Traduction par Coulybaca en 2009 d'un texte de Arc Light : Black Boss
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le patron assoit son emprise sur le couple d'employés.
Madame Karen Saunders était sur les nerfs les quelques jours qui suivirent ce jour où elle avait satisfait les appétits lubriques du patron de son mari en lui prodiguant une fellation. Elle n'avait que rarement prodigué des fellations à son mari.
David passait par une période épuisante tant le travail de l'usine s'avérait éreintant. Son patron noir avait ordonné à son contremaître noir de refiler à David les boulots les plus sales, les plus déplaisants. Plus il était crevé et plus il était stressé ce qui avait un impact direct sur ses capacités et ses désirs sexuels, il faisait de moins en moins l'amour à sa charmante femme frustrée.
Une semaine s'était presque écoulée depuis qu'elle attendait le coup de téléphone du patron noir. Michael savait que plus il retardait son coup de fil, plus l'adorable madame Saunders se crisperait. Michael adorait au moins autant le temps de la conquête que les plaisirs dégradants qu'il tirait ensuite de ses conquêtes. Lorsque la sonnerie du téléphone retentit, Karen le regarda avec appréhension. Se saisissant délicatement du combiné elle le porta à son oreille et souffla timidement :
- Oui...
Michael la laissa mariner quelques instants avant de dire ses premiers mots. Le temps qu'il parle, la tremblante madame Saunders avait été totalement déstabilisée, elle angoissait terriblement.
- Madame Saunders...
Karen, les mains tremblantes, les lèvres pincées, répondit misérablement à la voix autoritaire à l'autre bout du fil :
- Oui, monsieur Washington...
- Je t'avais dit de ne pas permettre à ton mari de te toucher cette semaine... M'as-tu obéi ? L'interrogea-t-il avec arrogance.
- Je n'ai pas fait l'amour avec David monsieur Washington... Il a essayé à plusieurs reprises, mais j'ai prétendu avoir des maux de tête ! Répondit la tremblante jeune femme.
- Je veux que tu viennes me rejoindre à l'usine... Mais tout d'abord, je vais te dire quoi porter. Je te suggère de ne pas me décevoir ma chérie ! Continua-t-il d'une voix menaçante.
Il attendit encore quelques instants avant de reprendre, ce qui permit à sa jeune soumise de bien digérer ses instructions.
- Dorénavant ma petite chérie, tu ne porteras plus de jupe de moins de 22 centimètres au-dessus des genoux... Plus de soutien-gorge... De toute manière tes petits nibards n'en ont aucun besoin ! La railla-t-il cruellement.
- Lorsque tu viendras, tu feras mieux d'amener les préservatifs de ton mari. Lorsque tu seras là, si tu as appliqué mes instructions, je te laisserai enfiler un préservatif sur ma grosse bite avant de te baiser madame Saunders... Eh, au fait madame Saunders, n'oublie pas de m'apporter le prix de mes faveurs ! La railla-t-il encore.
Karen, traumatisée, digérait les consignes humiliantes. Lorsque Michael Washington eut reposé le téléphone, Karen se laissa glisser du plan de travail de la cuisine et s'assit sur le sol immaculé. Son cœur battait la chamade, une fine couche de transpiration lui couvrait tout le corps. Ses tétons pointaient au travers du tissu de sa blouse de coton blanc. Sa main glissa dans son collant et elle entreprit de se caresser lentement la chatoune. Elle était déjà gorgée de sang avant même que sa main ne s'insère dans son affriolante petite culotte blanche.
Quelques instants plus tard elle reprit ses esprits, elle jeta un coup d'œil circulaire dans sa kitchenette et se rua sur le petit lit qu'elle partageait avec son mari. Elle se dépouilla rapidement de sa blouse blanche et de son collant. Une fois qu'il furent tombés au sol, elle ôta sa petite culotte blanche trempée de cyprine et enfila sa plus belle petite culotte de dentelle noire qu'elle sortit du tiroir de sa commode. Elle passa son porte-jarretelles noir et s'assit sur le lit pour enfiler des bas tirés du même tiroir sur ses longues jambes bronzées. Tenant la porte de l'armoire ouverte elle sélectionna un short bleu marine et un élégant gilet. Elle aurait du porter un chemisier sous son gilet sans manches, mais elle décida d'oublier le chemisier.
Comme elle quittait la chambrette elle se rappela soudain qu'elle devait prendre un article primordial. Elle ouvrit alors le tiroir de la table de nuit de son mari et s'empara de trois préservatifs. Les protections en main, elle courut vers la porte de son logis surchauffé. Dès qu'elle eut atteint sa voiture vieille de dix ans elle couvrit rapidement les 15 km séparant le camp de l'usine.
Lorsqu'elle franchit les murs protégeant l'usine vieille de 60 ans, elle pensa alors à un détail qui lui avait totalement échappé,
- Que ferait-elle si elle tombait sur son mari ? Comment lui expliquerait-elle s'être vêtue en pute ?
Jetant un rapide coup d'œil autour d'elle elle courut presque pour escalader les escaliers menant aux bureaux. Alors qu'elle débouchait dans le hall de réception, elle sentit monter en elle une bouffée d'angoisse. Elle ferma la porte dans son dos et se dirigea directement vers le bureau de la secrétaire de Michael Washington, une grande et ravissante noire qui un affichait un sourire ricanant. Karen lui confia timidement :
- J'ai rendez-vous avec monsieur Washington !
- Pouvez-vous me donner votre nom ? La questionna la fille noire, toisant la jeune femme effarouchée.
- Je m'appelle Karen Saunders... Répliqua-t-elle timidement.
Lorsque sa secrétaire l'avertit que son dernier jouet l'attendait, il lui rétorqua avec arrogance de la faire attendre. Il se rappela alors qu'il n'y avait pas de chaise dans le bureau de sa secrétaire, cela l'amusa que la charmante ménagère se stresse encore plus de ce fait, lorsqu'après 20 minutes il l'autorisa à pénétrer dans son sanctuaire.
Comme madame Saunders entrait timidement dans son luxueux bureau, elle se posta face à son bureau en chêne massif. Se trémoussant, elle regarda son amant noir qu'elle avait sucé moins d'une semaine plus tôt jusqu'à ce qu'il se vide dans sa bouche.
- Bien, que me voulez-vous Madame Saunders ? Lui demanda ironiquement le patron noir de son époux.
Karen regardait à terre ahurie par cette question. Dans son esprit elle était ici parce que ce sale bâtard assis dans son large fauteuil voulait fourrer sa grosse bite dans son tendre minou. Elle était ici parce que faute de se plier à ses demandes luxurieuses son mari perdrait son emploi. Elle était ici parce que sa chatoune secrétait un torrent de cyprine dans sa petite culotte de dentelle noire et ses nichons pointaient comme des obus au travers du tissu de sa veste bleue. Elle était ici parce qu'elle voulait que ce salopard fourre ses 25 centimètres de bite noire dans sa chatoune détrempée. Finalement parce que son mari blanc ne l'avait jamais excitée comme ce bâtard de noir, qui l'obligeait à le supplier de la baiser.
- Je ne sais pas ce que vous voulez que je vous dise... Murmura la petite ménagère hébétée.
Amusé Michael Washington, son suborneur noir, la regarda droit dans ses yeux effrayés lui donnant cette réponse :
- Tu es ici ma chère madame Saunders pour te faire sauter par ma grosse mentule noire ! Si on te repose cette question, tu répondras que tu es ici au service de ma queue ! Est ce bien compris ?
Effrayée, chancelante sur ses hauts talons noirs, frémissant d'un long tremblement alors que sa chatoune coulait à flot elle murmura doucement :
- Je suis ici pour me faire baiser par votre grosse bite noire !
- As-tu apporté mes honoraires ? L'interrogea Michael Washington.
Plus qu'humiliée Karen fouilla dans son porte-monnaie et en sortit 5 billets de 10 $. Cela représentait quasiment 20 % de la paye nette de son mari. Comme elle sortait l'argent de son porte-monnaie, les 3 préservatifs tombèrent au sol. Elle se baissa, ramassa les trois capotes et se tint debout les serrant dans ses petites mains.
Regardant railleusement sa dernière conquête, il demanda à la petite ménagère, se moquant visiblement d'elle :
- Aimerais-tu que je me serve des capotes de ton mari lorsque je te baiserai ?
- Oh oui, je vous en prie ! Je ne veux pas me retrouver enceinte... Lui rétorqua-t-elle nerveusement.
Le patron noir l'attira gracieusement à lui, et contourna le bureau regardant droit dans les yeux la timide et infortunée jeune femme. Il prit son menton en main et l'embrassa sur les lèvres. Il lui caressa un moment ses lèvres purpurines de sa grosse langue épaisse sondant ses dernières défenses.
Après quelques essais sa ravissante proie se soumit l'autorisant à enfouir sa langue dans sa bouche chaude et humide. Il explora de la langue sa petite bouche. Elle tenta, en vain, de combattre de sa langue l'impitoyable envahisseur. Comme sa langue recherchait la sienne, il posa sa main gauche sur le gilet bleu qui lui couvrait les miches. Il massa lentement ses globes mammaires et finit par déboutonner les boutons du col.
Effarouchée par cette manœuvre elle voulut reculer d'un pas. C'est alors qu'elle comprit où elle se trouvait et surtout pourquoi elle était là. Il continuait à déboutonner son gilet bientôt sa grosse main empauma un de ses petits nichons. Tout en lui malaxant ses tendres nibards, il frottait la bosse déformant son pantalon contre l'estomac de la jeune femme indubitablement excitée. Elle haleta en sentant sa grosse mentule bien dure frotter contre sa chatoune embrasée. Sous cette caresse les lèvres gonflées de sa chatoune virèrent au rouge vif témoignant de leur profond attisement, la jeune femme referma son bras sur la large épaule de son suborneur.
Il avait terminé de déboutonner son gilet et faisait maintenant glisser le léger vêtement de ses épaules la laissant ensuite choir au sol. Ce mouvement dévoila en totalité sa petite poitrine. Comme le noir dominateur baissait les yeux sur la magnificence de ses miches, il sentit un brusque afflux de sang engorger sa bite. Comme il bombait le ventre lui imposant un contact étroit avec sa bite déployée, quelqu'un frappa à la porte du bureau. Un large sourire fleurissant sur ses lèvres il ordonna :
- Entrez...
La ménagère follement excitée était abasourdie. Hébétée, elle braquait ses yeux sur le visage ricanant du noir qui lui triturait sans vergogne ses tendres nichons.
Karen recula et tenta de couvrir ses charmes comme un collaborateur blanc de son époux entrait dans la pièce et se figeait captivé par la vue de la jeune femme blanche cherchant à dissimuler ses charmes. Abasourdi, comme paralysé, il se tenait mâchoire pendante lorsqu'il vit l'énorme bosse qui déformait le devant du pantalon italien du patron. Regardant dans les yeux la malheureuse Karen profondément humiliée, il sentit brusquement sa queue se redresser.
Il se retourna alors vivement marmotta quelques vagues excuses et se rua vers la porte.
Le patron tendit alors la main et attira la blonde ménagère contre son torse la main fixée dans ses longs cheveux.
- Tu n'as pas besoin de ta jupe, enlève là ! Lui commanda-t-il sévèrement.
Confondue par ces derniers instants, Karen dégrafa rapidement la fermeture éclair de coté de sa jupe, comme sa jupe tombait au sol le maître noir se retrouva confronté à l'image affriolante de ses longues jambes gainées de bas noirs. Il tendit la main et tapota gentiment le ventre musclé de la ravissante jeune beauté. Il continua à flatter son ventre jusqu'à ce qu'il rejoigne la ceinture de sa petite culotte de dentelle noire. Tandis qu'il tapotait son estomac, il la fixait droit dans les yeux. Elle se pourléchait les babines maquillées de rouge, un soupir lui échappa alors.
- Désires-tu que je te fourre avec ma grosse bite noire madame Saunders ?
En transe, une transe sexuelle qu'elle n'avait jamais éprouvée auparavant, la jeune femme murmura humblement :
- Oui... Oh, oui je désire votre gros pénis noir !
Le patron noir comprit alors que la suite de sa conquête passait par sa dépendance sexuelle. Lui-même avait besoin de s'accaparer la fragile épouse d'un de ses ouvriers éreintés. Une fois qu'elle serait tombée sous sa totale emprise sexuelle, il détruirait l'amour propre de son mari.
- Enlève-moi ma chemise, puis mon pantalon. Je veux que tu me branles avec tes délicieuses petites mains ! Lui intima-t-il avec autorité.
Elle obéit docilement. Elle lui ôta sa chemise puis son élégant pantalon dénudant ses cuisses musclées. Bien sur, il ne portait pas de caleçon, et sa longue bite confinée dans son pantalon jaillit à l'air libre dès qu'elle le lui enleva. Michael guida la jeune femme subjuguée jusqu'à un large canapé de cuir à l'opposé de son bureau, elle se laissa tomber sur de confortables coussins. Incrédule elle fixait les 25 centimètres de la grosse bite noire de Michael alors qu'il se laissait tomber à genoux. Il posa ses doigts sur la ceinture élastique de la petite culotte de dentelle et lentement, avec une effroyable indolence il baissa le dernier voile qui dissimulait la caverne détrempée de la jeune et ravissante épouse de son subordonné.
Karen le supplia de se presser, mais Michael roula lentement sa petite culotte noire le long de ses longues, longues jambes. Fermant les yeux elle priait pour qu'il lui ôte rapidement son sous-vêtement pour engouffrer sa grosse flamberge directement dans l'estomac. Michael regardait sa caverne chaude et engorgée de cyprine, il baissa la tête et lui lécha ses babines luisantes. Ce mignotage très doux faillit provoquer un orgasme prématuré alors qu'elle arquait le ventre pour s'offrir plus généreusement aux caresses de sa langue fouineuse.
- Je vous en prie, léchez-moi la chatte... Oh mon Dieu ! Hurlait-elle folle de frustration.
Plus Karen le suppliait de lui lécher la foufoune, de lui mettre sa grosse bite dans la chatoune, plus Michael hésitait. Le temps, le fait d'asseoir totalement son emprise sexuelle était important. Michael Washington contrôlait totalement la ménagère qui se tordait de désir le suppliant de la sauter.
- Ma jeune amie si guindée, si prude, voudrait-elle ma grosse bite noire dans sa cramouille ? La raillait son maître noir.
- Oh mon Dieu, je vous en supplie... Je vous en prie, je ne peux plus attendre... Ayez pitié ! Gémissait la malheureuse jeune femme follement excitée.
Michael referma sa main sur grosse biroute dressée et s'agenouilla à quelques pas de sa fentine qui se tenait cuisses grandes écartées, prête à l'accueillir. Lorsque le plaisir des léchouillages cessa, Karen ouvrit les yeux et se figea apeurée à la vue de la gigantesque mentule qui s'alignait sur sa minette détrempée. Elle avança son cul vers la massive colonne se cabrant sur les talons pour tendre son ventre vers l'envahisseur tant désiré. Comme la tête de sa grosse mentule noire heurtait les babines lubrifiées de sa délicieuse chatte, Karen était sur le point de tourner de l'œil. La chaleur intense émanant de son gland turgescent l'émouvait au plus haut point, elle était impatiente de sentir Michael envahir son tunnel d'amour. Elle gémissait sourdement alors qu'il se pressait contre sa chagatte accueillante. La jeune ménagère blanche s'effarouchait se demandant si son étroite chatoune s'adapterait aux mensurations de son énorme chibre. Elle s'arquait pour l'inviter à la pénétrer plus vite, impatiente de se faire baiser par son massif épieu.
- Veux-tu que j'arrête pour enfiler une des capotes de ton mari ? Lui demanda-t-il sarcastiquement, un large sourire fleurissant sur son visage.
- NON... Je vous en prie, ne me laissez pas comme ça ! Pénétrez-moi ! Je vous en prie... Mon dieu baisez-mooooooooiiiiiiiiiii... Hurlait Karen misérablement.
De son bureau, la secrétaire de Michael avait du entendre sa supplication. C'était un cri de désespoir qu'elle entendait quasi journalièrement depuis que Michael Washington avait repris l'usine. A chaque jour sa femelle blanche !
Centimètre après centimètre il enfouissait sa grosse biroute dans son étroite cramouille. Lorsqu'il en eut enfoncé 10 bons centimètres, il s'immobilisa et regardant avec délectation le visage tourmenté de sa proie ravagée par un plaisir incontrôlable il se moqua :
- Là t'en as aussi long que la queue de ton mari dans la chagatte ! Je ne t'en donnerai pas plus aujourd'hui !
Karen donnait des coups de rein désespérés pour en absorber plus. Elle agrippa ses épaules et referma ses longues jambes dans son dos faisant de son mieux pour l'enfouir plus profondément dans sa grotte embrasée. Toutefois, en dépit de tous ses efforts elle ne parvenait pas à avaler un centimètre de plus de sa noire monstruosité dans sa chagatte avide, prête à le recevoir.
- Serre ta chatoune... Je veux que tu aspires mon braquemart noir avec tes muscles vaginaux... Fais-moi plaisir et j'inonderai ta chatoune de foutre ! Déçois-moi et je te déchirerai les fesses à grands coups de ceinture ! Lui intima-t-il avec autorité.
Karen se pliait servilement à ses ordres. Elle sollicitait son éjaculation. Ce monstre noir qui la baisait à couilles rabattues l'excitait follement, un intense orgasme la terrassa qu'elle n'avait jamais ressenti avec sa mauviette de mari.
- Tends tes petites mains ma chérie, cajole ma bite ma jolie petite pute ! Poursuivit-il en lui donnant ces ordres humiliant.
Karen empoigna la dure bite et traya la grosse mentule tandis que sa chagatte se crispait et se décrispait sur sa hampe turgide. Elle se masturbait frénétiquement avec la bite de Michael, elle était épatée de constater qu'il restait 13 centimètres de biroute hors de sa foufoune pourtant un max distendue.
Michael continuait de la railler :
- Veux-tu goûter à mon foutre petite salope !
Karen avait perdu pied, elle planait loin de la réalité. Tout ce qu'elle comprenait c'est qu'elle avait joui alors qu'elle branlait le patron de son mari, qu'elle travaillait sa bite à l'aide de ses muscles vaginaux tout en le priant de la baiser à fond. Il finit par succomber aux vagues de plaisir que lui prodiguait frénétiquement la petite ménagère, il explosa sous les caresses de ses muscles vaginaux qui enserraient sa bite dans un gant de fer. L'orgasme de Michael mit le feu aux fesses de la petite ménagère folle d'excitation, il la laissa continuer à branler sa bite toujours raide. Il reposait sur le dos tandis que Karen continuait imperturbablement son oeuvre de plaisir. Elle continua pendant 10 bonnes minutes rebondissant d'orgasme en orgasme.
Il ne la laissa jamais absorber les 13 derniers centimètres de sa hampe, il les gardait en réserve pour leur prochain rendez-vous.
Finalement, consumée d'amour elle se laissa tomber sur le canapé éreintée.
Son adorable corps couvert de sueur continuait à soubresauter alors que son cœur reprenait un rythme plus normal après ces intenses orgasmes. Après ce qui lui sembla durer une éternité, Karen ouvrit des yeux las et jeta un oeil sur son corps amolli. Ses tétons raidis avaient repris leur taille habituelle, elle se redressa légèrement et vit sa mince parure de poils empesée de foutre, le même foutre qui dégorgeait de sa chatte béante pour s'écouler sur la moquette. Elle braqua les yeux sur Michael alors qu'il récupérait les gouttes de sperme s'écoulant de sa cramouille entre ses doigts avant de les porter à ses lèvres, qu'il enduisit de sa semence salée, elle pointa sa langue et en savoura le goût. Il étala alors le foutre sur son corps, elle ne résista pas. Enfin, il se redressa et lui intima :
- Et maintenant nettoie ma bite !
Sans hésiter, elle glissa hors du canapé et entreprit de lécher sa biroute en semi-érection. Des gouttes de semence suintaient de son méat, Karen les savourait de la langue et des lèvres. Une fois la grosse bite noire nettoyée de toute souillure, elle lui nettoya les burnes les suçant avidement jusqu'à obtention de burnes débarrassées de toute flétrissure.
Michael se releva alors et se dirigea vers son bureau où il s'assit regardant l'adorable ménagère enfilant ses habits usés et trempés. Il ne disait pas un mot et la jeune femme revint à la réalité tout en revêtant ses humbles habits. Elle se dirigea modestement vers la porte et descendit avec lenteur les marches menant au parking. Elle atteignait sa voiture lorsqu'un groupe d'ouvriers sortit de l'usine.
En sortant de son atelier, David eut l'énorme surprise de trouver son accorte jeune femme face au bureau du patron. Il courut la rejoindre. Il la rejoignit au moment même où Michael Washington sortait de son bureau. Ils se regardèrent les uns les autres. La présence de sa femme à l'usine rendait David perplexe. Karen baissait la tête au sol, elle sentait le foutre du patron de son mari s'écouler le long de ses cuisses. Michael fut le premier à parler :
- Les capotes de ton mari madame Saunders ! Ricana-t-il hilare en lui tendant les caoutchoucs lubrifiés.
L'échange de regards effarouchés entre les deux époux l'amusait énormément. Karen tendit la main humblement et récupéra les capotes inutilisées des mains de son suborneur.
- Avant que tu partes madame Saunders... Je veux que tu me donnes ta petite culotte noire... Je veux la garder en souvenir de notre premier rendez-vous cet après-midi ! Se moqua la brute noire postée face aux deux époux hébétés.
Un nombre conséquent d'ouvriers avait convergé vers le petit groupe et les encerclait l'air surpris, ils ne savaient pas ce qui se tramaient sous leurs yeux. Ils ouvrirent des yeux comme des soucoupes en voyant madame Saunders relever sa courte jupe et baisser sa petite culotte de dentelle noire. Les mains tremblantes, folle de honte elle tendit la main, offrant sa petite culotte au propriétaire de l'usine.
Michael n'en revenait pas de voir la pauvre jeune femme lui offrir sans hésiter sa petite culotte sous les yeux des ouvriers rassemblés autour d'eux. Après une bonne minute il empoigna la petite culotte qu'il porta à ses narines se régalant des senteurs musquées de l'épaisse purée de foutre et cyprine mélangés qui en souillait le fond. Tournant les talons pour réintégrer son bureau, il lui délivra un dernier message :
- Je t'appellerai quand je voudrai profiter à nouveau de tes charmes ma chère madame Saunders...
Sur ces mots il ouvrit la porte de ses bureaux et disparut délaissant le couple et la troupe d'ouvriers qui s'entreregardaient. David se sentait vidé de toute énergie alors qu'il se tenait au cœur du groupe de ses collègues qui venaient de voir sa femme offrir volontairement sa petite culotte à leur impitoyable patron.
Il ne réalisait pas encore que son voyage en en enfer ne faisait que commencer !
FIN.
Cette fin me laisse sur ma faim. Quel dommage 😔 j’aurais aimé, comment cette relation allait évoluer et si les toutes les soumises de monsieur Washinton entreraient en relation entre elles…
RépondreSupprimerAu moins maintenant les choses sont claires pour le mari, et les autres employés
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