jeudi 29 août 2024

S'encanailler.

Traduction d’un texte de BJB69.

Il s’agit d’une fiction bien sûr, mais elle est extrêmement crade. Vous voilà averti !!!!!

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Carla a épousé Nick Watson un an après qu’ils ont obtenu leur diplômes universitaire. Ils avaient tous les deux 23 ans. Nick est un grand et bel homme d’1m80 et 80 kilos. Il est costaud et musclé. Carla est une belle femme. Elle mesure 1m70, elle a des jambes à tomber par terre, un joli cul rond et une superbe grosse poitrine. Ils forment un couple parfait.

Un an après leur mariage, ils ont eu une fille qu’ils ont appelée Tracy. C’est à ce moment que leur vie sexuelle a commencé à battre de l’aile. Pour une raison inconnue, Nick sembla beaucoup moins intéressé par le sexe, même si Carla perdit très vite ses kilos de grossesse et retrouva rapidement la ligne. Lorsque Tracy eut six ans, le couple n’avait plus de rapports sexuels du tout. Carla essaya tout, mais Nick ne semblait plus intéressé. Elle finit par acheter quelques jouets et vidéos, mais cela ne remplaçait pas la queue de son mari.

Finalement Clara en eut marre. Un soir, alors qu’elle en était à son troisième verre de vin, elle décida de résoudre le problème. Elle savait qu’elle ne pouvait pas se montrer dans des bars, car elle serait probablement reconnue. Donc elle s’est dit qu’elle devait aller dans un endroit où personne la connaîtrait. Elle fit une dernière tentative le soir-même pour attirer son mari, mais ce fut en vain.

Nous voilà don le lendemain. Après avoir emmené Tracy à l’école, Clara enfile une jupe très courte, un haut moulant sans manches avec les trois boutons du haut ouverts. Elle achète deux bouteilles de vin et se rend dans un parc situé dans le quartier pauvre de la ville. Après avoir garé sa voiture, elle entre dans le parc et se dirige vers la zone à l’arrière où il y a des SDF. Elle s’assoit sur un banc. Elle est rapidement abordée par un jeune homme qui lui dit :

- Salut bébé ! Que fais-tu ici ? Tu travailles ?

- Je me repose. Va voir ailleurs !

Le jeune s’en va sans demander son reste. Carla est nerveuse, elle se demande si elle ne fait pas une erreur d’être ici. Elle est plongée dans ses pensées quand elle entend quelqu’un dire :

- Ça va madame ?

Elle lève les yeux et voit un vieil homme noir habillé en lambeaux assis à côté d’elle. Il pue et ses cheveux sont gras, mais il a un grand sourire même si beaucoup de dents sont manquantes. Carla ne sait pas pourquoi, mais elle sent ses mamelons durcir et sa chatte commencer à la picoter. Elle sourit à l’homme et lui dit :

- Oui je vais bien monsieur. Voulez-vous partager mon vin avec moi ?

Le sourire de l’homme illumine son visage. Cette fois, elle remarque que les quelques dents qui lui restent sont jaunies. Le SDF se dit que cette femme sexy doit s’amuser à ses dépens. Mais il décide de jouer le jeu pour le moment.

- Bien sûr Bébé que je vais partager ton vin !

Il la regarde prendre une bouteille de vin dans son sac et la lui tendre.

- Vous pouvez l’ouvrir ? Demande-t-elle.

Il sourit et enlève le bouchon. Il prend rapidement une gorgée avant qu’elle ne puisse reprendre la bouteille. Quand il voit qu’elle ne dit rien, il prend une autre longue gorgée avant de lui tendre la bouteille. 

- Merci ! Dit-elle avant de boire elle aussi une gorgée.

Il n’arrive pas à croire que cette femme sexy boive dans la même bouteille que lui. Elle se tourne et lui tend à nouveau le vin. Il dit alors :

- On pourrait se faire arrêter pour avoir bu de l’alcool dans ce parc.

- Y a-t-il un endroit où nous pourrions aller pour finir la bouteille, monsieur ?

Il réfléchit pendant une bonne minute, puis il suggère de manière hésitante :

- Eh bien… Euhh… Nous pourrions… Euuhhh… Aller chez moi si tu veux.

Ils se lèvent tous les deux du banc et Clara pose une main sur soin bars en disant :

- Bien sûr monsieur ! Je n’ai pas envie de me faire arrêter et vous avez l’ai d’un homme bien. 

Le clochard remarque qu’elle n’est qu’un peu plus petite que lui. Il pense alors : « Qu’est-ce qui se passe ? Cette salope sexy partage son vin avec un clodo et elle veut aller chez lui pour en boire plus ? ». Tout en gardant la bouteille dans sa main, il se tourne et dit :

- Suis-moi !

Elle tire sur son bras pour le forcer à se tourner vers elle et elle lui dit :

- Merci de me laisser venir chez vous !

Puis elle se penche en avant et embrasse sa joue rugueuse et sale. Il est tellement abasourdi qu’il se contente de la regarder. Elle lui sourit, puis attire sa tête vers elle. Quand leurs lèvres se touchent, Clara est sur le point de vomir. L’haleine de l’homme est horrible, mais elle enfonce sa langue dans sa bouche. Tandis que le baiser s’éternise, elle sent des mains se poser sur ses fesses et les serrer. Elle s’écarte alors, ils prennent une autre gorgée de vin. Puis le clochard la tourne lentement pour qu’elle soit dos à lui.

Il lui tend la bouteille, fait tourner sa tête pour qu’elle regarde par-dessus son épaule et pose à nouveau ses lèvres sur les siennes pour un long baiser. Pendant qu’ils s’embrassent, il glisse une main dans son chemisier puis dans son soutien-gorge, et l’autre sous sa jupe. Il sent qu’elle mouille et il l’entend légèrement gémir. Il se dit alors qu’il va pouvoir baiser la femme la plus chaude qu’il n’ait jamais baisée.

Carla sait que c’est probablement sa dernière chance de pouvoir tout arrêter avant que ça n’aille trop loin. Alors qu’elle commence à avoir des doutes, elle sent son doigt entrer dans sa chatte humide. Il le fait bouger lentement et il dit :

- Allons-y bébé !

Sa décision est prise. Elle hoche la tête et se tourne pour le suivre. La bouteille dans une main, un bras autour d’elle avec la main sur sa poitrine, ils marchent dans le parc.

Il ne faut que cinq minutes pour atteindre sa cabane. Celle-ci n’est faite que de vieux contreplaqués, de cartons, de fûts métalliques et autres déchets. Le vieil homme rampe à l’intérieur, se retourne et lui dit :

- Entre, on va faire la fête ! 

Carla sourit et se glisse à l’intérieur en disant :

- C’est amusant. j’ai une autre bouteille dans mon sac. Au fait, c’est quoi votre nom ?

Elle rampe et s’assoit à côté de lui. Il prend une gorgée de vin et lui tend la bouteille. Il sourit et dit :

- Appelle-moi Monsieur Carter !

Carla hoche la tête tout en pensant que c’est un peu bizarre qu’elle doive l’appeler Monsieur au lieu d’un prénom. Elle ne réalise pas qu’il s’agit d’une forme de respect pour lui. 

Après que Clara ait pris une gorgée, il met son bras autour de ses épaules, une main sur sa poitrine et dit :

- Où en étions-nous ?

Elle se retourne, lui sourit et se penche pour l’embrasser. Lorsque ses lèvres noires et sales touchent les siennes, ses mamelons durcissent instantanément. Pendant qu’ils s’embrassent, elle laisse l’homme déboutonner son chemisier et dégrafer son soutien-gorge. Elle l’embrasse encore plus fort quand il lui enlève ces deux vêtements. Lorsqu’ils rompent le baiser, elle se baisse et enlève sa jupe et sa culotte.  Le vieil homme a un sourire jusqu’aux oreilles. Ses mains trouvent ses seins qu’il tripote et malaxe. Puis il pince et tord ses mamelons durs. Clara a son premier orgasme tandis qu’il s’amuse.

Bientôt elle le regarde et lui dit :

- Je veux sucer voter bite et ensuite je veux que vous baisiez ma chatte blanche.

Alors qu’elle dézippe son pantalon  et sort sa bite, il dit :

- Je n’ai pas lavé ma queue depuis des lustres, alors elle va puer.

Elle le regarde en levant les yeux et lui répond :

- Pas grave, monsieur. Ça ne me dérange pas !

Son sexe sent horriblement mauvais, mais elle embrasse et lèche lentement le gland avant de le mettre dans sa bouche. Lentement elle fait entrer la plus grande partie de la queue dans sa bouche tout en luttant contre son envie de vomir à cause de la puanteur. Elle sent l’homme poser sa main sur l’arrière de sa tête alors qu’il fait entrer et sortir sa bite répugnante de sa bouche. Elle suce l’engin quelques minutes avant de lever les yeux et le supplier :

- S’il vous plaît, baisez-moi. Je veux sentir votre grosse bite noire dans ma chatte.

L’homme lui fait encore un sourire édenté et lui dit :

- Mets-toi sur le dos, salope !

Personne n’a jamais traité Carla de salope auparavant, mais pour une raison qu’elle ne connaît pas, cela ne la dérange pas, au contraire. Elle s’allonge sur le dos à côté de lui. Il se place sur elle et dit :

- Pourquoi ne mets-tu pas toi-même, ma bite dans ta chatte blanche, salope ?

Immédiatement elle tend la main vers le bas, attrape la queue et met le gland dans sa chatte.

- Ohhhh Monsieur Carter… Elle va m’étirer… Dit-elle.

Le clochard noir pousse sa grosse bite dans la chatte serrée de la femme blanche.

- Ohhhhh…. Ahhh ouiiii…

Il commence lentement à faire entre et sortir sa bite, puis il se met à la pilonner vicieusement.

- Argggghhh ! Ouiii !! Ohhh putain !  Crie-t-elle. 

Aucun des deux n’arrive à compter combien de fois elle jouit alors qu’il la martèle.

- Ohhh ! Ohhh ! Ohhh ! Merde !! C’est comme si… Argghhh ! Ohhh merde !! Baisez-moi !

Elle est insatiable et continue de jouir. Le vieil homme tient plus longtemps qu’il n’aurait pensé, mais finalement il déverse son sperme dans la chatte de Carla. Sa bite débande lentement et il roule à côté de la femme.

- Nettoie ma bite, salope ! Ordonne-t-il.

- Qu… Quoi… ? Demande-t-elle.

- Nettoie ma bite avec ta bouche, salope !

- Mais je… je n’ai jamais fait ça…

Après une brève pause, Carla se force à approcher sa tête de sa queue et commence à le lécher. Elle s’applique pendant quelques minutes, puis ‘allonge de nouveau à côté de l’homme.

- Avant que tu partes, je veux baiser ton cul bien rond ! Dit-il.

- Non ! Je n’ai jamais fait ça avant. On ne peut pas !

Le clochard commence alors à déplacer ses mains sur son corps nu, tripotant ses seins et caressant sa chatte.

- Mais aujourd’hui tu vas le faire.

- Mais je… je… Ohhhh… Ohhh…

Les mains continuent de se déplacer sur son corps et bientôt l’homme insère un doigt dans sa chatte. Un deuxième le rejoint et il commence à les bouger lentement. Carla gémit et essaie de repousser les doigts. Il lui sourit et dit :

- Dis-moi que tu veux que je t’encule, salope :

- Ohhhh… Arghhh… Nooonn… je ne peux pas faire ça… Ohhh…

- Dis-le, salope ! Exige-t-il.

- Ahhh… S’il vous plaît… Ohhh… Nonn… Je ne peux…

Il augmente la vitesse de ses doigts dans sa chatte. Il sent que sa bite commence à bander à nouveau.

- Dis-le, salope !

- OUI… Ohhhh… Ohhh ouii… S’il vous plaît, enculez-moi !

Il continue à bouger les doigts jusqu’à ce que sa bite soit en érection avant de dire :

- Tourne-toi, salope, et mets-toi à genoux !

Quelque chose dans le fait que ce vieux clochard noir la traite de salope excite fortement Clara. Elle se lève d’un bon et se tourne pour se mettre à quatre pattes. L’homme prend un pot de graisse qui doit lui servir pour la cuisine et il badigeonne sa bite. Ensuite il en met un peu sur le cul de Clara avant de présenter son gland sur le petit trou. Lentement il pousse.

- Aiiiieeee… Ca fait mal…. Aiiie… S’il vous plaît stop… Aiiieeee.

Lentement, le vieux SDF fait glisser sa bite dans son cul jusqu’à ce que ses boules touchent son bas-ventre. Il commence alors à la baiser. Tandis qu’elle gémit et qu’elle semble jouir à nouveau, il comprend que la douleur s’est changée en plaisir. Alors il augmente la vitesse et l’encule de plus en plus fort. Elle aime ça.

Tandis qu’il la sodomise violemment, il commence à penser à quel point il aimerait avoir cette petite salope sexy comme pute personnelle. n’ayant rien à perdre il dit :

- Prends ma queue, salope ! Tu es ma pute maintenant. Tu comprends ? Tu es ma salope !

- Ahhhh… Ohhh ouiii… Baisez mon cul… Ahhhh…

- Dis-moi que tu es ma salope maintenant. Dis-le, salope !

- Ohhh… je… je suis… Ohhhh…

- Dis-le salope !

- Ahhhh… je suis votre… Ohhh… Je suis votre salope, Monsieur CARTER. Je suis votre pute blanche.

Il continue à l’enculer et dit :

- Tu es MA salope ! Ton corps m’appartient. Tu as compris, salope ?

- Oui ! Ohh oui ! Vous possédez mon corps. Je suis la salope d’un vieil homme noir.

L’homme continue son enculage et lui fait répéter à plusieurs reprises qu’elle est sa salope et qu’il la possède avant de finir par éjaculer dans son cul. Après avoir retiré sa bite, il lui demande de la nettoyer. Rapidement elle lèche et suce son engin ramolli.

Alors qu’ils restent allongés l’un à côté de l’autre, il dit :

- Maintenant que tu sais où je vis et où je traîne, je m’attends à te revoir, salope !

- Mmmm. Bien sûr Monsieur Carter. Je vais certainement revenir pour profiter de votre bite.

Après quelques minutes de silence, Carla s’habille et sort de la cabane. Quand elle se tourne, elle voit l’homme sortir. Elle le regarde, s’avance, met ses bars autour de son cou et l’embrasse en enfonçant sa langue dans sa bouche. Les mains du SDF trouvent son cul et serrent ses fesses.

Quand ils s’écartent l’un de l’autre, il dit :

- Dis-moi ce que tu es !

Elle sourit et l’embrasse à nouveau. Puis elle chuchote :

- Je suis votre salope, Monsieur Carter. Mon corps vous appartient.

Il sourit en montrant ses dents jaunies. Elle se tourne et s’en va dans l’allée pour rejoindre sa voiture. Elle court chez elle et prend une douche avant d’aller chercher Tracy à l’école. 

Cette nuit-là, alors qu’elle est allongée dans son lit, son esprit dérive sur les évènements de l’après-midi et sa séance de baise intense avec le clochard. Il a bien assouvi ses besoins sur le moment, mais plus elle y pense, plus elle est dégoûtée d’avoir offert son corps à un clochard. Non seulement il puait, mais sa bite était vraiment sale. Il l’a traitée comme une vulgaire salope, une pute. Il est arrivé à lui faire dire de choses qu’elle n’arrive toujours pas à croire qu’elle les ait dites. Allongée dans son lit, elle décide de ne plus jamais faire une erreur pareille et qu’elle ne fera plus l’amour avec M. Carter, sous aucun prétexte.

Bien que Carla pense périodiquement à M. Carter au cours des deux semaines suivantes, elle reste ferme dans sa décision de l’éviter. Elle ne sait pas si c’est à cause de son dégoût pour ce qu’elle a fait ou si c’est parce qu’il avait satisfait ses besoins sexuels.  Elle passe son temps à s’occuper de sa fille et de sa maison.

Mais après quelques semaines, elle recommence à être agitée. Son mari évite toujours de faire l’amour avec elle et elle utilise son gode tous les soirs. Mais ça ne la satisfait pas complètement.

Alors une fois de plus, elle va acheter deux bouteilles de vin et se rend au parc. Elle porte un short et un débardeur serré sans soutien-gorge. Elle aime la façon dont ses gros seins poussent le tissu léger. Plutôt que d’attendre sur un banc comme la dernière fois, elle trouve le chemin à travers le parc vers la zone des sans-abris. Elle finit par trouver la cabane de M. Carter, mais elle réalise qu’il n’est pas là.

- Hé petite dame !

Elle se tourne et voit un homme âgé noir qu’elle ne connaît pas.

- Savez-vous… Savez-vous où est M. Carter ?

 L’homme ne se gêne pas pour fixer ses seins. Il demande :

- Qui ?

- M. Carter ! L’homme qui vit dans cette cabane. Savez-vous où il est ?

L’homme lui sourit avant de continuer à regarder sa poitrine. Il dit :

- M. Carter hein ? Eh bien non… Euhhh… Non je ne sais pas où il est. Peut-être que je peux vous aider ?

- Non… Non merci, je reviendrai plus tard.

Alors qu’elle se tourne pour partir, elle entend quelqu’un crier :

- Hé salope !

Elle se retourne et voit M. Carter approcher.

- Où vas-tu ?

- J’ai pensé que vous n’étiez pas là, alors je repartais.

C’est alors que l’autre noir demande :

- C’est qui cette femme, Léon ?

M. Carter dit alors :

- C’est ma salope, Will.

Puis il se tourne pour regarder Clara  et il dit :

- C’est pas vrai, salope ? 

Carla fait un signe de la tête. Will rit et dit :

- Ouais c’est ça Léon. Tu n’arriveras pas à me le faire croire.

Léon regarde Carla et dit :

- Dis-lui !

- Je suis sa salope. qu’est-ce que je peux faire pour vous le prouver ?

Avant que Will puisse parler, M. Carter ordonne :

- Enlève ton haut et montre-lui tes seins de salope !

Carla tire rapidement son débardeur par-dessus sa tête. M. Carter s’approche d’elle, pose ses mains sur ses seins et les presse. Carla grimace et laisse échapper un glapissement. Le clochard lui ordonne encore :

- Maintenant, enlève ton short, salope ! 

Carla n’hésite que brièvement avant de déboutonner et laisser tomber son short sur le sol. Elle se retrouve debout devant deux vieux clochards noirs et sales avec seulement sa culotte.

- Maintenant la culotte, salope !

Carla glisse ses mains sous l’élastique et laisse tomber sa culotte sur le sol. C’est à ce moment que deux autres hommes noirs et aussi âgés les rejoignent. Carla commence à être nerveuse. 

Léon ou M. Carter se tourne vers les autres et leur dit :

- Le corps de cette salope m’appartient.

Embarrassée, Carla baisse les yeux quand l’homme ajoute :

- Elle fera tout ce que je lui dis de faire. N’est-ce pas, salope ?

Carla hoche lentement la tête. Will dit alors :

- Tu veux dire qu’elle a baisé ton vieux corps puant ? Tu n’as pas pris de bain depuis des mois.

Léon rigole :

- Non seulement nous avons baisé, mais elle a sucé ma grosse bite noire et ensuite je l’ai bien enculée.

Il fait une pause pendant une minute, puis il dit :

- Vous voulez la baiser ?

Bien sûr, les trois autres sans-abri hochent la tête avec enthousiasme.

- Ok. On va utiliser ta tente, Franck. Il y a beaucoup plus d’espace.

Les trois hommes se retournent immédiatement pour se diriger vers la cabane de Franck tandis que Léon Carter ramasse les vêtements de Carla, met son bras sur son épaule, la main sur sa poitrine, et la guide vers le lieu d’habitation de son ami. Une fois qu’ils ont tous rampé à l’intérieur, les hommes se jettent sur elle comme des loups sur de la viande fraîche. Tom se couche sur le dos et Carla est forcée de descendre sa chatte sur sa bite dressée. Will enfonce sa queue dans sa bouche et Franck demande à Léon s’il peut l’enculer. Celui-ci sourit et dit :

- Vous pouvez faire tout ce que vous voulez à ma salope. Assurez-vous qu’elle nettoie vos bites quand vous aurez fini.

Franck trouve de la graisse dans un bocal et badigeonne sa bite. Il se place derrière Clara et la regarde prendre du plaisir avec les deux bites de ses copains. Puis lentement, il met son gland à l’entrée de son cul et pousse à l’intérieur.

- AIIIIEEEEE ! OWWWWW !! OWWWW ! Stop ! Ça fait trop mal !!! S’il vous plaît, arrêtez !

Carla crie alors que Franck commence à l’enculer avec vigueur. Après avoir fait sortir et entrer sa queue dans son cul plusieurs fois, il commence à accélérer le mouvement. La douleur se change progressivement en plaisir tandis que trois hommes s’occupent de tous ses trous. l’odeur de leur corps est révoltante et le goût de la bite de Will est horrible et lui donne envie de vomir. Mais elle prend du plaisir et jouit encore et encore sous les assauts répétés. 

- Ahhhhh !! Ouiiii !!! Ohhhhh !! Baisez-moi !!!

Il ne faut pas longtemps avant que Will déverse son foutre dans la gorge de la jolie femme blanche. Quelques secondes plus tard, les deux autres hommes remplissent de foutre sa chatte et son cul. Tom demande à Carla si elle veut nettoyer leur bite et avant que Léon puisse dire quelque chose, elle dit à bout de souffle :

- Oui ! Oui, donnez-moi vos bites. Je veux sucer vos bites. s’il vous plaît !

Les deux hommes se relaient  pour qu’elle nettoie leurs bites puantes et dégoûtantes avec sa langue et sa bouche. Quand elle a fini, elle reste allongée en pensant qu’elle n’a jamais eu autant d’orgasmes de suite. Elle frémit en pensant qu’il s’agit d’une jouissance longue et intense.

Tandis qu’elle reste allongée, les hommes en profitent pour  déplacer leurs mains noires et rugueuses sur son petit corps blanc. Il la caresse, tripotent ses seins et sa chatte. Leurs mains montent et descendent le long de ses jambes et sur son ventre.

- Tu as trouvé une belle petite salope, Léon. On peut encore la baiser ?

Le clochard hoche la tête et répond :

- Ouais. Tu peux la baiser autant que tu veux. Comme je l’ai dit, fais ce que tu veux d’elle. Ma chienne aime ça.

Carla les entend parler d’elle comme si elle n’était pas là. Cela aurait dû la mettre en colère que M. Carter la donne à ses amis pour qu’ils l’utilisent comme une vulgaire pute. Et elle aurait dû être encore plus énervée qu’il leur dise qu’elle ferait tout ce qu’ils voudraient. Mais pour une raison quelconque, être traitée de chienne, de salope ou de pute l’excite énormément et fait durcir ses tétons. Elle se dit que oui, elle ferait tout ce que ces vieux clodos noirs et puants voudraient.

Après une heure, les hommes étaient reposés et prêts à recommencer. Une fois de plus, Carla se retrouve avec trois bites bien dures en elle en même temps. Ils la baisent sans se soucier de son confort ou de son plaisir. Elle hurle alors qu’ils attaquent brutalement sa bouche son cul et sa chatte avec leur bite. Ils giflent son cul et ses seins tout en pilonnant ses trous. Ils la baisent pendant un bon moment, puis ils changent de trous et recommencent. Ils l’utilisent pendant près d’une heure avant de jouir dans ses orifices. A ce moment, Carla est dans un été d’hébétude complet. Elle a été baisée plus longuement et plus fort que jamais auparavant. Elle a joui encore et encore. Bien sûr, les hommes l’obligent à nettoyer leurs bites avec sa langue, puis Will dit :

-Ça m’a donné une faim de loup. Il faut aller chercher à manger.

Les hommes se lèvent et regardent la salope blanche. Léon demande :

- T’as de l’argent pour de la bouffe, salope ?

Le cerveau de Clara est embrumé mais elle comprend et répond !

- Oui ! Dans la poche de mon short !

Will fouille le vêtement et sort deux gros billets qu’il met dans sa poche. Puis il dit :

- Je vais aller nous chercher à manger !

- Pendant que tu vas chercher à bouffer, je vais baiser le visage de ma salope. j’aurais fini quand tu reviendras ! Dit Léon.

Tom et Will partent ensemble alors que Léon se dirige vers Carla et lui enfonce sa bite dans la bouche. Bien qu’elle soit épuisée, couverte de sueur et pas encore remise de la séance de baise précédente, elle accepte avec empressement cette grosse bite noire. Elle le suce jusqu’à ce qu’il jouisse. Il se vide dans sa gorge puis range sa bite dans son pantalon. Il sourit en regardant sa salope blanche. Il n’aurait jamais cru pouvoir baiser une femme aussi sexy. Et pas seulement la baiser, mais la posséder. Il se dit qu’il doit vérifier cette dernière assertion, alors il demande :

- Dis-moi ce que tu es ?

- Mmmm ? Gémit-elle en léchant le pourtour de ses lèvres pour s’assurer qu’il ne reste pas de sperme.

- Je t’ai dit de me dire ce que tu es ?

Elle lui sourit et répond :

- Je suis votre salope M. Carter. Vous possédez ma chatte, mon cul et ma bouche. Je vous appartiens Monsieur.

Léon sourit. Il aime qu’elle l’appelle « Monsieur ». Ça lui montre que cette chienne connaît sa place dans leur relation. 

- Oui, tu m’appartiens, salope. Tu n’es rien d’autre qu’une pute pour bites noires, n’est-ce pas ?

Elle hoche rapidement de la tête.

- Ok ! Maintenant salope, lève-toi, habille-toi et dégage !

Elle se lève en tremblant et enfile lentement son short et son haut taché. Elle voit que Will lui a laissé ses clés de voiture, mais a pris tout son argent. Elle s’en moque. Elle aurait payé bien plus pour la séance qu’ils lui ont donné cet après-midi. Léon l’aide à sortir de la tente puis lui serre les fesses en disant :

- A plus tard, salope ! Reviens quand tu voudras te faire baiser de nouveau comme une pute !

- Oui je le ferai. Vous pouvez compter sur moi M. Carter ! Répond-elle.

Il lui faut beaucoup de temps pour arriver à sa voiture. Ses jambes tremblent et elle est vraiment épuisée. Elle sait que du sperme coule le long de ses jambes et tache le devant de son short, mis elle s’en fiche. Elle n’a pas le temps de passer chez elle avant d’aller chercher sa fille, alors elle va directement à l’école. Quand Tracy monte dans al voiture, elle dit :

- Maman, tu pues !

- Je sais ma chérie. Je travaillais dans le jardin et je n’ai pas eu le temps de prendre une douche avant de venir te chercher.

Tracy acquiesce et tourne la tête pour regarder par la fenêtre.

Arrivées à la maison, Carla dit à sa fille de regarder la télé pendant qu’elle prend une douche. Elle se sent beaucoup mieux après, mais elle est encore fatiguée. Elle a l’impression de marcher bizarrement tellement son cul et sa chatte lui font mal après avoir été utilisés tout l’après-midi.

Cette nuit-là, allongée dans son lit, elle revit cette journée où elle s’est faite utilisée par trois vieilles bites en même temps. Elle sait qu’elle est sur une pente glissante et qu’elle devient dépendante de grosses bites noires qui sentent mauvais.  Mais elle apprécie leurs goûts et leurs odeurs. Ils sont une expérience merveilleuse pour sa chatte te e son cul. Ça l’excite vraiment d’être complètement dominée par ces hommes que la société a mis de côté. Elle comprend qu’elle ne peut pas arrêter et elle commence à planifier sa prochaine incursion dans le parc.

Il s’avère qu’elle n’a pas à attendre très longtemps. Trois jours plus tard, Nick lui dit qu’il doit se rendre à Atlanta pour toute la semaine suivante. Comme ses parents vivent là-bas, il emmène Tracy avec lui pour qu’elle voit ses grands-parents. Au début il pensait que Carla allait être réticente, mais il fut agréablement surpris qu’elle accepte. Ils doivent partir du lundi matin au samedi après-midi.

Le vendredi, pendant que Tracy est à l’école, Carla rend visite à M. Carter. Elle passe une heure à lécher et sucer sa queue et ses couilles. Elle met chacune des boules dans sa bouche et elle essaie de prendre les deux en même temps. Il baise son visage et gicle sur sa figure. Puis il l’oblige à tout récupérer et à tout avaler. Heureusement rien que de le sucer la faite jouir, car il lui dit qu’il n’a pas envie de mettre sa bite noire dans une pute blanche aujourd’hui. Quand ils ont fini, Carla dit :

- Léon, je me demandais…

CLAC ! Il lui donne une grande gifle qui laisse la marque de sa main sur son visage.

- Qu’est-ce… Qu’est-ce que j’ai fait ? Demande-t-elle, surprise.

Il la regarde fixement et dit :

- Tu ne m’appelles pas Léon, grosse salope. Ça voudrait dire que nous sommes égaux. Comment une pute blanche doit-elle m’appeler ?

Carla baisse la tête puis la relève lentement. Elle regarde le clochard et répond :

- Je suis désolée Monsieur. Je dois être respectueuse envers vous. Je dois vous appeler M. Carter.

Il a un sourire vicieux. Même si elle ne le sait pas, elle lui appartient maintenant. Mais comme il aime l’entendre, il demande :

- Dis-moi ce que tu es ?

Sans hésitation, elle dit :

- Je suis une salope à bites noires. Je suis votre salope. Je vous appartiens. Je ferai tout ce que vous me direz de faire Monsieur.

- C’est ça, salope. Maintenant que voulais-tu me dire ?

- M. Carter, je voulais vous demander si vous aimeriez rester avec moi à la maison la semaine prochaine. Mon mari et ma fille s’en vont pendant une semaine. .

Le clochard n’en croit pas ses oreilles. Dormir dans un lit douillet, manger de la cuisine maison, prendre un bain, ce sont des bonus après pouvoir baiser cette femme blanche et sexy tous les jours. 

- Tu veux que je reste avec toi la semaine prochaine, salope ?

- Oh oui ! Oui s’il vous plaît M. Carter. Je cuisinerai pour vous et je laverai vos vêtements. Vous pourrez me baiser quand vous voudrez comme vous voudrez. s’il vous plaît, dites oui !

Léon fait semblant de réfléchir comme s’il avait autre chose à faire. Finalement il dit :

- Eh bien, je suppose que je peux passer du temps avec toi la semaine prochaine.

Carla avait déjà pensé à ce qu’elle allait dire ensuite :

- M. Carter, je pourrais peut-être venir vous chercher vers 8 heures lundi matin. Je vous emmènerai chez moi et je vous préparerai un petit-déjeuner. Pendant que vous mangerez, je sucerai votre belle bite. Je la sucerai tous les matins pendant que vous prendrez votre petit-déjeuner si vous le souhaitez.

- Ça m’a l’air d’être un bon programme, salope. J’aime les bons petit-déjeuner de temps en temps. Et peut-être qu’on pourra inviter Franck, Will et Tom un jour pour qu’ils puissent te baiser à nouveau. Ils auraient probablement besoin d’un bain et d’un bon repas aussi. 

- Oh oui Monsieur. Tout ce que vous voulez. Je serai heureuse de cuisiner pour vous. Et vous savez que je serai heureuse d’être votre pute pour la semaine.

Carla se lève et ajoute :

- Je dois aller faire des courses pour le voyage de mon mari et ma fille. Je vous retrouve à 8 heures lundi matin sur la parking du parc. d’accord Monsieur ? 

Léon hoche la tête et lui donne une claque sur son cul sexy alors qu’elle se tourne pour s’éloigner. Elle se retourne, lui fait un sourire séduisant, se déhanche et lui demande :

- Pourquoi avez-vous fait ça ?

- Tu es à moi, donc je peux faire ce que je veux.

Carla hoche la tête et dit :

- Vous avez raison. On se voit lundi.

Léon rentre dans sa cabane et pense : « Putain que je suis chanceux. Jusqu’à peu, je n’avais jamais baisé une femme blanche et aussi chaude. Et je n’ai jamais eu une femme qui se soumettait complètement. Maintenant, elle va cuisiner pour moi et je vais rester chez elle une semaine. Putain de merde, c’est génial ! »

Lorsque que Carla vient chercher Léon le lundi matin, elle porte une robe d’été très courte qui lui arrive juste à quelques centimètres de la chatte et qui est complètement déboutonnée. Après s’être approchée d’elle, le clochard ouvre sa robe, exposant son corps nu à la vue de toute personne passant par là. Il caresse ses seins et tord ses mamelons durs pendant tout le trajet jusqu’à la maison.

Dès qu’ils ont passé la porte d’entrée, Clara fait glisser sa robe de ses épaules et la fait tomber au sol. Elle se retourne, lui fait un sourire séducteur et s’avance vers lui. Elle met ses bras autour de son cou et l’embrasse longuement en enfonçant bien sa langue dans sa bouche. Les mains de Léon se promènent librement sur son corps. Puis il rompt le baiser, la tourne, lui donne une claque sur les fesses et lui dit :

- Maintenant, si tu me préparais un petit-déjeuner, salope !

Carla se précipite à la cuisine et prépare pour son amant noir, des œufs, des toasts, du jus d’orange et du café. Alors qu’il est assis à table, il baisse son pantalon jusqu’aux genoux quand elle pose l’assiette sur la table. Elle s’agenouille et comme d’habitude elle est écœurée par l’horrible odeur émanant de l’entrejambe du clochard. Elle commence à sucer et lécher sa grosse bite noire ainsi que ses grosses boues. Léon engloutit sa nourriture comme s’il n’avait jamais rien mangé d’aussi bon. Elle continue de sucer sa bite jusqu’à ce qu’il ait fini.

- Apporte-moi un autre café, salope ! Ensuite je vais t’apprendre quelque chose de nouveau.

Elle se lève d’un bond et remplit sa tasse. Puis elle tombe de nouveau à genoux et pose ses mains sur son énorme queue. Léon tire une chaise de chaque côté de la sienne, puis il lève les pieds et les pose sur ses chaises. Carla se dit que ça va lui donner un accès plus facile à sa bite et ses couilles. Mais l’homme se penche en arrière de façon que son poids soit supporté par le bas de son dos, plutôt que son cul. Elle branle doucement sa bite tout en le regardant quand il demande :

- Dis-moi ce que tu es !

- Mmmm… je suis votre salope, M. Carter. Je ferai tout pour vous. Mon corps vous appartient.

Il affiche un sourire vicieux et dit :

- Lèche mon trou du cul, salope !

- Qu… Quoi ?

Il s’assoit rapidement et attrape ses cheveux. Il rapproche son visage du sien et la regarde fixement. Ses yeux lancent des flammes. Il serre les dents et dit :

- Tu ne viens pas de dire que tu ferais n’importe quoi pour moi, espèce de grosse pute blanche sans valeur ?

La voix de Carla tremble quand elle hoche la tête et dit :

- Ou… Oui Monsieur.

Il lui crache au visage et crie :

- Alors lèche-moi le cul et enfonce ta langue dans mon trou du cul. Compris, salope ?

- Ou… Oui Monsieur. Dit-elle doucement.

- Penche-toi et ouvre ta bouche de salope !

Carla obéit immédiatement et ouvre la bouche en grand. Léon se penche sur elle, se gratte la gorge et crache un énorme mollard dans sa bouche. 

- Avale ça, salope, et ensuite lèche-moi le cul !

Carla avale rapidement son crachat puis se baisse entre ses jambes. Il a repris sa position et elle lui lèche les couilles. Puis elle passe lentement sa langue jusqu’à son trou du cul malodorant. Elle lèche tout autour et se retient de vomir à cause de l’odeur. Chaque fois qu’elle reprend son souffle, elle lève ses yeux vers lui et le voit boire son café tout en lisant le journal. Il ne fait même pas attention à sa déchéance.

Carla continue à lécher jusqu’à ce qu’il lui donne une claque sur la tête et lui ordonne :

- Mets ta langue dans mon trou du cul, sale pute. Mon café est presque froid et j’aurai besoin d’une autre tasse quand tu auras fini.

Elle lèche légèrement une nouvelle fois le pourtour de son cul, puis elle introduit timidement sa langue dans le petit trou. Elle sent qu’il bouge son corps alors elle enfonce sa langue plus profondément. Lentement, elle baise son cul avec sa langue pendant qu’il continue de boire son café. Puis il dit :

- Prends ma queue pendant que tu lèches mon cul, salope !

Elle lève la main et branle sa bite tout en sondant son cul avec sa langue. Il ne lui faut que quelques minutes avant qu’elle ne commence à apprécier cette nouvelle forme de dégradation. Elle attaque son cul avec ardeur tout en branlant sa queue jusqu’à ce qu’il dise :

- Je vais jouir. Mets ta bouche de pute sur ma bite ! 

Elle retire sa langue de son cul et engouffre la bite dans sa bouche. Immédiatement elle sent qu’il gicle son foutre. La plus grande partie descend dans sa gorge, mais quelques gouttes tombent sur le sol de la cuisine. Quand elle a fini d’avaler, elle met ses mains sur ses cuisses et le regarde :

- C’était bien Monsieur ?

- C’était bien, mais il faut que tu apprennes à mieux le faire. Maintenant lèche ce qui est tombé sur le sol !

Elle baisse les yeux et voit que quelques gouttes de foutre sur le sol. Sans réfléchir, elle baisse la tête et les lèche. Quand elle relève la tête elle voit qu’il lui tend la tasse.

- Plus de café ! Dit-il.

Elle remplit sa tasse et s’assoit à ses pieds, la tête sur sa cuisse. Elle dit alors :

- M. Carter, je n’ai jamais fait ça auparavant. Je ne pensais pas que j’aimerais ça. Mais une fois que j’ai commencé, je ne pensais qu’à vous donner du plaisir.

Léon regarde sa salope blanche et dit :

- Tu dois toujours penser à ça, salope !

Il sent qu’elle embrasse sa cuisse en gémissant doucement. 

Pendant que Léon prend un bain, Carla se rend dans un magasin voisin et lui achète de nouveaux vêtements. Quand elle revient, il lui dit de se déshabiller et de s’allonger sur le lit. Comme il vient déjà de jouir, il pilonne sa chatte et son cul pendant quarante minutes avant de se vider dans son ventre et s’effondrer sur le lit, couvert de sueur et complètement épuisé. Bien satisfaite aussi, Carla se penche sur lui pour lécher la sueur sur sa poitrine.

Ils passent le reste du lundi et toute la journée du mardi à manger, boire, baiser et regarder la télévision. Quand la bite de Léon a besoin d’une pause, il utilise ses jouets sur elle, la rendant folle de plaisir. Le mardi soir, alors que Carla est ivre, elle poursuit à quatre pattes le clochard dans la maison en le suppliant de la baiser et de lui laisser lécher sa queue et son trou du cul. Léon se demande pourquoi il n’a pas rencontré une telle salope quand il avait son âge.

Finalement il lui laisse lécher son cul pendant près de trente minutes. Il aime l’entendre gémir alors que sa langue est enfoncée dans son cul. Après l’avoir baisé encore et encore et s’être vidé plusieurs fois en elle, il se dit qu’il a besoin de renforts pour le reste de la semaine.

Le lendemain matin, il dit à Carla qu’elle va le reconduire à sa cabane pour qu’il puisse demander à Will, Tom et Franck s’ils ne veulent pas les rejoindre pendant un moment. La jeune femme a des papillons dans l’estomac quand elle se rappelle de sa dernière expérience avec ces clochards. Elle sait qu’elle ne pourra peut-être pas tenir très longtemps, mais elle a hâte de passer un après-midi à se faire labourer par eux tous.

Léon trouve ses amis, ils s’entassent dans sa voiture et arrivent chez elle. Ils prennent chacun une bouteille dans le bar. Léon s’assoit et regarde ses amis baiser la femme blanche mariée. Les clochards ne la déçoivent pas.

La robe de Clara est arrachée et elle est brutalement mise à genoux. Trois bites bien raides, noires et puantes se présentent à son visage. Elle les suce jusqu’à ce que Franck dise :

- Je veux baiser cette salope !

En quelques secondes, elle a une bite dans chacun de ses trous et en quelques minutes ils sont remplis de foutre.

Pendant que les hommes se relaient pour se doucher, les autres boivent son vin et jouent avec son corps. Ils la baisent tout l’après-midi et toute la soirée. Puis ils descendent dans la salle de jeu où ils pilonnent leur pute jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse. Ils regardent la salope blanche mariée et ils se moquent d’elle. Puis ils remontent, boivent encore plus de vin , puis vont se coucher.

Carla se réveille vers deux heures du matin. Elle se sent bizarre et quand elle regarde vers le bas, elle voit deux queues de billard qui sortent de son corps. Elle en a une dans sa chatte et une dans son cul. Elle a des pinces de classeur en métal sur ses mamelons et elle voit que l’on a écrit quelque chose sur son ventre. Elle enlève les pinces et retire les queues de billard. En se redressant elle lit « Pute à Bites Noires » écrit sur son ventre. Même si ses tétons et sa chatte lui font mal, elle sourit, car elle sait que l’expression est vraie. Elle est vraiment devenue une pute pour des bites de noirs.
 
Carla se rend dans la salle de bain du bas et se regarde dans le miroir. En face d’elle, elle a une salope qui a été bien utilisée. Elle se lave la figure, passe une brosse dans ses cheveux et met un tee-shirt de son mari. Elle monte les marches, s’effondre sur le canapé et s’endort. Cette fois elle est réveillée par Léon qui est penché sur elle. Quand elle ouvre les yeux, il dit :

- Enlève ce tee-shirt et prépare-moi un petit-déjeuner !

Carla se lève lentement et fait passer le tee-shirt au-dessus de sa tête. Léon sourit quand il voit que l’inscription est toujours sur son ventre. Carla prépare des crêpes, des œufs et des saucisses pour le petit-déjeuner. Peu de temps après, ses quatre invités sont attablés et mangent tandis qu’elle est sous la table pour passer d’une bite à l’autre.

Le jeudi se déroule comme le jour précédent. Le corps bien blanc de Carla est baisé et maltraité toute la journée. Elle jouit encore et encore et s’évanouit plusieurs fois. Elle perd le compte du nombre de fois où elle avale du sperme ou qu’elle doit le récupérer dans sa chatte et son cul puis l’avaler. Les hommes s’amusent encore avec les queues de billard sur elle. Ils réussissent même à enfoncer une bouteille de vin dans sa chatte.

Ils la traitent de tous les noms orduriers qu’ils puissent trouver et ils lui font répéter. Elle n’aurait jamais pu croire qu’un jour elle se traiterait de chatte sans valeur ou de viande à baiser, mais elle le fait. Les clochards arrivent à mettre deux bites dans sa chatte, une dans son cul et une dans sa bouche. Puis plus tard, c’est deux bites dans son cul, une dans sa chatte et une dans sa bouche. Bien sûr ils font des pauses pour manger. Une fois de plus, les hommes la laissent inconsciente quand ils vont se coucher.

Le vendredi matin au petit-déjeuner, Léon dit :

- C’est notre dernier jour pour profiter de cette petite salope. Je pense que nous devrions finir la journée en lui pissant dessus. Bien sûr, elle devra nous supplier de la faire, mais je suis sûr qu’elle le fera.

Les clochards regardent Clara qui a un regard de dégoût sur le visage. Léon continue :

- Tu ne veux pas, salope ?

Carla ne dit rien, et avant que Léon ne puisse la réprimander, Will a enfoncé sa bite dans sa bouche. Ce vendredi, elle a eu plus d’une bite dans chacun de ses trous. A un moment donné, les hommes ont essayé de mettre trois queues dans sa chatte, mais ils ont finalement renoncé. Au milieu de l’après-midi, alors que deux d’entre eux lui baise ensemble la chatte et le cul, ils s’arrêtent juste avant qu’elle ne jouisse à nouveau. Franck dit alors :

- Supplie-nous de te pisser dessus !

- S’il vous plaît, laissez-moi jouir ! Supplie-t-elle.

- Supplie-nous de te pisser dessus, grosse pute ! Commande-t-il.

- No… Non, s’il vous plaît, ne le faites pas… je ne veux pas…

- Supplie-nous si tu veux encore jouir, espèce de trous à baise sans valeur !

- N… Je… Je… Ok… OK… S’il vous plaît, pissez sur moi !

- Dis-le encore !

- Faites-moi jouir et pissez sur mon corps de salope ! Crie-t-elle.

Après avoir joui, les hommes récupèrent le sperme et elle lèche avidement les doigts qu’ils lui présentent. Quand elle a fini, les quatre hommes la soulèvent et la porte jusqu’à la baignoire. Tous les quatre sortent leur bite et commencent à uriner tout en buvant le vin des bouteilles trouvées dans la maison. Ils l’arrosent de la tête aux pieds et finalement elle ouvre la bouche et ils la remplissent rapidement. Clara avait l’intention de tout recracher, mais sans vraiment savoir pourquoi elle avale et ouvre la bouche pour en avoir plus. Quand les hommes ont fini, elle avait dû bien avaler quatre fois sa bouche pleine. 

Les hommes sortent de la salle de bain alors Carla prend une douche rapide, puis elle se rend dans sa chambre dans l’espoir de dormir. Mais les clochards ont d’autres idées. Ils la gardent éveillée en la baisant et en s’amusant sur elle avec des jouets. Elle dérive dans une inconscience de plaisir jusqu’à ce que les hommes la laissent vers 5h30 du matin.

Le samedi matin, les quatre SDF se font le petit-déjeuner et la laissent dormir. Quand elle se réveille, elle pense que son mari et sa fille vont rentrer dans quelques heures. Alors elle s’offre aux hommes une fois de plus. 

Pendant les deux heures suivantes, elle est baisée à fond. Ses tétons sont pincés, tirés et tordus jusqu’à ce qu’elle crie. Les hommes la fessent durement et claquent sa chatte et ses seins. Elle suce leurs couilles et lèche leur cul. Quand ils se sont bien amusés, elle leur donne de l’argent et les reconduit au parc. 

Il faut le reste de la journée à Clara pour nettoyer et désodoriser la maison avant le retour de sa famille. Cette nuit-là, elle est si épuisée qu’elle dort comme une pierre. 

FIN

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