jeudi 29 août 2024

S'encanailler.

Traduction d’un texte de BJB69.

Il s’agit d’une fiction bien sûr, mais elle est extrêmement crade. Vous voilà averti !!!!!

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Carla a épousé Nick Watson un an après qu’ils ont obtenu leur diplômes universitaire. Ils avaient tous les deux 23 ans. Nick est un grand et bel homme d’1m80 et 80 kilos. Il est costaud et musclé. Carla est une belle femme. Elle mesure 1m70, elle a des jambes à tomber par terre, un joli cul rond et une superbe grosse poitrine. Ils forment un couple parfait.

Un an après leur mariage, ils ont eu une fille qu’ils ont appelée Tracy. C’est à ce moment que leur vie sexuelle a commencé à battre de l’aile. Pour une raison inconnue, Nick sembla beaucoup moins intéressé par le sexe, même si Carla perdit très vite ses kilos de grossesse et retrouva rapidement la ligne. Lorsque Tracy eut six ans, le couple n’avait plus de rapports sexuels du tout. Carla essaya tout, mais Nick ne semblait plus intéressé. Elle finit par acheter quelques jouets et vidéos, mais cela ne remplaçait pas la queue de son mari.

Finalement Clara en eut marre. Un soir, alors qu’elle en était à son troisième verre de vin, elle décida de résoudre le problème. Elle savait qu’elle ne pouvait pas se montrer dans des bars, car elle serait probablement reconnue. Donc elle s’est dit qu’elle devait aller dans un endroit où personne la connaîtrait. Elle fit une dernière tentative le soir-même pour attirer son mari, mais ce fut en vain.

Nous voilà don le lendemain. Après avoir emmené Tracy à l’école, Clara enfile une jupe très courte, un haut moulant sans manches avec les trois boutons du haut ouverts. Elle achète deux bouteilles de vin et se rend dans un parc situé dans le quartier pauvre de la ville. Après avoir garé sa voiture, elle entre dans le parc et se dirige vers la zone à l’arrière où il y a des SDF. Elle s’assoit sur un banc. Elle est rapidement abordée par un jeune homme qui lui dit :

- Salut bébé ! Que fais-tu ici ? Tu travailles ?

- Je me repose. Va voir ailleurs !

Le jeune s’en va sans demander son reste. Carla est nerveuse, elle se demande si elle ne fait pas une erreur d’être ici. Elle est plongée dans ses pensées quand elle entend quelqu’un dire :

- Ça va madame ?

Elle lève les yeux et voit un vieil homme noir habillé en lambeaux assis à côté d’elle. Il pue et ses cheveux sont gras, mais il a un grand sourire même si beaucoup de dents sont manquantes. Carla ne sait pas pourquoi, mais elle sent ses mamelons durcir et sa chatte commencer à la picoter. Elle sourit à l’homme et lui dit :

- Oui je vais bien monsieur. Voulez-vous partager mon vin avec moi ?

Le sourire de l’homme illumine son visage. Cette fois, elle remarque que les quelques dents qui lui restent sont jaunies. Le SDF se dit que cette femme sexy doit s’amuser à ses dépens. Mais il décide de jouer le jeu pour le moment.

- Bien sûr Bébé que je vais partager ton vin !

Il la regarde prendre une bouteille de vin dans son sac et la lui tendre.

- Vous pouvez l’ouvrir ? Demande-t-elle.

Il sourit et enlève le bouchon. Il prend rapidement une gorgée avant qu’elle ne puisse reprendre la bouteille. Quand il voit qu’elle ne dit rien, il prend une autre longue gorgée avant de lui tendre la bouteille. 

- Merci ! Dit-elle avant de boire elle aussi une gorgée.

Il n’arrive pas à croire que cette femme sexy boive dans la même bouteille que lui. Elle se tourne et lui tend à nouveau le vin. Il dit alors :

- On pourrait se faire arrêter pour avoir bu de l’alcool dans ce parc.

- Y a-t-il un endroit où nous pourrions aller pour finir la bouteille, monsieur ?

Il réfléchit pendant une bonne minute, puis il suggère de manière hésitante :

- Eh bien… Euhh… Nous pourrions… Euuhhh… Aller chez moi si tu veux.

Ils se lèvent tous les deux du banc et Clara pose une main sur soin bars en disant :

- Bien sûr monsieur ! Je n’ai pas envie de me faire arrêter et vous avez l’ai d’un homme bien. 

Le clochard remarque qu’elle n’est qu’un peu plus petite que lui. Il pense alors : « Qu’est-ce qui se passe ? Cette salope sexy partage son vin avec un clodo et elle veut aller chez lui pour en boire plus ? ». Tout en gardant la bouteille dans sa main, il se tourne et dit :

- Suis-moi !

Elle tire sur son bras pour le forcer à se tourner vers elle et elle lui dit :

- Merci de me laisser venir chez vous !

Puis elle se penche en avant et embrasse sa joue rugueuse et sale. Il est tellement abasourdi qu’il se contente de la regarder. Elle lui sourit, puis attire sa tête vers elle. Quand leurs lèvres se touchent, Clara est sur le point de vomir. L’haleine de l’homme est horrible, mais elle enfonce sa langue dans sa bouche. Tandis que le baiser s’éternise, elle sent des mains se poser sur ses fesses et les serrer. Elle s’écarte alors, ils prennent une autre gorgée de vin. Puis le clochard la tourne lentement pour qu’elle soit dos à lui.

Il lui tend la bouteille, fait tourner sa tête pour qu’elle regarde par-dessus son épaule et pose à nouveau ses lèvres sur les siennes pour un long baiser. Pendant qu’ils s’embrassent, il glisse une main dans son chemisier puis dans son soutien-gorge, et l’autre sous sa jupe. Il sent qu’elle mouille et il l’entend légèrement gémir. Il se dit alors qu’il va pouvoir baiser la femme la plus chaude qu’il n’ait jamais baisée.

Carla sait que c’est probablement sa dernière chance de pouvoir tout arrêter avant que ça n’aille trop loin. Alors qu’elle commence à avoir des doutes, elle sent son doigt entrer dans sa chatte humide. Il le fait bouger lentement et il dit :

- Allons-y bébé !

Sa décision est prise. Elle hoche la tête et se tourne pour le suivre. La bouteille dans une main, un bras autour d’elle avec la main sur sa poitrine, ils marchent dans le parc.

Il ne faut que cinq minutes pour atteindre sa cabane. Celle-ci n’est faite que de vieux contreplaqués, de cartons, de fûts métalliques et autres déchets. Le vieil homme rampe à l’intérieur, se retourne et lui dit :

- Entre, on va faire la fête ! 

Carla sourit et se glisse à l’intérieur en disant :

- C’est amusant. j’ai une autre bouteille dans mon sac. Au fait, c’est quoi votre nom ?

Elle rampe et s’assoit à côté de lui. Il prend une gorgée de vin et lui tend la bouteille. Il sourit et dit :

- Appelle-moi Monsieur Carter !

Carla hoche la tête tout en pensant que c’est un peu bizarre qu’elle doive l’appeler Monsieur au lieu d’un prénom. Elle ne réalise pas qu’il s’agit d’une forme de respect pour lui. 

Après que Clara ait pris une gorgée, il met son bras autour de ses épaules, une main sur sa poitrine et dit :

- Où en étions-nous ?

Elle se retourne, lui sourit et se penche pour l’embrasser. Lorsque ses lèvres noires et sales touchent les siennes, ses mamelons durcissent instantanément. Pendant qu’ils s’embrassent, elle laisse l’homme déboutonner son chemisier et dégrafer son soutien-gorge. Elle l’embrasse encore plus fort quand il lui enlève ces deux vêtements. Lorsqu’ils rompent le baiser, elle se baisse et enlève sa jupe et sa culotte.  Le vieil homme a un sourire jusqu’aux oreilles. Ses mains trouvent ses seins qu’il tripote et malaxe. Puis il pince et tord ses mamelons durs. Clara a son premier orgasme tandis qu’il s’amuse.

Bientôt elle le regarde et lui dit :

- Je veux sucer voter bite et ensuite je veux que vous baisiez ma chatte blanche.

Alors qu’elle dézippe son pantalon  et sort sa bite, il dit :

- Je n’ai pas lavé ma queue depuis des lustres, alors elle va puer.

Elle le regarde en levant les yeux et lui répond :

- Pas grave, monsieur. Ça ne me dérange pas !

Son sexe sent horriblement mauvais, mais elle embrasse et lèche lentement le gland avant de le mettre dans sa bouche. Lentement elle fait entrer la plus grande partie de la queue dans sa bouche tout en luttant contre son envie de vomir à cause de la puanteur. Elle sent l’homme poser sa main sur l’arrière de sa tête alors qu’il fait entrer et sortir sa bite répugnante de sa bouche. Elle suce l’engin quelques minutes avant de lever les yeux et le supplier :

- S’il vous plaît, baisez-moi. Je veux sentir votre grosse bite noire dans ma chatte.

L’homme lui fait encore un sourire édenté et lui dit :

- Mets-toi sur le dos, salope !

Personne n’a jamais traité Carla de salope auparavant, mais pour une raison qu’elle ne connaît pas, cela ne la dérange pas, au contraire. Elle s’allonge sur le dos à côté de lui. Il se place sur elle et dit :

- Pourquoi ne mets-tu pas toi-même, ma bite dans ta chatte blanche, salope ?

Immédiatement elle tend la main vers le bas, attrape la queue et met le gland dans sa chatte.

- Ohhhh Monsieur Carter… Elle va m’étirer… Dit-elle.

Le clochard noir pousse sa grosse bite dans la chatte serrée de la femme blanche.

- Ohhhhh…. Ahhh ouiiii…

Il commence lentement à faire entre et sortir sa bite, puis il se met à la pilonner vicieusement.

- Argggghhh ! Ouiii !! Ohhh putain !  Crie-t-elle. 

Aucun des deux n’arrive à compter combien de fois elle jouit alors qu’il la martèle.

- Ohhh ! Ohhh ! Ohhh ! Merde !! C’est comme si… Argghhh ! Ohhh merde !! Baisez-moi !

Elle est insatiable et continue de jouir. Le vieil homme tient plus longtemps qu’il n’aurait pensé, mais finalement il déverse son sperme dans la chatte de Carla. Sa bite débande lentement et il roule à côté de la femme.

- Nettoie ma bite, salope ! Ordonne-t-il.

- Qu… Quoi… ? Demande-t-elle.

- Nettoie ma bite avec ta bouche, salope !

- Mais je… je n’ai jamais fait ça…

Après une brève pause, Carla se force à approcher sa tête de sa queue et commence à le lécher. Elle s’applique pendant quelques minutes, puis ‘allonge de nouveau à côté de l’homme.

- Avant que tu partes, je veux baiser ton cul bien rond ! Dit-il.

- Non ! Je n’ai jamais fait ça avant. On ne peut pas !

Le clochard commence alors à déplacer ses mains sur son corps nu, tripotant ses seins et caressant sa chatte.

- Mais aujourd’hui tu vas le faire.

- Mais je… je… Ohhhh… Ohhh…

Les mains continuent de se déplacer sur son corps et bientôt l’homme insère un doigt dans sa chatte. Un deuxième le rejoint et il commence à les bouger lentement. Carla gémit et essaie de repousser les doigts. Il lui sourit et dit :

- Dis-moi que tu veux que je t’encule, salope :

- Ohhhh… Arghhh… Nooonn… je ne peux pas faire ça… Ohhh…

- Dis-le, salope ! Exige-t-il.

- Ahhh… S’il vous plaît… Ohhh… Nonn… Je ne peux…

Il augmente la vitesse de ses doigts dans sa chatte. Il sent que sa bite commence à bander à nouveau.

- Dis-le, salope !

- OUI… Ohhhh… Ohhh ouii… S’il vous plaît, enculez-moi !

Il continue à bouger les doigts jusqu’à ce que sa bite soit en érection avant de dire :

- Tourne-toi, salope, et mets-toi à genoux !

Quelque chose dans le fait que ce vieux clochard noir la traite de salope excite fortement Clara. Elle se lève d’un bon et se tourne pour se mettre à quatre pattes. L’homme prend un pot de graisse qui doit lui servir pour la cuisine et il badigeonne sa bite. Ensuite il en met un peu sur le cul de Clara avant de présenter son gland sur le petit trou. Lentement il pousse.

- Aiiiieeee… Ca fait mal…. Aiiie… S’il vous plaît stop… Aiiieeee.

Lentement, le vieux SDF fait glisser sa bite dans son cul jusqu’à ce que ses boules touchent son bas-ventre. Il commence alors à la baiser. Tandis qu’elle gémit et qu’elle semble jouir à nouveau, il comprend que la douleur s’est changée en plaisir. Alors il augmente la vitesse et l’encule de plus en plus fort. Elle aime ça.

Tandis qu’il la sodomise violemment, il commence à penser à quel point il aimerait avoir cette petite salope sexy comme pute personnelle. n’ayant rien à perdre il dit :

- Prends ma queue, salope ! Tu es ma pute maintenant. Tu comprends ? Tu es ma salope !

- Ahhhh… Ohhh ouiii… Baisez mon cul… Ahhhh…

- Dis-moi que tu es ma salope maintenant. Dis-le, salope !

- Ohhh… je… je suis… Ohhhh…

- Dis-le salope !

- Ahhhh… je suis votre… Ohhh… Je suis votre salope, Monsieur CARTER. Je suis votre pute blanche.

Il continue à l’enculer et dit :

- Tu es MA salope ! Ton corps m’appartient. Tu as compris, salope ?

- Oui ! Ohh oui ! Vous possédez mon corps. Je suis la salope d’un vieil homme noir.

L’homme continue son enculage et lui fait répéter à plusieurs reprises qu’elle est sa salope et qu’il la possède avant de finir par éjaculer dans son cul. Après avoir retiré sa bite, il lui demande de la nettoyer. Rapidement elle lèche et suce son engin ramolli.

Alors qu’ils restent allongés l’un à côté de l’autre, il dit :

- Maintenant que tu sais où je vis et où je traîne, je m’attends à te revoir, salope !

- Mmmm. Bien sûr Monsieur Carter. Je vais certainement revenir pour profiter de votre bite.

Après quelques minutes de silence, Carla s’habille et sort de la cabane. Quand elle se tourne, elle voit l’homme sortir. Elle le regarde, s’avance, met ses bars autour de son cou et l’embrasse en enfonçant sa langue dans sa bouche. Les mains du SDF trouvent son cul et serrent ses fesses.

Quand ils s’écartent l’un de l’autre, il dit :

- Dis-moi ce que tu es !

Elle sourit et l’embrasse à nouveau. Puis elle chuchote :

- Je suis votre salope, Monsieur Carter. Mon corps vous appartient.

Il sourit en montrant ses dents jaunies. Elle se tourne et s’en va dans l’allée pour rejoindre sa voiture. Elle court chez elle et prend une douche avant d’aller chercher Tracy à l’école. 

Cette nuit-là, alors qu’elle est allongée dans son lit, son esprit dérive sur les évènements de l’après-midi et sa séance de baise intense avec le clochard. Il a bien assouvi ses besoins sur le moment, mais plus elle y pense, plus elle est dégoûtée d’avoir offert son corps à un clochard. Non seulement il puait, mais sa bite était vraiment sale. Il l’a traitée comme une vulgaire salope, une pute. Il est arrivé à lui faire dire de choses qu’elle n’arrive toujours pas à croire qu’elle les ait dites. Allongée dans son lit, elle décide de ne plus jamais faire une erreur pareille et qu’elle ne fera plus l’amour avec M. Carter, sous aucun prétexte.

Bien que Carla pense périodiquement à M. Carter au cours des deux semaines suivantes, elle reste ferme dans sa décision de l’éviter. Elle ne sait pas si c’est à cause de son dégoût pour ce qu’elle a fait ou si c’est parce qu’il avait satisfait ses besoins sexuels.  Elle passe son temps à s’occuper de sa fille et de sa maison.

Mais après quelques semaines, elle recommence à être agitée. Son mari évite toujours de faire l’amour avec elle et elle utilise son gode tous les soirs. Mais ça ne la satisfait pas complètement.

Alors une fois de plus, elle va acheter deux bouteilles de vin et se rend au parc. Elle porte un short et un débardeur serré sans soutien-gorge. Elle aime la façon dont ses gros seins poussent le tissu léger. Plutôt que d’attendre sur un banc comme la dernière fois, elle trouve le chemin à travers le parc vers la zone des sans-abris. Elle finit par trouver la cabane de M. Carter, mais elle réalise qu’il n’est pas là.

- Hé petite dame !

Elle se tourne et voit un homme âgé noir qu’elle ne connaît pas.

- Savez-vous… Savez-vous où est M. Carter ?

 L’homme ne se gêne pas pour fixer ses seins. Il demande :

- Qui ?

- M. Carter ! L’homme qui vit dans cette cabane. Savez-vous où il est ?

L’homme lui sourit avant de continuer à regarder sa poitrine. Il dit :

- M. Carter hein ? Eh bien non… Euhhh… Non je ne sais pas où il est. Peut-être que je peux vous aider ?

- Non… Non merci, je reviendrai plus tard.

Alors qu’elle se tourne pour partir, elle entend quelqu’un crier :

- Hé salope !

Elle se retourne et voit M. Carter approcher.

- Où vas-tu ?

- J’ai pensé que vous n’étiez pas là, alors je repartais.

C’est alors que l’autre noir demande :

- C’est qui cette femme, Léon ?

M. Carter dit alors :

- C’est ma salope, Will.

Puis il se tourne pour regarder Clara  et il dit :

- C’est pas vrai, salope ? 

Carla fait un signe de la tête. Will rit et dit :

- Ouais c’est ça Léon. Tu n’arriveras pas à me le faire croire.

Léon regarde Carla et dit :

- Dis-lui !

- Je suis sa salope. qu’est-ce que je peux faire pour vous le prouver ?

Avant que Will puisse parler, M. Carter ordonne :

- Enlève ton haut et montre-lui tes seins de salope !

Carla tire rapidement son débardeur par-dessus sa tête. M. Carter s’approche d’elle, pose ses mains sur ses seins et les presse. Carla grimace et laisse échapper un glapissement. Le clochard lui ordonne encore :

- Maintenant, enlève ton short, salope ! 

Carla n’hésite que brièvement avant de déboutonner et laisser tomber son short sur le sol. Elle se retrouve debout devant deux vieux clochards noirs et sales avec seulement sa culotte.

- Maintenant la culotte, salope !

Carla glisse ses mains sous l’élastique et laisse tomber sa culotte sur le sol. C’est à ce moment que deux autres hommes noirs et aussi âgés les rejoignent. Carla commence à être nerveuse. 

Léon ou M. Carter se tourne vers les autres et leur dit :

- Le corps de cette salope m’appartient.

Embarrassée, Carla baisse les yeux quand l’homme ajoute :

- Elle fera tout ce que je lui dis de faire. N’est-ce pas, salope ?

Carla hoche lentement la tête. Will dit alors :

- Tu veux dire qu’elle a baisé ton vieux corps puant ? Tu n’as pas pris de bain depuis des mois.

Léon rigole :

- Non seulement nous avons baisé, mais elle a sucé ma grosse bite noire et ensuite je l’ai bien enculée.

Il fait une pause pendant une minute, puis il dit :

- Vous voulez la baiser ?

Bien sûr, les trois autres sans-abri hochent la tête avec enthousiasme.

- Ok. On va utiliser ta tente, Franck. Il y a beaucoup plus d’espace.

Les trois hommes se retournent immédiatement pour se diriger vers la cabane de Franck tandis que Léon Carter ramasse les vêtements de Carla, met son bras sur son épaule, la main sur sa poitrine, et la guide vers le lieu d’habitation de son ami. Une fois qu’ils ont tous rampé à l’intérieur, les hommes se jettent sur elle comme des loups sur de la viande fraîche. Tom se couche sur le dos et Carla est forcée de descendre sa chatte sur sa bite dressée. Will enfonce sa queue dans sa bouche et Franck demande à Léon s’il peut l’enculer. Celui-ci sourit et dit :

- Vous pouvez faire tout ce que vous voulez à ma salope. Assurez-vous qu’elle nettoie vos bites quand vous aurez fini.

Franck trouve de la graisse dans un bocal et badigeonne sa bite. Il se place derrière Clara et la regarde prendre du plaisir avec les deux bites de ses copains. Puis lentement, il met son gland à l’entrée de son cul et pousse à l’intérieur.

- AIIIIEEEEE ! OWWWWW !! OWWWW ! Stop ! Ça fait trop mal !!! S’il vous plaît, arrêtez !

Carla crie alors que Franck commence à l’enculer avec vigueur. Après avoir fait sortir et entrer sa queue dans son cul plusieurs fois, il commence à accélérer le mouvement. La douleur se change progressivement en plaisir tandis que trois hommes s’occupent de tous ses trous. l’odeur de leur corps est révoltante et le goût de la bite de Will est horrible et lui donne envie de vomir. Mais elle prend du plaisir et jouit encore et encore sous les assauts répétés. 

- Ahhhhh !! Ouiiii !!! Ohhhhh !! Baisez-moi !!!

Il ne faut pas longtemps avant que Will déverse son foutre dans la gorge de la jolie femme blanche. Quelques secondes plus tard, les deux autres hommes remplissent de foutre sa chatte et son cul. Tom demande à Carla si elle veut nettoyer leur bite et avant que Léon puisse dire quelque chose, elle dit à bout de souffle :

- Oui ! Oui, donnez-moi vos bites. Je veux sucer vos bites. s’il vous plaît !

Les deux hommes se relaient  pour qu’elle nettoie leurs bites puantes et dégoûtantes avec sa langue et sa bouche. Quand elle a fini, elle reste allongée en pensant qu’elle n’a jamais eu autant d’orgasmes de suite. Elle frémit en pensant qu’il s’agit d’une jouissance longue et intense.

Tandis qu’elle reste allongée, les hommes en profitent pour  déplacer leurs mains noires et rugueuses sur son petit corps blanc. Il la caresse, tripotent ses seins et sa chatte. Leurs mains montent et descendent le long de ses jambes et sur son ventre.

- Tu as trouvé une belle petite salope, Léon. On peut encore la baiser ?

Le clochard hoche la tête et répond :

- Ouais. Tu peux la baiser autant que tu veux. Comme je l’ai dit, fais ce que tu veux d’elle. Ma chienne aime ça.

Carla les entend parler d’elle comme si elle n’était pas là. Cela aurait dû la mettre en colère que M. Carter la donne à ses amis pour qu’ils l’utilisent comme une vulgaire pute. Et elle aurait dû être encore plus énervée qu’il leur dise qu’elle ferait tout ce qu’ils voudraient. Mais pour une raison quelconque, être traitée de chienne, de salope ou de pute l’excite énormément et fait durcir ses tétons. Elle se dit que oui, elle ferait tout ce que ces vieux clodos noirs et puants voudraient.

Après une heure, les hommes étaient reposés et prêts à recommencer. Une fois de plus, Carla se retrouve avec trois bites bien dures en elle en même temps. Ils la baisent sans se soucier de son confort ou de son plaisir. Elle hurle alors qu’ils attaquent brutalement sa bouche son cul et sa chatte avec leur bite. Ils giflent son cul et ses seins tout en pilonnant ses trous. Ils la baisent pendant un bon moment, puis ils changent de trous et recommencent. Ils l’utilisent pendant près d’une heure avant de jouir dans ses orifices. A ce moment, Carla est dans un été d’hébétude complet. Elle a été baisée plus longuement et plus fort que jamais auparavant. Elle a joui encore et encore. Bien sûr, les hommes l’obligent à nettoyer leurs bites avec sa langue, puis Will dit :

-Ça m’a donné une faim de loup. Il faut aller chercher à manger.

Les hommes se lèvent et regardent la salope blanche. Léon demande :

- T’as de l’argent pour de la bouffe, salope ?

Le cerveau de Clara est embrumé mais elle comprend et répond !

- Oui ! Dans la poche de mon short !

Will fouille le vêtement et sort deux gros billets qu’il met dans sa poche. Puis il dit :

- Je vais aller nous chercher à manger !

- Pendant que tu vas chercher à bouffer, je vais baiser le visage de ma salope. j’aurais fini quand tu reviendras ! Dit Léon.

Tom et Will partent ensemble alors que Léon se dirige vers Carla et lui enfonce sa bite dans la bouche. Bien qu’elle soit épuisée, couverte de sueur et pas encore remise de la séance de baise précédente, elle accepte avec empressement cette grosse bite noire. Elle le suce jusqu’à ce qu’il jouisse. Il se vide dans sa gorge puis range sa bite dans son pantalon. Il sourit en regardant sa salope blanche. Il n’aurait jamais cru pouvoir baiser une femme aussi sexy. Et pas seulement la baiser, mais la posséder. Il se dit qu’il doit vérifier cette dernière assertion, alors il demande :

- Dis-moi ce que tu es ?

- Mmmm ? Gémit-elle en léchant le pourtour de ses lèvres pour s’assurer qu’il ne reste pas de sperme.

- Je t’ai dit de me dire ce que tu es ?

Elle lui sourit et répond :

- Je suis votre salope M. Carter. Vous possédez ma chatte, mon cul et ma bouche. Je vous appartiens Monsieur.

Léon sourit. Il aime qu’elle l’appelle « Monsieur ». Ça lui montre que cette chienne connaît sa place dans leur relation. 

- Oui, tu m’appartiens, salope. Tu n’es rien d’autre qu’une pute pour bites noires, n’est-ce pas ?

Elle hoche rapidement de la tête.

- Ok ! Maintenant salope, lève-toi, habille-toi et dégage !

Elle se lève en tremblant et enfile lentement son short et son haut taché. Elle voit que Will lui a laissé ses clés de voiture, mais a pris tout son argent. Elle s’en moque. Elle aurait payé bien plus pour la séance qu’ils lui ont donné cet après-midi. Léon l’aide à sortir de la tente puis lui serre les fesses en disant :

- A plus tard, salope ! Reviens quand tu voudras te faire baiser de nouveau comme une pute !

- Oui je le ferai. Vous pouvez compter sur moi M. Carter ! Répond-elle.

Il lui faut beaucoup de temps pour arriver à sa voiture. Ses jambes tremblent et elle est vraiment épuisée. Elle sait que du sperme coule le long de ses jambes et tache le devant de son short, mis elle s’en fiche. Elle n’a pas le temps de passer chez elle avant d’aller chercher sa fille, alors elle va directement à l’école. Quand Tracy monte dans al voiture, elle dit :

- Maman, tu pues !

- Je sais ma chérie. Je travaillais dans le jardin et je n’ai pas eu le temps de prendre une douche avant de venir te chercher.

Tracy acquiesce et tourne la tête pour regarder par la fenêtre.

Arrivées à la maison, Carla dit à sa fille de regarder la télé pendant qu’elle prend une douche. Elle se sent beaucoup mieux après, mais elle est encore fatiguée. Elle a l’impression de marcher bizarrement tellement son cul et sa chatte lui font mal après avoir été utilisés tout l’après-midi.

Cette nuit-là, allongée dans son lit, elle revit cette journée où elle s’est faite utilisée par trois vieilles bites en même temps. Elle sait qu’elle est sur une pente glissante et qu’elle devient dépendante de grosses bites noires qui sentent mauvais.  Mais elle apprécie leurs goûts et leurs odeurs. Ils sont une expérience merveilleuse pour sa chatte te e son cul. Ça l’excite vraiment d’être complètement dominée par ces hommes que la société a mis de côté. Elle comprend qu’elle ne peut pas arrêter et elle commence à planifier sa prochaine incursion dans le parc.

Il s’avère qu’elle n’a pas à attendre très longtemps. Trois jours plus tard, Nick lui dit qu’il doit se rendre à Atlanta pour toute la semaine suivante. Comme ses parents vivent là-bas, il emmène Tracy avec lui pour qu’elle voit ses grands-parents. Au début il pensait que Carla allait être réticente, mais il fut agréablement surpris qu’elle accepte. Ils doivent partir du lundi matin au samedi après-midi.

Le vendredi, pendant que Tracy est à l’école, Carla rend visite à M. Carter. Elle passe une heure à lécher et sucer sa queue et ses couilles. Elle met chacune des boules dans sa bouche et elle essaie de prendre les deux en même temps. Il baise son visage et gicle sur sa figure. Puis il l’oblige à tout récupérer et à tout avaler. Heureusement rien que de le sucer la faite jouir, car il lui dit qu’il n’a pas envie de mettre sa bite noire dans une pute blanche aujourd’hui. Quand ils ont fini, Carla dit :

- Léon, je me demandais…

CLAC ! Il lui donne une grande gifle qui laisse la marque de sa main sur son visage.

- Qu’est-ce… Qu’est-ce que j’ai fait ? Demande-t-elle, surprise.

Il la regarde fixement et dit :

- Tu ne m’appelles pas Léon, grosse salope. Ça voudrait dire que nous sommes égaux. Comment une pute blanche doit-elle m’appeler ?

Carla baisse la tête puis la relève lentement. Elle regarde le clochard et répond :

- Je suis désolée Monsieur. Je dois être respectueuse envers vous. Je dois vous appeler M. Carter.

Il a un sourire vicieux. Même si elle ne le sait pas, elle lui appartient maintenant. Mais comme il aime l’entendre, il demande :

- Dis-moi ce que tu es ?

Sans hésitation, elle dit :

- Je suis une salope à bites noires. Je suis votre salope. Je vous appartiens. Je ferai tout ce que vous me direz de faire Monsieur.

- C’est ça, salope. Maintenant que voulais-tu me dire ?

- M. Carter, je voulais vous demander si vous aimeriez rester avec moi à la maison la semaine prochaine. Mon mari et ma fille s’en vont pendant une semaine. .

Le clochard n’en croit pas ses oreilles. Dormir dans un lit douillet, manger de la cuisine maison, prendre un bain, ce sont des bonus après pouvoir baiser cette femme blanche et sexy tous les jours. 

- Tu veux que je reste avec toi la semaine prochaine, salope ?

- Oh oui ! Oui s’il vous plaît M. Carter. Je cuisinerai pour vous et je laverai vos vêtements. Vous pourrez me baiser quand vous voudrez comme vous voudrez. s’il vous plaît, dites oui !

Léon fait semblant de réfléchir comme s’il avait autre chose à faire. Finalement il dit :

- Eh bien, je suppose que je peux passer du temps avec toi la semaine prochaine.

Carla avait déjà pensé à ce qu’elle allait dire ensuite :

- M. Carter, je pourrais peut-être venir vous chercher vers 8 heures lundi matin. Je vous emmènerai chez moi et je vous préparerai un petit-déjeuner. Pendant que vous mangerez, je sucerai votre belle bite. Je la sucerai tous les matins pendant que vous prendrez votre petit-déjeuner si vous le souhaitez.

- Ça m’a l’air d’être un bon programme, salope. J’aime les bons petit-déjeuner de temps en temps. Et peut-être qu’on pourra inviter Franck, Will et Tom un jour pour qu’ils puissent te baiser à nouveau. Ils auraient probablement besoin d’un bain et d’un bon repas aussi. 

- Oh oui Monsieur. Tout ce que vous voulez. Je serai heureuse de cuisiner pour vous. Et vous savez que je serai heureuse d’être votre pute pour la semaine.

Carla se lève et ajoute :

- Je dois aller faire des courses pour le voyage de mon mari et ma fille. Je vous retrouve à 8 heures lundi matin sur la parking du parc. d’accord Monsieur ? 

Léon hoche la tête et lui donne une claque sur son cul sexy alors qu’elle se tourne pour s’éloigner. Elle se retourne, lui fait un sourire séduisant, se déhanche et lui demande :

- Pourquoi avez-vous fait ça ?

- Tu es à moi, donc je peux faire ce que je veux.

Carla hoche la tête et dit :

- Vous avez raison. On se voit lundi.

Léon rentre dans sa cabane et pense : « Putain que je suis chanceux. Jusqu’à peu, je n’avais jamais baisé une femme blanche et aussi chaude. Et je n’ai jamais eu une femme qui se soumettait complètement. Maintenant, elle va cuisiner pour moi et je vais rester chez elle une semaine. Putain de merde, c’est génial ! »

Lorsque que Carla vient chercher Léon le lundi matin, elle porte une robe d’été très courte qui lui arrive juste à quelques centimètres de la chatte et qui est complètement déboutonnée. Après s’être approchée d’elle, le clochard ouvre sa robe, exposant son corps nu à la vue de toute personne passant par là. Il caresse ses seins et tord ses mamelons durs pendant tout le trajet jusqu’à la maison.

Dès qu’ils ont passé la porte d’entrée, Clara fait glisser sa robe de ses épaules et la fait tomber au sol. Elle se retourne, lui fait un sourire séducteur et s’avance vers lui. Elle met ses bras autour de son cou et l’embrasse longuement en enfonçant bien sa langue dans sa bouche. Les mains de Léon se promènent librement sur son corps. Puis il rompt le baiser, la tourne, lui donne une claque sur les fesses et lui dit :

- Maintenant, si tu me préparais un petit-déjeuner, salope !

Carla se précipite à la cuisine et prépare pour son amant noir, des œufs, des toasts, du jus d’orange et du café. Alors qu’il est assis à table, il baisse son pantalon jusqu’aux genoux quand elle pose l’assiette sur la table. Elle s’agenouille et comme d’habitude elle est écœurée par l’horrible odeur émanant de l’entrejambe du clochard. Elle commence à sucer et lécher sa grosse bite noire ainsi que ses grosses boues. Léon engloutit sa nourriture comme s’il n’avait jamais rien mangé d’aussi bon. Elle continue de sucer sa bite jusqu’à ce qu’il ait fini.

- Apporte-moi un autre café, salope ! Ensuite je vais t’apprendre quelque chose de nouveau.

Elle se lève d’un bond et remplit sa tasse. Puis elle tombe de nouveau à genoux et pose ses mains sur son énorme queue. Léon tire une chaise de chaque côté de la sienne, puis il lève les pieds et les pose sur ses chaises. Carla se dit que ça va lui donner un accès plus facile à sa bite et ses couilles. Mais l’homme se penche en arrière de façon que son poids soit supporté par le bas de son dos, plutôt que son cul. Elle branle doucement sa bite tout en le regardant quand il demande :

- Dis-moi ce que tu es !

- Mmmm… je suis votre salope, M. Carter. Je ferai tout pour vous. Mon corps vous appartient.

Il affiche un sourire vicieux et dit :

- Lèche mon trou du cul, salope !

- Qu… Quoi ?

Il s’assoit rapidement et attrape ses cheveux. Il rapproche son visage du sien et la regarde fixement. Ses yeux lancent des flammes. Il serre les dents et dit :

- Tu ne viens pas de dire que tu ferais n’importe quoi pour moi, espèce de grosse pute blanche sans valeur ?

La voix de Carla tremble quand elle hoche la tête et dit :

- Ou… Oui Monsieur.

Il lui crache au visage et crie :

- Alors lèche-moi le cul et enfonce ta langue dans mon trou du cul. Compris, salope ?

- Ou… Oui Monsieur. Dit-elle doucement.

- Penche-toi et ouvre ta bouche de salope !

Carla obéit immédiatement et ouvre la bouche en grand. Léon se penche sur elle, se gratte la gorge et crache un énorme mollard dans sa bouche. 

- Avale ça, salope, et ensuite lèche-moi le cul !

Carla avale rapidement son crachat puis se baisse entre ses jambes. Il a repris sa position et elle lui lèche les couilles. Puis elle passe lentement sa langue jusqu’à son trou du cul malodorant. Elle lèche tout autour et se retient de vomir à cause de l’odeur. Chaque fois qu’elle reprend son souffle, elle lève ses yeux vers lui et le voit boire son café tout en lisant le journal. Il ne fait même pas attention à sa déchéance.

Carla continue à lécher jusqu’à ce qu’il lui donne une claque sur la tête et lui ordonne :

- Mets ta langue dans mon trou du cul, sale pute. Mon café est presque froid et j’aurai besoin d’une autre tasse quand tu auras fini.

Elle lèche légèrement une nouvelle fois le pourtour de son cul, puis elle introduit timidement sa langue dans le petit trou. Elle sent qu’il bouge son corps alors elle enfonce sa langue plus profondément. Lentement, elle baise son cul avec sa langue pendant qu’il continue de boire son café. Puis il dit :

- Prends ma queue pendant que tu lèches mon cul, salope !

Elle lève la main et branle sa bite tout en sondant son cul avec sa langue. Il ne lui faut que quelques minutes avant qu’elle ne commence à apprécier cette nouvelle forme de dégradation. Elle attaque son cul avec ardeur tout en branlant sa queue jusqu’à ce qu’il dise :

- Je vais jouir. Mets ta bouche de pute sur ma bite ! 

Elle retire sa langue de son cul et engouffre la bite dans sa bouche. Immédiatement elle sent qu’il gicle son foutre. La plus grande partie descend dans sa gorge, mais quelques gouttes tombent sur le sol de la cuisine. Quand elle a fini d’avaler, elle met ses mains sur ses cuisses et le regarde :

- C’était bien Monsieur ?

- C’était bien, mais il faut que tu apprennes à mieux le faire. Maintenant lèche ce qui est tombé sur le sol !

Elle baisse les yeux et voit que quelques gouttes de foutre sur le sol. Sans réfléchir, elle baisse la tête et les lèche. Quand elle relève la tête elle voit qu’il lui tend la tasse.

- Plus de café ! Dit-il.

Elle remplit sa tasse et s’assoit à ses pieds, la tête sur sa cuisse. Elle dit alors :

- M. Carter, je n’ai jamais fait ça auparavant. Je ne pensais pas que j’aimerais ça. Mais une fois que j’ai commencé, je ne pensais qu’à vous donner du plaisir.

Léon regarde sa salope blanche et dit :

- Tu dois toujours penser à ça, salope !

Il sent qu’elle embrasse sa cuisse en gémissant doucement. 

Pendant que Léon prend un bain, Carla se rend dans un magasin voisin et lui achète de nouveaux vêtements. Quand elle revient, il lui dit de se déshabiller et de s’allonger sur le lit. Comme il vient déjà de jouir, il pilonne sa chatte et son cul pendant quarante minutes avant de se vider dans son ventre et s’effondrer sur le lit, couvert de sueur et complètement épuisé. Bien satisfaite aussi, Carla se penche sur lui pour lécher la sueur sur sa poitrine.

Ils passent le reste du lundi et toute la journée du mardi à manger, boire, baiser et regarder la télévision. Quand la bite de Léon a besoin d’une pause, il utilise ses jouets sur elle, la rendant folle de plaisir. Le mardi soir, alors que Carla est ivre, elle poursuit à quatre pattes le clochard dans la maison en le suppliant de la baiser et de lui laisser lécher sa queue et son trou du cul. Léon se demande pourquoi il n’a pas rencontré une telle salope quand il avait son âge.

Finalement il lui laisse lécher son cul pendant près de trente minutes. Il aime l’entendre gémir alors que sa langue est enfoncée dans son cul. Après l’avoir baisé encore et encore et s’être vidé plusieurs fois en elle, il se dit qu’il a besoin de renforts pour le reste de la semaine.

Le lendemain matin, il dit à Carla qu’elle va le reconduire à sa cabane pour qu’il puisse demander à Will, Tom et Franck s’ils ne veulent pas les rejoindre pendant un moment. La jeune femme a des papillons dans l’estomac quand elle se rappelle de sa dernière expérience avec ces clochards. Elle sait qu’elle ne pourra peut-être pas tenir très longtemps, mais elle a hâte de passer un après-midi à se faire labourer par eux tous.

Léon trouve ses amis, ils s’entassent dans sa voiture et arrivent chez elle. Ils prennent chacun une bouteille dans le bar. Léon s’assoit et regarde ses amis baiser la femme blanche mariée. Les clochards ne la déçoivent pas.

La robe de Clara est arrachée et elle est brutalement mise à genoux. Trois bites bien raides, noires et puantes se présentent à son visage. Elle les suce jusqu’à ce que Franck dise :

- Je veux baiser cette salope !

En quelques secondes, elle a une bite dans chacun de ses trous et en quelques minutes ils sont remplis de foutre.

Pendant que les hommes se relaient pour se doucher, les autres boivent son vin et jouent avec son corps. Ils la baisent tout l’après-midi et toute la soirée. Puis ils descendent dans la salle de jeu où ils pilonnent leur pute jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse. Ils regardent la salope blanche mariée et ils se moquent d’elle. Puis ils remontent, boivent encore plus de vin , puis vont se coucher.

Carla se réveille vers deux heures du matin. Elle se sent bizarre et quand elle regarde vers le bas, elle voit deux queues de billard qui sortent de son corps. Elle en a une dans sa chatte et une dans son cul. Elle a des pinces de classeur en métal sur ses mamelons et elle voit que l’on a écrit quelque chose sur son ventre. Elle enlève les pinces et retire les queues de billard. En se redressant elle lit « Pute à Bites Noires » écrit sur son ventre. Même si ses tétons et sa chatte lui font mal, elle sourit, car elle sait que l’expression est vraie. Elle est vraiment devenue une pute pour des bites de noirs.
 
Carla se rend dans la salle de bain du bas et se regarde dans le miroir. En face d’elle, elle a une salope qui a été bien utilisée. Elle se lave la figure, passe une brosse dans ses cheveux et met un tee-shirt de son mari. Elle monte les marches, s’effondre sur le canapé et s’endort. Cette fois elle est réveillée par Léon qui est penché sur elle. Quand elle ouvre les yeux, il dit :

- Enlève ce tee-shirt et prépare-moi un petit-déjeuner !

Carla se lève lentement et fait passer le tee-shirt au-dessus de sa tête. Léon sourit quand il voit que l’inscription est toujours sur son ventre. Carla prépare des crêpes, des œufs et des saucisses pour le petit-déjeuner. Peu de temps après, ses quatre invités sont attablés et mangent tandis qu’elle est sous la table pour passer d’une bite à l’autre.

Le jeudi se déroule comme le jour précédent. Le corps bien blanc de Carla est baisé et maltraité toute la journée. Elle jouit encore et encore et s’évanouit plusieurs fois. Elle perd le compte du nombre de fois où elle avale du sperme ou qu’elle doit le récupérer dans sa chatte et son cul puis l’avaler. Les hommes s’amusent encore avec les queues de billard sur elle. Ils réussissent même à enfoncer une bouteille de vin dans sa chatte.

Ils la traitent de tous les noms orduriers qu’ils puissent trouver et ils lui font répéter. Elle n’aurait jamais pu croire qu’un jour elle se traiterait de chatte sans valeur ou de viande à baiser, mais elle le fait. Les clochards arrivent à mettre deux bites dans sa chatte, une dans son cul et une dans sa bouche. Puis plus tard, c’est deux bites dans son cul, une dans sa chatte et une dans sa bouche. Bien sûr ils font des pauses pour manger. Une fois de plus, les hommes la laissent inconsciente quand ils vont se coucher.

Le vendredi matin au petit-déjeuner, Léon dit :

- C’est notre dernier jour pour profiter de cette petite salope. Je pense que nous devrions finir la journée en lui pissant dessus. Bien sûr, elle devra nous supplier de la faire, mais je suis sûr qu’elle le fera.

Les clochards regardent Clara qui a un regard de dégoût sur le visage. Léon continue :

- Tu ne veux pas, salope ?

Carla ne dit rien, et avant que Léon ne puisse la réprimander, Will a enfoncé sa bite dans sa bouche. Ce vendredi, elle a eu plus d’une bite dans chacun de ses trous. A un moment donné, les hommes ont essayé de mettre trois queues dans sa chatte, mais ils ont finalement renoncé. Au milieu de l’après-midi, alors que deux d’entre eux lui baise ensemble la chatte et le cul, ils s’arrêtent juste avant qu’elle ne jouisse à nouveau. Franck dit alors :

- Supplie-nous de te pisser dessus !

- S’il vous plaît, laissez-moi jouir ! Supplie-t-elle.

- Supplie-nous de te pisser dessus, grosse pute ! Commande-t-il.

- No… Non, s’il vous plaît, ne le faites pas… je ne veux pas…

- Supplie-nous si tu veux encore jouir, espèce de trous à baise sans valeur !

- N… Je… Je… Ok… OK… S’il vous plaît, pissez sur moi !

- Dis-le encore !

- Faites-moi jouir et pissez sur mon corps de salope ! Crie-t-elle.

Après avoir joui, les hommes récupèrent le sperme et elle lèche avidement les doigts qu’ils lui présentent. Quand elle a fini, les quatre hommes la soulèvent et la porte jusqu’à la baignoire. Tous les quatre sortent leur bite et commencent à uriner tout en buvant le vin des bouteilles trouvées dans la maison. Ils l’arrosent de la tête aux pieds et finalement elle ouvre la bouche et ils la remplissent rapidement. Clara avait l’intention de tout recracher, mais sans vraiment savoir pourquoi elle avale et ouvre la bouche pour en avoir plus. Quand les hommes ont fini, elle avait dû bien avaler quatre fois sa bouche pleine. 

Les hommes sortent de la salle de bain alors Carla prend une douche rapide, puis elle se rend dans sa chambre dans l’espoir de dormir. Mais les clochards ont d’autres idées. Ils la gardent éveillée en la baisant et en s’amusant sur elle avec des jouets. Elle dérive dans une inconscience de plaisir jusqu’à ce que les hommes la laissent vers 5h30 du matin.

Le samedi matin, les quatre SDF se font le petit-déjeuner et la laissent dormir. Quand elle se réveille, elle pense que son mari et sa fille vont rentrer dans quelques heures. Alors elle s’offre aux hommes une fois de plus. 

Pendant les deux heures suivantes, elle est baisée à fond. Ses tétons sont pincés, tirés et tordus jusqu’à ce qu’elle crie. Les hommes la fessent durement et claquent sa chatte et ses seins. Elle suce leurs couilles et lèche leur cul. Quand ils se sont bien amusés, elle leur donne de l’argent et les reconduit au parc. 

Il faut le reste de la journée à Clara pour nettoyer et désodoriser la maison avant le retour de sa famille. Cette nuit-là, elle est si épuisée qu’elle dort comme une pierre. 

FIN

mardi 27 août 2024

Prisonnier libéré - 2ème partie

  Roman photos Erotisk Tvang N° 5

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FIN

dimanche 25 août 2024

Qui suis-je vraiment - Ch. 02

Récit de Realbluetit (2013)

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La curieuse Laurence suit les ordres de l'inconnu.

L'inconnu a réussi à créer une emprise sur moi. Me sera t'il possible de m'en défaire ? Mais le souhaité-je vraiment ? Qui suis-je vraiment ?

Déjà deux jours sans aucune nouvelle. Dans ma tête je me ressassais ce que j'avais osé faire et me mettais à imaginer ce qu'il pourrait encore exiger. Pour ne pas exploser, je partis avec mon fils dans le parc. Jouant avec lui, je surpris quelques hommes qui m'observaient de manière insistante. D'un coup je me souvins que cela faisait 3 jours que je m'étais passée de culotte. Ils devaient sûrement chercher la trace de mon string en vain. En tout cas j'aurais cru que ce manque aurait été plus gênant, mais comme pour le reste j'aimais finalement cela, même si je considérais que cela devait rester une exception.

Le week-end passé, je pris finalement l'option de porter l'un des deux strings en ma possession, et je me promis de racheter des dessous si mon inconnu ne réapparaissait pas. Dans l'après-midi du lundi, j'eus enfin le droit à son appel.

Après m'avoir saluée et demandée si le fait de ne pas porter de dessous m'excitait, ce à quoi je répondis d'une faible voix oui, il en vint au planning de ma soirée.

- Laurence, souhaites tu toujours me rencontrer ?

- Oui.

- Je souhaite conserver mon anonymat pour le moment. Aussi, l'un de nous deux devra être masqué. J'ai décidé que ce serait toi. Es-tu d'accord ?

Bien qu'anxieuse, j'acceptai sa requête.

- Ton fils est-il chez toi ?

- Non, il est chez son père.

- C'est bien. Alors, pour rester incognito, tu iras au sex-shop XXXXX situé rue Untel. Tu achèteras une cagoule en cuir, un godemiché, de la vaseline, un plug et des boules de Geisha. Une fois rentrée chez toi, tu appelleras mon portable. Tu auras alors dix minutes pour te mettre en string ficelle, porte-jarretelles, et mettre ta cagoule. Auparavant tu penseras à entrouvrir ta porte d'entrée. As-tu bien compris ?

- Oui Monsieur.

- Ta position d'attente sera à genou buste bien droit. As-tu toujours envie de me voir ?

- Oui monsieur.

- C'est bien, nous allons voir ce que tu as dans le ventre.

Un mélange d'anxiété mais aussi d'excitation restait ancré dans ma tête, jusqu'au moment où je me trouvai face au dit sex-shop. Je rentrai donc pour la première fois dans un tel magasin. Un peu perdu et honteuse j'essayai de me débrouiller par moi-même. Mais comment faire quand vous ne connaissez pas certains ustensiles. C'est donc déconfite que je demandai de l'aide au vendeur. Le jeune homme avec un petit sourire en coin m'aida donc à trouver les objets désirés. Néanmoins, il me posa des questions plutôt directes auquel j'étais incapable de répondre du fait que je ne connaissais pas mon partenaire. Cela finit de me faire bafouer devant mon vendeur et donc de me rabaisser.

Rentrée chez moi, j'appelai mon inconnu et me préparai comme demandé. Et cinq minutes plus tard, j'entendis enfin ses pas. Comment était-il ? Je ne pensais même pas au risque que j'encourais de laisser cet homme qui m'avait fait chanter chez moi et dans cette tenue. J'étais folle de faire ça !!!

Tout d'un coup, mon inconnu me parla :

- Veux tu toujours poursuivre cette relation ?

- Si vous ne me faites aucun mal, je veux bien.

- Je ne te ferais aucun mal physique, mais moralement je risque de te brusquer car je pense que tu ne te connais pas. Alors désires-tu prolonger cette aventure ?

- Je le veux bien Monsieur ??

- Patience, tu connaîtras un jour mon prénom. Mais pour l'instant nous allons débuter cette soirée et jouer au jeu Action & Vérité.

- D'accord.

- 1ere Vérité : aimes tu te caresser ?

- Oui.

- 1ère action alors !!!

Le passage à l'action me saisit d'un mouvement de recul que je maîtrisai du mieux que je pus. Sa main s'était posée sur mon épaule et commençait à descendre sur mon sein. Il le soupesa puis en titilla la pointe. Son autre main rejoignit alors le sein libre pour lui appliquer le même massage. Mes seins commençaient à durcir et mon sexe humidifiait le mince tissu qui le protégeait. Ma respiration devenait plus forte.

Il dut s'en rendre compte, c'est alors qu'il entama la descente de ses mains sur mon ventre jusqu'à la lisière de mon string. Je penchai mon buste afin de ne pas perdre ses deux mains. Mais d'un coup une des deux mains disparût pour réapparaître en bas de mes reins. C'est alors qu'il prît la ficelle de mon string par devant et par derrière puis m'appliqua un langoureux va et vient. J'haletai désormais et fit mouvoir mon corps en fonction du mouvement. Mon sexe était tellement trempé que le coulissement agaçait merveilleusement mon clitoris. J'étais au bord de l'extase, lorsqu'il s'interrompit.

- 2eme question : As-tu déjà pratiqué des fellations ?

- Oui mais je refuse d'avaler.

- Il faudra que cela change sinon cela ne pourra pas marcher entre nous. Montre-moi comment tu te débrouilles alors.

Je sentis immédiatement au bord de mes lèvres un pénis d'un bon diamètre qui poursuivit sa croissance dans ma bouche. Je tentai de m'aider de mes mains mais mon interlocuteur m'en interdit l'utilisation. Il me demanda de le lécher sur toute la surface puis de l'avaler dans sa globalité jusqu'à son pubis. J'engloutis son membre et me lançai dans des mouvements de va et vient rapides puis lents. Après quelques minutes j'aspirai son gland et fît circuler ma langue tout autour de son pénis décalotté et pointant fièrement vers mon front. Je repris ensuite la masturbation avec ma bouche. C'est alors qu'il me bloqua, son sexe à moitié dans ma bouche. Je sentis les soubresauts de son sexe puis enfin un chaud jet envahir ma gorge.

Il me demanda alors d'avaler ce que je fis avec appréhension, et surtout pour ne pas le décevoir. Je découvris pour la première fois le goût salé de cette crème. Je ne trouvais pas cela dégoûtant, plutôt agréable même. Ce qui m'embarrassait auparavant, c'était la position dégradante qu'entraînait la fellation. Mais cette barrière s'était levée ce soir là... Encore une.

- 3eme question : Pratiques tu la sodomie ?

- Non !!!

- Il n'y aura pas d'action alors, même si je pense que tu y viendras un de ces jours.

- 4eme question : As-tu déjà pratiquée l'amour en extérieur ? Si non, où voudrais-tu le faire ?

- Non, mais la forêt avec vous me dirait bien.

- 5eme question : Voudrais tu que je te pénètre maintenant ?

- Oui Monsieur.

Il me fît me coucher, descendit mon string, et écarta mes jambes. Mais au lieu de recevoir son sexe, c'est sa langue qui s'immisça entre mes lèvres. Passive, je commençai à tressauter. Il insinua alors deux doigts dans mon sexe qu'il bougea de façon ample, les faisant ressortir pour mieux les insérer après.

Je n'en pouvais plus, j'allais défaillir. Il s'arrêta et c'est alors que je sentis pour la première fois son sexe au bord de mon vagin. Chaud et raide à nouveau, il l'introduisit sans aucun problème.

Il me pénétra doucement mais bien profondément. Mon corps alla à sa rencontre pour être honnête. Après deux trois minutes il accéléra la cadence, échauffant mon vagin et mes sens. C'est alors qu'il me prit les jambes qu'il apposa sur ses épaules. La pénétration en fût que plus profonde et merveilleuse. Il en profita même pour me donner quelques petites claques sur les fesses que je ne réprimai pas. Bien au contraire ça accroissait mon excitation.

L'orgasme arriva alors qu'il me caressait la raie des fesses avec sa main insistant sur l'œillet sans toutefois l'ouvrir. Quelques secondes plus tard, je sentis les soubresauts de son pénis dans mon vagin sans recevoir le chaud liquide... il portait un préservatif.

Après 5 minutes de silence et de repos, il me dit :

- Merci Laurence pour ce jeu. Demain tu iras de nouveau faire des courses. Je t'ai laissé sur ta table ce que je souhaite que tu achètes. De plus, demain, tu iras au travail en jupe plissée avec des porte-jarretelles, avec un string. Quand au haut tu mettras un chemisier légèrement transparent sans soutien-gorge. Mais le plus important, c'est que tu devras passer toute la journée avec les boules de Geisha dans ton vagin. D'accord ?

- Euh oui.

- Pour me prouver que tu auras réalisé ta punition je te donne la caméra. Tu dois avec réaliser 5 scènes de 5 minutes chacune me prouvant que tu portes tous ce que je t'ai dit auparavant. Une doit se faire chez toi demain matin, deux au bureau, une dans les magasins et une dans la rue.

- Mais je n'y arriverais pas ???

- Tu as déjà su te déshabiller dans un parc, alors tu réussiras encore une fois.

- D'accord Monsieur.

- Bonne soirée Laurence. Avant d'enlever ta cagoule tu dois patienter 5 minutes en comptant à voix haute.

Sans savoir à quel moment il avait disparu. Je pris la lettre sur la table et vis, avec l'argent liquide, une liste de vêtements à acheter : Une jupe portefeuille, une jupe plissée écossaise, une jupe moulante blanche, et une minijupe fendue derrière, une robe droite à bouton sur le devant, une robe de soirée transparente noire, ne robe à bretelles en mousseline. Dessous : une guêpière, 2 porte-jarretelles dont un blanc ; des bas résilles, coutures (5 différents au minimum). Culottes : Strings et culottes fendues. Ton choix sera jugé en conséquence. Un maillot de bain blanc mono pièce et un bikini légèrement transparent.

Autant je comprenais pour les 4 premiers points mais pour le dernier je redoutais ce qu'il allait me demander. J'étais néanmoins impatiente de l'apprendre.

Je partis tôt le matin afin de faire les courses vestimentaires en fin d'après-midi. Je pris donc la caméra et au moment de m'habiller comme prescrit par mon amant j'allumai la camera. Je réalisai un strip-tease inversé mettant mes bas avec la délicatesse d'une femme voulant séduire cet homme invisible. Le chemisier mis, je pris même la liberté de laisser quelques boutons ouverts afin mettre en avant la naissance de mes seins. Il suffisait que je me penche pour qu'on voit bien au-delà de la naissance.

Le moment crucial fût l'intromission de la première boule dans mon vagin. Le contact du plastique froid me fît tressaillir mais je poursuivis et poussai les trois boules restantes. Je remontai mon string pour empêcher toute fuite de mon nouvel hôte.

C'est alors que je commençai à marcher. Après 20 mètres je m'appuyai contre le mur de l'entrée. Chaque pas faisait mouvoir et s'entrechoquer ces grosses billes dans mon utérus, rendant mes pas difficiles et ma démarche gauche. Certes la torture était divine mais comment allais-je faire pour travailler avec ça. Mon sexe coulait abondamment et je me demandais s'il ne fallait pas que je prenne une culotte de rechange. C'est ce que je fis.

Après deux heures de présence en moi, mon corps, bien qu'en émoi, s'habitua. Toutefois je pris la décision de changer de string dans les toilettes de ma société. Je pris la caméra avec moi et montrai en détail sous les yeux de cet observateur imperturbable mon dessous trempé. Quant à mes seins, point besoin de les sortir du fin tissu de mon chemisier, ils dardaient fièrement au milieu de ma poitrine. De retour au bureau je reçus un email de mon inconnu me demandant de relever ma jupe avant de m'asseoir, afin que mes fesses se trouvent en contact avec le tissu rêche de mon fauteuil.

J'avais réussi à dompter les boules mais les fesses sur le siège ce n'était plus possible. Telle une automate je passai ma main sur le haut de ma cuisse sentant le haut de mon porte-jarretelles puis je la plongeai dans mon entrejambe caressant ma chatte à travers les fins tissus de mon string et de ma jupe.

Cinq minutes plus tard, je repartis aux toilettes d'un pas rapide pour finir de me caresser. Pour parvenir à l'orgasme, je me mis à jouer à faire rentrer et sortir une des boules. Le résultat ne se fît pas attendre, et c'est en me mordant le poing que je pris mon pied.

Une fois calmée et ayant remis de l'ordre dans mes affaires je poursuivis la journée comme si de rien était. J'avais néanmoins l'impression que la gente masculine me regardait avec plus d'insistance que deux semaines auparavant, ce qui me fît rougir sur l'instant mais me rassura sur mes capacités à plaire. Quant à mes seins, bien que d'une taille normale, ils attiraient l'œil en raison de la liberté de mouvement que j'avais dû leur octroyer aujourd'hui.

Afin de réussir le défi, je devais maintenant réaliser ma troisième scène. Pour être tranquille, je pris la décision de sauter le repas. En l'absence de mes collègues je plaçai donc la caméra par terre en position verticale. Je m'installai alors au dessus et remontai ma jupe afin de laisser la lumière dévoiler mes bas tendus par le porte-jarretelles. Enfin je la soulevai au dessus de mes hanches afin d'exhiber mon string. La ficelle permettant d'extraire l'instrument serait la preuve que je le conservais bien au chaud. Pour atteindre les cinq minutes requises je fît mouvoir mon bassin et libérant une de mes mains je massai langoureusement mon clitoris faisant même rentrer le string entre mes lèvres pour intensifier le plaisir. J'étais certaine que ce plan fixe récolterait non pas une palme mais l'approbation de mon spectateur.

Je partis du bureau à 16 heures pile et rejoignis une galerie commerciale en banlieue de paris. Je ne savais que faire par rapport à l'exhibition dans la rue, je pris donc la liberté de me filmer dans le métro. Assise sans passager à mes côtés je positionnai la caméra entre mes jambes espérant que le tissu laisserait passer suffisamment de lumière pour montrer mes sous-vêtements et mon bas ventre. En tout cas j'étais surexcitée et je ne pensais qu'au plaisir que pourrait prendre mon amant en visualisant mes excentricités.

La dernière représentation vidéo se déroula comme vous devez bien vous en douter dans une cabine d'essayage où j'exposai huit minutes durant les qualités érotiques des vêtements passés. A peine avais-je choisi mes robes, que je reçus un texto précisant le style de maillots de bains que je devais acheter. En clair, le une pièce devait être une taille plus petite que ma taille, et le bikini une taille au-dessus. Qu'avait-il manigancé encore ?

Je suivis les indications et choisis les deux ensembles de bain. Me dirigeant ensuite dans un magasin spécialisé dans les dessous, un autre SMS tomba sur mon portable. Il me demandait où j'étais et ce que j'allais y acheter. Je répondis et trente secondes plus tard un deuxième message m'intima l'ordre de ne pas fermer totalement le rideau afin que quelques voyeurs puissent en profiter.

Je respectai l'ordre et durant quinze minutes exhibai mes fesses, mon sexe en chaleur, et mes seins pointant de manière obscène, à qui oserait regarder. En tout cas, un l'avait bien fait puisque mon inconnu me remercia du spectacle en accompagnant son texto d'une photo de moi en guêpière blanche.

Cela me fît sourire et je poursuivis mes courses pour finir par la robe de mousseline. Il y en avait une aux tons noires et bordeaux tellement transparentes qu'elle comportait en dessous une partie noire évitant de montrer l'intimité de la femme qui la porterait. J'imaginai déjà mon homme me demander d'ôter cette partie afin de faire admirer mes dessous. Je l'achetai alors sur le champ.

J'étais épuisée par cette journée, mais heureuse par mes prouesses. Mon amant m'appela une heure plus tard.

- Comment s'est passée ta journée Laurence ?

- Bien, mais épuisante. J'ai fait tout ce que vous m'avez demandé.

- Nous allons voir cela. Au préalable, as-tu aimé les boules de geisha ?

- Oui mais c'est dur de ne pas y penser. J'ai eu beaucoup de mal à me concentrer aujourd'hui.

- Tu peux les enlever maintenant, mais ta journée n'est pas pour autant terminée.

- Vous voulez que je vous remette l'appareil vidéo ?

- Oui. Pour ce faire tu iras la déposer sous la poubelle comme d'habitude. Et tu iras uniquement vêtue de ta guêpière, des tes bas résilles, et de talons aiguilles. Je ne veux pas que tu portes de culotte.

- Oui.

- En même temps tu en profiteras pour me donner les clés de chez toi, car désormais tu es à moi.

- Mais je...

- Tu refuses ??? Tu sais ce que cela signifie...

- Euh oui... j'accepte alors.

- Dans dix minutes en bas, bonne balade.

Je descendis l'escalier le cœur battant. Vérifiant qu'il n'y avait aucun bruit j'ouvris la porte puis la refermai doucement. Tout d'un coup une voix de derrière la porte me fît sursauter, j'étais prise au piège moi en dessous affriolant avec un de mes voisins. Heureusement c'était lui, je me retournai prestement mais il portait un masque, et m'obligea sur le champ à tourner la tête pour ne pas le regarder.

Il me fît ensuite me pencher contre le mur, et m'écarta les jambes. Sans aucune préparation, à l'inverse de la première fois, il me pénétra avec son sexe déjà bien ferme. Mon vagin avait de toute façon était préparé toute la journée, et c'est sans difficulté que son membre remplaça les boules de geisha. Il me pénétra doucement puis activa le rythme avec des petits va et vient et de temps en temps il m'empalait complètement sur son pénis tendu, A nouveau j'eus le droit à des petites claques sur mes globes fessiers.

Puis ses mains se sont plaquées contre mes seins qui ne cessaient de se ballotter sous ces coups de butoir. Il me les malaxa, puis se mit à tirer les pointes ce qui m'électrisa totalement. J'étais au bord de l'orgasme, mais il semblait vouloir prolonger l'instant car son va et vient ralentit.

C'est alors qu'il fît courir un doigt entre mon vagin et mon anus ce qui eut pour effet d'étaler mes sécrétions jusqu'au haut de ma raie. Il se remit tout comme la première fois à masser mon œillet de mouvements circulaires, mais cette fois ci, il s'enhardit et l'enfonça doucement mais profondément dans mon petit trou. La pénétration n'était pas particulièrement jouissive mais en tout cas elle n'était pas douloureuse comme j'aurais pu le croire.

Il se mit alors à accélérer ses pénétrations du côté de mon vagin. Son sexe s'enfournait dans mon vagin vigoureusement puis ressortait presque entièrement. Il combina cela d'une masturbation de mon anus avec son doigt. La scène jadis humiliante et dégradante que je refusais de pratiquer était aujourd'hui un moment de plaisir que j'exprimai au travers de oui!!! étouffés.

Il sortit de mon vagin et après avoir libéré son sexe du préservatif me demanda de la masturber. Avec les dernières forces qui me restaient j'imprimai un mouvement de va et vient à son prépuce. Le sperme arrosa copieusement mes fesses et le haut de mes bas.

Il me demanda alors de lui remettre la caméra puis les clés. Et d'un bisou tendre dans le coup, il me susurra de remonter immédiatement comme cela, prenant le risque de montrer à un de mes voisins que j'avais pris du plaisir dans les parties communes de l'immeuble.

Certes toujours anxieuse je pris l'escalier le minou et les seins à l'air. Je me sentais néanmoins bien et la journée que je venais de passer m'avait envoûtée. Je n'attendais plus qu'une chose poursuivre cette aventure.

La suite ne se fît pas attendre, puisque le lendemain matin, il m'appela pour m'ordonner de prendre mon maillot deux pièces et un serviette car j'allais faire un peu de sport. A 18H00 comme prévu je me retrouvais dans la piscine XXXXX.

Une fois changée je commençai à nager la brasse. Je compris bien vite pourquoi une taille au dessus. Avec les mouvements, les bâillements de mon maillot étaient conséquents. On pouvait donc sous l'eau admirer sans peine mon sexe et mes seins.

Ayant oubliée mes lunettes, il m'était de plus impossible de mettre la tête sous l'eau pour empêcher les moins téméraires d'admirer le spectacle. Je piquai un fard pensant aux multiples regards masculins centrés sur mes seins et ma chatte exposée.

Mais le jeu n'était pas fini car comme l'avait stipulé mon inconnu je dus faire du dos crawlé. A plusieurs reprises je sentis mon maillot descendre le long de mes cuisses, dévoilant au gens du dessus une partie de mes poils pubiens et aux «plongeurs » mes fesses. Heureusement que l'eau cachait mon état d'excitation car mon sexe était bel et bien trempé pour d'autres motifs.

Après une demi-heure de cette exhibition, j'allai me changer. Comme stipulé, je sortis de la piscine vêtue de la jupe portefeuille et de bas, marchant à grand pas pour laisser apercevoir aux amateurs de dessous mes jambes gainées avec l'accroche du porte-jarretelles pour limite. Quant à la culotte fendue que j'avais due acheter dans un sex-shop, elle surlignait mes lèvres roses avec indécence. La jupe était toutefois là pour cacher cet aspect de ma « personnalité ».

Je ne savais pas où il trouvait tant d'imagination mais en tout cas je me prenais au jeu et j'aimais cela. La remise des clés n'en devenait pour moi que plus logique. C'est sur ces méditations que mon portable retentit. C'était lui et je pressentais que la soirée n'était pas encore terminée.

A suivre...

vendredi 23 août 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 04

Texte de Ricki Black (2012)

*****

La belle-mère à son travail.

Après m'être douché et habillé, costume de bonne coupe, chemise parme et chaussure noire, il est 11H30 lorsque je me stationne sur le parking de la DDE. J’ai rendez-vous à 12H00 avec Martine, la future belle-mère de mon fils, que j’ai soumis sexuellement. J’espère qu’elle aura tenu compte de mes exigences de la veille.

J’ai 30 minutes d’avance, mais je décide de surprendre Martine, c’est des fois très instructif. Et quelle est ma surprise en me présentant à l’accueil de son bureau. Une superbe jeune femme est assise derrière le bureau. Elle est brune et typée, les yeux noirs au regard intense, sa peau est cuivrée et ses cheveux sont longs et frisés qui retombent sur une généreuse poitrine. Je me présente comme étant Michel et lui explique que mon fils va épouser la fille de Martine et que j’ai rendez vous avec elle à midi. Elle me sourit voluptueusement en me priant de m’asseoir, elle va prévenir sa patronne.

- Non attendez ! lui dis-je.

- Je suis en avance, je vais patienter, je sais que Martine est une femme très occupée.

- Oui effectivement, elle l’est ! C’est comme vous voulez Monsieur. Voudriez-vous un café ?

Je lui réponds que ce serait avec plaisir, mais qu’elle peut m’appeler Michel.

- Très bien Michel, moi c’est Malika ! Me répond-elle en se levant. 

C'est une superbe femme grande et élégante dans sa robe rouge qui lui arrive au dessus du genou, laissant apparaitre de jolies jambes, fines et brunes soutenues par de très belles chevilles. Je remarque tout de suite sa chaine de cheville. C’est une chaine assez fine en or où l’on peut voir un symbole calligraphié.

- Malika, c’est de quelle origine votre prénom ?

Alors qu’elle me tend mon café, elle me répond qu’il est d’origine arabe. Qu’elle est d’origine Algérienne, mais qu’en faite, elle est de lignée Kabyle.

C’est le point de départ d’une discussion entre nous qui est interrompue à 12H00 par Martine qui fait irruption de son bureau en criant après Malika. Martine stoppe et se fige en me voyant. Malika m’annonce alors.

Martine me demande de la suivre dans son bureau. Je saisis ma sacoche, puis suis Martine. M’arrêtant à la hauteur de Malika, je lui demande si elle est libre pour déjeuner ce midi vers 12H30. Surprise, elle me répond qu’elle est disponible.

J’entre dans le vaste bureau de Martine. Impressionnant ! Ça ne plaisante pas ! Il ya des classeurs un peu partout, sur une table de réunion annexe au bureau des plans de construction sont ouverts. On sent que l’on est chez la patronne. J’observe Martine qui paraît très stressée, et pour cause, elle est habillée en jupe beige avec un pull fin noir, des chaussures talons bas. Bref l’inverse de ma demande. Mon regard se durcit alors qu’elle me dit :

- Mon cher Michel, nous avons, hier, vécu ensemble une parenthèse des plus surprenante pour des futurs beaux-parents, et j’avoue que malgré l’immense sentiment d’humiliation que j’ai ressenti lorsque vous m’avez obligée, j’ai effectivement ressenti aussi du plaisir à l’être. Mais vous comprenez bien que cette situation ne peut absolument pas perdurer, pour nos enfants qui vont bientôt se marier et pour nos vies de couples. Michel soyez raisonnable et restons-en là, je ne vous en tiendrais pas rigueur. Après tout vous m’avez fait bien jouir...

Mon regard est encore plus sombre lorsque je reprends la parole :

- Ma chère Martine, je crois que tu n’as pas bien compris la situation, alors je vais te rafraichir la mémoire. Je te tiens par les couilles, j’ai tous les documents en ma possession pour te soumettre, lettres sur tes malversations professionnelles, qui t’ont amenée à devenir la pute d’un de tes employés. Puis moi et les photos de ta soumission et tu voudrais que je te foute la paix, toi la patronne qui tyrannise ses employée, sa famille ? Non, avec moi tu vas vivre exactement l’inverse, sale petite bourgeoise de merde !

Elle tente une dernière attaque et je retrouve la salope de dominante qu’elle est :

- Ecoute-moi bien petit vicieux, je ne vais pas me laisser manipuler comme ça, je vais t’envoyer trois ou quatre gars bien costauds qui bossent pour moi et ils vont te défoncer le fion de ma part. finit-elle, rouge de colère.

Alors que je lui envoie une baffe bien sentie, je lui rétorque :

- Vas-y, envoie les moi tes mecs et avec ce que j’ai à leur montrer de toi je pense que c’est eux qui viendront vider leurs couilles dans ton cul, d’ailleurs on va les convoquer de suite dans ton bureau et de cette manière je vais pouvoir les mater pendant qu’ils t’enculeront chacun leur tour !

Ayant saisi le téléphone portable de Martine sur le bureau, je lui tends en lui demandant de joindre Malika afin de convoquer les employés auxquels elle pensait. Martine, baissant la tête, me rend le téléphone et me dit cette fois-ci résignée :

- OK tu as gagné ordure, je me rends, qu’attends-tu de moi ?

- Tu m’as désobéi et tu m’as manqué de respect salope, et crois-moi je vais faire en sorte que cela ne se reproduise plus ! J’avais prévu de t’emmener déjeuner, mais je vais y aller avec ta secrétaire. Pendant ce temps-là tu vas m’attendre sagement dans ton bureau... J’espère simplement pour toi que personne ne viendra te déranger !!!

J’attrape Martine par le bras et l’accompagne derrière son bureau. Je vire son fauteuil de direction et la place debout devant le bureau qui est encombré de papiers, stylos et brochures diverses. Je sors de ma sacoche mes petits ustensiles et les déposent sur le bureau devant elle. Puis je remonte son pull et aperçoit une petite ceinture de cuir qui orne le haut de sa jupe. Je lui ôte et demande à Martine de se pencher en avant de manière à avoir le buste posé sur le bureau. Elle obéit un peu apeurée par la situation. Je remonte sa jupe pour découvrir son superbe cul. Je découvre qu’elle porte un collant couleur chair et dessous une culotte en coton. Tiens, me dis-je, voila la seule condition qu’elle a remplie.

Je baisse alors le collant et la culotte à mi-cuisses, laissant ainsi son cul offert. Comme il est beau, je glisse mon index dans son sillon, passant ainsi sur son anus pour finir dans sa chatte que je trouve encore bien inondée. Quelle salope !

Pour ma part ma queue est déjà raide dans mon boxer. En m’adressant à Martine je lui explique :

- Voila je vais te punir, dans un premier temps pour ton manque de respect vis-à-vis de moi et ensuite je te punirai pour ta désobéissance de ce midi. On est d’accord. Au fait, essaie de ne pas crier trop fort si tu ne veux pas voir Malika débouler dans le bureau.

M’écartant un peu de Martine pour me donner de l’espace, tenant la ceinture par l’attache, j’assène mon premier coup sur le fessier blanc et pur de Martine. Cette première morsure fait tendre tout son corps et elle étouffe un cri de douleur dans le fond de sa gorge. Je bande fort en voyant l’empreinte rouge apparaitre, il est clair que je ne recherche pas à faire souffrir Martine, mais beaucoup plus à l’humilier. Donc mes coups seront toujours modérés de manière à la punir comme une femme soumise et non comme une femme tourmentée. Je suis contre toutes formes de violence physique sur une femme parce que je suis certain de pouvoir vaincre tous ses tabous par le mental. Et je préfère de loin ces jeux de l’esprit que d’imposer un rapport de force physique.

Passant le doigt sur cette trace, je murmure dans l’oreille de Martine :

- Tu vas apprendre qui est le maître, salope, et tu vas t’en rappeler longtemps.

Reprenant la punition, je lui fouette le cul. De légères zébrures se multiplient sur ses fesses et elle commence à avoir du mal à contenir ces cris. Au bout de 10 coups j’arrête. Martine est en sueur et son souffle est saccadé. Son cul est rouge comme après une bonne fessée, je pense qu’elle a eu surtout très peur et je m’en réjouis.

Je regarde ma montre, il est 12H20, il faut que je me dépêche. Laissant Martine dans cette position inconfortable, le buste posé sur les objets qui encombrent le bureau, je récupère les menottes et les lui passe. Tout en plaçant ses bras tombant devant le bureau. Puis je remonte sa culotte lorsque le téléphone de Martine se mette à bouger sur le bureau mais ne sonne pas. Tiens tiens, il est en mode vibreur. Et voila que ce coup de fil me donne une sacré bonne idée. Je saisis le téléphone et regarde l’écran. 

- C’est Pierre ! dis-je à Martine. 

Puis me plaçant devant son cul, je lui fourre le téléphone encore vibrant bien au fond de la chatte en ajoutant 

- Pour une fois, il va peut être arriver à te faire jouir.

Martine geint à chaque vibration de l’appareil. Mais je réservais le meilleur pour la fin. Fouillant dans le fond de ma sacoche, je ressors le plug anal acheté chez Al. Je le place sur l’anneau bien serré de Martine, elle conteste et je vois son trou se contracter . 

- Tu sais, il y a deux manières : ou tu le reserres et tu vas déguster, ou tu pousses et tu vas un peu moins souffrir, mais sache que je vais te le fourrer à sec.

Martine me demande de ne pas lui mettre sans la préparer, pour toute réponse je lui enfonce le plug dans le cul. Je dois réellement forcer son anneau qui finit par se rendre. J’entends les cris à nouveau étouffés, j'imagine qu’elle n’a qu’une peur, c’est que Malika entre et la voit ainsi. Le plug est maintenant en place dans l’étroit fourreau, je peux distinguer la rondelle bien ouverte et distendue par le diamètre conséquent du gode.

Martine n’en peut plus, elle souffle comme un bœuf.

Je remonte alors maintenant la culotte et le collant, emprisonnant alors les deux objets dans ses trous intimes. Je récupère la ceinture et la dispose à hauteur des ses genoux, la serrant bien pour l’immobiliser. Puis j’attache une extrémité de la laisse aux menottes et l’autre à la ceinture en prenant soin de laisser le moins de jeu possible. De cette manière Martine est immobilisée à plat ventre sur son bureau, le cul et la chatte bien remplie. Avant de quitter la pièce je l’informe :

- Très bien, je vais donc déjeuner avec Malika, elle est vraiment charmante, bien sûr la porte de ton bureau reste ouverte, on ne sait jamais, si ton mari a la bonne idée de passer te voir au bureau, ça pourrait être drôle. Non ? Voila, nous attaquerons la deuxième partie de la punition à toute à l’heure.

Puis en refermant la porte alors que Malika est à son bureau à m’attendre, je lance à Martine :

- J’espère que tu n’auras pas trop de coup de fil !

J’emmène Malika dans un petit resto à deux pas de l’agence. Le repas est très agréable, nous abordons divers sujets et nous revenons au mariage en prévision. Malika me dit avoir rencontré il y a six mois environ mon ex-femme qui était venue voir Martine accompagnée de sa future belle-fille Emilie, qu’elles avaient l’air très complices toutes les deux. J’étais étonné, car mon fils ne m’en avait rien dit, mais étonnamment ces six mois correspondaient avec un changement d’attitude d’Emilie à mon égard, plus distante. Connaissant mon ex, j’imaginais le pire, car elle était prête à tout pour pouvoir m’atteindre. 

Puis nous revenons à Malika. Elle a une petite sœur et un grand frère, ses parents sont séparés et elle vit avec sa mère dans une petite cité très familiale. J’essaie de lui poser des questions détournées pour en savoir plus sur sa vie sentimentale. Elle est seule et m’avoue que c’est difficile pour une jeune beurette de 24 ans d’afficher ses sentiments sans risquer de subir des pressions de l’entourage. Elle poursuit des études de droits en fac et travaille actuellement en intérim.

Cette fille est vraiment séduisante, subtile, intelligente et ce déjeuner fut très agréable, mais il me faut retourner voir Martine et la libérer de ses entraves. Bien sûr, tout le long du déjeuner, j’ai appelé sur son portable discrètement, je crois au moins six fois. quel plaisir d’ailleurs, la bosse dans mon pantalon de costume témoigne du plaisir que j’ai pris à imaginer Martine vibrer.

Sur le chemin du retour à l’agence je m’arrête dans une boulangerie et achète une religieuse au chocolat pour Martine. Une religieuse pour une ‘cul béni’ c’est plutôt de circonstance. Je dépose Malika à son bureau et en entrebâillant la porte du bureau de Martine, je lui propose de nous apporter trois cafés d’ici un quart d’heure.

Tout en pénétrant dans le bureau, j’aperçois Martine toujours à la même place, les cheveux hirsutes et le visage ruisselant de sueur. La séance a dû être intense, son souffle est rapide. Je lui montre la religieuse en lui disant que le déjeuner avait été charmant. Les yeux de Martine son mi-clos, alors je lui dis :

- Qu’est-ce que l’on dit à son Maître ?

J’entends dans un soupir le merci.

Faisant le tour du bureau, je vais constater la situation. Je trouve les collants, la culotte, les chaussures et la moquette détrempée de fluide. Je souris, car avec Martine on sait rapidement quand elle a pris son pied. Je lui demande si elle a bien joui, elle me le confirme effectivement. Combien de fois, elle hésite puis répond :

- trois fois !

Cette situation m’excite et ma queue raide, maintenant depuis un moment, a besoin de s’exprimer.

Je saisi un coupe-papier sur le bureau, puis délicatement j’opère une ouverture au niveau du collant et de la culotte imprégnées de cyprine. Je taille ainsi une brèche dans le tissu de manière à pouvoir extraire le plug. Martine gémit lors de l’opération, j’en profite pour le faire lentement, laissant son orifice béant et orphelin. Le plug est recouvert de jus. Cette salope a mouillé aussi du cul. Je demande à Martine de bien vouloir me le nettoyer en l’enfournant dans sa bouche.

Sortant mon pieu de mon pantalon je place mon gland gonflé et tendu sur l’anneau de chair. Puis je m’enfonce en elle. Ma queue la pénètre comme du beurre, tellement elle est humide et ouverte du cul. C’est bon et je pousse mes hanches jusqu’au bout pour m’enfoncer jusqu’au fond de ses intestins. Son rectum est très musclé, certainement lié à ses activités de cavalière, elle arrive en forçant ses muscles à étrangler mon fourreau de chair. Et croyez-moi, c’est des plus excitant. Après l’avoir pilonné plusieurs minutes, je sens ma jouissance monter, je m’extrais de son cul et place ma bite au dessus de la pâtisserie. J’éjacule dessus, ma jute s’écrasant sur le gâteau, finissant par presque le recouvrir complètement. Et voila une religieuse nappée au sperme.

Quel bonheur ! Alors que j’entends la cafetière dans la pièce voisine, il faut que je fonce avant que Malika n’entre avec les cafés. Je passe devant le bureau, détache la laisse des menottes, puis ôte les menottes que je remets dans ma veste. Martine, ainsi libérée, peut se relever, son buste est endolorie, mais la poignée de la porte s’abaisse et Martine a juste le temps de se rasseoir, les jambes encore entravées par la ceinture.

Malika entre dans le bureau et pose le plateau sur le bureau. Elle a l’air un peu surprise par la tête de Martine. Elle est si soignée d’habitude, que là elle a l’air de sortir de son lit. Assis dans le fauteuil face au bureau, j’invite Malika à s’asseoir sur l’autre fauteuil. Nous dégustons notre café, Malika, pour être aimable, nous félicite pour la future union de nos enfants et nous présente ses félicitations. Buvant mon café je demande à Martine :

- Eh bien Martine, vous ne mangez pas votre religieuse. Je vous en prie ne vous gênez pas pour nous, allez-y !

Baissant les yeux, elle saisit le gâteau, en détache délicatement le petit chou au sommet dégoulinant d’un épais jus crémeux, puis le porte à sa bouche et le mange. J’adore, ma queue en repart de plus belle.

Je vois bien que Malika est intriguée par cette crème. Martine voyant le regard interrogatif de sa secrétaire, saisit le restant du gâteau et l’avale rapidement.

Je lui demande si elle a apprécié, surtout le nappage particulier. Martine me répond qu’elle a vraiment aimé cette délicate attentionnnnnnn...

Martine a tressailli alors qu’elle finissait sa phrase à la surprise de tout le monde. Son visage devient rouge et son souffle plus court. Malika lui demande si tout va bien, alors que Martine s’écroule en arrière dans le fauteuil, ravagée par un nouvel orgasme. Mais oui, j’avais compétemment oublié. On vient de l’appeler sur son portable.

Alors que Malika va prendre congés pour retourner travailler, son pied heurte un objet sous son siège. Se baissant, elle le ramasse. Je vois alors Martine devenir cramoisie de honte lorsque sa secrétaire dépose sur son bureau le plug anal recouvert de divers fluides, tout en lui disant :

- Je pense que vous avez perdu cet objet par inadvertance, vous devriez le remettre à sa place, là ou il ne craint pas de tomber dans des mains innocentes.

De nouveau seul dans le bureau, j’ôte la ceinture à Martine, puis je plonge ma main dans son collant et sa culotte enfonçant mes doigts dans sa chatte je récupère le GSM. J’ai de sa mouille partout sur la main, je réussis même à en foutre sur la manche de mon costard. Je dépose l’appareil sur le bureau, il suinte de jus épais et blanchâtre qui se répand sur les dossiers.

Je me penche pour vérifier une petite chose !! L’écran affiche 12 appels en absence.

Martine est à nouveau affalée dans son fauteuil, les orgasmes à répétition l’on défoncée. Je dois partir,  mais avant je sors ma bite de mon pantalon et lui demande de bien vouloir me laver mon gland et ma queue de son jus de cul. Sans aucune réticence, Martine la lèche partout avant de l’enfourner au fond de sa gorge.

Je quitte le bureau plutôt content de ce moment, je salue Malika en la remerciant pour sa rayonnante présence et alors que j’allais sortir elle me tend un papier me murmurant :

- C’est mon numéro perso, j’aimerais énormément vous revoir Michel.

Puis après un petit silence elle reprend :

- Dans un cadre beaucoup plus intime, je pense que j’ai beaucoup à apprendre de vous.

Je lui souris pour lui faire comprendre que j’ai bien saisi son sous-entendu. Reprenant mon véhicule, je sais que maintenant la soumission de Martine m’est acquise. Mais il me reste encore deux points à approfondir. Le premier c’est sa relation autoritaire avec son mari, j’ai bien envie de m’amusez avec les deux en même temps. Le deuxième s’est de savoir ce que trame ma salope d’ex avec ma future belle-fille.

A suivre...