Lorsqu'Emma se réveille le lendemain matin, elle reprend avec fatigue la routine matinale. A la cuisine, elle fait cuire du bacon et des œufs pour le petit-déjeuner, puis elle dresse la table pour deux. Lorsque la porte de la cuisine s'ouvre à exactement neuf heures et demie, elle n'entend qu'une paire de pas.
- William dort toujours. Tu as dû le fatiguer la nuit dernière. Dit Légèrement James.
Emma ne dit rien et l'entend manger le repas qu'elle vient de préparer.
- Pourquoi ne me racontes-tu pas?
Le cœur d'Emma se serre. Elle ne sait pas si elle va pouvoir supporter de dire à James ce qu'elle a fait la nuit dernière. Elle a l'impression de l'avoir encore trahi.
- Allez, dis-moi ce que vous avez fait tous les deux. Ne laisse aucun détail de côté, je le saurais si tu le fais.
Alors Emma parle, racontant à James comment elle a embrassé William et comment elle l'a laissé la baiser. Elle lui dit qu'elle l'a supplié et que finalement ils ont joui. Tout au long de l'histoire, James reste silencieux.
- C'est tout Maître. Dit-elle quand elle a fini.
- Eh bien, tu as certainement passé une soirée très amusante. Je me demande si tu aimerais encore coucher avec William ce soir. Dit-il moqueur.
Emma ne dit rien et prie pour qu'ils la laissent dormir dans sa cage ce soir. Il y a quelques jours à peine, elle n'aurait jamais cru qu'elle prierait de dormir dans cette affreuse cage, mais ils ont trouvé quelque chose de pire. Peu de temps après, William descend et les deux garçons commencent à comparer leur expérience de baiser Emma. Elle rougit en les entendant parler d'elle comme si elle n'était rien d'autre qu'un objet sexuel. Ils décrivent son corps en détail et ils parlent même de ses gémissements quand elle jouit.
Comme d'habitude ils la laissent se nourrir dans sa gamelle, puis ils la sortent dehors pour qu'elle se soulage.
- Profites-en, car tu ne sortiras qu'après le déjeuner! Dit James.
Ensuite ils lui ordonnent de se mettre à quatre pattes entre leurs deux fauteuils et ils posent un cendrier sur son dos. Toute la matinée, ils regardent la télévision et ils bavardent comme si elle n'était pas là. Emma se retrouve seule avec ses pensées. Elle ne peut s'empêcher de repenser à tout ce qui lui est arrivé depuis qu'elle est ici. Ça fait bien deux jours qu'elle n'a pas entendu son prénom, deux jours qu'elle ne peut pas faire ses propres choix, deux jours qu'elle n'a pas mangé à table avec des couverts. Ça ne fait que deux jours?
Elle a un mois entier à faire et elle ne veut pas penser à ce qu'ils peuvent lui réserver d'autre. Elle s'est exhibée à un groupe d'hommes ivres dans un pub, elle s'est enculée avec le talon de sa propre chaussure, elle a joué comme un chien. Et elle s'est laissée baiser par le meilleur copain de son petit ami. Que peuvent-ils faire d'autre pour l'humilier et la dégrader encore plus?
Après le déjeuner, ils ont de nouveau joué avec elle. Emma a du prendre un concombre pour se baiser avec. Puis elle a dû lécher son jus qui le recouvrait. Finalement ils lui ont ordonné de le couper en tranches, d'insérer chaque tranche dans sa chatte avant de la manger. Ils n'arrêtent pas de rire, comme s'ils n'arrivaient pas à croire la façon dont elle se rabaisse sur leurs ordres. Quand ils ont fini, ils l'emmènent dans la salle à manger. Elle prie pour qu'ils ne la punissent pas. Elle a bien fait tout ce qu'ils ont demandé, alors ils ne vont pas la battre, non?
Ils ne la battent pas. William ouvre une boite et en sort un gros plus anal. Il lui montre pendant que James enlève sa laisse. William pousse l'objet dans sa bouche et elle le suce pour qu'il soit lubrifié. Ensuite il le tend à James qui le met brutalement dans son cul. Il est plus gros que celui de la veille. Une fois encore, elle a l'impression d'avoir le cul en feu. William sort alors un vibromasseur qu'il enfonce dans sa chatte avant de l'allumer. Ses deux trous sont remplis et le vibromasseur touche également son clitoris. Instantanément elle sent qu'elle mouille.
- Nous allons te laisser seule un petit moment. Nous ne voulions pas que tu t'ennuies, alors tu as ces jouets pour t'occuper. Dit James en lui menottant les poignets derrière le dos
William attache ses chevilles à des crochets dans le sol qui gardent ses jambes écartées. Puis il attache ses poignets à un crochet dans le mur. Elle est bien incapable de bouger.
- Nous ne voulons pas t'avoir dans les pattes tout le temps. Nous avons d'autres choses à faire et tu n'en fait pas partie.
Ils la laissent seule dans la salle à manger. Le message est clair. Elle n'est pas assez importante pour qu'il s'occupe d'elle à moins de vouloir quelque chose.
Pendant des heures ils sont absents. Ses jambes et ses épaules lui font mal. Son cul et sa chatte palpite sous la stimulation constante et implacable. Elle jouit encore et encore, et son jus coule le long de ses cuisses et forme une flaque sous elle. Elle n'arrive plus à penser, car les orgasmes prennent le dessus. Quand James revient enfin, elle est presque évanouie.
Quand le garçon sort sans précaution le plug anal et le vibromasseur, son corps proteste violemment. Son trou du cul est béant et elle a désespérément besoin de quelque chose pour remplir sa chatte. Elle gémit légèrement et James éclate de rire.
- Tu n'auras plus rien. Tu as du nettoyage à faire!
Il la libère des menottes et il la pousse au sol avant de plonger son visage dans la flaque de jus. Docilement elle tire la langue et lèche les saletés qu'elle a faites. Quand c'est propre, James la remet sur ses pieds et la pousse vers la porte.
- William veut te voir. Il est dans sa chambre.
Bientôt Emma frappe nerveusement à la porte de la chambre de William. Il est vêtu d'un survêtement et il est en sueur. Il lève les yeux quand elle entre et il sourit :
- Bien tu es là! J'ai décidé de faire un peu de sport, mais je ne suis pas vraiment en forme. Je suis ruisselant de sueur. Nettoie-moi!
Il retire son tee-shirt. Emma hésite. Elle n'est pas sûre de ce qu'il veut vraiment. Soupirant d'impatience il la tire vers lui.
- tu n'es pas idiote, non? Lèche-moi salope!
Sa bouche est déjà pleine du goût de son propre jus, et maintenant il se mélange à la saveur salée de la sueur de William. Sa peau est moite et sale. Emma a honte de devoir lécher sa poitrine et son ventre. Il lève les bras et elle se déplace pour lécher ses aisselles, enfouissant le nez dans ses poils. Elle est écœurée par le goût et l'odeur. Quand il baisse son pantalon et son caleçon, elle doit lutter pour ne pas s'enfuir. Il la pousse à genoux et tient son visage entre ses fesses. Elle continue de lécher en essayant d'oublier le goût âcre. Enfin elle finit par ses couilles et sa bite.
Toutefois, avant de complètement bander, William la repousse et s'assoit en disant :
- Fais mes pieds!
Elle commence timidement à lui lécher les pieds et il soupire d'aise :
- C'est ça salope! Assure-toi de bien nettoyer entre chaque orteil, c'est là que c'est vraiment sale.
Finalement, Emma est autorisée à partir. Son nez et sa bouche sont saturés par l'odeur du corps du garçon. Elle prie pour qu'on ne lui redemande jamais de faire ça.
Ils ne lui donnent rien pour enlever ce goût horrible, et quand James la pousse dans sa cage ce soir-là, elle a toujours le goût de William dans la bouche. Pourtant, elle ne peut s'empêcher d'être soulagée de ramper dans la cage métallique. Après les excès de la veille, elle est contente de ne pas être forcée à faire quelque chose de pire. Elle s'endort instantanément.
Les jours passent lentement, et chacun apporte un peu plus d'humiliation et de dégradation. Parfois les deux garçons reçoivent d'autres personnes et ces jours-là sont les pires. Elle a l'impression qu'ils veulent prouver à quel point ils peuvent l'humilier. Elle ne s'habitue pas à manger sur le sol et à faire ses besoins à l'extérieur. Et elle ne s'habitue pas non plus à être traitée de salope et de pute. Mais elle apprend à s'y attendre. Elle n'est plus surprise par tout ce qu'ils lui font faire. Lentement, mais sûrement, elle devient ce qu'ils veulent qu'elle soit : un simple objet à traiter avec dédain et mépris. Elle perd rapidement le compte des jours où elle est leur esclave.
Elle peut être là depuis des mois ou juste quelques semaines, elle ne sait plus. A certaines occasions, ils trouvent des raisons de la punir, et ils s'attendent toujours à ce qu'elle les remercie. William ne la baise plus comme la première fois. Mais il lui demande parfois de se mettre à quatre pattes et il la baise de cette façon. Quand il le fait, elle n'a pas le droit de gémir ou parler, elle doit aboyer comme un chien. Et si elle ne le fait pas de manière satisfaisante, il sort de sa chatte et l'encule jusqu'à ce qu'il soit content. Il la laisse à peine jouir, et il l'oblige toujours à dire à quel point elle apprécie ce traitement. Ensuite elle doit le nettoyer même s'il vient de l'enculer. James ne la baise jamais, et aucun des invités non plus, bien qu'ils soient sûrement autorisés de lui faire ce qu'ils veulent.
Un soir on lui demande de mettre la tenue posée sur la cage, car ils sortent. Bien que des gens soient venus à la maison, les deux garçons ne l'avaient pas emmenée depuis la nuit du pub et de la maison de Daniel. Avec un peu d'appréhension, Emma monte à l'étage. La jupe qu'ils lui fournissent cette fois est encore plus courte que celle d'avant. En baissant les yeux, elle peut clairement voir sa chatte exposée. Elle peut sentir que son trou du cul est à peine couvert. Le haut n'est rien de plus qu'un bout de tissu qui recouvre à peine ses mamelons. Une paire de talons incroyablement hauts complète la tenue. La dernière fois elle ressemblait à une prostituée ordinaire, mais là elle ressemble à une pute de bas échelle.
Elle dévale l'escalier et se présente devant James et William qui l'attendent. Le premier lui dit :
- Nous ne marcherons pas ensemble. Tu vas nous suivre sans trop t'approcher. Nous ne voulons pas être vus avec la grosse pute que tu es. Si quelqu'un te parle, souris et sois polie, affectueuse même. Si quelqu'un veut te toucher, tu dois le laisser faire. Tu donnes les mêmes réponses que la nuit au pub. Compris?
Emma rougit, mais acquiesce. Ils sortent et Emma s'assure de rester à distance des deux garçons. Elle prie pour que personne ne s'approche d'elle. Le premier homme qu'elle croise la regarde de haut en . Loin d'être intéressé, il semble plutôt être dégoûté :
- Mets des fringues, sale pute!
- Merci! Marmonne-t-elle doucement.
La personne suivant qu'elle croise est tout aussi désobligeante :
- Tu penses vraiment être sexy en étant habillée comme ça? Tu ressembles à une grosse vache menée à l'abattoir.
Et ainsi de suite... De temps en temps, un homme passe et fait un commentaire suggestif, mais dans l'ensemble les hommes et les femmes ressentent le besoin de lui dire à quel point elle a l'air ridicule ou sordide. A chaque fois qu'elle les remercie, ils semblent encore plus dégoûtés par elle.
Puis un homme arrive en face d'elle et l'oblige à s'arrêter. Il porte un vieil imperméable sale et déchiré. De plus il pue l'alcool.
- Ça va chérie?
Emma réussit à sourire et hoche la tête.
- Oui merci.
- Pourquoi montres-tu ta chatte?
Gênée, Emma essaie de garder le sourire.
- Ça m'excite de laisser les gens voir ma chatte. Répond-elle en rougissant.
Les yeux du clochard s'agrandissent et il sourit. Puis d'un air lubrique il dit :
- Tu devrais surveiller ta bouche. Un bouche avec de tels mots pourrait te causer des ennuis, tu ne crois pas?
- Oui, je suis désolé.
- Ne t'inquiète pas! Mais dis-moi quelque chose, jeune fille?
Il se penche près d'elle et son odeur emplit les narines d'Emma. Ça doit faire des mois qu'il ne s'est pas lavé.
- Est-ce que ça t'excite aussi de laisser les gens te toucher?
« S'il vous plaît, tout sauf ça » pense Emma.
- Oui! Répond-elle avec un sourire, en se sentant malheureuse à l'intérieur.
- Tu veux venir avec moi dans la ruelle?
Emma lève les yeux et voit James et William se prélasser nonchalamment contre un mur voisin. Ils regardent ailleurs et font mine de ne pas savoir qu'elle est là. Elle se sent à la fois soulagée qu'ils ne soient pas loin et malheureuse à l'idée qu'ils s'attendent à ce qu'elle fasse tout ce que le clochard veut. Elle se force à sourire :
- Oui merci.
L'homme se frotte les mains l'air joyeux. Il part vers une ruelle en face. Emma lance un regard désespéré à ses maîtres et arrive à attirer l'attention de William. Il se contente de hausser un sourcil et il fait un signe de tête vers la ruelle. Elle doit suivre le clochard.
- Tu viens chérie?
Elle rejoint l'homme qui la pousse doucement contre le mur. Il s'appuie sur elle et Emma sent qu'elle va être malade.
- Tu veux que je te doigte?
Emma doit prendre tout son courage pour ne pas se détourner de son haleine fétide.
- Oui s'il vous plaît!
Le clochard sourit à nouveau et dit :
- Es-tu sûre? Je ne me lave jamais les mains, même après avoir pissé. Et je fouille les poubelles toute la journée.
Il lève ses mains pour lui montrer. Emma voit qu'elles sont recouvertes d'une vraie couche de saleté.
- Est-ce que ça t'excite vraiment que je te baise avec mes doigts?
- Oui.
Les yeux du clochard se plissent alors :
- Tu n'es pas une pute hein? Je ne te paierai pas!
Emma secoue la tête.
- Je ne suis pas une prostituée.
Le clochard fait son plus large sourire. Il semble heureux.
- Alors tu es juste une cochonne, n'est-ce pas?
- Oui.
Sans autres mots, il enfonce un doigt sale au fond de sa chatte.
- Est-ce que tu aimes ça? Dis-moi combien tu aimes ça?
- J'adore ça, ça m'excite.
Emma ne s'est jamais aussi sentie moins excitée de sa vie, mais visiblement elle doit bien simuler, car le clochard pousse un autre doigt en elle.
- Tu aimes ça, salope?
- Oui. Gémit-elle.
Elle déteste ça, elle voudrait s'enfuir loin. Mais elle sait que James et William l'attendent. L'homme commence à faire coulisser ses deux doigts en elle, limant sa chatte douloureusement parce qu'il n'a pas pris le temps de la stimuler avant.
- Tu veux un autre doigt?
Emma hoche la tête. Il retire sa main avant d'enfoncer rudement trois doigts en elle.
- Oh oui putain, tu aimes ça, n'est-ce pas? Tu aimes ça!
Il semble ne pas s'apercevoir qu'Emma ne mouille pas, ne gémit pas et ne s'amuse pas du tout. Il n'arrête pas de pousser ses doigts en elle.
- Tu en veux un autre? Tu en veux un autre n'est-ce pas? Tu veux toute ma main, non?
Emma n'a pas d'autres choix que de dire oui. L'homme glousse et enfonce sa main dans sa chatte. Elle gémit de douleur sous l'intrusion, mais le clochard prend ça comme une preuve qu'elle aime ça. Il agite sa main en elle. Emma ferme les yeux et prie pour ce soit bientôt fini. Finalement il retire sa main et sourit. Il la regarde en donnant l'impression qu'il vient de lui faire une grande faveur.
- Merci! Dit-elle quand il devient évident qu'il attend qu'elle parle.
- De rien Chérie! Ce n'est pas souvent que je peux toucher quelqu'un d'aussi jolie que toi.
Il se penche encore plus près quand une pensée lui arrive :
- Je suppose que tu ne veux pas me toucher, n'est-ce pas?
A peine capable de croire ce qu'elle fait, Emma hoche légèrement la tête :
- Si! Si vous aimez ça!
Les yeux de l'homme s'illuminent et il se presse contre elle pour lui chuchoter à l'oreille. Si près, son odeur est écrasante.
- Tu voudrais aussi me goûter?
- Oui! Murmure Emma.
Il détache le bout de ficelle qui retient son pantalon et le laisse tomber au sol, affichant une bite la plus sale qu'Emma ait jamais vu. Lentement elle se met à genoux et regarde la queue crasseuse du clochard. Son entraînement prend le dessus et elle lève les yeux vers l'homme :
- Merci de me laisser toucher votre sexe.
Il lui lance un regard étonné et elle se penche pour embrasser chacune de ses chaussures dégoûtantes et tachées. Se relevant pour regarder son sexe elle le remercie à nouveau puis, en essayant de retenir sa respiration, elle se penche vers lui. Peut-être va-t-elle pouvoir le faire sans vraiment le sucer, pense-t-elle. Elle va être sûrement capable de le faire jouir avec ses mains? Elle pourra même s'éloigner quand il éjaculera. Elle pose doucement ses lèvres autour du gland.
Mais dès que la bouche est sur lui, le vieux clochard prend ses cheveux dans ses doigts et enfonce sa queue dans sa gorge. Il tire sa tête vers son bas-ventre et le nez d'Emma est bientôt enfoui dans ses poils pubiens. Il sent la pisse, Emma a envie de vomir. A maintes reprises, il enfonce a bite dans sa bouche et il est impossible pour elle d'éviter de le toucher et de sentir le goût avec sa langue.
- C'est ça! Oh ouais, c'est tellement bon. Lèche-moi chérie! Fais tourner ta langue! Suce-moi bien! Sois une gentille fille!
Une partie d'elle-même sait que William et James ne sauraient jamais si elle ne le faisait pas, mais elle est trop habituée à suivre des ordres maintenant qu'elle fait ce qu'il lui demande. S'il ne se lave pas souvent les mains, il doit se laver la bite encore moins fréquemment, pense Emma. Il n'y a pas que le goût. Quand elle passe sa langue sur le gland, elle peut sentir du sable et de la saleté se détacher pour se dissoudre dans sa bouche.
Enfin, elle le sent se raidir. Il saisit fermement sa tête pour la rapprocher alors qu'il éjacule son foutre dans sa gorge. Le goût salé se mêle à autre chose, et elle réalise avec horreur qu'il urine. Le clochard ne semble même pas le remarquer et il la tient serrée contre son bas-ventre tandis qu'il vide sa vessie. Elle essaie de ne pas avaler, mais il la tient trop fort et elle n'a pas d'autre choix. Il ne semble pas y avoir de fin, et Emma lutte pour pouvoir respirer en avalant le jet d'urine chaude.
Quand il sort enfin de sa bouche, la bite dégouline légèrement. Il lui tire les cheveux d'une main alors qu'il s'appuie contre le mur pour se stabiliser. Si bien qu'Emma penche la tête et, pour compléter son humiliation, un dernier jet de pisse la frappe au visage.
L'homme lâche alors ses cheveux et se tourne pour s'appuyer correctement sur le mur. Il sourit comme un idiot. Il lui dit en pensant lui faire un compliment:
- Tu es une fille vraiment sexy! Je n'ai jamais joui autant auparavant, je peux te le dire.
Emma ne sait pas que dire alors elle reste silencieuse. L'homme dit alors soudainement :
- Oh merde! Je ne t'ai pas pissé dessus hein?
En rougissant, Emma hoche la tête :
- Et dans ma bouche après avoir éjaculé. Dit-elle doucement.
Les yeux du clochard s'écarquillent :
- Merde, je n'ai pas réalisé. Pourquoi ne m'as-tu pas arrêté?
Encore une fois le dressage de James et William prend le dessus. Elle secoue la tête et arrive à afficher un sourire. Elle lui dit :
- Parce que j'aime ça. Merci!
Les yeux de l'homme s'agrandissent encore plus pendant que son esprit enregistre l'information. Puis il glousse avec indulgence :
- Tu es vraiment une petite pute vicieuse, n'est-ce pas?
Emma hoche la tête et sourit, en se maudissant intérieurement :
- Oui.
Toujours en rigolant il lui ébouriffe les cheveux :
- Bon, je suppose que tu allais quelque part, non? Sinon pourquoi serais-tu habillée comme ça? J'imagine que ce n'est pas seulement pour attirer de bons messieurs comme moi.
Il semble penser qu'elle passe un bon moment. Elle fait un faible sourire et lui dit :
- Je devrais y aller.
Elle est soulagée qu'il lui donne un moyen de partir. Elle commençait à s'inquiéter qu'il ne la laisse pas et que James et William l'abandonnent. Le clochard hoche la tête :
- Je ne t'embête pas plus, continue ton chemin.
Elle court presque pour sortir de la ruelle et elle rejoint James et William. Ils sont en train de rire.
- Bon, nous devons aller quelque part comme l'a dit ce gentilhomme. Allez! Dit William avec un sourire.
Emma essaie d'abaisser sa jupe qui était remontée lorsqu'elle s'était agenouillée devant le clochard. James lui tape sur la main.
- Est-ce que nous t'avons autorisée à arranger tes vêtements?
Emma rougit profondément et secoue la tête.
- Non Maître.
Mais sa jupe est presque troussée à sa taille, pense-t-elle désespérément. Elle montre tout et les gens vont croire que c'est ce qu'elle veut si elle marche sans régler le problème. Sa main tremble et William attrape son poignet pour le tenir fermement.
- Laisse! Dit-il à voix basse sur un ton qui la menace de punitions si elle n'obéit pas.
Puis il la lâche et les deux garçons s'éloignent, Emma les suivant à nouveau à courte distance. Les regards qu'elle reçoit sont pires maintenant et sa jupe monte de plus en plus haut à chaque pas. Pour aggraver les choses, elle a encore le goût du clochard dans sa bouche et elle sent l'urine sécher sur son visage. Elle n'a pas osé s'essuyer.
Finalement les deux gars s'arrêtent devant un club qui a l'air fermé et ils attendent qu'Emma les rattrape.
- Comment te sens-tu? Demande joyeusement James.
- Bien Maître! Répond Emma, mortifiée.
- J'ai vu que peu de gens s'intéressaient à toi. Mais je ne suis pas surpris, tu ressembles à une SDF. Mais tu as au moins attiré l'attention d'un clochard.
James regarde William. Il lui dit avec désinvolture.
- J'aurais aimé savoir plus tôt qu'elle aime la pisse. Nous avons toujours utilisé des toilettes alors que nous avions une esclave volontaire devant nous.
Emma frissonne à l'idée et James sourit.
- Ne t'inquiète pas , nous avons autre chose à faire avec toi ici. Il y a beaucoup de gens qui vont apprécier ton apparence et tes talents. Nous allons entrer, mais toi tu attends ici jusqu'à ce que quelqu'un vienne te chercher.
William pousse la porte et les deux garçons entrent dans le club. Emma résiste à l'envie de baisser sa jupe en espérant que personne ne passe. Finalement la porte s'ouvre à nouveau et elle peut entendre une voix masculine qu'elle ne connaît pas dans les haut-parleurs :
- Messieurs, nous sommes fiers de vous présenter la pute de la soirée.
Emma entre et ses talons la font trébucher dans les escaliers. Elle essaie de regarder autour d'elle, mais comme un projecteur est braqué sur elle, elle ne peut rien voir. Quand elle arrive finalement dans le club, elle voit qu'il n'est pas trop bondé et que les clients sont exclusivement des hommes. Ils lui font comme une allée d'honneur pour qu'elle puisse marcher jusqu'à une estrade. Un étrange mécanisme est suspendu au plafond. Emma peut sentir les regards affamés que posent les hommes sur elle alors qu'elle passe et monte sur l'estrade. Elle reste debout et attend des instructions tandis que les clients du club la dévisagent. Une voix masculine sort des enceintes :
- Maintenant, avant de commencer, prenons un moment pour nous souvenir des règles. Seuls cinq hommes sont autorisés à la fois, deux dans chaque trou et un dans la bouche. Une fois que vous avez choisi votre place, vous ne pouvez pas changer d'avis, alors choisissez avec soin. Si vous voulez recommencer, n'hésitez pas à vous remettre dans la queue. Si vous essayez de passer devant quelqu'un d'autre, vous serez expulsé du club. Pas de violence, cette pute appartient à quelqu'un et nous ne voulons pas qu'elle soit endommagée. La seule exception à cette règle est que si elle vous suce et que vous pensez qu'elle ne fait pas d'efforts pour avaler votre bite, vous pouvez gifler son visage ou ses seins. Mais n'oubliez pas que trop de gifles vous renverront au fond de la file d'attente. Toutefois ses propriétaires nous ont dit que vous pouviez lui dire ce que vous voulez, même si c'est méchant, violent ou humiliant, alors ne vous plaignez pas de ne pas pouvoir la frapper. Allez, faites une file! Et lorsque vous avez terminé, éloignez-vous. Compris messieurs?
Un rugissement affirmatif retentit. Emma pâlit. Elle essaie de compter le nombre d'hommes, mais ce qui lui semblait une foule relativement restreinte à son arrivée a grandi dans son esprit alors qu'elle comprend qu'ils vont tous la baiser. Ça va sûrement prendre toute la nuit. Emma n'a été baisée par personne d'autre que William depuis qu'elle est devenue esclave. Et maintenant elle va être possédée par cinq hommes à la fois. Elle attend avec effroi la suite.
- Allez, déshabille-toi, salope et prépare-toi à baiser!
Misérablement, Emma retire son haut sous les applaudissements et elle baisse sa jupe. Elle cherche des eux ce qu'elle doit faire ensuite et un homme apparaît sur le côté de la scène. Il n'est pas rasé et a les mains sales. Il la tire vers le mécanisme et elle réalise qu'il est fait pour la tenir dans une position pratique pour que les hommes la baisent. Une ceinture est attachée aux chaînes suspendues au plafond. Il l'attache autour de sa taille, puis il soulève sa jambe et la fixe sur un banc en bois rembourré. Il fait de même avec l'autre jambe. Maintenant, elle est suspendue au-dessus du sol en position assise, les jambes largement écartées, son poids supporté à la fois par le banc et la ceinture. Finalement il menotte ses poignets à des crochets de chaque côté de la ceinture. Elle est bloquée et incapable de bouger autre chose que sa tête. L'homme s'éloigne dans l'ombre.
- Ok messieurs, on dirait qu'elle est prête. Que les cinq premiers montent sur scène.
Les acclamations deviennent plus fortes et cinq hommes montent sur l'estrade. Emma aperçoit une bite plus grosse que ce qu'elle n'a jamais connu. A sa grande horreur l'homme la dirige vers son trou du cul. Sans cérémonie, il s'enfonce profondément dans son cul et Emma sert les dents pour ne pas crier. Quelques secondes plus tard, une autre bite l'a rejointe et son trou du cul est douloureusement étiré. Il ne l'a jamais été autant auparavant, même avec les plugs. Et ceux-ci avaient été lubrifiés. Un gros homme la regarde et enfonce sa queue dans sa chatte, à côté de celle d'un homme maigre qui a un air lubrique. Emma est à l'agonie, les hommes la martelant à l'unisson. Personne n'a pris la peine de la stimuler d'abord et elle ne mouille presque pas.
- Voyons voir si tu vaux le pris d'entrée, sale pute!
Emma regarde l'homme qui vient de parler et elle voit une énorme bite devant son visage. Docilement elle ouvre la bouche et il enfonce son sexe directement dans sa gorge. C'est brutal, elle tousse et s'étouffe. Elle n'est pas habituée aux gorges profondes et elle sait qu'elle doit apprendre rapidement ou s'étouffer. L'homme se retire et la gifle durement au visage, lui faisant ainsi venir des larmes de douleur aux yeux.
- Fais ça mieux, salope! Ordonne-t-il.
Il s'enfonce dans sa bouche et cette fois, elle réussit à avaler la longueur de la bite. Effrayée, elle bouge sa tête d'avant en arrière, en essayant de trouver un rythme avec les queues qui pilonnent son cul et sa chatte. Elle suce et lèche son pénis, en essayant de le faire jouir le plus rapidement possible pour pouvoir passer au suivant.
L'homme maigre gémit et donne un dernier coup de rein avant d'éjaculer son foutre. Il se retire et essuie son sexe sur sa jambe avant de s'éloigner sans un mot. Il a à peine fait deux pas qu'un autre homme prend sa place. Emma est presque reconnaissante que l'homme maigre ait éjaculé en elle, car maintenant son sperme agira comme un lubrifiant.
L'homme qu'elle suce la gifle à nouveau et elle essaie de se concentrer pour le faire jouir. Un autre homme éjacule et il recule pour la regarder.
- J'adore les petits trous du cul serrés. Mais maintenant on pourrait faire passer un train dans ce trou béant. Dit-il avec un sourire narquois.
Il s'éloigne et un autre homme approche rapidement pour l'enculer.
Emma a l'impression que la file d'hommes est sans fin, chacun attendant de prendre le relais dès qu'un autre a giclé. Elle est recouverte de foutre. Il coule de ses deux trous, elle en a dans les cheveux et dans le nez, partout sur ses seins et son ventre. Et elle a dû en avaler des litres. Mais le martèlement est sans relâche.
La plupart des hommes sont partis après avoir fini, mais certains restent pour lui parler, l'insulter, lui dire à quel point il pense qu'elle est une vraie pute, qu'elle est une salope sans morale. Emma a l'impression qu'elle va s'évanouir d'épuisement, mais elle doit rester éveillée sinon elle va recevoir une claque d'un homme qui lui reprochera de ne pas s'appliquer à lui sucer la bite.
Son cul et sa chatte semblent étirés au-delà de ce qui est possible. Sa mâchoire est sa langue la font souffrir. Elle est même trop fatiguée pour se sentir humiliée, ses mouvements devenant mécaniques. Finalement elle reconnaît des hommes qui sont déjà passés. Visiblement ils ont fait la queue une seconde fois. Emma espère que cela signifie que son calvaire est presque terminé.
Mais elle a tort. La deuxième fois, les hommes mettent plus de temps à jouir, et il semble lui en vouloir en la punissant en la baisant plus violemment. L'homme qui a été le premier à éjaculer dans son cul s'approche avec un sourire méchant.
- Voyons si ta bouche est meilleure que ton cul, putain de salope!
Elle ouvre la bouche docilement et recule la tête devant l'odeur de sa bite. L'homme sourit encore plus.
- Je parie que tu aimes le goût de ton cul dans ta bouche, n'est-ce pas grosse pute?
Emma est baisée encore et encore, certains hommes revenant une troisième fois. Puis il y en a moins, un seul dans son cul, et un seul dans sa chatte ou juste un dans sa bouche. Après ce qui lui semble être des heures, l'assaut s'arrête. Emma se retrouve seule, épuisée et recouverte de sperme.
Le même homme qui l'a attachée vient la libérer en souriant.
- Je parie que tu as aimé ça, non?
Emma ne répond pas. Elle ne tient pas sur ses pieds et elle se tient au banc pour se stabiliser. Le sol est couvert de foutre et Emma glisse presque. L'homme éclate de rire et s'éloigne.
William et James qui étaient restés au fond du club s'avance. Un homme bien habillé vient les saluer avec un grand sourire.
- Merci beaucoup d'avoir amené votre pute dans mon petit club. J'espère que c'est ce que vous attendiez?
James lui serre la main chaleureusement et hoche la tête.
- Nous n'aurions pu espérer mieux. Merci de nous avoir accueilli.
- Pas du tout, c'était un plaisir. Voici un chèque de votre part des recettes. Nous avons bien gagné ce soir. La plupart des hommes se sont remis dans la file d'attente pour un second tour. Ça n'arrive pas toujours.
Ils continuent à dialoguer, mais Emma écoute à peine. Finalement James la rejoint et attache la laisse au collier.
- Allez petite pute, nous partons.
Elle les suit hors du club et ce n'est que lorsque l'air froid la frappe qu'elle réalise qu'elle est toujours nue. Ni William, ni James ne semblent s'en soucier, et Emma sait qu'il ne sert à rien de le dire. De toute façon, ça fait sûrement partie du plan visant à continuer à la dégrader cette nuit.
Heureusement personne ne les croise. Emma est pressée de retrouver sa cage. Quand ils sont à la maison, dans le salon, James lui dit de rester debout devant eux. Elle obéit et attend de savoir ce qu'ils veulent d'elle maintenant. Pourquoi ne la laissent-ils pas simplement dormir? James dit alors :
- Cela fait presque un mois. Donc ton temps ici est presque écoulé.
- Oui Maître.
Emma ne se sent pas aussi soulagée par cette idée qu'elle l'avait prévu. Elle ne sait pas comment elle pourra reprendre une vie normale maintenant en leur ayant permis de faire tant de choses.
- Je veux que tu sois honnête avec toi-même maintenant. Je t'ai vu sucer des hommes te lécher la chatte de femmes. Je t'ai fait faire tes besoins dans le jardin et aboyer comme un chien. Je t'ai attachée, battue. Je t'ai volontiers livrée à des amis et connaissances pour qu'ils se servent de toi à leur guise. Et je ne t'ai pas dit une seule fois que tu comptais pour moi. Es-tu d'accord avec tout ça?
- Oui Maître. Dit lentement Emma en se demandant où il veut en venir.
- Et ce soir, je t'ai faite baiser par des personnes que je n'ai jamais rencontré auparavant, en échange d'argent. Si tu veux être honnête avec toi-même, crois-tu que nous pourrions reprendre une vie de couple normale?
Emma reste silencieuse pendant un moment. Elle était entrée dans cet esclavage en pensant que ce ,e serait qu'un jeu entre James et elle, une preuve qu'elle était désolée. Elle s'était attendue qu'il la rudoie un peu, lui fasse faire le ménage ou chercher des bières avant de la pardonner. Et quand elle avait vu William dans l'embrasure de la porte, elle s'était dit que ce ne serait que eux trois. Elle essaie de comprendre pourquoi elle n'a pas tout arrêté quand ça s'est compliqué. Pourquoi elle ne s'est pas sauvée? Elle devait bien savoir qu'elle ne pourrait plus jamais être la petite amie de James, pas après tout ça. Comment pourrait-elle le regarder différemment maintenant?
- Non je ne pense pas que nous pourrions Maître. Admet-elle doucement.
- Tu ne penses pas que c'est possible depuis un bon moment maintenant, alors pourquoi as-tu continué?
C'est une question difficile à laquelle Emma ne peut pas répondre.
- Je ne sais pas Maître.
- Je pense que si. Veux-tu savoir ce que je pense, salope?
- Oui Maître.
- Je pense qu'au fond tu as aimé ça. Tu aimes être traitée comme une merde et c'était l'excuse parfaite. Si jamais tu pensais que ce que tu faisais était mal, tu pouvais juste te dire que tu le faisais afin que nous puissions être à nouveau ensemble. Penses-tu que ça pourrait être vrai? Honnêtement?
- Non Maître.
Elle a envie de crier que ce n'est pas vrai. Comment peuvent-ils penser qu'elle a apprécié les choses qu'ils lui ont faites? James rit :
- Non? Pourquoi as-tu fait ça alors? Tu as supplié William de te baiser plus fort, tu as léché la nourriture sur le sol comme si tu étais née pour ça. Et tu as joui ce soir, non?
Emma rougit et regarde le sol.
- Oui Maître.
- Oui Maître! Imite James en riant à nouveau.
- Tu as été baisée par des hommes que tu ne connaissais pas et tu as joui. J'ai vu tes yeux. Oui tu as été humiliée. Oui tu t'es sentie dégradée au-delà de ce que tu pouvais imaginer. Et ça fait du bien, non? Quand tu aboyais comme un chien pendant que William te baisait, ça rendait l'orgasme plus puissant que d'habitude , non? Je parie que tu étais excitée quand le clochard a pissé dans ta bouche.
Emma est confuse et ne sait pas quoi répondre. C'est vrai qu'elle ne les a arrêtés à aucun moment. Elle n'a pas tourné le dos pour s'enfuir de la maison. Et c'est vrai qu'elle a fait tout ce qu'ils lui ont ordonné sans jamais le remettre en question. Elle ne peut pas nier qu'elle a joui quand William l'a faite aboyer comme un chien. Mais elle est convaincue qu'elle n'a jamais aimé ça. C'était juste une réaction naturelle avec ses orgasmes pendant les rapports sexuels. Cela n'a rien à voir avec l'humiliation. Ça l'était? Les pensées d'Emma sont brouillonnes et elle ne peut pas répondre.
- Il t'a posé une question, salope. Au fond, as-tu aimé être traitée comme un objet sans valeur. Demande William.
- Je... Je ne sais pas Maître.
Le jeune homme se lève et pose son pouce sur son clitoris, envoyant des petites décharges d'électricité à travers son corps. Il commence à frotter son clitoris et il dit :
- Alors laisse-moi te poser une question plus facile. Aimes-tu ça?
- Oui Maître! Répond-elle un peu à bout de souffle.
- Et une autre question facile. Si ça ne t'a pas plu, pourquoi restes-tu encore là debout alors que James vient de te dire qu'il ne reviendra jamais avec toi?
Pour la première fois cette nuit-là, Emma sent qu'elle est doucement caressée. Le plaisir qui traverse son corps brouille encore plus ses pensées. Elle marmonne quelque chose sur le fait d'avoir fait une promesse. William rit méchamment.
- C'est n'importe quoi et tu le sais. Si tu ne voulais pas rester, tu serais déjà partie. Tu aimes être traitée de cette façon, n'est-ce pas?
Il continue de caresser le clitoris exposé et Emma ne peut s'empêcher de gémir en disant :
- Oui Maître.
William s'éloigne, satisfait de la réponse.
- On peut continuer si tu veux.
Emma fronce les sourcils, une question muette dans les yeux.
- C'est facile. Tu peux continuer à être esclave. Aimerais-tu ça?
Emma ne dit rien. William revient et recommence à titiller son clitoris. Elle gémit doucement.
- Je t'ai posé une question. Veux-tu continuer à être esclave .
Encore une fois, Emma ne peut empêcher les mots de quitter sa bouche.
- Oui Maître.
Les yeux de William montre sa satisfaction.
- Veux-tu être esclave pour le reste de ta vie?
- Oui Maître. Soupire Emma, pas vraiment consciente de ce à quoi elle donne son accord.
La voix de William devient douce et tendre. Emma est épuisée et le mouvement sur son clitoris est apaisant. Le garçon dit doucement :
- Nous pouvons faire en sorte que ça le soit si tu le souhaites. Veux-tu que nous le fassions?
- Oui Maître.
- Nous avons un contrat juridique ici. En gros il dit que tu m'appartiens. Il ne peut pas être à nos deux noms, mais je te partagerai avec James bien sûr. Il y a beaucoup de notions juridiques que tu ne comprendrais pas, mais au final, il dit que je te possède. Veux-tu le signer? James signera en tant que témoin.
Il glisse lentement un doigt en elle et le fait coulisser. Emma lutte contre le plaisir et la fatigue en essayant de se concentrer suer ce qu'il dit. William enfonce un autre doigt en elle.
- Veux-tu le signer? Demande-t-il à nouveau alors qu'il fait lentement entrer et sortir ses doigts de sa chatte.
Après les assauts brutaux de la soirée, c'est merveilleux d'être caressée avec tendresse. Emma ferme les yeux et se laisse emporter.
- Veux-tu le signer? Murmure William en bougeant toujours ses doigts en elle.
- Oui. Souffle-t-elle
James apporte le contrat et tend un stylo à Emma. Elle signe où il lui montre en jetant à peine un coup d'œil sur le papier. Elle rate aussi le regard que James et William s'échangent. Ce dernier lui dit alors tendrement :
- Allez, tu as eu une longue journée. Je suis sûre que tu aimerais monter à l'étage et aller dormir dans ta cage, n'est-ce pas?
- Oui Maître.
A suivre...