Récit de Realbluetit (2013)
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La curieuse Laurence suit les ordres de l'inconnu.
L'inconnu a réussi à créer une emprise sur moi. Me sera t'il possible de m'en défaire ? Mais le souhaité-je vraiment ? Qui suis-je vraiment ?
Déjà deux jours sans aucune nouvelle. Dans ma tête je me ressassais ce que j'avais osé faire et me mettais à imaginer ce qu'il pourrait encore exiger. Pour ne pas exploser, je partis avec mon fils dans le parc. Jouant avec lui, je surpris quelques hommes qui m'observaient de manière insistante. D'un coup je me souvins que cela faisait 3 jours que je m'étais passée de culotte. Ils devaient sûrement chercher la trace de mon string en vain. En tout cas j'aurais cru que ce manque aurait été plus gênant, mais comme pour le reste j'aimais finalement cela, même si je considérais que cela devait rester une exception.
Le week-end passé, je pris finalement l'option de porter l'un des deux strings en ma possession, et je me promis de racheter des dessous si mon inconnu ne réapparaissait pas. Dans l'après-midi du lundi, j'eus enfin le droit à son appel.
Après m'avoir saluée et demandée si le fait de ne pas porter de dessous m'excitait, ce à quoi je répondis d'une faible voix oui, il en vint au planning de ma soirée.
- Laurence, souhaites tu toujours me rencontrer ?
- Oui.
- Je souhaite conserver mon anonymat pour le moment. Aussi, l'un de nous deux devra être masqué. J'ai décidé que ce serait toi. Es-tu d'accord ?
Bien qu'anxieuse, j'acceptai sa requête.
- Ton fils est-il chez toi ?
- Non, il est chez son père.
- C'est bien. Alors, pour rester incognito, tu iras au sex-shop XXXXX situé rue Untel. Tu achèteras une cagoule en cuir, un godemiché, de la vaseline, un plug et des boules de Geisha. Une fois rentrée chez toi, tu appelleras mon portable. Tu auras alors dix minutes pour te mettre en string ficelle, porte-jarretelles, et mettre ta cagoule. Auparavant tu penseras à entrouvrir ta porte d'entrée. As-tu bien compris ?
- Oui Monsieur.
- Ta position d'attente sera à genou buste bien droit. As-tu toujours envie de me voir ?
- Oui monsieur.
- C'est bien, nous allons voir ce que tu as dans le ventre.
Un mélange d'anxiété mais aussi d'excitation restait ancré dans ma tête, jusqu'au moment où je me trouvai face au dit sex-shop. Je rentrai donc pour la première fois dans un tel magasin. Un peu perdu et honteuse j'essayai de me débrouiller par moi-même. Mais comment faire quand vous ne connaissez pas certains ustensiles. C'est donc déconfite que je demandai de l'aide au vendeur. Le jeune homme avec un petit sourire en coin m'aida donc à trouver les objets désirés. Néanmoins, il me posa des questions plutôt directes auquel j'étais incapable de répondre du fait que je ne connaissais pas mon partenaire. Cela finit de me faire bafouer devant mon vendeur et donc de me rabaisser.
Rentrée chez moi, j'appelai mon inconnu et me préparai comme demandé. Et cinq minutes plus tard, j'entendis enfin ses pas. Comment était-il ? Je ne pensais même pas au risque que j'encourais de laisser cet homme qui m'avait fait chanter chez moi et dans cette tenue. J'étais folle de faire ça !!!
Tout d'un coup, mon inconnu me parla :
- Veux tu toujours poursuivre cette relation ?
- Si vous ne me faites aucun mal, je veux bien.
- Je ne te ferais aucun mal physique, mais moralement je risque de te brusquer car je pense que tu ne te connais pas. Alors désires-tu prolonger cette aventure ?
- Je le veux bien Monsieur ??
- Patience, tu connaîtras un jour mon prénom. Mais pour l'instant nous allons débuter cette soirée et jouer au jeu Action & Vérité.
- D'accord.
- 1ere Vérité : aimes tu te caresser ?
- Oui.
- 1ère action alors !!!
Le passage à l'action me saisit d'un mouvement de recul que je maîtrisai du mieux que je pus. Sa main s'était posée sur mon épaule et commençait à descendre sur mon sein. Il le soupesa puis en titilla la pointe. Son autre main rejoignit alors le sein libre pour lui appliquer le même massage. Mes seins commençaient à durcir et mon sexe humidifiait le mince tissu qui le protégeait. Ma respiration devenait plus forte.
Il dut s'en rendre compte, c'est alors qu'il entama la descente de ses mains sur mon ventre jusqu'à la lisière de mon string. Je penchai mon buste afin de ne pas perdre ses deux mains. Mais d'un coup une des deux mains disparût pour réapparaître en bas de mes reins. C'est alors qu'il prît la ficelle de mon string par devant et par derrière puis m'appliqua un langoureux va et vient. J'haletai désormais et fit mouvoir mon corps en fonction du mouvement. Mon sexe était tellement trempé que le coulissement agaçait merveilleusement mon clitoris. J'étais au bord de l'extase, lorsqu'il s'interrompit.
- 2eme question : As-tu déjà pratiqué des fellations ?
- Oui mais je refuse d'avaler.
- Il faudra que cela change sinon cela ne pourra pas marcher entre nous. Montre-moi comment tu te débrouilles alors.
Je sentis immédiatement au bord de mes lèvres un pénis d'un bon diamètre qui poursuivit sa croissance dans ma bouche. Je tentai de m'aider de mes mains mais mon interlocuteur m'en interdit l'utilisation. Il me demanda de le lécher sur toute la surface puis de l'avaler dans sa globalité jusqu'à son pubis. J'engloutis son membre et me lançai dans des mouvements de va et vient rapides puis lents. Après quelques minutes j'aspirai son gland et fît circuler ma langue tout autour de son pénis décalotté et pointant fièrement vers mon front. Je repris ensuite la masturbation avec ma bouche. C'est alors qu'il me bloqua, son sexe à moitié dans ma bouche. Je sentis les soubresauts de son sexe puis enfin un chaud jet envahir ma gorge.
Il me demanda alors d'avaler ce que je fis avec appréhension, et surtout pour ne pas le décevoir. Je découvris pour la première fois le goût salé de cette crème. Je ne trouvais pas cela dégoûtant, plutôt agréable même. Ce qui m'embarrassait auparavant, c'était la position dégradante qu'entraînait la fellation. Mais cette barrière s'était levée ce soir là... Encore une.
- 3eme question : Pratiques tu la sodomie ?
- Non !!!
- Il n'y aura pas d'action alors, même si je pense que tu y viendras un de ces jours.
- 4eme question : As-tu déjà pratiquée l'amour en extérieur ? Si non, où voudrais-tu le faire ?
- Non, mais la forêt avec vous me dirait bien.
- 5eme question : Voudrais tu que je te pénètre maintenant ?
- Oui Monsieur.
Il me fît me coucher, descendit mon string, et écarta mes jambes. Mais au lieu de recevoir son sexe, c'est sa langue qui s'immisça entre mes lèvres. Passive, je commençai à tressauter. Il insinua alors deux doigts dans mon sexe qu'il bougea de façon ample, les faisant ressortir pour mieux les insérer après.
Je n'en pouvais plus, j'allais défaillir. Il s'arrêta et c'est alors que je sentis pour la première fois son sexe au bord de mon vagin. Chaud et raide à nouveau, il l'introduisit sans aucun problème.
Il me pénétra doucement mais bien profondément. Mon corps alla à sa rencontre pour être honnête. Après deux trois minutes il accéléra la cadence, échauffant mon vagin et mes sens. C'est alors qu'il me prit les jambes qu'il apposa sur ses épaules. La pénétration en fût que plus profonde et merveilleuse. Il en profita même pour me donner quelques petites claques sur les fesses que je ne réprimai pas. Bien au contraire ça accroissait mon excitation.
L'orgasme arriva alors qu'il me caressait la raie des fesses avec sa main insistant sur l'œillet sans toutefois l'ouvrir. Quelques secondes plus tard, je sentis les soubresauts de son pénis dans mon vagin sans recevoir le chaud liquide... il portait un préservatif.
Après 5 minutes de silence et de repos, il me dit :
- Merci Laurence pour ce jeu. Demain tu iras de nouveau faire des courses. Je t'ai laissé sur ta table ce que je souhaite que tu achètes. De plus, demain, tu iras au travail en jupe plissée avec des porte-jarretelles, avec un string. Quand au haut tu mettras un chemisier légèrement transparent sans soutien-gorge. Mais le plus important, c'est que tu devras passer toute la journée avec les boules de Geisha dans ton vagin. D'accord ?
- Euh oui.
- Pour me prouver que tu auras réalisé ta punition je te donne la caméra. Tu dois avec réaliser 5 scènes de 5 minutes chacune me prouvant que tu portes tous ce que je t'ai dit auparavant. Une doit se faire chez toi demain matin, deux au bureau, une dans les magasins et une dans la rue.
- Mais je n'y arriverais pas ???
- Tu as déjà su te déshabiller dans un parc, alors tu réussiras encore une fois.
- D'accord Monsieur.
- Bonne soirée Laurence. Avant d'enlever ta cagoule tu dois patienter 5 minutes en comptant à voix haute.
Sans savoir à quel moment il avait disparu. Je pris la lettre sur la table et vis, avec l'argent liquide, une liste de vêtements à acheter : Une jupe portefeuille, une jupe plissée écossaise, une jupe moulante blanche, et une minijupe fendue derrière, une robe droite à bouton sur le devant, une robe de soirée transparente noire, ne robe à bretelles en mousseline. Dessous : une guêpière, 2 porte-jarretelles dont un blanc ; des bas résilles, coutures (5 différents au minimum). Culottes : Strings et culottes fendues. Ton choix sera jugé en conséquence. Un maillot de bain blanc mono pièce et un bikini légèrement transparent.
Autant je comprenais pour les 4 premiers points mais pour le dernier je redoutais ce qu'il allait me demander. J'étais néanmoins impatiente de l'apprendre.
Je partis tôt le matin afin de faire les courses vestimentaires en fin d'après-midi. Je pris donc la caméra et au moment de m'habiller comme prescrit par mon amant j'allumai la camera. Je réalisai un strip-tease inversé mettant mes bas avec la délicatesse d'une femme voulant séduire cet homme invisible. Le chemisier mis, je pris même la liberté de laisser quelques boutons ouverts afin mettre en avant la naissance de mes seins. Il suffisait que je me penche pour qu'on voit bien au-delà de la naissance.
Le moment crucial fût l'intromission de la première boule dans mon vagin. Le contact du plastique froid me fît tressaillir mais je poursuivis et poussai les trois boules restantes. Je remontai mon string pour empêcher toute fuite de mon nouvel hôte.
C'est alors que je commençai à marcher. Après 20 mètres je m'appuyai contre le mur de l'entrée. Chaque pas faisait mouvoir et s'entrechoquer ces grosses billes dans mon utérus, rendant mes pas difficiles et ma démarche gauche. Certes la torture était divine mais comment allais-je faire pour travailler avec ça. Mon sexe coulait abondamment et je me demandais s'il ne fallait pas que je prenne une culotte de rechange. C'est ce que je fis.
Après deux heures de présence en moi, mon corps, bien qu'en émoi, s'habitua. Toutefois je pris la décision de changer de string dans les toilettes de ma société. Je pris la caméra avec moi et montrai en détail sous les yeux de cet observateur imperturbable mon dessous trempé. Quant à mes seins, point besoin de les sortir du fin tissu de mon chemisier, ils dardaient fièrement au milieu de ma poitrine. De retour au bureau je reçus un email de mon inconnu me demandant de relever ma jupe avant de m'asseoir, afin que mes fesses se trouvent en contact avec le tissu rêche de mon fauteuil.
J'avais réussi à dompter les boules mais les fesses sur le siège ce n'était plus possible. Telle une automate je passai ma main sur le haut de ma cuisse sentant le haut de mon porte-jarretelles puis je la plongeai dans mon entrejambe caressant ma chatte à travers les fins tissus de mon string et de ma jupe.
Cinq minutes plus tard, je repartis aux toilettes d'un pas rapide pour finir de me caresser. Pour parvenir à l'orgasme, je me mis à jouer à faire rentrer et sortir une des boules. Le résultat ne se fît pas attendre, et c'est en me mordant le poing que je pris mon pied.
Une fois calmée et ayant remis de l'ordre dans mes affaires je poursuivis la journée comme si de rien était. J'avais néanmoins l'impression que la gente masculine me regardait avec plus d'insistance que deux semaines auparavant, ce qui me fît rougir sur l'instant mais me rassura sur mes capacités à plaire. Quant à mes seins, bien que d'une taille normale, ils attiraient l'œil en raison de la liberté de mouvement que j'avais dû leur octroyer aujourd'hui.
Afin de réussir le défi, je devais maintenant réaliser ma troisième scène. Pour être tranquille, je pris la décision de sauter le repas. En l'absence de mes collègues je plaçai donc la caméra par terre en position verticale. Je m'installai alors au dessus et remontai ma jupe afin de laisser la lumière dévoiler mes bas tendus par le porte-jarretelles. Enfin je la soulevai au dessus de mes hanches afin d'exhiber mon string. La ficelle permettant d'extraire l'instrument serait la preuve que je le conservais bien au chaud. Pour atteindre les cinq minutes requises je fît mouvoir mon bassin et libérant une de mes mains je massai langoureusement mon clitoris faisant même rentrer le string entre mes lèvres pour intensifier le plaisir. J'étais certaine que ce plan fixe récolterait non pas une palme mais l'approbation de mon spectateur.
Je partis du bureau à 16 heures pile et rejoignis une galerie commerciale en banlieue de paris. Je ne savais que faire par rapport à l'exhibition dans la rue, je pris donc la liberté de me filmer dans le métro. Assise sans passager à mes côtés je positionnai la caméra entre mes jambes espérant que le tissu laisserait passer suffisamment de lumière pour montrer mes sous-vêtements et mon bas ventre. En tout cas j'étais surexcitée et je ne pensais qu'au plaisir que pourrait prendre mon amant en visualisant mes excentricités.
La dernière représentation vidéo se déroula comme vous devez bien vous en douter dans une cabine d'essayage où j'exposai huit minutes durant les qualités érotiques des vêtements passés. A peine avais-je choisi mes robes, que je reçus un texto précisant le style de maillots de bains que je devais acheter. En clair, le une pièce devait être une taille plus petite que ma taille, et le bikini une taille au-dessus. Qu'avait-il manigancé encore ?
Je suivis les indications et choisis les deux ensembles de bain. Me dirigeant ensuite dans un magasin spécialisé dans les dessous, un autre SMS tomba sur mon portable. Il me demandait où j'étais et ce que j'allais y acheter. Je répondis et trente secondes plus tard un deuxième message m'intima l'ordre de ne pas fermer totalement le rideau afin que quelques voyeurs puissent en profiter.
Je respectai l'ordre et durant quinze minutes exhibai mes fesses, mon sexe en chaleur, et mes seins pointant de manière obscène, à qui oserait regarder. En tout cas, un l'avait bien fait puisque mon inconnu me remercia du spectacle en accompagnant son texto d'une photo de moi en guêpière blanche.
Cela me fît sourire et je poursuivis mes courses pour finir par la robe de mousseline. Il y en avait une aux tons noires et bordeaux tellement transparentes qu'elle comportait en dessous une partie noire évitant de montrer l'intimité de la femme qui la porterait. J'imaginai déjà mon homme me demander d'ôter cette partie afin de faire admirer mes dessous. Je l'achetai alors sur le champ.
J'étais épuisée par cette journée, mais heureuse par mes prouesses. Mon amant m'appela une heure plus tard.
- Comment s'est passée ta journée Laurence ?
- Bien, mais épuisante. J'ai fait tout ce que vous m'avez demandé.
- Nous allons voir cela. Au préalable, as-tu aimé les boules de geisha ?
- Oui mais c'est dur de ne pas y penser. J'ai eu beaucoup de mal à me concentrer aujourd'hui.
- Tu peux les enlever maintenant, mais ta journée n'est pas pour autant terminée.
- Vous voulez que je vous remette l'appareil vidéo ?
- Oui. Pour ce faire tu iras la déposer sous la poubelle comme d'habitude. Et tu iras uniquement vêtue de ta guêpière, des tes bas résilles, et de talons aiguilles. Je ne veux pas que tu portes de culotte.
- Oui.
- En même temps tu en profiteras pour me donner les clés de chez toi, car désormais tu es à moi.
- Mais je...
- Tu refuses ??? Tu sais ce que cela signifie...
- Euh oui... j'accepte alors.
- Dans dix minutes en bas, bonne balade.
Je descendis l'escalier le cœur battant. Vérifiant qu'il n'y avait aucun bruit j'ouvris la porte puis la refermai doucement. Tout d'un coup une voix de derrière la porte me fît sursauter, j'étais prise au piège moi en dessous affriolant avec un de mes voisins. Heureusement c'était lui, je me retournai prestement mais il portait un masque, et m'obligea sur le champ à tourner la tête pour ne pas le regarder.
Il me fît ensuite me pencher contre le mur, et m'écarta les jambes. Sans aucune préparation, à l'inverse de la première fois, il me pénétra avec son sexe déjà bien ferme. Mon vagin avait de toute façon était préparé toute la journée, et c'est sans difficulté que son membre remplaça les boules de geisha. Il me pénétra doucement puis activa le rythme avec des petits va et vient et de temps en temps il m'empalait complètement sur son pénis tendu, A nouveau j'eus le droit à des petites claques sur mes globes fessiers.
Puis ses mains se sont plaquées contre mes seins qui ne cessaient de se ballotter sous ces coups de butoir. Il me les malaxa, puis se mit à tirer les pointes ce qui m'électrisa totalement. J'étais au bord de l'orgasme, mais il semblait vouloir prolonger l'instant car son va et vient ralentit.
C'est alors qu'il fît courir un doigt entre mon vagin et mon anus ce qui eut pour effet d'étaler mes sécrétions jusqu'au haut de ma raie. Il se remit tout comme la première fois à masser mon œillet de mouvements circulaires, mais cette fois ci, il s'enhardit et l'enfonça doucement mais profondément dans mon petit trou. La pénétration n'était pas particulièrement jouissive mais en tout cas elle n'était pas douloureuse comme j'aurais pu le croire.
Il se mit alors à accélérer ses pénétrations du côté de mon vagin. Son sexe s'enfournait dans mon vagin vigoureusement puis ressortait presque entièrement. Il combina cela d'une masturbation de mon anus avec son doigt. La scène jadis humiliante et dégradante que je refusais de pratiquer était aujourd'hui un moment de plaisir que j'exprimai au travers de oui!!! étouffés.
Il sortit de mon vagin et après avoir libéré son sexe du préservatif me demanda de la masturber. Avec les dernières forces qui me restaient j'imprimai un mouvement de va et vient à son prépuce. Le sperme arrosa copieusement mes fesses et le haut de mes bas.
Il me demanda alors de lui remettre la caméra puis les clés. Et d'un bisou tendre dans le coup, il me susurra de remonter immédiatement comme cela, prenant le risque de montrer à un de mes voisins que j'avais pris du plaisir dans les parties communes de l'immeuble.
Certes toujours anxieuse je pris l'escalier le minou et les seins à l'air. Je me sentais néanmoins bien et la journée que je venais de passer m'avait envoûtée. Je n'attendais plus qu'une chose poursuivre cette aventure.
La suite ne se fît pas attendre, puisque le lendemain matin, il m'appela pour m'ordonner de prendre mon maillot deux pièces et un serviette car j'allais faire un peu de sport. A 18H00 comme prévu je me retrouvais dans la piscine XXXXX.
Une fois changée je commençai à nager la brasse. Je compris bien vite pourquoi une taille au dessus. Avec les mouvements, les bâillements de mon maillot étaient conséquents. On pouvait donc sous l'eau admirer sans peine mon sexe et mes seins.
Ayant oubliée mes lunettes, il m'était de plus impossible de mettre la tête sous l'eau pour empêcher les moins téméraires d'admirer le spectacle. Je piquai un fard pensant aux multiples regards masculins centrés sur mes seins et ma chatte exposée.
Mais le jeu n'était pas fini car comme l'avait stipulé mon inconnu je dus faire du dos crawlé. A plusieurs reprises je sentis mon maillot descendre le long de mes cuisses, dévoilant au gens du dessus une partie de mes poils pubiens et aux «plongeurs » mes fesses. Heureusement que l'eau cachait mon état d'excitation car mon sexe était bel et bien trempé pour d'autres motifs.
Après une demi-heure de cette exhibition, j'allai me changer. Comme stipulé, je sortis de la piscine vêtue de la jupe portefeuille et de bas, marchant à grand pas pour laisser apercevoir aux amateurs de dessous mes jambes gainées avec l'accroche du porte-jarretelles pour limite. Quant à la culotte fendue que j'avais due acheter dans un sex-shop, elle surlignait mes lèvres roses avec indécence. La jupe était toutefois là pour cacher cet aspect de ma « personnalité ».
Je ne savais pas où il trouvait tant d'imagination mais en tout cas je me prenais au jeu et j'aimais cela. La remise des clés n'en devenait pour moi que plus logique. C'est sur ces méditations que mon portable retentit. C'était lui et je pressentais que la soirée n'était pas encore terminée.
A suivre...
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