dimanche 27 février 2022

Paiement de loyer - Ch. 11

 Texte de gkcdqho

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Léa est baisée par son beau-frère.

Mr Alain est venu me rechercher.

Nous revenons à mon appartement. Je remarque que mon propriétaire a un autre sac du sex-shop avec lui, mais je n'ai aucune idée de ce qui peut être à l'intérieur. Il s'assoit sur mon canapé et allume la télé. Il est presque quatorze heures. Il passe sur une chaîne sportive où un match de football vient de commencer. Il m'ordonne d'aller m'habiller avec ce que j'ai essayé dans le magasin. Je pars dans ma chambre et je prends mon temps pour m'habiller. Je déteste le football.

Mr Alain a posé le sac à côté de lui sur le canapé. Il me regarde et me demande de m'agenouiller. J'obéis. Il tend la main vers le sac et fouille dedans. Il en ressort un collier noir avec des clous dorés et une chaîne métallique reliée au collier.

- Penche-toi en avant !

Je le fais et il attache le collier autour de mon cou.

- Tu es ma chienne Léa et tu m'obéiras, Comprends-tu ?

- Oui Monsieur.

- Bonne fille ! Maintenant mets-toi à genoux sur le sol et suce ma bite. Tu ferais bien de mieux t'appliquer que Mia !

- Oui Monsieur.

Je prends sa bite et je commence à le sucer. Pendant ce temps il regarde le match à la télévision. Mia doit vraiment mal sucer car il ne lui faut pas longtemps avant de se vider dans ma bouche. Le goût de son sperme est toujours aussi fort. Je nettoie proprement sa queue.

- AAAARRFFF !! Bonne fille ! Assis-toi !

Je m'assieds sur le sol, toujours tenue en laisse par mon propriétaire. C'est très excitant, mais je n'aime pas trop le port du collier, j'ai l'impression d'être étouffée. Je reste assise là très longtemps. Le match doit durer encore vingt bonnes minutes. Sans prévenir, Mr Alain tire sur la laisse. Je m'évanouis presque sous la force du coup.

- Léa, je reste jusqu'à la fin du match donc recommence à me sucer la bite.

Son ton de voix me parait inquiétant donc je commence à sucer sa bite une fois de plus. Alors que j'essaie de lui pratiquer une bonne fellation, je suis soudainement frappé par un liquide chaud dans ma bouche. Il urine dans ma gorge. Ça sort de sa bite avec un grand jet. Je m'étrangle sur le liquide, je n'arrive pas à tout avaler. J'essaie de bouger la tête mais Mr Alain tient solidement la laisse. C'est long, l'urine s'échappe de ma bouche et tombe sur son pantalon.

Quand il a fini de se vider, il lâche la laisse. Je cours dans la salle de bain en toussant, m'étranglant et essayant de respirer. J'en suis malade, sa pisse chaude est maintenant dans mon estomac. Je vomis dans les toilettes.

Je sais que je suis très excitée lorsque que l'on me baise comme une pute, mais ce n'est pas le cas actuellement. J'ai envie de me révolter. J'ai l'air d'une chienne puante qui vit dans la rue. Je suis tombée bien bas.

Je retourne dans mon salon et je me rends compte que le match est terminé. Lorsqu'il me voit, mon propriétaire éclate de rire :

- AH ah ah ah. ! Quel est le problème Léa ? Tu avais aimé l'autre jour.

- Oui ! Mais j'étais très excitée et je le voulais bien. Mais pas là.

- Ah ah ! Je m'en fous! Nettoie-toi bien salope, tu as deux visiteurs qui vont venir pour toi bientôt.

- Qui est-ce ?

- Juste deux de mes associés. Tu commences à avoir une certaine réputation. Allons dans la chambre maintenant.

Je le devance et je m'assois sur le lit. Mr Alain me rejoint avec son sac.

- Léa, où sont les choses que tu as achetées auparavant ?

- Sous le lit maître.

Il attrape mon sac sous le sommier et verse le contenu sur le lit.

- Tiens-toi près de la fenêtre !

Je m'approche de la fenêtre et je regarde le parking en bas en entendant l'homme tripoter quelque chose de métallique. Je l'entends approcher derrière moi.

- Peux-tu atteindre le rail du rideau ?

Je tends la main vers le haut et le bout de mes doigts arrivent quatre centimètres en dessous du rail. Je sens ses mains me saisir le bras puis une sensation de froid. Il y a un cliquetis alors qu'il referme une menotte sur mon poignet. Une deuxième menotte est attachée à mon autre poignet.

- Ne panique pas Léa, je gère.

Il saisit chaque double des menottes pour les attacher au rail du rideau. La chaîne entre deux menottes est assez longue pour que je ne sois pas tendue. Mr Alain recule vers le lit. Je suis contente que nous ayons des rideaux sur nos fenêtres, sinon, quelqu'un se promenant dans le parking verrait une femme vêtue d'une robe , menottée à la tringle à rideau de la fenêtre.

Mon Dieu, j'ai peur. Quel genre de personnes sont-ils ? Ma chatte commence à mouiller à l'idée que je suis impuissante et à la merci de deux hommes. J'entends Mr Alain déposer des choses sur le lit. Il m'est possible de me retourner, mais je n'ose pas.

Mes pensées sont coupées brusquement par le bruit de quelqu'un frappant à la porte. Mon propriétaire quitte la chambre pour ouvrir la porte. J'entends des voix et la porte se refermer. Les voix se rapprochent.

- Mmmm ! C'est donc elle ! Dit un des deux hommes.

- Bon sang ! Regarde-moi ça, je suis impatient. Dit une autre voix qui me semble familière.

- Allons-nous la retourner pour qu'elle puisse voir qui va la baiser ?

- Ouais, vas-y Pat, tourne-la !

Je frissonne d'anticipation. Mr Alain s'approche et me tourne. Je regarde les deux hommes et instantanément je reconnais l'un deux.

- Maxime !

Il s'agit de Maxime, le frère de Léo, mon mari. 

- Je crois que tu as été reconnu mon pote ! Dit l'autre.

- Ma chère Léa, si seulement mon frère pouvait te voir, quel choc ça lui ferait !

Les deux hommes rigolent de leurs paroles. Je n'arrive pas à y croire. C'est mon beau-frère. Je ne sais pas quoi dire et que va-t-il faire ? Que va-t-il dire ? Oh mon Dieu, s'il va tout raconter à Léo...

- Max, s'il te plaît, ne... ?

- Oui ! Je sais ! Ne dis pas à mon frère que sa femme est une vraie pute ? Ne dis pas à mon frère que la femme qu'il aime offre ses trous à tous les hommes qui viennent la baiser ?

- S'il te plaît Max.

Je le supplie, je ne sais plus quoi faire.

- Tu sais ce qui m'énerve vraiment ? Continue Max.

Je secoue la tête.

- Que mon frère puisse baiser une femme aussi belle que toi et que moi je ne le puisse pas.

Je lève les yeux.

- Maintenant tu as le choix Léa. Tu peux nous dire d'aller nous faire voir ailleurs et dans ce cas je raconte tout à Léo. Ou alors tu me laisses avec mon camarade Patrick te faire tout ce que nous voulons et je ne dirai rien. Alors tu décide quoi ?

Quel choix ai-je vraiment? J'aime trop Léo pour le perdre. Je me contente de hocher la tête pour acquiescer.

- Ah bien voilà ! Les garçons, elle est à vous ! Rigole Mr Alain.

Max est un beau mec. J'ai toujours pensé qu'il avait un peu le béguin pour moi, mais je n'y faisais pas attention. Il est plus jeune que mon Léo et un peu plus beau. Il travaille dans une entreprise de construction. Il est assez musclé. Je pense que son ami Pat doit travailler avec lui car il est aussi musclé. Par contre il n'est pas très beau. Les deux hommes ont commencé à se déshabiller, et j'avoue, honteusement, que ma chatte commence à s'humidifier.

Ils doivent juste avoir terminé un travail car ils sont moites et sales. Quand ils enlèvent leurs chemises, je suis encore plus excitée , tous les deux ont un corps parfaitement ciselé avec des muscles parfaits. Léo n'a pas le même physique que son frère.

Pat et Max se déshabillent jusqu'au caleçon. Mon beau-frère s'approche du lit pour voir ce qu'il y a. J'ai été tellement surprise que je n'ai pas regardé les objets posés sur le couvre-lit.

- Pat, regarde ce truc ! 
L'homme s'approche et m'obstrue la vue.

- Ah ouais, laisse-moi l'utiliser Max !

- Vas-y mon pote !

Pat se retourne vers moi avec un grand sourire sur le visage et une chaîne dans la main. Quand il s'approche je remarque qu'il s'agit de pinces à tétons.

- Oh non s'il te plaît, pas ça !

Il baisse ma robe et sort mes seins. Il les caresse puis passe sa langue sur mes mamelons.

- Tu as des seins magnifiques ! Souligne-t-il.

L'odeur de la sueur de travail émane de lui. C'est très excitant pour moi et ma chatte s'humidifie de plus en plus. Il saisit l'extrémité de la chaîne et il ouvre une des petites pinces qu'il dirige vers un de mes tétons. Je n'ai aucune idée de ce que l'on peut ressentir et je ne veux pas le savoir.

- AIEEEEE !  AIIIIII !  AIIIIII ! CA FAIT MAL! Que je crie.

La douleur est insupportable. Je baisse les yeux sur ce métal froid qui blesse mon sein. C'est vraiment douloureux. C'est une douleur que je n'ai jamais ressentie. Ce n'est pas du tout comme se faire sodomiser une première fois.

- AIEEEE SALAUD AIIIIIEEEE !

Pat a appliqué la deuxième pince sur mon deuxième téton. La douleur s'est dédoublée. Il trouve cela amusant. Mr Alain aussi qui est en train de tout filmer encore.

- Bouge-toi Pat, j'ai quelque chose pour elle.

À travers mes yeux larmoyants, je vois ce que Max tient dans sa main un martinet. Il avance vers moi et approche son visage du mien. Il colle ses lèvres sur les miennes, enfonce alors sa langue dans ma bouche et m'embrasse fougueusement. C'est très excitant. Tout en m'embrassant, il tire sur la chaîne qui relie mes tétons. Je gémis sous la douleur.

Il sort sa langue de ma bouche et me fait faire un demi-tour. Je sens les deux hommes passer leurs mains sur mes fesses et mes cuisses. Les mains tripotent mon corps et je suis incapable de les arrêter. Je suis impuissante devant ces hommes. Ma chatte est humide et mes tétons se dressent douloureusement.

SCHLACK !

Je reçois un premier coup de martinet. Sur le coup ça me pique fort puis une sensation de chaleur s'estompe assez vite.

SCHLACK ! SCHLACK !

La douleur n'a pas le temps de s'éteindre avant qu'un autre coup tombe sur mes fesses.

SCHLACK ! SCHLACK ! SCHLACK !

Chaque coup est accueilli par un cri de douleur. Mes fesses sont en feu. Ces coups de fouet m'ont fait oublier la douleur dans mes mamelons momentanément. Je respire fort, les coups se sont arrêtés.

- Voyons ce que nous avons d'autre Pat !

Je me sens si faible que je suis sur le point de m'effondrer. Mes jambes me font mal et la douleur traverse mes seins et mon cul. J'entends les deux hommes chuchoter.

- CLAC !

- OH ? MERDE ! AIIIIIIIEEEE !

Je tourne la tête et je vois Pat avec une sorte de raquette couverte de tête de clous en métal. Il continue de me frapper avec.

- AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE ! AIEEE !

Finalement il stoppe. Je n'ai jamais eu plus mal qu'aujourd'hui. Pat me contourne et me regarde. Puis il glisse sa main entre mes cuisses et les lèvres de ma moule.

- Putain Max, elle est en train de mouiller !

Il pousse ses doigts dans mon intimité. Je suis si humide qu'ils entrent facilement. Il met trois doigts et les bouge lentement. Puis il les retire et les monte vers mon visage :

- Est-ce que tu veux goûter à quel point tu mouilles ?

Je secoue la tête. Alors Pat tire sur la chaîne reliée à mes mamelons.

- AIEEE ! Salaud !

Je lui crache au visage.

- Oh espèce de salope, tu vas le regretter ! Crie Max.

Pat retourne vers le lit et y ramasse quelque chose. Ça a l'air petit, c'est englouti dans ses grandes mains viriles. Il s'agenouille devant moi et me dit d'écarter les jambes. Je lui obéis et je le vois soulever ce qui ressemble à une autre chaîne et pinces à tétons. Il lève les yeux et me dit :

- Je parie que tu devines où je vais les mettre !

- Je t'en prie, NON !

Il tire une petite lèvre de ma moule et il y attache une des pinces.

- AAAIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE! SALOOOO ! 

Il attache l'autre pince à mon autre petite lèvre. Je suis à l'agonie. Je veux qu'ils arrêtent.

- Arrêtez s'il vous plaît ! Mon Dieu ça me fait trop mal, s'il vous plaît, arrêtez !

Je me tortille sous la douleur alors qu'ils rient. Ils sont tous les deux-là, à me regarder me débattre, les larmes dans les yeux. Ils ont baissé leur caleçon pour révéler deux belles queues.

- Détachons là maintenant !

Pat obéit à Max et libère mes poignets endoloris des menottes en métal. Je me frotte les poignets. Les hommes me disent que ce n'est que le commencement. Pat prend la laisse et me conduit au pied du lit. Je soupire de soulagement lorsqu'il retire les pinces des lèvres de ma chatte. Bien que la douleur soit intense, ça ne fait qu'excitée et rendre plus humide ma chatte.

Pat se tient devant moi et me force à m'agenouiller. Il attrape mes cheveux et me tire vers sa queue. Celle-ci mesure bien vingt centimètres de long et elle est épaisse. La queue de Max est pratiquement similaire. En tout cas ces deux bites sont plus grosses que celle de mon Léo.

Pat pousse l'arrière de ma tête sur sa queue et je commence à le sucer. Il m'ordonne de le regarder pendant que je le suce. Je lève les yeux vers lui et je le laisse contrôler le mouvement de ma tête de haut en bas sur son membre. Max se tient à ma gauche, en caressant lentement sa bite. Mon maquereau de proprio n'est pas loin, il enregistre ma fellation du sexe de Pat.

- Mmmmm, Oui ! Gémit Pat.

Il retire sa bite de ma bouche. De la salive et du liquide pré éjaculatoire coule sur ma langue et le long de mon menton. Un filet de salive pend entre ma bouche et sa queue. Il met ses mains autour de mon cou et il tourne ma tête vers Max. Celui-ci saisit ma tête et force sa queue dans ma bouche. Il est plus agressif que Pat et il commence à baiser ma gorge. J'attrape la base de son membre pour essayer de le retenir un peu.

Mais il enfile sa queue au fond de ma gorge. De la salive coule hors de ma bouche alors qu'il me la baise. Il retire ma main et pousse sa bite au maximum dans le fond de ma gorge. Puis il ne bouge plus. Je commence à étouffer et je tousse. Alors il retire sa queue puis l'enfonce de nouveau mais moins loin.
Il ressort son membre et le pose sur mes lèvres. La salive qui pend entre la queue et ma bouche est bien enregistré par la caméra.

Pat tire sur la laisse et me fait agenouiller au-dessus du lit. Mon arrière-train est maintenant vulnérable. Il remet sa bite dans ma bouche. De temps en temps il tire sur la chaîne qui relie mes mamelons pour me faire grimacer de douleur. Je sens Max derrière moi qui fait courir ses mains sur mes fesses et sur les lèvres de ma moule. Bientôt je sens sa langue dans mon intimité.

Puis il glisse deux doigts dans mon antre chaude et humide et il les fait coulisser.

CLAC !

Sa main est tombée sur une de mes fesses déjà douloureuse. Je veux crier de douleur, mais mon cri est étouffé par la queue de Pat qui glisse dans et hors de ma bouche. Je sens les doigts de Max tourner autour de mon anus, et bien sûr, bientôt, il glisse deux doigts dans mon cul.

- MMMMFFF !

Je pousse un gémissement de douleur et de plaisir contrarié encore par la queue de Pat. Max enfonce ses doigts dans et hors ma grotte et de mon anus. Il utilise ses deux mains. Ma grotte est très humide alors il n'a pas de mal à la doigter. Mon cul est encore serré, mais lentement il s'ouvre.

Il retire ses doigts de mon cul et je sens maintenant quelque chose d'autre qui pousse la petite porte de mes reins. Je pense qu'il va me sodomiser et que ça va faire mal. Il pousse, mais ce n'est pas sa bite. Ce n'est pas non plus le gros gode noir sinon je l'aurai reconnu. L'objet a une pointe étroite et devient de plus en plus épais en entrant. J'ai l'impression que c'est une pyramide.

- OOOH ! Putain que c'est gros.

Je me sens incroyablement remplie au fur à mesure que l'objet entre. Je recrache la queue de Pat.

- Max ? AAARFF ! Mon DIEU, qu'est-ce que c'est, AIEEEE, ça fait mal! 

Pat ricane. L'objet est enfoncé encore plus loin jusqu'au moment où manifestement il ne peut aller plus en avant. Je tends la main vers mon cul et je sens une sorte de forme carrée. Ma main est giflée et ma tête est tirée vers la bite de Pat. Max continue de doigter ma chatte pendant que l'objet reste logé dans mon anus.

Puis Max arrête et s'allonge sur le lit. Pat retire sa bite de ma bouche, de ma salive coule sur mon menton. Max s'empare de la laisse et me tire vers lui. Il me demande de sucer sa bite à nouveau. Pat passe derrière moi et saisit le truc dans mon cul. Lentement il le retire. Je suis soulagée.

- Ce plug anal a fait l'affaire Max, son cul est prêt.

- Redresse-toi Léa et viens empaler ton cul sur ma bite ! M'ordonne Max.

Ils m'aident à me mettre en place. Ils me tournent vers le haut, mon dos face à Max allongé sur le lit. Ils me font placer mes deux pieds à l'extérieur de ses jambes.

Max tient sa bite bien droite et je m'abaisse dessus. Je me tortille un peu pour qu'elle s'enfonce plus facilement dans mon anus. Mais la queue ne va pas loin, elle ne pénètre que de quelques centimètres seulement. Je dois bouger mon corps de haut en bas pour que le membre entre plus profondément.

- OOORRR ! AAAAFFFF ! AAAARRGG !! OOOORRR !

Max tient mes fesses et m'aide à rebondir sur sa queue. Mon proprio est juste devant nous, filme et enregistre tout. Pat est sur le lit juste à côté de moi. Il tire mes cheveux pour que mon visage fasse face à sa queue. Il la plonge dans ma bouche. C'est difficile pour moi, et douloureux. Chaque fois que je rebondis sur la bite de Max, mes seins rebondissent aussi. Soudain Pat défait une pince de mon téton droit. 

Il passe la pince, reliée à l'autre par la chaînette, derrière mon cou et l'a remet sur mon téton tendu. Maintenant mes deux seins qui sont retenus par la chaîne reliant mes tétons, ils sont tirés vers le haut quand je rebondis sur la bite de Max. J'espère que ça va bientôt se terminer.

Je suis soulagée quand Max me soulève et retire sa bite de mon cul. Il m'ordonne de me tourner et de le chevaucher avec sa queue dans mon puits d'amour. Je lui obéis et j’empale ma grotte  sur son membre. Ça glisse sans problème, je suis tellement mouillée. Max attrape la chaîne de mes tétons et tire dessus. Je ne peux pas résister, ça fait trop mal.

Je m'étends sur sa poitrine, mes seins reposent sur son torse velu. Il attrape mes fesses et les écarte. Je me doute de ce qui va suivre. Pat se place derrière moi et pousse sa bite dans mon puits d'amour sans fond déjà ouvert. Sa queue est un peu plus épaisse que celle de Max, et je le sens bien renter.

- OOOUURRRFFFF !

Pat commence bientôt à marteler mon rectum pendant que Max essaie de bouger sa bite dans ma grotte avec rythme. Il m'attrape la gorge et me serre fort. C'est comme s'il essayait de m'étouffer. Il m'ordonne de gémir pour la caméra mais mes gémissements sont étouffés par sa strangulation.

-MMMMMFFF ! MMMEEEE ! MMMMEEEEE !

Enfin, Max relâche son emprise pour que je puisse reprendre ma respiration. Pat me sodomise sans pitié tout en me giflant les fesses. Je le supplie d'arrêter de claquer mes fesses car c'est vraiment trop douloureux. Mais mes suppliques tombent dans l'oreille d'un sourd. Les deux hommes n'ont aucune pitié.

- OH ! OORF ! S'il vous plaît, arrêtez !

Je ne sais pas quoi faire. J'aime être baisée par deux hommes à la fois, mais par mon beau-frère, c'est presque de l'inceste. Je veux que ça finisse. Mon souhait est bientôt exaucé.

Je suis tirée sur le sol par la laisse. Les deux hommes se tiennent au-dessus de moi et se masturbent furieusement. Max me dit d'ouvrir la bouche. Il éjacule son sperme dans ma bouche tout en tenant fortement mes cheveux pour que j'avale sa semence qui tombe sur mes joues quand j'avale celle qui est dans ma gorge.

Pat jouit ensuite. Le sperme frappe le côté de mon visage. Il frotte sa queue dessus pour le repousser dans ma bouche. Je suis heureuse que ça soit fini. J'avais respecté la volonté de mon beau-frère donc peut être qu'il me dénoncera pas auprès de mon mari pour avoir été une salope.

Mais ça me coûte cher. Mes fesses sont brûlantes, mon trou du cul est distendu sous les coups de bites et du truc. Mes tétons me font très mal à cause des pinces. J'ai baisé avec mon beau-frère, il m'a même enculé. Être baisée par des étrangers n'est pas la même chose, ce sont des étrangers.

- Reste comme ça à quatre pattes comme une bonne chienne que tu es ! Penche toi et tends ton cul bien en l'air... M'ordonne Max. 

Pat vient près de moi et attrape la chaîne de mon collier et tient ma tête contre lui. Max n'a pas débandé je pense qu'il va me baiser.

Mon proprio profite que je tourne la tête, il guide Sam le chien de Mario sur mon cul. Je qui pousse un cri de surprise.

- NONN Max ! Pas ça !

- Tais toi et ne bouge plus !

Sam ne se fait pas prier et comme la dernière fois il me monte, enserre mes hanches de ses pattes avant et après quelque coup dans le vide, me pénètre. Il entre d'un seul coup, me tirant encore un grand cri de plaisir. Il commence ses allers et venus, il me pilonne violemment, je prend un plaisir fou et me prend pour une chienne. Je sens qu'à chacun de ses allers et venus il inonde mon sexe de son sperme chaud. 

L'acte dure plus longtemps que la dernière fois et je sens déjà la chaleur qui monte :

-OUIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIII IIIIIIII !

Mais Sam ne s'arrête pas, il continue ! Moi je devient comme folle sous ses coups de butoir, je ne cesse de jouir, c'est si bon ! Dans ma grotte d'amour je commence à sentir sa boule se former sur sa bite, elle me donne encore plus de plaisir. Comme elle grossit j'ai encore un, puis deux, puis trois orgasmes consécutifs ! 

Quand il voit comment je couine devant les coups de bite de Sam. Max lance un grand :    

-T'es vraiment une vrai salope !! 

Je suis dans un état second, pleine du sperme qui continue de jaillir de la bite de Sam. Il arrête ses allers et venus et tente de se retirer. NON ! Je ne veux pas ! Cette grosse bite gonflée est trop bonne. Sa queue tressaute dans mon vagin à chaque éjaculation. Il tente encore de se retirer et me fait mal, sa boule est trop grosse et il ne peux pas sortir ! 

Pat a lâché la laisse et vient se faire sucer ainsi que les deux autres qui sont excités par la spectacle. Sous un nouveau mouvement, j'ai encore un violent orgasme qui me fais hurler plus fort que toutes les fois précédentes. J'en aspire la bite de Max qui est dans ma bouche comme si je voulait l'avaler.

Sous cet pression de mon vagin, Sam réussi à s'extirper de mon corps. Je hurle encore sous l'orgasme et ma grotte crache le trop plein de sperme. Je reprends mon souffle, je dégouline de semences canine, Sam lui, est partit se lécher.

Je suis à bout de souffle, à quatre patte au pied de mon lit à dégouliner de sperme. Tout l'immeuble a dû m'entendre hurler. Mais je ne pense qu'a une chose : Je suis zoophile et j'aime ça !

Mon beau-frère peut le raconter à tout moment à mon mari. Dans quoi me suis-je fourrée ?

Le lendemain Max en veut encore. Il prétexte qu'il a un chantier dans le coin pour que son frère veuille bien qu'il squatte chez nous un certain temps. Je rentre discrètement dans la chambre d’amis à côté de celle où mon mari dort. Max me dit qu’il me trouve trop belle, qu’il avait toujours rêve de me baiser  Il me baise sur le lit qui grince trop fort à mon goût !

Max me prend la bouche, le cul. Il me baise avec passion et je me laisse faire. Je fini en nage. Je suis trempée de sueur et de sperme. Je vais ainsi me coucher dans mon lit car je n’ai plus de force pour prendre une douche.

Le lendemain matin mon mari en se levant me dit qu’il lui a semblé entendre Max dans la chambre d'ami. Il me dit que le lit à grincé cette nuit. Je lui ai répondu que son petit frère a bien le droit de se faire des petits plaisirs solitaires s’il le souhaite !! S’il savait ce que le plaisir solitaire a fait à sa femme cette nuit !!!

Max me baise le soir tard dans la chambre avec le matelas par terre (pour le bruit !). Quand c'est l’heure de faire le repas, je dois me mettre en jupe sans culotte pour un petit coup rapide. Souvent mon mari et dans le salon devant la TV pendant que je me fais baiser dans la cuisine par son petit frère. Je suis devenue son vide couille à lui aussi. Il profite de chaque instant. 

Mr Alain m'a dit que nos loyer impayés été soldés et que je pouvais payer chaque nouveau loyer en nature. Maintenant que Léo a un travail stable nous pouvons honorer les quittances de notre appartement.

Quand Léo m'a demandé pourquoi que notre propriétaire n'est pas revenu réclamer les loyers              impayés, j'ai pris comme prétexte que je faisais le ménage dans son luxueux appartement qui est situé dans un quartier éloigné du notre.

Léo a pris mon prétexte avec admiration, il me dit que j'aurais pu le mettre au courant et comme maintenant que notre dette est réglée, je ne suis plus obligée de continuer à faire la bonne chez notre proprio. Je lui ai rétorqué que ça me faisais une activité et de l'argent de poche. Je ne lui ai surtout pas dit que c'est un bon prétexte pour justifier mes absences car le démon du sexe maintenant m'habite très fortement.

Je laisse parfois rentrer le chien de Mario quand je suis toute seule à l'appartement. Dans ces moments-là je ne suis plus une femme mais je deviens une chienne en chaleur qui aime la saillie sauvage d’un animal en rut.

FIN

vendredi 25 février 2022

Vacances sauvages Ch. 04

Texte de Coulybaca.

 ****

L'intrigue se noue, les maîtres assoient leurs emprises.

Les cinq gars devisaient gaiement alors que nos trois amies préparaient le repas, chaque fois qu'elles passaient à leur portée, une main fureteuse, indiscrète se coulait sous leur jupe, palpant les fesses rebondies, titillant les clitoris affolés, un ou plusieurs doigts s'insérant dans las chattes juteuses ou les trous du cul assouplis.

Ils prirent l'apéro, se gavant toujours de leurs charmes avant de manger tous ensemble, puis alors qu'ils digéraient paisiblement, elles se livrèrent à diverses tâches ménagères, nettoyant leurs tentes, lavant la vaisselle dans l'eau du lac.

Elles se comportaient naturellement, pleinement conscientes qu'à chaque pas, chaque mouvement, elles livraient la totalité de leurs appâts aux yeux concupiscents des cinq mâles.

Leurs différentes tâches terminées, sur un signe de la main, elles accoururent et se prosternèrent entre leurs cuisses, Denise agenouillée entre les cuisses de son maître descendait son short sur ses hanches libérant sa flamberge raidie, tout de suite, elle l'emboucha avidement, soucieuse de lui complaire.

Hélène avait la bouche pleine d'Ahmed alors que Céline happait les couilles de Moktar, sous les yeux ravis de Denis et Robert qu'elles branlaient habilement.

Hélène et Céline se débrouillaient habilement de leurs mains habituées qu'elles étaient à faire plaisir à leurs petits amis respectifs sans trop leur accorder, mais elles se montraient beaucoup moins habile de la bouche, à l'image de Denise qui n'avait jamais accordé cette suave caresse à son mari.

Mais visiblement, toutes trois, elles faisaient des efforts pour effacer les dents, tendre souplement le col, aligner leur gorge sur les bites tendues pour lieux les emboucher.

Sous les directives d'Ibrahim, Denise léchait l'épaisse mentule, puis descendait happer entre les lèvres les couilles velues, odorantes avant de retourner vers le gland qu'elle titillait de la pointe de la langue, l'enrobait de la langue avant de l'avaler au-delà des amygdales.

Ses cousines l'imitaient obéissant aux injonctions d'Ibrahim, s'appliquant de tout leur cœur à sucer les deux arabes radieux.

Elles reçurent les premiers geysers de foutre dans leur bouches asservies,. Secouées de hauts le cœur, elles auraient aimé pouvoir recracher le foutre gluant qu'ils les avaient forcées à ingurgiter, la main pesant sur leurs nuques, mais déjà, Robert présentait sa bite à Céline alors que Denis s'enfonçait entre les lèvres asservies d'Hélène.

- "Ca f'ra de bonnes suceuses !" commenta Ibrahim à l'usage de ses comparses.

- "Tu ne comptes tout de même pas !"

- "Et pourquoi pas les gars.. Une femme est une femme. Tout dépends des arguments employés. On a 4 semaines pour les former. Et comme elles sont girondes. Un bon potentiel à rentabiliser !"

Cet échange leur passait loin au dessus de la tête, et pourtant... Et pourtant si elles avaient su qu'outre la gestion de son bar, Ibrahim gérait des activités moins licites. Le bar abritait plusieurs chambres qui accueillaient ses pouliches.

Par ailleurs il faisait partie d'une association de "fêtards" régionale : "Les loups Picards", chaque loup avait son propre logo et son propre nom, ainsi, Ibrahim s'était offert une bague avec une tête de loup en effigie, blason qu'il faisait reproduire ou tatouer sur ses différentes possessions.

Denise ne tarderait pas à s'en apercevoir.

Pour l'instant, il était heure de vaquer aux tâches ménagères, et tandis que les hommes se relaxaient en se livrant à une bonne partie de pétanque, ces dames préparaient le repas qu'ils exigeaient goûteux malgré les conditions précaires de camping.

Le repas de midi, la sieste réparatrice meublée des activités de chaque couple ou trio retiré sous sa tente d'où s'échappaient plaintes geignements et gémissements.

Ibrahim décida de passer aux choses sérieuses.

Fin de cette histoire. Malheureusement il semble qu'il n'existe pas de suite.

mercredi 23 février 2022

Dressée par mon beau-papa Ch. 02

Texte de Bonnesoumise.

 ****

Ma confession sur ma jeunesse.

Après la séance du bureau, ma vie a pris un tournant décisif. Du moins pour cette première semaine retenue dans la maison de mon beau père, Claude.

Mon mari absent et sans travail, Claude décida de me séquestrer une semaine pour commencer mon dressage. Tenue en otage par les photos compromettantes de moi nue et des nouveaux films vidéos, Claude commença par filmer mes confessions…

Mon beau père m’attacha en Croix dans la chambre d'ami, sur le vieux lit, avec des liens en cuir et des menottes, complètement nue et les yeux bandés. Armé d'un gros salami et sa cravache, il m'obligea à lui raconter toute ma vie sexuelle depuis le début ainsi que tous les détails de ma vie intime avec mon mari, son fils.

Tout en me donnant plaisir avec ce gode en viande, il me caressait avec la cravache, avant de donner des coups secs sur mes tétons et ma chatte, puis des caresses de nouveau.

Sûr que toutes les filles de pensionnat catholique ont des histoires croustillantes à raconter, Claude était aux anges lorsque en pleurant de douleur et de jouissance, je fus contrainte à lui avouer mes secrets les plus intimes. Lorsque je fus initiée à l'amour saphique à l'internat, un dimanche après-midi pluvieux, par Jenny la belle italienne fine et Clara l’espagnole potelée. Elles m'avaient attachée et engodée avant de me bouffer la chatte et finir en 69.

Puis à 18 ans, mon premier amant en vacances, qui m'a dépucelée sous la douche pendant que mes parents dormaient à côté.

Ensuite en pleine rébellion, j'étais punkette et je suis sortie avec un petit dealer arabe de 28 ans qui me dressa en bonne pute soumise. Pendant 3 mois je fus son objet. Claude me tirait les vers du nez avec sa cravache et je dus donner avec force de détails imagées comment Momo avait réveillé la salope en moi.

Ensuite, quelques amants de bonne famille sans intérêt car classiques et pas doués au lit avant que je succombe à 22 ans pour Thierry, un vieux beau de 36 ans qui m'avait éblouie avec son fric et son style jet set. Lui aussi avait vite découvert mon penchant de soumise lors de nos premiers ébats. Thierry était plus raffiné que Momo et aimait me parer de tenues latex et me bâillonner. Après un an à faire la salope soumise pour Thierry, je le quittais lorsqu'il essaya de me "vendre" à un riche libanais pour boucler un contrat.

Après cette aventure torride et déraisonnable, je décidais de me poser en trouvant le parfait mari avec Jean. Six mois après avoir quitté Thierry, je me croyais enfin sortie des griffes des mecs dominateurs qui jouissaient de moi. Je devins épouse et parfaite femme au foyer, mais après 10 ans de train-train, Claude était en train de réveiller mes vieux démons…

- Confession parfaite, salope… J'ai tout sur vidéo et tu as l'air d'avoir aimé ton copain le saucisson pur porc...hmmm. Je vais procéder à te dicter ta tenue et ton langage pour poursuivre ton dressage, petite garce.… Tu aimes que les hommes te fassent souffrir, qu'ils usent et abusent de toi, de ta bouche de pipe, de tes grosses miches, de ta chatte et ton ptit cul de salope... Tu seras servie ma belle. Avec moi, tu vas t’épanouir en une parfaite petite bourge docile et cochonne…

A suivre...

lundi 21 février 2022

Femme infidèle : Christiane

 Eric vient d'ouvrir son sex-shop. Il est 13h00. Il sait que dans l'après-midi, il ne va pas avoir beaucoup de clients, mais il reste fidèle au poste en se disant qu'il devrait changer de commerce. Avec internet, il n'y a plus beaucoup d'avenir  dans ce genre de boutique.

La sonnerie déclenchée par la passage de quelqu'un sur la tapis à l'entrée de son magasin le tire de ses rêveries maussades. Il lève les yeux et voit deux potes à lui :

- Oh putain Tom et Jeff, ça fait longtemps que je vous ais vu. Revenus de votre périple ?

- Salut Eric ! Ouais, nous voilà après trois mois de boulot dans le désert africain !

- C'était dur ?

- Pour sûr, trois mois complètement isolé sans voir une seule femme c'est très dur. C'est d'ailleurs pourquoi nous venons te voir. Tu as toujours des bons coups n'est-ce pas ? Et puis on passera la soirée ensemble et on te raconteras.

- Vous avez bien fait de venir me voir. je passe un coup de fil, je ferme la boutique et je vous emmène vous vider les couilles.

Eric prend son portable, fait un numéro et attend que l'on décroche.

- Salut salope, j'ai besoin de toi !

- ...

- Je m'en fous ! dans une demi-heure à l'endroit habituel et dans la tenue habituelle !

Il raccroche, va fermer la porte de sa boutique à clé et fait signe à Tom et Jeff de le suivre. Ils sortent par derrière et monte dans la voiture d'Eric. Après 25 minutes de route dans la campagne, la voiture s'engage dans un petit chemin et Eric la gare dans un sous-bois. 

Les trois hommes s'engagent sur un sentier et au bout de cinq minutes se retrouvent dans une petite clairière. Ils voient alors une femme accroupie, mains dans le dos, qui semble les attendre.

Eric fait alors les présentations :

- Les gars, je vous présente Christiane, 42 ans, femme mariée, mère de trois enfants. Son mari a une petite bite et n'arrive plus à la satisfaire. Elle est venue dans ma boutique pour m'acheter un gros gode. Mais elle a essayé de me voler, alors je l'ai faite payer en nature. Depuis ce jour elle est totalement soumise à mes ordres.

Tom et Jeff semble apprécier le physique de la femme devant eux. Une bosse commence à se former à leur entrejambe.

Eric continue :

- Mais je pense qu'il faut qu'elle se présente elle-même ! Allez connasse, va là-bas et présente-toi à mes deux potes ! Et fais-le bien sinon...

La femme rousse se lève, étale un tissu sur une pierre et s'assoit dessus. elle écarte les jambes, sourit et dit :

- Bonjour Messieurs, je suis Christiane la chienne. Je suis une grosse truie affamée de bites et de sperme. Je ne suis qu'une vide-couilles au service des hommes qui veulent bien se servir de moi. Je suis un sac à foutre et j'espère que je serais à votre goût. Je suis à votre disposition avec tous mes orifices pour votre seul plaisir.

Tom et Jeff semblent apprécier car ils sifflent tous les deux pour montrer leur satisfaction. Eric dit alors :

- Elle est à vous Messieurs.

Les deux homems sortent leur bite et se caresseent en approchant de Christiane. Eric les arrête :

- Mais avant, je vais faire une photo de famille. Allez, souris connasse ! Montre que tu aimes être nue entre deux hommes bite à la main ! Montre que tu es affamée ! Peut-être qu'un jour, j'enverrai ces photos à ton cocu. qu'est-ce que tu en penses, salope ?

- Comme vous voudrez Monsieur !

- Bien, maintenant applique-toi ! ne me fais pas mentir, montre que tu es une suceuse hors pair !

- Oui Monsieur !

Sans hésiter, la femme prend la bite la plus proche dans sa main comme s'il s'agissait d'un objet fragile et commence à la lécher.

Puis elle embrasse le gland et le laisse entrer dans sa bouche. Sa langue s'active pour faire grossir ce membre. Avec son autre main, elle masse les couilles de l'homme. Jeff a un sourire de plaisir sur son visage. On ne lui a jamais fait une aussi bonne fellation.

- Putain c'est bon ! C'est du velours sa bouche, elle sait y faire cette chienne !

Christiane essaie d'avaler la queue maintenant bien raide et bien dure. Elle la fait coulisser au fond de sa gorge. Il ne faut pas longtemps de ce traitement pour que Jeff, abstinent depuis un certain temps, éjacule.

La mère de famille, en bonne soumise, avale le foutre sans sourciller.

Quand Jeff se retire, elle se déplace jusqu'à Tom toujours en train de se branler. Elle s'accroupit devant lui et répète la même prestation qu'avec son copain. 

Il ne faut pas longtemps non plus à Tom pour gicer dans la bouche accueillante de cette mère au foyer. 

Quand il a fini, Eric dit :

- Je vais vous laisser reprendre vigueur les gars. pendant ce temp je vais enculer cette poufiasse. Mets-toi en position salope !

Christiane se met à quatre pattes sans rien dire. la tête reposant sur le sol, elle écarte ses fesses avec ses deux mains. Elle sait que Eric va l'enculer brutalement. Heureusement, elle a pris l'habitude de porter un plug pour garder son trou du cul élargi.

Elle gémit quand l'homme s'enfonce d'un coup de rein dans son cul. Puis elle sent le plaisir monter en elle tandis qu'Eric la sodomise violemment. Bien avant qu'il n'éjacule dans ses entrailles, elle a plusieurs orgasmes. 

Eric, après s'être vidé en elle, la laissera tomber sur le sol en disant :

- Elle est à vous les gars !

Tom et Jeff se font alors un plaisir de baiser cette femme soumise par tous les trous possibles. Après deux heures, les trois hommes la laisseront épuisée par plusieurs orgasmes. Avant de partir, Eric lui dit :

- N'oublie pas que tu es toujours à ma disposition, salope ! Maintenant tu devrais te dépêcher pour aller chercher tes gosses à l'école et retrouver ton cocu.

- Oui Monsieur.

samedi 19 février 2022

Gagner Son Pardon Ch. 04

 Traduction d'un texte de MechanicalAnge

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Multiples humiliations et gang-bang pour Emma.

Lorsqu'Emma se réveille le lendemain matin, elle reprend avec fatigue la routine matinale. A la cuisine, elle fait cuire du bacon et des œufs pour le petit-déjeuner, puis elle dresse la table pour deux. Lorsque la porte de la cuisine s'ouvre à exactement neuf heures et demie, elle n'entend qu'une paire de pas.

- William dort toujours. Tu as dû le fatiguer la nuit dernière. Dit Légèrement James.

Emma ne dit rien et l'entend manger le repas qu'elle vient de préparer.

- Pourquoi ne me racontes-tu pas?

Le cœur d'Emma se serre. Elle ne sait pas si elle va pouvoir supporter de dire à James ce qu'elle a fait la nuit dernière. Elle a l'impression de l'avoir encore trahi.

- Allez, dis-moi ce que vous avez fait tous les deux. Ne laisse aucun détail de côté, je le saurais si tu le fais.

Alors Emma parle, racontant à James comment elle a embrassé William et comment elle l'a laissé la baiser. Elle lui dit qu'elle l'a supplié et que finalement ils ont joui. Tout au long de l'histoire, James reste silencieux.

- C'est tout Maître. Dit-elle quand elle a fini.

- Eh bien, tu as certainement passé une soirée très amusante. Je me demande si tu aimerais encore coucher avec William ce soir. Dit-il moqueur.

Emma ne dit rien et prie pour qu'ils la laissent dormir dans sa cage ce soir. Il y a quelques jours à peine, elle n'aurait jamais cru qu'elle prierait de dormir dans cette affreuse cage, mais ils ont trouvé quelque chose de pire. Peu de temps après, William descend et les deux garçons commencent à comparer leur expérience de baiser Emma. Elle rougit en les entendant parler d'elle comme si elle n'était rien d'autre qu'un objet sexuel. Ils décrivent son corps en détail et ils parlent même de ses gémissements quand elle jouit.

Comme d'habitude ils la laissent se nourrir dans sa gamelle, puis ils la sortent dehors pour qu'elle se soulage.

- Profites-en, car tu ne sortiras qu'après le déjeuner! Dit James.

Ensuite ils lui ordonnent de se mettre à quatre pattes entre leurs deux fauteuils et ils posent un cendrier sur son dos. Toute la matinée, ils regardent la télévision et ils bavardent comme si elle n'était pas là. Emma se retrouve seule avec ses pensées. Elle ne peut s'empêcher de repenser à tout ce qui lui est arrivé depuis qu'elle est ici. Ça fait bien deux jours qu'elle n'a pas entendu son prénom, deux jours qu'elle ne peut pas faire ses propres choix, deux jours qu'elle n'a pas mangé à table avec des couverts. Ça ne fait que deux jours?

Elle a un mois entier à faire et elle ne veut pas penser à ce qu'ils peuvent lui réserver d'autre. Elle s'est exhibée à un groupe d'hommes ivres dans un pub, elle s'est enculée avec le talon de sa propre chaussure, elle a joué comme un chien. Et elle s'est laissée baiser par le meilleur copain de son petit ami. Que peuvent-ils faire d'autre pour l'humilier et la dégrader encore plus?

Après le déjeuner, ils ont de nouveau joué avec elle. Emma a du prendre un concombre pour se baiser avec. Puis elle a dû lécher son jus qui le recouvrait. Finalement ils lui ont ordonné de le couper en tranches, d'insérer chaque tranche dans sa chatte avant de la manger. Ils n'arrêtent pas de rire, comme s'ils n'arrivaient pas à croire la façon dont elle se rabaisse sur leurs ordres. Quand ils ont fini, ils l'emmènent dans la salle à manger. Elle prie pour qu'ils ne la punissent pas. Elle a bien fait tout ce qu'ils ont demandé, alors ils ne vont pas la battre, non?

Ils ne la battent pas. William ouvre une boite et en sort un gros plus anal. Il lui montre pendant que James enlève sa laisse. William pousse l'objet dans sa bouche et elle le suce pour qu'il soit lubrifié. Ensuite il le tend à James qui le met brutalement dans son cul. Il est plus gros que celui de la veille. Une fois encore, elle a l'impression d'avoir le cul en feu. William sort alors un vibromasseur qu'il enfonce dans sa chatte avant de l'allumer. Ses deux trous sont remplis et le vibromasseur touche également son clitoris. Instantanément elle sent qu'elle mouille.

- Nous allons te laisser seule un petit moment. Nous ne voulions pas que tu t'ennuies, alors tu as ces jouets pour t'occuper. Dit James en lui menottant les poignets derrière le dos

William attache ses chevilles à des crochets dans le sol qui gardent ses jambes écartées. Puis il attache ses poignets à un crochet dans le mur. Elle est bien incapable de bouger.

- Nous ne voulons pas t'avoir dans les pattes tout le temps. Nous avons d'autres choses à faire et tu n'en fait pas partie.

Ils la laissent seule dans la salle à manger. Le message est clair. Elle n'est pas assez importante pour qu'il s'occupe d'elle à moins de vouloir quelque chose.

Pendant des heures ils sont absents. Ses jambes et ses épaules lui font mal. Son cul et sa chatte palpite sous la stimulation constante et implacable. Elle jouit encore et encore, et son jus coule le long de ses cuisses et forme une flaque sous elle. Elle n'arrive plus à penser, car les orgasmes prennent le dessus. Quand James revient enfin, elle est presque évanouie.

Quand le garçon sort sans précaution le plug anal et le vibromasseur, son corps proteste violemment. Son trou du cul est béant et elle a désespérément besoin de quelque chose pour remplir sa chatte. Elle gémit légèrement et James éclate de rire.

- Tu n'auras plus rien. Tu as du nettoyage à faire!

Il la libère des menottes et il la pousse au sol avant de plonger son visage dans la flaque de jus. Docilement elle tire la langue et lèche les saletés qu'elle a faites. Quand c'est propre, James la remet sur ses pieds et la pousse vers la porte.

- William veut te voir. Il est dans sa chambre.

Bientôt Emma frappe nerveusement à la porte de la chambre de William. Il est vêtu d'un survêtement et il est en sueur. Il lève les yeux quand elle entre et il sourit :

- Bien tu es là! J'ai décidé de faire un peu de sport, mais je ne suis pas vraiment en forme. Je suis ruisselant de sueur. Nettoie-moi!

Il retire son tee-shirt. Emma hésite. Elle n'est pas sûre de ce qu'il veut vraiment. Soupirant d'impatience il la tire vers lui.

- tu n'es pas idiote, non? Lèche-moi salope!

Sa bouche est déjà pleine du goût de son propre jus, et maintenant il se mélange à la saveur salée de la sueur de William. Sa peau est moite et sale. Emma a honte de devoir lécher sa poitrine et son ventre. Il lève les bras et elle se déplace pour lécher ses aisselles, enfouissant le nez dans ses poils. Elle est écœurée par le goût et l'odeur. Quand il baisse son pantalon et son caleçon, elle doit lutter pour ne pas s'enfuir. Il la pousse à genoux et tient son visage entre ses fesses. Elle continue de lécher en essayant d'oublier le goût âcre. Enfin elle finit par ses couilles et sa bite.

Toutefois, avant de complètement bander, William la repousse et s'assoit en disant :

- Fais mes pieds!

Elle commence timidement à lui lécher les pieds et il soupire d'aise :

- C'est ça salope! Assure-toi de bien nettoyer entre chaque orteil, c'est là que c'est vraiment sale.

Finalement, Emma est autorisée à partir. Son nez et sa bouche sont saturés par l'odeur du corps du garçon. Elle prie pour qu'on ne lui redemande jamais de faire ça.

Ils ne lui donnent rien pour enlever ce goût horrible, et quand James la pousse dans sa cage ce soir-là, elle a toujours le goût de William dans la bouche. Pourtant, elle ne peut s'empêcher d'être soulagée de ramper dans la cage métallique. Après les excès de la veille, elle est contente de ne pas être forcée à faire quelque chose de pire. Elle s'endort instantanément.

Les jours passent lentement, et chacun apporte un peu plus d'humiliation et de dégradation. Parfois les deux garçons reçoivent d'autres personnes et ces jours-là sont les pires. Elle a l'impression qu'ils veulent prouver à quel point ils peuvent l'humilier. Elle ne s'habitue pas à manger sur le sol et à faire ses besoins à l'extérieur. Et elle ne s'habitue pas non plus à être traitée de salope et de pute. Mais elle apprend à s'y attendre. Elle n'est plus surprise par tout ce qu'ils lui font faire. Lentement, mais sûrement, elle devient ce qu'ils veulent qu'elle soit : un simple objet à traiter avec dédain et mépris. Elle perd rapidement le compte des jours où elle est leur esclave.

Elle peut être là depuis des mois ou juste quelques semaines, elle ne sait plus. A certaines occasions, ils trouvent des raisons de la punir, et ils s'attendent toujours à ce qu'elle les remercie. William ne la baise plus comme la première fois. Mais il lui demande parfois de se mettre à quatre pattes et il la baise de cette façon. Quand il le fait, elle n'a pas le droit de gémir ou parler, elle doit aboyer comme un chien. Et si elle ne le fait pas de manière satisfaisante, il sort de sa chatte et l'encule jusqu'à ce qu'il soit content. Il la laisse à peine jouir, et il l'oblige toujours à dire à quel point elle apprécie ce traitement. Ensuite elle doit le nettoyer même s'il vient de l'enculer. James ne la baise jamais, et aucun des invités non plus, bien qu'ils soient sûrement autorisés de lui faire ce qu'ils veulent.

Un soir on lui demande de mettre la tenue posée sur la cage, car ils sortent. Bien que des gens soient venus à la maison, les deux garçons ne l'avaient pas emmenée depuis la nuit du pub et de la maison de Daniel. Avec un peu d'appréhension, Emma monte à l'étage. La jupe qu'ils lui fournissent cette fois est encore plus courte que celle d'avant. En baissant les yeux, elle peut clairement voir sa chatte exposée. Elle peut sentir que son trou du cul est à peine couvert. Le haut n'est rien de plus qu'un bout de tissu qui recouvre à peine ses mamelons. Une paire de talons incroyablement hauts complète la tenue. La dernière fois elle ressemblait à une prostituée ordinaire, mais là elle ressemble à une pute de bas échelle.

Elle dévale l'escalier et se présente devant James et William qui l'attendent. Le premier lui dit :

- Nous ne marcherons pas ensemble. Tu vas nous suivre sans trop t'approcher. Nous ne voulons pas être vus avec la grosse pute que tu es. Si quelqu'un te parle, souris et sois polie, affectueuse même. Si quelqu'un veut te toucher, tu dois le laisser faire. Tu donnes les mêmes réponses que la nuit au pub. Compris?

Emma rougit, mais acquiesce. Ils sortent et Emma s'assure de rester à distance des deux garçons. Elle prie pour que personne ne s'approche d'elle. Le premier homme qu'elle croise la regarde de haut en . Loin d'être intéressé, il semble plutôt être dégoûté :

- Mets des fringues, sale pute!

- Merci! Marmonne-t-elle doucement.

La personne suivant qu'elle croise est tout aussi désobligeante :

- Tu penses vraiment être sexy en étant habillée comme ça? Tu ressembles à une grosse vache menée à l'abattoir.

Et ainsi de suite... De temps en temps, un homme passe et fait un commentaire suggestif, mais dans l'ensemble les hommes et les femmes ressentent le besoin de lui dire à quel point elle a l'air ridicule ou sordide. A chaque fois qu'elle les remercie, ils semblent encore plus dégoûtés par elle.

Puis un homme arrive en face d'elle et l'oblige à s'arrêter. Il porte un vieil imperméable sale et déchiré. De plus il pue l'alcool.

- Ça va chérie?

Emma réussit à sourire et hoche la tête.

- Oui merci.

- Pourquoi montres-tu ta chatte?

Gênée, Emma essaie de garder le sourire.

- Ça m'excite de laisser les gens voir ma chatte. Répond-elle en rougissant.

Les yeux du clochard s'agrandissent et il sourit. Puis d'un air lubrique il dit :

- Tu devrais surveiller ta bouche. Un bouche avec de tels mots pourrait te causer des ennuis, tu ne crois pas?

- Oui, je suis désolé.

- Ne t'inquiète pas! Mais dis-moi quelque chose, jeune fille?

Il se penche près d'elle et son odeur emplit les narines d'Emma. Ça doit faire des mois qu'il ne s'est pas lavé.

- Est-ce que ça t'excite aussi de laisser les gens te toucher?

« S'il vous plaît, tout sauf ça » pense Emma.

- Oui! Répond-elle avec un sourire, en se sentant malheureuse à l'intérieur.

- Tu veux venir avec moi dans la ruelle?

Emma lève les yeux et voit James et William se prélasser nonchalamment contre un mur voisin. Ils regardent ailleurs et font mine de ne pas savoir qu'elle est là. Elle se sent à la fois soulagée qu'ils ne soient pas loin et malheureuse à l'idée qu'ils s'attendent à ce qu'elle fasse tout ce que le clochard veut. Elle se force à sourire :

- Oui merci.

L'homme se frotte les mains l'air joyeux. Il part vers une ruelle en face. Emma lance un regard désespéré à ses maîtres et arrive à attirer l'attention de William. Il se contente de hausser un sourcil et il fait un signe de tête vers la ruelle. Elle doit suivre le clochard.

- Tu viens chérie?

Elle rejoint l'homme qui la pousse doucement contre le mur. Il s'appuie sur elle et Emma sent qu'elle va être malade.

- Tu veux que je te doigte?

Emma doit prendre tout son courage pour ne pas se détourner de son haleine fétide.

- Oui s'il vous plaît!

Le clochard sourit à nouveau et dit :

- Es-tu sûre? Je ne me lave jamais les mains, même après avoir pissé. Et je fouille les poubelles toute la journée.

Il lève ses mains pour lui montrer. Emma voit qu'elles sont recouvertes d'une vraie couche de saleté.

- Est-ce que ça t'excite vraiment que je te baise avec mes doigts?

- Oui.

Les yeux du clochard se plissent alors :

- Tu n'es pas une pute hein? Je ne te paierai pas!

Emma secoue la tête.

- Je ne suis pas une prostituée.

Le clochard fait son plus large sourire. Il semble heureux.

- Alors tu es juste une cochonne, n'est-ce pas?

- Oui.

Sans autres mots, il enfonce un doigt sale au fond de sa chatte.

- Est-ce que tu aimes ça? Dis-moi combien tu aimes ça?

- J'adore ça, ça m'excite.

Emma ne s'est jamais aussi sentie moins excitée de sa vie, mais visiblement elle doit bien simuler, car le clochard pousse un autre doigt en elle.

- Tu aimes ça, salope?

- Oui. Gémit-elle.

Elle déteste ça, elle voudrait s'enfuir loin. Mais elle sait que James et William l'attendent. L'homme commence à faire coulisser ses deux doigts en elle, limant sa chatte douloureusement parce qu'il n'a pas pris le temps de la stimuler avant.

- Tu veux un autre doigt?

Emma hoche la tête. Il retire sa main avant d'enfoncer rudement trois doigts en elle.

- Oh oui putain, tu aimes ça, n'est-ce pas? Tu aimes ça!

Il semble ne pas s'apercevoir qu'Emma ne mouille pas, ne gémit pas et ne s'amuse pas du tout. Il n'arrête pas de pousser ses doigts en elle.

- Tu en veux un autre? Tu en veux un autre n'est-ce pas? Tu veux toute ma main, non?

Emma n'a pas d'autres choix que de dire oui. L'homme glousse et enfonce sa main dans sa chatte. Elle gémit de douleur sous l'intrusion, mais le clochard prend ça comme une preuve qu'elle aime ça. Il agite sa main en elle. Emma ferme les yeux et prie pour ce soit bientôt fini. Finalement il retire sa main et sourit. Il la regarde en donnant l'impression qu'il vient de lui faire une grande faveur.

- Merci! Dit-elle quand il devient évident qu'il attend qu'elle parle.

- De rien Chérie! Ce n'est pas souvent que je peux toucher quelqu'un d'aussi jolie que toi.

Il se penche encore plus près quand une pensée lui arrive :

- Je suppose que tu ne veux pas me toucher, n'est-ce pas?

A peine capable de croire ce qu'elle fait, Emma hoche légèrement la tête :

- Si! Si vous aimez ça!

Les yeux de l'homme s'illuminent et il se presse contre elle pour lui chuchoter à l'oreille. Si près, son odeur est écrasante.

- Tu voudrais aussi me goûter?

- Oui! Murmure Emma.

Il détache le bout de ficelle qui retient son pantalon et le laisse tomber au sol, affichant une bite la plus sale qu'Emma ait jamais vu. Lentement elle se met à genoux et regarde la queue crasseuse du clochard. Son entraînement prend le dessus et elle lève les yeux vers l'homme :

- Merci de me laisser toucher votre sexe.

Il lui lance un regard étonné et elle se penche pour embrasser chacune de ses chaussures dégoûtantes et tachées. Se relevant pour regarder son sexe elle le remercie à nouveau puis, en essayant de retenir sa respiration, elle se penche vers lui. Peut-être va-t-elle pouvoir le faire sans vraiment le sucer, pense-t-elle. Elle va être sûrement capable de le faire jouir avec ses mains? Elle pourra même s'éloigner quand il éjaculera. Elle pose doucement ses lèvres autour du gland.

Mais dès que la bouche est sur lui, le vieux clochard prend ses cheveux dans ses doigts et enfonce sa queue dans sa gorge. Il tire sa tête vers son bas-ventre et le nez d'Emma est bientôt enfoui dans ses poils pubiens. Il sent la pisse, Emma a envie de vomir. A maintes reprises, il enfonce a bite dans sa bouche et il est impossible pour elle d'éviter de le toucher et de sentir le goût avec sa langue.

- C'est ça! Oh ouais, c'est tellement bon. Lèche-moi chérie! Fais tourner ta langue! Suce-moi bien! Sois une gentille fille!

Une partie d'elle-même sait que William et James ne sauraient jamais si elle ne le faisait pas, mais elle est trop habituée à suivre des ordres maintenant qu'elle fait ce qu'il lui demande. S'il ne se lave pas souvent les mains, il doit se laver la bite encore moins fréquemment, pense Emma. Il n'y a pas que le goût. Quand elle passe sa langue sur le gland, elle peut sentir du sable et de la saleté se détacher pour se dissoudre dans sa bouche.

Enfin, elle le sent se raidir. Il saisit fermement sa tête pour la rapprocher alors qu'il éjacule son foutre dans sa gorge. Le goût salé se mêle à autre chose, et elle réalise avec horreur qu'il urine. Le clochard ne semble même pas le remarquer et il la tient serrée contre son bas-ventre tandis qu'il vide sa vessie. Elle essaie de ne pas avaler, mais il la tient trop fort et elle n'a pas d'autre choix. Il ne semble pas y avoir de fin, et Emma lutte pour pouvoir respirer en avalant le jet d'urine chaude.

Quand il sort enfin de sa bouche, la bite dégouline légèrement. Il lui tire les cheveux d'une main alors qu'il s'appuie contre le mur pour se stabiliser. Si bien qu'Emma penche la tête et, pour compléter son humiliation, un dernier jet de pisse la frappe au visage.

L'homme lâche alors ses cheveux et se tourne pour s'appuyer correctement sur le mur. Il sourit comme un idiot. Il lui dit en pensant lui faire un compliment:

- Tu es une fille vraiment sexy! Je n'ai jamais joui autant auparavant, je peux te le dire.

Emma ne sait pas que dire alors elle reste silencieuse. L'homme dit alors soudainement :

- Oh merde! Je ne t'ai pas pissé dessus hein?

En rougissant, Emma hoche la tête :

- Et dans ma bouche après avoir éjaculé. Dit-elle doucement.

Les yeux du clochard s'écarquillent :

- Merde, je n'ai pas réalisé. Pourquoi ne m'as-tu pas arrêté?

Encore une fois le dressage de James et William prend le dessus. Elle secoue la tête et arrive à afficher un sourire. Elle lui dit :

- Parce que j'aime ça. Merci!

Les yeux de l'homme s'agrandissent encore plus pendant que son esprit enregistre l'information. Puis il glousse avec indulgence :

- Tu es vraiment une petite pute vicieuse, n'est-ce pas?

Emma hoche la tête et sourit, en se maudissant intérieurement :

- Oui.

Toujours en rigolant il lui ébouriffe les cheveux :

- Bon, je suppose que tu allais quelque part, non? Sinon pourquoi serais-tu habillée comme ça? J'imagine que ce n'est pas seulement pour attirer de bons messieurs comme moi.

Il semble penser qu'elle passe un bon moment. Elle fait un faible sourire et lui dit :

- Je devrais y aller.

Elle est soulagée qu'il lui donne un moyen de partir. Elle commençait à s'inquiéter qu'il ne la laisse pas et que James et William l'abandonnent. Le clochard hoche la tête :

- Je ne t'embête pas plus, continue ton chemin.

Elle court presque pour sortir de la ruelle et elle rejoint James et William. Ils sont en train de rire.

- Bon, nous devons aller quelque part comme l'a dit ce gentilhomme. Allez! Dit William avec un sourire.

Emma essaie d'abaisser sa jupe qui était remontée lorsqu'elle s'était agenouillée devant le clochard. James lui tape sur la main.

- Est-ce que nous t'avons autorisée à arranger tes vêtements?

Emma rougit profondément et secoue la tête.

- Non Maître.

Mais sa jupe est presque troussée à sa taille, pense-t-elle désespérément. Elle montre tout et les gens vont croire que c'est ce qu'elle veut si elle marche sans régler le problème. Sa main tremble et William attrape son poignet pour le tenir fermement.

- Laisse! Dit-il à voix basse sur un ton qui la menace de punitions si elle n'obéit pas.

Puis il la lâche et les deux garçons s'éloignent, Emma les suivant à nouveau à courte distance. Les regards qu'elle reçoit sont pires maintenant et sa jupe monte de plus en plus haut à chaque pas. Pour aggraver les choses, elle a encore le goût du clochard dans sa bouche et elle sent l'urine sécher sur son visage. Elle n'a pas osé s'essuyer.

Finalement les deux gars s'arrêtent devant un club qui a l'air fermé et ils attendent qu'Emma les rattrape.

- Comment te sens-tu? Demande joyeusement James.

- Bien Maître! Répond Emma, mortifiée.

- J'ai vu que peu de gens s'intéressaient à toi. Mais je ne suis pas surpris, tu ressembles à une SDF. Mais tu as au moins attiré l'attention d'un clochard.

James regarde William. Il lui dit avec désinvolture.

- J'aurais aimé savoir plus tôt qu'elle aime la pisse. Nous avons toujours utilisé des toilettes alors que nous avions une esclave volontaire devant nous.

Emma frissonne à l'idée et James sourit.

- Ne t'inquiète pas , nous avons autre chose à faire avec toi ici. Il y a beaucoup de gens qui vont apprécier ton apparence et tes talents. Nous allons entrer, mais toi tu attends ici jusqu'à ce que quelqu'un vienne te chercher.

William pousse la porte et les deux garçons entrent dans le club. Emma résiste à l'envie de baisser sa jupe en espérant que personne ne passe. Finalement la porte s'ouvre à nouveau et elle peut entendre une voix masculine qu'elle ne connaît pas dans les haut-parleurs :

- Messieurs, nous sommes fiers de vous présenter la pute de la soirée.

Emma entre et ses talons la font trébucher dans les escaliers. Elle essaie de regarder autour d'elle, mais comme un projecteur est braqué sur elle, elle ne peut rien voir. Quand elle arrive finalement dans le club, elle voit qu'il n'est pas trop bondé et que les clients sont exclusivement des hommes. Ils lui font comme une allée d'honneur pour qu'elle puisse marcher jusqu'à une estrade. Un étrange mécanisme est suspendu au plafond. Emma peut sentir les regards affamés que posent les hommes sur elle alors qu'elle passe et monte sur l'estrade. Elle reste debout et attend des instructions tandis que les clients du club la dévisagent. Une voix masculine sort des enceintes :

- Maintenant, avant de commencer, prenons un moment pour nous souvenir des règles. Seuls cinq hommes sont autorisés à la fois, deux dans chaque trou et un dans la bouche. Une fois que vous avez choisi votre place, vous ne pouvez pas changer d'avis, alors choisissez avec soin. Si vous voulez recommencer, n'hésitez pas à vous remettre dans la queue. Si vous essayez de passer devant quelqu'un d'autre, vous serez expulsé du club. Pas de violence, cette pute appartient à quelqu'un et nous ne voulons pas qu'elle soit endommagée. La seule exception à cette règle est que si elle vous suce et que vous pensez qu'elle ne fait pas d'efforts pour avaler votre bite, vous pouvez gifler son visage ou ses seins. Mais n'oubliez pas que trop de gifles vous renverront au fond de la file d'attente. Toutefois ses propriétaires nous ont dit que vous pouviez lui dire ce que vous voulez, même si c'est méchant, violent ou humiliant, alors ne vous plaignez pas de ne pas pouvoir la frapper. Allez, faites une file! Et lorsque vous avez terminé, éloignez-vous. Compris messieurs?

Un rugissement affirmatif retentit. Emma pâlit. Elle essaie de compter le nombre d'hommes, mais ce qui lui semblait une foule relativement restreinte à son arrivée a grandi dans son esprit alors qu'elle comprend qu'ils vont tous la baiser. Ça va sûrement prendre toute la nuit. Emma n'a été baisée par personne d'autre que William depuis qu'elle est devenue esclave. Et maintenant elle va être possédée par cinq hommes à la fois. Elle attend avec effroi la suite.

- Allez, déshabille-toi, salope et prépare-toi à baiser!

Misérablement, Emma retire son haut sous les applaudissements et elle baisse sa jupe. Elle cherche des eux ce qu'elle doit faire ensuite et un homme apparaît sur le côté de la scène. Il n'est pas rasé et a les mains sales. Il la tire vers le mécanisme et elle réalise qu'il est fait pour la tenir dans une position pratique pour que les hommes la baisent. Une ceinture est attachée aux chaînes suspendues au plafond. Il l'attache autour de sa taille, puis il soulève sa jambe et la fixe sur un banc en bois rembourré. Il fait de même avec l'autre jambe. Maintenant, elle est suspendue au-dessus du sol en position assise, les jambes largement écartées, son poids supporté à la fois par le banc et la ceinture. Finalement il menotte ses poignets à des crochets de chaque côté de la ceinture. Elle est bloquée et incapable de bouger autre chose que sa tête. L'homme s'éloigne dans l'ombre.

- Ok messieurs, on dirait qu'elle est prête. Que les cinq premiers montent sur scène.

Les acclamations deviennent plus fortes et cinq hommes montent sur l'estrade. Emma aperçoit une bite plus grosse que ce qu'elle n'a jamais connu. A sa grande horreur l'homme la dirige vers son trou du cul. Sans cérémonie, il s'enfonce profondément dans son cul et Emma sert les dents pour ne pas crier. Quelques secondes plus tard, une autre bite l'a rejointe et son trou du cul est douloureusement étiré. Il ne l'a jamais été autant auparavant, même avec les plugs. Et ceux-ci avaient été lubrifiés. Un gros homme la regarde et enfonce sa queue dans sa chatte, à côté de celle d'un homme maigre qui a un air lubrique. Emma est à l'agonie, les hommes la martelant à l'unisson. Personne n'a pris la peine de la stimuler d'abord et elle ne mouille presque pas.

- Voyons voir si tu vaux le pris d'entrée, sale pute!

Emma regarde l'homme qui vient de parler et elle voit une énorme bite devant son visage. Docilement elle ouvre la bouche et il enfonce son sexe directement dans sa gorge. C'est brutal, elle tousse et s'étouffe. Elle n'est pas habituée aux gorges profondes et elle sait qu'elle doit apprendre rapidement ou s'étouffer. L'homme se retire et la gifle durement au visage, lui faisant ainsi venir des larmes de douleur aux yeux.

- Fais ça mieux, salope! Ordonne-t-il.

Il s'enfonce dans sa bouche et cette fois, elle réussit à avaler la longueur de la bite. Effrayée, elle bouge sa tête d'avant en arrière, en essayant de trouver un rythme avec les queues qui pilonnent son cul et sa chatte. Elle suce et lèche son pénis, en essayant de le faire jouir le plus rapidement possible pour pouvoir passer au suivant.

L'homme maigre gémit et donne un dernier coup de rein avant d'éjaculer son foutre. Il se retire et essuie son sexe sur sa jambe avant de s'éloigner sans un mot. Il a à peine fait deux pas qu'un autre homme prend sa place. Emma est presque reconnaissante que l'homme maigre ait éjaculé en elle, car maintenant son sperme agira comme un lubrifiant.

L'homme qu'elle suce la gifle à nouveau et elle essaie de se concentrer pour le faire jouir. Un autre homme éjacule et il recule pour la regarder.

- J'adore les petits trous du cul serrés. Mais maintenant on pourrait faire passer un train dans ce trou béant. Dit-il avec un sourire narquois.

Il s'éloigne et un autre homme approche rapidement pour l'enculer.

Emma a l'impression que la file d'hommes est sans fin, chacun attendant de prendre le relais dès qu'un autre a giclé. Elle est recouverte de foutre. Il coule de ses deux trous, elle en a dans les cheveux et dans le nez, partout sur ses seins et son ventre. Et elle a dû en avaler des litres. Mais le martèlement est sans relâche.

La plupart des hommes sont partis après avoir fini, mais certains restent pour lui parler, l'insulter, lui dire à quel point il pense qu'elle est une vraie pute, qu'elle est une salope sans morale. Emma a l'impression qu'elle va s'évanouir d'épuisement, mais elle doit rester éveillée sinon elle va recevoir une claque d'un homme qui lui reprochera de ne pas s'appliquer à lui sucer la bite.

Son cul et sa chatte semblent étirés au-delà de ce qui est possible. Sa mâchoire est sa langue la font souffrir. Elle est même trop fatiguée pour se sentir humiliée, ses mouvements devenant mécaniques. Finalement elle reconnaît des hommes qui sont déjà passés. Visiblement ils ont fait la queue une seconde fois. Emma espère que cela signifie que son calvaire est presque terminé.

Mais elle a tort. La deuxième fois, les hommes mettent plus de temps à jouir, et il semble lui en vouloir en la punissant en la baisant plus violemment. L'homme qui a été le premier à éjaculer dans son cul s'approche avec un sourire méchant.

- Voyons si ta bouche est meilleure que ton cul, putain de salope!

Elle ouvre la bouche docilement et recule la tête devant l'odeur de sa bite. L'homme sourit encore plus.

- Je parie que tu aimes le goût de ton cul dans ta bouche, n'est-ce pas grosse pute?

Emma est baisée encore et encore, certains hommes revenant une troisième fois. Puis il y en a moins, un seul dans son cul, et un seul dans sa chatte ou juste un dans sa bouche. Après ce qui lui semble être des heures, l'assaut s'arrête. Emma se retrouve seule, épuisée et recouverte de sperme.

Le même homme qui l'a attachée vient la libérer en souriant.

- Je parie que tu as aimé ça, non?

Emma ne répond pas. Elle ne tient pas sur ses pieds et elle se tient au banc pour se stabiliser. Le sol est couvert de foutre et Emma glisse presque. L'homme éclate de rire et s'éloigne.

William et James qui étaient restés au fond du club s'avance. Un homme bien habillé vient les saluer avec un grand sourire.

- Merci beaucoup d'avoir amené votre pute dans mon petit club. J'espère que c'est ce que vous attendiez?

James lui serre la main chaleureusement et hoche la tête.

- Nous n'aurions pu espérer mieux. Merci de nous avoir accueilli.

- Pas du tout, c'était un plaisir. Voici un chèque de votre part des recettes. Nous avons bien gagné ce soir. La plupart des hommes se sont remis dans la file d'attente pour un second tour. Ça n'arrive pas toujours.

Ils continuent à dialoguer, mais Emma écoute à peine. Finalement James la rejoint et attache la laisse au collier.

- Allez petite pute, nous partons.

Elle les suit hors du club et ce n'est que lorsque l'air froid la frappe qu'elle réalise qu'elle est toujours nue. Ni William, ni James ne semblent s'en soucier, et Emma sait qu'il ne sert à rien de le dire. De toute façon, ça fait sûrement partie du plan visant à continuer à la dégrader cette nuit.

Heureusement personne ne les croise. Emma est pressée de retrouver sa cage. Quand ils sont à la maison, dans le salon, James lui dit de rester debout devant eux. Elle obéit et attend de savoir ce qu'ils veulent d'elle maintenant. Pourquoi ne la laissent-ils pas simplement dormir? James dit alors :

- Cela fait presque un mois. Donc ton temps ici est presque écoulé.

- Oui Maître.

Emma ne se sent pas aussi soulagée par cette idée qu'elle l'avait prévu. Elle ne sait pas comment elle pourra reprendre une vie normale maintenant en leur ayant permis de faire tant de choses.

- Je veux que tu sois honnête avec toi-même maintenant. Je t'ai vu sucer des hommes te lécher la chatte de femmes. Je t'ai fait faire tes besoins dans le jardin et aboyer comme un chien. Je t'ai attachée, battue. Je t'ai volontiers livrée à des amis et connaissances pour qu'ils se servent de toi à leur guise. Et je ne t'ai pas dit une seule fois que tu comptais pour moi. Es-tu d'accord avec tout ça?

- Oui Maître. Dit lentement Emma en se demandant où il veut en venir.

- Et ce soir, je t'ai faite baiser par des personnes que je n'ai jamais rencontré auparavant, en échange d'argent. Si tu veux être honnête avec toi-même, crois-tu que nous pourrions reprendre une vie de couple normale?

Emma reste silencieuse pendant un moment. Elle était entrée dans cet esclavage en pensant que ce ,e serait qu'un jeu entre James et elle, une preuve qu'elle était désolée. Elle s'était attendue qu'il la rudoie un peu, lui fasse faire le ménage ou chercher des bières avant de la pardonner. Et quand elle avait vu William dans l'embrasure de la porte, elle s'était dit que ce ne serait que eux trois. Elle essaie de comprendre pourquoi elle n'a pas tout arrêté quand ça s'est compliqué. Pourquoi elle ne s'est pas sauvée? Elle devait bien savoir qu'elle ne pourrait plus jamais être la petite amie de James, pas après tout ça. Comment pourrait-elle le regarder différemment maintenant?

- Non je ne pense pas que nous pourrions Maître. Admet-elle doucement.

- Tu ne penses pas que c'est possible depuis un bon moment maintenant, alors pourquoi as-tu continué?

C'est une question difficile à laquelle Emma ne peut pas répondre.

- Je ne sais pas Maître.

- Je pense que si. Veux-tu savoir ce que je pense, salope?

- Oui Maître.

- Je pense qu'au fond tu as aimé ça. Tu aimes être traitée comme une merde et c'était l'excuse parfaite. Si jamais tu pensais que ce que tu faisais était mal, tu pouvais juste te dire que tu le faisais afin que nous puissions être à nouveau ensemble. Penses-tu que ça pourrait être vrai? Honnêtement?

- Non Maître.

Elle a envie de crier que ce n'est pas vrai. Comment peuvent-ils penser qu'elle a apprécié les choses qu'ils lui ont faites? James rit :

- Non? Pourquoi as-tu fait ça alors? Tu as supplié William de te baiser plus fort, tu as léché la nourriture sur le sol comme si tu étais née pour ça. Et tu as joui ce soir, non?

Emma rougit et regarde le sol.

- Oui Maître.

- Oui Maître! Imite James en riant à nouveau.

- Tu as été baisée par des hommes que tu ne connaissais pas et tu as joui. J'ai vu tes yeux. Oui tu as été humiliée. Oui tu t'es sentie dégradée au-delà de ce que tu pouvais imaginer. Et ça fait du bien, non? Quand tu aboyais comme un chien pendant que William te baisait, ça rendait l'orgasme plus puissant que d'habitude , non? Je parie que tu étais excitée quand le clochard a pissé dans ta bouche.

Emma est confuse et ne sait pas quoi répondre. C'est vrai qu'elle ne les a arrêtés à aucun moment. Elle n'a pas tourné le dos pour s'enfuir de la maison. Et c'est vrai qu'elle a fait tout ce qu'ils lui ont ordonné sans jamais le remettre en question. Elle ne peut pas nier qu'elle a joui quand William l'a faite aboyer comme un chien. Mais elle est convaincue qu'elle n'a jamais aimé ça. C'était juste une réaction naturelle avec ses orgasmes pendant les rapports sexuels. Cela n'a rien à voir avec l'humiliation. Ça l'était? Les pensées d'Emma sont brouillonnes et elle ne peut pas répondre.

- Il t'a posé une question, salope. Au fond, as-tu aimé être traitée comme un objet sans valeur. Demande William.

- Je... Je ne sais pas Maître.

Le jeune homme se lève et pose son pouce sur son clitoris, envoyant des petites décharges d'électricité à travers son corps. Il commence à frotter son clitoris et il dit :

- Alors laisse-moi te poser une question plus facile. Aimes-tu ça?

- Oui Maître! Répond-elle un peu à bout de souffle.

- Et une autre question facile. Si ça ne t'a pas plu, pourquoi restes-tu encore là debout alors que James vient de te dire qu'il ne reviendra jamais avec toi?

Pour la première fois cette nuit-là, Emma sent qu'elle est doucement caressée. Le plaisir qui traverse son corps brouille encore plus ses pensées. Elle marmonne quelque chose sur le fait d'avoir fait une promesse. William rit méchamment.

- C'est n'importe quoi et tu le sais. Si tu ne voulais pas rester, tu serais déjà partie. Tu aimes être traitée de cette façon, n'est-ce pas?

Il continue de caresser le clitoris exposé et Emma ne peut s'empêcher de gémir en disant :

- Oui Maître.

William s'éloigne, satisfait de la réponse.

- On peut continuer si tu veux.

Emma fronce les sourcils, une question muette dans les yeux.

- C'est facile. Tu peux continuer à être esclave. Aimerais-tu ça?

Emma ne dit rien. William revient et recommence à titiller son clitoris. Elle gémit doucement.

- Je t'ai posé une question. Veux-tu continuer à être esclave .

Encore une fois, Emma ne peut empêcher les mots de quitter sa bouche.

- Oui Maître.

Les yeux de William montre sa satisfaction.

- Veux-tu être esclave pour le reste de ta vie?

- Oui Maître. Soupire Emma, pas vraiment consciente de ce à quoi elle donne son accord.

La voix de William devient douce et tendre. Emma est épuisée et le mouvement sur son clitoris est apaisant. Le garçon dit doucement :

- Nous pouvons faire en sorte que ça le soit si tu le souhaites. Veux-tu que nous le fassions?

- Oui Maître.

- Nous avons un contrat juridique ici. En gros il dit que tu m'appartiens. Il ne peut pas être à nos deux noms, mais je te partagerai avec James bien sûr. Il y a beaucoup de notions juridiques que tu ne comprendrais pas, mais au final, il dit que je te possède. Veux-tu le signer? James signera en tant que témoin.

Il glisse lentement un doigt en elle et le fait coulisser. Emma lutte contre le plaisir et la fatigue en essayant de se concentrer suer ce qu'il dit. William enfonce un autre doigt en elle.

- Veux-tu le signer? Demande-t-il à nouveau alors qu'il fait lentement entrer et sortir ses doigts de sa chatte.

Après les assauts brutaux de la soirée, c'est merveilleux d'être caressée avec tendresse. Emma ferme les yeux et se laisse emporter.

- Veux-tu le signer? Murmure William en bougeant toujours ses doigts en elle.

- Oui. Souffle-t-elle

James apporte le contrat et tend un stylo à Emma. Elle signe où il lui montre en jetant à peine un coup d'œil sur le papier. Elle rate aussi le regard que James et William s'échangent. Ce dernier lui dit alors tendrement :

- Allez, tu as eu une longue journée. Je suis sûre que tu aimerais monter à l'étage et aller dormir dans ta cage, n'est-ce pas?

- Oui Maître.

A suivre...

jeudi 17 février 2022

Paiement de loyer - Ch. 10

 Texte de gkcdqho

 *******

Léa est prise en main par une femme.

La prochaine journée me semble une éternité. Mr Alain ne m'appelle pas et ne vient pas. Léo est toujours au travail en journée et je tourne en rond dans l'appartement. Bien sûr je peux descendre et profiter de la grosse queue de Mario, mais ce n'est pas la même chose sans la présence d'autres hommes. 

Nous sommes le dimanche matin. Léo est parti à huit heures pour travailler et il est maintenant onze heures. Toujours pas de Mr Alain. Il n'y a rien du tout à la télé et je ne vais surtout pas à l'église. Car je suis devenue une vraie salope qui aime tout ce qui est pêcher aux yeux de Dieu. Je trompe mon mari, je suis sûre d'aller en enfer. Mais est-ce que je m'en soucie vraiment ?

L'attente est une longue agonie. Je ne suis pas à l'aise, je deviens irritable, je ne sais pas quoi faire.

DRING DRING DRING

- Ah, enfin, s'il vous plaît entrez Mr Alain. 

- Bonjour Hélène! Contente de me voir ?

Je suis tellement contente qu'il soit enfin là que mon grand sourire sur mon visage ne peut cacher ma joie.

- Habille-toi, nous allons faire un petit tour.

J'aime cette proposition et je demande :

- Que voulez-vous que je porte ?

- N'importe quoi, nous n'allons pas dans un endroit spécial. Nous retournons au sex-shop, tu te souviens ?

Je me souviens très bien de cette boutique et de ses salles.

- D'accord. Laissez-moi une seconde.

Je retourne dans ma chambre et j'enfile un jean, des bottes et un tee-shirt. J'attache mes cheveux en arrière. Puis nous partons avec sa BMW.

Lorsque nous arrivons au sex-shop, il est fermé avec un rideau en fer. Nous marchons dans l'allée qui va derrière le magasin. Mr Alain frappe sur une grande porte en métal. L'allée est jonchée de vieux papiers, de cartons et de détritus. Les murs sont couverts de graffitis.

J'entends un bruit métallique qui indique que l'on déverrouille la porte. Elle s'ouvre en grinçant et je reconnais la femme qui m'a servi la dernière fois.

- Bonjour Mia !

- Bonjour Maître ! Est la réponse de la femme.

- Maître ? Je pense qu'elle aussi doit être devenue son esclave sexuelle comme je le suis.

Mia me regarde de haut en bas. Je n'aime pas l'air vicieux sur son visage.

- C'est elle alors ?

Sa remarque me donne envie de la gifler.

Elle recule et ouvre en grand la porte. Mr Alain pénètre dans le magasin tandis que Mia tient la porte. Je le suis, la tête haute, avec un air de supériorité. En réponse elle me lance un regard méchant.

Je suis mon propriétaire dans un couloir obscur. Il est faiblement éclairé, mais je peux voir, au fond, la lumière de la boutique. Nous entrons dans la partie principale du sex-shop. 

- A poil et genoux. M 'ordonne mon proprio.

Je mets à genoux devant lui, nue.

- Bien ! Dans quelques minutes tu seras à Mia , tu lui obéira au doigt et à l’œil, sinon tu le regretteras et crois moi elle est capable de bien pire que ce que tu peux imaginer.

- Comme quoi ?

- J'espère que tu ne le sauras jamais, chienne.

Elle apparaît quelques secondes plus tard. Je la regarde mieux, elle doit avoir dans les quarante ans, elle a un air sévère. Elle porte un long manteau noir et des collants noir qui dépassent.

- C'est elle, ton esclave ?

- Oui, c'est elle.

- Lève toi, que je t’examine.

Je me lève, elle m'attrape le cou et m'examine le visage, elle mets deux doigts dans ma bouche, les  ressortent. Puis elle réexamine mes seins, les malaxe et frappe. Elle enfonce ensuite deux doigts dans mon vagin, je pousse un petit cri.

- Silence ! Retourne toi !

Je me retourne et elle examine mes fesses.

- C'est parfait tout ça, tu n'a pas menti, ton esclave est bonne.

- Bien, dresse-la, je te la laisse pour l'après midi.

Elle prend un sac et me dit de descendre avec elle, il y a un escalier derrière un rideau. Nous descendons au sous-sol, dans une pièce qui est assez petite et il y a un tapis qui recouvre le sol. Elle doit être totalement insonorisées. Évidemment je commence à flipper.

- Bien esclave, mets-toi en position de punition.

Bon je la connaît pas alors je me met à quatre pattes.

- T'es débile ou quoi c'est pas comme ça, salope.

- Pardon ? Je ne connais pas la position.

- Ce n'est pas grave je vais te montrer, par contre c'est dix coups de martinet sur ton cul.

Elle me montre la pose. Je me mets comme elle me dit. Cette position est très inconfortable.

- Bien esclave, le premier exercice est assez simple, je vais te mettre des coups de martinet sur les fesses, ton but c'est de ne pas faire un son ni de bouger, tu as en auras dix. Si tu n'y arrives pas on passe au deuxième exercice puis tu auras une punition en plus des dix coups de martinet que tu auras après.

Je me suis dit que après deux ou trois coups j'y arriverai. Elle abat le premier coup et je hurle, mes jambes me lâche et je tombe à plat ventre.

- Remets-toi vite esclave.

Je me remets en place et un deuxième coup arrive, je crie encore mais mes jambes tiennent. Mes fesses me brûlent, j'en ai encore huit à tenir si j'arrive pas à me taire. Je serre mes lèvres de toute mes forces mais je lâche quand même un petit cri. 

Je me sens idiote, je vais souffrir encore plus parce que je ne sais pas me taire.

- Tu me déçois petite salope.

- Pardon !

- T'inquiètes pas tu es encore jeune et tu as beaucoup de chemin à parcourir, tu sais pourquoi je fais ça au moins ?

- J'avoue que non madame ?

- C'est simplement parce que tu as des fesses magnifiques et Mr Alain doit avoir très envie de te les maltraiter donc cette exercice sert à les renforcer et à t'habituer à cette douleur.

- Merci madame.

- Bon maintenant la jeune pute tu vas devoir me faire jouir en trente secondes maintenant.

Je me remets à genoux pour me préparer mais :

- Non non reste dans l'autre position, ça fera dix coups de martinet en plus.

- Mais madame ?

- Vingt.

- Pardon !

- C'est bien.

Elle s'assoit devant moi et écarte ses magnifiques jambes, elle a retiré son string et a dévoilé sa chatte. Elle est trop belle, rasée et pulpeuse, j'ai envie de la dévorer.

- Allez salope, tu as trente secondes sinon ça se rajoutera à ta punition et on passera au niveau trois.

J'enfonce deux doigts en bas de son vagin puis je lèche le haut comme on me l'a fait si souvent. Après dix secondes je commence à sentir de la mouille, donc je pense y être arrivée et de ne pas la décevoir. Mais non évidemment j'ai pas réussi. Après que les trente secondes soient finis, elle me tire par les cheveux et me repousse en arrière.

- T'es vraiment une merde en fait, tu sers à rien.

- Pardon madame.

- D'accord, d'accord, ferme la !

Je me remets dans la position et elle se lève. Elle sort son téléphone et sort de la pièce. J’attends quelques minutes et elle revient avec trois mecs.

- Bien, étant donné que tu n'as pas réussi les deux première épreuves je pense qu'on peut passer à la troisième. Je sais que tu as déjà testé la double pénétration donc je t'ai ramené ces trois beaux mecs pour qu'ils te défoncent. Là tu n'as pas d'objectif juste donne leur du plaisir ou encore une fois ça s'ajoute à ta punition. Allez y les gars baisez-la.

Elle s'assoit dans un coin de la pièce et commence à se doigter. Il y en a un qui m'attrape par les cheveux et enfonce sa bite au fond de ma gorge, les deux autres se  mettent autour de moi.

- Attrape ma bite, putain de salope.

J'attrape les bites des deux autres et les branlent. Toutes les trente secondes je change de personne que je suce. Après avoir sucé les trois, un m'attrape par les cheveux et me jette par terre.

- Les gars je l'a baise vite.

Il me prend comme ça, pendant que je suce l'un et branle l'autre, sa grosse bite me rentre dans le fion, il me fait mal au début comme il est rentré comme ça à sec sans prévenir. Après quelques minutes il sort de mon fondement et les autres enlèvent leur queue de ma bouche et de ma main. Madame leurs dit :

- Allez les gars on y va.

Un se met en dessous de moi et enfonce sa bite dans mon petit puits d'amour. Je lâche un petit cri. Un autres enfonce sa queue dans ma moule. Je commence à gémir de plaisir. Ils commencent à enfoncer et à ressortir leur bite, je pose mes mains sur le sol pour prendre appui et supporter la baise. Mais le troisième attrape une de mes mains ce qui me fait retomber sur celui d'en bas qui me baise le cul. Je crie en même temps que j'ai sa queue dans ma bouche.

- Encaisse grosse pute, deux c'est pas beaucoup.

Ils me claquent les fesses et je crie en lâchant la bite qui est dans ma bouche et lui me met une claque, il m'attrape les cheveux et renfonce sa bite dans ma bouche. La bite dans le cul me fait jouir avec celle dans ma grotte qui s'enfonce et ressort très vite ce qui me fait jouir. Je mets de la cyprine partout, celui qui est dans ma grotte a la bite et le ventre trempé, ma cyprine coule sur mon cul et  mouille les jambes de celui qui est en dessous de moi.

 Le troisième a la bite pleine de ma bave. Quelques minutes plus tard, Mia qui se doigte dans un coin depuis le début,  s'approche de nous et jouit sur mon visage. Toute sa cyprine coule sur ma figure. J'avale ce que je peux atteindre avec ma langue puis l'autre recommence à me pilonner la gorge pendant quelques minutes avant de lâcher son sperme dans ma bouche.

- Avale salope !

J'avale tout, son sperme a un bon goût sucré. Les deux autres continuent à me baiser et même si je  jouis plusieurs fois, mon anus me fait quand même un peu mal. Quelques minutes après, celui qui me baise dans ma grotte sort et m'éjacule sur le visage. Encore une fois, j'avale tout ce qui est à proximité de ma langue. 

Le dernier, dans mon petit puits d'amour, accélère et me fait jouir tellement il va vite. Je lâche énormément de cyprine par terre avant qu'il n'éjacule dans mon cul. Il  sort de dessous moi en me jetant sur le côté. Je reste par terre sans arriver à me relever, le visage collant de cyprine et de sperme et le cul plein de foutre.

 Je lève les yeux et vois Mia et mes trois baiseurs me regarder d'un air moqueur.

- Alors les gars chacun un mot sur ma soumise sexuelle.

- Elle est prometteuse.

- Oui elle fera une bonne pute en temps voulu.

- Elle a un putain de cul.

- D'accord les gars vous pouvez y aller.

Ils sortent, Mia se met à ma hauteur et enfonce un doigt dans mon cul et il sort plein de sperme.

- Ouvre la bouche.

J'ouvre et avale le sperme et elle m'embrasse comme personne. Je souris de soulagement.

- Bien maintenant il va être l'heure de partir.

A suivre...