Texte de Xmaster.
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Maurice assoit sa domination sur la mère.
Maurice, voyant parfaitement que la femme est à sa merci, attrape le jean par la ceinture, défait le bouton, puis fait glisser la fermeture éclair. D'un geste précis, il fait descendre le pantalon avec la culotte jusqu'aux genoux de la pauvre femme en pleurs. Puis, se reculant d'un pas et regardant le sexe peu poilu offert à sa vision, il remarque :
- Bof ! une chatte de vieille, mais pas trop poilu, ça peut encore aller.
- Bof ! une chatte de vieille, mais pas trop poilu, ça peut encore aller.
Puis après quelques instants d'observation complémentaires, il poursuit :
- Tourne-toi, que je puisse voir si on peut se servir de ta rondelle.
La malheureuse Sophie ne réagit toujours pas plus. Elle n'a même pas un geste pour cacher sa vulve au regard inquisiteur de cet homme si méchant. L'homme la prend brutalement par le bras de la main droite, de la gauche il s'empare de la chaise devant la table et la recule vivement, puis il place la pauvre femme juste devant la table et la contraint à s'allonger sur le bois dur et froid. Là, il prend les fesses à deux mains et les écarte pour admirer l'anus brun. Tout en fixant la rondelle, il interpelle sa proie :
- Tu ne dois pas être un super coup ! J'suis sure que tu ne t'es même jamais fait enculer !
- Tu ne dois pas être un super coup ! J'suis sure que tu ne t'es même jamais fait enculer !
La pauvrette entend ces mots comme à travers un voile sonore. Elle ne réalise même pas totalement qu'elle est allongée sur une table d'un bistrot qu'elle ne connaissait pas quelques heures auparavant, qu'elle a ses seins dénudés à même le bois, et que cet homme, ce salaud, lui écarte les fesses pour lui dire des cochonneries. Elle s'entend tout de même dire dans un souffle :
- Mais je ne vous permet pas...
- Mais je ne vous permet pas...
La réponse ne se fait pas attendre, elle prend la forme d'une grande claque encore plus sonore que la première, et cette fois sur le cul rebondi de la femme offerte. Maurice, ne voulant absolument pas que cette femme se rebelle, en profite pour lui mettre son majeur dans le rectum en disant d'une voix méchante :
- Ta gueule connasse, je vais te roder le trou du cul, par là tu gagneras plus vite mon fric !
- Ta gueule connasse, je vais te roder le trou du cul, par là tu gagneras plus vite mon fric !
En essayant de serrer les fesses et de se redresser, la pauvre mère répond :
- Mais vous vous prenez pour qui vous ?
- C'est simple connasse, tu fais le tapin pour me rembourser, ou ton rejeton se fait buter, tu vas finir par comprendre ou merde !
- Mais vous vous prenez pour qui vous ?
- C'est simple connasse, tu fais le tapin pour me rembourser, ou ton rejeton se fait buter, tu vas finir par comprendre ou merde !
Puis l'homme pervers en profite pour redonner une autre claque sur le cul, à l'endroit même de la précédente. La pauvre femme ressent une vive brulure à l'anus. Elle voudrait bouger et se sauver, mais elle sent qu'elle n'en a absolument pas la force, de plus, ses craintes quant à son fils lui tenaillent les entrailles, aussi se laisse-t-elle faire non sans rechigner ni se plaindre, mais en gémissant.
- Mais ferme ta gueule connasse ! Dit encore l'homme en lui vrillant le cul de son doigt expert.
- Mais ferme ta gueule connasse ! Dit encore l'homme en lui vrillant le cul de son doigt expert.
Il finit par enfoncer son majeur entièrement, puis annonce encore :
- Tu vois que ce trou peut servir tout autant !
Sophie n'a même pas honte, en fait, elle ne se rend pas vraiment compte de la situation et de l'obscénité du moment. Elle reste offerte à ce diable d'homme qu'elle craint tellement.
- Tu vas t'en prendre deux maintenant. Dit encore Maurice en introduisant tout à coup son index dans l'anus déjà malmené.
- Tu vas t'en prendre deux maintenant. Dit encore Maurice en introduisant tout à coup son index dans l'anus déjà malmené.
Il ne prend aucune précaution et enfonce son deuxième doigt aussi loin que le premier. Sophie sent son anus s'ouvrir pour laisser passer le nouvel envahisseur. La douleur est certes forte, mais encore supportable, et ce n'est pas cette douleur qui occupe l'esprit de la pauvre femme.
- Très bien ma pute, un troisième maintenant. S'exclame encore le vicieux mac en lui glissant l'annulaire dans le rectum.
- Très bien ma pute, un troisième maintenant. S'exclame encore le vicieux mac en lui glissant l'annulaire dans le rectum.
Dès que le doigt est en place, il force et écarte les chairs en éloignant ses trois doigts les uns des autres. Cette fois c'est une vraie brûlure douloureuse qui réveille la femme. Elle commence à bouger sur la table, fait des efforts désespérés pour échapper à son tortionnaire, mais rien n'y fait, elle sent une lourde main puissante venir se coller sur son dos et la bloquer.
- Arrête connasse ! Sinon je t'encule à sec, et là tu auras de quoi pleurer comme une madeleine ! Lance l'homme qui s'énerve.
- Arrête connasse ! Sinon je t'encule à sec, et là tu auras de quoi pleurer comme une madeleine ! Lance l'homme qui s'énerve.
Maintenant Sophie pleure à chaudes larmes, bien sûr la douleur y est pour beaucoup, mais les idées noires qui envahissent son esprit participent amplement à sa déchéance.
Sans la prévenir, et tout en la gardant toujours fermement collé à la table, Maurice retire ses doigts de l'anus déjà bien agrandie. Tranquillement, sans se presser le moins du monde, il commence à ouvrir sa braguette tout en prévenant la femme d'une voix dure :
- Maintenant tu vas te prendre une bonne bite salope, tu vas voir putasse, tu vas aimer...
- Maintenant tu vas te prendre une bonne bite salope, tu vas voir putasse, tu vas aimer...
La blonde respire un peu, son anus enfin libéré ne lui fait plus vraiment mal, seul subsiste une petite brulure, mais rien que de très supportable.
Le mac sort sa bite de son pantalon. C'est une grosse queue pas encore en érection totale, mais déjà bien avancé. Il se masturbe quelques secondes en tenant toujours fermement sa proie, puis écarte les fesses de la femme pour venir placer son gland sur le sphincter, là il lâche :
- Respire un grand coup...
- Respire un grand coup...
Puis il introduit son membre dans un grand coup de rein net et précis. L'introduction de la grosse queue fait pousser un grand cri à Sophie. D'un seul coup, elle a l'impression qu'un fer rouge vient de lui être enfoncer dans le cul. Elle reprend un peu ses esprits et commence à crier à l'aide, mais c'est peine perdue, une main vient lui bâillonner la bouche. Le pervers personnage se met à limer ce cul encore vierge de sexe sans ménagement.
- Tout va bien pour toi Maurice ?
- Tout va bien pour toi Maurice ?
C'est le patron du bar qui vient de faire irruption dans l'arrière salle.
- Ouais René, t'inquiètes pas, j'explique juste à cette connasse comment arrondir ses fins de mois qui vont devenir de plus en plus difficile.
- Hé hé... Je l'ai vu tout à l'heure, faudras que tu penses à me la prêter un de ces quatre...
- Tu me connais mon ami, je ne suis pas un ingrat...
- Ouais René, t'inquiètes pas, j'explique juste à cette connasse comment arrondir ses fins de mois qui vont devenir de plus en plus difficile.
- Hé hé... Je l'ai vu tout à l'heure, faudras que tu penses à me la prêter un de ces quatre...
- Tu me connais mon ami, je ne suis pas un ingrat...
Sophie sent la honte monter en elle, non seulement elle est à moitié nue sur une table de bistrot, non content de se faire violer par un être abject et repoussant qui lui fait le plus odieux chantage qui soit, mais en plus, on parle d'elle comme si elle n'était désormais plus qu'une marchandise. Et, bien que son anus la brûle toujours affreusement, de honte, elle éclate en sanglot.
Maurice, lui, ne se laisse pas déconcentrer. Il laboure le cul de sa proie de plus en plus vite. Le fait que son pote soit venu l'excite encore plus, et il sent sa queue gonfler de plus belle. Et d'entendre la femme pleurer ajoute encore à son excitation. Il en profite pour dire dans un souffle :
- Alors, l'enculée, elle est bonne ma bite, non ?
- Alors, l'enculée, elle est bonne ma bite, non ?
La blonde ne fait que pleurer. Maintenant, elle commence à ne plus sentir la douleur, elle se surprend même à mouiller. Comme la réponse se fait attendre, le vicieux mac s'empare des cheveux de la femme, tire dessus violement, et répète encore :
- Alors pétasse, tu réponds oui ou merde ?
- Oui... S'entend répondre d'une toute petite voix la pauvre Sophie entre deux sanglots.
- Parfait, j'savais bien que t'étais une morue...
- Alors pétasse, tu réponds oui ou merde ?
- Oui... S'entend répondre d'une toute petite voix la pauvre Sophie entre deux sanglots.
- Parfait, j'savais bien que t'étais une morue...
Maurice redouble de violence dans ses coups de reins. Il sait parfaitement se retenir et tient avant tout à ce que la pauvre femme émette les premiers signes du plaisir.
Au bout d'une bonne dizaine de minutes, et bien qu'elle pleure toujours sur son compte, la pauvre blonde se surprend à gémir de plaisir, et cela lui donne encore plus honte. Elle sent sa chatte totalement détrempée, et des vagues de plaisirs remontent le long de son dos. Elle voudrait se retenir, mais n'y arrive pas du tout.
Cette fois ça y est, Maurice se rend compte que la femme commence à jouir, il en profite alors pour sortir sa queue totalement de son écrin, la laisse une seconde dehors, puis, d'un élan parfait, l'enfourne à nouveau dans le cul bien ouvert. La deuxième entrée du sexe en elle à fait crier Sophie de plaisir mêlé à une nouvelle douleur, mais bien moins violente celle-ci. L'homme pervers jubile, il sent que cette fois sa proie est à sa merci, il s'amuse donc à sortir et entrer sa bite dans le boyau, et se réjouit qu'à chaque fois la femme soumise pousse un cri.
La blonde ne pourrait dire combien de temps dure ce petit jeu, elle se sent submergée par des vagues de plaisirs de plus en plus intenses, mais en même temps, elle a honte de ce plaisir. Honte de jouir alors que son fils est en grand danger, honte aussi que ce soit cet homme, ce violeur, qui lui donne ce plaisir.
Voyant que sa victime est au bord de l'orgasme, et ne voulant surtout pas qu'elle s'abandonne, Maurice se met à crier :
- Putain, mais t'as sali ma bite...
- Putain, mais t'as sali ma bite...
Et, en se plaçant sur le coté de la table, la queue à la main, empoignant une nouvelle fois les cheveux de la blonde et les tirant vers sa bite raide, il poursuit d'un ton des plus autoritaire :
- Tiens, regarde, c'est ta merde qui m'a sali, regarde je te dis !
Sophie est frustrée, elle était vraiment au bord de l'orgasme, mais ce diable d'homme la prive de ce plaisir qu'elle sentait pourtant intensément venir à grands pas. Elle ouvre les yeux une seconde.
- Nettoie, enculée va...
- Nettoie, enculée va...
Et le mac pousse son membre vers la bouche de la blonde. La pauvre femme ne peut rien faire d'autre que d'accueillir cette queue souillée dans sa bouche, elle a un haut de cœur, des larmes coulent à nouveau sur ses joues.
- Tu gerbes et je te défonce ta gueule de pute... Nettoie ma queue putasse...
- Tu gerbes et je te défonce ta gueule de pute... Nettoie ma queue putasse...
Maurice tient maintenant fermement à deux mains la tête blonde et la force à aller et venir sur son sexe raide. La malheureuse Sophie fait des gestes incontrôlés et brusques dans tous les sens pour se défaire de la prise dont elle est l'objet. Malgré sa bouche envahie par l'énorme queue, elle râle, produits des sons incompréhensibles, mais rien n'y fait, elle est obligée de subir les tourments de ce salaud.
- Suce bien maintenant qu'elle est toute propre... Tu vas avoir l'honneur de recevoir mon foutre ! Dit encore l'homme avec un sourire sadique aux coins des lèvres.
- Suce bien maintenant qu'elle est toute propre... Tu vas avoir l'honneur de recevoir mon foutre ! Dit encore l'homme avec un sourire sadique aux coins des lèvres.
Un peu apaisée, la pauvre femme exécute une fois encore ce que lui impose le mac. Elle trouve que le sexe qu'elle a en bouche a un drôle de goût, un peu un goût d'oignon, elle lutte contre les nausées qui montent parfois et suce le membre du mieux qu'elle peut, espérant en cela pouvoir se sauver dès que l'homme aura éjaculé.
Maintenant qu'il sent cette femme plus obéissante, Maurice relâche un peu sa prise. Il se laisse aller, son but étant de répandre son sperme dans la bouche de sa victime, il sourit tranquillement. Quand il sent que sa semence monte, il reprend sa prise, bloque la tête et enfouit sa queue le plus loin possible dans la douce bouche et dit :
- Tiens... Prend mon jus de couille...
- Tiens... Prend mon jus de couille...
Sophie est surprise par les deux premières saccades qui vont directement au fond de sa gorge. Elle est obligée de déglutir et d'avaler ce vil liquide épais et chaud, un nouvel haut le cœur vient lui chavirer l'esprit.
- Vas-y, régale toi... dit encore d'une voix forte le mac.
- Vas-y, régale toi... dit encore d'une voix forte le mac.
Le sperme se répand dans toute la bouche de la blonde. Elle essaye de ne plus en avaler, mais elle est toujours tenue par les cheveux, et n'ose pas bouger pour le moment.
- Tu es une bonne putain, j'apprécie tu sais. Finit par dire Maurice.
- Tu es une bonne putain, j'apprécie tu sais. Finit par dire Maurice.
Puis, toujours en la tenant par les cheveux, il l'oblige à se relever de la table et lui fait pencher la tête vers le sol. Elle qui s'imaginait que lorsque l'homme aurait eu son plaisir elle serait tranquille, elle n'en croit pas ses sens. Ce salaud vient d'éjaculer dans sa bouche, et au lieu de partir tranquillement, le voilà maintenant qui tente de la faire mettre à genoux au sol !
- Allez, à genoux... Comme une bonne pute doit savoir le faire devant son mac !
- Allez, à genoux... Comme une bonne pute doit savoir le faire devant son mac !
Sophie exécute une fois de plus l'ordre qu'elle vient de recevoir. Malgré l'entrave de son jean descendu, il s'agenouille et attend, les yeux rivés au sol.
- Parfait, tu reste là jusqu'à ce que je revienne, et si tu bouges, je te jure que tu le regretteras amèrement !
Et l'homme sort de la pièce en laissant la blonde agenouillée en pleurs.
A suivre...
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