Texte de Ricki Black (2012)
*****
La belle-mère à son travail.
Après m'être douché et habillé, costume de bonne coupe, chemise parme et chaussure noire, il est 11H30 lorsque je me stationne sur le parking de la DDE. J’ai rendez-vous à 12H00 avec Martine, la future belle-mère de mon fils, que j’ai soumis sexuellement. J’espère qu’elle aura tenu compte de mes exigences de la veille.
J’ai 30 minutes d’avance, mais je décide de surprendre Martine, c’est des fois très instructif. Et quelle est ma surprise en me présentant à l’accueil de son bureau. Une superbe jeune femme est assise derrière le bureau. Elle est brune et typée, les yeux noirs au regard intense, sa peau est cuivrée et ses cheveux sont longs et frisés qui retombent sur une généreuse poitrine. Je me présente comme étant Michel et lui explique que mon fils va épouser la fille de Martine et que j’ai rendez vous avec elle à midi. Elle me sourit voluptueusement en me priant de m’asseoir, elle va prévenir sa patronne.
- Non attendez ! lui dis-je.
J’ai 30 minutes d’avance, mais je décide de surprendre Martine, c’est des fois très instructif. Et quelle est ma surprise en me présentant à l’accueil de son bureau. Une superbe jeune femme est assise derrière le bureau. Elle est brune et typée, les yeux noirs au regard intense, sa peau est cuivrée et ses cheveux sont longs et frisés qui retombent sur une généreuse poitrine. Je me présente comme étant Michel et lui explique que mon fils va épouser la fille de Martine et que j’ai rendez vous avec elle à midi. Elle me sourit voluptueusement en me priant de m’asseoir, elle va prévenir sa patronne.
- Non attendez ! lui dis-je.
- Je suis en avance, je vais patienter, je sais que Martine est une femme très occupée.
- Oui effectivement, elle l’est ! C’est comme vous voulez Monsieur. Voudriez-vous un café ?
Je lui réponds que ce serait avec plaisir, mais qu’elle peut m’appeler Michel.
- Très bien Michel, moi c’est Malika ! Me répond-elle en se levant.
- Oui effectivement, elle l’est ! C’est comme vous voulez Monsieur. Voudriez-vous un café ?
Je lui réponds que ce serait avec plaisir, mais qu’elle peut m’appeler Michel.
- Très bien Michel, moi c’est Malika ! Me répond-elle en se levant.
C'est une superbe femme grande et élégante dans sa robe rouge qui lui arrive au dessus du genou, laissant apparaitre de jolies jambes, fines et brunes soutenues par de très belles chevilles. Je remarque tout de suite sa chaine de cheville. C’est une chaine assez fine en or où l’on peut voir un symbole calligraphié.
- Malika, c’est de quelle origine votre prénom ?
Alors qu’elle me tend mon café, elle me répond qu’il est d’origine arabe. Qu’elle est d’origine Algérienne, mais qu’en faite, elle est de lignée Kabyle.
C’est le point de départ d’une discussion entre nous qui est interrompue à 12H00 par Martine qui fait irruption de son bureau en criant après Malika. Martine stoppe et se fige en me voyant. Malika m’annonce alors.
Martine me demande de la suivre dans son bureau. Je saisis ma sacoche, puis suis Martine. M’arrêtant à la hauteur de Malika, je lui demande si elle est libre pour déjeuner ce midi vers 12H30. Surprise, elle me répond qu’elle est disponible.
J’entre dans le vaste bureau de Martine. Impressionnant ! Ça ne plaisante pas ! Il ya des classeurs un peu partout, sur une table de réunion annexe au bureau des plans de construction sont ouverts. On sent que l’on est chez la patronne. J’observe Martine qui paraît très stressée, et pour cause, elle est habillée en jupe beige avec un pull fin noir, des chaussures talons bas. Bref l’inverse de ma demande. Mon regard se durcit alors qu’elle me dit :
- Mon cher Michel, nous avons, hier, vécu ensemble une parenthèse des plus surprenante pour des futurs beaux-parents, et j’avoue que malgré l’immense sentiment d’humiliation que j’ai ressenti lorsque vous m’avez obligée, j’ai effectivement ressenti aussi du plaisir à l’être. Mais vous comprenez bien que cette situation ne peut absolument pas perdurer, pour nos enfants qui vont bientôt se marier et pour nos vies de couples. Michel soyez raisonnable et restons-en là, je ne vous en tiendrais pas rigueur. Après tout vous m’avez fait bien jouir...
Mon regard est encore plus sombre lorsque je reprends la parole :
- Ma chère Martine, je crois que tu n’as pas bien compris la situation, alors je vais te rafraichir la mémoire. Je te tiens par les couilles, j’ai tous les documents en ma possession pour te soumettre, lettres sur tes malversations professionnelles, qui t’ont amenée à devenir la pute d’un de tes employés. Puis moi et les photos de ta soumission et tu voudrais que je te foute la paix, toi la patronne qui tyrannise ses employée, sa famille ? Non, avec moi tu vas vivre exactement l’inverse, sale petite bourgeoise de merde !
- Malika, c’est de quelle origine votre prénom ?
Alors qu’elle me tend mon café, elle me répond qu’il est d’origine arabe. Qu’elle est d’origine Algérienne, mais qu’en faite, elle est de lignée Kabyle.
C’est le point de départ d’une discussion entre nous qui est interrompue à 12H00 par Martine qui fait irruption de son bureau en criant après Malika. Martine stoppe et se fige en me voyant. Malika m’annonce alors.
Martine me demande de la suivre dans son bureau. Je saisis ma sacoche, puis suis Martine. M’arrêtant à la hauteur de Malika, je lui demande si elle est libre pour déjeuner ce midi vers 12H30. Surprise, elle me répond qu’elle est disponible.
J’entre dans le vaste bureau de Martine. Impressionnant ! Ça ne plaisante pas ! Il ya des classeurs un peu partout, sur une table de réunion annexe au bureau des plans de construction sont ouverts. On sent que l’on est chez la patronne. J’observe Martine qui paraît très stressée, et pour cause, elle est habillée en jupe beige avec un pull fin noir, des chaussures talons bas. Bref l’inverse de ma demande. Mon regard se durcit alors qu’elle me dit :
- Mon cher Michel, nous avons, hier, vécu ensemble une parenthèse des plus surprenante pour des futurs beaux-parents, et j’avoue que malgré l’immense sentiment d’humiliation que j’ai ressenti lorsque vous m’avez obligée, j’ai effectivement ressenti aussi du plaisir à l’être. Mais vous comprenez bien que cette situation ne peut absolument pas perdurer, pour nos enfants qui vont bientôt se marier et pour nos vies de couples. Michel soyez raisonnable et restons-en là, je ne vous en tiendrais pas rigueur. Après tout vous m’avez fait bien jouir...
Mon regard est encore plus sombre lorsque je reprends la parole :
- Ma chère Martine, je crois que tu n’as pas bien compris la situation, alors je vais te rafraichir la mémoire. Je te tiens par les couilles, j’ai tous les documents en ma possession pour te soumettre, lettres sur tes malversations professionnelles, qui t’ont amenée à devenir la pute d’un de tes employés. Puis moi et les photos de ta soumission et tu voudrais que je te foute la paix, toi la patronne qui tyrannise ses employée, sa famille ? Non, avec moi tu vas vivre exactement l’inverse, sale petite bourgeoise de merde !
Elle tente une dernière attaque et je retrouve la salope de dominante qu’elle est :
- Ecoute-moi bien petit vicieux, je ne vais pas me laisser manipuler comme ça, je vais t’envoyer trois ou quatre gars bien costauds qui bossent pour moi et ils vont te défoncer le fion de ma part. finit-elle, rouge de colère.
Alors que je lui envoie une baffe bien sentie, je lui rétorque :
- Vas-y, envoie les moi tes mecs et avec ce que j’ai à leur montrer de toi je pense que c’est eux qui viendront vider leurs couilles dans ton cul, d’ailleurs on va les convoquer de suite dans ton bureau et de cette manière je vais pouvoir les mater pendant qu’ils t’enculeront chacun leur tour !
- Vas-y, envoie les moi tes mecs et avec ce que j’ai à leur montrer de toi je pense que c’est eux qui viendront vider leurs couilles dans ton cul, d’ailleurs on va les convoquer de suite dans ton bureau et de cette manière je vais pouvoir les mater pendant qu’ils t’enculeront chacun leur tour !
Ayant saisi le téléphone portable de Martine sur le bureau, je lui tends en lui demandant de joindre Malika afin de convoquer les employés auxquels elle pensait. Martine, baissant la tête, me rend le téléphone et me dit cette fois-ci résignée :
- OK tu as gagné ordure, je me rends, qu’attends-tu de moi ?
- Tu m’as désobéi et tu m’as manqué de respect salope, et crois-moi je vais faire en sorte que cela ne se reproduise plus ! J’avais prévu de t’emmener déjeuner, mais je vais y aller avec ta secrétaire. Pendant ce temps-là tu vas m’attendre sagement dans ton bureau... J’espère simplement pour toi que personne ne viendra te déranger !!!
J’attrape Martine par le bras et l’accompagne derrière son bureau. Je vire son fauteuil de direction et la place debout devant le bureau qui est encombré de papiers, stylos et brochures diverses. Je sors de ma sacoche mes petits ustensiles et les déposent sur le bureau devant elle. Puis je remonte son pull et aperçoit une petite ceinture de cuir qui orne le haut de sa jupe. Je lui ôte et demande à Martine de se pencher en avant de manière à avoir le buste posé sur le bureau. Elle obéit un peu apeurée par la situation. Je remonte sa jupe pour découvrir son superbe cul. Je découvre qu’elle porte un collant couleur chair et dessous une culotte en coton. Tiens, me dis-je, voila la seule condition qu’elle a remplie.
Je baisse alors le collant et la culotte à mi-cuisses, laissant ainsi son cul offert. Comme il est beau, je glisse mon index dans son sillon, passant ainsi sur son anus pour finir dans sa chatte que je trouve encore bien inondée. Quelle salope !
Pour ma part ma queue est déjà raide dans mon boxer. En m’adressant à Martine je lui explique :
- Voila je vais te punir, dans un premier temps pour ton manque de respect vis-à-vis de moi et ensuite je te punirai pour ta désobéissance de ce midi. On est d’accord. Au fait, essaie de ne pas crier trop fort si tu ne veux pas voir Malika débouler dans le bureau.
M’écartant un peu de Martine pour me donner de l’espace, tenant la ceinture par l’attache, j’assène mon premier coup sur le fessier blanc et pur de Martine. Cette première morsure fait tendre tout son corps et elle étouffe un cri de douleur dans le fond de sa gorge. Je bande fort en voyant l’empreinte rouge apparaitre, il est clair que je ne recherche pas à faire souffrir Martine, mais beaucoup plus à l’humilier. Donc mes coups seront toujours modérés de manière à la punir comme une femme soumise et non comme une femme tourmentée. Je suis contre toutes formes de violence physique sur une femme parce que je suis certain de pouvoir vaincre tous ses tabous par le mental. Et je préfère de loin ces jeux de l’esprit que d’imposer un rapport de force physique.
Passant le doigt sur cette trace, je murmure dans l’oreille de Martine :
- Tu vas apprendre qui est le maître, salope, et tu vas t’en rappeler longtemps.
Reprenant la punition, je lui fouette le cul. De légères zébrures se multiplient sur ses fesses et elle commence à avoir du mal à contenir ces cris. Au bout de 10 coups j’arrête. Martine est en sueur et son souffle est saccadé. Son cul est rouge comme après une bonne fessée, je pense qu’elle a eu surtout très peur et je m’en réjouis.
Je regarde ma montre, il est 12H20, il faut que je me dépêche. Laissant Martine dans cette position inconfortable, le buste posé sur les objets qui encombrent le bureau, je récupère les menottes et les lui passe. Tout en plaçant ses bras tombant devant le bureau. Puis je remonte sa culotte lorsque le téléphone de Martine se mette à bouger sur le bureau mais ne sonne pas. Tiens tiens, il est en mode vibreur. Et voila que ce coup de fil me donne une sacré bonne idée. Je saisis le téléphone et regarde l’écran.
- Tu m’as désobéi et tu m’as manqué de respect salope, et crois-moi je vais faire en sorte que cela ne se reproduise plus ! J’avais prévu de t’emmener déjeuner, mais je vais y aller avec ta secrétaire. Pendant ce temps-là tu vas m’attendre sagement dans ton bureau... J’espère simplement pour toi que personne ne viendra te déranger !!!
J’attrape Martine par le bras et l’accompagne derrière son bureau. Je vire son fauteuil de direction et la place debout devant le bureau qui est encombré de papiers, stylos et brochures diverses. Je sors de ma sacoche mes petits ustensiles et les déposent sur le bureau devant elle. Puis je remonte son pull et aperçoit une petite ceinture de cuir qui orne le haut de sa jupe. Je lui ôte et demande à Martine de se pencher en avant de manière à avoir le buste posé sur le bureau. Elle obéit un peu apeurée par la situation. Je remonte sa jupe pour découvrir son superbe cul. Je découvre qu’elle porte un collant couleur chair et dessous une culotte en coton. Tiens, me dis-je, voila la seule condition qu’elle a remplie.
Je baisse alors le collant et la culotte à mi-cuisses, laissant ainsi son cul offert. Comme il est beau, je glisse mon index dans son sillon, passant ainsi sur son anus pour finir dans sa chatte que je trouve encore bien inondée. Quelle salope !
Pour ma part ma queue est déjà raide dans mon boxer. En m’adressant à Martine je lui explique :
- Voila je vais te punir, dans un premier temps pour ton manque de respect vis-à-vis de moi et ensuite je te punirai pour ta désobéissance de ce midi. On est d’accord. Au fait, essaie de ne pas crier trop fort si tu ne veux pas voir Malika débouler dans le bureau.
M’écartant un peu de Martine pour me donner de l’espace, tenant la ceinture par l’attache, j’assène mon premier coup sur le fessier blanc et pur de Martine. Cette première morsure fait tendre tout son corps et elle étouffe un cri de douleur dans le fond de sa gorge. Je bande fort en voyant l’empreinte rouge apparaitre, il est clair que je ne recherche pas à faire souffrir Martine, mais beaucoup plus à l’humilier. Donc mes coups seront toujours modérés de manière à la punir comme une femme soumise et non comme une femme tourmentée. Je suis contre toutes formes de violence physique sur une femme parce que je suis certain de pouvoir vaincre tous ses tabous par le mental. Et je préfère de loin ces jeux de l’esprit que d’imposer un rapport de force physique.
Passant le doigt sur cette trace, je murmure dans l’oreille de Martine :
- Tu vas apprendre qui est le maître, salope, et tu vas t’en rappeler longtemps.
Reprenant la punition, je lui fouette le cul. De légères zébrures se multiplient sur ses fesses et elle commence à avoir du mal à contenir ces cris. Au bout de 10 coups j’arrête. Martine est en sueur et son souffle est saccadé. Son cul est rouge comme après une bonne fessée, je pense qu’elle a eu surtout très peur et je m’en réjouis.
Je regarde ma montre, il est 12H20, il faut que je me dépêche. Laissant Martine dans cette position inconfortable, le buste posé sur les objets qui encombrent le bureau, je récupère les menottes et les lui passe. Tout en plaçant ses bras tombant devant le bureau. Puis je remonte sa culotte lorsque le téléphone de Martine se mette à bouger sur le bureau mais ne sonne pas. Tiens tiens, il est en mode vibreur. Et voila que ce coup de fil me donne une sacré bonne idée. Je saisis le téléphone et regarde l’écran.
- C’est Pierre ! dis-je à Martine.
Puis me plaçant devant son cul, je lui fourre le téléphone encore vibrant bien au fond de la chatte en ajoutant
- Pour une fois, il va peut être arriver à te faire jouir.
Martine geint à chaque vibration de l’appareil. Mais je réservais le meilleur pour la fin. Fouillant dans le fond de ma sacoche, je ressors le plug anal acheté chez Al. Je le place sur l’anneau bien serré de Martine, elle conteste et je vois son trou se contracter .
Martine geint à chaque vibration de l’appareil. Mais je réservais le meilleur pour la fin. Fouillant dans le fond de ma sacoche, je ressors le plug anal acheté chez Al. Je le place sur l’anneau bien serré de Martine, elle conteste et je vois son trou se contracter .
- Tu sais, il y a deux manières : ou tu le reserres et tu vas déguster, ou tu pousses et tu vas un peu moins souffrir, mais sache que je vais te le fourrer à sec.
Martine me demande de ne pas lui mettre sans la préparer, pour toute réponse je lui enfonce le plug dans le cul. Je dois réellement forcer son anneau qui finit par se rendre. J’entends les cris à nouveau étouffés, j'imagine qu’elle n’a qu’une peur, c’est que Malika entre et la voit ainsi. Le plug est maintenant en place dans l’étroit fourreau, je peux distinguer la rondelle bien ouverte et distendue par le diamètre conséquent du gode.
Martine n’en peut plus, elle souffle comme un bœuf.
Je remonte alors maintenant la culotte et le collant, emprisonnant alors les deux objets dans ses trous intimes. Je récupère la ceinture et la dispose à hauteur des ses genoux, la serrant bien pour l’immobiliser. Puis j’attache une extrémité de la laisse aux menottes et l’autre à la ceinture en prenant soin de laisser le moins de jeu possible. De cette manière Martine est immobilisée à plat ventre sur son bureau, le cul et la chatte bien remplie. Avant de quitter la pièce je l’informe :
- Très bien, je vais donc déjeuner avec Malika, elle est vraiment charmante, bien sûr la porte de ton bureau reste ouverte, on ne sait jamais, si ton mari a la bonne idée de passer te voir au bureau, ça pourrait être drôle. Non ? Voila, nous attaquerons la deuxième partie de la punition à toute à l’heure.
Puis en refermant la porte alors que Malika est à son bureau à m’attendre, je lance à Martine :
Martine me demande de ne pas lui mettre sans la préparer, pour toute réponse je lui enfonce le plug dans le cul. Je dois réellement forcer son anneau qui finit par se rendre. J’entends les cris à nouveau étouffés, j'imagine qu’elle n’a qu’une peur, c’est que Malika entre et la voit ainsi. Le plug est maintenant en place dans l’étroit fourreau, je peux distinguer la rondelle bien ouverte et distendue par le diamètre conséquent du gode.
Martine n’en peut plus, elle souffle comme un bœuf.
Je remonte alors maintenant la culotte et le collant, emprisonnant alors les deux objets dans ses trous intimes. Je récupère la ceinture et la dispose à hauteur des ses genoux, la serrant bien pour l’immobiliser. Puis j’attache une extrémité de la laisse aux menottes et l’autre à la ceinture en prenant soin de laisser le moins de jeu possible. De cette manière Martine est immobilisée à plat ventre sur son bureau, le cul et la chatte bien remplie. Avant de quitter la pièce je l’informe :
- Très bien, je vais donc déjeuner avec Malika, elle est vraiment charmante, bien sûr la porte de ton bureau reste ouverte, on ne sait jamais, si ton mari a la bonne idée de passer te voir au bureau, ça pourrait être drôle. Non ? Voila, nous attaquerons la deuxième partie de la punition à toute à l’heure.
Puis en refermant la porte alors que Malika est à son bureau à m’attendre, je lance à Martine :
- J’espère que tu n’auras pas trop de coup de fil !
J’emmène Malika dans un petit resto à deux pas de l’agence. Le repas est très agréable, nous abordons divers sujets et nous revenons au mariage en prévision. Malika me dit avoir rencontré il y a six mois environ mon ex-femme qui était venue voir Martine accompagnée de sa future belle-fille Emilie, qu’elles avaient l’air très complices toutes les deux. J’étais étonné, car mon fils ne m’en avait rien dit, mais étonnamment ces six mois correspondaient avec un changement d’attitude d’Emilie à mon égard, plus distante. Connaissant mon ex, j’imaginais le pire, car elle était prête à tout pour pouvoir m’atteindre.
Puis nous revenons à Malika. Elle a une petite sœur et un grand frère, ses parents sont séparés et elle vit avec sa mère dans une petite cité très familiale. J’essaie de lui poser des questions détournées pour en savoir plus sur sa vie sentimentale. Elle est seule et m’avoue que c’est difficile pour une jeune beurette de 24 ans d’afficher ses sentiments sans risquer de subir des pressions de l’entourage. Elle poursuit des études de droits en fac et travaille actuellement en intérim.
Cette fille est vraiment séduisante, subtile, intelligente et ce déjeuner fut très agréable, mais il me faut retourner voir Martine et la libérer de ses entraves. Bien sûr, tout le long du déjeuner, j’ai appelé sur son portable discrètement, je crois au moins six fois. quel plaisir d’ailleurs, la bosse dans mon pantalon de costume témoigne du plaisir que j’ai pris à imaginer Martine vibrer.
Sur le chemin du retour à l’agence je m’arrête dans une boulangerie et achète une religieuse au chocolat pour Martine. Une religieuse pour une ‘cul béni’ c’est plutôt de circonstance. Je dépose Malika à son bureau et en entrebâillant la porte du bureau de Martine, je lui propose de nous apporter trois cafés d’ici un quart d’heure.
Tout en pénétrant dans le bureau, j’aperçois Martine toujours à la même place, les cheveux hirsutes et le visage ruisselant de sueur. La séance a dû être intense, son souffle est rapide. Je lui montre la religieuse en lui disant que le déjeuner avait été charmant. Les yeux de Martine son mi-clos, alors je lui dis :
Cette fille est vraiment séduisante, subtile, intelligente et ce déjeuner fut très agréable, mais il me faut retourner voir Martine et la libérer de ses entraves. Bien sûr, tout le long du déjeuner, j’ai appelé sur son portable discrètement, je crois au moins six fois. quel plaisir d’ailleurs, la bosse dans mon pantalon de costume témoigne du plaisir que j’ai pris à imaginer Martine vibrer.
Sur le chemin du retour à l’agence je m’arrête dans une boulangerie et achète une religieuse au chocolat pour Martine. Une religieuse pour une ‘cul béni’ c’est plutôt de circonstance. Je dépose Malika à son bureau et en entrebâillant la porte du bureau de Martine, je lui propose de nous apporter trois cafés d’ici un quart d’heure.
Tout en pénétrant dans le bureau, j’aperçois Martine toujours à la même place, les cheveux hirsutes et le visage ruisselant de sueur. La séance a dû être intense, son souffle est rapide. Je lui montre la religieuse en lui disant que le déjeuner avait été charmant. Les yeux de Martine son mi-clos, alors je lui dis :
- Qu’est-ce que l’on dit à son Maître ?
J’entends dans un soupir le merci.
Faisant le tour du bureau, je vais constater la situation. Je trouve les collants, la culotte, les chaussures et la moquette détrempée de fluide. Je souris, car avec Martine on sait rapidement quand elle a pris son pied. Je lui demande si elle a bien joui, elle me le confirme effectivement. Combien de fois, elle hésite puis répond :
J’entends dans un soupir le merci.
Faisant le tour du bureau, je vais constater la situation. Je trouve les collants, la culotte, les chaussures et la moquette détrempée de fluide. Je souris, car avec Martine on sait rapidement quand elle a pris son pied. Je lui demande si elle a bien joui, elle me le confirme effectivement. Combien de fois, elle hésite puis répond :
- trois fois !
Cette situation m’excite et ma queue raide, maintenant depuis un moment, a besoin de s’exprimer.
Je saisi un coupe-papier sur le bureau, puis délicatement j’opère une ouverture au niveau du collant et de la culotte imprégnées de cyprine. Je taille ainsi une brèche dans le tissu de manière à pouvoir extraire le plug. Martine gémit lors de l’opération, j’en profite pour le faire lentement, laissant son orifice béant et orphelin. Le plug est recouvert de jus. Cette salope a mouillé aussi du cul. Je demande à Martine de bien vouloir me le nettoyer en l’enfournant dans sa bouche.
Sortant mon pieu de mon pantalon je place mon gland gonflé et tendu sur l’anneau de chair. Puis je m’enfonce en elle. Ma queue la pénètre comme du beurre, tellement elle est humide et ouverte du cul. C’est bon et je pousse mes hanches jusqu’au bout pour m’enfoncer jusqu’au fond de ses intestins. Son rectum est très musclé, certainement lié à ses activités de cavalière, elle arrive en forçant ses muscles à étrangler mon fourreau de chair. Et croyez-moi, c’est des plus excitant. Après l’avoir pilonné plusieurs minutes, je sens ma jouissance monter, je m’extrais de son cul et place ma bite au dessus de la pâtisserie. J’éjacule dessus, ma jute s’écrasant sur le gâteau, finissant par presque le recouvrir complètement. Et voila une religieuse nappée au sperme.
Quel bonheur ! Alors que j’entends la cafetière dans la pièce voisine, il faut que je fonce avant que Malika n’entre avec les cafés. Je passe devant le bureau, détache la laisse des menottes, puis ôte les menottes que je remets dans ma veste. Martine, ainsi libérée, peut se relever, son buste est endolorie, mais la poignée de la porte s’abaisse et Martine a juste le temps de se rasseoir, les jambes encore entravées par la ceinture.
Malika entre dans le bureau et pose le plateau sur le bureau. Elle a l’air un peu surprise par la tête de Martine. Elle est si soignée d’habitude, que là elle a l’air de sortir de son lit. Assis dans le fauteuil face au bureau, j’invite Malika à s’asseoir sur l’autre fauteuil. Nous dégustons notre café, Malika, pour être aimable, nous félicite pour la future union de nos enfants et nous présente ses félicitations. Buvant mon café je demande à Martine :
- Eh bien Martine, vous ne mangez pas votre religieuse. Je vous en prie ne vous gênez pas pour nous, allez-y !
Baissant les yeux, elle saisit le gâteau, en détache délicatement le petit chou au sommet dégoulinant d’un épais jus crémeux, puis le porte à sa bouche et le mange. J’adore, ma queue en repart de plus belle.
Je vois bien que Malika est intriguée par cette crème. Martine voyant le regard interrogatif de sa secrétaire, saisit le restant du gâteau et l’avale rapidement.
Je lui demande si elle a apprécié, surtout le nappage particulier. Martine me répond qu’elle a vraiment aimé cette délicate attentionnnnnnn...
Martine a tressailli alors qu’elle finissait sa phrase à la surprise de tout le monde. Son visage devient rouge et son souffle plus court. Malika lui demande si tout va bien, alors que Martine s’écroule en arrière dans le fauteuil, ravagée par un nouvel orgasme. Mais oui, j’avais compétemment oublié. On vient de l’appeler sur son portable.
Alors que Malika va prendre congés pour retourner travailler, son pied heurte un objet sous son siège. Se baissant, elle le ramasse. Je vois alors Martine devenir cramoisie de honte lorsque sa secrétaire dépose sur son bureau le plug anal recouvert de divers fluides, tout en lui disant :
- Je pense que vous avez perdu cet objet par inadvertance, vous devriez le remettre à sa place, là ou il ne craint pas de tomber dans des mains innocentes.
De nouveau seul dans le bureau, j’ôte la ceinture à Martine, puis je plonge ma main dans son collant et sa culotte enfonçant mes doigts dans sa chatte je récupère le GSM. J’ai de sa mouille partout sur la main, je réussis même à en foutre sur la manche de mon costard. Je dépose l’appareil sur le bureau, il suinte de jus épais et blanchâtre qui se répand sur les dossiers.
Je me penche pour vérifier une petite chose !! L’écran affiche 12 appels en absence.
Martine est à nouveau affalée dans son fauteuil, les orgasmes à répétition l’on défoncée. Je dois partir, mais avant je sors ma bite de mon pantalon et lui demande de bien vouloir me laver mon gland et ma queue de son jus de cul. Sans aucune réticence, Martine la lèche partout avant de l’enfourner au fond de sa gorge.
Je quitte le bureau plutôt content de ce moment, je salue Malika en la remerciant pour sa rayonnante présence et alors que j’allais sortir elle me tend un papier me murmurant :
- C’est mon numéro perso, j’aimerais énormément vous revoir Michel.
Puis après un petit silence elle reprend :
Cette situation m’excite et ma queue raide, maintenant depuis un moment, a besoin de s’exprimer.
Je saisi un coupe-papier sur le bureau, puis délicatement j’opère une ouverture au niveau du collant et de la culotte imprégnées de cyprine. Je taille ainsi une brèche dans le tissu de manière à pouvoir extraire le plug. Martine gémit lors de l’opération, j’en profite pour le faire lentement, laissant son orifice béant et orphelin. Le plug est recouvert de jus. Cette salope a mouillé aussi du cul. Je demande à Martine de bien vouloir me le nettoyer en l’enfournant dans sa bouche.
Sortant mon pieu de mon pantalon je place mon gland gonflé et tendu sur l’anneau de chair. Puis je m’enfonce en elle. Ma queue la pénètre comme du beurre, tellement elle est humide et ouverte du cul. C’est bon et je pousse mes hanches jusqu’au bout pour m’enfoncer jusqu’au fond de ses intestins. Son rectum est très musclé, certainement lié à ses activités de cavalière, elle arrive en forçant ses muscles à étrangler mon fourreau de chair. Et croyez-moi, c’est des plus excitant. Après l’avoir pilonné plusieurs minutes, je sens ma jouissance monter, je m’extrais de son cul et place ma bite au dessus de la pâtisserie. J’éjacule dessus, ma jute s’écrasant sur le gâteau, finissant par presque le recouvrir complètement. Et voila une religieuse nappée au sperme.
Quel bonheur ! Alors que j’entends la cafetière dans la pièce voisine, il faut que je fonce avant que Malika n’entre avec les cafés. Je passe devant le bureau, détache la laisse des menottes, puis ôte les menottes que je remets dans ma veste. Martine, ainsi libérée, peut se relever, son buste est endolorie, mais la poignée de la porte s’abaisse et Martine a juste le temps de se rasseoir, les jambes encore entravées par la ceinture.
Malika entre dans le bureau et pose le plateau sur le bureau. Elle a l’air un peu surprise par la tête de Martine. Elle est si soignée d’habitude, que là elle a l’air de sortir de son lit. Assis dans le fauteuil face au bureau, j’invite Malika à s’asseoir sur l’autre fauteuil. Nous dégustons notre café, Malika, pour être aimable, nous félicite pour la future union de nos enfants et nous présente ses félicitations. Buvant mon café je demande à Martine :
- Eh bien Martine, vous ne mangez pas votre religieuse. Je vous en prie ne vous gênez pas pour nous, allez-y !
Baissant les yeux, elle saisit le gâteau, en détache délicatement le petit chou au sommet dégoulinant d’un épais jus crémeux, puis le porte à sa bouche et le mange. J’adore, ma queue en repart de plus belle.
Je vois bien que Malika est intriguée par cette crème. Martine voyant le regard interrogatif de sa secrétaire, saisit le restant du gâteau et l’avale rapidement.
Je lui demande si elle a apprécié, surtout le nappage particulier. Martine me répond qu’elle a vraiment aimé cette délicate attentionnnnnnn...
Martine a tressailli alors qu’elle finissait sa phrase à la surprise de tout le monde. Son visage devient rouge et son souffle plus court. Malika lui demande si tout va bien, alors que Martine s’écroule en arrière dans le fauteuil, ravagée par un nouvel orgasme. Mais oui, j’avais compétemment oublié. On vient de l’appeler sur son portable.
Alors que Malika va prendre congés pour retourner travailler, son pied heurte un objet sous son siège. Se baissant, elle le ramasse. Je vois alors Martine devenir cramoisie de honte lorsque sa secrétaire dépose sur son bureau le plug anal recouvert de divers fluides, tout en lui disant :
- Je pense que vous avez perdu cet objet par inadvertance, vous devriez le remettre à sa place, là ou il ne craint pas de tomber dans des mains innocentes.
De nouveau seul dans le bureau, j’ôte la ceinture à Martine, puis je plonge ma main dans son collant et sa culotte enfonçant mes doigts dans sa chatte je récupère le GSM. J’ai de sa mouille partout sur la main, je réussis même à en foutre sur la manche de mon costard. Je dépose l’appareil sur le bureau, il suinte de jus épais et blanchâtre qui se répand sur les dossiers.
Je me penche pour vérifier une petite chose !! L’écran affiche 12 appels en absence.
Martine est à nouveau affalée dans son fauteuil, les orgasmes à répétition l’on défoncée. Je dois partir, mais avant je sors ma bite de mon pantalon et lui demande de bien vouloir me laver mon gland et ma queue de son jus de cul. Sans aucune réticence, Martine la lèche partout avant de l’enfourner au fond de sa gorge.
Je quitte le bureau plutôt content de ce moment, je salue Malika en la remerciant pour sa rayonnante présence et alors que j’allais sortir elle me tend un papier me murmurant :
- C’est mon numéro perso, j’aimerais énormément vous revoir Michel.
Puis après un petit silence elle reprend :
- Dans un cadre beaucoup plus intime, je pense que j’ai beaucoup à apprendre de vous.
Je lui souris pour lui faire comprendre que j’ai bien saisi son sous-entendu. Reprenant mon véhicule, je sais que maintenant la soumission de Martine m’est acquise. Mais il me reste encore deux points à approfondir. Le premier c’est sa relation autoritaire avec son mari, j’ai bien envie de m’amusez avec les deux en même temps. Le deuxième s’est de savoir ce que trame ma salope d’ex avec ma future belle-fille.
A suivre...
Je lui souris pour lui faire comprendre que j’ai bien saisi son sous-entendu. Reprenant mon véhicule, je sais que maintenant la soumission de Martine m’est acquise. Mais il me reste encore deux points à approfondir. Le premier c’est sa relation autoritaire avec son mari, j’ai bien envie de m’amusez avec les deux en même temps. Le deuxième s’est de savoir ce que trame ma salope d’ex avec ma future belle-fille.
A suivre...
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