dimanche 9 juin 2024

Les débauches de mon épouse - Ch. 06

  Texte de Cadan (2011).

*****

C’est moi, le mari de C, qui raconte cette partie.

Le coup de téléphone m’avait complètement assommé. Bien sûr, je savais que mon épouse était dans une situation difficile, mais je n’imaginais pas les mots que m’avait assénés ce monsieur Ali. Je l’avais bien vu nue devant lui, mais j’avais voulu me persuader qu’il ne faisait que la baiser. Ce qu’il m’avait dit allait bien plus loin. Je n’étais pas certain de vouloir savoir, et pourtant, je savais que j’irais. Il est six heures moins le quart quand je rentre dans ce restaurant de malheur. Le serveur m’emmène directement dans la cuisine. Là, Ali est, comme d’habitude assis derrière son bureau.

- Alors, le petit mari. Il a fallu que je t’appelle pour que tu voies ce que fait ta femme quand elle vient ici. Tu n’es pas curieux ?

- Pourquoi m’avez-vous fait venir ici ?

- Je veux que tu saches, en le voyant de tes yeux, ce qu’est en train de devenir ta douce et tendre épouse.

- Mais pourquoi ?

- On en reparlera tout à l’heure. Pour l’instant, va te cacher. Elle va arriver. Et pas un mot, pas un bruit.

Je me retrouve dans l’appentis, derrière la glace sans tain. C est entrée. Mais je ne la reconnais pas. Elle porte une mini-jupe, si courte, que je peux voir la peau nue de ses cuisses, au-dessus de la lisière de ses bas. À ses pieds, des talons vertigineux. Elle qui ne porte habituellement que des pantalons et des tennis. Le chemisier noir est si transparent que je distingue nettement un soutien-gorge rouge et noir laissant clairement dépasser ses tétons. Elle s’est placée devant le bureau et a écarté largement les pieds. Puis, elle a croisé les mains derrière sa nuque, offrant sa poitrine à Ali. Elle ne bouge pas et attend.

- Alors, Lola, petite salope. Tu t’es préparée comme je l’avais ordonné ?

- Oui, Maître.

- Montre chienne.

Salope, chienne, il la traite avec infamie, et elle ne bouge pas. Qu’est-il arrivé à ma petite C ? C’est alors que je la vois soulever sa jupe et présenter un slip de dentelle transparente noire. Elle passe les pouces à l’entrejambe et écarte le tissu. Il est grand ouvert sur son sexe ! Puis elle ouvre son chemisier et montre ses seins, à l’air, avec juste ce tissu rouge et noir qui semble les souligner. Enfin, elle se retourne et je peux voir quelque chose fiché entre ses fesses. Elle le fait sortir de son fondement. C’est un faux sexe en plastique noir, qui me semble énorme, presque de la taille du mien. 

- Bravo Lola. Tu apprends vite. Je me demande ce que dirait ton mari s’il te voyait comme ça. À ton avis ? 

C’est odieux. Que peut-elle répondre ?

- Je ne sais pas, Maître.

- Te trouverait-il bandante ? Aurait-il envie de te sauter ?

- Je ne sais pas, mais je fais tout ce que je peux pour vous plaire.

- Pour me plaire ? Ou pour m’obéir, pouffiasse ?

- Pour vous obéir, Maître.

- Bien, et ton mari. Penses-tu qu’il te sauterait ?

- Oui, Maître.

- Pourtant, ce n’est pas pour lui que tu es venue ici, habillée comme une pute.

- Non, Maître.

- Tu savais ce que tu faisais en venant ici, comme ça.

- Oui, Maître.

- Dis-le, salope. Et avec les mots qu’il faut, sinon Marie s’occupera de ton cul.

- Je suis venue faire la pute, Maître. Je suis venue me faire baiser pour de l’argent. Je vais donner ma bouche et ma chatte à des clients inconnus. Je vais essayer d’être bonne, pour vous, Maître.

- Très bien, Lola. Enlève la jupe et le chemisier et monte dans la piaule. Les clients auront payé en bas. Ils ont droit à ta bouche et à ton minou. Sois gentille et efficace. J’oubliais : renfile le plug dans ton cul.

Je vois ma chérie obéir, présenter l’objet sur son anus, appuyer et l’objet s’enfonce dans son derrière. Puis elle quitte la pièce, ses fesses ondulant à cause des talons. Je suis abasourdi, et pourtant, inexplicablement, excité. Ali me fait signe d’entrer dans la pièce.

- Alors, comment la trouves-tu, ta petite femme ?

- Pourquoi faites-vous cela ?

- Tu n’as pas compris ? Ta femme est rentrée dans mon cheptel. Elle est devenue une pute, pour moi. 

- Mais ce n’est pas possible.

- Et si. Et tu vas la voir agir. Marie, emmène-le. Marie m’a emmené à l’étage. Quatre portes de chambres d’hôtel minables, un tapis élimé, deux lampes nues. Elle ouvre une petite porte que je n’avais pas vue.

- Assieds-toi. 

La pièce ne comportait qu’une chaise et une grande vitre donnant sur la chambre voisine. Marie me passe une main sur l’entrejambe :

- Régale-toi, mon salaud. Mais ne te finis pas, je reviendrai. 

Qu’est-ce qu’elle a voulu dire ? Et pourtant, je commence à bander. Je regarde de l’autre côté du miroir. Ma douce et tendre épouse est assise sur le lit en slip, soutien-gorge, bas noirs et talons. En plus de son harnachement, elle a le collier de chien autour du cou. Elle attend dans cette pièce, archétype des chambres de passe : un grand lit, avec un jeté de lit rouge passé, un lavabo jauni et un bidet. 

La porte s’ouvre. Entre un homme d’une quarantaine d’années, bedonnant et à moitié chauve. Son regard s’attarde sur le corps plus que nu de mon épouse.

- T’es bien bandante, ma salope. Viens me sortir la bite. 

C s’approche de l’inconnu. Elle ouvre la braguette et en sort le sexe masculin, déjà à moitié dressé. Elle le caresse doucement de la main.

- Suce-moi, salope. 

Je la vois ouvrir la bouche et commencer à engloutir ce dard inconnu. Ses belles lèvres rouges s’arrondissent autour du sexe masculin. Elle se met à le sucer avec application. Dans sa position debout, ses fesses sont tendues vers moi, mais je vois aussi son client les fixer ardemment.

- Caresse-moi les couilles en même temps. 

Évidemment, elle obéit. L’homme a l’air d’apprécier la fellation. Il projette son ventre vers le visage de C, qui a du mal à engloutir ce sexe, mais qui fait tout ce qu’elle peut pour satisfaire son client. La jalousie s’éveille en moi. Jamais, elle ne m’a sucé avec autant de bonne volonté.

- Allez, allonge-toi et ouvre ta chatte. Je vais te bourrer. 

C s’étend sur le lit, écarte les cuisses et, avec ses deux mains, ouvre son slip pour offrir son intimité à cet homme. Mon sexe gonfle dans mon pantalon. Je n’ose y toucher, pétrifié par ce que je vois. 

L’homme s’est glissé entre les jambes de mon épouse et a, immédiatement, pénétré le vagin de la femelle offerte. Il n’a même pas pris le temps d’enlever son pantalon et la fermeture éclair frotte la peau du pubis. Il la surplombe et commence de profonds va-et-vient.

- Bouge ton cul, salope. Tu dois me faire jouir, pouffiasse. 

C avance son bassin à la rencontre du pal fiché dans son ventre. Lui, il prend un sein à pleine main, étirant le téton tant qu’il peut. Je surprends une légère grimace de douleur chez ma femme. Puis il lui fourre un doigt dans la bouche et s’amuse à se faire sucer. Il la besogne de plus en plus fort.

- Ah, je jouis. Prends mon foutre, sale pute. 

Quand il se retire, je vois des filaments couler entre les fesses de mon épouse, qui reste allongée sur le lit. En refermant sa braguette, il lui tapote les cuisses.

- T’as été bonne, Lola. Je reviendrai. 

Et il quitte la chambre. C enlève précautionneusement sa culotte, certainement pour ne pas la tacher du foutre du premier client. Elle s’assied sur le bidet et se frotte méticuleusement, rentrant même un doigt dans son vagin, pour enlever le maximum de sperme. Je me pose la question : est-ce pour ne rien garder, ou est-ce pour se préparer pour le client suivant ? Un début de réponse : elle renfile sa culotte ouverte et se rassoit sur le lit. J’ai vraiment l’impression de découvrir une autre femme. Et je crois… que cela me plaît. J’attends avec impatience la suite. 

La suite. Un homme, un peu plus jeune. Il enlève son pantalon et son slip. Son sexe est impressionnant. Il regarde C et se contente de montrer d’un doigt son membre viril, déjà bien bandé. Elle se place comme tout à l’heure et commence à le sucer.

- À genoux, salope. Et suce-moi sans les mains. 

Elle s’agenouille, place ses mains derrière son dos et recommence sa fellation. Le client se laisse faire. Puis ses mains s’enroulent dans les cheveux de C et impriment un rythme de plus en plus fort. J’ai l’impression qu’il veut jouir dans cette bouche aux lèvres distendues par l’importance de ce qui y est enfoncé. Effectivement, il se fiche profondément au fond de sa gorge.

- Avale tout, salope. 

Malgré la bonne volonté de C, une goutte ou deux tombent sur le sol.

- Je t’avais dit de tout avaler. Alors, lèche ce que tu as laissé échapper. 

Servilement, elle se place à quatre pattes et, avec sa langue, ramasse ce qu’elle n’a pas su avaler. Son attitude me sidère. Elle est vraiment prête à s’avilir comme cela ? 

Mais le client n’en a pas fini. Il s’allonge sur le lit et écarte les jambes.

- Viens entre mes cuisses et caresse-moi pour me faire rebander. Sans un mot, elle s’installe et commence à masturber ce sexe, encore mouillé de sa salive. Celui-ci ne tarde pas à se redresser.

- Enlève ta culotte et viens t’empaler. 

C s’agenouille au-dessus de la bité érigée. Elle descend son bassin jusqu’à ce que ses lèvres intimes caressent le gland. À ce moment, l’homme appuie férocement, de ses deux mains, sur les épaules de la femme. Ses poils pubiens sont mêlés à ceux de son client. Elle commence alors une cavalcade, lente d’abord, puis accélérant le rythme. L’homme a les mains accrochées aux seins de ma femme et les triture violemment. Soudain, il s’arque-boute. Ma femme décolle littéralement du lit. J’imagine son vagin tapissé d’un nouveau foutre. Et cela me fait bander. 

Le rituel de la fin de passe reprend. Le client quitte la chambre, cette fois, sans un mot pour la fille qu’il vient de baiser. C se dirige vers le bidet, non sans avoir laissé tomber quelques gouttes sur le dessus de lit. (Elle risque d’avoir à s’allonger dedans dans pas longtemps). La culotte reprend sa place, et nouvelle attente. À ce moment, c’est la porte de mon cagibi qui s’ouvre. Marie entre. Elle passe une main sur le haut de mon pantalon.

- Alors, le petit mari. On est excité de voir sa femme se faire baiser ?

- Je n’y crois pas. Que lui avez-vous fait pour qu’elle accepte ça ?

- Un petit chantage au début. Mais, aujourd’hui, crois-moi, elle n’y pense plus.

- Mais…

- Non. Elle se contente de se faire baiser. Elle est devenue une vraie petite femelle, qui commence à être consciente de son statut de pute. 

Je ne sais quoi dire. C’est Marie qui reprend la parole.

- Je vais te laisser continuer à regarder ta femme se faire mettre par des inconnus. Tu as le droit de t’exciter, mais défense d’éjaculer. C’est Monsieur Ali qui te l’ordonne. Et si jamais tu désobéissais, c’est ta petite épouse qui en subirait les conséquences. Crois-moi, et même si elle l’a déjà reçu, elle n’aime pas trop le fouet. 

Et elle repart. Ainsi C a été fouettée. Mais pourquoi ne m’a-t-elle rien dit ? Dois-je croire Marie quand elle m’affirme ce qu’elle est devenue ? Je n’ai pas le temps de penser plus longtemps. La porte de la chambre d’à côté s’ouvre à nouveau. 

Je ne regarde plus le visage des clients. Seules m’intéressent la taille et la forme de leur sexe, ce sexe qui, bientôt, va pénétrer, sans aucune douceur, celui de mon épouse. Celui-ci est fin, long et incurvé. Les ordres claquent.

- À poil, complètement. 

C enlève son « uniforme ». Elle attend, toute nue, les bras le long du corps.

- Écarte les cuisses, et branle-toi, debout. 

La main se dirige immédiatement vers son entrecuisse. Elle frotte ses lèvres, les étire, les ouvre. Elle tend son bassin vers l’homme qui a ordonné.

- Rentres-y deux doigts et masturbe-toi. 

C’est incroyable. Je la vois entrer les doigts demandés dans sa fente et les faire coulisser. Elle a les yeux fermés. J’ai l’impression qu’elle prend un certain plaisir.

- Maintenant, tu continues à te branler, mais à quatre pattes sur le lit. 

La main passe sous le ventre pour continuer la caresse. Les fesses sont tendues vers le client, qui ne peut pas ignorer le plug fiché au fond de son anus.

- Tu prépares ton cul. C’est bien, petite chienne. Je viendrai t’enculer quand tu seras prête. Maintenant, écarte tes babines que je vienne fourrer profond ton petit minou.

- Et caresse-moi les couilles pendant que je te baise. 

Ses seins sont écrasés sur le lit. Son sexe est profondément envahi. Et je vois sa main caresser doucement les testicules de l’homme qui la baise. Enfin il se retire et asperge le bas du dos et les fesses de C de longs jets de sperme. Une claque sur les fesses tendues et le client s’en va. 

Mon épouse se redresse lentement. Elle se dirige vers le bidet pour enlever les traces qui maculent son dos. Je la distingue en train d’enlever le plug de ses fesses. Enfin, un geste de refus. Mais non. Après s’être passée la raie à l’eau, elle renfile l’objet, avec quelques grimaces. Douleur ou plaisir ? En tout cas, elle l’a fait. Et sans aucun ordre de personne. Je me rends compte qu’elle est devenue complètement soumise à sa nouvelle condition de fille facile. Marie aurait-elle raison ? 

Nouvelle ouverture de porte. Nouveau client. Celui-ci ne dit pas un mot. Il s’approche de C, la pousse violemment sur le lit. Il lui écarte les cuisses et lui enfonce directement deux doigts dans le vagin. Aucune réaction de recul de ma femme. Elle subit cette pénétration, aidant même le mâle en soulevant ses fesses. Je me demande jusqu’où elle va aller dans sa déchéance. 

Le client, après plusieurs minutes de ce traitement, se redresse. Il lui enfonce les doigts sortant de son sexe dans sa bouche. Et C se met à les lécher, à les sucer. Grand sourire ironique de l’homme. Il ouvre sa braguette, en sort sa bite et enfile d’un seul coup mon épouse. Il la transperce de violents coups de reins, toujours sans un mot. Enfin, restant fiché au plus profond de son ventre, il se déverse en elle. Toujours sans un mot, il quitte la pièce. 

Je remarque que la fente vaginale de C est rougie de ces pénétrations qui se suivent. Pourtant, à nouveau, elle se rend sur le bidet, preuve qu’elle est prête à continuer. Pour ma part, et bien que je ne me touche pas, je sens mon sexe tendu dans mon slip, à me faire mal. Je n’aurais jamais pu imaginer que voir ma douce et tendre épouse ainsi baisée par plusieurs hommes en suivant me procure un tel plaisir. Je voudrais tellement ne pas ressentir cette sensation. 

Quatre nouveaux clients sont passés dans la chambre de C. Ils l’ont tous baisée, sauvagement, violemment, ne s’adressant à elle qu’en des termes orduriers : « salope », « pouffiasse », « chienne », « sale pute » et j’en passe. Ils se sont tous déversés dans son vagin, dans son « minou », sa « chatte », son « trou à bites ». Après chaque homme, elle a récuré son sexe dans l’attente du prochain. 

C’est ma porte qui s’ouvre. Je suis surpris d’entendre la voix d’Ali.

- Alors, petit mari. Marie m’a dit que tu étais tout excité de voir ta femme se faire mettre. J’espère que tu m’as obéi et que tu n’as pas joui. 

Je ne réponds rien, honteux de ce discours.

- Allez, lève-toi et laisse-moi la chaise. Tu verras tout aussi bien debout. 

Je m’exécute. Je reste debout derrière celui qui a provoqué la déchéance de ma femme et je l’écoute silencieusement.

- Regarde bien, petit mari. Le prochain client, je le connais bien. Il va lui en faire voir à cette petite pute. Sois bien attentif. 

Après tout ce qu’a déjà subi C depuis deux heures, je n’imagine pas que cela puisse être encore plus. Plus quoi ? Violent, dégradant… Le client est entré. Son sexe, déjà sorti est énorme. Comment C pourra-t-elle le prendre sans hurler de douleur ?

- À poil, salope. Tu gardes juste le collier de chienne et le plug.

- Je n’ai pas le droit d’enlever le collier, Monsieur.

- Ferme ta gueule, pouffiasse. Tu parles quand je te le dis. Vite, à poil. 

C se déshabille entièrement. Je remarque qu’elle garde les cuisses ouvertes et qu’elle a mis ses mains dans le dos, redressant du même coup sa poitrine. 

- Commence par me sucer la bite. 

La pauvre a bien du mal à emboucher le gland énorme.

- Je veux sentir tes lèvres sur mes couilles. Applique-toi. 

Elle tente désespérément de l’engloutir, mais il lui manque encore cinq bons centimètres. C’est alors que l’homme la prend par la nuque et appuie. Sidéré, je vois les lèvres approcher les testicules. Ça y est. Le sexe entier de l’homme est dans sa bouche. De longs filets de bave coulent sur son menton et tombent sur ses seins. Il règle la fellation, tantôt tirant les cheveux jusqu’à faire apparaître le gland, puis poussant la nuque jusqu’à faire disparaître la bite. Ce petit jeu dure. C n’a aucun mouvement de refus.

- Lève-toi, maintenant. Et mets les mains derrière la tête. Je vais m’occuper de tes gros nichons. Tu vas aimer ça, ma salope. 

Il commence par les prendre à pleine main, les pétrir, les écraser contre son torse. Je vois des larmes (de douleur ? De honte ?) perler à ses yeux. Pourtant, elle ne se refuse pas. Puis il prend les aréoles rose pâle et les étire. Je ne les ai jamais vues aussi longues. Il les tourne, plus d’un demi-tour.

- Tu aimes ça, hein.

- Oui, Monsieur. 

Il prend deux pinces à linge qu’il applique sur les tétons. Un sursaut, mais rien de plus.

- Fais bouger tes grosses mamelles, petite pute. 

Et C s’applique en faisant tourner sa poitrine. Les pinces à linge gigotent dans tous les sens, étirant douloureusement les pointes de ses seins.

- C’est bien, petite salope. Tu te régales, hein ? Réponds-moi.

- Oui, Monsieur, je me régale. C’est bon.

- Qu’est-ce qui est bon ?

- Quand vous jouez avec mes mamelles, Monsieur. 

Maintenant, il lui assène des claques sur les seins, qui s’écrasent sous les impacts. Quand, sous l’effet d’un coup, une pince se détache, il l’oblige à la remettre en place elle-même.

- Au tour de ta chatte, maintenant. Dis donc, tu es bien poilue. Je n’aime pas trop ça, mais ça a des avantages. 

Et il entortille ses doigts dans les poils pubiens de ma femme. Et il tire, ce qui projette son pubis vers lui. Il la promène ainsi à travers toute la pièce. Elle le suit à petits pas pressés. 

- Écarte les cuisses, maintenant. 

La main du client, grande ouverte, s’applique sur le sexe de C. Puis il lui claque la fente : plusieurs coups rapprochés.

- Et ça, qu’en penses-tu ?

- Ma chatte vous appartient, Monsieur. Vous l’avez payée. J’accepte tout ce que vous voudrez lui faire.

- Bien dit, la pute. Allez, à quatre pattes, face au miroir. Je vais te baiser. 

Je comprends alors que ce client est particulier. C’est Ali qui l’a envoyé pour que je sache à quoi était prête mon épouse. Et il n’avait pas menti : cette séance était beaucoup plus violente, beaucoup plus dégradante que les précédentes. En effet, C participait totalement au délire de son soi-disant client. Quand l’énorme sexe s’est approché de la fente de mon épouse, j’ai ressenti une violente érection. Cela me plaisait, je devais bien le reconnaître. Il l’a baisée dans toutes les positions et cela a duré longtemps. Finalement, il a craché son sperme abondant sur ses seins, son ventre et ses poils de pubis. Mais ce n’était pas encore tout à fait terminé. Il a fait sauter les épingles à linge, qui étaient restées fixées sur les tétons, d’une gifle.

- Assieds-toi sur le bidet que je te lave. 

Bizarre, autant de prévenance après cette séance. Je n’avais pas encore tout vu. En effet, il a lavé C en l’aspergeant de son urine. Celle-ci dégoulinait sur le corps nu de mon épouse, glissant sur les traces de foutre.

- Frotte, salope. C’est bon pour la peau. 

Il est parti. Elle est assise sur le bidet, épuisée par cette séance. Monsieur Ali a quitté la pièce, non sans un ironique : « je te j’avais bien dit ». Je suis hébété. La porte s’ouvre à nouveau. Surprise : c’est Ali.

- Alors Lola, as-tu été une bonne pute ?

- Oui, Maître, je pense.

- Que dirait ton mari s’il savait ça ?

- S’il vous plaît, Maître, ne lui dites jamais rien. 

- On verra, Lola. Pour l’instant, va prendre une douche au fond du couloir. Tu pues la pisse. Tu te remaquilles, tu remets ton harnachement complet et tu t’allonges sur le lit, jambes grandes ouvertes. Un dernier client attend.

- Oui, Maître. 

Ali revient vers moi.

- Tu as compris, j’espère. Tu es son dernier client. Je te donne la possibilité de jouir dans ce con accueillant, parce que bien graissé.

- Non, je ne peux pas faire ça.

- Elle ne te plaît pas ma petite pute ?

- Mais c’est ma femme.

- Plus maintenant. C’est d’abord une pute qui m’appartient. Alors, ou tu la baises tout de suite, ou tu ne la revois plus jamais. 

Le chantage est odieux, mais je ne trouve plus de raison de refuser. En plus, j’en ai très envie.

- Tu la baises par la chatte, vite fait. Puis tu reviens ici et je t’expliquerai la suite. 

Je suis dans le brouillard. La suite, quelle suite ? Je ne peux plus réfléchir. J’ai trop envie de la prendre. Au fait, qui ? C, ma femme ou Lola, la pute. Par la glace, je la vois rentrer. Elle a tout remis : talons, bas, porte-jarretelles, culotte et soutien-gorge. Elle s’allonge sur le lit et écarte les jambes jusqu’à ce que les talons ne le touchent plus. Je n’y tiens plus. Il me la faut. Ali entre le premier.

- Lola, voilà ton dernier client. Tu seras très gentille avec lui et tu le feras bien jouir.

- Oui, Maître. C’est alors qu’elle me voit. Elle se met à trembler de tous ses membres : 

- Non, pas ça ! murmure-t-elle.

- Tu paieras pour ce non, Lola.

- Bien, Maître.

- Implore ton client, Lola.

- Baisez-moi, Monsieur, s’il vous plaît. Mon Maître vous donne ma chatte, dit-elle dans un souffle. 

Ma queue est vite sortie. Je m’installe entre ses fesses et la pénètre. Je sens, sur mon sexe, le sperme des hommes qui m’ont précédé, et cela m’excite encore plus. Quelques allers et retours et j’éjacule dans cette chatte que je pensais connaître et qui s’est révélée toute différente aujourd’hui. Penaud, je m’enfuis me tapir dans ma cachette. Et j’entends Ali. 

- Lola, tu descends au bureau à poil, juste tes talons et ton collier. La laisse est sur le bureau, tu te l’accroches. À côté, tu verras le fouet, pour ta punition. Tu le tiendras dans ta bouche et tu m’attendras à quatre pattes.

- Oui, Maître.

- Bon, le petit mari, je t’explique. C n’existe plus. Donc ta femme n’existe plus. Maintenant, elle est Lola, une des filles de mon cheptel. J’ai de grands projets pour elle. Docile comme elle est, elle va me ramener un max de pognon.

- Mais, et moi ?

- Toi, si tu veux encore la voir un peu, et pourquoi pas la baiser de temps en temps, tu lui diras ceci : C, je te donne à Maître Ali, répète.

- C, je te donne à Maître Ali.

- À partir de ce soir, tu lui appartiens totalement et il peut faire de toi ce qu’il veut.

- À partir de ce soir, tu lui appartiens totalement et il peut faire de toi ce qu’il veut.

- Bien. Tu pourras la récupérer quand je n’aurai pas besoin d’elle, mais tu me l’amèneras dès que je l’aurai ordonné.

- Viens avec moi. 

En bas, je retrouve C, non, Lola. Elle est à quatre pattes, le cul tendu vers nous.

- Petit mari, tu as entendu comme elle a été désobéissante. Pour cela, elle va recevoir le fouet ; dix coups sur les fesses, cinq sur les nichons. Et c’est toi qui vas la corriger. 

Je sens que je ne peux pas refuser. Et en ai-je envie ? Elle me tend le fouet, en levant la tête. Ses yeux brillent. Je fais claquer la lanière de cuir sur ses fesses et je l’entends : « un ». Le fait qu’elle compte les coups me rend fou et je m’acharne sur ce fessier. À « dix », elle se redresse et présente ses seins.

- Ben, dis donc Lola. Il a pas fait semblant. Et toi, le petit mari, tu n’as rien à lui dire.

- C, je te donne à Maître Ali. À partir de ce soir, tu lui appartiens totalement et il peut faire de toi ce qu’il veut.

- Bon, tu la remmènes et tu la soignes. Elle doit être présentable pour les clients.

- Et toi, Lola, garde le plug. Ton cul va devoir servir. Je te laisse une journée de repos. Tu reviens après-demain, à dix-huit heures.

A suivre...

1 commentaire:

  1. Je ne comprends toujours pas le peu d’amour propre du mari.

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