Blog de récits érotiques imaginaires et fictifs sur les thèmes de la soumission et de l'humiliation.
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Les tribulations de Béatrice Ch. 02
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Béatrice se retrouve au domicile d'Ahmed.
Béatrice est maintenant sur un petit nuage. Cet homme la fait mouiller terriblement, elle se sent femelle jusqu'au bout des ongles, et elle a même apprécié lorsque l'homme lui a écrasé le sein de sa main puissante. Elle laisse son imagination vagabonder et se voit déjà dans une étreinte torride avec ce bel arabe. Au bout de quelques minutes, Ahmed revient, il se place juste à côté de la blonde, la prend dans ses bras pour la tourner vers lui, et lui annonce :
- Ton cocu de mari s'est barré, on va pouvoir être tranquille, et j'ai très envie de toi...
A nouveau l'homme embrasse la blonde. Cette fois il lui tient la nuque de sa main gauche alors que sa main droite va directement sous la robe. Là, il introduit son index et son majeur joins dans la vulve détrempée, et masse doucement le clitoris avec son pouce. La femme se pâme. Entre l'excitation de ce baiser, les ondes de plaisirs que lui procure son clitoris et les caresses de ces doigts magiques qui fouillent son intimité en dilatant son vagin, elle en sait plus où elle se trouve, ne pense plus aux autres clients et aux trois hommes attablés avec eux et se laisse maintenant aller comme si elle était seule avec son nouvel amant. Dans un souffle, arrêtant un instant son baiser, Ahmed dit à sa proie d'un ton ne supportant aucune contradiction :
- On va chez moi...
Puis il se tourne vers ses amis et annonce :
- Bon ! On lève le camp...
Sans comprendre réellement ce qui se passe et en quelques minutes seulement, Béatrice se retrouve dans la voiture assise à l'arrière entre Ahmed et Aziz. Son amant s'adresse au chauffeur en arabe et la voiture démarre. Dès qu'elle roule, Ahmed remonte la jupe de la blonde et dit suffisamment fort pour que tout le monde puisse entendre :
- J'adore les vieilles salopes comme toi qui ne portent pas de culotte...
Puis il l'embrasse à nouveau. L'atmosphère étrange, l'alcool, l'excitation, tout concourt à mettre la femme dans un état second. Elle sent des mains caresser ses cuisses, son entrejambe, ses seins, mais cette langue qui fouille sa bouche lui donne tant de plaisir qu'elle se laisse faire comme si elle n'était déjà plus qu'un objet de désir.
Peu après, se calant contre la portière, l'homme s'arc-boute pour défaire sa braguette et glisser son pantalon sur ses genoux. Il exhibe sa grosse queue au regard fiévreux de la blonde en jouant avec le membre dans sa main droite. De sa main gauche il attrape la nuque de la femme et la contraint à venir prendre en bouche le sexe déjà impressionnant bien qu'il ne soit pas encore en pleine érection. Puis il ordonne d'une voix dure :
- Suce-moi bien ma petite chérie...
Sans mot dire, Béatrice s'empare, d'une bouche gourmande, de cette bite parfumée. Et, bien qu'elle fasse peu de fellation à son époux, elle se surprend à déguster cette queue qui grossit dans sa bouche.
Aziz, qui a remarqué le manège de cette vieille salope tout au long de la soirée, jette un regard complice à son ami, et comme ce dernier lui adresse un clin d'œil, il s'empare des fesses dénudées de la blonde et les écarte. Puis il se contorsionne sur la banquette pour venir lécher l'anus ainsi offert. Très vite il force le sphincter avec sa langue, tirant de ce fait, de longs râles étouffés de la blonde. Il s'aperçoit que le muscle n'offre que très peu de résistance, prouvant que cette vieille chienne a l'habitude de se faire sodomiser. Il le note mentalement et se promet d'en faire part à ses amis tout à l'heure.
Béatrice est aux anges ! C'est la première fois que quelqu'un la sodomise avec la langue, et elle trouve cela divin. Et puis, la brusquerie de cet homme qui lui tient les fesses n'est pas pour lui déplaire, elle découvre que ce manque de manière ou de savoir vivre, dont n'use absolument pas son mari, est une chose des plus excitantes.
Bientôt la voiture ralentit, tourne à gauche et entre dans la cour d'un petit pavillon à la périphérie de la ville. Le conducteur stoppe le moteur et demande :
- Voilà Ahmed, nous sommes arrivé chez toi, tu nous offre un pot pour finir la soirée ?
- Oui, oui, venez on va jeter un sort à ma bouteille de whisky...
Puis il baisse son regard sur la blonde qui le suce toujours et lui dit :
- Allez viens, on va prendre un pot et après je te fais grimper aux rideaux ma belle...
Toujours dans un état second, Béatrice se redresse et laisse son compagnon sortir de la voiture, puis, à son tour, elle sort en réajustant sa petite robe bleue. L'homme attrape le bas de la robe de sa conquête et lui remonte haut sur le ventre dégageant ainsi sa chatte rasée avant que la pauvre femme ne puisse réagir, puis il lui ordonne :
- Reste comme ça, que mes potes puissent voir ta jolie moule lisse.
Puis il lui prend la main et l'entraîne dans la maison pendant que les trois autres hommes sortent de la voiture et suivent le couple. Tout va trop vite pour la blonde qui se laisse faire. Bien sur de marcher ainsi la chatte à l'air est encore une nouveauté très excitante, mais elle a un peu honte également d'être ainsi exposée aux regards des autres mâles.
Les trois hommes observent en détail les fesses plates qui se dandinent devant eux. Ahmed déverrouille la porte et fait pénétrer sa proie dans le salon. Là, attendant que ses amis arrivent eux aussi, il la prend dans ses bras, se tourne de façon à être face au canapé et l'embrasse à nouveau furieusement tout en frottant sa bite gonflée de désir, mais toujours enfermée dans son écrin de toile, contre la chatte nue et lisse. Très vite et avec habileté, il fait glisser les bretelles de la robe sur les frêles épaules. Béatrice est terriblement excitée, elle sent son sexe mouiller abondamment, un léger frisson parcourt ses jambes, mais le fait que cet homme cherche à lui dénuder la poitrine, si vite et devant ses copains la gène, elle commence à protester doucement en dégageant sa bouche :
- Non... Attends...
- Chut... Répond l'homme tout en continuant à descendre les bretelles sur les bras de la blonde, faisant ainsi apparaître les deux seins qui tombent tout de même un peu et dont les tétons pointent en direction opposée.
Puis il plaque à nouveau sa bouche sur celle de la femme et reprend son baiser avec encore plus de fougue. Les trois acolytes entrent dans le salon et vont s'installer sur le canapé sans perdre une miette du spectacle qui leur est offert.
Lorsqu'il voit que ses copains sont confortablement installés et qu'ils fixent leur attention sur le cul de la blonde, Ahmed dégage sa bouche et fait tourner la pauvre femme sur elle-même pour l'exhiber en pleine lumière à ses amis en disant :
- Voilà les vieilles salopes comme je les aime, pas de soutif, pas de slip, toujours prête à être prise comme des chiennes qu'elles sont...
Est-ce l'alcool, le lieu, l'atmosphère ou l'excitation des mots crus, Béatrice ne pourrait le dire, toujours est-il qu'elle est totalement fière d'être le sujet de tous les regards. Elle dévisage orgueilleusement un à un les visages de ces trois hommes plus jeunes encore que son amant. Ahmed se penche légèrement en avant, attrape la cuisse gauche de la blonde, la tire à lui en la remontant en laissant la blonde sur une jambe, puis il ordonne encore :
- Écarte...
Puis tournant les yeux vers ses amis, il ajoute :
- Elle a une jolie chatte bien rasée cette vieille truie non ?
Il prononce quelques mots en arabe, puis fini par dire :
- Vous pouvez venir toucher, je vous la prête...
- Mais... Commence à se plaindre Béatrice très surprise de l'attitude bizarre de l'homme avant qu'elle ne soit coupée dans son élan.
- Laisse-toi faire, on va te faire jouir comme une reine des milles et une nuits ma salope !
Tout en maintenant toujours la jambe relevée, Ahmed embrasse à nouveau la blonde en lui passant sa main libre dans les cheveux. De longs frissons de volupté passent dans le dos de Béatrice qui ferme les yeux et se laisse pénétrer la bouche par cette langue énervée qui fouille en elle. Ses seins tremblent légèrement et les tétons se dressent comme pour réclamer leur dose de caresses. Bien que sa position ne soit pas très confortable, elle se rend compte qu'elle adore finalement être exhibée dans ces postures obscènes et elle mouille comme jamais au auparavant. Bientôt elle sent une goutte de cyprine qui s'échappe de son sexe détrempée et commence à couler le long de sa jambe droite.
Aziz, qui a déjà eut l'occasion de goûter au cul de la blonde, se décide à intervenir et se lève tranquillement. Il fait les trois pas qui le séparent du couple, puis s'agenouille et vient plaquer sa bouche sur la chatte offerte qui suinte. Très habillement il titille le clitoris avec sa langue tout en passant son majeur droit du sexe à l'anus.
De sentir ces deux langues qui la fouillent intimement provoque des étincelles dans le cerveau surchauffé de Béatrice. Elle perd le peu de conscience qu'elle avait encore quelques secondes avant, et s'abandonne totalement. Elle commence à pousser de petits râles qui viennent mourir dans la bouche de Ahmed qui n'arrête pas son baiser pour autant.
Les deux autres copains qui restent sur le canapé se regardent, et, de concert, se lèvent à leur tour et viennent auprès du trio infernal. Ali commence par tâter d'une main le sein droit de la blonde, et de l'autre il s'amuse à pincer sans ménagement le téton érigé. Moustafa, quant à lui reste devant Ahmed à contempler le spectacle qui lui est offert.
Ahmed, une idée derrière la tête, décide d'arrêter son baiser et s'adresse immédiatement ensuite à son ami Moustafa en lui tendant la jambe gauche qu'il tient toujours :
- Tiens moi ça s'il te plaît.
Le nouvel arrivant ne se fait pas prier et s'empare de la jambe pour la maintenir comme précédemment. Ali profite que la pauvre femme ait la bouche libre pour venir l'embrasser à son tour. Si elle n'était pas si saoule, très certainement qu'elle réagirait, mais dans l'état d'excitation et d'alcoolémie où elle se trouve actuellement, Béatrice, ne se formalise ni d'être traitée comme un objet, ni qu'un autre homme à l'haleine chargée vienne l'embrasser, elle se laisse faire et pousse même un petit cri étouffé lorsqu'elle sent deux doigts s'insinuer dans son rectum.
Ahmed sort de la pièce pendant que Aziz, qui vient de glisser son majeur et son index accolé dans le cul de la femme commence à les pousser le plus loin possible à l'intérieur de l'ampoule rectale. Une fois que ses doigts sont totalement introduits, il commence à les écartés pour dilater l'anus. Pendant toute cette opération, il a continué à s'occuper frénétiquement du clitoris qu'il a toujours en bouche.
Moustafa en profite pour venir à son tour malaxer le sein libre de la pauvre femme en faisant des commentaires salaces en arabe.
Ahmed revient avec son caméscope qu'il est en train de préparer pour filmer les ébats de ses quatre invités. Choisissant de commencer par une petite présentation, il va se placer dans le coin de la pièce qui lui permet d'être en face de la blonde, filme pendant quelque secondes la scène, puis demande en arabe à son ami Ali de cesser son baiser et de tourner vers la caméra le visage de la femme. tout en filmant, et regardant la femme à travers le petit moniteur de son appareil, il commence à dire d'une voix forte :
- Alors vieille salope, t'aimes ça être dans les mains d'arabes non ?
Béatrice, la tête guidée par la main ferme de l'homme qui vient de l'embrasser, a un regard perdu. Elle est toujours sous l'emprise de ses sens en émoi, et elle s'entend répondre, comme si sa voix venait de quelqu'un d'autre :
- Oui...
- On va te prendre comme la vieille chienne que tu es, tu le sais ça, hein ?
- Oui...
- Viens filmer son trou du cul bien ouvert là ! annonce Aziz en arrêtant un instant de s'occuper du clitoris.
Puis il reprend sa succion.
- Comme ça tu aimes bien te faire prendre le cul ma salope ?
- Oui...
- Tu vas voir, on va tous y passer dans ton cul, tu vas te régaler...
Puis Ahmed se déplace pour aller se mettre accroupi derrière la blonde et filmer l'anus toujours occupé par les doigts d'Aziz.
Béatrice n'est plus qu'objet de désir et terrain de jeux pour ces grands enfants vicieux. Sa chair est palpée, malaxée, ses seins sont triturés, pincés, étirés, sa chatte et son anus sont explorés, fouillés. et pourtant, malgré le contraste entre le bien que peut lui faire cette langue habile et le mal de ces mains qui la triturent, elle est folle de bonheur. Autant les caresses apaisantes que les pincements douloureux sont sources de plaisirs. Et ces mots, ces mots si crus, si durs, sans aucune poésie, sans ambages ni douceur, et bien ces mots, eux aussi, participent à cet état d'abandon total dans lequel elle se laisse aller.
- Écartes lui bien le trou du cul que je filme ça en gros plan, Aziz ! Dit Ahmed en cadrant au plus près.
Sans répondre, l'homme fait ce que son ami attend de lui en écartant ses doigts autant qu'il lui est possible et en les faisant lentement ressortir, ouvrant ainsi le sphincter.
- Ah salope, t'as un trou du cul ! c'est un véritable appel au peuple ça ! Tu dois en avoir pris des bites de ce coté là !
Et comme Béatrice ne répond pas, Ahmed donne une tape sur la fesse et demande encore :
- Alors salope ! Tu réponds ? Combien de fois t'es tu faites enculer ?
- Je ne sais pas, finit par balbutier la blonde dans un souffle.
L'homme se remet debout et recule d'un pas tout en continuant de filmer la scène, puis il demande à ses amis :
- Allez me l'allonger sur la grande table...
Aziz retire ses doigts d'un geste brusque et se recule pour se mettre, lui aussi, debout. Ali lâche la jambe et Moustafa prend la main de la pauvre femme et la guide vers la table de la partie salle à manger de la grande pièce. Une fois arrivé devant la table, il lâche la main, prend la femme par dessous les bras et l'assois sur le plateau de bois. Puis il lui ordonne d'une voix bizarre :
- Allonge-toi salope !
En tremblant un peu, car elle n'est vêtue que de sa robe roulée sur son ventre, Béatrice s'allonge doucement sur la table sans que personne n'ait besoin de l'aider, les jambes dans le vide. Lorsqu'elle est allongée, elle entend la voix directive de Ahmed lui intimer :
- Tu vas être notre pute... T'as envies d'être notre pute, hein ?
- Oui...
Encore une fois c'est machinalement que la femme répond. Elle est maintenant totalement déconnectée de la réalité, et seuls ses fantasmes dirigent ses actes.
- Moustafa, place-la qu'elle puisse nous sucer pendant qu'on va la baiser !
Sans ménagement, l'homme qui vient d'être interpellé attrape les cheveux de la blonde et tire dessus pour qu'elle vienne se mettre au bord de la table. Dès qu'elle est en place, il défait prestement sa braguette, et sort sa queue déjà en érection, la porte à la bouche, et, appliquant une pression contre la tête de manière à ce que la femme ne puisse rien faire d'autre que d'ouvrir la bouche, il ordonne :
- Vas-y, suce salope !
Aziz est arrivé entre les jambes de la blonde et vient de recommencer à lui lécher la chatte. Très vite il passe ses bras sous les cuisses écartées et les remontent haut sur ses épaules.
- Voilà une bonne vieille salope qui va nous servir de vide-couilles les mecs ! Annonce Ahmed tout en continuant de filmer.
Cette fois il fait un gros plan sur la queue de son pote que la blonde suce au rythme des coups de langues qu'elle reçoit sur son clitoris. Ali, ne voulant pas rester en dehors du coup, vient se placer à la gauche de son ami Moustafa et sort sa queue à son tour.
- Voilà ma salope, deux bites d'arabe pour toi toute seule, fais les bien bander.
Le ton de la voix de Ahmed en dit long sur sa propre excitation, néanmoins il continue de filmer. Il va se placer de l'autre coté de la grande table et zoome de manière à faire un gros plan sur le visage de la blonde qui vient de passer à la deuxième bite. Enfilant prestement une capote, Moustafa se rend au bout de la table et donne une tape amicale à son complice Aziz en lui disant :
- Laisse-moi la place que je la bourre bien cette pétasse mariée...
L'homme se relève et laisse sa place. Moustafa, s'emparant des cuisses de la blonde, vient placer son gros gland contre la vulve détrempée. D'un sévère coup de rein, il fait pénétrer son membre au plus profond du vagin, arrachant ainsi un cri à Béatrice qui reste tout de même étouffée par la bite qu'elle a en bouche.
- Vas-y mon ami, défonce lui la chatte à cette vieille truie salace...
Ahmed est venu se placer à côté de l'homme qui, effectivement, donne de violents coups de reins comme si il voulait faire pénétrer son dard toujours plus loin. Des paroles en arabe sont échangées, mais la pauvre Béatrice ne peut rien y comprendre. De toutes façon, au point où elle en est actuellement, c'est bien la dernière de ses préoccupations que de savoir ce qui se dit. Elle a l'impression d'être déchirée par cette énorme bite qui va-et-vient en elle à toute vitesse, et elle a bien du mal à continuer de sucer cette autre queue qu'elle a en bouche.
- C'est bon ça hein salope? Une bonne grosse queue qui te remplit bien la chatte, hein pétasse ?
Comme la blonde ne répond pas à Ahmed, ce dernier vient lui pincer le téton gauche tout en continuant à filmer, et ordonne encore :
- Allez, dis-le salope que cette bite te fait plus de bien que celle de ton cocu de mari...
- Aie... Oui...
La voix est toujours étouffée, et entrecoupée de râles sourds.
- Tu vas voir quand Moustafa va te la mettre dans le cul...
L'homme ahane comme un beau diable en limant à grands coups de bites le vagin un rien trop étroit pour son membre. Mais avec la fin de soirée, l'excitation et l'alcool qu'il a aussi consommé sans trop de modération, il fini par jouir dans la capote dans un concert de jurons arabes.
Béatrice n'en peut plus, elle éjecte tant bien que mal la queue qu'elle suçait juste à l'instant encore, et part dans un orgasme fantastique qui lui arrache de grands cris.
A suivre...