vendredi 7 juin 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 07

Texte de Monique2.

*****

L’anniversaire de Marcel.

C’était un vendredi à la fin de mon ménage chez Marcel, j’étais en train de lui pomper la bite à ce vieux cochon. Lui il était assis dans son fauteuil, il me dit :

- Il faudrait que je parle à ton mari, qu’il me téléphone, ou le mieux c’est qu’il vienne me voir,

Je lui fit oui avec le tête tout continuant de le sucer. Je n’avais pas envie d’arrêter car j’avais du mal à le faire bander, et je n’avais pas envie de tout recommencer pour un simple oui. Au bout d’un certain temps que je trouvai fort long il jouit dans ma bouche. Je rentrai chez moi, il me fit promettre d’en parler à mon maître. Le soir même au dîner, je dis à mon mari :

- Chéri, Marcel aimerait te voir et j’ai l’impression que c’est urgent, d’ailleurs je voulais te parler de lui si tu le veux bien !

- Je passerais le voir ce week-end, tu veux me dire quoi sur lui ?

- hé bien ne le prends pas mal, mais ça fait quatre mois que je fais le ménage chez lui et que je lui passe ses envies à lui et à son pote Jean-marc. Je reconnais qu’au début j’ai pris du plaisir, mais maintenant c’est un peu répétitif !

- Quand tu couches avec moi et Patrick tu trouves ça répétitif ?

Je lui fit non de la tête.

- Alors tu vois, je crois plutôt que ton problème c’est qu’ils sont vieux l’un comme l’autre, et ça te dégoûte et t’humilie de faire les quatre volontés de Marcel et de son pote. Et c’est d’ailleurs pour ça que tu continueras à les satisfaire, et si quand j’irais voir Marcel il a des reproche à me faire à ton sujet, je te jure que tu feras plusieurs stages dans des maisons de retraite de ma connaissance et là tu n’auras pas que deux vieux à satisfaire, tu as bien compris ?

- Oui chéri, tu sais bien que je ferais tout pour te plaire.

Mon mari n’était pas vraiment fâché, mais il n’appréciait pas que je revienne sur une de ses directives. Il me donnait un ordre et je l’exécutais et je m’en voulais d’avoir pu le contrarier. Et s’il décidait de me faire faire des stages en maisons de retraite, je sais bien qu’il en est capable, et de plus s’il me le demandait, j’irai sans discuter. 

Le samedi après-midi, mon mari alla chez Marcel, j’étais un peu inquiète, ce vieux salaud savait très bien que mon mari pourrait me punir s’il avait des reproches à faire, et en plus je suis sûr que ça lui ferait plaisir de m’humilier un peu plus. Il revint une bonne heure plus tard sans rien me dire, je suis sûre qu’il le faisait exprès. Il ne fallait surtout pas poser de question, de toute façon si Marcel avait eu des reproches à faire il me les aurait fait, enfin je l’espère. Je m’occupais le reste de l’après-midi pour pas trop y penser. Le soir nous sommes sortis avec des amis, on est rentrés assez tard vers minuit, une heure du matin. Arrivés à la maison mon mari s’est installé dans le fauteuil, m’a demandé un petit cognac puis de m’asseoir.

- Je pense que tu a envie de savoir ce que m’a dit Marcel,

je fis oui de la tête.

- Il m’a dit deux choses, la première est que samedi prochain il veut fêter son anniversaire avec quelques amis de son âge, ils devraient être six avec Marcel, et il m’a demandé si tu pourrais participer à sa fête. Il voudrait que tu arrives juste après le déjeuner comme si tu étais le cadeau pour lui et ses amis, tu te doute que j’ai accepté et je veux que tu sois l’esclave de Marcel et de ses amis, que tu sois totalement soumise à leurs envies, je veux qu’ils se rappellent longtemps de ce jour, tu as compris ?

- Oui chéri j’accepterai tout, même plus, et tu seras satisfait de moi !

- Pour la deuxième chose tu devrais être heureuse. Marcel part le dimanche chez sa sœur dans le midi, et tu ne devras plus aller faire le ménage chez lui pendant quelques temps, cela te donnera du cœur à l’ouvrage pour samedi !

- Non chéri, pas si heureuse que ça, ma réaction était stupide je n’aurai pas dû. Je sais que ça te plait de me prêter à des vieux porcs comme Marcel, et je ne vis que pour te satisfaire. Je ne le ferais plus, tu es le maître et je suis l’esclave, et pour la fête je serais la plus grosse salope et la plus grosse pute qu’ils pourraient jamais imaginés, excuse-moi !

Il se pencha et m’embrassa.

- Allez, on va se coucher, tu vas pouvoir t’entraîner à être une grosse pute.

La semaine se passa assez calmement, mis à part que mon mari me trouva des heures de ménage chez un couple d'hommes homos du village voisin qui étaient très sympathiques. Je ne suis pas retournée chez Marcel de la semaine, il me dit qu’il voulait pas que je lui vide les couilles, et avoir la forme pour samedi. Je sus par mon mari, qu’il voulait que je fasse un strip-tease dès mon arrivée, je devais monter sur la table et me foutre à poil devant eux. 

Le samedi matin, je pris un bain puis je demandai à mon mari de m’aider pour choisir mes vêtements. Je mis des bas noirs à résille, un porte-jarretelles noir en dentelle, et un soutien-gorge à balconnet toujours noir. Mon mari me fit passer une culotte noire très fine par-dessus le porte-jarretelles. Je mis une jupe longue noire et fendue et un caraco rouge sang. Il me fit mettre un collier noir qui faisait penser à un collier de chien ou plutôt pour moi un collier de chienne. Je mangeai un morceau léger vers midi, je voulais être en forme car l’après-midi devrait être longue et je voulais absolument satisfaire mon mari, il m’avait dit qu’un des gars aurait une caméra numérique et qu'il pourra assister à ma performance après.

Vers quatorze heure trente, le téléphone sonna, mon mari prit, et en raccrochant il me dit :

- Ils attendent leur désert, à toi de jouer.

Arrivée chez Marcel, j’ouvris la porte avec ma clef, la table avait été mise au milieu de la salle à manger, Marcel trônait en bout de table assis dans son fauteuil roulant, à sa droite Jean-Marc, ce vieux dégueulasse qui adorait m’essuyer après que j’ai été pissée. A sa gauche un vieux qui avait plus de soixante ans qui me sourit, à coté de Jean-Marc un homme d’une cinquantaine d’année bien tassée qui était le boucher de mon village. Lui aussi me sourit, je fus surprise de le voir là. En face du boucher un vieux d’au moins soixante dix ans qui était assis sur un fauteuil roulant. Il me sourit, ses dents étaient toutes jaunes. Et à coté de lui un homme d’une quarantaine d’année. Il devait être très grand, il se portait bien, on peut même dire qu’il était gros, le visage rougeaud très mal rasé. Marcel pris la parole :

- Les gars je vous avais promis un dessert, le voilà ! Je vous présente Monique, la plus grosse salope que ma chienne de vie m’a donné de rencontrer, et vous allez voir que je ne vous ais pas menti. Tu montes sur la table et tu nous fais un strip, ma salope ! Bernard, mets la musique et prends la caméra, je l’ai promis à son mari !

L’homme d’une quarantaine ans d’année se leva pour appuyer sur le radio cassette sur le buffet et prit la caméra. La musique démarra, j’enlevai ma veste, je montai d’abord sur une chaise puis sur la table, tout en me trémoussant j’avançai vers eux, arrivée au milieu d’eux je leur dis :

- C’est vrai, je suis un grosse salope, une grosse pute, je suis toute à vous, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi, mes trois trous et tout mon corps sont à vous !

Tout en dansant j’enlevais mon caraco. Dès qu’ils virent mon soutien-gorge, Marcel dit :

- Enlève moi ça, fais voir tes deux mamelles à mes potes !

je m’exécutai en dégrafant mon soutien-gorge, je pris mes seins et me mis à les palper puis je me mis à les porter à ma bouche et je suçai mes tétons. Je fis glisser ma jupe à mes pieds, et je descendis tout doucement ma culotte, ils n’en pouvaient plus, ils sifflaient tout en applaudissant. Je me remis droite avec la culotte dans la main que je fis tourner avant de l’envoyer vers Marcel. Les trois hommes valides étaient debout et me caressaient les cuisses et les fesses.

- Alors les mecs, je vous l’avais pas dit quelle était bandante cette salope. Tourne-toi ma grosse que tous mes potes te vois bien, son mari la surnomme sac à foutre ça vous dit.

Je me mis a tourner sur moi-même, ils me demandèrent d’écarter les fesses, ces vieux cochons n’en pouvaient plus.

- Bon, maintenant qu’on s’est bien rincé les yeux, tu vas descendre ma grosse pute, qu’on puisse te tripoter.

Jean-Marc me tendit la main pour m’aider à descendre. Dès que je fus à terre, les hommes valides m’entourèrent, des mains se promenaient sur tout mon corps, des doigts s’insinuèrent dans ma chatte mon cul, et il malaxèrent mes seins. Le vieux en fauteuil roulant s’avança devant moi et tendit la main :

- Ecarte tes cuisses que puisse rentrer mes doigts dans ta chatte !

Je m’exécutai, il fourra trois doigts sans ménagement. Ce petit jeu dura un petit moment, puis un des hommes dit :

- Hé les mecs, c’est quand même l’anniversaire de Marcel, il pourrait en profiter aussi, allez ma salope tu vas bien pomper !

Ils me poussèrent vers Marcel, il était dans son fauteuil roulant et il les regardait en train de me tripoter. Je m’apprêtai à me mettre à genoux, mais ils préférèrent que je me penche sur lui, donc j’étais courbée vers Marcel les deux mains prenant appui sur les bras du fauteuil roulant. Ils me firent écarter les jambes, Marcel sortit sa queue que je me mis a sucer. Derrière moi, ils se reliaient pour me foutre leurs doigts dans le cul et la chatte, d’autres mains me malaxaient les seins, et d’autres me pinçaient les tétons ou me les tiraient en les secouant dans tous les sens. 

Je ne peux vous dire combien de doigts ont fourragé dans mon intimité, il y en avait beaucoup. Je sais que le vieux en fauteuil roulant, qui s’appelait Jean était souvent derrière moi pour me mettre ses doigts tout maigres et parcheminés dans la chatte. 

Pour Marcel, il bandait pour une fois très dur, ça devait être l’excitation de voir ses potes jouer avec moi qui le mettait dans cet état là. Il haletait de plus en plus, ses potes l’encourageaient et m’encourageaient de la voix :

- Vas-y grosse pute ! Pompe sa queue !

- cette salope c’est un vrai aspirateur à bite, elle va lui vider les couilles !

Marcel eut un râle, et il déchargea dans ma bouche.

- Vous allez voir les mecs, elle avale ça comme du yaourt !

Je me relevai et entrouvris la bouche pour leur faire voir tout le foutre, puis je l’avalai en passant ma langue sur mes lèvres. Jean-Marc et le boucher qui s’appelait Robert et l’autre vieux valide qui se nommait Georges me mirent à genoux, et Robert me dit :

- On a vu que tu t’arrangeais avec une bite, fais nous voir avec trois comment tu te débrouilles !

Les trois queues se trouvaient très près de mon visage. Jean-Marc qui était au milieu m’enfonça sa bite dans la bouche, je branlai les deux autres. Bernard tenait la camera, j’avais l’impression de tourner un film porno, j’entendis Jean ou plutôt son fauteuil passer derrière moi, je sentis ses doigt sur mes fesses. Marcel parlait à Bernard qui rallait un peu de ne pas participer.

- Continue de filmer pour l’instant, tu sais bien que c’est la seule condition que nous a donné son mari pour avoir cette pute pour l’après midi. Mais quand les trois en auront fini avec elle, tu pourras en faire ce que tu veux, et je reprendrais la caméra pour que tu aies les mains libres.

Je les pompai et les branlai à tour de rôle, puis Robert et Jean-Marc décidèrent de me mettre leur deux queues en même temps dans la bouche, ils appelèrent Bernard pour qu’il filme en gros plan ma bouche déformée. Ils me tenaient la tête et rentraient leur bite dans la bouche, j’avais les joues gonflées et la commissure des lèvres qui me tirait à me faire mal. Je ne pouvais plus les sucer, ils étaient arrivés à me rentrer de force leurs deux queues dans la bouche. Ils se marraient comme des baleines, et invitaient les autres à venir voir :

- Venez voir cette grosse chienne avec deux bites dans la gueule !

J’avais du mal à respirer, et ces deux porcs continuaient à m’enfoncer leurs bites au fond de la gorge. Marcel et Georges se rendirent compte que j'étouffais, ils les écartèrent brutalement pour que je puisse reprendre mon souffle, Georges m’aida à me relever et me tendit un verre d’eau, Marcel me dit d’aller m’assoir pour que je puisse me remettre. Robert et Jean-marc s’excusèrent, un peu comme des petits garçons pris en faute,.

- Bon les gars, on est là pour s’amuser et pour profiter de Monique, si l’on allait dans la chambre, je suis sûr que vous trois vous avez plein de vigueur pour satisfaire les trois trous de notre salope.

Arrivés dans la chambre de Marcel, Georges se mit sur le lit la queue bien dressée en l’air.

- Viens ma salope t’empaler sur ma bite j’ai très envie que tu me baises !

Je montai sur le lit et me mis au-dessus de lui, accroupie. Il rentra sa queue dans ma chatte, je commençai à faire un mouvement de va et vient sous le regard des cinq autres. Georges me palpait les seins. Assez rapidement je fus arrêtée dans mon mouvement par Jean-Marc qui se plaça derrière moi.

- hé Georges ! Si on se la partageait ?

Georges me fit un sourire désolé, et il prit mes deux fesses pour les écarter. Jean-Marc me rentra sa bite dans le cul, et ils commencèrent à me défoncer la chatte et le cul en même temps, ils ne se débrouillaient pas vraiment bien, ça n’avait rien a voir avec mon maître et Patrick quand ils me prenaient en double. Ils avaient l’habitude et en plus ils ont de plus gros sexe, quoique Georges en à une de très belle taille. Quand on fait une double pénétration il faut être synchro, quand l’un rentre l’autre ressort comme ça les deux hommes prennent leur pied et la femme aussi, là Georges et Jean-Marc me baisaient et m’enculaient en même temps, je leur dis et ils se mirent à le faire, enfin surtout Georges et je me suis rendu compte, qu’ils avaient plus de plaisir et moi aussi. 

Ça a duré un certain temps et Jean-Marc déchargea dans mon cul en même temps que j’eus un orgasme. Je me mis à crier de plaisir, et Jean-Marc en était très satisfait. Il fut remplacé par Robert, il me rentra sa queue très facilement dans cul. Georges me baisait avec beaucoup de méthode et d’application. Il me fit jouir, je me penchai vers lui et l’embrassai à pleine bouche. Je me débrouillerais pour le revoir après cet après-midi, je suis sûr qu’il en sera enchanté et on s’amusera bien tous les deux. Je n’en parlerais pas à mon mari, je peux avoir des petits secrets non ! Comme Georges est à la retraite, on pourra peut -être se voir dans la journée.

Robert pendant ce temps là m’enculait de plus belle. Au bout certain temps Georges jouit abondamment en moi, il se retira de dessous et me laissa à quatre pattes pour que Robert puisse me défoncer tout à son aise, puis ce fut le tour de Robert de jouir. Il avait sorti sa queue de mon cul, et me fit me retourner, il se branla un instant puis il jouit sur mes seins et mon ventre. J’avais du foutre qui coulait entre mes cuisses et sur le ventre. Ma chatte était pleine de sperme, et mon cul était très dilaté et il en coulait du foutre aussi. Marcel me dit :

- Ma salope, tu ne vas pas laisser ce bon sperme, et je sais que tu aime ça, ramasse le foutre avec ce verre et tu m’avale le tout !

il me tendit un verre, et je me mis à recueillir le sperme comme je pouvais sous leur yeux qui ne perdaient pas une miette de ma récupération. Je commençai par mes seins puis mes cuisses puis je passai le verre sur ma chatte plusieurs fois. Je passai mes doigts entre mes fesses pour récupérer le foutre qui coulait de ma rondelle pour le mettre dans le verre, j’en avais recueilli un peu plus de la moitié du verre, ça en faisait pas mal.

- Regardez les mecs, le sac à foutre a une petite soif, allez ma grosse salope, avale !

Je m’exécutai sous les yeux de ces six vieux salauds et de la camera. Quand j’eus fini, Jean-Marc me dit :

- Il en reste dans le verre, avec tes doigt tu me racles le fond et tu te lèches les doigts comme une pute !

Je fis comme il demandait puis je vidai le verre. Marcel dit :

- iIl faudrait penser à ceux qui ne sont pas passés dessus, Jean et Bernard.

Bernard passa la caméra à Robert, il me dit de me mettre le cul en l’air, et la tête pendante en dehors du lit de façon à avoir la tête au niveau de l’entrejambe de Jean. Il mit son fauteuil roulant accolé au lit, et sortit sa bite qui était très petite avec des couilles toutes desséchée. C’était la premier fois que je devais sucer une queue aussi vieille. Je la pris dans la bouche en entier, Bernard se mit derrière moi et rentra sa queue dans ma chatte. Sans la voir je pouvais sentir que c’était la plus grosse des six et en plus la plus longue. Il commença à fourrager dans ma chatte de plus en plus vite. Bernard me secouait tellement, que je ne pouvais plus sucer Jean. Il décida que je le sucerais après. 

Donc je me mis vraiment à quatre pattes au milieu du lit, et Bernard continua à me baiser. Tout en me défonçant la chatte il introduisit deux doigts puis trois dans mon cul et il les faisait rentrer sans ménagement. Cela dura assez longtemps. La plupart des hommes étaient partis dans la salle à manger pour se restaurer sauf Jean et Marcel qui regardait tout en filmant. Bernard me demanda de me retourner pour que je le suce, et là je vis son sexe, il était monté comme un âne, une queue énorme longue et grosse à la fois, il me présenta ce manche, je le pris dans la bouche, j’arrivais à peine à avaler la moitié de sa queue. Il m’attrapa la tête et commença à me baiser dans la bouche, il cognait au fond de ma gorge à chaque va et vient. Au moment de jouir, il sortit sa queue pour décharger sur mon visage. Je dus enlever le foutre avec mes doigts puis les lécher, j’avais du sperme plein les cheveux. 

Je n’en pouvais plus, j’avais les cuisses et les mollets qui étaient douloureux, et mes orifices qui avaient subi un traitement de choc en très peu de temps, malgré mon entraînement. J’étais assise sur le lit les jambes écartées et repliées sur moi. Marcel continuait à filmer il me demanda d’écarter ma chatte pour voir l’intérieur. Ce que je fis et il zooma dessus, puis il rendit la caméra à Bernard. Jean dit :

- Elle a du sperme partout cette cochonne !

- Oh ne t’inquiète pas, elle connaît la maison, elle va prendre une douche et Jean-Marc et Robert vont l’aider. Hein ma grosse salope que tu aime prendre des douches ici ?

Je fis un signe oui avec la tête à Marcel, je me levai et me retrouvai très rapidement sous la douche, Jean-Marc fut le plus prompt à se déshabiller, il rentra sous la douche et se mit a me frotter les seins avec du savon, Robert nous rejoignit et se mit à me savonner les fesses puis il me demanda d’écarter les jambes, et il se mit a me passer le savon et les doigts dans ma chatte. Les autes hommes nous regardaient, et Marcel dit :

- Robert, insiste bien sur son cul, Bernard veut se la faire et vu le pieu qu’il a, il faudrait lui dilater la rondelle pour que ça passe !

Il se mirent à rire, Robert ne se fit pas prier, il savonna mon cul, il me demanda d'écarter les fesses avec mes mains Je les écartai au maximum, et il se mit à me rentrer ses doigt dans mon cul avec du savon. Jean-Marc, lui, s’était mis à s’occuper de ma chatte avec le savon. Après ce traitement nous sortîmes et Georges me sécha avec une serviette. Arrivée dans la salle à manger, Marcel m’offrit un morceau de son gâteau d’anniversaire, Robert vint s’asseoir près de moi pour parler.

- Je ne pouvais pas imaginer que tu étais salope à ce point là, j’avais bien vu quand tu venais me prendre de la viande à la boutique que tu ne portais pas de soutif. D’ailleurs le jeune qui m’aide avait demandé de pouvoir te servir pour pouvoir admirer tes nichons. On va pouvoir se voir plus souvent maintenant !

- Je m’étais rendue compte que je lui faisais de l’effet à ce jeune, mais se voire plus souvent, tu veux dire quoi par la ? 

- Je veux dire qu’après cette journée, tu pourrais passer à la boutique le matin et on s’enverrait
 en l’air !

- Pour ça il faut en parler à mon mari, car je fais ce qu’il veut et seulement ce qu’il veut. Marcel a fait comme ça, mais il y a du monde dans ton magasin, d’abord ta femme puis ce jeune dont tu me parles et puis la jeune fille qui tient la caisse !

- Pour ma bourgeoise, cette grosse vache, elle ne décolle pas avant onze heure du matin,. Pour la gamine pas de problème elle est là depuis deux ans. Elle avait dix-huit ans quand elle a commencé et elle a besoin de travailler comme elle s’est barrée de chez ses parents. Elle a besoin de fric, je l’ai dressé comme il faut, d’ailleurs tous les jours elle me fait une petite pipe. Au début elle a eu du mal mais maintenant je n’ai plus besoin de lui demander. Et le jeune il est encore plus salaud que moi, il a décidé de lui dilater le cul. Alors depuis un mois, tous les jours à sa pose de dix heures, il la fait se pencher sur la table de travail et il l’encule de bon cœur. Bon la petite a pleuré au début mais maintenant c’est comme pour la pipe, elle s'y ait faite. Alors tu vois pas de problème pour que tu passes mais de toute façon il te sera difficile de refuser, j’en parlerai à ton mari.

Il s’éloigna. Mon pauvre vieux Robert, ça m’étonnerai que mon mari accepte un chantage quel qu’il soit. George s’approcha de moi et me caressa le sein droit avec beaucoup de gentillesse, et il me dit :

-  Je suis très heureux de t’avoir rencontré, j’espère que tu accepteras qu’on puisse se revoir !

- Les grands esprits se rencontrent, je pensais la même chose, il faudra mettre ça au point avant que je parte !

- Je sais par Marcel, qu’il faut demander l’autorisation à ton mari, j’espère vraiment qu’il n’y verra aucun problème !

- Pour toi je crois que je vais faire une exception, je ne suis pas obligée de lui dire, mais il faut que l’on se voit dans la journée !

- J’ai hâte qu’on se retrouve tous les deux chez moi !

Il m’embrassa et partit rejoindre les autres. Robert et Jean-Marc revenaient de la cuisine avec du champagne, Jean-Marc se mit à ouvrir les bouteilles, Marcel prit la parole :

- Messieurs, pour arroser ce bel après-midi je vous demande de lever vos verres, mais avant je demanderai à Bernard de se mettre en position pour accueillir notre esclave du jour.

Bernard donna la caméra à George et s’allongea sur le tapis de la salle à manger et commença à se masturber vigoureusement, Marcel reprit :

- Jean-Marc et Robert veuillez aider notre salope à s’asseoir sur son trône.

Ils me prirent tous les deux et me portèrent vers Bernard, un peu comme une chaise, chacun m’avait pris une cuisse et j’avais passé mon bras autour de leur tête au niveau de leur cou. Bernard continuait a se branler et sa queue ressemblait à un pieu dressé vers le ciel. Ils m’avaient positionné au-dessus de Bernard et surtout de son membre et je me doutais où il avait l’intention de me le mettre. Marcel prit la parole :

- Messieurs, Bernard a très envie de lui ramoner le fion, je ne pouvais pas lui refuser, Messieurs veuillez procéder à l’enculage de cette salope !

ils me firent descendre vers ce pieu, Bernard positionna son membre devant ma rondelle, et ils me firent m’enculer sur sa queue le plus loin possible. La dernière fois où j’ai été dilatée autant c’était quand mon mari et Patrick avaient fait rentrer une grande bouteille de coca dans mon cul. Ils se mirent à monter et descendre sur ce membre, les autres sauf George qui filmait, buvaient du champagne tout en appréciant le spectacle. Les deux hommes qui me portaient n’en pouvaient plus à la longue, ils me dirent de continuer seule. Bernard replia ses jambes de façon à ce que je puisse prendre appui sur ses genoux, et je continuai à me faire défoncer le cul par cet énorme pieu. Bernard m’agrippa les hanches et jouit dans mon cul en poussant des grognements. Je me retirai et m’écroulai sur le tapis, j’avais les cuisses et mollets qui me faisaient mal, et le cul béant d'où coulait le sperme de Bernard. Je réalisai que Jean-Marc, Robert et George étaient autour de moi et se branlaient, je me redressai difficilement pour me mettre à genoux fasse à eux.

- Tu vois Robert, on n’a même pas besoin de lui dire elle est toujours prête à ouvrir la gueule pour avaler du sperme !

J’ouvris la bouche et tirai la langue, ils déchargèrent presque ensemble, je reçus le foutre dans la bouche, sur le visage et sur les seins. Jean s’avança vers moi avec son fauteuil roulant il avait descendu son pantalon et se branlait, il me dit :

- Avale le sperme que tu as dans la bouche et suce moi !

Je m’exécutai, et me plaçai entre ses jambes et me mit à pomper sa vieille queue, les autres se rhabillaient. Je le suçai un bon moment avant qu’il crache son sperme. Je n’en pouvais plus, mes jambes me faisaient mal, ma chatte était irritée et mon cul je n’en parlerai pas tellement il était dilaté. 

Je m’assis sur une chaise et ils sont tous venus me dire au revoir. Georges me dit à l’oreille qu’il avait mis son numéro de téléphone dans mon sac et il attendait mon appel avec impatience. Restée seule avec Marcel il me proposa de reprendre une douche. J’acceptai de bon cœur. Bien entendu il assista à ma douche, puis je lui fis le plaisir d’aller faire pipi devant lui pour qu’il puisse m’essuyer. Il prit beaucoup de satisfaction à passer le papier toilette sur ma chatte, il me demanda de venir avec lui dans la chambre, il se mit au lit sur le ventre et je dus lui lécher le cul et l’entrejambe un bon moment, puis il se retourna et je me mis à le pomper en lui caressant les couilles il jouit dans ma bouche, il me dit :

- Bon ma chérie, je te donne la caméra de ton mari, j’espère que le film sera bon, tu nous excuseras auprès de ton mari si les images sont moyennes on n’est pas des pros, tu reprendras tes visites à mon retour de chez ma sœur !

je me rhabillai puis l’embrassai avant de partir, il était déjà dix huit heures. Le soir même mon mari visionna le film, lui assis dans le canapé, moi entre ses jambes à genoux  à le sucer et lui lécher les couilles. Il régla le petit problème de Robert dans la semaine, je n’ai jamais su ce qu’il lui avait dit, je n’en n’ai plus jamais entendu parler, j’ai bien entendu rappelé Georges mais ceci est une autre histoire.

FIN

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