samedi 5 février 2022

Vacances sauvages Ch. 02

 Texte de Coulybaca.

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Vengeance de jeunes éconduits par des jouvencelles.

Il leur fallut quelques temps pour reprendre le souffle, Ibrahim les appela et décida :

- "Robert et Ahmed vous vous installez dans la tente d'Hélène, Denis et Moktar dans celle de Céline, et je partagerai la tente de... Quel est ton prénom toi ?"

- "Denise..." Pleurnicha-t-elle humblement.

- "Je partagerai la tente de Denise... Et toi cesse de larmoyer, je déteste ça... Qu'es tu par rapport à ces deux greluches ?"

- "Je suis la sœur de Céline et la tante d'Hélène..." répliqua-t-elle refrénant ses sanglots.

Sitôt dit, sitôt fait, déchargeant les motos, ils s'installèrent dans les tentes de leurs dulcinées désignées. 
Ibrahim rangea son sac de voyage au coté de ceux de Denise, puis remarquant qu'elle frissonnait, il fouilla dans ses affaires et lui dégotta une courte chemise de nuit qu'il l'autorisa à enfiler. Elle le remercia servilement bien que cette tenue lui laissa la chatte et les fesses à l'air. C'est ce qu'il voulait, elle devrait toujours être disponible dorénavant.

Pendant ce temps Hélène et Céline soignaient leurs maux, en fouettard averti ils avaient pris soin de marquer les peaux sans pour autant les entailler. Elles s'enduisaient mutuellement d'une pommade grasse qui ne tarda pas à les soulager.

Elles vaquèrent alors toutes trois aux préparatifs du repas alors que les gars en scouts avertis préparaient un feu de camp.

Ils se régalèrent d'une salade composite, tomates, concombres thon et œufs... Puis, puisant un peu d'eau dans le lac elles firent la vaisselle.

Miséricordieux, Robert et Denis avaient permis aux deux cousines d'enfiler un tee-shirt qui leur laissait toutefois la foufoune et la croupe à l'air. Les premiers instants de gêne dépassés, elles se mouvaient presque naturellement dans leur semi nudité, offrant, en toute innocence aux regards ravis des jeunes hommes des flashs troublants sur leurs chattes, leurs raies culières, leurs anus palpitant.

La composition s'avérait d'ailleurs assez idéale, à la vraie blondeur de Denise s'opposait la fausse blondeur de Céline, véritable brune, et les poils et la chevelure châtain d'Hélène. Elles étaient toute trois de taille moyenne, minces sans être maigres avec de belles poitrines bien fermes et des croupes charnues.

Les garçons allumèrent le feu et se rassemblèrent autour, à la demande générale, Denise taquinait sa guitare jouant des airs tantôt entraînants, tantôts plus lascifs.

Assise sur les genoux d'Ibrahim, elle livrait tous ses charmes à ses mains exploratrices, levant une fesse pour lui faciliter le passage, écartant les cuisses pour lui livrer le chemin de son intimité, tendant ses lèvres pour l'embrasser lorsqu'il le souhaitait. La tâche des deux autres était plus subtile, elles devaient satisfaire leurs deux maîtres à la fois, tendant à l'un ses lèvres, ouvrant les cuisses pour l'autre, branlant l'un, l'autre.

Sur un signe d'Ibrahim, Denise posa sa guitare alors qu'il intervenait :

- "Bon les filles... C'est bien tout ça... Mais il faut mettre les choses au point..."

- "Lors du bal de clôture de l'année, Céline et Hélène vous avez ridiculisé mes copains, ils sont venus se plaindre auprès de moi, et c'est alors qu'on a décidé de votre sort. On n'avait pas prévu de s'occuper de toi Denise, mais comme on a vite compris que tu devais leur servir de chaperon... On vous a alors espionné à votre insu, c'est ainsi qu'on a fini par déterminer le thème de vos vacances, leur durée, et le lieu de votre séjour. Il est donc inutile d'essayer de nous rouler. Denise m'a remis les clefs de l'espace, il est donc inutile d'espérer vous enfuir. Et à pieds vous seriez vite reprise."

- "Mais que... Que voulez- vous ? On a été gentille. Je vous en prie laissez nous partir maintenant. Je vous jure on ne dira rien. N'est ce pas les filles ?"

Et comme elles secouaient la tête, devant le mutisme de celui qui paraissait le chef, elles reprirent espoir, elles rangeraient cette funeste soirée au rayon des incidents fâcheux. Mais Ibrahim reprit, ne tenant aucun compte de leurs allégations:

- "Ne vous leurrez pas les filles, on a décidé de passer un mois de vacances idyllique en votre compagnie. Vous prenez toutes trois la pilule ?"

Et comme elles hochaient la tête affirmativement, il poursuivit :

- "Vous allez remettre vos boites de pilule à vos maîtres, c'est eux qui décideront si vous avez gagné le droit de les utiliser. Je suis sûr qu'ainsi vous vous montrerez beaucoup plus coopérantes. Toute révolte sera réprimée. Vous avez déjà goûté de la ceinture Hélène et Céline, si vous voulez essayer la cravache ne vous gênez pas. Ca vaut aussi pour toi ma petite salope."

Ibrahim en avait assez dit pour ce soir, ils remisèrent les motos, et sur un dernier adieu se dirigèrent chacun vers leur tente. Par chance c'était des filles qui aimaient prendre leurs aises aussi avaient-elles emmenés chacune une tente familiale pour être plus à leur aise.

Très rapidement des plaintes, des râles, des supplications, des gémissements s'élevèrent des abris de toile.

Dès rentrés dans la tente, Denise avait dévêtu lascivement son homme, lui caressant le torse, les cuisses, le sexe, oubliant totalement qu'elle était mariée et heureuse en mariage. Ibrahim souriant se laissait faire, c'était un véritable colosse noir, barman de son état, joueur de rugby pour ses loisirs.

Lorsqu'il jugea les choses assez avancées, il l'entraîna sur le large matelas pneumatique. En homme raffiné, il ne se contentait de la voir plier sous sa volonté, il voulait la subjuguer, l'amener à le supplier de la prendre. Il s'étendit sur le dos et l'attira tête bêche sur lui, docilement, sachant ce qu'il entendait faire elle l'enfourcha, et tandis qu'il parcourait d'une langue savante sa fente déjà détrempée, elle emboucha sa bite tout de go.

Elle enroula suavement sa langue autour de sa bite l'inondant de salive, puis se retira et saisit ses couilles entre ses lèvres, les mâchouillant, les suçotant en dépit des poils qui lui souillaient la bouche, elle parvint à se redresser sur une main ce lui permit de le branler langoureusement tout en lui mignotant les bourses.

Ibrahim lui, avait les mains libres, d'un pouce sûr il affolait son petit clito, haricot dressé hors de sa niche, gorgé de sang, mille étincelles irradiaient son entrecuisse alors qu'il la doigtait conjointement trois doigts fourrés dans son intimité qui coulait comme une fontaine. Elle gémissait :

- "Mmmmmmmmm... Que c'est bon... Encore... Chéri... Prends moi... Je t'en pri... Je ferais ce que tu veux... Mais prends moi..."

Au bord de l'orgasme, il décida d'un honorer sa demande, il se releva et la disposa à quatre pattes. Docile elle se laissait manipuler mollement, l'esprit confus, empli de désirs aussi inavouables qu'indésirables. Elle voulait vraiment être sienne, elle avait perdu tout contrôle de son corps qui aspirait à satisfaire ses appétits luxurieux.

Soudain, il l'empala d'un élan décisif, atteignant tout de coup des zones que son mari, pourtant normalement constitué n'avait jamais atteint, . Elle frémit tandis qu'il butait sur le col de son utérus, elle se sentait pleine de lui, ses muscles vaginaux vibrant autour de sa hampe qui lui distendait impitoyablement les muqueuses. Il se retira lentement, déjà submergée par un orgasme de force elle hurlait à plein poumon, se foutant totalement d'être entendue de sa sœur et de sa nièce.

- "Ahhhhhhhhh Ohhhhhhhhhh Oui Ouiiiiiiiiiiiiii Encore Ohhhhhhhhhh oui j'aime ça... Que c'est bon... Jamais... Jamais..."

Profitant de ses bonnes dispositions, et de son relâchement il inséra sournoisement un doigt dans son trou du cul, et opéra de petits cercles lui assouplissant le goulot, l'évasant lentement,. Secouée de spasmes, elle se laissait faire mollement. A l'étroitesse de son sphincter, il avait tout de suite compris qu'elle était pucelle du cul, aussi devait il la préparer soigneusement s'il voulait qu'elle jouisse de sa première enculade.

Un second doigt, puis un troisième rejoignirent le premier, il la travaillait maintenant allègrement, inconsciemment son cul s'ouvrait à ses initiatives. Elle cambrait la croupe vers lui, elle était à point. Il pointa son gland sur son œillet affolé, et pressa fortement,. Sous ses yeux admiratifs, il vit la petite bouche anale aspirer le gros bourgeon le nichant à son aise à l'orée de ses entrailles. Elle frémit le corps parcourut de longs frissons, le premier pas, le plus délicat était franchi.

Il resta assez longuement immobile, la laissant s'habituer à cette présence incongrue dans son rectum. Et bientôt, à sa grande surprise, elle agita lentement ses fesses, s'empalant d'elle-même sur le gourdin qui encombrait ses entrailles,. Comprenant qu'il avait affaire à une grande anale en devenir, il exploita rapidement la situation s'introduisant cm après cm dans sa croupe accueillante, il sentait quasiment son intestin se déplier, s'adaptant à ses mensurations tandis qu'il s'enfouissait au plus profond de son fourreau plus du tout secret. Enfin ses couilles butèrent contre les poils blonds de son odalisque, elle soupira alors de contentement :

- "Ohhhh oui... Que c'est bon... Jamais je n'aurai cru... Si j'avais su... Ahhhhhhhhh je t'en prie bouge... Vas-y... Encule moi... Encule moi à fond..."

Ibrahim conscient qu'il ne pourrait résister bien longtemps à son envie d'éjaculer se retira alors à l'orée de son anus et se renfourna férocement, puis il la laboura sauvagement, cette fois elle hurlait.

- "Aieeeeeeeeeee... Oh ouiiiiiii... Aieeeeeeeeeeee... Plus profond... Encore... Ohhhhhhhh oui... Je.... Jouis... "

Et épuisée elle s'effondra sur le ventre tandis que terrassé à son tour par un orgasme intense il se vidait à gros bouillons dans son rectum asservi.

Il resta longtemps imbriqué dans son anus qui palpitait alors qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme. Enfin, épuisé il roula sur le flanc. Rassasiée, elle se lova reconnaissante entre ses bras, rien ne comptait plus pour elle que cette intense satisfaction de ses sens assouvis. Ils s'endormirent tendrement enlacés.

Dans la tente la plus voisine, Hélène, Ahmed et Robert avaient entendu le remue ménage mené par le couple qui logeait à coté d'eux. Ebahis, ils avaient cessé toute action se contentant de caresser machinalement leur meuf, obnubilés par les sons provenant de la tente voisine où visiblement la jeune femme prenait un énorme pied.

Nue entre deux, Hélène écoutait cette tante qui passait aux yeux de tous pour un parangon de vertu hurler sa jouissance. Deux doigts fourrés dans sa chatte, Robert la gamahuchait lentement alors qu'Ahmed lui triturait les mamelons alanguies. Elle reposait entre eux deux sa fente s'humidifiant lentement sous les caresses de ses deux agresseurs et surtout à l'écoute des hurlements poussés par sa tante.

Dans la dernière tente aussi la vie s'était arrêtée, Denis coulissait lentement dans l'accueillante chatte de Céline, alors que dans son dos, Moktar lui caressait la croupe, ils étaient tous trois toutes ouies, Céline n'en revenait pas que sa sœur, une femme mariée, prenne aussi sauvagement son plaisir,. Elle l'entendait haleter lentement dans le noir, elle l'avait parfaitement entendue le supplier de l'enculer... Quelle horrible chose... Elle, jamais elle ne pourrait...

Enfin, sur un dernier hurlement elle se tut, ils n'entendaient plus que ses halètements tandis qu'elle cherchait manifestement à reprendre haleine. Denis se secoua, se coucha sur le dos l'entraînant sur elle, invitant Moktar :

- "Il lui reste un trou. Si t'aimes les sandwichs, ne te gêne pas..."

Moktar lui sépara rudement les globes fessiers, elle comprit tout de suite ce qui lui arrivait lorsqu'il vrilla son pouce dans son anus, elle se mit alors à hurler à son tour :

- "Non... Pas ça... Je vous en prie... On ne m'a jamais enculée... Je vous en prie... Vous me faites mal..."

Rien n'y fit, il continuait à lui évaser le goulot, mais, bien moins raffiné qu'Ibrahim il se foutait totalement qu'elle jouisse ou pas, tout ce qu'il voulait c'était de lui assouplir suffisamment le cratère pour l'enculer sans trop d'effort. Il retira le pouce et planta deux doigts joints dans son cul, cette fois elle sanglotait de douleur :

- "Nooooooooon... J'ai mal... Trop mal..."

Un troisième doigt rejoignit les premiers. Tétanisée de douleur, elle n'avait plus la force de se plaindre, elle gémissait de façon continue :

- Mmmmmmmmm... Uhhhhhhh... Ahhhhhhhh... Que j'ai mal... Non... Je vous en prie... Arrêtez..."

Jugeant qu'il avait atteint son but, il pointa son gland sur sa rondelle tremblante et, d'un élan féroce, il s'enfonça jusqu'à mi bite dans son intestin. Elle hurla :

- "Aieeeeeeeee... Nonnnnnnnn... Vous me déchirez... Non... Que j'ai mal... C'est trop gros... Arrêtez... "

Il se retira à l'orée de son rectum. Soulagée elle crut un instant qu'il avait écouté ses plaintes, mais sauvagement il s'enfonça imparablement dans son anus meurtri, ses couilles venant buter dans sa raie du cul. Incapable de crier, elle tourna de l'œil. Impavides, ils attendirent quelques instants, puis il se mit à aller et venir dans ses entrailles embrasées,. La douleur la fit revenir à elle, elle haletait misérablement :

- "Ahhhhh... Uhhhhhhh... Nponnnnnnnn... Je vous en prie... Trop gros... Si gros... Si mal..."

Mais impitoyablement ils avaient coordonnés leurs allées et venues dans ses deux orifices, lorsque Moktar se retirait à l'orée de son œillet, Denis s'enfouissait au fin fond de sa chatte, et lorsqu'il se retirait à son tour c'était Moktar qui l'empalait en cul. Petit à petit la douleur faiblit, elle frissonna sous leurs coups de boutoir, elle flirtait avec l'orgasme lorsqu'elle les sentit exploser en elle lui engorgeant les entrailles et l'utérus. Vaguement déçue; elle sentit Moktar rouler sur le flanc, elle se lova tout contre Denis, et ferma les yeux sur sa douleur, ne tardant pas à s'endormir entre ses bras.

Dans la dernière tente, à quatre pattes, Hélène suçait Ahmed y mettant tout son cœur pour ne pas le décevoir, elle se sentait étrangement réceptive, les cris de sa sœur sans doute, elle parcourait de la langue sa longue bite brune alors qu'enfoui dans son étroite petite chatte Robert la fourrait consciencieusement.

Elle vibrait mollement entre ses deux tourmenteurs qui éjaculèrent rapidement lui inondant la chatte et la gorge, ce n'était pas la première bite qu'elle suçait, ni même le premier garçon qui lui faisait l'amour, son petit ami actuel l'avait déflorée deux mois plus tôt alors qu'il ne se contentait plus de pipes justement. Ils échangèrent leur place et reprirent laborieusement leurs manèges, moins vite ils éjaculèrent à nouveau en elle, et s'endormirent lourdement alors que yeux grands ouverts elle remâchait sa frustration.

A suivre...

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