mardi 13 août 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 03

Texte de Ricki Black (2012)

*****

La fille dans un magasin de chaussures.

J’ai fait de Martine, la future belle-mère de mon fils, et de sa plus jeune fille Léa deux soumises sexuelles, en les faisant tomber dans les pièges que je leur avais tendus. J’ai assuré leurs soumissions avec des photos compromettantes. Par contre j’ai bien pris soin que cette soumission sexuelle reste secrète l’une à l’autre c’est bien plus amusant comme ça pour le moment.

Après les dernières révélations de Martine, je savais maintenant que sous ses apparences cul béni et dirigeante, cette mature avait vécu des expériences de sexe hard et qu’elle y avait pris énormément de plaisir malgré toute la honte qu’elle a ressenti. Je savais également qu’elle était mal baisée et qu’elle se branlait pour compenser ses manques, de plus c’était une femme fontaine.

Mon objectif est toujours de l’humilier car elle en retire presque plus d’excitation. Alors pourquoi se priver. Avant de quitter Martine, je lui donne rendez-vous le lendemain midi à son bureau pour aller déjeuner ensemble.

Mes recommandations sont : Très hauts talons, jupe en cuir courte, bas noirs, haut moulant, pas de sous-tif et une culotte blanche en coton.

Elle acquiesce, alors je m’approche d’elle puis pose ma bouche sur sa bouche et engouffre ma langue dans la sienne comme un viol. Je vais chercher sa langue dans un baiser furieux qui redonne à ma queue des envies, et je m’en vais la laissant toute chose sur le pas de la porte.

Toutes ces émotions m’ont donné pleins d’idées et je décide d’allez voir mon pote Al qui tient un sex-shop pour faire quelques emplettes. Je suis en voiture et décide de vérifier si Léa a tenu compte de mes ordres. Je lui téléphone, sa localisation la place bien à l’université. Ça sonne puis ça décroche. Une toute petite voix me dit :

- Oui allo Michel … Je suis en cours magistral c'est difficile de te parler…

Effectivement j’entends le professeur parler. Je reprends :

- Je veux savoir si tu m’obéis… Alors tu vas écarter tes cuisses et tu vas prendre une photo de ta chatte et j’espère pour toi que tu n’as pas eu l’idée de remettre une culotte… Je veux recevoir ton MMS dans moins de 30 secondes, c’est bien compris ?

Je sens Léa très embarrassée vu qu’il doit y avoir du monde juste à coté d’elle, mais elle me répond :

- Oui Michel, je le fais immédiatement !

Je raccroche et dans les 30 secondes j’entends mon Iphone bipper. J’ouvre le MMS et je vois la belle fente de Léa, les cuisses bien ouvertes, les fesses assises sur un banc de bois. Je suis heureux, car je suis certain qu’elle ne portait pas de culotte. Je suis satisfait. Alors que j’allais reposer le GSM, un nouveau Bip. J’ouvre et c’est une nouvelle photo de Léa. Cette fois sa fente est ouverte, remplie de mouille et elle a glissé deux doigts dedans. J’adore cette nana. Je lui renvoie un texto pour la féliciter.

Sur ces entrefaits, j’arrive chez Al. J’entre dans la boutique en écartant l’épais rideau rouge qui occulte la vision aux passants, laissant imaginer les pires turpitudes possibles pouvant s'y dérouler. Je salue mon ami et commence à étudier les gadgets. Je suis à la recherche de vibros commandés à distance, une cagoule en cuir, un collier avec laisse et un plug anal.  

Il n’y a que 2 mecs dans les rayons DVD, Al vient me voir et nous discutons 5 minutes. Je lui fais part de mes souhaits. Il me dit qu’il vient de recevoir une nouveauté très sympa. C’est un œuf vibrant à placer dans le vagin avec en plus un plug vibrant à placer dans l’anus et une télécommande unique pour les deux. On peut soit faire vibrer les deux ensemble sur une même fréquence ou des fréquences différentes, soit les dissocier et les commander séparément mais à partir de la même télécommande. Et Al ajoute :

- Donc tu peux maîtriser deux godes à distances… 

Houaaaaa mais ça m’intéresse drôlement  cette option, alors j’achète le tout. J’arrive à la caisse pour régler et voit des stylos style gros stylo plume. Je demande à AL à quoi ça sert. Il me montre, en fait le stylo est un mini vibro. Si tu ôtes le capuchon il y a une tête ronde qui vibre, mais l’astuce c’est que cette tête est télescopique d’au moins un mètre. Et Al ajoute :

- Si tu veux exciter ta nana ou une inconnue avenante sous la table ou dans toutes autres circonstances de la vie.

Bien, bien, je demande à Al de l’ajouter à mes achats. Il ne va pas quitter ma veste celui-là.

Fort de ces nouvelles courses je reprends la route, il est 17H00 et Léa doit commencer son cours de danse dans 5 minutes. Je l’appelle.

- Salut Léa où es-tu ?

Elle répond timidement :

- Je suis dans le vestiaire, je me change pour la danse. Je suis gênée, ma copine a remarqué que je ne portais pas de culotte.

Je lui  rétorque :

- Et alors, elle va bien se rendre compte que tu es une petite perverse. Tu n’as qu’à lui dire que tu as rencontré un homme mur et que tu es devenue sa soumise, comme ça tu n’auras pas à lui mentir et ça peut être amusant. Allez dis-lui maintenant, je reste au téléphone, tu enclenches le haut parleur, je veux t’entendre lui dire !

Il y a un long silence. Puis j’entends les bruits ambiants. Je tends l’oreille pour pouvoir distinguer Léa.

- Béa, tu as remarqué que je n’avais pas de culotte !

J’entends la copine répondre :

- Oui j’ai vu, ça fait drôlement salope, pourquoi tu te balades comme ça, tu vas te faire une mauvaise réputation Léa !

Je jubile, j’entends très bien leur conversation. Léa répond :

- Il faut que je te raconte. Depuis peu j’ai rencontré un homme mur et pervers et je suis devenue sa soumise sexuelle, c’est lui qui veut que j’ai la chatte à l air !

Les mots choisis par Léa sont crus et je crois comprendre qu’elle veut troubler Béa.

- Mais ce n’est pas possible Léa, comment tu peux accepter cette situation ?

Maline, Léa lui dit :

- Il me tient avec des photos coquines que j’avais dans mon portable, mais il faut que je t’avoue... J’adore, il me donne des ordres très osés, je l’ai branlé et il a éjaculé sur mon visage, il a une bite énorme et j’ai vraiment hâte qu’il me la fourre dans la chatte. Rien que d’y penser je mouille. Regarde… 

Je comprends à ce moment qu’elles sont nues dans le vestiaire. Cette petite salope de Léa l’a fait exprès pour m’exciter. Béa répond :

- Oui en effet, tu as la chatte trempée… Dis-moi, il t’a fait jouir déjà ? Raconte, ça commence à m’exciter aussi sérieusement ton truc là !

- Oh si tu savais il m’a branlé le clito et j’ai joui comme jamais, en quelques secondes je suis devenue sa chose. C’est tellement différent qu’avec un mec de nos âges. Ils ne savent pas si prendre et puis ils ont des petites bites à coté de la sienne. Elle est vraiment...

Béa réagit.

- Arrêtes, tu vas me faire venir, j’aimerai bien la voir. Tu sais en fait Léa, merci de m’avoir fait confiance en me racontant ton histoire  et il faut que je t’avoue… Je t’envie presque… Allez il faut qu’on y aille, le prof nous attend.

Quelques secondes plus tard, Léa reprend le téléphone :

- Alors Michel, c’était bien comme ça ? Et c’est dingue j’ai fait mouiller ma meilleure amie avec tes conneries. J’ai vu sa fente s’humidifier et je suis sûre que ce soir elle se branle… J’adore. Merci mon Maître pour tout ce plaisir !

Je bande dans mon short et je demande à Léa de ne pas se doucher après les cours, je l’attendrais dans la voiture devant l’académie pour l’emmener faire une course.

*****

Je suis stationné devant l’entrée lorsque je vois débouler Léa. Elle est joyeuse et a le sourire aux lèvres. Elle prend place à mes cotés dans la voiture. Dès qu’elle est assise, elle remonte sa jupe et pose la peau de ses fesses sur le cuir du siège puis écarte les cuisses. J’ai un 4x4 assez haut alors il faut être un grand passant pour voir Léa s’exhiber, mais en attendant elle ne se pose pas la question. Je vois sa fente légèrement ouverte et très humide. Je lui demande de se doigter. Elle enfonce deux doigts bien au fond de son sexe et les ressort recouvert de mouille odorante.

-  Dis-moi salope, tu as le con qui commence à sentir la femelle en chaleur, tu t’es branlée cet après-midi ?

Elle me répond par la négative.

J’ai vraiment aimé tes initiatives d’aujourd’hui et pour te récompenser je vais te faire un cadeau.

- Merci Mon Maître, mais j’ai pris énormément de plaisir à vous obéir Michel !

En chemin, je lui demande de me caresser la queue au travers de mon short. Sa main est douce, elle ne tarde pas à me faire durcir. 

- Puis-je la sortir, j’aimerais tellement la prendre dans la main et vous branler doucement ?

Nous arrivons et je suis obligé de dire non à Léa qui est très déçue.

Je stationne devant l’entrée du centre commercial. Avant de sortir je mets à Léa le collier. C'est un collier en cuir noir simple avec un anneau au niveau de la gorge. Elle sourit puis nous descendons.

L’idée est d’offrir à Léa sa première paire de chaussures hauts talons. Elle est ravie et entre dans la galerie marchande. Nous arrivons au magasin de chaussures, passant devant le vigile qui ne se gêne pas pour la mater copieusement. Léa, elle, n’a rien vu, elle est déjà à regarder les modèles.

Passant à mon tour devant le vigile, un black de 1.90 mètre, une armoire à glace mais un peu épais malgré tout, je lui décoche un sourire complice en lui disant. 

- Jolie petit lot n’est-ce-pas ?

Le black me renvoie le sourire et me répond :

- Des lots comme ça, ça se laisse pas passer, Monsieur est connaisseur.

Je finis d’entrer en lui répondant :

- Et elle est toute soumise à mes désirs !

Je rejoins Léa à l’intérieur. Elle a déjà repéré des modèles du genre noires avec semelles compensées et talons de 10 bons centimètres. Je lui demande d’en choisir plusieurs pour que nous passions aux essayages. Je lui fais confiance, elle va choisir les modèles qui vont la faire la plus salope.

En attendant j’observe les vendeuses. Il me faut bien la choisir. Pas une trop jeune, ni une trop vieille. Il me faut une femme dans la quarantaine. J’en repère une, mais elle a l’air coincée. Lorsqu’une autre sort de la réserve. Elle a dans les 48 ans, blonde, robe près du corps et des collants noirs, maquillées soigneusement, avec de nombreux bijoux fantaisies.

Léa a choisi ses modèles et prend place sur un siège, je demande à la vendeuse si elle peut s’occuper de Léa. Elle arrive et me dit avec un beau sourire :

- On vient offrir des chaussure à sa fille ?

La regardant droit dans les yeux, je lui réponds avec un sourire carnassier :

- Presque mademoiselle, mais ce n’est pas ma fille, c’est ma maîtresse !

La vendeuse semble quelque peu déstabilisée par l’annonce, mais elle retrouve son sourire rapidement et me répond avec un air coquin :

- C’est madame et je suis la gérante du magasin !

J’ai choisi la bonne en tout cas je l’espère.

Léa attend assise lorsque la vendeuse place un genou au sol pour l’aider à essayer les modèles. Le premier est un escarpin noir très classe. Léa est nu-pieds lorsqu’elle enfile la chaussure avec l’aide de la vendeuse. Et bien sûr, celle-ci remarque obligatoirement que Léa est nue sous sa jupe, surtout lorsque Léa écarte les cuisses largement pour faire glisser le soulier plus facilement. La vendeuse, consciente de la situation, va pour se relever. Je m’approche d’elle et lui murmure alors :

- Disons plutôt que je suis son Maître et que Léa a fait de grosses bêtises. Je l’ai punie et c’est pour cette raison qu’elle ne porte pas de culotte. Je dois lui faire comprendre qui est le Maître et cela passe par son humiliation… consentante il en va sans dire. 

La vendeuse s’est de nouveau accroupie. Elle regarde Léa dans les yeux puis discrètement lui demande :

- C’est vrai ce que me dit ce monsieur ?

Léa lui répond :

- Oui Madame, c’est mon Maître et je vous avoue que j’adore qu’il me mette dans ces situations d’humiliation, vous ne pouvez pas imaginer dans quel état d’excitation ça me met, je serai prête à le sucer ici à genoux devant vous… c’est terrible.

La vendeuse me regarde alors à nouveau, avec cette fois-ci un imperceptible sourire. La situation a l’air de l’amuser, alors je lui glisse dans l’oreille. 

- Vous voyez cette salope, elle n’a pas encore compris, il faut encore la punir, alors Madame si le cœur vous en dit, ne vous gênez pas !

Elle place alors les deux genoux au sol, puis regardant Léa lui dit :

- Écarte les cuisses, petite dévergondée, je vais te faire passer tes envies !

Léa ouvre largement ses jambes, livrant à la vendeuse son intimité. L’autre sort de sa poche un chausse-pieds en plastique noir, le place devant sa fente puis lui enfonce délicatement dans le sens de la hauteur. Léa gémit et mouille sur l’objet. Une fois entièrement enfoncé, elle le tourne doucement dans le sens le plus large. Je vois les lèvres du sexe de Léa s’écarter au fur et à mesure que l’objet pivote.

- Alors salope, tu aimes ça on dirait, tu es en train de me foutre de la mouille partout, tu vas devoir nettoyer mon chausse-pieds.

Léa qui gémit de plus en plus fort répond entre deux soupirs :

- Oh oui c’est bon ce que vous me faites madame, et je suis prête à nettoyer tout ce que vous voulez avec ma langue.

Pour ma part, j’observe la situation et la bosse dans mon short ne fait que grossir. La vendeuse alors ressort l’objet de la chatte et demande à Léa de le nettoyer. Puis elle s’absente dans la réserve. De retour très rapidement, elle reprend sa place à genoux. Puis elle ôte le soulier du pied droit de Léa, elle l’oblige à allonger sa jambe en la faisant passer entre ses jambes déposant le talon sur le sol, la vendeuse se replace. Mais je me demande ce qu’elle prépare. Je vois Léa tendre un sourire à la vendeuse :

- Vous voulez que je vous branle avec mon pieds !

- Oui tu as bien compris, fais-moi jouir sinon il va t’en cuire, salope !

Je viens de comprendre qu'elle est partie retirer sa culotte et ce sont des bas qu’elle porte. Et donc maintenant, elle est aussi nue sous sa jupe que Léa. C’est super excitant. Je vois cette belle plante onduler sur le pied de Léa qui, elle, doit s’amuser à frotter son orteil sur le clito. La respiration de la belle d’ailleurs s’accélère alors qu’elle glisse directement la main entre les cuisses de Léa pour lui fourrer deux doigts. Heureusement à cette heure tardive il n’y a presque plus personne.

Elle supplie Léa de lui fourrer son orteil à l’intérieur de sa fente. Le jeu continue encore quelques minutes jusqu’à ce que les deux filles jouissent de concert l’une sur le pied de Léa et l’autre sur ses doigts. La vendeuse est comblée, elle se relève en mettant à jour le pied de Léa. Il est entièrement recouvert de cyprine comme le sont ses propres doigts.

- Salope tu m’as bien fait jouir, j’ai la chatte toute dégoulinante !

Et tout en me regardant elle finit :

- Je veux que tu viennes me la nettoyer dans la réserve !

Bien trop heureux d’être tombé sur une telle chaudasse,  je lui fais signe que je suis d’accord. Elle attrape et entraîne Léa dans la réserve. Je regarde l’heure, il est 19h30 l’heure de la fermeture, les filles ont disparu. Il me vient une idée.

Je vais voir mon pote le vigile et lui confie ce qui se passe avec sa patronne. Il me dit qu’il se doutait que cette salope de Muriel aimait la bite. Il me dit :

- Ben mon gars, on va se faire une bonne partie de baise avec ces deux salopes !

- OK… Bien sûr que je suis partant. Tu parles !

Il descend la grille et nous prenons la direction de la réserve. J’entre derrière lui. C’est une pièce plutôt petite, encombrée de boites de chaussures. Nous retrouvons les filles. Léa est allongée sur le sol alors que Muriel est assise sur son visage, frottant sa vulve dessus. Muriel, la patronne, a ôté sa robe. Elle est nue en ‘DIM up’ noir, sa chatte est très poilue formant un triangle noir au creux de ses cuisses,elle a une belle poitrine qui tombe un peu. J’aime bien ça. Elle est surprise de voir le vigile entrer, mais tellement dans son trip.

- Que faites-vous ici Virgile ?

Tiens ce n’est pas commun ça un vigile qui s’appelle Virgile !! 

- Eh bien, je viens calmer vos ardeurs de chienne ! lui assène-t-il en sortant sa bite de son pantalon.

Bon sang, ce ne sont pas des histoires quand on dit que les blacks y en ont des grosses. Celle de Virgile elle est énormissime.

Il commence à la branler devant le visage de Muriel qui n’en revient pas. Puis n’y tenant plus, il lui fourre dans la bouche. Enfin il essaie, car elle est bien trop grosse pour tenir dans cette petite bouche. Muriel essaye de reprendre souffle en extrayant le morceau de sa bouche.

- Attends, laisse-moi faire ! dit-elle. 

Elle commence par décalotter le gros gland qu’elle lèche avec avidité, puis le mordille pour finir par l’aspirer entre ces lèvres. Virgile grogne de contentement en lui saisissant la nuque pour la forcer. 

- Je le savais que cette nana aimait la bite. Allez suce ma grosse queue de black !

Pendant ce temps Léa sert de paillasson à Muriel qui se nettoie la chatte sur sa gueule. Elle frotte toute son entrecuisse jusqu’à sa raie culière.

Je décide d’intervenir à mon tour, retire mon short et mon boxer. Ma queue est tendue au possible. Et pendant que Léa bouffe la chatte de Muriel, je me place à genoux derrière Muriel qui suce à pleine bouche, dépose mon gland sur son anus. Je vois le regard de Léa désespérée qui aimerait tant être à sa place, et j’enfonce mon pieu d’un coup sec et profond dans le cul de Muriel. Elle crie de douleur en me traitant de fumier, mais la douleur a très vite disparu pour laisser place au plaisir. Son cul est très étroit, mais étonnamment bien lubrifié, je la laboure comme un fou. Ma queue me fait mal tellement je la désire. Léa s’est dégagée de la pression de Muriel et crie comme une folle :

- Allez vas-y Michel défonce son cul de salope, encule-la avec ta grosse bite, cette salope m’a piqué ma bite alors punis-la comme il se doit !

Ma position n’est pas des plus confortables, je me retire du cul de Muriel et fourre ma queue luisante dans la bouche de Léa pour la faire taire. Je dis à Virgile que je lui ai bien préparé le terrain et qu’il peut venir enculer sa patronne, son cul est bien ouvert. Ce qu’il s’empresse de faire. Je me dégage emmenant Léa avec moi et je le regarde prendre ma place et poser son énorme gland sur le trou de Muriel. Elle n’a pas le temps de contester qu’il disparait lentement, comme un bateau qui sombre, dans le fondement de Muriel qui hurle on ne sait plus si c’est de plaisir ou de souffrance.

Léa avait repris sa pipe. La stoppant en pleine élan, je la retourne. Elle me supplie de l’enculer. Mais pour toute réponse, je lui balance une claque énorme sur la fesse et je lui fourre ma bite dans sa fente juteuse.

- C’est moi qui déciderait où et quand je te dépucelerai ton cul, sale petite vicieuse !

Je n’allais pas tarder à jouir car la situation était des plus excitantes je voyais Muriel répondre par de grands coups de reins aux coups de bite de Virgile qui lui explosait l’anus elle avait eu au moins deux orgasmes bruyants et Léa avait elle aussi déjà jouie sur ma queue.

Lorsque je sens ma sève monter, je me positionne devant Muriel et demande à Léa de maintenir son visage. Je lâche les vannes. Le foutre jaillit en de grosses giclées blanches et épaisses, Léa déplacet le visage pour qu’il soit bien recouvert de mon foutre. Ma semence dégouline  partout. Puis Léa, dans un élan de dominatrice, ordonne :

- Allez sac à foutre, ouvre ta bouche à bite et nettoie celle de mon Maitre, qu’elle soit nickel quand il me la mettra dans mon cul !

Et Muriel s’exécute, léchant mon gland et ma tige gluante.  Elle aspire tout le foutre, allant jusqu’à lécher mes couilles et mon entrejambe, lapant même mon anus. Ca énerve Léa qui la prend par les épaules pour la séparer de moi.

Virgile est toujours à la tache dans le cul de Muriel, et il me dit qu’il ne va pas tarder à gicler à son tour. Je lui demande de ne pas se lâcher dans les intestins de Muriel, je veux qu’il gicle dans la bouche de la petite. Elle a bien mérité une récompense.

Il extrait l’énorme verge noire du fourreau de Muriel, à son grand désespoir, lui laissant un énorme trou du cul béant et se place devant Léa qui, obéissante, s’agenouille pour recevoir sa bénédiction ou devrais-je dire son baptême. Elle ouvre grand la bouche, tire la langue et attend. Virgile lâche tout. Un torrent de jute explose au visage de Léa inondant tout, la bouche, le nez, le front, les cheveux, ça gicle de partout. L’épaisse crème fuse en longs filets pour s’écraser sur la peau fine et blanche de Léa. Son tee-shirt est souillé par des larmes de foutre qui s’écoulent maintenant comme la lave d’un volcan, et Léa jouit à nouveau sans même s’être branlée. J’ordonne alors à Léa de laver la queue de Virgile. La pauvre ne peut prendre que le gland et encore elle doit ouvrir la bouche au maximum, aspirant le restant de jus. Puis elle finit avec sa petite langue plutôt experte pour une jeune fille de 19 ans.

- Eh bien, dit la patronne,  Faut pas lui en promettre à cette petit garce… En fait elle me fait penser à moi quand j’avais son âge. 

Alors la tension retombant nous partons tous ensemble dans un fou rire bruyant.

 Après que la patronne, très commerciale, m’ait offert les chaussures et proposé de repasser quand nous le souhaitions, il faut que je ramène Léa. Je ne peux pas la laisser rentrer seule à cette heure indue, qui sait les mauvaises rencontres qu’elle aurait pu faire en chemin ?

En la déposant proche de chez elle, je lui dis :

- Tu as du foutre partout dans les cheveux et ton tee shirt, en plus tu sens la chatte, ôtes ton collier et nettoie le foutre de Virgile !

Léa me regarde et me dit en souriant :

- Mille merci pour cette journée de baise, même dans mes plus beaux rêves de cul je n’aurais pu espérer prendre autant de plaisir. J’adore être humiliée et me sentir être ta soumise. Surtout mon Maitre, n’hésitez pas à user et abuser de moi !

Puis elle rentra chez elle, souillée et heureuse.

Le soir même, une fois rentré chez moi, en me déshabillant pour prendre une douche chaude, relaxante et salvatrice,  je trouve un billet glissé dans la poche de mon short. C’est Virgile qui me donne son numéro de portable en me disant qu’il était toujours dispo pour une nouvelle partie de cul comme celle-ci. Alors que l’eau de la douche distille sa chaleur sur ma peau, je repense à la réaction très autoritaire de Léa vis à vis de Muriel et je me dis qu’il y a là quelque chose à exploiter.

Ce soir là je m’endors rapidement en imaginant la rencontre au bureau de Martine qui allait avoir lieu le lendemain.

A suivre...

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