mercredi 19 juin 2024

Les débauches de mon épouse - Ch. 07

Texte de Cadan (2011).
*****

C’est moi, le mari de C, qui raconte cette partie (suite).

Pour repartir, nous avons dû traverser la salle. Là, quelques habitués nous regardèrent longuement. Évidemment, la tenue ultra provocante de C attirait l’attention et les commentaires :

- Pas mal la nouvelle pute d’Ali !

- T’as vu ces nichons ?

- Et ce cul !

- Je lui mettrai bien mon chibre entre les fesses.

- Le mec a dû payer cher pour pouvoir l’emmener. 

La route du retour a été silencieuse. Mon épouse regardait par la fenêtre, des larmes coulant lentement le long de ses joues. Moi, de mon côté, je ne pouvais m’empêcher de repenser à tout ce que j’avais vu ce soir. Et quand je jetais un coup d’œil sur la femme assise à côté de moi, je savais que je n’avais pas rêvé.

Arrivée à la maison, C a immédiatement monté les escaliers vers la salle de bains. Je ne pouvais m’empêcher de regarder son cul, bien visible sous la mini-jupe, d’imaginer l’instrument fiché au plus profond de son anus, de deviner les traces du fouet que je lui avais donné. J’entends l’eau couler dans la baignoire. Je monte. Elle s’est totalement déshabillée et les vêtements de son nouveau statut gisent par terre, dans un coin de la salle de bain. Elle me regarde, surprise et inquiète. Je regarde son corps et la revois, saillie dans cette chambre minable.

- Je dois soigner tes fesses et tes seins. Tourne-toi !

J’enduis longuement la peau zébrée d’une pommade cicatrisante et, incapable de dire quoi que ce soit, je redescends dans le salon et me sers un whisky. Une heure plus tard, je l’entends descendre. Bientôt, elle est là, debout face à moi. Elle a les cheveux mouillés, elle est complètement démaquillée et a revêtu la robe de chambre informe qu’elle porte toujours après le bain. Elle me regarde sans un mot.

- Que va-t-il se passer maintenant ? dis-je enfin.

- Je ne sais pas.

- Il y a une telle différence entre ma femme devant moi et la putain que j’ai baisée et vu se faire baiser cet après-midi. 

Elle ne répond pas et baisse les yeux. Soudain, une révélation. 

- Tourne-toi et relève ta robe de chambre !

C’est bien ma femme, mais le plug est enfoncé entre ses fesses. Elle l’a remis.

- Comment t’appelles-tu ?

- Lola. 

Ali et Marie avaient raison. La jeune institutrice que j’avais épousée est devenue la chose de Monsieur Ali. Elle lui obéit, même quand il n’est pas là, même quand il ne lui rappelle pas son chantage. Il lui a enlevé toute idée de rébellion. 

Elle est montée se coucher sans un mot. Quant à moi, ce soir-là, j’ai dormi sur le canapé. Le lendemain, après une journée de travail, elle à l’école, moi, sur la route, nous nous retrouvons face à face.

- Eh bien, tu es là ce soir ?

- Tu sais bien que Maître Ali m’a donnée une journée de repos. 

Je la regarde. Elle est vêtue d’un jean et d’un sweat-shirt, avec des chaussures de sport, comme je l’ai toujours connue.

- Qu’est-ce qui va se passer maintenant ?

- Je t’aime, mon chéri. Je n’ai pas envie de te perdre.

- Tu n’y retourneras plus ?

- Si tu me le demandes, non. On essaiera de se débrouiller pour l’argent que je dois et pour les photos qui sont en sa possession. 

C’est à moi de décider. Mon épouse met sa vie (sexuelle) entre mes mains. La raison me dit d’arrêter ça. Mais, en même temps, mon sexe se rappelle les images d’hier. Et c’est incrédule que je m’entends dire :

- Nous n’avons pas les moyens financiers pour rembourser Ali ni pour partir loin d’ici. Je suis malheureux, mais tu dois continuer encore un peu de temps. 

Elle ne dit rien. Nous nous installons pour dîner dans un silence pesant. Ainsi, j’ai fait un choix. Mon épouse va continuer à se prostituer, et moi à prendre un plaisir malsain à le savoir, à l’imaginer, à le voir. Le téléphone sonne. Je décroche.

- Allo, ici Ali. Demain, tu m’amènes Lola pour dix-huit heures. Qu’elle ne s’inquiète pas pour ses vêtements ! Il y aura ce qu’il faut ici. 

Et il raccroche, sans me laisser le temps de parler. 

- Qui était-ce ?

- Tu dois t’en douter. C’était Ali. Je t’emmène demain, pour dix-huit heures. Tu n’as pas à t’habiller de manière particulière. 

Ma femme me regarde longuement. Elle sait que je viens de livrer son corps à des inconnus. Pourtant, elle ne dit rien. Et ce silence m’excite. 

La journée du lendemain m’a paru interminable. Quand je suis rentré à la maison, mon épouse attendait déjà. Elle avait revêtu sa mini-jupe, son chemisier transparent et ses talons. Autour du cou, le collier de chien. Elle attrape un manteau (les voisins) et me suit. Dans la voiture, pas un mot. Arrivée devant chez Ali, elle l’enlève et sort. Je la vois traverser le trottoir, ondulant des fesses à cause des chaussures. Elle entre. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je la suis. De la porte d’entrée, je la vois franchir la porte « bureau ». Je suis entraîné derrière elle. Quand j’entre à mon tour, je la vois debout devant Ali. Elle a les jambes écartées. Elle attend.

- Ah, mais le petit mari est venu aussi. Il a envie de voir sa femme se faire baiser. Il ne va pas être déçu. Assieds-toi sur la chaise au fond. Tu ne bouges pas. Tu ne dis rien. 

Je prends la place désignée, déjà excité à l’idée de ce qui va pouvoir se passer. C ne me regarde pas.

- Lola, j’ai deux ou trois choses à te dire. Mais d’abord, pour m’entendre, fous-toi à poil, complètement. Et vite. Les filles qui bossent pour moi doivent m’obéir immédiatement.

- Oui, Maître. 

Le plus vite qu’elle a pu, elle a tout enlevé. Sauf, bien sûr, le collier.

- D’abord, Lola, tu vois bien que tu m’appartiens. Tu es venue sans rechigner. Ton petit mari t’a accompagnée et il se régale à te voir toute nue devant moi en train de m’écouter.

- Oui, Maître.

- Oui, quoi ? Petite pute.

- Je vous appartiens, Maître. Je vous obéis. Et tout ce que vous ordonnerez, je le ferai.

- Bien. Deuxièmement, j’ai quelqu’un à te présenter. 

Et il fait un signe à Marie, toujours présente. Je m’attends à voir arriver un client, qui va sauter ma femme devant moi. Mon sexe en frémit déjà. Marie ouvre la porte et, surpris, je vois entrer une femme qui doit avoir trente-cinq ans. Je la détaille. Elle a une perruque blonde. Elle est outrageusement maquillée. Un collier de chien, identique à celui de C. Elle portait un imperméable court et ciré noir qu’elle a immédiatement ôté. Dessous, elle est nue, exceptée une large ceinture porte-jarretelles rouge et des bas noirs à couture. Elle s’est placée devant Ali, à côté de C. Elle a les jambes écartées, comme elle. Elle attend que son Maître lui donne la parole. 

- Lola, je te présente Jackie. Elle était professeur de français. Maintenant, c’est une autre de mes filles. Elle tapine sur le trottoir et n’oublie jamais de me ramener l’argent de ses passes. N’est-ce pas, Jackie ?

- Oui, Maître.

- Tu as vu, Lola. Elle est à poil dehors. Tu aimerais ça ?

- J’obéirai à vos ordres, Maître.

- Tant mieux, mais tu es trop encore trop jeune pour aller sur le trottoir. Jackie avait déjà beaucoup servi. Lola, regarde donc sa chatte. Que vois-tu ?

- Mais, mais… elle n’a pas de poil, Maître.

- Oui, Lola. Toutes mes filles ont la chatte rasée. Alors ?

- Rasez-moi la chatte, Maître.

- C’est bien, Lola. Jackie, retourne sur le trottoir. Il me faut trois mille balles, cette nuit, sinon c’est la maison d’abattage. 

C’est encore plus que je n’imaginais. Mon épouse fait maintenant partie des « filles » de Monsieur Ali. Pour bien montrer son emprise sur elle, il va marquer son corps dans sa partie la plus intime. Et c’est ma femme qui l’a demandé.

- Monte sur le plan de travail et écarte bien les cuisses. Marie va te raser. 

Bien sûr, elle obéit immédiatement. J’ai une vue imprenable sur son sexe encore couvert de poils. Marie s’approche avec une bombe de mousse à raser. Elle enduit largement les lèvres de C puis s’empare du rasoir. Peu à peu, au fur et à mesure que la mousse disparaît, je distingue les lèvres vaginales de mon épouse complètement nue. Puis c’est au tour du pubis. Marie lui demande de se retourner. Elle enlève le plug, toujours en place et c’est au tour de la raie entre ses fesses d’être rasée. À la fin, Marie essuie ma femme avec une serviette et lui renfonce le plug. Quand elle revient vers Ali, je n’en crois pas mes yeux. Elle est toute lisse. Elle reprend sa position jambes écartées devant son Maître. Il se lève, s’approche d’elle. Il lui passe la main entre les cuisses.

- C’est mieux comme ça. Maintenant, tu commences à ressembler à une de mes filles. Tourne-toi et cambre-toi. Exploration de ses fesses.

- Très bien. Maintenant, je t’explique pourquoi tu es là ce soir. J’ai organisé un repas et tu seras la serveuse.

- Oui, Maître. Et je serai plus obéissante que la dernière fois. Je laisserai les clients me caresser les nichons, me fouiller la bouche et la chatte avec leurs doigts. 

- Je vois que tu progresses, Lola. Mais ce soir, c’est différent. Les clients ont le droit de te baiser, par la bouche ou le minou, comme ils voudront et quand ils voudront. Ils savent qu’ils n’ont pas le droit à ton cul. Tu as compris ?

- Oui, Maître. Je servirai vos clients et je me ferai baiser par la bouche et par la chatte. 

Toutes ces nouvelles révélations me tournent la tête. Ainsi, C a déjà été serveuse facile dans ce bouge, avec des clients qui l’ont caressée intimement. Et ce soir, sous mes yeux, elle va aller encore plus loin.

- Marie t’a préparé tes fringues. Maquille-toi. N’oublie pas les tétons et les lèvres de ta chatte. Habille-toi et reviens ici pour le service. 

C, toute nue, quitte la pièce précédée de l’assistante de son Maître. Ali se tourne vers moi.

- Alors, ça t’excite, mon salaud. Tu vas voir. Ta femme va se faire mettre une bonne vingtaine de fois ce soir.

- Mais pourquoi faites-vous cela ?

- Pour le fric. Cette soirée me ramène un bon paquet. Quant à toi, tu veux voir ou est-ce que ça te suffit ?

- Je veux voir ! criai-je, malgré moi.

- Bien. Tu seras dans le bar. Tu aideras Youssef au service des boissons. Et pas un geste, ou tous les deux, vous le regretteriez. 

À ce moment, C revient. Elle ne porte qu’une large ceinture porte-jarretelles en skaï rouge à laquelle sont attachés des bas noirs. Aux pieds, des sandales translucides avec des talons de quatorze centimètres de haut. Par-dessus, un petit tablier blanc de serveuse qui cache au minimum son sexe, mais laisse complètement à découvert ses fesses. Ses yeux sont maquillés de noir, ses lèvres d’un rouge vif. Mais le même rouge a été appliqué sur ses tétons et, quand elle écarte son tablier pour se présenter à son Maître, je vois que les lèvres de son sexe sont fardées pareillement. Mon sexe, comprimé dans mon slip, me crie combien elle est excitante ainsi.

- C’est bien, petite pute. Tu es bandante comme ça. Tu n’oublieras pas de te remaquiller quand tes trous auront servi. Compris ?

- Oui, Maître.

- Quant à toi, le petit mari, tu vas derrière le bar. Youssef te dira ce que tu auras à faire. 

Je sors donc de la cuisine, laissant mon épouse seule, plus que nue, pour vivre cette nouvelle expérience. Essuyant les verres derrière le comptoir, je vois arriver les invités au repas très spécial qu’a organisé Ali. Des hommes seuls, mais également deux couples, dont les femmes d’un certain  âge paraissent très à l’aise, embrassant tous les participants à pleine bouche devant leurs accompagnateurs (mari, amant ?). Youssef et moi leur servons les apéritifs. Ali apparaît.

- Mesdames et messieurs, bienvenue. Ce soir, le repas vous sera servi par ma nouvelle fille, Lola. Certains d’entre vous ont déjà pu la voir et la caresser. Aujourd’hui, elle est à vous. Vous pourrez la caresser, mais aussi la baiser. Il vous suffira de lui demander ce que vous voulez et elle vous obéira. Je vous demande seulement de ne pas lui enlever son plug anal. Son cul sera pour plus tard. D’autre part, je vous informe que le nouveau serveur est le mari officiel de Lola. Il pourra voir tout ce que vous lui ferez subir, mais en aucun cas, il ne pourra participer. Cris de joie et rires dans le public. Je rougis de honte, mais aussi d’excitation.

- Enfin, l’un, ou l’une d’entre vous, tiré au sort, pourra finir, gratuitement la nuit avec elle. Bonne soirée à tous. 

Grand sourire d’Ali et applaudissements des clients. La porte de la cuisine s’ouvre. Tous les clients ont les yeux braqués dans cette direction. Je regarde moi aussi. C’est ma femme qui s’avance dans la salle. Elle a un plateau sur les bras, mais ce n’est pas ce que regardent les clients. Ils voient une jeune femme qui balance sur ses escarpins aux talons démesurés. Ses seins, du coup, ballottent de droite et gauche. Le petit tablier blanc, les bas noirs, la ceinture rouge criard, tout indique qu’elle est là pour leur donner du plaisir. Et cela ne tarde pas. 

Dès les premières tables, je vois des mains caresser ses fesses pleines, empaumer ses seins rougis. Elle grimace, mais ne fait rien pour les éviter. Quand la caresse est plus appuyée, elle s’arrête pour laisser du temps à son tourmenteur. C’est son téton qui est étiré entre deux doigts puissants. C’est son sexe qui est pris à pleine main. Ce sont ses lèvres vaginales qui sont étirées. 

Une des femmes présentes lui empoigne la nuque et la force à lui sucer les doigts. Pendant ce temps, son compagnon caresse les fesses dénudées, jouant avec le plug, le tirant légèrement, puis le renfonçant profondément. Je ne peux détacher mes yeux du spectacle. Les clients s’adressent à moi :

- Dis donc, c’est une bonne petite salope que ta femme !

- Elle est bien obéissante.

- Elle a l’air d’aimer ça, ta petite chienne.

- On va la régaler, ta pouffiasse. 

Quand elle repart vers la cuisine, on voit sur son corps les traces de ces attouchements. Le rouge de ses tétons a quasiment disparu. Son rimmel a coulé. Quand elle revient en salle, tout est réparé. Elle est de nouveau maquillée comme une pute. Les ordres de Monsieur Ali sont obéis à la lettre. Un des clients s’adresse à moi :

- Regarde bien. Je vais m’occuper de ta femme. 

Il l’appelle en claquant des doigts. Elle s’approche de lui. Il la tire par un bras et l’oblige à s’asseoir sur ses genoux. J’imagine les fesses nues de C sur le jean de l’homme. Il la prend par les cheveux et l’embrasse profondément. Puis ses mains commencent à lui peloter les seins. Il ouvre les jambes et la force à s’agenouiller devant lui.

- Ouvre ma braguette et sors ma queue. Bien, suce-moi maintenant. 

Je vois la tête de mon épouse monter et descendre entre les cuisses de l’homme. J’imagine sa bouche enroulée autour de son sexe qui lui gonfle les joues. Les autres clients regardent attentivement.

- Elle a une bonne bouche, ta salope. Je vais goûter sa chatte. 

Il la redresse, la tient par les hanches nues et l’amène à s’enfiler sur son membre.

- À toi de jouer, Lola. Baise-toi sur ma bite. 

Et mon épouse d’obéir servilement. Elle fait l’amour à cet inconnu qui lui triture les seins en même temps. J’entends ses fesses claquer sur celles de l’homme qui fait durer son plaisir. Puis un grognement. Il la maintient fermement enfoncée et je sais qu’il se déverse en elle.

- Va te laver, maintenant. Mes amis ont droit à une belle chatte toute propre. 

Puis, s’adressant à moi :

- Elle est vraiment bonne. Tu ne mérites pas de la garder pour toi tout seul. Crois-moi, on va tous bien la faire reluire. 

Quand C revient, c’est le tourbillon. Un premier client la plie sur une table. Ses fesses sont bien visibles de tous. Il baisse son pantalon et s’enfonce d’un seul coup dans son sexe nu.

- Tu sens ma bite, salope.

- Oui, Monsieur.

- Elle te ramone bien ?

- Oh oui, Monsieur. Elle est bien grosse dans ma chatte. 

Je l’entends haleter sous les coups de boutoir du mâle. Quand il se retire, je vois du sperme couler de son sexe. Elle est appelée à une autre table. Deux hommes la font s’allonger sur le dos, jambes largement ouvertes, talons accrochés au bord, tête pendante. Le premier s’approche de sa bouche pendant que l’autre s’installe entre ses cuisses. Tous deux la pénètrent simultanément. Tout son corps tremble sous les assauts de ses deux partenaires. Elle n’a aucun geste de recul,  mais au contraire, s’offre complètement. 

Les deux compères échangent leur place et je vois mon épouse sucer le sexe encore tout luisant de ses propres sécrétions. Le tablier, repoussé sur le ventre, ne laisse rien ignorer de son épilation toute récente.

D’autres clients approchent. Certains lui caressent les seins ; l’un d’eux sort son sexe et le pose dans la main de C. Elle comprend vite et commence à le masturber. Très vite, un deuxième arrive dans son autre main. Je vois ma femme, allongée, plus que nue, en train de s’occuper de quatre sexes en même temps. D’autres se frottent sur son ventre, sur ses mollets. Dès qu’un jouit, c’est un autre qui prend la place.

 Bientôt, elle dégouline de sperme : de son sexe sur la table, de sa bouche sur ses joues et dans ses cheveux, sur son ventre, ses seins, ses jambes. Enfin, tout le monde a besoin de reprendre son souffle. C repart vers la cuisine, j’imagine pour pouvoir se laver. Un des hommes approche du bar.

- Donne-moi une bière, le cocu. 

Je le sers, sans relever le mot dont il m’a gratifié. Ne le suis-je pas, cocu ?

- Dis donc, elle a de l’endurance ta moitié. Tu as vu tout ce qu’elle a pris ?

- Oui, Monsieur.

- Monsieur Ali a fait une belle trouvaille avec cette pouliche. Tu auras du mal à la satisfaire maintenant.

Le retour de mon épouse m’évite d’avoir à répondre. En dehors de son collier de chien et de ses talons, elle est entièrement nue. Les bas, le porte-jarretelles et le tablier devaient être couverts de sperme. Cependant, elle n’a pas oublié de se remaquiller. Je pensais avoir tout vu. Mais je me trompais. Une des deux femmes présentes se lève et l’appelle :

- Viens ici, petite chienne !

C s’approche. La cliente relève sa jupe.

- À genoux et enlève ma culotte avec tes dents.

- Bien. Maintenant, lèche-moi la chatte. 

Je vois ma femme, à genoux, cuisses écartées comme elle doit le faire pour obéir à son Maître, sortir la langue et la passer le long du sexe de cette inconnue. Pendant qu’elle s’applique, des hommes recommencent à la caresser, insistant sur ses tétons, qu’ils étirent et malaxent. Un autre se masturbe dans ses cheveux. 

Mais la position n’est pas très commode pour eux. Ils l’amènent alors à se rallonger sur une table. La cliente s’assoit sur le visage de C pour continuer à se faire lécher. Les mains de mon épouse peuvent à nouveau servir à masturber les clients. Et ce sont de nouvelles pénétrations. C ne peut ni bouger ni parler, bâillonnée par les cuisses féminines. Enfin, la femme se met à hurler : 

- Putain, je jouis. Elle est bonne cette garce. À toi, Isabelle, dit-elle, en appelant son amie. 

La Isabelle enlève sa robe. Elle n’a pas de culotte et vient immédiatement remplacer la précédente. C n’a pas le temps de reprendre son souffle et elle recommence à lécher un nouveau sexe féminin. Va-t-elle y prendre goût ? Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Qu’est-ce qui nous arrive ? Devant moi, ma femme suce la chatte d’autres femmes pendant qu’elle-même se fait enfiler par des sexes masculins, et je me demande si elle va devenir lesbienne. Et mon sexe, prisonnier du pantalon, me fait mal tellement il bande. Et même quand les clients viennent me voir derrière mon comptoir pour me vanter ce qu’ils lui ont fait, ou vont lui faire, je ne peux ni répondre ni quitter des yeux les scènes qui se jouent devant moi.

- Eh bien, le cocu. Je viens de sortir de la chatte de ta femme. C’est un four.

- Ah oui, ça on peut dire qu’elle est chaude.

- Et sa main qui m’a bien branlé.

- Je crois que quand les gouines en auront fini, j’irai me vider dans sa bouche.

- Pendant ce temps, je me branlerai entre ses nichons.

- Et moi, je lui ramonerai encore la babasse. 

Et ils vont le faire, et plus encore, dans toutes les positions qu’il leur plaira de lui faire prendre. Et ces positions, C les acceptera toutes, sans un mot. 

La soirée dure. Les hommes commencent à être fatigués et vidés. Les deux clientes, après avoir fait l’amour avec le partenaire avec lequel elles étaient venues ont quitté le restaurant. C, délaissée, a quitté la salle. Mais qu’attendent-ils ? Soudain, je comprends. Monsieur Ali revient dans la salle, tirant derrière lui mon épouse par une laisse accrochée à son collier. En dehors de ses hauts talons, elle est complètement nue.

- Je vous l’avais promis. Nous allons maintenant savoir qui va pouvoir profiter de Lola pour tout le reste de la nuit. Celui qui gagnera aura droit de lui faire ce qu’il aura envie, excepté les coups et, bien sûr, son cul, qui restera fermé par le plug. 

Hurlements dans la salle.

- Vous allez chacun prendre un numéro dans le chapeau que va vous présenter le cocu. 

Ainsi, il me fait participer à la vente de ma femme. Youssef me tend un chapeau. Et je vais voir chaque homme encore présent (ils sont une douzaine) qui prend un petit papier, sans oublier de me dire ce qu’ils voudraient lui faire.

- Très bien. Lola, c’est à toi. Tu vas choisir un nombre entre un et douze. Celui qui aura ce numéro t’emmènera dans la chambre de passe et tu seras à lui jusqu’à huit heures. 

- Bien, Maître. Je choisis le sept. 

Le plus âgé des clients (une bonne soixantaine d’années) se lève et présente son papier. Il a gagné. Monsieur Ali s’approche de lui, tirant toujours C par sa laisse. Puis il tend au gagnant le bout.

- Emmène-la. Elle est à toi. 

Je vois alors mon épouse, se dandinant sur ses talons, suivre cet homme qui tient la laisse. Elle disparaît derrière la porte qui mène à l’étage. Les autres, déçus, quittent un à un le restaurant. Bientôt, il ne reste plus que Ali, Youssef et moi.

- Maintenant, le cocu, tu te casses. Tu reviendras demain, à neuf heures, récupérer Lola. Tu la coucheras et tu la laisseras dormir toute la journée. Elle en aura bien besoin. Et interdit de la toucher. Compris ?

- Oui, monsieur. 

Le reste de la nuit me parut très long. Le matin, à neuf heures, je gare ma voiture devant le restaurant. J’entre. Rien ne restait de la soirée, tout était rangé. Je passe la porte du bureau. C est là, assise sur une chaise, totalement nue excepté ses escarpins et son collier. Elle a les jambes largement écartées, laissant clairement apparaître les lèvres de son sexe, maintenant complètement épilées. Ses mains sont croisées sur la tête. Ali prend la parole.

- Lola, ma petite pute, ton mari est arrivé. Tu vas pouvoir lui raconter ta nuit. Et n’oublie rien. 

Puis s’adressant à moi :

- Tu peux te branler, car pas question de la toucher aujourd’hui. Bien compris ?

- Oui, Monsieur, m’entends-je lui répondre, malgré moi. 

Pourtant je ne me masturberai pas. Je ne lui ferai pas ce plaisir.

- À toi, Lola. Et n’oublie pas, quand tu lui parles, de l’appeler mon petit mari cocu.

- Bien, Maître. Le client qui m’avait gagnée m’a tirée derrière lui par la laisse jusque dans la chambre, mon petit mari cocu. Là, il s’est couché sur le lit, m’ordonnant de rester debout devant lui. J’ai d’abord dû danser à poil, me déhanchant sur mes talons. Ensuite, toujours sous ses ordres, je me suis caressé les nichons en étirant bien mes tétons et en sortant ma langue. Puis, à genoux sur le lit je l’ai déshabillé. Je l’ai léché partout, commençant par les orteils jusqu’aux oreilles. Je l’ai sucé jusqu’à ce que sa bite soit de nouveau bien raide. Alors, il m’a fait m’empaler sur lui et je l’ai chevauché jusqu’à ce qu’il crache son foutre dans ma chatte. À ce moment-là, il m’a dit que je devais me mettre à genoux entre ses cuisses, gober son mandrin et le garder dans ma bouche jusqu’à ce qu’il m’autorise à le lâcher. Et il s’est endormi. J’ai alors passé toute la nuit à genoux avec sa bite dans ma bouche, mon petit mari cocu, jusqu’à ce matin, quand il est parti. 

- Tu vois, le cocu. Ma petite pute, ton ex-femme, devient une experte. Elle parle bien de ses nichons et de sa chatte. Elle donne du plaisir à ses clients. Et moi, je récolte. Allez, emmène- la. Laisse-la se reposer. Tu me la ramènes dès que je t’appelle. Compris ?

- Oui, Monsieur.

A suivre...

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