lundi 17 juin 2024

Le bonheur d'être mère - Ch. 01

 Texte de Xmaster.

*****

Rencontre avec Maurice.

Sophie est une femme encore jeune et désirable à 40 ans. Sa vie passe doucement depuis deux ans qu'elle a divorcé. Seul son fils Arthur lui procure de nombreux soucis, à dix-sept ans tout juste il accumule bêtises sur bêtises, n'en fait qu'à sa tête. La pauvre femme se demande bien souvent ce qu'elle fera d'un fils pareil. Et que ne donnerait-elle pas pour que son fils se comporte enfin comme un être responsable.

Ce vendredi en fin de matinée, journée de congé, elle prépare le repas pour eux deux quand le téléphone retentit. Elle décroche et entend une voix dure lui demander :

- Madame Lefèvre ?

- Oui !

- Je vous appelle car j'ai un grave soucis avec votre fils. 

La pauvre femme a l'impression que le sol se dérobe sous ses pieds. Elle se demande quelle connerie son imbécile de fils a pu encore commettre. D'une voix trahissant son angoisse elle articule :

- Qu'a-t-il encore fait Monsieur ?

- Il me doit dix mille euros !

- Pardon ? Bredouille Sophie en ne comprenant vraiment pas comment son fils pourrait avoir une telle dette et espérant avoir mal compris les propos de son interlocuteur.

- Il me doit dix mille euros, dix fois mille euros si vous préférez.

- Mais... Comment peut-il vous devoir pareille somme Monsieur, et qui êtes vous ?

- Écoutes bien nénette, ton gamin me doit du fric, beaucoup de fric, tu veux des détails ?  

- Mais Monsieur, comment ? Balbutie la femme interloquée.  

- Écoute bien, ton branleur est un petit camé, et il me doit pratiquement six mois d'arriérés, tu piges pétasse ?

- Mais...

- Tu veux un dessin, à ton avis, comment il fait pour se payer son petit paradis ?

- Je ne comprends pas. Commence à articuler la femme d'une voix chevrotante.

- Attends connasse, que tu ne veuilles pas voir que ton gosse se défonce, c'est ton problème, mais pour mon pognon, je te jure que je ferais tout ce qui est nécessaire pour l'avoir, je suis clair là ? 

Sophie reste sans voix. Elle refuse de croire que son fils puisse se droguer. Quelques secondes passent puis elle entend encore :

- Si tu ne me crois pas pétasse, rendez-vous au bar des amis, Place de la Victoire à seize heures aujourd'hui, tu demande Maurice. 

Et l'homme raccroche.

 La pauvre femme se laisse tomber sur la chaise à proximité. Elle ne veut pas croire que son petit chéri, l'amour de sa vie comme elle l'appelle avec ses amies, que cet enfant qu'elle revoit encore bébé le tenant dans ses bras, que l'être le plus cher qu'il lui soit, puisse être un drogué. 

Elle reste prostrée toute une heure avec une tonne d'idées qui se bousculent dans sa tête. Si elle voulait voir la vérité en face, elle se rendrait compte que l'attitude de son fils ces derniers mois a totalement changé, qu'il la fuit le plus possible, mais elle préfère se rassurer en pensant que c'est une attitude d'adolescent. Pourtant, quelque part tout au fond d'elle, une petite voix lui ordonne d'aller à ce rendez-vous bizarre et d'éclaircir cette situation. 

Vers quinze heures trente, Sophie arrive Place de la Victoire. Elle n'a aucun mal à se garer et se rend au bar des amis. Dès qu'elle entre dans l'établissement, elle est prise à la gorge par l'ambiance enfumée, des yeux l'auscultent et la déshabillent. Elle va directement au comptoir et demande d'une voix angoissée :

- Monsieur Maurice s'il vous plaît !

- Désolé, il n'est pas encore arrivé, mais je peux vous faire attendre dans l'arrière-salle si vous voulez ?

- Oui s'il vous plaît, Monsieur. 

L'homme la guide alors dans l'arrière-salle. Il lui tend une chaise à une table écartée, dans l'angle opposé à l'entrée. La femme se retrouve alors le dos tourné à la salle. Sans un mot de plus, l'homme repart. Quelques instants plus tard, la pauvre Sophie entend des pas derrière elle qui semblent se rapprocher. Elle fait un effort surhumain pour ne pas se retourner et attend passivement la suite des évènements avec une peur qui lui tenaille le ventre.

- Tenez ! Dit le serveur en lui tendant un verre de whisky. 

Puis, ayant déposé le verre sur la table, il ajoute : 

- Vous en aurez besoin. 

Restée seule, la pauvre mère est submergée par des idées les plus terrifiantes les unes que les autres. Elle se remémore le dialogue téléphonique, et essaye de comprendre ce que cherche ce sinistre individu. Elle se sent forte pour défendre son fils contre vents et marées. A nouveau un bruit de pas se fait entendre dans la pièce. Sophie voudrait se retourner, mais elle se sent comme figée, pétrifiée. Bientôt elle sent un homme qui est venu se planter à coté d'elle, mais elle ne peut toujours pas bouger.

- Bien, voyons cette pétasse qui s'imagine être la mère d'un brave petit. 

Puis, agrippant l'épaule de la femme, il la fait pivoter sur sa chaise. Sophie voit alors un grand type châtain de plus d'un mètre quatre vingt la fixer durement. Elle ne sait quoi penser et est toujours paralysée par la peur de ce qu'elle pourrait apprendre sur son fils chéri. 

Maurice, après avoir fixé d'un regard froid la mère de son dealer, commence à la détailler. Son regard se porte d'abord sur la poitrine que cache un épais pull et qu'il aperçoit grâce à l'ouverture du manteau. Puis son regard descend et se fixe sur le bas du ventre. L'homme s’aperçoit que cette femme est plutôt bien faite et qu'elle n'a pas le ventre arrondie de beaucoup de femme de son âge. La mère se sent très mal à l'aise d'être ainsi examiné par cet homme plus jeune qu'elle. Rassemblant toutes ses forces, elle finit par articuler :

- Que voulez vous exactement à mon fils, Monsieur ?

- Il me doit une petite fortune, néanmoins, étant un humaniste, je ne voudrais pas que se soit mon patron qui s'occupe de lui, vous me comprenez ?

- Pas du tout Monsieur. Bredouille encore la pauvre mère en mentant et en s'imaginant les pires sévices que pourrait endurer son rejeton.

- C'est très simple conasse, si ton branleur ne me paye pas mes dix mille euros, c'est à toi de me les payer, sinon c'est de sa vie qu'il payera, c'est plus clair là ? 

Pour tout réponse la pauvre femme se met à pleurer. Maurice en profite alors pour dégager les épaules du lourd manteau qu'elle porte et voir de plus près cette grosse poitrine dont il a eu un léger aperçu juste auparavant. Puis, semblant se désintéresser du corps de la femme, il poursuit d'une voix terrible :

- As tu cette somme, connasse ?

- Non Monsieur, dit Sophie entre deux sanglots, et son père m'a laissé l'année dernière avec plein de dettes.

- Ça, c'est pas mon problème !

- Mais j'essaye de vous expliquer...

- Ta gueule pétasse ! Coupe durement l'homme.

Puis il enchaîne :

- Que tu te fasses baiser par ton mec, par ton fils, par ton patron ou qui que se soit, ce n'est pas mon problème. Ce que je veux moi, ce sont mes dix mille euros.

- Mais où voulez vous que je trouve une pareille somme ?

- Je m'en fous comme de ma première liquette.

- Mais...

- Fais le tapin s'l le faut, j'm'en fous j'te dis !  

- Non mais, ça ne vas pas... 

Maurice qui perd patience, donne alors une claque retentissante à la pauvre femme. Le bruit résonne dans l'arrière-salle, mais dans le bar le brouhaha habituel semble continuer comme si de rien n'était. L'homme, affichant cette fois un visage dur et sans compassion, poursuit alors : 

- Tu commences à faire vieille peau, mais tu dois encore pouvoir servir pour les arabes. 

Ces derniers mots résonnent dans la tête de Sophie. La trahison de son ex-mari l'avait déjà bien détruite l'année passée, mais aujourd'hui, entre la nouvelle de son fils qui se drogue, la claque qu'elle a reçue et qui l'infantilise, et d'entendre se faire traiter de vieille peau, elle qui se sent déjà diminuée, la coupe est pleine. Elle essaye alors de se lever pour se rebeller. 

L'homme, comprenant instantanément l'attitude de la femme, l'empêche de se lever de sa chaise d'une main puissante. Se sentant impuissante d'un seul coup, Sophie s'effondre en larmes. Sa colère vient de se transformer en une douleur incroyable, un sentiment d'avoir gâché tout sa vie, un sentiment que tout lui échappe. 

Maurice, sentant sa proie décontenancée, s'empare à deux mains du col du manteau, le rabat violemment jusqu'aux coudes, immobilisant ainsi encore plus sa victime, puis il lance d'une voix terrible :

- J'espère que tes nichons de vieille ne sont pas trop mous... 

La pauvre femme pleure de plus belle, elle ne réagit plus et ne pense plus qu'à son satané fils. 

De la main droite, Maurice s'empare du bas du pull. D'un coup sec il le retire du jean et le remonte jusqu'au cou, découvrant ainsi un soutien-gorge blanc qui renferme une poitrine généreuse. Sans ménagement, il s'empare, toujours de la main droite, du sein gauche de la femme en pleurs, et à l'aide de sa main gauche, le sort de la gangue de tissu. Il fait de même pour le sein droit. 

Sophie sent effectivement ce que fait l'homme, mais elle est perdu dans sa souffrance et ne réagit toujours pas. L'homme fait alors un petit pas en arrière, contemple deux secondes les seins qu'il vient de dégager, puis dit, toujours avec la même voix :

- Bof, des nibards de vieille... Mais ça devrait aller pour faire les arabes ! 

Sans ménagement, à deux mains, il vient malaxer les deux mamelles. Puis, après quelques secondes de ce traitement, il ajoute encore :

- T'as de la chance que tes nichons ne soient pas trop mous. 

Sophie, toujours sans réaction, a l'impression d'être dans un cauchemar. La douleur qu'elle vit par rapport à son fils chéri est telle, que la réalité passe au deuxième plan.

- Fais voir ta moule de radasse maintenant ! Ordonne brutalement le maquereau d'une voix qui ne laisse pas la place à une quelconque remarque. 

Comme la mère est toujours sans aucune réaction, Maurice la prend par les poignets, la contraint à se lever, puis la lâche pour la gifler brutalement en ordonnant à nouveau :

- Baisse ton froc connasse !

Le corps de la femme semble être une coquille vide. Elle se tient debout, le manteau descendu sur ses coudes, le pull remonté sous sa gorge, ses gros seins exhibés, les bras ballants le long du corps.

A suivre...

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