samedi 15 juin 2024

En bas de la rue Ch. 01

Traduction d’un texte de Thecsm.

  *****

Deux mères font face à des adolescents.

Tim et moi sommes chez Dave dans l’espoir d’apercevoir sa mère sexy. Je les regarde jouer à la Xbox.

La porte s’ouvre et Dave lève les yeux.

- Salut maman, tu as fini ton jogging ou tu es juste prête à y aller ?

Sa mère, May, prend une énorme gorgée dans sa bouteille d’eau.

- Nous venons de finir, nous avons couru cinq kilomètres aujourd’hui. Dit-elle en pressant une serviette sur son front dégoulinant.

Puis elle me regarde et me dit :

- Bonjour John ! Tu profites bien des vacances d’été ?

Karen, la mère de Tim (très sexy aussi) dit alors :

- Au fait, pourquoi avez-vous arrêté de fréquenter les deux gars dans la rue ? Ils ont l’air très sympa. Comment ils s ‘appellent ?

- Je ne sais pas de qui vous parlez ! Répond Dave.

- Eh bien, ils ont été très gentils avec nous. Regardez par la fenêtre vous allez les reconnaître, ils jouent au basket. Ajoute May.

Je jette un œil et dit :

- Ce sont Bob et Jake !

- Maman, nous ne fréquentons plus ces gars, ce sont des causeurs de problèmes avec un grand « C ». Rétorque Tim.

Karen lève un sourcil :

- Tu es sûr mon chéri ? Ils ont l’air très gentils.

Tim tape du poing sur sa jambe et répond :

- Non ils ne sont pas gentils ! Crois-moi, ce ne sont que deux connards !

- Pourquoi dis-tu ça ? Demande May avec un regard surpris sur le visage.

- Si vous voulez vraiment tout savoir, asseyez-vous pour que nous puissions vous expliquer. Dit alors Dave.

May et Karen ont l’air étonné en s’asseyant. Dave commence alors à leur raconter la réputation que Bob et Jake se sont faite.

- Oui, nous avons traîné un peu avec eux quand nous étions plus jeunes, mais en vieillissant, ces deux-là ont compris qu’ils pouvaient intimider les gens avec leur stature. Ils ont commencé à donner des ordres. Et quand quelqu’un leur tient tête, ils le soumettent. Par exemple ils lui tapent dessus jusqu’à ce qu’il accepte de faire ce qu’ils ont dit. Une chose que je peux dire par contre, c’est qu’ils ne nous ont jamais embêtés, peut-être parce que nous traînions avec eux dans le temps. Mais je n’aime pas ce genre de gars.

Tim continue :

- Ils n’ont aucun respect pour les autres et en particulier pour les femmes. Je sais que certaines de leurs petites amies ont dit à tout le monde qu’ils les traitaient mal et qu’ils les fessaient si elles n’obéissaient pas. Mais au lieu de les quitter, elles revenaient vers eux. Je ne comprends pas du tout pourquoi, sauf si elles aimaient être traitées de la sorte. J’ai même entendu dire qu’ils avaient flirté avec des femmes mariées dans le quartier et avec certaines enseignantes.

J’ajoute alors :

- Comme il n’y a pas très longtemps que je suis ici dans cette ville, je ne les ai pas connus quand ils étaient plus jeunes et je n’ai jamais traîné avec eux. Mais d’après les rumeurs que j’ai entendues, ils parlent de leur « petit harem » en parlant de ces femmes, toutefois personne ne sait si c’est vrai ou non, s’ils font du chantage à ces femmes avec des photos ou des vidéos. Nous vous en parlons pour que vous vous méfiiez d’eux et ne soyez pas entraînées dans leurs histoires.

May acquiesce en haussant les épaules :

- Oui j’ai entendu les mêmes rumeurs de la part des commères du quartier, mais chaque fois que Karen et moi passons près d’eux, ils nous font des compliments.

Elle rit :

- J’avoue que j’aime bien cette attention. Mais souvenez-vous que des rumeurs ne signifient pas qu’ils soient plus méchants que vous trois. J’ai aussi entendu des rumeurs sur vous, et je sais qu’elles ne sont pas vraies.

Karen secoue la tête pour montrer son accord avec son amie.

- Les gens aiment bien raconter des histoires, qu’elles soient vraies ou non.

Tim dit alors :

- Vous avez entendu parler de Madame Smith, notre professeure d’anglais, qui s’est faite virer à cause d’une vidéo érotique qu’elle aurait faite. Personne ne peut le prouver, mais il semblerait que Bob et Jake aient quelque chose à voir avec ça.

Avec un regard inquiet, May rétorque :

- Encore une fois, ce n’est qu’une rumeur et personne ne sait vraiment pourquoi elle a été licenciée.

May semblait penser que le fait que nous répétions ces rumeurs ne pouvait qu’exagérer la chose, même si à mon avis, nous essayons de les avertir.
 Dave réplique en riant :

- D’accord, mais souviens-toi de ce que nous avons dit. Et si tu parles avec eux, ne les laisse pas t’entraîner dans leur garage.

- Pourquoi aurions-nous besoin d’aller dans leur garage ? Répond Karen en riant elle aussi.

- En tout cas, ne le faites pas ! Dit Tim pour clore la discussion.

Tandis que les deux mères quittent la pièce, nous retournons jouer à la X-box. Bien sûr, je continue de regarder les deux jolies femmes. Et j’entends May dire à Karen.

- Je suis dégoûtée d’entendre toutes ces rumeurs qui se répandant dans le quartier. Ces deux garçons me semblent vraiment gentils.

Puis elle ajoute das un murmure :

- Je voudrais bien savoir si les rumeurs sur leur « taille » sont vraies.

Quand elle dit le mot « taille », je suis presque certain qu’elle ne fait pas allusion à la hauteur des deux gars. 

- Eh bien, nous ne le saurons pas. Mais je suis d’accord avec toi, il n’y a pas de raison que nous traitions ces garçons avec méchanceté à cause de rumeurs. C’est sûrement une fille délaissée qui a voulu être méchante quand Bob ou Jake n’a plus voulu d’elle.

Les mères s’éloignent et je ne peux plus les entendre. 

C’st tout ce qui a été dit sur ce sujet. Tim et Dave sont partis à l’université la semaine suivante. Ce sont de gros travailleurs et ils commencent l’année scolaire très tôt. Même si je suis leur ami, je ne suis pas scolarisé comme eux. Et sans eux, il me reste la fin de l’été à passer et je ne sais pas trop que faire. Je suppose que j’aurai pu trouver un petit boulot, mais je voulais être tranquille avant de reprendre les cours en automne.

 ****

Un jour, alors que je m’ennuie vraiment, je marche dans la rue et je vois Bob et Jake jouer à tirer des paniers au basket. Je me souviens alors de ce que May a dit à propos de leur gentillesse et que les rumeurs n’étaient peut-être pas vraies. Alors je m’approche d’eux et je leur demande :

- Hé, ça vous dérange si je tente quelques paniers avec vous ?

Bob regarde Jake, puis revient vers moi et me lance la balle :

- Pas de problème mon gars !

Ce geste amical me surprend et je loupe lamentablement le panier. Nous en rigolons tous les trois et ça brise la glace entre nous. Je passe le reste de la journée avec eux. Ils ne semblent pas être les brutes que les rumeurs décrivaient. Finalement nous devenons amis et je reviens tous les jours pour m’amuser avec eux. 

Un jour bien ensoleillée, nous jouons quand j’entends quelqu’un crier :

- Bonjour John !

Je connais cette voix, et après m’être tourné, mes soupçons se confirment, il s’agit de May à côté de Karen. Elle me fait un signe en courant et dit :

- Je me demandais qui était le troisième à jouer au basket, heureux de voir que vous vous entendez bien !

Je souris et agite la main alors qu’elles s’éloignent. Puis j’entends un murmure à mon oreille :

- Tu connais ces deux femmes sexy ?

Je baisse les yeux et je vois Jake accroupi à côté de moi.

- Bien sûr, la rousse c’est la mère de Tim et l’autre, la mère de Dave. Elles aiment courir toutes les deux tous les jours.

Je souris en pensant qu’effectivement, May et Karen sont sexy comme le dit Jake.

- Je les vois tout le temps passer dans la rue, je ne savais pas qu’elles étaient les mères de Tim et Dave. Dit Bob.

- Eh bien voilà, aujourd’hui nous avons un autre sujet de discussion. Ajoute Jake.

- C’est la principale raison pour laquelle je suis ami avec leur fils, elles sont des femmes mûres et sexy. Dis-je.

Je souris parce que Jake a raison, nous avons maintenant quelque chose d’autre d’intéressant à discuter. 

- Et que sais-tu d’autre à leur sujet ? Demande Jake.

J’écarquille les yeux. Ces deux gars semblent soudainement être très intéressés par ce que j’ai à dire. Je continue :

- Je crois qu’elles ont toutes les deux autour des quarante ans. Elles sont amies depuis l‘époque où elles jouaient ensemble dans une équipe universitaire de Basket. Elles disent qu’elles ne sont pas mauvaises.

Jake donne un coup de coude à Bob.

- Je pense qu’il faudrait qu’on leur demande de nous apprendre quelques trucs.

Souriant après avoir entendu sa remarque, j’ajoute :

- Comme vous avez pu le constater, Karen a une silhouette mince avec un joli visage. Les hommes ne peuvent y résister. J’en ai vu plusieurs essayer de la peloter lors de fêtes dans leur jardin. Mais qui ne le ferait pas ? Ses seins volumineux ont l’air si fermes. J’aimerai beaucoup jouer avec.

Bob glousse alors :

- Peut-être qu’elle nous laissera la peloter.

Ce à quoi je réponds en riant :

- Tu peux toujours rêver, elle n’est pas de ton niveau.

Avec un sourire en coin, Jake dit alors :

- On verra.

Je souris et je continue :

- May a aussi de beaux seins. Je rêve de découvrir à quoi ils ressemblent et de jouer avec. Elle est très gentille et elle aime discuter. J’aime bien sa queue de cheval blonde. La plupart des amis de Dave l’appellent « maman chaude ».

- Putain oui ! Dit Jake d’une voix qui ressemble plus à un gémissement.

Je remarque qu’il se tient l’entrejambe en riant.

 *****

Comme d’habitude, les mères de famille reviennent de leur jogging le jour suivant. 

- Attention !

May attrape avec habilité le ballon lancé par Jake et elle tire au panier. Le ballon entre directement.

Puis elle s’approche avec Karen. Je pense qu’elles ont entamé une conversation sur le basket avec Bob et Jake. Mais je n’y ai pas prêté attention, car j’ai ramassé  le ballon et j’ai commencé à faire des tires pour m’améliorer. Puis j’entends Bob demander :

- Voulez-vous tirer des paniers avec nous ?

Karen court vers moi et prend le ballon.

- Bien sûr, pourquoi pas, ça fait longtemps que je n’ai pas joué.

A partir de ce jour, nous nous sommes mis à jouer quotidiennement au basket pendant quelques heures avec les deux femmes. Nous sommes devenus bons amis, ce qui m’a paru bizarre au début, car j’étais seulement l’ami de leur fils.

Au fil des jours, j’ai l’impression que nous sommes amis depuis toujours. Nous flirtons avec les deux femmes. Celles-ci nous aguichent en portant des shorts moulants et des hauts avec des décolletés. Certaine fois, elles se penchent, nous permettant ainsi de voir à l’intérieur.

Bob et Jake leur chuchotent des choses en s’assurant que je n’entende pas ce qu’ils disent. Mais un jour, j’entends un cri de surprise :

- Vous avez oublié que nous sommes mariés !

Je lâche le ballon et je me retourne. Je vois May agiter son index devant la figure des deux gars. Elle ajoute :

- En plus, je suis assez vieille pour être votre mère. Je suis sûre que ce n’est pas aussi gros. Alors maintenant, arrêtez ça !

« Ce n’est pas aussi gros » ? de quoi parle-t-elle ? D’un sexe ? Je me crispe en pensant cela. Je vois Karen sourire et dire :

- Ecoutez les gars, maintenant ça suffit. Vous devriez comprendre que nous vous montrerons rien.

Elle s’éloigne, mais soudainement elle se retourne et ajoute :

- Mais si vraiment c’est aussi gros que vous le dîtes, ça ne me dérangerait pas d’y jeter un coup d’œil.

La phrase est suivie d’un clin d’œil qui fait sourire Jake. May sursaute.

Bob met ses mains sur ses hanches et dit d’une voix autoritaire :

- Écoutez, vous êtes toutes les deux des femmes sexy et pas nos mères. Avec toutes vos provocations de ces dernières semaines, nous pensons qu’il est temps de nous montrer vos atouts.

Ses mains dessinent dans l’air une paire de sein sur le mot « atouts ». Les deux femmes secouent la tête à l’unisson et s’en vont. Mes yeux les suivent jusqu’à ce qu’elles soient hors de vue.

- Qu’est-ce qui s’est passé ? Elles ont l’air énervé ? Vous pensez qu’elles vont revenir ?

Bob glousse et me répond :

- Ça fait un moment qu’on essaie de les convaincre de nous montrer leurs seins. Nous leur avons dit aussi à quel point nos bites sont grosses, mais elles ne nous croient pas. Je leur ai même proposé de leur montrer si elles nous montraient leur poitrine. Mais elles n’arrêtent pas de nous dire qu’elles sont mariées. Elles ne veulent pas céder.

Il fait rebondir la balle et ajoute :

- Mais elles reviendront. Tu n’as pas remarqué ? Elles n’arrêtent pas de regarder la bosse dans nos shorts. Elles veulent voir nos bites.

J’attrape le ballon de basket et je dis alors :

- Tu crois qu’elles seraient prêtes à faire un pari ?

 *****

Bob avait raison. Les deux mères de famille sont de retour le lendemain et nous tirons des paniers avec elle comme si rien ne s’était passé. Avec un grand sourire Jake dit alors :

- Écoutez mesdames. Je sais que vous ne voulez pas contrarier vos maris, mais savent-ils que vous venez ici tous les jours pour jouer avec nous ?

Karen lève les yeux au ciel.

- Bien sûr idiot ! Mon mari est au courant et ça ne le dérange pas.


- Je l’ai dit à mon époux et ça ne le dérange pas non plus. Nous savons ce que vous essayez de faire, mais ça ne marche pas. Ajoute May.

A ce stade, je ne sais pas si May et Karen comprennent exactement ce que veulent Bob et Jake. J’ai l’impression qu’elles croient que nous sommes trop jeunes pour être pris au sérieux, ou quelque chose dans ce genre.  Jake hoche la tête et répond :

- Bon. Mais est-ce que vous leur avez dit que nous voulions voir vos poitrines ?

May a l’air horrifié :

- Pourquoi aurais-je dû ? Ça n’arrivera jamais de toute façon !

Nous nous mettons tous à rire. Bob tape sur l’épaule de May et dit alors :

- Hé, pourquoi ne ferions-nous pas un petit deux contre deux ? Gars contre filles ?

- Oui pourquoi pas ! Bonne idée ! Il est temps de passer à un niveau supérieur. On va vous montrer comment on joue. Répond May.

- Sauf que vous êtes trois. Qui reste sur la touche ? Demande Karen.

Jake me regarde et je réponds :

- Je suppose que c’est moi qui vais regarder. j’ai besoin d’une pause de toute façon.

- On va vous apprendre à jouer ! Crie May.

- On va voir ! Répond Bob en rigolant.

C’est alors que Jake s’adresse avec sérieux aux deux femmes :

- Toutefois, on va faire un marché, mesdames. Si nous gagnons, vous nous offrez un strip-tease. Pas de discussion. Si vous avez de la chance et que vous gagnez, c’est nous qui nous déshabillerons. Je pense que c’est équitable.

Je regarde Jake et je me dis que ça peut devenir intéressant même si je ne joue pas. Ma bite gonfle dans mon pantalon en imaginant les deux mères de famille se déshabiller. Putain, les gars ont intérêt à gagner. Je vois May sourire et dire :

- J’espère que vous plaisantez. Qu’est-ce qui vous fait croire que nous allons faire un strip-tease ?

Karen lance un regard malin à May et dit :

- Mais nous allons gagner. Tu le sais bien, ces deux-là seront trop occupés à nous regarder au lieu de jouer. Et j’aimerais bien les voir à poil. Ainsi nous saurions si elles sont aussi grosses qu’ils le prétendent.

- Oui nous allons gagner. Et tu as raison, j’aimerais savoir si ce n’est qu’une fanfaronnade. Mais nous pourrions perdre et je ne pense pas que ce soit une bonne idée de nous donner en spectacle. Répond May.

- Pas de courage, pas de gloire ! Crié-je pour essayer de les faire prendre le pari.

- Je me doutais que vous ne le feriez pas. Je voulais juste voir si vos soi-disantes qualités de joueuse étaient vraies. Donc soit vous vous préparez à jouer, soit vous ne racontez plus que vous savez jouer. Dit Jake d’une voix malicieuse.

May semble être un peu agacée :

- On ne se vante pas de savoir jouer, c’est une chose vraie.

Elle regarde Karen.

- Si tu es prête je le suis aussi. Je sais qu’on peut battre ses deux trous du cul.

- Vous feriez mieux de l’avoir aussi grosse que vous le prétendez. Trois sur cinq ? Dit Karen.

- Marché conclu ! Dit Bob.

Il se penche vers moi avec un sourire vicieux et il me chuchote :

- Une fois que ces deux-là seront dans le garage, on va en faire nos jouets. Tu es sûr de vouloir faire partie de cette histoire ?

Je regarde les deux femmes, les yeux rivés sur leur poitrine.

- Putain oui, j’en suis.

- La partie commence ! Honneur aux dames, à vous le ballon ! Dit Jake en lançant la balle à Karen.

La première rencontre passe rapidement.Bob et Jake la gagnent. La suivante est plus longue et les femmes gagnent. Après la quatrième rencontre les deux équipes sont à égalité. Mon esprit et ma bite s’affolent, je prie pour que les gars gagnent. La dernière partie dure beaucoup plus longtemps. Puis alors que j’ai l’impression que le suspense va me faire éclater, j’entends un grand « OUIIIIII ! »  et les femmes qui se congratulent. Je lève les yeux et je les frotte pour voir May et Karen sauter de joie et se taper dans les mains. May est toute sourire et dit :

- Eh bien, on dirait qu’on a gagné !

Elle jette un coup d’œil à sa montre et ajoute :

- Waouuu ! Il faut que je rentre chez moi. Demain Karen et moi viendront récupérer notre petit pari.

Elles partent en sautillant, toutes joyeuses. 

- Retrouvez-nous dans le garage de Bob vers 10 heures demain, les filles ! Rigole Jake en leur faisant un signe de la main.

Alors que les femmes rentrent chez elle, Bob me regarde et me demande :

- Tu es toujours là !

- Bien sûr ! Et elles s’attendent à ce que nous nous mettions à poil. Comme je suis souvent chez May quand son fils est à la maison, je ne peux pas me défiler. J’ai honte. Dis-je, décontenancé.

Bob sourit et me dit :

- Ne t’inquiète pas ! Après-demain elles seront devenues nos salopes et nous en ferons ce que nous voudrons.

- Juste un short et un tee-shirt demain ! Ajoute Jake.

Puis les deux gars partent en riant.

 *****

Je me présente chez Bob le lendemain vers 9 heures 30. la porte du garage est ouverte alors je m’approche et je jette un coup d’œil à l’intérieur. Je vois deux canapés et quelques chaises. Il y a aussi une table de billard et un espace qui ressemble à une zone de danse. Dans un coin, se trouve même un réfrigérateur. Je continue de regarder autour de moi et je vois Bob qui joue avec les boutons de sa chaîne stéréo.

- Salut ! Dis-je ne souriant.

Bob me regarde et me répond :

- Content que tu sois là, John ! Tu peux m’aider à installer quelques trucs ? Super, tu es habillé comme on te l’a dit. J’espère que tu es en forme.

- Ouais, pourquoi veux-tu que je t’aide ? Et oui, je suis en pleine forme.

J’ai installé la stéréo avec de bonne musiques pour danser. J’ai trouvé un bon mélange et un mix entre rythme rapide ou plus lent. J’ai besoin que tu t’assois là-bas sur le canapé pour que je puisse m’assurer que les caméras sont bien réglées.

- Des caméras ?

Je regarde tout autour de moi et je continue :

- Je ne vois pas de caméras.

Pourquoi a-t-il besoin de caméras de toute façon. Puis je réalise ce qu’il fait et je souris.

- Ouais, Jake et moi aimons filmer tout ce qui se passe ici. On ne sait jamais ce qui va vraiment se passer, mais parfois c’est intéressant. Nous avons alors acheté des caméras presque indétectables sur internet.  Tout le garage est couvert ! Me répond Bob.

Je m’assois sur un canapé, puis sur l’autre pendant que Bob règle son matériel. Puis Jake entre en disant :

- Désolé d’être en retard. Content de voir que John est arrivé tôt pour t’aider, Bob. Nous sommes tous vêtus de la même façon, c’est bien. J’ai vu nos invitée dans la rue, elles devraient être bientôt là.

Il me regarde et ajoute :

- John, fais comme nous. Fais nous confiance, on a déjà fait ça donc on sait ce que l’on fait.

Sur ce, Bob allume la stéréo et s’assoit. Jake va se chercher un coca dans le frigo et s’assoit à côté de moi sur l’autre canapé. C’est alors que les deux femmes entrent dans le garage. Elles portent un chemisier sans manches, un short en jean et des baskets. Elles ont toutes les deux les cheveux tirés en arrière en queue de cheval.

- Waou, quelle installation dans ton garage ! Et j’aime bien cette musique ! Dit Karen en se déhanchant légèrement sur le rythme.

May me regarde et dit :

- Je vois que vous êtes tous les trois là. Je ne suis pas sûre que nous devrions faire ça. J’y ai pensé toute la nuit. Mais commençons !

Karen passe son bras autour des épaules de May et elle rient toutes les deux. Jake prend timidement la parole :

- Alors vous allez vraiment nous faire nous déshabiller ?

Je sais que la timidité de Jake n’est qu’une façade. Mais les deux femmes semblent le croire.

- Hé bien, de la façon dont je vois les choses, je pense que vous nous auriez obligées de la faire. Alors bien sûr, il faut respecter votre pari. Dit Karen en riant.

- Allez vous asseoir sur le canapé la-bas mesdames ! Dit Bob en appuyant sur quelques boutons jusqu’à ce qu’il tombe sur une musique sexy.

Nous commençons tous les trois à danser en rythme.

- Ne soyez pas timides ! Voyons ce que vous avez à nous montrer ! Dit May.

Nous enlevons nos tee-shirts en même temps. Les femmes commencent à siffler et a faire des commentaires sur nos musculatures. Je m’amuse. Puis l’une des deux crie :

- Au short maintenant ! Voyons ce qu’il y a en dessous ! Allez !

Bob baisse son short d’un grand geste. Les yeux et les mâchoires des deux femmes s’ouvrent en grand.

- Wow, c’est la plus longue bite que j’ai jamais vue. Est-elle vraie ?

Bob pousse un rire et continue de se déhancher comme un strip-teaseur, faisant bouger sa bite dans tous les sens.

Ensuite Jake fait de même en enlevant son short en dansant. Les yeux des deux mères de famille passent de Bob à lui. Incrédule, May dit :

- Elle est aussi épaisse que celle de Bob est longue !

A ce moment-là, Bob se déplace pour se trouver juste devant May et Jake, lui,  se place devant Karen. Les deux femmes ont chacune une bite à quelques centimètres de leurs yeux. Je crois que l’on m’a oublié, alors toujours habillé de mon short, je vais m’asseoir sur une chaise.

- Alors, je parie que vous êtes toutes les deux excitées par ce que vous voyez. Demande Bob en riant.

Il affiche un sourire charmeur alors que Jake ajoute :

- Si vous voulez les toucher, allez-y !

Karen tressaille :

- Je ne crois pas. Vous n’avez pas menti sur leur taille, mais nous sommes mariées.

May semble aussi réticente et avec un sourire conciliant elle dit :

- Je suis du même avis. Rappelez-vous les gars que nous avons des maris. Donc il n’y aura pas de contact, et sûrement pas avec vos gros sexes. Allez donc danser, c’est pour ça que nous sommes venues.

Bob continue de regarder May tout en restant presque collé.

- Allez, touchez ! Examinez-les ! Personne en dehors de cet endroit n’a besoin de savoir ce qui se passe.

Gênée, May regarde autour d’elle et me voit assis encore avec mon short. Elle se sert de ça pour essayer de sortir de cette situation. Elle me fixe et dit :

- Hé, un pari est un pari ! Enlève ton short, John ! Je veux te voir danser.

Je me contente de sourire, me lever et baisser mon short. Et même si ma bite n’est pas aussi grosse que Bob et Jake, mes vingt centimètres ne prêtent pas à rire. May dit alors :

- Maintenant, continuez à danser les gars, nous avons gagné notre pari.

Au lieu de lui obéir, je me suis déplacé vers les deux autres gars. Nous somme maintenant trois hommes nus très près des deux femmes. Elles semblent nerveuses, mais il n’a pas l’air de leur venir à l’esprit que nous pouvions représenter une menace physique.

Je commence vraiment à me sentir puissant et je me dis qu’il était stupide de leur part de venir ici si elles ne s’attendaient pas à ce qu’il y ait de l’action lorsque nous serions nus. Bob regarde toujours May.

- Maintenant que vous avez bien vu la bite de John, revenons à notre sujet.

Les deux femmes ont maintenant trois belles bites de bonne taille devant les yeux.

- Donc, tu as dit que tu ne le diras à personne ? Demande Karen.

Jake lui répond simplement :

- Ecoutez, on ne veut pas non plus que l’on sache que l’on a perdu un pari et que l’on a dû se déshabiller devant vous. Ce sera notre secret.

Karen regarde May et lui demande :

- Qu’est-ce que tu en penses ? Juste les toucher ?

J’ai l’impression qu’elle croit vraiment que les gars vont la laisser juste toucher leur bite sans rien tenter.

- NON. Un grand non, nous sommes mariées, et je ne toucherai pas une bite autre que celle de mon mari.

- D’accord mesdames, nous n’allons pas vous forcer à faire quoi que ce soit. Mais alors, peut-être que ça ne va pas vous déranger de seulement danser avec nous, même si nous sommes nus. Demande Jake.

C’est alors qu’une musique lente démarre. Jake attrape la main de Karen et la tire sur ses pieds.

- Écoute Jake, ce n’est pas bien. May, tu as raison, on ne peut pas se toucher. Ce n’est pas bien, pas de danse.

- Écoute, personne ne le saura, crois-moi. Amuse-toi !

Jake lui parle gentiment tout en n’écoutant pas son refus. Il la tire pour la plaquer contre son corps. Karen semble figée, comme si elle ne sait plus quoi faire maintenant qu’elle est collée à Jake. Celui-ci commence à danser et à se frotter contre elle. Karen lance un regard désespéré à May.

C’est alors que Bob attrape la main de May et l’attire vers lui pour danser à côté de son amie. Il murmure à son oreille. La posture de May est rigide alors que Bob la serre contre lui. Je retourne alors à ma chaise et je les regarde danser. Bob et Jake s’accrochent aux deux femmes qui essaient mollement de se dégager.

Bob prend la main de May et la déplace sur sa bite. Elle le repousse d’un coup sec, mais il recommence encore et encore. Je l’entends dire :

- May, tu es venue dans mon garage pour me voir me déshabiller. Si tu ne veux pas que je dise au voisinage que tu es une vieille femme perverse, tu vas me branler. Maintenant !

Finalement elle cède, attrape la queue et commence à déplacer sa main de haut en bas du membre. Elle a l’air un peu énervée.

Je regarde ensuite les deux autres. Karen a également une main qui bouge de haut en bas sur la bite de Jake. Elle a l’air plus effrayée que furieuse. Jake et Bob « dansent » avec les femmes tout en les poussant peu à peu vers les canapés.

Quand ils en sont proches, chaque couple se dirige vers son canapé. Les gars entraînent les mères de famille qui tiennent toujours leur queue. Ils s’assoient. Je bande tout en pensant que Bob avait raison : Ils obtiennent toujours ce qu’ils veulent.

Bob rompt alors le silence :

- Tu aimes la sensation de ma bite dans ta main, petite dame ? Tu as chaud ? C’est vrai que tu m’excites avec ces caresses.

May regarde Karen et dit à voix haute :

- Ce n’est pas bien ! Je crois que nous devons tout arrêter avant que les choses deviennent incontrôlables. N’oublions pas que nous sommes mariées, Karen. Il est temps de partir !
 
- Elle a raison ! Dit Karen en se débattant pour s’éloigner de Jake.

Bob essaie d’être diplomate et dit d’une voix contrariée :

- Allez les filles, nous avons fait déjà un bout de chemin. Nous étions d’accord pour ne pas raconter que vous nous avez vu nus. Maintenant soyez gentilles et ne nous laissez pas dans cet état.

Karen se penche vers may et dit :

- Viens, on s’en va !

Jake se lève brusquement et gronde :

- Écoutez les salopes, vous nous avez excités pendant des jours et maintenant que vous nous avez faits bander, je pense que vous devez finir le travail.

Il se penche et ajoute :

- Enfin, si vous voulez que l’on garde notre strip-tease et notre danse secrets.

May et Karen sont rouges de peur. Sont-elles inquiètes d’être menacées ? Embarrassées d’être dans cette situation ? Excitées ? Peut-être les trois.

Bob se lève aussi et se place en face de May sans lui laisser de place pour se lever du canapé. 

- Allez chérie, laisse tomber tes inhibitions ! Il n’y a que nous ici.

May ouvre la bouche pour répondre, Mais Bob lui attrape l’arrière de la tête et enfonce quinze centimètres de sa bite dans sa bouche. Son attitude change soudainement :

- Vous n’êtes que des allumeuses et nous allons vous donner une leçon !

Il a l’air si furieux qu’il me fait presque peur. Il s’enfonce dans la bouche de May de plus en plus et commence à lui baiser la gorge.

La mère de famille commence à étouffer, alors Bob ralentit le rythme puis il accélère de nouveau jusqu’à la pilonner comme une star du porno. Il la domine complètement et elle ne peut rien faire pour empêcher ce qui se passe. A chaque poussée il lui enfonce un peu plus sa bite jusqu’à ce que ses couilles lui frappent le menton. Je me dis que je vais éjaculer juste en les regardant. Puis j’entends Karen crier :

- Jake arrête ! On s’est bien amusé, mais c’est fini !

- Tu as raison sur une chose, vieille salope ! Les amusements sont terminés, mais le plaisir ne fait que commencer ! Répond-il avec un sourire arrogant.

Ensuite il attrape la tête de Karen, l’approche de sa queue et commence à baiser son visage de la même manière que Bob baise May. Ma queue est vraiment dure, j’ai envie de les rejoindre.

Bob attrape alors May par les cheveux et il met debout. Puis il la fait tourner et il la penche sur l’accoudoir du canapé, cul en l’air.

- Arrête Bob ! Arrête ! Pleurniche la mère de famille.

Bob ne l’écoute pas. Il tend le bras, saisit la ceinture du short et le baisse. Apparaît une culotte rose sexy. Il saisit celle-ci et l’arrache brusquement pour exposer un cul bien rond et musclé. Il lui donne ensuite des claques sur les fesses en disant :

- Ouvre tes jambes et penche-toi plus loin sur le canapé. Il est temps pour toi de recevoir une bonne baise.

May semble ne plus avoir de force. Elle obéit en silence en écartant légèrement les jambes. Bob glisse son gland dans sa chatte rose et brillante.

- Mmmmm, tu aimes ça petite chatte ? Raille-t-il avec un sourire mauvais sur le visage.

Il n’attend pas la réponse et il crie à Jake :

- Cette chatte est bien mouillée et prête pour de bons coups de bite.

Jake glousse en caressant le buisson roux de Karen. Bon sang, trop concentré sur Bob et May,  je ne me suis même pas rendu compte qu’il l’a déshabillée.

- Celle-là est prête aussi. Elle est poilue à souhait.

Puis regardant Karen, il lui souffle :

- Je vais te baiser comme la bonne petite pute à sperme que tu es !

La mère de famille sanglote bruyamment :

- Non s’il te plaît ! Ne me baise pas, je suis mariée !

Jake rigole et rétorque :

- Une fois que j’aurais introduit ma grosse queue dans ta chatte, tu me supplieras de te baiser encore et encore.

Karen ne répond pas et Jake écarte ses jambes. Il me semble qu’elle n’oppose pas beaucoup de résistance. Sans avertissement Jake enfonce sa grosse queue dans  sa petite chatte. Les lèvres entourent la bite et ont du mal à accueillir le membre monstrueux qui s’enfonce violemment dans l’espace étroit. 

- JAKE  ARRÊTE S’IL TE PLAÎT ! Ça fait mal ! Crie Karen.

Jake se contente de rire en la baisant avec des coups de rein brutaux. Je reporte alors mon attention sur Bob et May. Bob s’enfonce à fond dans la chatte de la blonde , puis il se retire et s’enfonce encore plus profondément, rageusement et sans pitié. Il marmonne :

- Putain chérie, ta chatte est bien serrée, ton mari ne doit pas te baiser souvent. Heureusement que je suis là. Hé Jake, comment est ta chatte ?

May gémit de manière soumise aux coups de reins de Bob. J’ai l’impression qu’elle commence à apprécier. Je me retourne et je vois Karen sur le dos, les jambes en l’air. Jake la baise comme si c’est la seule chose qu’il désire. Il est tellement occupé qu’il ne répond pas à son copain. Alors Bob continue de parler à May :

- Dis-moi à quel point tu veux ma bite, salope !

May gémit :

- Oui je veux ta bite. Prends-moi comme une pute !

Le garçon rigole :

- Qui aurait cru que tu sois une telle salope !

Sa bite entre et sort, je vois le jus couler.

- Tu aimes ça maintenant, n’est-ce pas ? Ta chatte se serre sur ma queue. Tu ferais mieux de ne pas jouir sans crier mon nom, salope ! Dis-moi à quel point tu aimes ça !

- Baise-moi avec ta bite, Bob. Ne t’arrête pas !

May grogne et gémit, ce qui ne fait qu’exciter encore plus Bob. Il gifle son cul si fort qu’une marque rouge en forme de main reste visible.

- Oh putain ! Oh putain ! Je vais…. Halète May.

- Oh Dieu ! Oui, oui, oui, je jouis. Ohhhh ! Dit à son tour Karen.

D’une voix autoritaire, Jake grogne :

- Tu aimes ça, salope ? Tu aimes que ma grosse bite défonce ta chatte serrée ? Tu es ma petite salope. Dis-moi qui va te baiser à partir d’aujourd’hui ? Allez, espèce de femme infidèle au cul chaud, dis à qui tu appartiens !

Je n’en crois pas mes oreilles quand Karen gémit et répond à Jake :

- Ohhhh, baise-moi ! Je suis ta salope ! Dis-moi juste quand tu me veux !

Puis j’entends May dire à peu près la même chose à Bob. Bon sang, ces deux femmes ont l’air de prendre beaucoup de plaisir. Il faut que je baise l’une d’entre elles, sinon les deux.

Jake et Bob continuent de les baiser violemment sans relâche jusqu’à ce qu’ils éjaculent dans les chattes des deux femmes au foyer. Puis ils se retirent, se regardent et sourient. Puis ils font attention à moi.

- Laquelle veux-tu baiser en premier ? Me demande Jake.

C’est une question difficile. Les deux femmes me font bander.

- Je voudrais baiser ces deux salopes, mais je vais commencer par May.

- Ne t’inquiète pas, nous allons bien baiser ces deux chaudes du cul.

Les femmes peuvent à peine se tenir debout. Bob les regarde et ordonne :

- Déshabillez-vous avant que j’arrache le reste de vos vêtements.

Les deux femmes le regarde sans bouger. Agacé, Bob s’approche de May, saisit son chemisier et l’arrache brutalement. Puis il fait de même avec Karen.

- Vous me faites chier toutes les deux ! Enlevez vos soutien-gorges et montrez-nous vos jolis corps !

Elles retirent rapidement leurs sous-vêtements en se regardant l’une l’autre, confuses et désorientées par ce qui vient de se passer. Je me dis qu’elles savent toutes les deux qu’elles viennent d’avoir la meilleure séance de baise de toute leur vie et qu’elles n’ont rien fait pour l’empêcher.

Karen, nerveuse, baisse les yeux au sol tout en cachant sa poitrine avec ses bras. Elle dit doucement :

- Écoutez les gars ! Je pense que ça a été trop loin et que nous devons arrêter. Il faut qu’on parte. On ne dira rien à personne.

Sur le ton de la colère, Jake riposte :

- Tu ne te souviens pas de ce que tu me disais pendant que nous baisions ?

Elle hausse les épaules.

- J’ai peut-être dit certaines choses dans le feu de l’action, mais il est temps d’arrêter.

May ajoute alors :

- Vous ne pouvez pas sérieusement nous tenir responsables de ce que nous avons dit.

En se renfrognant, Bob lui répond :

- Vous n’irez nulle part tant que vous n’aurez pas baisé avec chacun d’entre nous. Toutes les deux, vous avez encore John à satisfaire et Jake et moi voulons changer de partenaire. Compris salopes ?

- Non, pas John, c’est un ami de nos fils ! Crie Karen.

Jake se met à rire :

- Bon sang, comme on vous l’a dit, rien ne sortira de ce garage. En plus il vient de vous voir toutes les deux baiser. Donc si vous voulez qu’il garde sa bouche fermée lui aussi, vous feriez mieux de vous occuper de lui.

Bob appuie alors sur un bouton et la télévision s’allume. A l’écran une vidéo de ce qui vient de se passer démarre.

- Sans compter que ce serait vraiment l’enfer pour vous si quelqu’un voyait ce film. Nous pouvons facilement faire un montage afin de montrer que vous ne vous plaignez pas. Après tout, c’est vous qui nous avez demandé de nous déshabiller. Maintenant, venez là que l’on puisse bien vous voir !

May et Karen se regardent dans un silence gêné. Nerveusement elles avancent vers les gars. Jake s’approche d’elles et leur claque brutalement les fesses.

- Salopes, quand l’un d’entre nous vous dit de bouger, vous vous dépêchez au lieu de rechigner !

Les femmes rejoignent plus rapidement l’endroit que Bob leur a indiqué. Nous pouvons bien admirer leurs corps nus. May a de très jolis seins. Quand je regarde l’étiquette du soutien-gorge tombé sur le sol, je vois qu’elle fait du 90C. Ses tétons sont bien érigés ce qui me fait penser qu’elle n’est pas indifférente à sa situation. Mes yeux descendent sur son sexe qui est bien taillé, je trouve.

Puis je regarde Karen. Jake avait raison quand il disait qu’elle était poilue. Mais ses seins sont magnifiques, du 95DD. Ses mamelons pointent eux aussi. Je n’ai pas vraiment l’impression que ces mères au foyer soient vraiment contrariées par ce qui se passe. Elles se remettent doucement de leur surprise. Bob glousse alors :

- Je te l’avais dit Jake, ces deux-là sont facilement contrôlables et soumises. Comme toutes les chiennes de notre harem d’ailleurs. On va beaucoup s’amuser avec ces deux dames.

Jake hoche la tête pour approuver. Puis d’une voix autoritaire, il dit :

- Pas mal ! Mais la prochaine fois, ces chattes ont intérêt à être rasées. Compris ?

- Mais mon mari n’aime pas ça ! Dit Karen en fronçant les sourcils.

Jake lève la main et la gifle violemment sur la joue.

- je me fous de ce que ton mari aime ou pas ! Tu es là pour moi. Tu peux dire ce que tu veux à ton époux, mais ta chatte a intérêt à être rasée !

- S’il vous plaît, écoutez-moi…

Jake ferme sa bouche avec sa main.

- Je t’ai bien entendu, c’est toi qui n’écoutes pas, salope. Vous devez comprendre qu’à partir de maintenant, vos chattes nous appartiennent comme vous l’avez dit dans le film. Quand vos maris ne sont pas là, vous nous obéissez. Et même s’ils sont chez vous, vous nous obéirez. Quand nous le voudrons nous vous appellerons et vous feriez mieux de venir en courant. Si vous ne pouvez pas le faire, vous feriez mieux d’avoir une bonne excuse, sinon…

Sur ce, il leur donne à chacune une grande claque sur les fesses et il les pousse à s’agenouiller.

- Maintenant, dites-nous à qui appartiennent vos chattes ! Exige-t-il.

Bob leur donne alors deux autres claques sur la figure.

- Dites-le tout de suite ou ce film va se retrouver sur internet. Et je sais que vous voulez encore nos bites.

May jette un coup d’œil inquiet à Karen, puis elle nous regarde à nouveau. Elle marmonne :

- J’ai aimé votre bite et j’en veux plus. Alors ma chatte vous appartient.

- Oui ! Ajoute Karen en tremblant.

- Oui quoi ? Lui crie Jake au visage.

- Oui je veux que votre bite me baise à nouveau. Ma chatte vous appartient. Répond doucement Karen.

Bob reprend la parole :

- A partir de maintenant, lorsque vous parlerez à l’un de nous trois, mesdames, vous devrez nous appeler « Monsieur ». Peu importe où vous êtes ou vace qui vous êtes, c’est ainsi que vous devrez nous marquer votre respect. Avez-vous compris ?

- Oui Monsieur ! Répondent-elles toutes les deux.

- Maintenant May, va t’occuper de John !

Quand elle se rapproche, ma queue se lève à chaque balancement de sa poitrine. Elle regarde le sol et secoue la tête en murmurant :

- Comme ça peut nous arriver ?

En ma poussant sur ses genoux je lui réponds :

- Vous pensiez que les rumeurs n’étaient pas vraies. Vous vous êtes focalisée sur la taille des bites de Bob et Jake et vous avez oublié toute prudence. Maintenant tu sais quoi faire !

Je lui montre ma bite qui palpite sur toute sa longueur. Sa bouche s’élargit lentement et se referme autour de ma queue jusqu’à ce que je sois complètement encerclée par ses lèvres. Puis quand je sens ma bite taper sa gorge, j’attrape ses cheveux et je tire sa tête d’avant en arrière jusqu’à ce qu’elle le fasse toute seule. Putain , la sensation de ses lèvres humides sur ma peau peut me faire gicler à tout moment.

Je me penche en avant juste assez pour saisir un de ses seins que je presse. Elle accélère sa fellation. Puis je me relève, j’attrape l’arrière de sa tête et j’enfonce ma bite bien profond dans sa bouche. Je tiens fermement sa tête pendant que je lui expédie un bon paquet de sperme dans la gorge.

- Laisse-moi t’aider à te relever !

Je la tire sur ses pieds puis chacune de mes mains saisit un de ses seins et tire dessus comme si je voulais les arracher. Je pince chaque téton et je les tords fermement. May hurle dans un mélange malsain de douleur et de plaisir. Je la fais taire en l’embrassant. 

Après un profond baiser, je m’éloigne en caressant ses cheveux.

- On dirait que cette salope aime que l’on joue brutalement avec ses seins.

- Oui Monsieur, j’aime ça ! Soupire-t-elle en faisant un signe de tête embarrassé.

Je la tire ensuite vers le canapé et je la pousse sur le dos. En la regardant fixement dans les yeux, j’enfonce ma bite dans sa chatte. 

- Oh putain, que ta chatte est bonne ! Dis-moi que tu as envie que je te baise !

Elle supplie alors :

- Allez-y Monsieur ! S’il vous plaît, j’ai besoin de votre grosse bite dans ma chatte !

Je m’enfonce autant que je peux dans sa grotte humide et la la baise en accélérant le rythme à chacun de ses cris. Elle gémit à chacune de mes profondes poussées. Elle semble appréciée d’être dominée.

- Tu aimes ça, salope ?

Elle se contente de hurler de plaisir alors que je la pénètre et que je me retire sans pitié. Elle commence bientôt à pousser ses hanches à ma rencontre. Nous prenons du plaisir tous les deux, je le vois bien. Elle a un orgasme alors que je me prépare à éjaculer à nouveau, ce que je fais dans sa chatte. Tout ce que je réussis à dire alors que nous avons terminé ous les deux c’est :

- Très bien en effet !

A la fin de l’après-midi, nous avons tous les trois bien baisé les deux mères de famille. C’est alors que Bob rappelle aux femmes :

- N’oubliez pas de raser vos chattes ce soir ! Et revenez ici demain à 10 heures. Ne soyez pas en retard.

- Et pendant que vous y êtes, donnez-nous vos numéros de portable. Dit Jake.

- Pourquoi en avez-vous besoin Monsieur ? Demande May en haussant les sourcils.

Jake la gifle durement :

- Tu me questionnes, salope ?

- Non Monsieur, je voulais juste savoir. Je ne donne pas mes informations personnelles.

- Écoute bien salope ! Si on a des envies, on t’appelle. Et quand on le fait, tu as intérêt à répondre. Et ne nous raconte pas de conneries comme ton mari est là ou n’importe quoi. On s’en fout et si tu ne réponds pas tu seras punie. Tu auras intérêt à avoir une bonne raison. Compris ?

- Oui Monsieur ! Répondent-elles à l’unisson.

Karen se lève et remonte son short sur ses jambes.

- Mais comment suis-je censée rentrer chez moi sans haut ? Demande-t-elle en brandissant un morceau de tissu en lambeaux qui était autrefois son chemisier.

Jake hausse les épaules.

- C’est ton problème. Espère que les gens pensent que ton soutien-gorge est un haut pour faire du sport.

Sur ces derniers mots, les deux femmes se précipitent hors du garage en claquant la porte. Bob éteint la musique et a un rire vicieux.

- Ces deux-là vont être amusantes à humilier et à soumettre. Elles vont très bien s’intégrer dans notre petit harem.

- Je vous vois demain les gars ! Dis-je en remettant mon short et en faisant glisser mon tee-shirt sur ma tête.

 *****

Quand je passe devant la maison de May, elle et Karen sortent. Elles portent toutes les deux des tee-shirts. 

- Hé John, peux-tu venir ?

Je m’approche :

- Bien sûr, que puis-je faire pour vous ?

May commence à parler :

- John, tu ne vas pas dire à quelqu’un ce qu’il s’est passé, hein ? Surtout pas à Dave ou Tim ?

Je suis surpris et je réponds :

- Bien sûr que je ne dirais à personne que vous êtes nos jouets. Pourquoi diable le ferais-je ?

Karen hoche la tête.

- Nous ne retournerons jamais dans ce garage.

Elle fait un faible haussement d’épaules.

- De toute évidence, nous aurions dû écouter les rumeurs. On ne peut même pas s’adresser à la police ou autre à cause de la vidéo.

- Écoutez, vous êtes deux salopes et à partir d’aujourd’hui vous leur appartenez. Ne faites pas l’erreur de les sous-estimer à nouveau. Ils laisseraient cette vidéo être diffuser partout et ils ruineraient vos vies. Dis-je en gloussant.

Waouhhh, je ne crois pas avoir déjà été autant agressif. C’est comme si aujourd’hui, un côté sauvage de ma personnalité avait été libéré. Je suis surpris de voir à quel point j’aime dominer.

- De toute façon votre situation n’est pas étonnante quand on voit que vous venez de faire une autre erreur.

- Je suppose qu’on aurait dû écouter quand on nous a dit de rester en dehors de leur garage. Ça nous a attiré des ennuis. Et je suppose que nous allons devoir suivre leurs instructions et obéir jusqu’à ce qu’ils en aient marre de nous. Dit Karen avec une mine renfrognée en tapant du pied.

- Attends : Qu’est-ce que tu as voulu dire en parlant d’une autre erreur ? Me demande May.

Je la regarde et je m’assure que personne ne soit dans les parages. Puis je donne une grosse claque à chacune d’elles.

- Vous avez oublié de m’appeler « Monsieur », grosses salopes. Rappelez-vous, ne pas suivre les règles signifie seulement que ça va être plus dur pour vous. Mais je vais laisser passer pour cette fois. Compris ?

Le visage de May se fige. Elle est horrifiée en me répondant :

- Oui Monsieur !

Karen dit alors avec un regard d’horreur :

- Mais vous êtes l’ami de nos fils. Nous ne devrions pas faire ça.

Je lève la main , alors elle ajoute très vite :

- Monsieur !

- Oui je suis l’ami de vos fils, mais je vous ai aussi baisées toutes les deux. Je vous rappelle donc la règle. Vous nous appellerez « Monsieur » où que vous soyez et peu importe qui est là.

Elles me regardent toutes les deux. j’ai l’impression qu’elles vont pleurer. 

- Oui Monsieur ! Disent-elles.

Je décide d’être un peu souple.

- Bon, on va faire un marché : Quand vos familles seront là, vous n’aurez pas à m’appeler «Monsieur ». mais à la place, vous ne porterez pas de soutien-gorge. Je veux vois vos seins rebondir sous vos hauts. Vous serez humiliées en sachant que tout le monde verra vos seins rebondir aussi. C’est la seule option que je vous laisse.

J’ai l’impression qu’elles sont un peu soulagées. Elles répondent :

- Absolument Monsieur !

- Suivez les instructions. Je sais pertinemment que Bob et Jake ont quelques autres femmes du quartier avec lesquelles ils s’amusent. Vous ne savez pas qui elles sont, elles préfèrent faire profil bas. Vous serez sûrement bien occupées avec eux au début, mais ensuite ils passeront à autre chose ou trouveront d’autres femmes.

Je rigole et j’ajoute :

- Maintenant vous faites partie de leur harem ! Et de la rumeur aussi, j’adore ça ! Vous pouvez toujours essayer de croire que ce n’est pas vrai pour vous.

May et Karen se regardent. Je ne sais pas pourquoi, mais je suppose que ça n’a pas d’importance.

- Et puis j’ai pu constater qu’en bonnes putes, vous avez vraiment apprécié leurs bites et que vous en voulez encore. Bob et Jake vont bien vous gâter.

- A demain Monsieur ! Dit Karen.

A suivre…

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