Texte de Divadation
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Un fantasme me taraude depuis des années maintenant, depuis qu’avec mon mari nous avons emménagé dans notre pavillon de banlieue. Je passe tous les soirs en rentrant du boulot devant ces filles qui font le trottoir. Je me doute bien que pour elle ce n’est pas la joie, mais je ne peux m’empêcher de m’imaginer à leur place, être forcée de baiser avec des inconnus, souvent vilains, sales, irrespectueux. Je me vois ainsi soumise au bon plaisir de ces routiers polonais, de ces artisans revenant de leurs chantiers ou de vieux vicieux avides de souiller mon jeune corps. Lorsque mon mari me fait l’amour, je m’imagine entre leurs mains, acceptant de recevoir leurs grosses queues sales dans ma petite chatte étroite, me laissant triturer les seins et le clito de leurs mains calleuses et viriles. Mais la douceur de mon mari me laisse souvent sur ma faim. Lorsque je suis seule le matin, j’aime me faire un scénario où j’offre mes charmes à quelques brute qui me rudoient et me font jouir. Pendant ces moments là, je dois dire que je n’hésite pas à mettre deux ou trois doigts dans ma chatoune et même d’aller explorer mes petites fesses vierges.
Alors que dans les premiers temps, ce fantasme ne venait à moi que de temps en temps, après avoir vu quelques émissions télé puis avoir surfé un peu sur le net pour en savoir un peu plus, c’est devenu obsédant. Peut-être aurais-je du^m’en ouvrir à mon mari, mais je voulais rester à ses yeux la femme douce et pure. J’aime être pour lui la plus aimante et la plus sage de épouses, la parfaite mère de famille. Je ne pourrais supporter de descendre du piedéstal sur lequel il m’a mise. Je l’aime trop pour ça. Mais mes envies me tiraillent de plus en plus. Il n’est naturellement pas possible pour moi de prendre un amant, je ne manque pas de sexe à la maison et je suis trop amoureuse. Ce dont j’ai besoin, c’est de virilité, presque de brutalité, de me sentir souillée, dominée mais pas avec mon mari, il est tellement doux et gentil que je n’arrive pas à l’imaginer dans cette posture.
Je me caressais donc souvent en pensant à toutes ces choses mais je ne cherchais pas vraiment à franchir le cap pour aller vers des relations réelles, d’une part parce que j’avais bien trop peur de ce qui pouvait m’arriver et parce qu’un fantasme n’est pas forcément fait pour être réalisé.
Puis, suite au stress dans son boulot, mon mari a eu quelques défaillances sexuelles qui ont duré plus de deux mois. J’étais particulièrement sur les nerfs à cause de ce manque de sexe. Et pour ne rien arranger, grâce une promotion, Marc est parti pendant deux semaines en Espagne pour installer une nouvelle agence pour sa boite. Nous avons dû faire garder Lilou, notre fille, par mes parents car mes horaires ne me permettaient pas de pouvoir la prendre le soir à la garderie. Je me retrouvais donc seule en plein mois de juillet avec cette envie permanente de sexe qui me rendait folle.
Je me suis mise à surfer sur le net pour trouver des vidéos ou des histoires érotiques qui correspondaient à mes envies et je me masturbai comme une furie tous les soirs et les matins, mais rien ne me calmait. Mon désir augmentait avec la température du thermomètre. Je finis par acheter un gode que je reçus le jeudi de la première semaine. Il n’était pas bien gros, je l’avais choisi en fonction de ce que je pensais être la bonne taille pour moi, environ treize centimètre de long. Il était d’une matière relativement souple en extérieur mais dure à l’intérieur. D’un bleu translucide, je le trouvais plutôt joli. Je dois dire que je m’en suis tout de suite servi. Je peux même dire que j’en ai carrément abusé pendant trois jours, le plongeant avec frénésie dans ma chatte en chaleur ou l’écrasant contre mon bouton d’amour, les vidéos et les histoires du net m’incitant à être de plus en plus audacieuse avec mon jouet. Je poussais le vice à me l’introduire et à jouer avec pendant que mon mari m’appelait.
Le dimanche, je suis allée voir ma fille chez mes parents. J’ai eu envie d’essayer un nouveau jeu, je me suis mis Roberto, c’est le nom que j’avais donné à mon dildo, dans ma chatoune et je suis partie en voiture. Je dois dire que je l’ai retiré après quelques kilomètres seulement, car les vibrations du moteur et les mouvements de mes jambes sur les pédales le faisaient tellement bouger et m’ont tellement excitée que j’ai eu un orgasme. La peur d’avoir un accident et le besoin d’arriver présentable devant mes parents m’ont poussé à stopper cette expérience. J’ai dû m’arrêter sur une station Total le long de la nationale quatre pour se faire.
Bon sang, la station était pleine de routiers étrangers bloqués là pour le weekend. Mon fantasme m’explosait en plein visage alors que ma chatte était exacerbée par le frottement de mon gode. Je crus ne pas pouvoir arriver jusqu’aux toilettes. Chaque pas m’envoyait une décharge de plaisir. Je me posai enfin sur la cuvette, heureusement propre car je ne pense pas que j’aurais pu rester debout plus longtemps. Je saisis Roberto pour le libérer, mais je ne pus m’y résoudre sans lui faire faire quelques aller-retours bien sentis. Je pensais à tous ces mâles qui étaient à quelques mètres de moi, s’ils savaient ce que j’étais en train de faire, ils me feraient subir les pires outrages. Je me procurai deux orgasmes de cette façon en serrant les dents pour ne pas me faire repérer.
Après de longues minutes à m’en remettre, je décidai d’essayer d’ordonner ma tenue, ce qui n’était pas une mince affaire étant donné les sécrétions que mon petit minou avait laissé s’échappées. Je me suis rafraichi et je quittai l’établissement en baissant la tête comme une écolière qui a fait une vilaine bêtise. Malgré le plaisir prit, ma chatoune criait toujours famine. Pour les vingt kilomètre restant, je roulai avec la climatisation au plus froid, la soufflerie dirigée vers mon entrejambe débarrassé d’un string trop mouillé.
Même si le frais m’a permis d’être un peu plus sèche et de moins ressentir le manque, la chaleur écrasante de ce mois juillet me tomba dessus lorsque je sortis de la voiture et en quelques secondes, je me retrouvai en sueur avec de nouveau cette envie lancinante de sexe. Heureusement, la joie de revoir ma fille après une semaine loin d’elle me la fit oublier. Après un repas léger et un après midi en famille, il était temps de rentrer à la maison. Quelques câlins, quelques coucous de la main, un coup de klaxon et me voilà repartie vers ma solitude et mes démons.
Peu de kilomètres ont suffi à me rappeler l’état de manque dans lequel je me trouvais. De nouveau la clim au maximum, mais cette fois la vision de ces mâles dans la station que j’allais bientôt dépasser m’obsédait et mon entrecuisse s’humidifia :
- Non, je ne peux pas m’arrêter dans cet endroit. Non, il ne faut pas, je suis une femme respectable, j’aime mon mari. Non, je ne veux pas devenir une trainée. Non, je ne veux pas que ces hommes me touchent de leurs grosses mains sales, qu’ils tyrannisent mes petits seins, qu’ils fouillent ma chatte ruisselante de désir. Non, je ne veux pas qu’ils m’obligent à prendre leurs sexes malodorants en bouche.
Ses mots sortaient à voix haute dans l’habitacle, j’étais tremblante d’excitation et n’arrivais pas à me convaincre de ne pas franchir le pas. Le panneau « Station TOTAL à 3 km » me fit frémir. Un frisson glacial parcourut ma colonne vertébrale. Je dus me stationner sur le bas côté pour reprendre mes esprits. Qu’allais-je faire ? Je ne dois pas m’y arrêter, mais je ne peux pas continuer comme ça.
Je pris Roberto dans mon sac, espérant qu’il pourrait me calmer et me faire entendre raison. Je roulai quelques mètres pour m’enfoncer dans le sous-bois et je fis glisser mon petit ami bleu le long de mes grandes lèvres suintantes de sécrétions. Mon sexe s’ouvrit lentement sous la poussée. Les jambes écartées, posées de part et d’autre du volant sur le tableau de bord, d’une main j’actionnai mon jouet, de l’autre je caressai, écrasai, pinçai, maltraitai mon clito et mes tétons. J’aventurai mes doigts autour de ma rosette déjà enduite de mon excitation. Pour la première fois, j’y plongeai un doigt dans son intégralité et, poussée par les sensations, je massai de ce doigt la fine et sensible paroi qui le sépare du gode. Sentant un orgasme monté, j’activai des plus en plus vite mon dildo, dans ma folie, un deuxième doigt vint rejoindre celui qui dilatait mon fondement. Une jouissance terrible me submergea totalement et je ne pus contenir mes cris. Mes mains et mes doigts augmentèrent la cadence pendant cet orgasme brutal qui se prolongea plusieurs minutes. Mon ventre et mes fesses furent parcourus de spasme et de tremblement. J'étais dans un état second, hors de conscience.
Après avoir joui de longues minutes en faisant coulisser de plus en lentement l’objet de mon plaisir, je repris doucement mes esprits et en ouvrant les yeux, je découvrai un homme en train de se masturber juste derrière la fenêtre. Toujours dans un état semi-léthargique, je regardai, comme fascinée, sa main s’activer sur un sexe qui me paraissait difforme. Imperceptiblement, ma main avait remis en branle mon ami de plastique. Je pris alors la folle décision d’ouvrir la fenêtre, mon inconnu en eut l’air surpris et me fit un grand sourire. J’étais pétrifiée de peur et d’excitation. Il tendit sa main et me caressa un sein. Il pinça mes tétons avec douceur, il était doux et sensuel. Sa main descendit sur mon ventre et se glissa sous la mienne et s’empara de mon jouet. Il le fit aller et venir doucement, puis commença à le faire tourner en moi. Son autre main tirait de plus en plus fort sur mes tétons. Il les étirait maintenant sans douceur et j’adorais ça. Mes gémissements l’encouragèrent à aller plus loin. Il lâcha Roberto et se redressa pour présenter son sexe juste sous mon nez. Je sentis ses effluves masculines fortes, ces parfums m’excitèrent terriblement. J’osai prendre en main ce phallus qui me semblait étrange. J’observai ce gland très violet, beaucoup plus large que le reste de la tige, elle-même parcourue de grosses veines. Je branlai lentement cette queue en la fixant, la détaillant, je me rendis compte que je n’avais jamais vraiment regardé un sexe d’homme d’aussi près.
Il baissa son pantalon jusqu’au genou, me laissant ainsi apprécier la taille de son sexe. Il était bien plus long que mon Roberto, mais je n’arrivais pas à le comparer à mon mari, je ne l’avais jamais détaillé comme ça. De grosses bourses très poilues pendaient sous la tige. Il retira son haut, dévoilant un torse entièrement recouvert de poils noirs et gris très frisés. La base de son sexe était cachée par un buisson particulièrement touffu. Je n’avais jamais vu d’homme aussi poilu, du moins pas aussi nu. Il posa sa main derrière ma tête et d’un geste autoritaire, me plaqua son gland contre ma bouche. Je sortis ma langue pour en goûter la forte odeur, il était déjà recouvert d’un jus gras et odorant. Rapidement, je l’aspirai et fit rouler ma langue comme je l’avais vu faire sur les vidéos du net. Il me poussa à le prendre un peu plus profond en moi. Je me laissai faire, docile…
- T’aime ça, sucer des inconnus ! Petite garce !
- Mmmh ! je ne sais pas, c’est la première fois ! répondis-je, recrachant le vit.
- Et ben ! Pour une première fois ça promet ! Et vu ton alliance, je suppose que t’es mariée ? Il est au courant ton cocu ?
- Non, il est en voyage.
- T’as aimé que je tire fort sur tes seins. T’aime les fessées aussi ? T’aime te faire baiser ou te faire sodomiser par des inconnus ?
- Je ne sais pas. Je n’ai jamais essayé.
- Qu’est ce tu n’as pas essayé ?
- Ben…. La fessée, par derrière, les inconnus….
- Mais c’est mon jour de chance alors, en plus je crois que c’est le gros lot avec toi.
- Qu’est ce que vous voulez dire ?
- Rien, suce-moi, ta bouche est bien douce. Tu vas y mettre toute ma queue.
Appliquant le geste à la parole, il poussa ma tête pour que je le reprenne en bouche. Il poussa loin, plusieurs fois, allant de plus en plus profond. Me donnant même des haut-le-cœur, je me faisais dominer et j’adorais ça. Ma chatte mouillait de plus belle.
Il ouvrit la porte pour pouvoir me mettre toute sa longueur. Son gland força ma gorge mais je n’avais pas mal du tout. J’essayai de saliver le plus possible pour qu’il parvienne à ses fin. Je sentis ses grosses couilles buter contre mon menton. Alors que je le sentis prêt à jouir, il me retira son sexe de la bouche, me privant de ma première fellation complète. Il me tira jusqu’à l’avant de la voiture et me pencha sur le capot. Il releva ma robe, dévoilant mes fesses et dénuda mes seins. Il retira mon gode de ma chatte et la fouilla de ses gros doigts. C’était divin mais je m’impatientai de sentir sa queue en moi. Il ne tarda pas et je sentis le gros gland pointer entre mes grandes lèvres poisseuses. Il me pénétra d’une seule et puissante poussée. Déclenchant déjà un orgasme. Ma chatte se contracta en plusieurs spasme de plaisir autour du sexe libérateur. Enfin, j’avais une bonne bite qui me soulageait de mes tourments.
Après une pause où il savoura sa victoire, il me pilonna violemment pendant de longues minutes, sortant son membre presque en totalité avant de pousser de nouveau loin en moi. Je sentais parfaitement les moindres aspérités de se sexe, tant il étirait mon vagin de tout côté. Il reconnut les signes d’un prochain orgasme et il sortit son sexe. Il regarda ma chatte en l’écartelant impudiquement de ses grosses mains, me fouilla de ses doigts que je sentais viriles et râpeux, il les agita en de faibles mouvements très rapides, puis il remit son énormité en moi. Il se mit à faire de petit va-et-vient, ne laissant entrer sa queue que jusqu’à la base de son gros gland. Ce frottement exacerba encore mes sens et un nouvel orgasme eut raison de moi. Il se remit à me bourrer de toute sa longueur et toute sa force pendant que ma chatte le comprimait de spasmes. Ses mains calleuses s’abattaient sur mes fesses en de grands claquements ou étiraient mes tétons à m’en faire mal. Plus il me rudoyait, plus je jouissais. Pour la première fois de ma vie, j’eus plusieurs orgasmes d’affilé.
- Ah ! Elle est bonne ta chatte, petite salope. Je la sens bien se serrer autour de ma bite quand tu jouis.
- Oh oui ! C’est bon ! Continue à me faire du bien.
- Ne t’inquiète pas ma chérie ! Tu vas en avoir de la bite ! Je vais bien remplir ton trou de sperme.
Plus il me parlait, plus je prenais du plaisir, ses grossièretés et son manque de respect m’excitaient follement. J’osai passer une main entre mes cuisses et attrapai ses grosses couilles poilues. Ses mouvements se désordonnaient de plus en plus, son sexe gonfla en moi et son sperme se déversa dans ma chatte. Les jets bouillants et la sensibilité de ma chatte dilatée comme jamais m’emportèrent dans un orgasme des plus puissants, je crus mourir tellement j’avais perdu la maîtrise de mon corps. Il me maintint dans ma position, sans lui je me serais écroulée.
Je crois que je me suis endormi ou peut être ai-je seulement somnolé ou l’ai-je seulement cru. A mon retour sur terre, trop d’émotion d’un coup, je fondis en larmes. J’étais toujours sur le ventre, sur le capot de la voiture. Mon amant s’était retiré mais je sentais son regard sur ma chatte qui laissait échapper sa semence en émettant de curieux clapotis. Mes jambes ne me portaient plus et je me laissai tomber à genoux. Mon tourmenteur ne perdit pas de temps et me présenta sa bite devant la bouche :
- Nettoie bien ma bite petite pute ! T’es vraiment une bonne petite chienne. Je n’en reviens pas d’être tombé sur une bonne petite bouffeuse de queue comme toi.
- Fais moi encore jouir ! C’est trop bon !
- Tes désirs sont des ordres ma belle ! Suce-moi et tu ne seras pas déçu. Au fait, tu t’appelles comment ?
- J’aime bien quand tu m’appelle petite pute, ça m’excite !
- Alors va pour petite pute, moi ça me va parfaitement.
Sur ces derniers mots, il engouffra sa bite au fond de ma gorge, elle était imprégnée des mes odeurs intimes et cela décupla mon plaisir de le prendre en bouche. Il força toujours pour que je le prenne en entier. J’étais heureuse d’y arriver même si ce n’était pas sans mal. Je salivai pour qu’il glisse mieux, je fais vibrer ma gorge pour qu’il me sente mieux. J’étais toute dévouée à son désir et ça me plaisait terriblement. J’espérai qu’il se laisse aller à éjaculer dans ma bouche pour goûter enfin de la semence. Il maltraita ma bouche jusqu’à m’en faire mal à la mâchoire. Il gifla et tirailla mes seins, curieusement, la douleur déclenchaient en moi des ondes de plaisir. Et enfin, je le sentis se gonfler entre mes lèvres et sa queue projeta un flot de sperme très abondant. Le parfum et la consistance de ce qu’il m’arrivait sur la langue était à la fois répugnant et excitant. J’étais au bord du vomissement et pourtant j’aimais avoir ce liquide gluant et chaud en bouche. J’avalai du mieux que je pouvais et réussis à ne pas en perdre une seule goutte. J’étais fière de moi et du plaisir qu’il prenait. Ma chatte mouillait, ou plutôt coulait autant que j’avalais la semence.
- J’ai jamais vu une aussi belle et aussi bonne salope que toi entre mes mains. Tu vas voir, on va se régaler tout les deux.
- Oui, fais-moi des choses !
- T’as aimé me sucer ? Et que je te gicle dans la bouche ?
- Oui, c’était bien.
- Non, t’as pas compris ! Je veux que tu me dises : j’aime te sucer la queue et je veux que tu mettes encore ton sperme dans ma bouche.
- Je ne peux pas dire ces choses.
- Mais si, répète ! dit-il en empoignant vigoureusement mes longs cheveux, ce qui provoqua un frisson dans ma chatoune.
- Aïe ! vous me faites mal. J’aime te sucer le sexe et je veux que tu mettes encore ton sperme dans ma bouche.
- Je crois t’avoir dis « queue » et pas « sexe ». Je veux que tu me le dises avec des mots très vulgaires, choquants. T’as compris ?
- Oui, je… je comprends, je vais essayer. Je veux ta queue dans ma bouche, je veux sentir ton jus, ta purée. Je veux que tu me baises la gorge, je veux te lécher les couilles, je veux sentir ta bite dans ma chatte, je veux….
- C’est bon, c’est bon, t’emballe pas ma chérie, je vois que t'as compris et qu’en plus tu prends ton pied.
Sur cette humiliation, il me releva et me fit un baiser très profond, nos langues se mélangeaient dans une danse à la fois empreint de tendresse et de domination. Il se rhabilla, je fis de même, puis il me prit par la main et me guida jusqu’à la porte conducteur de ma voiture. Je pris place, il ferma la porte et vint s’assoir à mes côtés.
Je le regardai vraiment pour la première fois. Jusqu’à maintenant, il n’avait été qu’un sexe, qu’un fantasme réalisé, je découvris l’homme. Il devait avoir cinquante cinq ou soixante ans, très dégarni, ventru, des bras puissants et très velus se terminant par de grandes mains calleuses aux doigts larges. Un visage buriné, encadré par de larges oreilles d’où sortaient une touffe immonde, un nez épais et informe aussi garni que ses oreilles. Sous une barbe de plusieurs jours, on devinait une peau grenelée, tannée par le soleil. Un maçon, un paysan, un terrassier, en tout cas pas un gratte-papier, ni un ouvrier d’usine, ce mâle devait passer son temps en extérieur, à faire des travaux de force. Un débardeur orange et hors d’âge recouvrait son torse poilu. Une sorte de long short à fleurs fanées orné des traces de nos ébats forestiers cachait mal l’objet du délit. Il était force et laideur. La virilité à l’état brute. Le mâle de mes fantasmes. Le genre qui va voir les filles sur le bord de la route, sans se poser de question existentielles, juste pour vider les grosses balloches qui remplissent son vilain short. Je voyais en lui l’être qui allait me guider vers les perversions les plus folles. Le hasard l’avait désigné pour devenir le maître de ma sexualité, il ne le savait pas encore :
- Ta grosse queue m’a donnée soif, je connais une station Total pas loin, on pourrait s’y arrêter.
- Ok ! Mais je veux que tu remettes ton gode bien au chaud au fond de ta chatte !
Réflexion faites, je crois qu’il savait déjà.
FIN
Excellent et très excitant. Et pourquoi pas un 2nd chapitre avec cette bourgeoise affamée de sexe dans le parking de la station Total avec les routiers à faire la pute ?
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