**** Semaine 1 – Lundi ****
- Non, non, non… Me dis-je encore et encore.
Ça doit être un rêve. Je suis toujours allongée dans mon lit et je dors profondément en faisant un cauchemar ! Ça ne peut être réel. La réalité ne peut pas être aussi cruelle ?
Je me pince plusieurs fois, mais ça ne m’aide pas, je ne me suis pas réveillée. Malgré tous mes efforts, je suis toujours assise dans mon fauteuil au travail.
Carlos ORTEGA et les nouveaux stagiaires sont partis depuis longtemps, mais je continue à les imaginer devant moi. Peut-être que je n’ai pas regardé assez attentivement ? Peut-être que c’était juste une ressemblance ?
- NON, NON, NON… Crié-je de colère.
Après l’avoir vu, je l’avais détaillé, ça doit bien être Daniel. Et la manière dont il m’a souri ne fait que confirmer ma présomption. Je n’ai aucun moyen d’y échapper, il faut que je fasse face à cette situation.
J’avais baisé un de nos stagiaires. De tous les mecs du monde il fallait que ce soit un de nos stagiaires. C’est la pire des choses qui puissent m’arriver. Quand je l’ai rencontré c’était juste un nettoyeur de piscine. Merde, comment aurais-je pu savoir qu’il allait être stagiaire dans l’entreprise où je travaille. Ça en est risible. C’est trop ridicule pour être vrai. Nerveusement j’en ris.
Et si Daniel commençait à se vanter de sa conquête sexuelle auprès des autres stagiaires ? Et si ça faisait le tour des bureaux ? Et si mon PDG était mis au courant ? Une fois que la rumeur est lancée, rien ne peut l’arrêter. J’aurais une réputation de salope en un clin d’œil.
Ça deviendrait un énorme obstacle pour ma carrière et ORTEGA l’utiliserait sûrement contre moi. On ne peut pas être responsable d’un département d’un cabinet de conseil si on a une réputation de salope qui couche avec ses employés. Et le prestige du cabinet en pâtirait. Ce milieu est dominé par les hommes. Une femme qui veut réussir doit avoir une réputation aussi pure que de l’eau.
J’ai travaillé dur et j’ai tout donné pour ma carrière. J’ai passé trop de nuits blanches et de week-end pour perdre ma position maintenant. A ce jour, je dois avoir une bonne longueur d’avance sur ORTEGA pour la succession à la tête du cabinet en remplacement de M. O’BANNON. Mais une rumeur comme celle où je baise un stagiaire suffira à anéantir toute chance de devenir le prochain PDG.
Mais peut-être que je m’énerve pour rien. Peut-être que Daniel est raisonnable et ne parlera à personne de notre rencontre. Après tout, je suis un des responsables les plus puissants de l’entreprise. S’il veut réussir son stage, il n’a aucun intérêt à ce que je devienne son ennemi. Il n’est pas aussi stupide non ?
Ces pensées me calment un peu. De toute façon, je n’ai pas beaucoup de temps à perdre. Il me reste beaucoup de travail sur mon bureau. Je dois me préparer pour une réunion avec un responsable de projet.
Deux heures plus tard, je suis dans la salle des photocopieuses en train de faire des copies de mon dossier quand, soudainement, je sens une main sur mon cul. Qu’est-ce que ça signifie ? Je n’ai entendu personne entrer dans la pièce. Je me ressaisis et je me redresse rapidement. Je suis sur le point de crier, mais je reste trop abasourdie pour réagir.
- Salut Miss Allumeuse, je ne savais pas que tu étais ici. Ton poste de responsable te rend encore plus sexy. Tu étais impatiente que je te tapote le cul non ? tu es excitée n’est-ce pas ?
C’est Daniel ! Je reconnais immédiatement sa voix de macho latino. Dès qu’il a murmuré ces mots à mon oreille, il me lâche. Son comportement si présomptueux me laisse si choquée que je ne peux pas réagir. Il me faut un long moment pour surmonter ma surprise et me retourner. J’ai juste le temps de voir Daniel sortir. Il est parti avant que je ne puisse lui parler.
Il me faut encore quelques instants pour me calmer. Quand je sors de la salle des photocopieurs, Daniel est debout dans le couloir en train de discuter avec une de nos secrétaires, Michelle KEELAN.
- Bien sûr Mademoiselle KEELAN, je suis heureux de pouvoir vous aider. Je vais vous faire ces copies, il n’y a pas de problème.
Il parle à la secrétaire comme un étudiant bien élevé. Il la traite comme une dame. Et dire qu’il m’avait appelée une « vieille au cul en feu » et qu’il m’avait traitée comme une chienne. Quel contraste ! Je me sens idiote et je rougis d’embarras. Effrayée, je passe à côté d’eux rapidement et je me précipite vers mon bureau tout en essayant d’oublier ce qu’il s’était passé.
Après le déjeuner, j’ai une réunion importante. Je charge Taylor, l’un des nouveaux stagiaires, d’aller me chercher les dossiers pour cette réunion. Je suis en train d’écrire une lettre quand le garçon entre dans mon bureau pour m’amener les documents. Sans lever les yeux, je lui dis simplement de déposer les dossiers sur le bureau.
Puis soudain, je sens un souffle dans mon cou. Ça ne peut pas être Taylor ! C’est sûrement Daniel ! Encore !
Je suis une fois de plus complètement surprise. Comment ose-t-il ? Je suis énervée. C’est la deuxième fois qu’il franchit la limite. C’est trop ! Je dois le réprimander, je ne dois pas tolérer ce comportement machiste dans mon propre bureau.
Donc cette fois, je ne reste pas figée. Immédiatement je me retourne sur mon fauteuil. Mais Daniel, derrière moi, m’arrête et attrape mes seins. Il me tient fermement en place en serrant mes seins et en appuyant mes épaules contre son torse.
- Hé Mademoiselle ADDAMS, vous voulez vous amuser le week-end prochain ? Je suis sûr que tu veux laisser Miss Allumeuse revenir, n’est-ce pas ? Murmure-t-il à mon oreille.
Il a tort. Je suis furieuse. Ça ne se reproduira plus. Vigoureusement, je lutte contre son emprise jusqu’à ce que je réussisse à me libérer. En me retournant, la colère rougissant mes joues, je jette un regard méchant au jeune latino. Je suis sur le point de le gifler. C’est là qu’avec un sourire effronté il me dit :
- Allez Miss Allumeuse, nous nous sommes bien amusés le week-end dernier non ? Nous avons tous les deux apprécié, alors quel est le problème ?
L’indignation me submerge. Il a raison, du moins partiellement. Le week-end dernier avait été amusant pour nous deux. Je m’étais libérée et j’avais vécu une sacrée aventure. Mais aujourd’hui, la situation est complètement différente. Nous sommes au travail, et ici, je suis une des responsables dans l’entreprise. Alors je réponds sur un ton coléreux :
- Laisse-moi tranquille ! Qu’est-ce que tu fais ici de toute façon ?
Il me répond sur un ton moqueur :
- Dans ton entreprise ou dans ton bureau ? Je joue au football à l’université avec une bourse attribuée par l’ancienne fraternité de ton PDG. C’est un grand supporter de notre équipe. Il était donc plus que ravi que de nous prendre comme stagiaires dans sa société.
Pendant un instant, cette réponse me surprend. A en juger son apparence et son attitude, il peut très bien être l’un de ces sportifs d’université qui sont choyés pour leurs aptitudes physiques et sportives. Sans cela ils ne verraient pas l’université. Cela signifie cependant qu’il est sûrement l’un des protégés de M. O’BANNON. Et qu’il va m’être très difficile de me débarrasser de lui. Toutefois j’essaie de rester ferme et je lui dis :
- Je m’en fiche de ce que tu fais à l’université. Une autre vulgarité comme ça et ton stage est terminé. Tu comprends ça ?
J’essaie de paraître menaçante. Cependant, je ne peux m’empêcher de regarder son corps musclé et en pleine forme. Il le remarque et continue de me regarder avec un sourire narquois. Il ne réagit pas à ma menace.
- Waou, quel est le problème ?
Le jeune latino semble surpris par mon éclat de colère. Il continue :
- Tu sais que tu es un peu exhibitionniste. Tu t’es exposée devant le plombier. Pourquoi ne pas reprendre où nous nous sommes arrêtés ?
Il se tourne et sort de mon bureau en marmonnant :
- Tant pis, tant pis…
Je ne sais pas trop qu’en penser. Je l’ai menacé, mais j’ai l’impression qu’il s’en fout. J’espère que j’ai été suffisamment clair.
Le reste de la journée, je n’ai pas revu Daniel. Je me suis dit alors qu’il avait compris mon avertissement et qu’il allait me laisser tranquille. Cependant je continue à réfléchir à la situation. J’ai presque recommencé à baver à la vue de ce mec musclé. Il est tellement imposant et masculin. Ça me rappelle la raison pour laquelle j’ai voulu le séduire la dernière fois.
Dans un éclair de lucidité, je repousse ces pensées. Il n’est plus un nettoyeur de piscine inconnu. C’est un de nos stagiaires et il vient de me montrer qu’il n’a pas de retenue. S’il ne peut plus me draguer au bureau, il y a de fortes chances qu’il commence à se vanter de notre escapade dans mon jardin. Il faut que je mette un terme à tout cela avant que ça dégénère. Il faut que je reprenne le contrôle avant qu’il ne soit trop tard.
**** Semaine 1 – Mardi ****
Le lendemain, en arrivant au travail, la première chose que je fais c’est de me rendre dans le bureau des stagiaires qui est un espace ouvert avec de simples meubles. Daniel est de nouveau en train de parler avec notre secrétaire pour savoir en quoi il peut l’aider.
- Ce n’est pas un problème Mademoiselle KEELAN, je suis content de faire ça pour vous aider. Je vais remplir ces formulaires et les saisirent.
Une fois de plus, devant la secrétaire, il agit comme un jeune stagiaire désireux d’apprendre. Cela ne rend que plus dégradant le comportement macho qu’il affiche envers moi. C’est moi la responsable ici merde ! Toutefois, j’attends patiemment qu’ils finissent de discuter de tous les détails avant de demander au jeune latino de venir dans mon bureau.
Cinq minutes plus tard, Daniel entre dans mon bureau sans frapper à la porte. Je m’étais préparée pour ce que j’allais lui dire. Je voulais être la plus sévère possible. Je voulais qu’il comprenne que j’étais sérieuse. Alors je lui dis fermement :
- Demain tu seras parti. Ton stage est terminé. Trouve la raison que tu veux, je m’en fiche. Je veux que tu sois parti demain.
Je le regarde avec une expression de fermeté sur mon visage. Il ne dit rien. Au lieu de ça, il se contente de détailler ma tenue. Je suis habillée de façon professionnelle, mais élégante, d’un tailleur jupe noir avec un chemisier blanc et des hauts talons noirs.
Son regard vicieux me fait me tortiller dans mon fauteuil et me fait perdre ma contenance. A mon grand désarroi, un large sourire narquois apparaît sur son visage. Pourtant je ne plaisante pas.
- Oh Mademoiselle ADDAMS, tu es garce aujourd’hui. Toutes griffes dehors hein ? Dit-il moqueur.
Sa réaction me déroute et me laisse un nœud à l’estomac. Ce n’est pas la réaction que j’attendais.
- Je pourrais te traduire en justice pour harcèlement tu le sais n’est-ce pas ? Dis-je menaçante.
Bien que j’essaie de montrer ma détermination, je n’y arrive qu’à moitié. Le jeune latino continue de me narguer :
- Allez, Miss Allumeuse. Même maintenant tu ne peux pas enlever ton regard de mon entrejambe. Tu sais que tu veux ma bite. Pourquoi tu te tortures comme ça ? Je parie que tu mouilles en ce moment.
Je suis de plus en plus déconcertée. Il a remarqué que je suis confuse intérieurement. Il sait l’effet qu’il a sur moi. Il sait à quel point j’ai apprécié notre aventure dans mon jardin.
C’est alors qu’il contourne mon bureau. Debout derrière moi, il pose ses mains sur mes épaules. Je veux les secouer. Je veux qu’il sorte du bureau et de ma vie. Mais, son comportement de macho me tient immobile. La dure femme d’affaires est partie.
- Tu te souviens d’avoir supplié ce plombier de t’enculer Miss Allumeuse ? Demande Daniel en laissant ses mains errer sur mes seins.
Je suis assise sur des charbons ardents. Le contact de ses mains avec ma poitrine a détruit mon esprit, le rendant brumeux. Avec un dernier brin de volonté, je me libère et je m’écarte de quelques centimètres. Il faut que je fasse quelque chose maintenant sinon je ne vais pas pouvoir résister. Alors je grogne plus que je parle :
- Dehors ! Pars maintenant et il n’y aura pas de conséquences.
- Waou, Pourquoi tu te bats autant contre tes envies ? Demande Daniel apparemment surpris.
Soudainement, son comportement change et il devient très sérieux.
- Ok Miss Allumeuse ! Recommençons ! je pensais que ça ne serait pas nécessaire avec une vieille aussi sexy, mais je suppose que tu as besoin de motivations. Je peux partir maintenant ou te montrer quelque chose.
Je suis complètement désorientée et perdue. Je ne sais pas que faire d’autre pour le convaincre de me laisser tranquille. Et pire encore, je ne sais pas comment je vais réagir s’il met encore ses mains sur mes seins. Avant que je ne puisse répondre quelque chose, il sort son téléphone et le tient devant mon visage.
Ma bouche est grande ouverte et mon estomac complètement noué. Je suis sur une photo. Je me vois penchée sur la table de jardin en train d’être enculée. Mon visage est clairement reconnaissable. Je ne peux pas nier. Daniel a du prendre des photos pendant que le plombier me baisait.
J’ai l’impression d’avoir été frappée par la foudre. C’est exactement ce que j’avais essayé d’éviter. Ce petit salaud peut propager des rumeurs sur moi et les prouver avec des photos.
Je suis complètement paralysée en pensant aux conséquences. Il peut utiliser les photos pour me faire chanter ! Il peut les vendre à ORTEGA ! Il peut ruiner ma carrière ! Je ne peux pas laisser cela arriver. Je dois récupérer toutes ces preuves avant de pouvoir faire sortir ce salaud de ma vie. Il me dit alors :
- Je pensais que ça ne serait pas nécessaire d’utiliser ce genre de choses. Je sais que tu as apprécié notre séance de baise, comme moi je l’ai apprécié. Où est le mal de continuer ça pendant quelques semaines ?
Il fait une pause puis il continue :
- Je vois que cette photo te chagrine Miss Allumeuse. Tu ne veux plus la voir n’est-ce pas ?
Je suis complètement brisée. Je ne suis plus la puissante responsable femme d’affaires. J’ai l’impression que l’on m’a arraché les rênes des mains. Assise dans mon fauteuil, immobile, Daniel me montre d’autres images de l’après-midi dans mon jardin : mon corps penché sur la table de jardin avec les doigts du plombier enfouis dans ma chatte, mes seins qui pendent pendant que le plombier m’encule allégrement, Mon trou du cul béant en gros plan après que l’ouvrier ait sorti sa bite.
A chaque image, je suis de plus en plus désespérée. A ma grande honte, chaque photo fait palpiter ma chatte. Même si je déteste cette situation, je regrette d’être assise dans mon bureau, car je ressens le besoin désespéré de passer ma main sous ma jupe pour toucher mon sexe.
J’ai un énorme problème et je n’ai pas de solution facile pour le régler. Honnêtement je ne sais pas que faire. Je n’ai aucune idée de ce que prépare Daniel. Je ne suis pas naïve, il va utiliser ces photos. Mais comment ? Est-ce qu’il va me faire chanter ? A-t-il conscience du danger que ces photos peuvent m’apporter ? Il y a une seule chose dont je suis certaine. Il faut que j’élabore un plan pour lui retirer ses images des mains. Et je dois être intelligente car il ne faut pas qu’il se doute de quelque chose. Mais prenons les choses dans l’ordre ! Pour le moment, je dois m’assurer que Daniel ne fera rien de stupide. Je dois accepter ce qu’il dit jusqu’à ce que j’aie élaboré un plan. Je réussis finalement à bafouiller :
- Qu’est-ce que tu veux ?
- Ah voilà ! Allons droit au but ! Tu as finalement arrêté de te battre. Je peux voir à quel point ces photos t’excitent. Tu n’arrives pas à t’arrêter de te tortiller dans ton fauteuil. Répond le latino.
Puis il continue :
- Il est temps que tu arrêtes de prétendre que tu es une salope coincée. Il est temps que tu redeviennes Miss Allumeuse. Il est évident de voir à quel point cette idée t’excite. Alors trouvons un accord.
Il fait finalement son offre.
- Honnêtement je m’en fous de ta carrière ou de ton travail. Tout ce qui m’importe, c’est de pouvoir utiliser ton joli cul. Donc nous allons continuer nos séances de baise après les heures normales de bureau. Tu pourras continuer à garder ta réputation de femme d’affaires. Tu vas t’assurer que tes collègues ne voient jamais ces photos. Et tu pourras assouvir ton côté vicieux. Pour ma part je vais pouvoir baiser le cul d’une vieille. Tout le monde y gagne.
Son offre me tord le ventre. La pensée que mes collègues voient ces images est horrible. La pensée d’avoir la réputation d’une salope me panique. Au travail, je suis la cheffe stricte et irréprochable, qui s’habille toujours de manière conservatrice pour conserver son autorité sur ses employés. Je ne peux perdre le respect de mes collègues.
Cependant, je dois admettre que l’offre envoie également des picotements dans ma chatte. Daniel a raison. Je me suis conduite comme une allumeuse et j’en ai profité. Je ne peux pas nier que l’idée d’explorer plus avant mon côté exhibitionniste m’excite. Daniel remarque mes pensées conflictuelles. Il dit :
- Tu vois, je te l’ai dit ! Ça t’excite d’être une allumeuse. Tu vas adorer les « soirées après travail » que j’ai planifiées.
« Soirées après travail » ? Quel bâtard présomptueux ! Évidemment il a déjà tout prévu.
Il me semble que ce jeune sportif gâté a besoin d’une tape sur les doigts. Il ne peut pas tout avoir ? Pourtant c’est lui qui a tous les atouts dans les mains. Il a ces photos pour me faire chanter et il sait exactement comment me faire mouiller. J’oscille entre la colère, la résignation et l’envie.
- Tout dépend de toi maintenant Miss Allumeuse. C’est toi qui vas décider de la suite.
Il me dicte mes options :
- Tu veux que je parte ? Alors tu devras vivre avec les conséquences. Tu veux t’amuser encore plus ? Alors tu me retrouves après le travail. Si c’est le deuxième choix je veux que tu me le dises haut et fort avec la phrase « la pute est prête à servir ». Tu as compris ?
Après ces instructions, le jeune latino se retourne et sort de mon bureau. Il me laisse assise là, complètement abasourdie et sonnée. Que diable venait-il d’arriver ? Comment ma vie pouvait-elle être bouleversée à ce point ?
Le reste de la journée, je ne vois pas Daniel et je ne l’entends pas non plus. Mais je n’ai pas la tête à travailler. Je pense nerveusement à mes options encore et encore. Mais il ne faut pas que je me fasse d’idée, je n’ai pas vraiment le choix. Daniel n’a pas clairement dit qu’il allait montrer les photos mais je ne le crois pas. S’il n’obtient pas ce qu’il veut, il le fera. Le plus important est de sauver ma carrière. Je dois donc faire ce qu’il faut.
Toutefois, malgré la colère à propos des images prises à mon insu, il y a une partie de moi qui est ravie dans la perspective de revivre les ébats dans mon jardin. Le plaisir avait été si intense que mon corps voulait plus. Bon sang ! Je commence à être manipulée par mes propres besoins.
Je ne me permets pas de céder à mes désirs ; il y a trop d’enjeux. Je dois divertir Daniel jusqu’à ce que je trouve un moyen de sortir de cette situation. Il ne me paraît pas particulièrement intelligent. Je suis plus intelligente que lui. Il ne devrait pas être trop difficile de déjouer ce voyou macho et arrogant. Je ne devrais pas mettre trop de temps pour mettre fin à toutes ces conneries une bonne fois pour toutes.
Au moment de quitter le bureau, ma décision est prise. Encore quelques secondes où je reste la femme d’affaires inapprochable. Ensuite je vais me placer sous le contrôle d’un de mes stagiaires. Je vais être la puissante responsable au travail et la salope allumeuse après le travail. Cette pensée me provoque une boule au fond de la gorge.
En descendant les escaliers, mes jambes sont tremblantes. Je sais ce que Daniel s’attend à ce que je fasse. Mais je ne sais pas comment l’informer de ma décision. Et s’il se trouve dans le bureau des stagiaires avec tous les autres autour ? Je ne peux pas me résoudre à prononcer ces mots dégradants en public. Bon sang, je ne suis même pas sûre de vraiment pourvoir le faire tout simplement.
Pourtant ma décision est prise. En tant que responsable, je suis habituée à prendre des décisions et à les suivre jusqu’au bout. J’ai décidé de me sacrifier pour sauver ma carrière et je suis bien décidée à aller jusqu’au bout. C’est comme n’importe quel autre projet. Il y avait toujours des problèmes mais jusque-là j’avais toujours réussi à les résoudre. Dans ce cas particulier je prévois de faire la même chose.
Heureusement Daniel n’est pas dans le bureau des stagiaires. Et il n’est pas dans d’autres bureaux non plus. Où diable est-il ? Il attend ma décision non ? Il ne va pas me laisser m’inquiéter ? Ais-je pris trop de temps avant de venir le voir ? Pense-t-il que j’allais lui dire d’aller se faire voir ? Est-il déjà en train de montrer les photos ?
La panique commence à monter en moi alors que je continue à le chercher. Après avoir vérifié tous les bureaux du rez-de-chaussée, je remonte les escaliers pour m’assurer qu’il ne m’attend pas dans mon bureau. Finalement j’abandonne mes recherches. Est-ce que tout est fini avant que ça commence ?
Je quitte le bâtiment avec une sensation de malaise. En sortant, je tombe sur mon homologue ORTEGA qui se tient à côté de la porte d’entrée. Il discute et fume une cigarette avec Daniel.
Je ne sais pas si je dois être contente ou inquiète. J’ai trouvé Daniel. C’est la bonne chose. Il est visiblement en train de devenir ami avec mon rival. C’est la mauvaise chose.
- Quelle prise magistrale ! Une des meilleures performances que j’ai vue ces derniers temps. Vous avez pris le match sur vos épaules et vous avez retourné le cours du jeu.
ORTEGA est en train de louer les talents de joueurs du jeune latino.
- C’est trop d’éloges. Mais merci ! Je fais juste mon boulot pour l’équipe. Répond Daniel.
Bon sang, ORTEGA ressemble à un fanboy. Je n’aime pas la façon dont il traite ce voyou macho comme une grande star de sport. Le garçon est déjà bien assez gâté. Ça va juste lui donner la permission de prendre plus de libertés au bureau. Et ce n’est pas bien pour moi.
Les deux sont tellement absorbés par leur discussion sur le football qu’ils me remarquent à peine. Je ne peux rien faire d’autre que de les rejoindre. Ils m’ignorent simplement et continuent à parler de football. C’est intolérable et ma colère monte contre leur arrogance. Pendant plusieurs minutes, je me tiens à côté d’eux sans savoir quoi dire. Je ne suis pas experte en sport, donc je n’ai pas grand-chose à apporter à la conversation. Mon silence me fait sentir encore plus stupide.
Finalement, ORTEGA termine sa cigarette et dit au revoir. Tandis qu’il se dirige vers sa voiture, Daniel ne bouge pas. Donc je reste debout à côté de lui. J’attends que ORTEGA soit monté dans sa voiture. Je n’ose pas dire les paroles demandées tant que mon rival est à portée de voix. Pendant tout ce temps, Le latino continue de fumer tout en me regardant avec un sourire suffisant collé sur son visage.
Il me laisse mijoter dans mon humiliation. J’aurais préféré qu’il me force simplement à le baiser. Cela aurait été beaucoup plus rapide. Au lieu de cela, je dois m’humilier de plein gré et être gentille avec ce voyou. C’est trop dur !
Finalement ORTEGA est parti. Le moment est venu. Alors je prends une profonde respiration et je me prépare. Mais je n’arrive pas à parler. C’est trop dégradant. Plusieurs fois j’essaie de me lancer, mais les mots ne veulent pas sortir de ma bouche.
Quand Daniel a fini sa cigarette, il attend dix secondes en me regardant me débattre. Puis il commence à s’éloigner. Bon sang, je ne peux pas le laisser partir ! Des milliers de pensées me traversent la tête. Sans plus réfléchir, je prononce la phrase redoutée à voix basse :
- La pute est prête à servir.
Instantanément mon visage devient rouge de honte. Et quelque chose s’est brisé au fond de moi. Je suis consternée par la facilité avec laquelle ce macho m’a fait obéir. Toutefois, Daniel réagit à peine. Il continue simplement de me regarder.
- Tu m’as parlé ? Finit-il par me demander d’un ton hautain et brutal.
- J’ai à peine entendu. Si tu veux me parler tu t’adresses à moi correctement, ok petite salope ?
Il est arrogant et me regarde comme si je n’étais rien pour lui. Il continue :
- Mes copains m’appellent Dan, les filles m’appellent Daniel. Mais les putes comme toi m’appellent Monsieur Daniel.
Je m’étouffe presque en entendant ces mots. Il veut que je lui dise « monsieur ». Pire encore, il veut que je l’appelle Monsieur Daniel. C’est si ridicule que ça en est presque comique. C’est tellement pathétique de s’adresser à quelqu’un de cette façon.
J’ai du mal à avaler la boule qui s’est formée dans ma gorge. Je réfléchis à mon intention de garder ma fierté et ma confiance en moi. Je le sens s’éloigner. Je sais qu’il s’attend à ce que je répète la phrase. Mais cette fois il veut que ce soit haut et clair.
Je ne peux pas perdre plus de temps. Plus nous restons devant la porte d’entrée de la société, plus grand est le risque qu’un collègue sorte et m’entende me dégrader. Cette pensée éclaircit mon esprit. Si l’un de mes collègues m’entend, les photos ne seront plus nécessaires. Ma réputation sera foutue.
- La pute est prête à servir Monsieur Daniel. Crié-je aussi fort que je l’ai osé.
A la seconde où j’ai prononcé ces mots dégradants, j’ai regardé autour de moi pour vérifier si quelqu’un m’a entendu. Heureusement le parking est vide. Pourtant la honte brûle mes joues comme du feu.
- Qu’est-ce que tu veux putain ? Demande Daniel.
Je prends une inspiration. Il me questionne devant les bureaux. Il veut que je le supplie de baiser ici en public.
- S’il vous plaît Monsieur Daniel, pendant tout le temps de votre stage, laissez cette pute vous servir après le travail. Dis-je finalement.
Cependant, le jeune latino semble insatisfait de ma demande. Pendant quelques instants, il continue de se tenir devant moi, les bras croisés, me laissant dans l’ignorance de ce qu’il désire.
- C’est pas bon. Qu’est-ce que tu offres exactement ?
Il ne me laisse pas en paix.
- Je veux que vous me baisiez Monsieur. Je veux sucer votre bite et vous faire jouir tous les jours après le travail. S’il vous plaît, Monsieur Daniel. Dis-je mourante d’embarras.
- C’est mieux sale pute.
Il accepte ma soumission. Puis il continue :
- Continue de te comporter comme ça et nous prendrons vraiment du plaisir après le travail, Miss Allumeuse. Pour commencer, en dehors du bureau tu m’appelleras Monsieur Daniel et toi tu seras petite pute ou salope. Souviens-toi de ça.
Il continue de m’humilier et me dit :
- Maintenant, donne-moi les clés de ta voiture !
Défaite, la tête basse, je lui tends les clés de ma voiture de sport. Puis je le conduis jusqu’à la place où je suis garée. A mi-parcours je me fige soudainement. Je sens une main sur mes fesses. Le latino est en train de les malaxer.
« S’il vous plaît, arrêtez » aurais-je voulu crier. Et si un collègue voyait ce geste indécent en sortant du bâtiment ou en regardant par la fenêtre ? Cette idée me donne la chair de poule. Pourtant, je n’ose pas lui claquer sa main. Mais je ne peux quand même pas rester debout au milieu du parking avec la main de Daniel qui me pelote le cul.
Donc je me force à bouger. Mais la main continue à me caresser les fesses. Gémissante de désespoir, je suis sur le point de supplier ce macho de s’arrêter. Je marche aussi vite que mes talons me le permettent, comme si j’essaie de fuir le contact du garçon.
Bien sûr, sa main reste en place jusqu’à ce que nous atteignions ma voiture de sport. Il ne l’enlève qu’au moment où il se dirige vers le siège conducteur. Je pousse un profond soupir de soulagement lorsque je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et que je vois le parking désert, sans aucune présence de mes collègues. La journée a été assez mauvaise, j’ai quand même un peu de chance.
- Allez chérie, on va faire la fête. Me dit Daniel après être sorti du parking.
Je me remets encore péniblement de l’épreuve du parking et de la peur qui m’a saisie. Mais apparemment le jeune garçon a l’air décidé de continuer de me perturber. Que cela me plaise ou non, je suis embarquée dans de nouvelles épreuves.
Honnêtement, je n’ai pas vraiment réfléchi à la forme que prendraient ces rendez-vous après le travail. Je croyais que nous retournerions chez moi pour finir la journée. Mais, il me semble évident que j’ai sous-estimé la créativité de Daniel. Je lui ai donné tout pouvoir pour les heures après le travail et il est sur le point d’en profiter pleinement.
- Pourquoi n’ajouterions-nous pas un peu de piment à la fête ? S’exclame le jeune latino.
Puis il continue :
- Jouons à un jeu ! Si tu me fais jouir avant que l’on n’arrive chez toi, j’efface une photo. Es-tu d’accord ?
Je le regarde aussi choquée que perplexe. Veut-il que je le suce pendant qu’il conduit ? Nous sommes dans une rue bien animée en fin d’après-midi. Je ne peux pas le faire sans attirer l’attention.
- Qu’est-ce que tu attends pour me répondre petite salope ! Grogne Daniel avec impatience alors que je ne réagis pas.
- Mets tes lèvres sur ma bite avant qu’il ne soit trop tard ! Ordonne-t-il.
Et il ajoute triomphalement :
- Je pensais que les photos étaient très importantes pour toi !
Zut, il a raison ! Son offre est trop bonne pour être rejetée. Une image en moins signifie un souci en moins pour moi. Peut-être vais-je arriver à me débarrasser de ces preuves compromettantes plus rapidement que prévu. Peut-être que ce cauchemar va se terminer plus tôt.
Malgré cette perspective, je le regarde comme une biche prise dans les phares d’une voiture. Je ne me sens plus du tout comme une femme d’affaires importante. J’ai l’habitude d’avoir le contrôle et de donner des ordres. Mais pour le moment, je n’ai plus aucune autorité. Je ne suis rien de plus qu’un jouet aux ordres de Daniel.
Je rassemble toute ma bonne volonté et je repousse ma répulsion. Finalement, je pose ma main gauche sur les genoux du jeune latino. Puis je la remonte et je commence à masser sa queue à travers son pantalon. Tout en faisant cela, je regarde dans la rue. Il y a des voitures partout, la circulation est dense. Daniel conduit au milieu d’une chaussée à trois voies et il roule lentement. Chaque camion ou voiture un peu surélevée a une vue parfaite dans ma petite voiture. Ils peuvent voir clairement ce que je fais.
Mon cœur bat la chamade. Nous roulons depuis un bon moment et nous devions nous rapprocher de son domicile. Je dois le faire. Je dois réprimer ma réticence à le faire. Je ne peux me permettre de me soucier des passants ou des autres chauffeurs. Il y a quelques instants, j’ai supplié ce petit macho de me laisser lui sucer la bite après le travail. Mais je n’ai pas précisé exactement où et quand. Je ne peux pas le décevoir maintenant. Je dois le faire tout de suite.
Ouvrant sa braguette avec mes doigts délicats, je sors sa queue bien dure. Je prends sa bite dans ma main tandis qu’il continue de conduire comme si de rien n’était. Encore une fois, je regarde aux alentours. Il y a un camion juste à côté de nous du côté de Daniel. Si le conducteur décide de nous regarder, il va tout voir.
Mon cœur bat si fort dans mes oreilles qu’il couvre tous les autres sons. Et pourtant je sais que caresser sa queue ne va pas être suffisant pour Daniel. Lentement, je me penche jusqu’à ce que ma tête plane au-dessus de ses genoux. Sa queue est dressée comme un mât. J’ouvre mes lèvres douces. Mais avant de pouvoir poser ma bouche sur son gland, il retire sa queue.
- Tssssss…
Il me gronde comme un enfant :
- Tu veux ma bite ? Tu dois me supplier pour ça !
Il joue avec moi. Il veut que je sente bien la domination qu’il m’impose. J’ai une boule dans la gorge que je dois avaler. C’est déjà assez humiliant de devoir faire une pipe à ce voyou macho dans ma propre voiture en plein jour. Devoir le supplier est pire surtout qu’il faut que je sois respectueuse avec lui. Est-ce que ça va empirer ?
- S’il vous plaît Monsieur Daniel, S’il vous plaît, laissez votre salope sucer votre bite. Dis-je finalement complètement honteuse.
Je me sens réellement soumise et rabaissée de lui obéir comme ça. Et l’appeler Monsieur alors qu’il est plus jeune que moi est avilissant. Ça me donne la chair de poule. Me nommer moi-même comme salope n’est pas mieux. Si quelqu’un m’entendait parler comme ça je deviendrais un objet de risée.
Quoi qu’il en soit, c’est exactement ce que le jeune latino voulait entendre. Quand j’essaie de baisser ma tête et mettre mes lèvres sur sa bite, il me laisse faire. Je tourne la langue autour de son gland tout en caressant sa hampe. Puis lentement, je commence à pousser ma bouche vers le bas tout en levant le poignet vers le haut. Je suce son membre charnu pour l’humidifier.
Je m’applique à lui faire une pipe sensuelle avec ma langue vigoureuse. Mais il ne faut pas que je sois trop agressive car Daniel doit conduire la voiture. Si bien que son gland a tout mon attention.
OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.
Je suis surprise par le klaxon d’une voiture. Frénétiquement, je regarde par la fenêtre. Le camion du côté de Daniel klaxonne en s’éloignant. Je peux voir le visage souriant d’un homme barbu sur le siège passager du camion. Instantanément je rougis d’un rouge profond comme jamais. Je suis tellement gênée. Mais pendant ce temps, un autre camion avec deux types d’âge moyen se glisse à côté de ma petite voiture.
- Allez salope. Fais leur plaisir ! Montre tes nichons ! S’écrie Daniel
- Nonnnn Monsieur ! Réponds-je instantanément en protestant.
Puis rapidement je lui dis :
- S’il vous plaît, Monsieur Daniel ! c’est trop osé, nous sommes en public !
Le jeune voyou me répond simplement :
- Allez petite pute ! Ne sois pas timide aujourd’hui. Nous savons très bien que tu es un peu exhibitionniste. Rappelle-toi comment a apprécié le plombier l’autre jour. Je sais que ces camionneurs veulent voir ta poitrine. Et tu aimes que l’on te regarde.
Il me rappelle mon comportement de salope dans mon jardin.
- Allez, dépêche-toi. Tu veux bien récupérer une photo non ?
Ce sont ces derniers mots qui me font bouger. Je laisse ma veste de costume noir glisser sur mes épaules et mes mains se posent sur mon chemisier blanc. Je défais tous les boutons et j’ouvre les pans du chemisier pour exposer mon soutien-gorge noir. J’attrape les deux bonnets et je les baisse pour libérer mes deux gros seins bien ronds.
TUUUUTTT TUUUUUTT.
Encore une fois, je me mets à trembler. C’est Daniel qui klaxonne cette fois-ci. La conséquence est qu’il attire l’attention de tous les véhicules autour de nous. Toute de suite mon regard se pose sur les deux camionneurs qui examinent ma voiture de sport. Ils me voient avec ma poitrine à l’air.
OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.
Le chauffeur du camion klaxonne en remerciement. Du coup, je me sens vicieuse. J’ai l’impression d’être une pute bon marché. Des inconnus lorgnent mes seins nus. Ils doivent se dire que je suis une grosse pute qui aime exhiber ses charmes en public. Daniel m’ordonne alors :
- Bien salope. Maintenant joue avec tes nichons. Montre comme ils sont gros.
La poitrine à l’air, il n’y a plus de retour possible. Donc finalement je cède et j’obéis autant aux ordres de Daniel qu’à mes propres besoins. Prenant mes seins pleins et amples sur le côté, je les serre ensemble pour les faire gonfler. Le but est de les rendre plus ronds et plus volumineux. Lentement je commence à pétrir la chair de mes nichons avant de donner des coups de langue sur mes tétons durcis.
Mon Dieu, ça me fait du bien ! M’exposer ainsi en public me donne un tel frisson érotique que ça en est embarrassant. Mon esprit devient brumeux et ma chatte commence à me démanger.
- Maintenant suce ma queue, fais-moi jouir Miss Allumeuse. Dit Daniel pour reporter mon attention sur sa bite.
Je sens le regard des camionneurs alors que je me penche sur les genoux du jeune latino et que je reprends sa queue dans ma bouche. Cette fois, j’avale son membre aussi loin que je le peux. Je fais glisser mes lèvres sur les deux tiers de son engin. Puis je commence à bouger ma tête de haut en bas. Je veux qu’il jouisse le plus vite possible.
Je garde ma bouche autour de son gland en faisant tournoyer ma langue. Pendant ce temps, je caresse rapidement son manche épais avec ma main droite et j’utilise ma main gauche pour serrer ses couilles. C’est trop pour Daniel. Sa bite commence à palpiter et une grosse charge de sperme tombe directement dans ma bouche ouverte. Le foutre chaud et visqueux éclabousse mon palais et remplit complètement ma bouche. Il a tellement éjaculé qu’un peu de sperme coule sur les coins de mes lèvres.
Quand je me relève, j’ouvre la bouche pour montrer tout le foutre que j’ai dans la gueule. Je remarque que le camion roule toujours à côté de nous. Les deux camionneurs peuvent voir clairement voir le liquide dans ma bouche et celui qui coule sur mon menton.
J’ai un sursaut d’humiliation mais c’est moins dur qu’auparavant. Je frémis, mon corps réagit avec plaisir d’être le centre de l’attention. J’avale le sperme du jeune garçon et tout en penchant la tête en arrière, j’ouvre la bouche pour montrer que j’ai tout avalé.
OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.
Une fois de plus, le chauffeur du camion klaxonne pour applaudir mes efforts avant de filer à toute vitesse. Dans mon esprit embrumé, je ressens une secousse d’orgueil. Ça me semble irréel. Je viens de faire une fellation à un macho dans ma voiture alors que d’autres personnes regardaient.
- Non, ne fais pas ça ! M’arrête Daniel alors que je commence à refermer mon chemisier blanc.
- Agis comme une salope ! Montre-moi ta grosse poitrine !
Ce salaud me permet seulement de repousser les bonnets de mon soutien-gorge sur mes seins et de fermer juste un bouton de mon chemisier sous ma poitrine. De cette façon, mes gros seins sont poussés vers le haut et sont vulgairement exposés. Mes longs cheveux châtains et raides coulent le long de mes épaules et se posent sur ces monticules charnus et bombés, ce qui les fait paraître encore plus énormes.
A suivre…