sais plus quoi faire.
- Tu sais ce qui m'énerve vraiment ? Continue Max.
Je secoue la tête.
- Que mon frère puisse baiser une femme aussi belle que toi et que moi je ne le puisse pas.
Je lève les yeux.
- Maintenant tu as le choix Léa. Tu peux nous dire d'aller nous faire voir ailleurs et dans ce cas je raconte tout à Léo. Ou alors tu me laisses avec mon camarade Patrick te faire tout ce que nous voulons et je ne dirai rien. Alors tu décide quoi ?
Quel choix ai-je vraiment? J'aime trop Léo pour le perdre. Je me contente de hocher la tête pour acquiescer.
- Ah bien voilà ! Les garçons, elle est à vous ! Rigole Mr Alain.
Max est un beau mec. J'ai toujours pensé qu'il avait un peu le béguin pour moi, mais je n'y faisais pas attention. Il est plus jeune que mon Léo et un peu plus beau. Il travaille dans une entreprise de construction. Il est assez musclé. Je pense que son ami Pat doit travailler avec lui car il est aussi musclé. Par contre il n'est pas très beau. Les deux hommes ont commencé à se déshabiller, et j'avoue, honteusement, que ma chatte commence à s'humidifier.
Ils doivent juste avoir terminé un travail car ils sont moites et sales. Quand ils enlèvent leurs chemises, je suis encore plus excitée , tous les deux ont un corps parfaitement ciselé avec des muscles parfaits. Léo n'a pas le même physique que son frère.
Pat et Max se déshabillent jusqu'au caleçon. Mon beau-frère s'approche du lit pour voir ce qu'il y a. J'ai été tellement surprise que je n'ai pas regardé les objets posés sur le couvre-lit.
- Pat, regarde ce truc !
L'homme s'approche et m'obstrue la vue.
- Ah ouais, laisse-moi l'utiliser Max !
- Vas-y mon pote !
Pat se retourne vers moi avec un grand sourire sur le visage et une chaîne dans la main. Quand il s'approche je remarque qu'il s'agit de pinces à tétons.
- Oh non s'il te plaît, pas ça !
Il baisse ma robe et sort mes seins. Il les caresse puis passe sa langue sur mes mamelons.
- Tu as des seins magnifiques ! Souligne-t-il.
L'odeur de la sueur de travail émane de lui. C'est très excitant pour moi et ma chatte s'humidifie de plus en plus. Il saisit l'extrémité de la chaîne et il ouvre une des petites pinces qu'il dirige vers un de mes tétons. Je n'ai aucune idée de ce que l'on peut ressentir et je ne veux pas le savoir.
- AIEEEEE ! AIIIIII ! AIIIIII ! CA FAIT MAL! Que je crie.
La douleur est insupportable. Je baisse les yeux sur ce métal froid qui blesse mon sein. C'est vraiment douloureux. C'est une douleur que je n'ai jamais ressentie. Ce n'est pas du tout comme se faire sodomiser une première fois.
- AIEEEE SALAUD AIIIIIEEEE !
Pat a appliqué la deuxième pince sur mon deuxième téton. La douleur s'est dédoublée. Il trouve cela amusant. Mr Alain aussi qui est en train de tout filmer encore.
- Bouge-toi Pat, j'ai quelque chose pour elle.
À travers mes yeux larmoyants, je vois ce que Max tient dans sa main un martinet. Il avance vers moi et approche son visage du mien. Il colle ses lèvres sur les miennes, enfonce alors sa langue dans ma bouche et m'embrasse fougueusement. C'est très excitant. Tout en m'embrassant, il tire sur la chaîne qui relie mes tétons. Je gémis sous la douleur.
Il sort sa langue de ma bouche et me fait faire un demi-tour. Je sens les deux hommes passer leurs mains sur mes fesses et mes cuisses. Les mains tripotent mon corps et je suis incapable de les arrêter. Je suis impuissante devant ces hommes. Ma chatte est humide et mes tétons se dressent douloureusement.
SCHLACK !
Je reçois un premier coup de martinet. Sur le coup ça me pique fort puis une sensation de chaleur s'estompe assez vite.
SCHLACK ! SCHLACK !
La douleur n'a pas le temps de s'éteindre avant qu'un autre coup tombe sur mes fesses.
SCHLACK ! SCHLACK ! SCHLACK !
Chaque coup est accueilli par un cri de douleur. Mes fesses sont en feu. Ces coups de fouet m'ont fait oublier la douleur dans mes mamelons momentanément. Je respire fort, les coups se sont arrêtés.
- Voyons ce que nous avons d'autre Pat !
Je me sens si faible que je suis sur le point de m'effondrer. Mes jambes me font mal et la douleur traverse mes seins et mon cul. J'entends les deux hommes chuchoter.
- CLAC !
- OH ? MERDE ! AIIIIIIIEEEE !
Je tourne la tête et je vois Pat avec une sorte de raquette couverte de tête de clous en métal. Il continue de me frapper avec.
- AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE !
Finalement il stoppe. Je n'ai jamais eu plus mal qu'aujourd'hui. Pat me contourne et me regarde. Puis il glisse sa main entre mes cuisses et les lèvres de ma moule.
- Putain Max, elle est en train de mouiller !
Il pousse ses doigts dans mon intimité. Je suis si humide qu'ils entrent facilement. Il met trois doigts et les bouge lentement. Puis il les retire et les monte vers mon visage :
- Est-ce que tu veux goûter à quel point tu mouilles ?
Je secoue la tête. Alors Pat tire sur la chaîne reliée à mes mamelons.
- AIEEE ! Salaud !
Je lui crache au visage.
- Oh espèce de salope, tu vas le regretter ! Crie Max.
Pat retourne vers le lit et y ramasse quelque chose. Ça a l'air petit, c'est englouti dans ses grandes mains viriles. Il s'agenouille devant moi et me dit d'écarter les jambes. Je lui obéis et je le vois soulever ce qui ressemble à une autre chaîne et pinces à tétons. Il lève les yeux et me dit :
- Je parie que tu devines où je vais les mettre !
- Je t'en prie, NON !
Il tire une petite lèvre de ma moule et il y attache une des pinces.
- AAAIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE! SALOOOO !
Il attache l'autre pince à mon autre petite lèvre. Je suis à l'agonie. Je veux qu'ils arrêtent.
- Arrêtez s'il vous plaît ! Mon Dieu ça me fait trop mal, s'il vous plaît, arrêtez !
Je me tortille sous la douleur alors qu'ils rient. Ils sont tous les deux-là, à me regarder me débattre, les larmes dans les yeux. Ils ont baissé leur caleçon pour révéler deux belles queues.
- Détachons là maintenant !
Pat obéit à Max et libère mes poignets endoloris des menottes en métal. Je me frotte les poignets. Les hommes me disent que ce n'est que le commencement. Pat prend la laisse et me conduit au pied du lit. Je soupire de soulagement lorsqu'il retire les pinces des lèvres de ma chatte. Bien que la douleur soit intense, ça ne fait qu'excitée et rendre plus humide ma chatte.
Pat se tient devant moi et me force à m'agenouiller. Il attrape mes cheveux et me tire vers sa queue. Celle-ci mesure bien vingt centimètres de long et elle est épaisse. La queue de Max est pratiquement similaire. En tout cas ces deux bites sont plus grosses que celle de mon Léo.
Pat pousse l'arrière de ma tête sur sa queue et je commence à le sucer. Il m'ordonne de le regarder pendant que je le suce. Je lève les yeux vers lui et je le laisse contrôler le mouvement de ma tête de haut en bas sur son membre. Max se tient à ma gauche, en caressant lentement sa bite. Mon maquereau de proprio n'est pas loin, il enregistre ma fellation du sexe de Pat.
- Mmmmm, Oui ! Gémit Pat.
Il retire sa bite de ma bouche. De la salive et du liquide pré éjaculatoire coule sur ma langue et le long de mon menton. Un filet de salive pend entre ma bouche et sa queue. Il met ses mains autour de mon cou et il tourne ma tête vers Max. Celui-ci saisit ma tête et force sa queue dans ma bouche. Il est plus agressif que Pat et il commence à baiser ma gorge. J'attrape la base de son membre pour essayer de le retenir un peu.
Mais il enfile sa queue au fond de ma gorge. De la salive coule hors de ma bouche alors qu'il me la baise. Il retire ma main et pousse sa bite au maximum dans le fond de ma gorge. Puis il ne bouge plus. Je commence à étouffer et je tousse. Alors il retire sa queue puis l'enfonce de nouveau mais moins loin.
Il ressort son membre et le pose sur mes lèvres. La salive qui pend entre la queue et ma bouche est bien enregistré par la caméra.
Pat tire sur la laisse et me fait agenouiller au-dessus du lit. Mon arrière-train est maintenant vulnérable. Il remet sa bite dans ma bouche. De temps en temps il tire sur la chaîne qui relie mes mamelons pour me faire grimacer de douleur. Je sens Max derrière moi qui fait courir ses mains sur mes fesses et sur les lèvres de ma moule. Bientôt je sens sa langue dans mon intimité.
Puis il glisse deux doigts dans mon antre chaude et humide et il les fait coulisser.
CLAC !
Sa main est tombée sur une de mes fesses déjà douloureuse. Je veux crier de douleur, mais mon cri est étouffé par la queue de Pat qui glisse dans et hors de ma bouche. Je sens les doigts de Max tourner autour de mon anus, et bien sûr, bientôt, il glisse deux doigts dans mon cul.
- MMMMFFF !
Je pousse un gémissement de douleur et de plaisir contrarié encore par la queue de Pat. Max enfonce ses doigts dans et hors ma grotte et de mon anus. Il utilise ses deux mains. Ma grotte est très humide alors il n'a pas de mal à la doigter. Mon cul est encore serré, mais lentement il s'ouvre.
Il retire ses doigts de mon cul et je sens maintenant quelque chose d'autre qui pousse la petite porte de mes reins. Je pense qu'il va me sodomiser et que ça va faire mal. Il pousse, mais ce n'est pas sa bite. Ce n'est pas non plus le gros gode noir sinon je l'aurai reconnu. L'objet a une pointe étroite et devient de plus en plus épais en entrant. J'ai l'impression que c'est une pyramide.
- OOOH ! Putain que c'est gros.
Je me sens incroyablement remplie au fur à mesure que l'objet entre. Je recrache la queue de Pat.
- Max ? AAARFF ! Mon DIEU, qu'est-ce que c'est, AIEEEE, ça fait mal!
Pat ricane. L'objet est enfoncé encore plus loin jusqu'au moment où manifestement il ne peut aller plus en avant. Je tends la main vers mon cul et je sens une sorte de forme carrée. Ma main est giflée et ma tête est tirée vers la bite de Pat. Max continue de doigter ma chatte pendant que l'objet reste logé dans mon anus.
Puis Max arrête et s'allonge sur le lit. Pat retire sa bite de ma bouche, de ma salive coule sur mon menton. Max s'empare de la laisse et me tire vers lui. Il me demande de sucer sa bite à nouveau. Pat passe derrière moi et saisit le truc dans mon cul. Lentement il le retire. Je suis soulagée.
- Ce plug anal a fait l'affaire Max, son cul est prêt.
- Redresse-toi Léa et viens empaler ton cul sur ma bite ! M'ordonne Max.
Ils m'aident à me mettre en place. Ils me tournent vers le haut, mon dos face à Max allongé sur le lit. Ils me font placer mes deux pieds à l'extérieur de ses jambes.
Max tient sa bite bien droite et je m'abaisse dessus. Je me tortille un peu pour qu'elle s'enfonce plus facilement dans mon anus. Mais la queue ne va pas loin, elle ne pénètre que de quelques centimètres seulement. Je dois bouger mon corps de haut en bas pour que le membre entre plus profondément.
- OOORRR ! AAAAFFFF ! AAAARRGG !! OOOORRR !
Max tient mes fesses et m'aide à rebondir sur sa queue. Mon proprio est juste devant nous, filme et enregistre tout. Pat est sur le lit juste à côté de moi. Il tire mes cheveux pour que mon visage fasse face à sa queue. Il la plonge dans ma bouche. C'est difficile pour moi, et douloureux. Chaque fois que je rebondis sur la bite de Max, mes seins rebondissent aussi. Soudain Pat défait une pince de mon téton droit.
Il passe la pince, reliée à l'autre par la chaînette, derrière mon cou et l'a remet sur mon téton tendu. Maintenant mes deux seins qui sont retenus par la chaîne reliant mes tétons, ils sont tirés vers le haut quand je rebondis sur la bite de Max. J'espère que ça va bientôt se terminer.
Je suis soulagée quand Max me soulève et retire sa bite de mon cul. Il m'ordonne de me tourner et de le chevaucher avec sa queue dans mon puits d'amour. Je lui obéis et j’empale ma grotte sur son membre. Ça glisse sans problème, je suis tellement mouillée. Max attrape la chaîne de mes tétons et tire dessus. Je ne peux pas résister, ça fait trop mal.
Je m'étends sur sa poitrine, mes seins reposent sur son torse velu. Il attrape mes fesses et les écarte. Je me doute de ce qui va suivre. Pat se place derrière moi et pousse sa bite dans mon puits d'amour sans fond déjà ouvert. Sa queue est un peu plus épaisse que celle de Max, et je le sens bien renter.
- OOOUURRRFFFF !
Pat commence bientôt à marteler mon rectum pendant que Max essaie de bouger sa bite dans ma grotte avec rythme. Il m'attrape la gorge et me serre fort. C'est comme s'il essayait de m'étouffer. Il m'ordonne de gémir pour la caméra mais mes gémissements sont étouffés par sa strangulation.
-MMMMMFFF ! MMMEEEE ! MMMMEEEEE !
Enfin, Max relâche son emprise pour que je puisse reprendre ma respiration. Pat me sodomise sans pitié tout en me giflant les fesses. Je le supplie d'arrêter de claquer mes fesses car c'est vraiment trop douloureux. Mais mes suppliques tombent dans l'oreille d'un sourd. Les deux hommes n'ont aucune pitié.
- OH ! OORF ! S'il vous plaît, arrêtez !
Je ne sais pas quoi faire. J'aime être baisée par deux hommes à la fois, mais par mon beau-frère, c'est presque de l'inceste. Je veux que ça finisse. Mon souhait est bientôt exaucé.
Je suis tirée sur le sol par la laisse. Les deux hommes se tiennent au-dessus de moi et se masturbent furieusement. Max me dit d'ouvrir la bouche. Il éjacule son sperme dans ma bouche tout en tenant fortement mes cheveux pour que j'avale sa semence qui tombe sur mes joues quand j'avale celle qui est dans ma gorge.
Pat jouit ensuite. Le sperme frappe le côté de mon visage. Il frotte sa queue dessus pour le repousser dans ma bouche. Je suis heureuse que ça soit fini. J'avais respecté la volonté de mon beau-frère donc peut être qu'il me dénoncera pas auprès de mon mari pour avoir été une salope.
Mais ça me coûte cher. Mes fesses sont brûlantes, mon trou du cul est distendu sous les coups de bites et du truc. Mes tétons me font très mal à cause des pinces. J'ai baisé avec mon beau-frère, il m'a même enculé. Être baisée par des étrangers n'est pas la même chose, ce sont des étrangers.
- Reste comme ça à quatre pattes comme une bonne chienne que tu es ! Penche toi et tends ton cul bien en l'air... M'ordonne Max.
Pat vient près de moi et attrape la chaîne de mon collier et tient ma tête contre lui. Max n'a pas débandé je pense qu'il va me baiser.
Mon proprio profite que je tourne la tête, il guide Sam le chien de Mario sur mon cul. Je qui pousse un cri de surprise.
- NONN Max ! Pas ça !
- Tais toi et ne bouge plus !
Sam ne se fait pas prier et comme la dernière fois il me monte, enserre mes hanches de ses pattes avant et après quelque coup dans le vide, me pénètre. Il entre d'un seul coup, me tirant encore un grand cri de plaisir. Il commence ses allers et venus, il me pilonne violemment, je prend un plaisir fou et me prend pour une chienne. Je sens qu'à chacun de ses allers et venus il inonde mon sexe de son sperme chaud.
L'acte dure plus longtemps que la dernière fois et je sens déjà la chaleur qui monte :
-OUIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIII IIIIIIII !
Mais Sam ne s'arrête pas, il continue ! Moi je devient comme folle sous ses coups de butoir, je ne cesse de jouir, c'est si bon ! Dans ma grotte d'amour je commence à sentir sa boule se former sur sa bite, elle me donne encore plus de plaisir. Comme elle grossit j'ai encore un, puis deux, puis trois orgasmes consécutifs !
Quand il voit comment je couine devant les coups de bite de Sam. Max lance un grand :
-T'es vraiment une vrai salope !!
Je suis dans un état second, pleine du sperme qui continue de jaillir de la bite de Sam. Il arrête ses allers et venus et tente de se retirer. NON ! Je ne veux pas ! Cette grosse bite gonflée est trop bonne. Sa queue tressaute dans mon vagin à chaque éjaculation. Il tente encore de se retirer et me fait mal, sa boule est trop grosse et il ne peux pas sortir !
Pat a lâché la laisse et vient se faire sucer ainsi que les deux autres qui sont excités par la spectacle. Sous un nouveau mouvement, j'ai encore un violent orgasme qui me fais hurler plus fort que toutes les fois précédentes. J'en aspire la bite de Max qui est dans ma bouche comme si je voulait l'avaler.
Sous cet pression de mon vagin, Sam réussi à s'extirper de mon corps. Je hurle encore sous l'orgasme et ma grotte crache le trop plein de sperme. Je reprends mon souffle, je dégouline de semences canine, Sam lui, est partit se lécher.
Je suis à bout de souffle, à quatre patte au pied de mon lit à dégouliner de sperme. Tout l'immeuble a dû m'entendre hurler. Mais je ne pense qu'a une chose : Je suis zoophile et j'aime ça !
Mon beau-frère peut le raconter à tout moment à mon mari. Dans quoi me suis-je fourrée ?
Le lendemain Max en veut encore. Il prétexte qu'il a un chantier dans le coin pour que son frère veuille bien qu'il squatte chez nous un certain temps. Je rentre discrètement dans la chambre d’amis à côté de celle où mon mari dort. Max me dit qu’il me trouve trop belle, qu’il avait toujours rêve de me baiser Il me baise sur le lit qui grince trop fort à mon goût !
Max me prend la bouche, le cul. Il me baise avec passion et je me laisse faire. Je fini en nage. Je suis trempée de sueur et de sperme. Je vais ainsi me coucher dans mon lit car je n’ai plus de force pour prendre une douche.
Le lendemain matin mon mari en se levant me dit qu’il lui a semblé entendre Max dans la chambre d'ami. Il me dit que le lit à grincé cette nuit. Je lui ai répondu que son petit frère a bien le droit de se faire des petits plaisirs solitaires s’il le souhaite !! S’il savait ce que le plaisir solitaire a fait à sa femme cette nuit !!!
Max me baise le soir tard dans la chambre avec le matelas par terre (pour le bruit !). Quand c'est l’heure de faire le repas, je dois me mettre en jupe sans culotte pour un petit coup rapide. Souvent mon mari et dans le salon devant la TV pendant que je me fais baiser dans la cuisine par son petit frère. Je suis devenue son vide couille à lui aussi. Il profite de chaque instant.
Mr Alain m'a dit que nos loyer impayés été soldés et que je pouvais payer chaque nouveau loyer en nature. Maintenant que Léo a un travail stable nous pouvons honorer les quittances de notre appartement.
Quand Léo m'a demandé pourquoi que notre propriétaire n'est pas revenu réclamer les loyers impayés, j'ai pris comme prétexte que je faisais le ménage dans son luxueux appartement qui est situé dans un quartier éloigné du notre.
Léo a pris mon prétexte avec admiration, il me dit que j'aurais pu le mettre au courant et comme maintenant que notre dette est réglée, je ne suis plus obligée de continuer à faire la bonne chez notre proprio. Je lui ai rétorqué que ça me faisais une activité et de l'argent de poche. Je ne lui ai surtout pas dit que c'est un bon prétexte pour justifier mes absences car le démon du sexe maintenant m'habite très fortement.
Je laisse parfois rentrer le chien de Mario quand je suis toute seule à l'appartement. Dans ces moments-là je ne suis plus une femme mais je deviens une chienne en chaleur qui aime la saillie sauvage d’un animal en rut.
FIN
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