Traduction d’un texte de jacobmerriweather.
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La mère et la fille sont mises au courant.
La porte du dressing de Marianne s’ouvre et Ben se tient au-dessus d’elle, le contour de sa bite bien visible dans son pantalon.
- As-tu apprécié le spectacle ? Demande-t-il en se penchant sur elle pour lui retirer la boule dans sa bouche, la jeter sur le côté et s’attaquer au nœud qui lui tient les mains dans le dos.
- Uh uh… Acquiesce-t-elle, en gardant la bouche ouverte et la langue tirée.
- Je pense que Anne est en train de devenir une vraie petite pute, n’est-ce pas ? Demande Ben, moqueur.
Comme elle ne répond pas immédiatement, il se redresse et la regarde, étonné.
- Qu’est-ce que tu fais ? Questionne-t-il.
Marianne sourit en se léchant les lèvres.
- Mon Maître n’a pas joui dans ma salope de fille. Donc je voulais être prête pour que vous puissiez utiliser ma gorge pour vous satisfaire, Monsieur.
De nouveau elle ouvre la bouche en grand. Ben semble un peu surpris. Il est pris au dépourvu par son obéissance et sa soumission. Il est tellement habitué à la regarder supplier pour qu’il ne la dégrade pas alors qu’elle se force à se soumettre comme une esclave que sa demande claire de lui baiser la bouche l’ébranle.
- Eh bien oui, tu as raison ! Grogne-t-il.
Il sort sa bite bien raide et la pousse directement dans sa bouche. Avec les bras et les jambes toujours liés, Marianne ne peut offrir de résistance. Ben gémit alors que sa gorge chaude et humide avale la totalité de son sexe. Elle a des haut-le-cœur et elle étouffe, mais elle ne bouge pas. Les yeux écarquillés, elle se contente de le regarder alors qu’il la baise, ses couilles lui tapotant le menton encore et encore.
Puis il se retire et caresse sa bite alors qu’elle prend une grande inspiration. Puis dès qu’elle ouvre la bouche à nouveau, il plonge sa bite, ses couilles se contactant et il décharge jet après jet son foutre dans sa gorge. Ben apprécie les bruits de gargouillement. Il la regarde lutter pour garder son sperme jusqu’à ce qu’il la libère et s’appuie contre le cadre de la porte.
Marianne a réalisé en le regardant baiser Anne qu’elle ne pourrait jamais rivaliser avec sa fille pour son affection. Elle ne pourrait jamais espérer qu’il la traite comme elle. Mais quand elle a vu sa fille lutter pour prendre sa grosse bite dans son cul ou dans sa gorge, Marianne s’est rendu compte qu’elle n’avait peut-être pas besoin de rivaliser pour l’affection du garçon. Elle pouvait prouver sa valeur, non pas comme une petite amie, mais simplement comme des trous à baiser, comme son esclave, sa pute.
- Est-ce que Monsieur aimerait m’enculer aussi ? Demande-t-elle après avoir repris son souffle.
Puis elle continue :
- je ne porterai pas de vêtements au lit. Mon cul sera à votre disposition si vous avez besoin de m’utiliser comme une vulgaire putain.
Ben rigole, toujours choqué par cette totale soumission. Il se penche et reprend le dénouage des liens.
- Oui salope, je pense que c’est une très bonne idée !
- Merci Monsieur ! Je vous attendrai ! Dit-elle en embrassant son cou exposé.
*******
- Pourquoi je ne peux pas sortir ce soir ? Crie Anne en fixant sa mère.
- Demain tu as école ! Répond Marianne en se frottant le bras et en détournent les yeux.
Cela fait déjà quelques semaines qu’elle a vu sa fille séduite et transformée en esclave sexuelle, en pute comme elle.
- Ça n’a jamais posé de problèmes avant ! Gémit Anne.
Marianne reste ferme.
- Eh bien ce soir c’est comme ça !
Elle hausse les épaules, tourne le dos à sa fille et s’éloigne.
- Bon sang, qu’est-ce qui ne va pas chez toi ces derniers temps ?
Anne hurle presque, les poings serrés, mais Marianne disparaît dans les escaliers.
La mère de famille soupire une fois seule dans sa chambre. Elle ferme la porte et s’assoit sur son lit. Elle se penche en arrière en sortant son téléphone.
- Bonjour Monsieur, j’ai fait ce que vous m’avez dit ! Dit-elle à Ben dès qu’il a décroché.
- Parfait, tu seras récompensée pour être une petite esclave aussi obéissante. Répond le garçon.
Le cœur de Marianne se remplit de fierté et elle rougit.
- Merci Monsieur ! Sourit-elle e raccrochant.
Marianne sait qu’elle n’est pas une femme super intelligente, mais il ne faut pas être un génie pour comprendre ce qui se passe. Elle agit suivant les instructions de Ben, augmentant les restrictions pour Anne, la surveillant, la forçant à rentrer plus tôt, la harcelant constamment sur ses tenues.
Et aujourd’hui, Anne la déteste.
D’une certaine façon, Marianne doit admettre que l’idée est brillante. Sa fille ne sait toujours pas qu’elle est autant soumise qu’elle au jeune garçon. Mais elle se doute que ça ne va pas durer longtemps. Elle ne sait pas exactement comment et où Ben lui ferait savoir, mais elle sait que ça va venir bientôt ;
Marianne sourit et soulève sa robe. Sa chatte nue dégouline, mais elle sait qu’elle ne doit pas se toucher sans la permission de son Maître. Son téléphone bipe. Elle vient de recevoir un message :
«Mets ton short le plus sexy ainsi que le débardeur qui contient à peine tes seins ».
« Oui Monsieur » Envoie-t-elle en voyant très bien la tenue dont il parle.
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- Oh maman, qu’est-ce que c’est que ça ? Demande Anne alors que Marianne traverse le salon.
La femme mature porte un short en élasthanne qui ne cache rien du gros cul rond qui rebondit et tremble alors qu’elle marche. Son débardeur laisse voir ses seins sur les côtés et ne cache pas son nombril.
- Qu’est-ce qu’il y a ma chérie ? Demande Marianne.
Sa fille secoue la tête.
- Comment peux-tu être en colère contre moi et mes tenues alors que tu te promènes ainsi ? Lance-t-elle.
Marianne hausse les épaules.
- Eh bien, je me mets à l’aise pour préparer le dîner. Ce n’est pas comme si je sortais dehors.
- Oui, mais comme tu ne m’as pas laissé sortir, j’ai invité un ami à dîner. Mon… Euhhh… Ben arrive dans un petit moment. Dit Anne en rougissant et en détournant les yeux.
- Hein ? Quoi ? Demande Marianne en levant un sourcil tandis que sa fille refuse de la regarder.
- Vous deux, vous passez beaucoup de temps ensemble.
- Oui ! Et il vient à la maison. Alors mets autre chose.
- Hé bien, ça ne me dérange pas. Sourit la mère en haussant les épaules et en se dirigeant vers la cuisine.
Anne grogne, se penche en arrière, puis elle sourit et elle se précipite dans sa chambre. Quand elle redescend, elle porte la robe la plus courte qu’elle peut avoir, un petit slip rose qui cache à peine son cul et la poitrine sans soutien-gorge pour que ces tétons durcissent et pointent sous le tissu fin. Elle a mis des faux cils, un fard à paupières sombre et un rouge à lèvre très vif. Elle a l’air d’être prête à sortir en boite plutôt que de dîner à la maison. Elle sourit diaboliquement en arrivant dans la cuisine. Elle prend un verre et le remplit d’eau froide.
- Anne, pourquoi es-tu habillée comme ça ? La réprimande Marianne dès qu’elle voit l’accoutrement de sa fille.
- Quoi ? Ce n’est pas comme si je sortais ce soir !
Anne sourit et le visage de Marianne devient rouge de jalousie alors qu’elle regarde sa fille habillée en salope, plus mince, plus jeune et plus belle qu’elle.
- Et Ben ? Il vient bien, non ? Argumente Marianne.
Sa fille se contente de hausser les épaules. Elle sourit malicieusement et dit :
- Oh, je suis sûre que ça ne le dérangera pas.
Marianne soupire, vaincue. Soudain la sonnerie de la porte d’entrée retentit.
- Oh ça doit être lui ! Dit la jeune fille en courant vers la porte.
Elle sourit quand elle le voit. Elle se jette dans ses bras et glousse quand il la serre contre lui.
- Bonjour Monsieur ! Murmure-t-elle en lui embrassant la joue encore et encore et en frottant son visage contre sa poitrine.
- Bonjour chaton ! Tu es très belle ! Dit Ben en passant ses doigts dans ses cheveux.
- Ouais, ce n’est pas ce que pense ma mère. Gémit Anne.
Puis elle ajoute :
- Viens, le dîner est presque prêt.
- Ça sent bon ! Sourit Ben qui se laisse conduire jusqu’à la salle à manger.
- Oh Ben, je suis ravie de te voir ! Dit Marianne.
- Moi aussi Marianne ! Répond le garçon.
La mère de famille rougit en se penchant pour mettre les couverts et afficher son décolleté.
- Maman ! Crie Anne.
Sa mère se retourne et fait tomber « accidentellement un couteau par terre.
- Oui ma chérie ? Demande-t-elle en se penchant et en exhibant son gros cul bien rond devant Ben.
- Grrr… Rien !
Anne grimace avant de se précipiter pour aller chercher le dîner dans la cuisine. Elle et sa mère se relaient pour ramener les plats de nourriture et des boissons.
La table dressée, la jeune fille saute sur les genoux de Ben et enroule ses deux bras autour de son cou pour l’attirer vers elle. Ainsi sa mini-jupe remonte et son cul devient bien visible alors qu’elle embrasse le garçon. Puis elle se redresse en gloussant et regarde fixement sa mère en se dirigeant vers la salle de bain.
- Je reviens tout de suite ! Dit-elle.
Marianne et Ben sont assis. Ils se regardent :
- Tu es très bien. Je pense qu’elle est prête. Dit le garçon.
- Je ferai n’importe quoi pour vous Monsieur ! Répond Marianne en souriant.
- Bien ! Sous la table alors !
Elle hoche la tête et se mord les lèvres.
- Oui Monsieur !
Quand elle revient dans la pièce, Anne regarde autour d’elle avec colère.
- Où est ma mère ? Demande-t-elle.
Ben hausse les épaules et prend une bouchée dans son assiette. Il dit :
- Oh, elle est sortie en trombe juste après ton départ !
- D’accord, depuis quelque temps c’est une vraie garce.
Anne hausse les épaules, s’assoit en face du garçon et commence à manger. En continuant son repas et sans lever les yeux de son assiette, Ben dit alors négligemment :
- Ouais ? Peut-être qu’on devrait la punir !
Le visage de la jeune fille se réjouit de cette éventualité. Elle dit :
- Putain oui s’il te plaît ! J’adorerais te voir la baiser dans tous les sens pendant que je la punis. Je ne sais pas pourquoi elle est si désagréable en ce moment.
- Hmmmmm. C’est sûrement que maintenant elle est jalouse que tu sois ma nouvelle esclave salope. Comme je m’occupe beaucoup de toi, elle est frustrée que je la néglige.
La mâchoire de la jeune fille tombe à ces mots. Sous la table, Marianne rougit alors qu’elle s’applique sur la bite du jeune garçon.
- Peux-tu me passer le sel ? Demande Ben en souriant.
Anne le regarde pendant de longues secondes puis elle attrape la salière pour lui donner. Elle balbutie :
- Attends ! Quoi ?
Ben continue tranquillement de manger.
- Non c’est pas possible ! Ma putain de mère est trop prude pour faire ça. Elle n’est pas comme ça ! Dit Anne en secouant la tête et en riant presque.
- Qui ? Ta mère ? Elle est plus qu’une esclave, c’est une petite pute qui ferait n’importe quoi pour ma bite, même s’il lui faut rivaliser avec sa fille.
Ben dit tout cela d’un ton calme en levant à peine les yeux de la nourriture dans son assiette pour voir toutes couleurs disparaître du visage de la jeune fille.
- Non, ce n’est pas possible. Chuchote à peine Anne.
- Bien sûr que si. Et tu as raison cependant. Nous devrions la punir pour être une garce avec toi. Ce n’est pas de ta faute si tu es plus qu’une soumise pour moi. Tu es la prunelle de mes yeux, la femme à laquelle mon cœur appartient.
Anne rougit sous ce flot de révélations. Elle est surprise par l’aveu de Ben de ses vrais sentiments pour elle. Ses yeux se remplissent de larmes et elle le regarde avec amour.
- C’est vrai ? Tu le penses vraiment ? Gémit-elle.
Ben hoche la tête.
- Et tu es sérieux ? Ma mère est vraiment une pute, ta pute ? Demande-t-elle encore.
Ben hoche la tête de nouveau avant de dire :
- En ce moment, elle est sous la table en train de me sucer.
Il rit alors que Anne penche la tête pour voir sous la table. Elle aperçoit le cul de sa mère et l’arrière de sa tête qui bouge de haut en bas sur la queue du garçon.
- Ben ? Je… Je… Balbutie Anne, excitée de voir sa mère faire une fellation.
- Viens ici ! Lui commande le garçon en posant sa fourchette et en reculant sa chaise.
Anne se lève lentement et s’approche de lui. Ses jambes tremblent alors qu’elle tourne autour de la table. Le visage de sa mère apparaît. Celle-ci ne lui jette qu’un bref coup d’œil avant de se remettre à sucer Ben.
- Assis-toi sur mes genoux, ton dos contre ma poitrine ! Dit le jeune garçon.
Elle lève docilement une jambe, la passe par-dessus sa mère et s’assoit. Sa chatte touche presque la queue dure que sa mère suce avec application.
- Dis à Anne que tu es désolé d’être une salope aussi jalouse. Ordonne Ben.
Marianne arrête de sucer la bite juste assez longtemps pour prononcer ces mots avant de se remettre au travail.
- Je suis désolé d’être une salope aussi jalouse !
- Tu ne pouvais pas t’empêcher hein salope ? En me voyant m’occuper d’elle et la traiter comme une princesse alors que je te négligeais. Dit Ben.
- Je ne pouvais pas ! Admet Marianne en hochant la tête et en bavant sur sa bite.
- Je ne pouvais m’empêcher d’être jalouse en étant la deuxième. Ajoute-t-elle.
Ben rit, lui gifle le visage et saisit ses cheveux à pleine main pour la forcer à redescendre sa bouche sur sa queue.
- La deuxième ? Tu ne peux même pas te comparer à ma petite esclave. Tu n’es que trois trous et une paire de nichons. Dit le garçon en embrassant le cou de Anne.
-Mmmmm. Acquiesce Marianne.
Tout en gardant le sexe dans sa bouche, elle lève les yeux vers la chatte de sa fille. Elle voit que celle-ci mouille et que son jus coule sur le sexe de Ben et se mélange à sa bave.
- Mets ma bite dans la chatte de ta fille ! Ordonne Ben.
A contrecœur, la mère de famille hoche la tête, retire la bite de sa bouche et la saisit avec une main. Ben attrape les jambes d’Anne et la soulève alors que Marianne positionne sa bite sous sa chatte et la tient alors que le garçon fait descendre la jeune fille.
- Oooohh ! Ohhh Ben ! Gémit Anne quand il commence à la faire coulisser sur sa queue.
- Veux-tu que ta maman te lèche la chatte pendant que je te baise ? Demande Ben.
La fille baisse les yeux sur sa mère.
- Supplie-la de pouvoir lécher son clitoris ! Exige-t-il.
Anne hoche la tête.
- S’il te plaît Anne, laisse-moi te servir ! Laisse-moi lécher ton petit clitoris ! S’il te plaît, laisse-moi te faire plaisir pendant que la bite de mon Maître te baise ! Supplie Marianne.
- Oui salope ! Vas-y, lèche-moi ! Répond Anne.
Elle regarde sa propre mère se précipiter sur sa chatte. Elle se met à titiller son clitoris avec sa langue, puis elle lèche partout, la chatte et la bite qui plonge profondément dans le sexe serré de la jeune fille.
- Ohhh… Ohhhh… Gémit Anne.
- C’est bon chaton, tu peux jouir ! Dit Ben.
Elle se couvre la bouche en explosant. Elle gémit alors que sa chatte se vide de son jus sur la bite du garçon. Marianne lèche tout pendant que sa fille jouit.
- Ta mère n’est qu’une pute pour moi ! Chuchote Ben à l’oreille de la jeune fille frissonnante et tremblante.
- Tu es mon chaton, tu es ma princesse. Mon cœur t’appartient, et tout autre femme qui recevra ma bite ne sera jamais en concurrence avec toi.
Le cœur d’Anne accélère alors que le garçon lui offre son cœur, son amour et ses louanges.
- Tu m’appartiens et je t’appartiens. Murmure-t-il.
Anne jouit une nouvelle fois en gémissant alors que sa mère continue à lécher sa chatte et sucer son jus.
- Ohhhh Monsieur ! Ohhhh Ben !
La jeune fille pleure d’amour alors qu’elle s’accroche à son cou, ses ongles s’enfonçant dans sa peau.
Ben repousse Marianne. Il attrape Anne pour pouvoir la retourner. Elle s’accroche à lui alors qu’il la porte dans le salon, Marianne à quatre pattes derrière eux.
Le couple s’effondre sur le canapé et immédiatement Anne saisit la bite dure de Ben et l’enfonce dans sa petite chatte humide. Elle gémit en le chevauchant vigoureusement, et en faisant pleuvoir des baisers doux et larmoyants sur son cou et son visage.
- Oui ! Oui ! Merci Monsieur ! Merci Monsieur !
Elle gémit bruyamment alors qu’un orgasme violent la traverse. Puis elle s’effondre sur le canapé, la bite dure sort de sa chatte. Elle se blottit à côté du garçon et berce son corps contre le sien tout en reprenant son souffle.
Lentement elle relève la tête pour regarder Ben qui la tient dans ses bras. Sa bite est encore bien droite dans les airs. Sa mère est aux pieds du canapé, à quatre pattes, la bouche ouverte et la langue sortie comme un chien.
Anne se redresse lentement en saisissant le sexe de Ben et en le caressant lentement. Elle regarde sa mère avec un petit sourire vicieux, puis son visage se ferme.
- Qu’est-ce que tu fous assise là maman ? Crie-t-elle en tendant la main et en saisissant la chevelure de sa mère.
- Rends-toi utile, stupide putain ! Suce la bite de mon Maître !
Elle tire sa mère en avant et force sa tête sur toute la
longueur de la bite de Ben. Elle la regarde étouffer et baver sur le membre.
- Elle n’est vraiment bonne qu’à ça ! Roucoule Anne en se retournant vers Ben et en l’embrassant.
- Telle mère telle fille ! Dit Ben
Anne glousse et répond :
- Oh non, je suis loin d’être aussi bonne qu’elle !
Alors que Marianne relève la tête pour reprendre son souffle, sa fille la gifle brutalement.
- Les putes n’ont pas besoin de respirer ! Les putes ont besoin de bites.
Elle saisit de nouveau les cheveux de sa mère et pousse son visage sur l’entrejambe du jeune garçon. Puis elle se lève pour se tenir en hauteur et tout en tirant les cheveux, elle force la tête de Marianne de haut en bas sur le sexe de Ben.
- Oh oui bébé ! Continue à la forcer comme ça ! Gémit le jeune garçon.
- C’est vraiment ton esclave hein ?
Anne sourit et se penche en avant pour embrasser Ben.
- Oui ! Et maintenant elle est aussi ton esclave ! Répond-il.
- Je pense que je vais m’y habituer ! Dit Anne.
Elle continue à forcer sa mère à monter et descendre sur la grosse bite de Ben. Elle la regarde s’étouffer, sangloter et baver.
- Mais si tu pensais vraiment ce que tu disais, si je suis vraiment à toi, j’ai besoin que l’on fixe certaines règles.
Anne appuie fort sur la tête de sa mère jusqu’à ce qu’elle la voie vraiment étouffer. Puis elle tire sur ses cheveux et la repousse pour qu’elle tombe au pied du canapé. La jeune fille attrape le bite de Ben, se place au-dessus et se laisse tomber.
- Tout ce que tu veux, chaton !
Ben sourit alors que la jeune fille commence à le chevaucher en ignorant sa mère couverte de sueur et de salive sur le sol.
- Ta bite est à moi ! Plus d’esclaves secrètes pour toi et plus de putains sans que je le sache. Dit-elle en gémissant et s’accrochant fermement à lui.
- D’accord, c’est la seule autre esclave pour le moment. Dit-il.
Tout en enfonçant ses ongles dans son cou , Anne ajoute :
- Bien ! Et tu ne la baises plus dans la chatte à moins que je ne sois là et que je sois d’accord. Ok ?
Marianne gémit, le visage collé au parquet.
- Pas de problème ! Autre chose ? Demande Ben.
- Oui, autre chose. Grogne-t-elle en le chevauchant sauvagement.
- N’importe quoi ! Gémit Ben en attrapant ses seins et en les serrant.
- Dis-moi que tu m’aimes ! Murmure-t-elle.
Il la saisit, la rapproche de lui et lui baise la chatte si violemment et profondément que ses yeux roulent en arrière tandis qu’elle commence à jouir.
- Je t’aime chaton ! Grogne-t-il en la rejoignant dans l’orgasme alors qu’il remplit sa chatte de sperme.
Anne continue de le monter en criant et pleurant jusqu’à ce qu’elle s’effondre finalement contre lui.
- Je t’aime aussi, Monsieur !
Elle gémit en se retournant et en s’appuyant contre lui en ouvrant largement ses jambes et en caressant son clitoris.
- Viens ici et lèche le sperme de Monsieur dans ma chatte, salope ! Je suis loin d’en avoir fini avec toi !
Marianne sourit et rampe jusqu’à la chatte de sa fille. Elle y enfouit son visage et lèche, avale, aspire tout le sperme du jeune garçon.
- Putain , je crois que je vais m’y habituer ! Soupire Anne.
*****
Anne est assise à la table de la cuisine. Elle grignote des œufs et du pain grillé en envoyant un SMS à son amie Carly.
« Ouais, tu devrais venir ce soir et passer la nuit ici. Ben sera là aussi si ça te va ! » Ecrit-elle en souriant vicieusement.
« Bien sûr » est la réponse de son amie, inconsciente de la nuit que Anne lui réserve.
Cela fait environ une semaine et demie que la jeune fille a découverte que sa mère était une salope soumise. Elle sourit en pensant que c’était la meilleure semaine de sa vie. Elle pose son téléphone et recule en regardant sa mère nue à quatre pattes qui lui lèche docilement la chatte.
- Mets tes doigts, salope ! Et lèche mon cul aussi ! J’ai une longue journée devant moi et j’ai besoin de me soulager auparavant.
Marianne se redresse et se met au travail tandis que sa fille lève ses jambes en arrière pour présenter ses trois à son esclave de mère. Elle gémit alors que Marianne joue avec elle en la pénétrant de ses doigts. Finalement elle jouit et gicle sur le visage de sa mère. Après avoir retrouvé son calme, elle ordonne :
- Lève-toi et penche-toi sur la table !
- Oui Mademoiselle ! Dit Marianne, embrassant d’abord sa fille sur les lèvres, puis la tenant dans ses bars dans un bref moment de tendresse avant de se retourner et de se pencher docilement sur la table.
Anne attrape des cordes et commence à attacher sa mère à la table, les bras d’abord, puis les jambes afin que son cul soit bien exposé.
- Je n’ai pas le temps de soulager Monsieur aujourd’hui, alors il viendra utiliser ton cul dans une heure ou deux. Dit Anne en donnant une grosse claque sur le cul dodu de sa mère.
Elle saisit un gros plug sur le comptoir de la cuisine, crache dessus et l’enfonce dans le cul exposé pour bien l’étirer.
- Oui Mademoiselle ! Merci Mademoiselle ! Gémit Marianne de bonheur.
- Il m’a dit qu’il voulait que tu baves de plaisir. Donc tu vas devoir être une bonne salope et jouir autant que possible avant qu’il arrive ! Glousse la jeune fille.
Elle prend le vibromasseur sur le comptoir et l’enfonce dans la chatte de sa mère en disant :
- Ça ne devrait pas être trop long !
Elle allume l’objet et regarde les yeux de sa mère rouler dans leurs orbites. Elle règle le vibromasseur sur une intensité moyenne et elle place la télécommande sur la table, hors de portée.
- Oh ! Je crois que les jardiniers devraient être là vers midi non ? Demande Anne.
Sa mère acquiesce.
- C’est bien ce que je pensais. Ben m’a dit qu’il était temps que nous leur donnions un pourboire pour tout le travail accompli ! Ajoute Anne en frappant le cul de sa mère.
Marianne grogne en comprenant très bien ce que veut dire sa fille.
- Je lui ai dit qu’il avait la permission d’offrir ta chatte ! Rigole la jeune fille en attrapant son sac et en remettant sa jupe pour avoir l’air présentable.
- Mais seulement si tu te fais enculer et que tu suces en même temps !
Marianne grogne alors qu’elle sent approcher son premier orgasme. Elle se tourne pour voir sa fille s’éloigner.
- Salut Maman !
Anne ferme la porte derrière elle tandis que sa mère jouit et attend avec impatience les bites qu’elle va devoir servir aujourd’hui.
FIN
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