mercredi 5 juin 2024

Le sex-shop.

 Traduction d’un texte de photoboy32

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Il y a environ un an, ma femme et moi avons vu un documentaire à la télé sur un couple marié où l’homme voulait exposer sa femme devant d’autres hommes. J’avais toujours aimé montrer ma femme et je rêvais de l’exposer encore plus. Mais j’étais trop gêné pour lui dire. Pendant le documentaire, elle a fait un commentaire en riant disant que ce serait « amusant » d’être exposée comme ça. Je me suis souvenu alors que lorsque nous sortions ensemble, elle n’avait jamais vraiment protesté quand je l’obligeai à montrer un peu de son corps dans des lieux publics. Je me souviens surtout lorsque nous allions dans ce vieux cinéma en plein air en voiture. J’arrivai à lui faire enlever peu à peu tous ses vêtements dans la voiture.

La probabilité que quelqu’un regarde dans notre voiture et voit ma femme complètement nue était vraiment excitante pour moi. Bien sûr, elle rechignait un peu au début, mais j’arrivais à la dénuder. Un par un, je jetais ses vêtements sur la banquette arrière jusqu’à ce qu’elle soit complètement nue. Parfois, je prenais tous ses habits et je les enfermais dans le coffre. Bien sûr, ensuite, elle était obligée de se soumettre à tous mes caprices pour récupérer ses vêtements. Je me suis toujours dit que je devais être plus persuasif que d’autres gars, mais je sais qu’elle trouvait ça très excitant elle aussi.

Une fois, à la sortie de l’université, après que nous avions bu tous les deux pas mal de bières, je me suis intentionnellement garé à côté d’une camionnette remplie de gars qui buvaient de la bière et passaient un bon moment. Alors que j’embrassais Susan, j’ai déboutonné son chemiser et je l’ai fait glisser ainsi que ses bretelles de soutien-gorge sur ses épaules. J’ai dénudé ses seins alors que les gars regardaient, bouche bée, à travers la vitre de la camionnette. Pendant que je l’embrassais et que je pinçais et tirais ses mamelons, les gars sont tous descendus de la camionnette pour s’approcher de la fenêtre de ma voiture et regarder de plus près. Après plusieurs minutes de spectacle, j’ai tendu la main et j’ai descendu la vitre de la portière. J’ai attrapé le visage de Susan à deux mains et je l’ai tourné vers moi en l’embrassant toujours. J’ai carrément offert le corps de ma copine aux gars. 

Susan ne semblait pas trop comprendre ce qui se passait. J’ai juste pensé qu’elle était trop ivre pour tout remarquer. Pendant que je lui tenais la tête et l’embrassais, les jeunes hommes se sont approchés et ont commencé à lui tripoter les seins. Je me souviens avec quelle facilité elle m’avait laissé dénuder sa poitrine. Pendant que je continuais à l’embrasser, je gardais les yeux ouverts et je regardais les gars la toucher. Ils devenaient assez entreprenants et j’avais peur que Susan s’en rende compte, mais elle n’a pas essayé de les arrêter ou de m’arrêter. Les gars semblaient mieux connaître ses envies que moi. Ils ont relevé sa robe et ont passé leurs doigts sous la ceinture de sa culotte pour toucher sa chatte. J’ai regardé Susan ouvrir les jambes. En fait, j’ai joui dans mon pantalon en voyant ma petite amie gémir et se tordre pendant que les jeunes gars lui tripotaient les seins et doigtaient sa chatte.

Et nos vies ont changé après l’obtention de nos diplômes. Susan a un corps fabuleux et nous sommes tous les deux fiers de le montrer. Ma femme a des seins assez gros et comme elle est petite ils semblent encore plus gros. Elle a également de gros mamelons épais qui, lorsqu’ils sont dressés, allongent ses seins en cônes fascinants. Ils sont magnifiques à regarder. Ses mamelons font trois centimètres de long lorsqu’ils sont dressés et ils constituent sa zone la plus érogène. Elle adore se les faire rouler entre les doigts ou se les faire sucer. J’aime parfois être un peu brutal avec eux en les pinçant et les tordant, et si Susan est assez excitée, elle aime que je sois dur. Je garde même une paire de pinces à linge dans le tiroir de la table de chevet. Et je les accroche quand elle est vraiment excitée. Puis je lui tiens les poignets pour qu’elle ne puisse pas les enlever.  Je la baise pendant qu’elle gémit et me supplie de lui les enlever. Je luis dis alors qu’ils resteront tant qu’elle n’aura pas joui. Elle se plaint que ces pinces lui font trop mal, mais elle les laisse dans le tiroir de la table de chevet.

D’autres fois, je m’assieds sur ses hanches alors qu’elle est allongée sur le lit. Puis je saisis ses mamelons et je les tire vers le haut, l’obligeant à cambrer le dos. Elle caresse sa chatte en gémissant alors que je la tiens dans cette position jusqu’à ce qu’elle jouisse.

Au moins deux fois par mois, nous nous rendons dans le centre-ville dans un sex-shop avec des cabines vidéos dans l’arrière-boutique. Elles sont au nombre de cinquante environ. La zone est très sombre avec beaucoup d’allées.En été, Susan porte des sandales à talons hauts, un short et un tee-shirt ou un débardeur, et rien d’autre. Inutile de dire qu’elle attire beaucoup l’attention. Presque toutes les cabines ont des trous sur les côtés des parois les reliant entre elles. Certains sont assez petits pour juste jeter un coup d’œil, mais ils en existent dans toutes les tailles. Généralement les cabines de chaque côté de la nôtre se remplissent rapidement. 

Nous avons pris l’habitude d’utiliser deux cabines qui sont les préférées de ma femme. Dans l’une, le trou est assez bas et juste assez grand pour que Susan puisse y faire passer un de ses seins. Je demande alors à ma femme de s’agenouiller, puis je soulève sonn haut et je la pousse contre le trou. Je joue avec le sein restant alors qu’un inconnu s’amuse avec l’autre. Elle me dit toujours ce qu’il lui fait, des choses comme « il me serre le sein », « il me pince le téton » ou « il le suce très fort ». Parfois le gars dans la cabine d’à côté devient brutal et Susan commence à gémir :

- Ohhh, il me fait mal, Johnny !

Mais je la tiens appuyée contre la paroi et la force à subir. Il ne faut pas longtemps avant que je fourre ma bite dans sa bouche. Là je sais ce que l’autre gars fait en entendant ses gémissements.

La deuxième cabine au un trou plus grand et plus haut. Je place Susan près de ce trou et, avec ses seins rapprochés, ils peuvent sortir dans la cabine à côté. Les clients de ce sex-shop semblent pour la plupart venir des bars du quartier et ils ne sont pas réputés pour leur gentillesse. Mais je pousse Susan contre le trou et je la tiens fermement, ses bars dans son dos, sa poitrine offerte aux gars de l’autre côté.

Une troisième cabine est ma préférée bien que Susan ne l’aime pas. Un trou énorme est découpé à mi-hauteur. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi on a fait ce trou, mais je lui ai trouvé une bonne utilisation. Susan se met à genoux sur le banc de la cabine et je la pousse la tête première dans le trou avec ses bras serrés le long de ses côtés. Elle peut se faufiler assez loin pour que sa tête et sa poitrine soient dans la cabine d’à côté. Le gars peut regarder son joli visage et jouer avec ses seins pendant que je descends son short et joue avec son cul et sa chatte.

Les hommes embrassent ma femme, forçant leur langue dans sa bouche pendant qu’ils tripotent ses seins. Elle me dit souvent qu’ils sentent la vinasse. Un gars lui a presque décroché la tête un jour en essayant de la tirer pour qu’elle suce sa bite, mais il n’y est pas arrivé. Un autre gars que nous appelons « le claqueur » a rendu sa poitrine rouge vif un jour en claquant ses seins pendants sans arrêt. Je me suis contenté de tenir ma femme en place alors qu’elle le suppliait d’arrêter. J’ai joui en écoutant le bruit des claques sur ses seins. 

Susan aime être exposée, et je pense aussi qu’elle aime être impuissante et abusée, même si elle dit qu’elle n’aime pas les traitements brutaux. Par contre, moi, j’aime la voir être un peu maltraitée. Heureusement elle a toujours eu peur de se plaindre trop fort de peur que les flics soient appelés. Donc une fois que je l’ai confié à un autre, elle est obligée d’accepter les mauvais traitements que je permets. Même si Susan n’aime pas la cabine avec le gros trou, j’ai l’habitude de lui faire utiliser quand je considère qu’elle a été « une mauvaise fille ». Elle se met parfois en colère, si je laisse quelqu’un être trop brutal avec elle, mais elle sait que si elle veut que je la sorte encore, elle doit supporter ces brutalités de temps en temps. J’ai aussi découvert que si je la saoule un peu avant de partir, elle supportera à peu près n’importe quoi.

A cause de notre peut d’attraper une maladie sexuellement transmissible, nous avions établi la règle que personne ne pouvait mettre sa bite dans sa bouche, sa chatte ou son cul. J’avoue que je fantasme de voir ma femme se faire gangbanger, mais je sais qu’il est nécessaire de se protéger. Toutefois, une nuit, nous avons enfreint cette règle par accident.

Il y a environ deux mois, nous sommes allés au sex-shop après avoir fait quelques bars.

 *****

Ce soir-là nous sommes tous les deux ivres et bien excités au moment où nous sommes arrivés, si bien que cela nous rend insouciants. Je n’arrête pas de dire à Susan, qu’elle était une très « méchante » fille et que je vais la punir en la mettant dans la cabine avec le grand trou. 

Ma femme veut s’amuser et pour me contredire, elle entre seule dans une autre cabine et elle verrouille la porte derrière elle. Rapidement je me glisse dans la cabine adjacente. Il y a un trou dans la paroi assez grand pour que je puisse passer le bras. Alors je tends la main et je commence à la caresser. Elle rit et elle essaie de s’éloigner pour me taquiner, mais je peux saisir son haut qu’elle me laisse retirer. L’autre paroi de sa cabine a un trou un peu plus grand et je peux voir un gars lorgner sur ma femme. Je me dis que je vais la mettre nue pour lui. Donc je dis à Susan que je quitterai le sex-shop et la laisserai piégée ici sans son haut à moins qu’elle ne me donne son short. Elle me fait promettre de lui rendre ses vêtements, mais je sais qu’elle a hâte de se mettre à poil pour le voyeur de l’autre cabine. Donc elle retire son short et me le fait passer par le trou. Elle se retrouve nue à l’exception de ses talons hauts. Je trouve ce jeu excitant. Je la fais se tenir près de mon trou pour que je puisse toucher sa chatte. Les gars de l’autre cabine ont une belle vue sur son cul. 

Mais ensuite il se passe une chose non prévue. Je vois un gars passer son bras par le trou pour déverrouiller la porte de la cabine de Susan. Je ne réagis pas tout de suite. Je sais que je dois faire quelque chose, mais je suis trop surpris et ivre. Je continue à doigter la chatte de ma femme tandis que l’homme travaille sur la serrure. Finalement il déverrouille la porte et celle-ci s’ouvre  immédiatement. Je vois deux hommes se précipiter dans la cabine et verrouiller la porte derrière veux. Ils ont capturé ce qu’ils convoitent. Susan est terrifiée par la tournure que prennent les évènements. 

- Oh mon Dieu Johnny, aide-moi ! Crie-t-elle alors que les hommes entrent dans la petite cabine.

Je la vois se tourner face au mur dans une vaine tentative de cacher sa nudité. Mais les hommes la saisissent et la font pivoter pour bien la regarder.

- Ça va aller ma chérie ! Dis-je pour essayer de la calmer.

Elle commence à devenir un peu hystérique et ma première pensée et l’article du journal local expliquant comment un couple de la classe moyenne supérieure aime s’exhiber dans un sex-shop louche du centre-ville. Le m’imagine la police arrêtant tout le monde pour interrogatoire. Je vois Susan, toujours nue, menottée et poussée à l’arrière d’une voiture de police. J’imagine que les policiers trouveront toutes sortes d’excuses pour la « fouiller » pendant qu’elle serait assise, effrayée et menottée. Je pense que Susan doit avoir à peu près les mêmes idées qui lui traversent l’esprit, car elle supplie doucement les deux hommes de la laisser partir. J’essaie aussi de parler aux deux hommes :

- Allez les gars, laissez-la partir ! D’accord ?

- Détends-toi mon pote. Tu récupéreras ta petite garce excitée quand nous en aurons fini avec elle. Dit l’un d’eux.

Puis Susan est poussée contre mur. Ses fesses bloquent le trou de mon côté. Je ne peux qu’écouter pendant que les deux hommes s’occupent de ma pauvre femme. Susan continue de les supplier de la laisser tranquille. Alors que je suis assis là à l’écouter sangloter et implorer ses ravisseurs de la laisser partir, je commence à être excité. Bien que je sois effrayé par la chose, j’ai toujours voulu voir ma femme être maltraitée et violée. Je pense à quitter ma cabine pour passer dans celle qui est de l’autre côté, mais je devine qu’il doit y avoir déjà d’autres voyeurs qui reluquent ce qui arrive à mon épouse. J’entends Susan chuchoter, ses supplications s’accélérant ou ralentissant alors qu’elle respire fort ou gémit.

- Oh mon Dieu non… S’il vous plaît, arrêtez… Vous me faites mal… S’il vous plaît… Ooooohhh…

Je reconnais bien l’état dans lequel est ma femme. Elle a l’air de lutter contre sa propre excitation. Je sais que les hommes doivent la plaquer contre le mur et s’amusent avec ses seins. Je sais comment Susan respire quand ses mamelons sont pincés et tirés jusqu’à la limite. Et puis ma femme commence à me parler comme elle le fait d’habitude quand nous sommes dans les cabines et qu’elle a mis sa poitrine dans un trou.

- Ohhh mon Dieu, Johnny… Ils me pincent les tétons… Ohhh… S’il te plaît… Johnny… Fais qu’ils arrêtent ça. 

Je peux dire qu’elle n’a plus peur d’être blessée. Maintenant, elle craint que ces hommes l’excitent et arrivent à la contrôler.

Finalement, Susan s’écarte de la paroi et je peux voir à travers le trou. Son cul est toujours très proche du trou, mais je peux voir entre ses jambes. Soudain celles-ci s’écartent et je peux clairement voir des doigts entrer et sortir de la chatte de ma femme. Ils doigtent mon épouse. Je peux voir son cul trembler à chaque fois que les doigts plongent en elle. Je peux à peine le croire, mais ces inconnus excitent ma femme. Susan bouge les hanches d’avant en arrière sur ces doigts. J’entends les hommes rire en regardant ma femme répondre à leur sollicitation. Je sais que c’est le cas simplement parce que ma femme est ivre. Ma propre bite est bien dure dans mon pantalon.

- Ohhh Johnny… S’il te plaît, Arrête-les… Johnny, ils vont me violer… Ohhh… Gémit-elle.

Je comprends que ce soir que notre règle va être bafouée.

Je les regarde soulever Susan et je vois une bite se présenter vers mon trou. Mais l’homme saisit sa queue juste avant qu’elle ne passe le trou et il la pointe vers la chatte de ma femme. Puis lentement Susan redescend et s’empale sur cette bite. Celle-ci glisse facilement dans sa chatte et je comprends qu’elle est vraiment mouillée. La queue s’enfonce profondément et pousse Susan contre le mur. Elle grogne à chaque coup de rein de l’homme. J’ai l’impression d’être dans un rêve. Ma pauvre femme est maltraitée et violée juste devant moi. Dans ma tête passe rapidement l’idée que je souhaiterai qu’il y ait plus d’hommes. Je suis encore un peu ivre, bien sûr, et probablement en état de choc, mais je reste là à regarder la bite d’un inconnu marteler encore et encore la chatte de ma femme sans défense.

Au bout d’un moment, ils éloignent Susan du mur et je peux voir plus clairement à travers le trou.  Le premier gars sort sa bite de la chatte de ma femme et la pousse vers le deuxième gars assis sur le banc dans la cabine. Susan est tenue au-dessus de l’homme en lui tournant le dos. Elle est placée au-dessus de sa bite bien raide , puis elle est poussée vers la bas. Elle grogne alors qu’elle s’empale sur la queue du deuxième homme. Celui-ci saisit ses bras pour les tenir derrière elle et les utilisent pour la soulever et l’abaisser sur sa bite. Les seins de mon épouse rebondissent de façon obscène devant le premier homme qui la regarde. Je peux voir que ses mamelons sont bien droits, bien durs. Elle est très excitée.

- S’il vous plaît… S’il vous plaît… S’il vous plaît…

Je peux l’entendre murmurer ces mots à chaque fois qu’elle rebondit sur la bite de l’inconnu numéro deux. Le premier gars lui caresse les seins.

- S’il vous plaît quoi ? Demande-t-il en riant.

- Ohhh nonnnn… 

C’est la seule réponse de Susan, mais je sais ce qu’elle veut. Alors je leur dis.

- Elle veut que vous lui pinciez les tétons !

- Ohhh mon Dieu Johnny, ne leur dis rien ! Supplie-t-elle

Mais elle cède dès que le gars lui saisit les tétons.

- Oui, pincez-moi… Tirez mes tétons… S’il vous plaît… S’il vous plaît…

L’homme prend ses deux mamelons entre ses pouces et ses index et il les tord violemment tout en tirant les seins vers le haut et sur les côtés comme s’il voulait les arracher.

- Est-ce que tu aimes ça chérie ? Tu aimes que je maltraite tes tétons ? Dit-il en la regardant.

- Ouiiiiii… Siffle Susan alors qu’il continue de pincer et tordre ses mamelons.

- Faites-moi mal… S’il vous plaît… Faites-moi mal… Ohhhh…

L’homme pousse alors ses hanches en avant pour amener sa bite près de son visage et ordonne :

- Suce-moi salope et je te ferai vraiment mal !

Susan est poussée en avant par le deuxième homme et elle ouvre immédiatement la bouche pour prendre la bite dans sa gorge.  Maintenant elle est baisée par deux queues à la fois. Ils continuent comme ça pendant de longues minutes. Susan rebondit sur la bite dans sa chatte et balance sa tête de bas en haut sur la bite dans sa bouche. Le gars debout maltraite ses tétons et je sais qu’il ne va pas falloir longtemps avant que cela fasse effet sur ma femme. Ils la baisent sans ménagement, l’amenant rapidement au point de rupture. Susan commence à grogner et à trembler alors qu’elle jouit. Les deux hommes se moquent d’elle :

- Regarde cette petite chienne, elle adore ça ! Dit l’un d’eux.

Finalement le gars devant elle n’en peut plus. Il enfonce sa bite profondément dans la bouche de ma femme et il commence à éjaculer. En même temps il tire fort sur les tétons de Susan et je peux vois qu’elle continue de gémir.

Le deuxième homme finit de la baiser et les deux hommes quittent la cabine très vite. Je me précipite pour voir comment va ma femme. Elle tient ses seins comme s’ils sont très douloureux, mais elle me dit qu’elle va bien.

  ****

Nous n’avons pas beaucoup parlé de ce viol ensuite. Je me suis demandé si Susan voulait retourner au sex-shop et nous l’avons fait trois semaines plus tard. Nous étions sortis dîner et nous avions bu quelques verres. Sur le chemin du retour nous sommes passés devant le sex-shop. J’ai vu Susan le regarder alors que nous passions. J’ai fait le tour du pâté de maison et j’ai garé la voiture pas loin de l’entrée. Nous nous sommes regardés sans rien dire et elle est sortie de la voiture. Habituellement nous allions à cet endroit avec Susan habillée d’un simple haut et un short, mais ce soir elle portait une robe et des talons. 

Nous sommes retournés dans les cabines et Susan s’est dirigée vers celle qui a le plus grand trou dans la paroi. 

- As-tu été une mauvaise fille ? Ai-je demandé.

Mais elle n’a rien répondu. Elle est restée immobile, sans dire un mot, alors que je descendais la fermeture éclair de sa robe. Je lui enlevais son soutien-gorge et sa culotte, en lui laissant seulement ses bas, son porte-jarretelles et ses talons. Elle s’était habillée pour me plaire. Je pouvais voir qu’elle tremblait pendant que je rassemblais ses vêtements. J’ai lentement compris alors pourquoi elle avait choisi cette cabine. Le trou dans la paroi me laisserait une vue imprenable sur ce qu’elle aurait à endurer.

- Qu’est-ce que tu veux ma chérie ?

- Ce que tu veux !

- Tu veux que je le laisse seule ici ? Lui ai-je dit vicieusement.

- Fais ce que tu veux ! A-t-elle répété.

J’étais un peu contrarié qu’elle ne me dise pas ce qu’elle voulait. Alors j’ai attrapé un de ses tétons pour le pincer rudement en lui disant :

- Eh bien, peut-être que je veux te voir te faire baiser à nouveau ! Peut-être que je vais te laisser ici toute la nuit et laisser des gars profiter de ton corps.

Je savais ce que voulait Susan, mais je voulais l’entendre le dire. Alors j’ai attrapé son sein gauche pour le serrer très fort.

- Ohhhh, s’il te plaît… Ça fait mal…

- Dis-moi ce que tu veux ma chérie ? Ai-je répondu en serrant plus fort.

- Ohhh oui.. Je veux être… Violée. Je veux être violé par plusieurs hommes… Ohhhhh, ça fait mal… S’il te plaît, arrête…

J’ai ri à son aveu. Puis j’ai retiré une de ses boucles d’oreille pour l’attacher au mamelon de son sein gauche. Susan a gémi et le téton est devenu encore plus dur. J’ai compris qu’il n’y avait plus de règles. Ma femme avait sucé un étranger et avait été baisée par un autre. Les limites étaient tombées. Alors je lui ai dit :

- Eh bien tu vas réaliser ton souhait ma chérie. Tu vas être victime d’un viol collectif ce soir, la semaine prochaine, puis la semaine suivant et ainsi de suite…

- Ohhh…

Elle trembla à mes mots.

- Ces hommes vont te faire tout ce qu’ils veulent et tu devras les laisser faire. A partir de maintenant tu seras l’esclave sexuelle de chaque homme dans cet endroit.

Elle gémit bruyamment à cette menace.

- C’est ce que tu veux ? Lui ai-je demandé, un peu surpris, mais elle n’a pas répondu.

Je l’ai embrassée sur la nuque, caressé ses seins, puis j’ai quitté la cabine en emportant ses vêtements. Tandis que je sortais, deux jeunes hommes passaient. Ils étaient un peu rustres, mais c’est ce qu’il fallait à ma femme ce soir. Alors j’ai tenu la porte ouverte pour qu’ils puissent avoir une bonne vue sur ma pauvre femme.

- Putain de merde ! Dit l’un d’eux.

J’ai souri et je me suis dirigé vers  la cabine d’à côté. J’ai entendu le claquement de la porte ainsi que le verrou. J’ai attendu une minute en écoutant et j’ai entendu ma femme :

- Ohhh s’il vous plaît… Ne me faites pas de mal… S’il vous plaît, ne faites pas… ça…

J’ai essayé d’ouvrir la cabine à côté, mais elle était déjà verrouillée. Donc je ne pouvais que rester dehors et écouter les jeunes hommes profiter de ma femme. Dans les autres cabines, des inconnus mataient le spectacle. En fin de compte, j’ai trouvé excitant d’écouter tout en sachant que d’autres la regardaient.

FIN

1 commentaire:

  1. excellent récit très excitant et bien écrit . Bravo, j'espère que d'autres suivront....

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