samedi 3 août 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 02

Texte de Ricki Black (2012)

*****

Dans la belle-famille, je demande la mère.

Sirotant ma bière avec mes petites olives au jus de femme, je demande à Léa d’aller s’habiller comme je lui avais recommandé et de m’apporter son portable. Elle est nue, je vois ces fesses onduler lorsqu’elle quitte la pièce. Cette fille est super bien faite et je suis heureux de l’avoir toute soumise à moi.

Il est 11H30 et Martine la mère de Léa et bientôt la belle-mère de mon fils ne va pas tarder à rentrer déjeuner. Elle a dans mes âges, elle est très autoritaire vis-à-vis de son mari et ses enfants et elle est cul béni. Je viens de découvrir un secret qui devrait me permettre de la mettre à mes genoux, mais pour cela je vais devoir jouer serré et utiliser l’effet de surprise.

J’ai trouvé des lettres compromettantes et un gode, mais vu la personnalité de Martine il faut que mon piège se referme de suite sur elle sans qu’elle est le temps de trouver une parade. Je décide d’attendre le départ de Léa pour l’université en début d'après midi pour attaquer.

Léa revient. Elle est habillée d’un petit tee-shirt moulant ses gros seins, d’une jupe en jean qui lui arrive au dessus du genou et de chaussures plates. Elle se place devant moi, jambes légèrement écartées en me tendant son portable.

Je lui demande de soulever sa jupe et je peux constater qu’elle est nue dessous. Sa chatte est lisse et ses lèvres gonflées, son pubis recouvert d’une toison de crin noir… J’adore. Je glisse mon majeur dans sa fente et constate à quel point cette petite vicieuse aime la situation. Mon doigt est recouvert de sa mouille épaisse et elle gémit. Elle coule littéralement sur mon doigt et me dit timidement :

- Ouiiii encore, c’est tellement bon Michel !

L’effet est immédiat, ma queue se gonfle dans mon short. J’ôte mon doigt de sa fente et lui fait lécher. Elle s’y emploie avec beaucoup de lubricité récupérant les grosses larmes de son jus pour l’avaler. Je récupère son portable et dans le même temps je lui tend le gode de Martine que j’avais conservé dans ma poche.

- Tiens petite trainée, je veux que tu te branles avec ça… Installe-toi face à moi, écarte tes jambes au maximum et montre-moi comment tu aimerais que je te baise !

Léa est face à moi, le sexe offert, les seins rebondies et fermes ondulent au rythme de la pénétration. Elle s’enfonce le gode brutalement dans la chatte ne le tenant plus que par le bout afin qu’il vienne taper dans le fond de sa matrice…

- C’est comme cela que tu veux que je te baise ????

- Oui Michel, je voudrais bien que tu me prennes comme ça, sentir ta bite énorme me remplir la chatte et me défoncer !

Je vois le gode se recouvrir d’une épaisse couche de cyprine tout en lui assenant sur un ton dur :

- Pour cela il va falloir le mériter, alors seulement lorsque tu m’auras agréablement surprise par ton abnégation et ta soumission, j’accéderai à tes désirs.

Les yeux de Léa sont presque renversées tellement son excitation est forte, je pense qu’elle n’est pas loin de l’orgasme.

- Sors ta queue Michel, montre la moi, elle est tellement belle et grosse, celle de mon mec parait si petite comparée à la tienne, je t’en supplie sors la... Ouii...

La voyant bien soumise, je plonge ma main dans mon short et en extrais  ma queue… Elle est très grosse et surtout très dure…

Léa est aux anges, son regard vicieux est maintenant fixé à mes gestes. Je décalotte très lentement mon gland qui apparait gonflé et brillant d’excitation. Son derme est luisant et une goutte perle du méat. J’exagère mon décalottage afin de le tendre encore plus. 

Léa a augmenté les va-et-vient du gode dans sa chatte, elle crie en me demandant de venir la fourrer mais son corps tressaille et trahit l’orgasme qui se créée au creux de son ventre. Et dans un puissant cri, elle libère sa jouissance sur ce sexe factice, mais le regard planté sur cette vraie bite qui palpite juste là, à quelques centimètres, et qu’elle désire comme jamais elle en a désiré une. Puis son corps se relâche lorsque la vague qui l’a submergée est passée, la laissant pantelante et rincée. Son regard est maintenant rempli de tendresse et de compassion. J’ai replacé ma queue dans mon short avec difficulté car tellement tendue.

Léa alors se place à genou devant moi et tout en baissant le visage et tout en me tendant le gode détrempée, elle me confie dans un murmure :

- Je n’ai jamais eu d’orgasme aussi violent de ma vie, sache Michel que je suis ta soumise !

Puis d’un ton plus exalté elle continue :

- Tu peux tout me demander, ordonne et j’obéirai... Mon Maitre…

Ouahhh, je vous le confie, je jubilais d’avoir une si belle créature à mes pieds et m’appartenant corps et âme. Sans même lui avoir demander c’est elle qui faisait le chemin pour  m’offrir sa soumission. Croyez-moi, j’allais en abuser sans compter, mais pour l’instant il me fallait soumettre sa mère, car, elle, je la voulais à ma botte principalement pour l’humilier avant tout et venger toutes les personnes qu’elle avait humiliées.

En attendant, je demande à Léa de mettre la table pour trois.

- Dépêche-toi, je veux que ce soit prêt avant que ta mère arrive !

Léa me répond avec un sourire :

- Alors tu restes pour déjeuner c’est super !

- Oui je vais dire à ta mère que tu m’as invité.

- D’accord ! Me répond-elle d'un regard complice.

Je m’occupe du téléphone de Léa. Je règle la fonction de localisation m’autorisant l’accès à sa puce. De plus j’entre mon adresse mail et la mets en copie automatique cachée puis je verrouille cette fonction par un mot de passe. De cette manière je saurai où elle est en temps réel et j’aurai une copie de chacun de ses envois mails, SMS et MMS.

Je rends le portable et lui donne une tape sentie sur le cul. Elle couine alors que j’entends les clés dans la serrure de la porte d’entrée. Je vérifie que j’ai bien mes armes en poche, la correspondance intime et le gode de madame la belle mère.

Martine entre, assez mince elle mesure 1.70 m et doit peser 56 kg, plutôt élancée et la ligne sportive, un physique me rappelant celui de mon ex et ce n’était pas fait pour la rendre plus sympathique la belle-mère. Cadre dans une DDE, elle est très autoritaire vis-à-vis de son mari et de ses enfants, ce qui avait eu pour effet de créer une tension extrême lors nos précédentes rencontres. De plus travaillant principalement avec des hommes de chantier, son vocabulaire dérivait rapidement au vulgaire lors de ses énervements.

- Bonjour Michel, encore là ! Envoie-t-elle sèchement.

Et tout en découvrant sa fille habillée inhabituellement en jupe courte elle continue :

- Mais comment tu es fringuée Léa ? d’où tu sors cette jupe, elle est tellement courte qu’on peut voir ton cul ! Je te dis pas le genre, et puis grouille-toi un peu, tu vas être en retard pour tes cours et n’oublie pas de prendre tes affaires de danse pour ce soir.

Et voila, la harpie est rentrée et elle commence par diriger tout son petit monde.

Léa lui explique qu’elle a préparé une salade tomate mozza pour nous trois, mais voyant sa mère de mauvaise humeur elle décide de prendre la tangente et ne tarde pas à s’en aller me faisant un bisou appuyé alors que du bout de sa main elle caresse ma queue furtivement.

Enfin seule avec Martine, il fallait que je sois bon maintenant.

Je l’observe du coin de l’œil, elle est habillée d’un ensemble noir, jupe et tailleur cintré sous un petit chandail blanc et très fin, a priori d’une très belle qualité, ses jambes sont nues et musclées se terminant par des chevilles très fines sur des escarpins hauts talons. Son visage est plutôt agréable, dommage qu’il soit autant fermé. De dos je mate plus franchement son superbe cul qui est bien mis en valeur dans sa jupe cintrée et ma queue ne s'y trompe pas, je la sens tressaillir dans mon boxer.

Alors que mes yeux sont fixés sur son cul, Martine tourne la tête et me voit la mater.

- Oh, vous gênez surtout pas Michel, c’est pas de la came pour votre serin ! dit-elle en rigolant.

Quelle charretière cette nana, alors je décide d’attaquer :

- Dis donc, je ne suis pas un tes gars de chantier, c’est sûr que c’est plus de la came pour ces mecs qui bandent pour des belles salopes bourgeoises comme toi.

Stupéfaite, Martine vient de prendre mon premier uppercut, elle est passée de rose à blême. Son regard est flou et un peu perdu.

- Mais Michel, c’était une petite plaisanterie, je ne voulais pas vous vexer... Je vous présente mes excuses, mais vous pensez ce que vous venez de me dire ? Vous me percevez comme une bourgeoise ?

Elle hésitait à continuer et pourtant je connais le langage de chantier.

- Et comme une salope ?

Alors je lui assène mon deuxième uppercut.

- Je ne te perçois pas comme une salope, mais j’ai la preuve que tu en une ! dis-je en lui balançant le gode dans les mains.

Bien sûr elle reconnait de suite l’objet. Je la vois presque tituber sous la violence de la révélation et son regard révèle tout son désespoir. Il faut absolument que je la mette KO avant qu’elle ne trouve la ressource de récupérer la situation.

- Mais où avez-vous trouvé ça, vous avez fouillé dans mes affaires ? Répond-elle en prenant conscience qu’il y avait toute sa correspondance indélicate avec.

Je la tiens presque. Alors je tente :

- Eh oui, j’ai tes lettres et tous les détails de ta perversion.

Elle va pour se défendre, alors je lui envoie une gifle bien sentie qui l’ébranle. Je lui ordonne sur un ton qui ne laisse pas de doute sur mes intentions :

- Ta gueule, j’aimerai bien te voir à poil. Dépêche toi, allez, vire des vêtements et garde tes chaussures !

Tout se joue là. Soit elle cède et je la tiendrais, soit elle refuse et je me retrouve coincé, car jamais je ne la forcerais, pour moi le jeu est de l’amener à admettre la situation et à la fin de l’accepter.

Elle essaye de reprendre le dessus mais son regard ainsi que sa voix sont beaucoup plus effacés.

- Mais Michel vous êtes fou, je ne peux pas faire ça, je vous en supplie ne me demandez pas ça...

Elle a les yeux larmoyants.

- Ne me fais pas attendre ! Allez, fais-moi un striptease et fais-moi bander… Tu es coincée ma belle !

A cet instant et suite à mes mots, son regard se détourne directement vers mon entrejambe pour vérifier mes dires. Un grosse bosse déforme mon short et elle peut effectivement constater que j’ai une sacrée trique. Je la sens en panique et malgré tout je perçois comme un éclat différent dans ses yeux.

Elle commence son déshabillage en ôtant sa veste, laissant apparaitre son chemisier qui est transparent et laisse voir son sous-tif. Elle est gênée par le gode qu’elle tient en main.

Je lui dis alors de se débarrasser de l’objet. Elle va pour le poser sur la table. Je lui ordonne d’arrêter en lui intimant mes ordres :

- Continue à te déshabiller, mais puisque le gode te gêne, prends-le en bouche, allez…

Martine alors obéit sans réagir. Elle ouvre la bouche et glisse le vibro dedans. Je l’observe et cette situation a pour effet de me faire encore plus bander. Mon piège est en train de se refermer sur elle et elle en est consciente.

- Tu es déjà habituée à l’avoir dans la bouche ou dans ta chatte lorsque tu te branles en relisant tes lettres. Allez, suce bien cette fausse queue qui a encore le gout de ta chatte !

Je prends conscience à ce moment que quelques minutes auparavant, Léa jouissait dessus en laissant une épaisse couche de son jus intime. Martine ne le sait pas, mais elle lèche et avale la mouille de sa fille.

Ayant la bouche pleine, Martine reprend son effeuillage, laissant son chemisier tomber à terre, puis son soutien-gorge, découvrant sa poitrine de petite taille mais très sensuelle, les tétons sont petits mais tendus. Son ventre est plat et on peut distinguer de légers abdos. Les bras sont marqués de discrets muscles longilignes.

Martine était une belle mature, très bien conservée, il est vrai que ma préférence allait vers des femmes avec de belles formes sensuelles, mais il émane de Martine une sensualité féline qui me plaît.

Tenant toujours le gode dans sa bouche, de la salive commence à s’écouler dessus. Je lui demande de le nettoyer et que si jamais une goutte devait tomber au sol, elle devra lécher le sol. Elle s’exécute et lèche le jus.

Je profite du moment pour prendre par surprise une photo avec mon portable. Martine est surprise et paniquée. C’est de cette manière que je la soumettrais totalement, car j’ai les écrits et j’aurai les photos qui prouvent que Martine est une vraie salope.

- Mais que faites-vous Michel ? Je vous en prie, ne faites pas de photos de moi dans cette situation… Qu’allez-vous en faire ? Vous êtes un vrai salaud, vous profitez de ma faiblesse pour m’abuser !

Et oui, elle sait maintenant qu’elle est ma chose. Sans répondre, je la somme de continuer. Elle reprend le gode en bouche et descend la fermeture de sa jupe. Je l’observe et me rends compte que cette salope regarde furtivement mon short. Que c’est bon de la sentir glisser peu à peu vers où je veux la mener. J’en profite pour mettre en avant mes hanches ce qui a pour effet de faire encore plus ressortir cette énorme bosse.

La jupe tombe à son tour, me laissant découvrir ses hanches et galbes marqués de ses cuisses discrètement musclées. C’est indéniable, c'est une mature sportive. Elle porte un string blanc transparent. Que c’est excitant de l’avoir là devant moi presque nue. Je vois son pubis noir au travers du tissu. Elle le taille en forme de ticket de métro. Je bande comme un fou et je n’ai qu’une envie c’est de lui fourrer dans la bouche et juter au fond. Mais il faut que je me contienne pour mener à bien ma mission. Il est certain que ce que je kiffe le plus dans l’anatomie de Martine c’est son superbe cul qui pour le moment m’est encore invisible.

- Tu es vraiment très belle, Martine, et crois-moi tu me fais durcir la bite comme jamais…

Elle me regarde avec étonnement tout en renfonçant le gode au fond de sa bouche puis sans même s’en rendre compte elle le ressort passe sa langue autour du bout puis le renfonce.

- Allez ma belle, tu as un corps de panthère fuselé et athlétique, montre-moi maintenant ta faille, là où tu enfournes fiévreusement ce gode dans la solitude de tes pensées inavouables, où tu souhaiterais tellement recevoir la bite que je te cache et dont tu veux sentir toute la dureté au fond. Allez, avoue Martine, tu mouilles comme une folle !

Sur ces derniers mots, elle a comme le réflexe de resserrer ses cuisses, comme pour cacher son secret. Puis lentement, me regardant droit dans les yeux, elle fait glisser la dentelle blanche qui orne ses hanches, découvrant peu à peu sa toison soigneusement taillée et dans un ultime geste le string rejoint la jupe à terre.

Une nouvelle photo, cette fois de la future belle-maman de mon fils, entièrement nue, sauf ses hauts talons. En vérité elle est très sexe comme ça. Je zoome pour découvrir sous sa toison le renflement du clito et les deux saillies formées par les lèvres de son sexe.

- Tourne-toi lentement et fais-moi découvrir le plus beau secret que révèle ta plastique, montre moi ton cul !

Martine commence à pivoter lentement, comme si elle souhaitait faire durer ce moment. Comme si elle m’offrait ce cul comme un cadeau, et ma foi je ne suis pas déçu. Il est divin, aux proportions parfaites en goutte d’eau, mais très ferme et ourlé. L’avantage du cheval, ça muscle le cul et le périnée. Et là alors elle diffère de beaucoup de mon ex, car elle, elle avait le cul qui tombe et ses cuisses étaient plutôt molles.

Je profite qu’elle me tourne le dos pour dégager  ma queue qui n’en peut plus. Je la dépose sur mon tee-shirt, grosse, longue et dure.

- Écarte tes fesses que je puisse voir ton petit trou !

Posant ses deux mains de chaque coté, elle écarte les deux lobes pour me laisser une vue directe. Son anneau est sombre et apparait très serré, nouveau zoome et photo du plus intime de sa personne. Étonnement, elle accentue son mouvement et ouvre son cul. Je peux même voir sa fente... Mais c’est vrai... J’avais raison... INCROYABLE. Alors que je la contrains, cette salope est trempée. Sa mouille inonde son vagin.

J’y suis... Je suis là ou je voulais l’emmener... Qu’elle vienne à prendre du plaisir a être humiliée.

Je suis à nouveau assis dans le canapé la queue à l’air,  je reprends mon ton autoritaire :

- C’est bon, viens ici, devant moi et ouvre tes cuisses que je puisse voir ta chatte de plus près !

Elle s’exécute et me rejoint, en ôtant le gode de sa bouche qu’elle dépose à mes cotés. Positionnée devant moi, elle écarte ses jambes félines alors que ses yeux ne quittent pas ma bite qui ressort sur mon tee-shirt blanc. Je pose alors le bout de mon index sur son capuchon. Dès le contact Martine vibre, sa respiration s’accélère...

- Je vous en prie Michel, vous voyez bien que je me suis rendue alors, s’il vous plaît, ne m'humiliez pas plus...

Pour toute réponse, je fais glisser mon doigt dans son fourreau et y trouve bien caché au fond, son clito. Elle gémit tout doucement comme pour étouffer un cri qui je vous le confirme est un cri de plaisir. Je suis aux anges, car je la sens prête à lâcher ses dernières défenses. Mon doigt maintenant frôle son bouton, elle s’électrise. Ses jambes se tendent et laissent apparaitre les longs muscles qui les gainent. Son ventre se tend en même temps que son bassin s’avance. Imperceptiblement elle plie les genoux pour augmenter la pression de mon doigt sur son bouton. Je sens sourdre son orgasme comme un torrent qui ébranle le sol avant de jaillir de la terre, Martine explose sous mon doigt tout en lâchant une longue plainte 

- Nonnnnn.... ohhh...  Nonnnnnnn...

Sa jouissance est accompagnée d’un épais et long jet de mouille qui s’écrase sur le tapis du salon et inonde ses escarpins noirs.

 - Une fontaine, tu es une salope de femme fontaine.

Puis plusieurs jets suivent le premier, laissant Martine inondée et ébranlée mais toujours debout devant moi.

- Je comprends mieux pourquoi tes lettres sont recouvertes de taches, c’est lorsque tu te branlais en les relisant, tu jouissais dessus hein vieille salope ! En fait tu aimes ça la bite ! Hein ? Alors ? Réponds, dis-moi la vérité !

- Oui, répond-elle essoufflée, c’est vrai que ça m’est arrivée de me caresser en les relisant, mais c’est parce que Pierre ce connard ne me baise plus depuis longtemps, il n’y a que quand je lui passe un savon qu’il bande ce con. 

- Alors j’ai craqué une fois ou deux ! finit-elle. 

Je sentais beaucoup de reproche pour Pierre dans ce cas : "il ne me baise plus...ce connard". Je reprends la main.

- Écoute-moi bien, c’est la première fois mais je te garantis que c’est aussi la dernière fois que tu jouis sans que je t’autorise à le faire. M’as-tu bien comprise, moi je ne suis pas ton mari, ma queue tu peux la voir, elle peut te faire jouir mais elle peut aussi te faire excessivement souffrir.

- Oui j’ai compris Michel, vous êtes impitoyable ! Ajoute-t-elle

- Réponds-moi sale pute !

Alors que je lui envoie une nouvelle gifle mais plus dure que la précédente. Elle bascule et se retrouve au sol.

- Oui je ne le ferai plus, c’est promis ! Balbutie Martine tout en se tenant la joue rougie par le coup.

Je lui demande alors de s’agenouiller face à moi. Elle a maintenant le regard face à mon sexe. Je saisis le gode et le tend à Martine en lui ordonnant de l’enfoncer dans sa chatte. Puis attrapant son autre main disponible, je la pose sur ma bite et lui demande :

- Maintenant tu vas me branler doucement, tu vas t’astiquer la chatte en même temps et tu vas me raconter une histoire.

Elle empoigne mon barreau et inconsciemment en teste la rigidité. Mais son expression est interrogative :

- Quelle histoire voulez vous entendre ?

- Eh bien, je veux que tu me racontes comment s’est passé ton rendez-vous avec ces deux frères ce fameux vendredi ! et ne me mens pas sinon…

Elle blêmit et relâche la pression de sa main sur mon sexe.

- Mais que voulez vous savoir ? Ils m’ont sauté tous les deux et c’est tout !

Je ne la sentais pas et je percevais qu’elle ne me racontait pas tout. Alors que je me préparais à lui décocher une nouvelle gifle, elle s’est reprise…

- Ok je vais vous raconter la vérité. En fait, ils m’attendaient dans la chambre de cet hôtel. Un de ces hôtels discount où vous réglez par carte et vous ne voyez personne à l’entrée, bien pratique pour les amours furtifs.

Sa main me branle doucement, descendant jusqu’à mes couilles pour faire saillir mon gland gonflé et remontant pour faire apparaitre une goutte de jus à chaque fois. Elle semble être douée pour une nana qui ne baise jamais. De son autre main, elle fait onduler le vibro au même rythme. Bref elle continuait à me relater les évènements :

 *****

Sur sa demande, j’étais nue sous un manteau long et ne portais que des bas noirs, un porte-jarretelle noir et des bottes hautes noires. J’avais pris soin de mettre des lunettes noires pour éviter d’être reconnue. Dans une des poches du manteau, j’avais les 5000 euros en liquide qu’il m’avait réclamés.

Et c’est la peur au ventre que je frappe à la porte de la chambre 132. José, oui c’était son nom, m’ouvre la porte et me laisse entrer. La pièce est plutôt petite, 15 m², l’ameublement spartiate et très dépouillé. Un homme est allongé sur le lit. Habillé d’un jean, il est torse nu, plutôt bien fait d’ailleurs, il m’observe. José se place derrière moi, me saisit les poignets et les maintient fermement dans mon dos.

- Je te présente Pedro mon frère, beau mec hein ? Et encore t’as pas encore vu son engin ! Tu as mon fric ?

Je lui indique ma poche.

- Très bien, tu es très obéissante !

Je lui demande en retour pour mes photos. Il sort son portable, me montre les photos et dépose l’appareil sur la table. 

- Il sera à toi lorsque tu ressortiras de cette chambre, allez maintenant, montre à mon frère comment une bourgeoise comme toi se balade le soir dans le but de se faire troncher.

José m'aide à ôter mon manteau et je me retrouve nue au milieu de la pièce. Pedro avait l’air d’apprécier. Il m’observe, mes bottes avec mes bas et mon porte-jarretelles me donne l’air d’une pute, ma toison fournie noire ressort sur ma peau blanche.

Pedro plonge sa main dans son short et en ressort sa bite. Elle est énorme, épaisse et sombre et vient heurter son ventre. Je tremble en voyant la taille de son sexe. Il finit par ôter son short et est maintenant nu. Son membre émerge d’une forêt de poils noirs cachant presque entièrement ces couilles. Il me fait signe d’avancer, je sens José dans mon dos qui me pousse vers lui, je suis coincée. J’avance lorsque Pedro saisi à pleine main ma touffe de poil épais. Je crie de douleur, car il tire mes poils et c’est un endroit très sensible. Il tire dessus de manière à me faire avancer vers lui. Je le précède tellement la douleur est forte. Puis prenant sa bite en main il me dit doucement :

- Allez viens ma vieille ! Suce-moi !

Je me penche vers sa queue que je vois de plus en plus grosse, mais alors que je m’approche une très forte odeur m’envahit les narines et j’ai un geste naturel  de recul, mais Pedro est plus rapide et m’attrape les cheveux. Il me force maintenant. J’entends José qui rit derrière en disant :

- Tu vois Pedro, tu aurais dû te laver la bite ce matin, après avoir enculé Bobonne, parce que tu as la queue qui pue, je la sens d’ici mon salaud et ça a l’air d’incommoder Madame.

Pedro avait décalotté son gland et le frottait contre mon visage, j’avais envie de vomir. Puis il posa son gland sur mes lèvres et en força le passage. Sa queue envahit ma bouche et frappa le fond de ma gorge. Son goût acre inonda mon palais, je fus prise de nouveaux haut-le-cœur.

Me tenant par la tête, il commença ses vas-et-vient, finissant pas me baiser la bouche. Sa queue était grosse et j’avais du mal à la prendre entière dans ma bouche, mais Pedro y allait à fond.

José, lui, vint inspecter ma chatte et aux combles de la honte pour moi, il la trouva trempée. Je n’avais jamais été autant humiliée et je n’avais jamais autant mouillée.

- Pedro... Elle mouille comme une chienne, elle aime être salie !

A ces mots, Pedro s’enfonça au fond de ma gorge et éjacula de gros et épais jets de foutre. J’étais surprise par son éjaculation si rapide. Ma bouche se remplit de son liquide alors qu’il m’ordonnait de tout avaler, ce que je fis en partie car la quantité était vraiment trop importante.

J’avais du foutre sur les joues et les seins lorsque Pedro se dégagea du lit. Je reprenais mes esprits et observais José qui sortait d’un sac des objets. Il posa sur la table une boite de préservatifs, un collier de chien, une chaine, une cagoule en latex, une paire de menottes.

  *****

Martine continue à me caresser mais au fur et à mesure qu’elle raconte son histoire, la fréquence et l’intensité de son branlage s’accentue sur mon sexe et dans sa chatte. Je ne m’attendais pas à autant de détails de sa part, on sent bien qu’elle a vécu une séance qui l’a terriblement marquée, et je suis impatient de connaitre la fin de son histoire avec ces deux gars. J’espère pouvoir retenir mon éjac jusqu’à la fin. Elle continua.

 ***** 

Je ne comprenais pas à quoi tout cela rimait. José vint vers moi, il passa une menotte à ma cheville gauche puis me mit le collier de chien au cou et par-dessus la cagoule. Il y avait trois trous pour les yeux et la bouche, elle se refermait derrière la tête par une fermeture. Le latex collait à ma peau surtout qu’il restait encore beaucoup du foutre de Pedro sur mes joues.

Puis José m’a disposé en travers du lit, il accrocha une extrémité de la chaine à l’anneau de mon collier de chien et en faisant glisser la chaine sous le lit en attacha l’autre extrémité à la menotte. De cette manière j’étais prisonnière du lit, allongée en travers, mais je pouvais rester libre de mes mouvements de tête et d’une seule de mes jambes.

J’étais effrayée, car dans cette situation j’étais à leur merci surtout quand José finit de m’attacher les poignets dans le dos.

Il demanda à Pedro d’essayer.  Alorscelui-ci vint à la hauteur de mon visage et répondit :

- C’est OK, elle est au bon niveau pour bien sucer et toi  ?

Je sentis alors la main de José enserrer la cheville de ma jambe libre et la remonter jusqu’à la hauteur de son visage. Ce qui avait pour effet d’écarter dans un angle maximum mes cuisses et offrir ma fente et mon anus à toutes pénétrations.

- C’est super, on peut la fourrer par ses deux trous comme ça !

J’étais en panique, qu’est ce qu’ils pouvaient bien manigancer ces deux pervers ? Je ne dus pas attendre bien longtemps pour le savoir. José prit son téléphone, composa un numéro et dit :

- Salut, oui ça y est, on est prêt ici, et toi ? Y a du monde... SUPER ,donc tu peux envoyer les trois premiers.

Je n’osais comprendre ce que ces mecs étaient en train de faire, lorsque José est venu me murmurer à l’oreille :

- Voila comment ça va se passer, des mecs vont venir et ils vont me payer pour te baiser. Fais attention, car dans le lot il y en a certains qui bossent pour toi. Alors fais-toi discrète si tu ne veux pas qu’ils te reconnaissent. Je te conseille d’accepter la situation et tu verras tout se passera bien, ils ne viennent pas violer une femme, mais plutôt la baiser. Alors profite !

Je hurlais :

-  Salaud ! Tu n’as pas le droit ! Je vais vous tuer ! Laissez-moi partir ! J’ai du fric si tu veux, mais...

Lorsque l’on frappa à la porte j’étais en pleurs. Le premier homme entra et José lui dit :

- Le tarif c’est 20€ la pipe, 40€ pour la baiser et 60 pour l’enculer…

Le mec répondit qu'il voulait que je le suce et il donna 20 €. Il ouvre sa braguette et sort sa bite. Et s’approche de moi. J’ai honte de m’être mis dans une telle situation, je suis la pute de ces mecs. J’ouvre la bouche et cet inconnu me fourre sa queue dedans.

Je ne sais pas combien de temps à duré ce petit jeu, j’ai pris au moins 20 queues dans la bouche et ils m’ont tous craché dedans, plus de 15 bites m’ont défoncé la chatte et des gros calibres de toutes les couleurs, noires, beurs et trois m’ont enculée, non, je devrais dire explosée le cul...

Et le pire dans cette histoire, c’est ce dont j’ai le plus honte aujourd’hui, c’est que j’ai joui comme une folle, mes orgasmes se succédaient à répétition et je recevais une nouvelle bite avec ardeur comme enivrée par cette odeur de foutre, de mouille et sueur, cette odeur de sexe qui me retournait l’esprit, je n‘étais plus qu’un sexe offert à 1000 verges crachant leurs foutres.

 *****

A cet instant, Martine me branle comme une folle, je n’en peux plus, je vais jouir. Je me lève et lui demande d’ouvrir la bouche. Ce qu’elle fait sans délai. Elle tire la langue et me dit :

- Allez Michel, donnez-moi votre jus, je le veux, je veux avoir son goût dans ma bouche, et le sentir couler dans ma gorge.

Je n’en peux plus et je gicle sur sa langue. Elle jouit elle aussi une nouvelle fois et inonde le tapis de sa mouille. Je vois mon sperme emplir sa bouche. Quelle belle vision de voir la future belle-mère de mon fils avaler mon foutre dans une séance de soumission puis l’entendre me dire :

- Oh comme c’est bon, j’adore son goût !  oh oui quel plaisir !

J’en profite pour lui demander de me nettoyer le gland avec sa langue, ce qu’elle fait avec zèle.

 Tout en remettant ma bite dans mon short, je suis heureux car j’ai atteint deux objectifs aujourd’hui. J’ai fait de Léa et de sa mère deux soumises sexuelles. Décidément cette future belle-famille me réserve de drôles de surprise.

Mais je ne suis pas au bout de ces surprises…

A suivre...

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