Texte de Graoully 57 (2012).
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Le voisin.
J’étais sans voix, j’essayai de me couvrir mais Jean-Pascal s’allongea à mes cotés et m’embrassa. Je n’allais pas laisser ce cochon profiter de mon corps. J’étais ainsi offerte aux yeux vicieux de Pierre qui continuait à s’astiquer le manche à peine visible, son ventre par son volume cachant la totalité de son sexe. Je commençai à comprendre à quoi j’allais être obligée de faire face.
Jean-Pascal glissa son bras derrière mon dos, bloquant les miens, j’étais sans défense. Cette position de femme soumise aurait dû me révolter, au lieu de cela les frissons qui parcouraient mon ventre me faisait prendre conscience de ce que j’étais… une salope.
- Ouvre-toi ma chérie, me glissa-t-il à l’oreille, il ne t’a pas bien vu, ni hier, ni tout à l’heure, tu vas être gentil avec ton immonde voisin.
Les deux hommes gloussaient. Je m’exécutai, ouvrant mon entrejambe aux yeux libidineux de ce pervers.
Lors de vacances passés avec leur fille, Flavie m’avait rapporté qu’elle l’avait surpris entrain de la mater dans la salle de bain et qu’une autre fois en pleine nuit il était venu la caresser, elle n’avait pas voulu en parler à sa femme. A l’époque elle m’avait fait promettre de ne rien dire, que cela n’avait pas été plus loin, mais qu’il avait été le premier à la faire jouir en la caressant. Ce n’est que l’an dernier, qu’elle m’avoua ne pas avoir tout dit. Durant quinze jours, il était venu chaque nuit lui donner du plaisir et il était également le premier homme à qui elle avait fait une fellation. Ne voulant pas salir les draps, elle avait dû chaque fois se résoudre à avaler le sperme qu’il déversait au fond de sa gorge.
Maintenant c’est moi qui allait subir ses attouchements et je dois reconnaître qu’imaginant les scènes avec ma fille cela ne me laissait pas insensible. Ce porc allait me saillir, me salir et je me soumettais.
Il s’agenouilla au pied du lit et sa bouche vint au contact de ma chatte. Jean-Pascal m’embrassait, la langue de Pierre lapait la mouille et le sperme qui suintait de mon nid d’amour. Deux hommes en même temps, ce n’était pas une première mais auparavant il s’agissait d’hommes qui me plaisaient, là mis à part Jean-Pascal, mon dégoût pour Pierre s’accentuait mais en même temps m’excitait, comment cela est il possible ?
- Elle est aussi bonne que sa fille ! Lacha-t-il au bout de quelques minutes de léchage.
- Qu’est ce que tu dis ? demanda Jean-Pascal.
- Je dis que la fille est aussi chienne que la mère, je l’ai déniaisée il y a six ans, elle a le même goût, c’est extra…
Il se glissa sur moi, Jean-Pascal dut s’écarter et lui laisser la place. Son membre se positionna contre ma vulve, instinctivement je resserrai les cuisses. Son ventre écrasait le mien, je me dégoutai et n’attendait qu’une chose, qu’il en finisse.
Il m’obligea à l’embrasser, sa langue fouillait ma bouche. Moins bien doté par la nature que Jean-Pascal, je sentis à peine son sexe en moi, ceci dit il y était et allait prendre son plaisir. Jean-Pascal s’assit près de nous et tout en caressant mes cheveux m’injuria.
- Ca te plait salope ? dis-moi ce que tu ressens !
- J’ai honte, mais qu’il continue...
Pierre soufflait comme un cheval, son haleine de fumeur et d’alcoolique me répugnait mais mes sens trahissaient le plaisir que j’y prenais.
- Viens vider tes couilles, ça te plaît de me baiser ? disai-je pour l’encourager à en finir.
Mais ce pervers en voulait d’avantage, il se retira et me fit mettre à quatre pattes. Jean-Pascal en profita pour se mettre devant moi, sexe bandé. Je l’engloutis. Pierre me saisit aux hanches et sa queue reprit son activité au fond de mon vagin. En position de levrette je le sentais un peu plus et j’accompagnais chaque coup de boutoir qu’il me donnait.
J’étais saillie de chaque coté, je jouissais sous les coups de mes deux amants, Jean- Pascal se vida dans ma bouche au même moment où Pierre tapissait les parois de mon vagin de son foutre. Ils restèrent quelques instants en moi, puis Jean-Pascal se glissa hors du lit. Il quitta la pièce en disant à Pierre :
- Profites en bien !
Je retombai, entrainant Pierre avec moi. Il attendit que son membre flasque s’échappe de mon écrin pour se relever. Face à moi, sa queue pendait lamentablement entre ses cuisses. Je me dégoutais pour la énième fois de m’être laissée abuser.
- Va me chercher une bière ! m’ordonna t-il.
J’allai au garage prendre sa boisson, passant devant la chambre du bas. Jean-Pascal me fit un sourire entendu. Je rejoignis mon pervers qui n’en avait pas fini avec moi.
- Suces-moi pendant que je vide ma bière !
Il prit son temps. A genoux devant lui, entièrement nue, j’aspirai son appendice et lui prodiguai ce qu’il me demandait, il m’obligea même à glisser ma langue loin sous ses testicules, il s’attendait sans doute à que je vienne lui lécher son petit trou. Sa verge reprit du volume sous l’activité de mon muscle.
La canette vide en main, il s’allongea et me dit de venir sur lui. Mes seins pendaient au dessus de son torse, de sa main libre ils les malaxa sans douceur. Jambes écartées, je sentis son sexe battre contre ma chatte.
- Enfiles-toi dessus ! m’ordonna t-il.
Je dus me résigner à prendre sa mentule en main et la diriger vers mon antre encore poisseux. Je frottai son gland le long de mes lèvres vaginales et petit à petit je me suis empalée pour répondre à ses exigences. C’est moi qui rythmait le va et vient de notre coït. Je me surprenai à y prendre gout, malgré la répugnance que j’avais pour lui. Il ne se lassait pas de me voir monter et descendre sur son pal et mon corps trahissait le plaisir qu’il arrivait à me procurer. Je redoublai d’efforts et un nouvel orgasme prit forme en moi, j’explosai dans un feulement de chatte satisfaite.
Toujours empalée sur son vit, ma tête contre son visage je récupérai de mon orgasme. Il me glissa à l’oreille :
- ça sert à rien de faire ta mijaurée, tu as pris ton pied, c’est tout ! Allez, mets-toi sur le ventre.
Je m’exécutai une fois de plus. Sa canette toujours en main bien que vide, il posa le goulot sur mon œillet et après avoir recueilli de ma cyprine avec son doigt, il commença à me sodomiser. Je n’avais pas la force de refuser ce qu’il m’imposait. Assis à mes cotés, j’avais les jambes écartées et le spectacle que je devais donner n’était guère flatteur. Il poussait et mes intestins s’ouvraient à ce godemiché de fortune. Il ressortit la bouteille pour voir la dilatation de mon muscle anal. Il me contraint durant de longues minutes, je savais que bientôt ce serait sa queue que je devrais subir, malgré cela je prenais plaisir à être ainsi possédée, mes râles trahissant une fois de plus le traitement qu’il m’infligeait.
Un sourire vicieux marquait son visage. Il retira la bouteille sans douceur, ce qui fit un grand flop sonore et il s’installa entre mes cuisses. Il pointa sa verge et me sodomisa à grand coups. Jean-Pascal vint voir ce qui se passait, il avait peur que d’autres voisins ne s’inquiètent du boucan que je faisais. Pierre lui dit :
- Tu avais raison, elle adore le cul…
Il prit tout son temps à me sodomiser, alternant avec ma chatte puis réinvestissant mes intestins. Jean-Pascal n’en perdait pas une miette et je voyais sa queue prendre forme dans son short. Pierre finit par s’épancher dans mon cul en me traitant de tous les mots.
- Tu seras mon vide couille à présent ! Me dit-il avant de nous quitter.
Jean-Pascal ne me laissa pas le temps de reprendre mes esprits que déjà il le remplaçait dans mes intestins. Il m’insulta tout autant et finit par mêler son sperme à celui de son copain. Il se retira et descendit continuer ce dont pourquoi il était là.
Quand à moi je suis restée un long moment sur le ventre à repasser les images de débauche que je venais de subir. Le foutre de mes amants maculait les draps du lit de ma fille. Il fallait que je les change et trouver une explication à lui donner si elle me posait la question. A cet instant, je ne voulais pas penser aux jours suivants.
A suivre...
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