Traduction d’un texte de 0131aj
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Sarah se regarde dans le grand miroir. Normalement elle n’aurait jamais porté une robe aussi courte au travail, et elle n’aurait sûrement pas porté les sous-vêtements qu’elle vient de choisir. Mais aujourd’hui il s’agit de la fin de l’année scolaire. Elle a enfin réussi à terminer sa première année en tant qu’enseignante titulaire et elle se dit qu’elle a bien le droit d’être détendue.
Elle est de loin la plus jeune professeure de l’université, et même si elle n’en est pas consciente, c’est elle qui fait tourner la tête des autres enseignants, hommes ou femmes. N’ayant que quelques années de plus que certains de ses étudiants, elle a exactement le même effet sur certains d’entre eux. Mais il n’y a pas que les garçons de dix-huit qui voudraient mieux la connaître, il y a aussi certaines filles. Mais Sarah n’est pas consciente de tout cela.
Elle a encore les cours du matin à assurer avant que les étudiants partent en vacances pour l’été et que le personnel se dirige vers la maison du directeur pour le premier barbecue de la saison. C’est pourquoi elle a choisi cette robe d’été, elle savait qu’elle n’aurait pas le temps de rentrer chez elle pour se changer. Toutefois elle reste consciente de la longueur de sa robe qui arrive à peine à la moitié de ses cuisses lisses. Elle est encore plus consciente de la minceur de ses sous-vêtements, mais elle veut se sentir bien dans sa peau aujourd’hui. Sarah est toujours intimidée par les enseignants plus âgés, donc elle se dit que si elle peut se sentir sexy sous sa robe, ça lui donnera plus de confiance pendant le barbecue.
Elle se regarde une nouvelle fois dans le miroir et elle se sourit. Elle prend ses clés et son sac avant de se diriger vers la porte. Il fait déjà très chaud, même à cette heure matinale et elle est contente de s’être convaincue de ne pas porter sa tenue austère et habituelle de travail. Elle sent la brise chaude sur son visage et elle se réjouit à la pensée d’un été long et chaud.
Le trajet pour aller à l’université est court et elle n’a pas vraiment besoin de prendre sa voiture. Mais elle en aurait besoin plus tard pour se rendre au domicile du directeur et rentrer chez elle plus tard. En arrivant au travail, elle se gare dans son emplacement habituel et elle sort de la voiture. Elle est sur le point de la fermer avec la télécommande lorsqu’elle se rappelle qu’elle a laissé des livres sur le siège passager. Sans réfléchir, elle ouvre la portière et tend la main pour les prendre.
Presque aussitôt elle se rend compte qu’elle a fait une erreur en se penchant en avant. Elle sent sa robe courte remonter sur l’arrière de ses cuisses et exposer ses jambes fines. En même temps, la brise qui avait caressé son visage un peu plus tôt chez elle, revient et retourne le fin coton de sa robe, exposant ses fesses fermes. Pire encore, comme elle avait choisi de porter un minuscule string blanc et que la ficelle s’était nichée entre ses fesses pendant le trajet, si quelqu’un s’était trouvé derrière elle, il aurait pu penser qu’elle était cul nu.
Remettant sa robe d’une main, elle attrape ses livres de l’autre avant de se redresser et fermer la portière. Son visage est rouge à la pensée de cette exhibition par inadvertance. Mais elle est horrifiée lorsqu’elle se retourne et qu’elle voit Thomas WILSON à un mètre d’elle. Son visage prend des nuances de rouge plus profond alors qu’il la regarde en souriant. Et même si Thomas ne dit rien avant de s’éloigner, elle sait qu’il a eu une bonne vue, bien que rapide, sur son fessier apparemment nu.
Thomas WILSON est bien la dernière personne qu’elle s’attendait à voir derrière elle. C’est son dernier jour d’université et il n’aurait pas dû se trouver sur le parking du personnel. Il s’agit d’un des étudiants le plus attirant physiquement de l’université. Mais ce n’est plus un garçon. C’est un homme adulte, beaucoup plus grand et évidemment beaucoup plus costaud que Sarah. Mais il a une mauvaise réputation et l’université est soulagé qu’il parte autant que lui est content de partir.
Le reste de la matinée se passe sans incident, bien que Sarah prenne de plus en plus conscience que son string s’enfonce encore plus entre ses fesses et sa chatte s’humidifie de plus en plus alors que le petit morceau de coton s’accroche à ses petites lèvres.
Maintenant, le dernier cours est sur le point de commencer. C’est le dernier cours de la matinée, le dernier cours de l’année scolaire, mais il s’agit de la classe de Thomas WILSON.
Tous les étudiants sont joyeux et de bonne humeur et Sarah n’a vraiment pas envie de leur demander de se calmer. Elle veut juste que cette dernière heure se passe bien afin qu’elle puisse se féliciter d’avoir accompli sans problèmes sa première année en tant qu’enseignante titulaire. Certains des garçons deviennent de plus en plus bruyants et elle se dit bientôt qu’elle va devoir intervenir avant qu’ils ne dépassent le cap. C’est une grosse erreur qu’elle fait là.
Elle se dirige alors vers l’endroit où un groupe est rassemblé pour leur demander de réduire le volume sonore. Quand elle y arrive, elle voit les garçons se séparer. Elle voit aussi que Thomas est au centre du groupe en train de montrer aux autres une photo sur son téléphone portable. Voulant garder une atmosphère conviviale dans la salle, Sarah demande alors :
- Est-ce que je peux y jeter un œil aussi ?
Thomas a un sourire vicieux, un sourire que seul un jeune homme peut avoir. Il lui tend son téléphone. Sarah est choquée, elle est étonnée que la photo soit aussi claire et elle est choquée de s’apercevoir qu’elle regarde son cul apparemment nu qui sort de sa voiture. Immédiatement son visage devient rouge vif et instinctivement elle redevient l’enseignante sévère qui gronde les étudiants assis devant elle. Elle supprime alors la photo du téléphone. Quand elle le rend à Thomas, celui-ci se rend compte de ce qu’elle vient de faire et commence à être en colère.
Le jeune homme saute sur ses pieds et commence à crier et insulter sa professeure. Comme il la domine, Sarah a peur de son visage rempli de rage et elle se recroqueville juste un peu devant sa fureur. C’est suffisant pour Thomas. Voyant sa chance de pouvoir se venger de l’université, il se tourne vers ses amis et dit :
- Attrapez-la !
Sans hésitation, les autres font ce qu’il demande. Thomas est un chef de bande et ils veulent tous voir plus de cette jeune enseignante sexy que leur ami a photographié ce matin, cul nu.
Sarah lutte, mais elle n’a pas la force de tous ces garçons. Elle se retrouve bientôt jetée sur son propre bureau. Ses longs cheveux l’aveuglent alors qu’elle balance la tête d’un côté à l’autre en leur criant de la libérer.
- Quelqu’un peut faire taire cette salope ? Entend-elle.
Une main charnue est placée fermement sur sa bouche, réduisant ses cris en gémissements. Puis ses yeux sont bientôt couverts par un morceau de tissu sale. Elle ne peut plus voir qui participe à cet évènement. Commençant à se sentir assez effrayée par la tournure des choses, Sarah essaie de se relever, mais ses bras sont à nouveau saisis et attachés à deux pieds de son bureau. Maintenant, avec seulement ses jambes libres, elle essaie de donner des coups de pieds à ses assaillants invisibles. Mais ses jambes sont aussi rapidement attachées. Sarah commence vraiment à avoir peur alors qu’elle est allongée sur son bureau, à la merci de ses étudiants.
Quand la main est retirée de sa bouche, elle essaie alors de se sortir de cette situation difficile en essayant de raisonner le principal instigateur.
- D’accord Thomas, tu t’es bien amusé ! Maintenant, laisse-moi partir et nous n’en parlerons plus !
- Je n’ai même pas commencé à m’amuser mademoiselle. Vous me devez une photo.
- Que veux-tu dire ? Demande Sarah, terrifiée.
Elle sait exactement ce qu’il veut dire, mais elle ne veut pas y penser. Elle sent sa robe courte sur ses cuisses lisses et elle sait qu’il ne faudrait pas la remonter beaucoup pour exposer son string à toute la classe. Son visage est rouge d’embarras et elle se sent rougir encore plus quand elle sent quelqu’un, probablement Thomas, se pencher sur elle et commencer à déboutonner le haut de sa robe d’été.
- Non, s’il vous plaît, ne faites pas ça ! S’il vous plaît, laissez-moi partir !
- Si vous ne vous taisez pas mademoiselle, nous allons vous ferons taire et, je vous le promets, vous n’aimerez pas ça !
Ne sachant plus si elle est plus effrayée qu’humiliée, Sarah ferme la bouche et se tortille d’embarras alors qu’elle sent les boutons sur ses petits seins s’ouvrir, exposant ainsi son petit soutien-gorge aux yeux de ses étudiants.
- Waouhh ! Regardez ces magnifiques seins ! Je dois prendre une photo.
Sarah reconnaît la voix. C’est celle de l’une des filles les plus calmes de la classe. Ça ne peut être Marie, une fille dont on ne sait même pas si elle est là à moins de l’avoir noté dans le registre de présence. Sarah entend beaucoup d’agitation autour du bureau alors qu’elle est allongée dessus, complètement à la merci de ses étudiants. Elle se rend compte à leurs commentaires qu’ils ont tous leur téléphone et qu’ils prennent des photos de ses seins qui ne sont couverts que par le plus petit soutien-gorge qu’elle ait jamais acheté. Mais il s’agit avec son string d’un petit ensemble assorti dans lequel elle se sent très sexy lorsqu’elle le porte. Toutefois, aujourd’hui, elle se sent terriblement exposée et elle regrette le jour où elle l’a acheté et encore plus la décision de le porter ici.
Alors qu’elle sent que d’autres boutons sur le devant de sa robe sont ouverts, elle secoue la tête et implore une fois de plus.
- S’il te plaît Thomas, tu dois arrêter maintenant. Je peux encore oublier tout ce qui vient de se passer, mais tu dois arrêter maintenant. Et vous devez supprimer toutes vos photos.
- Je vous avais prévenu mademoiselle ! Ne dites pas que vous n’avez pas été prévenue ! Diane, as-tu quelque chose pour la bâillonner ?
Diane n’est pas une étudiante tranquille. Il s’agit de la plus grosse salope de l’université. Sarah avait toujours été intimidée par cette fille, même si elle n’était qu’une élève.
- J’ai exactement ce qu’il te faut !
Ce sont les mots de Diane. Sarah se demande ce qui se passe quand elle entend un rire nerveux de la part des autres filles. Elle ne peut pas savoir que Diane vient de remonter sa jupe courte et retire sa culotte, la même culotte imbibée du sperme de Thomas qui l’a baisée avant les cours ce matin.
Quelqu’un pince le nez de Sarah pour l’obliger à ouvrir la bouche pour respirer. Puis Diane fourre sa culotte sale dans la bouche de la jeune enseignante. Elle s’assure bien que le tissu imbibé de foutre se trouve contre sa langue. Ainsi elle est sûre que Sarah a bien le goût du sperme mélangé à son jus. La professeure a des hauts le cœur, elle ne sait pas trop quel est ce goût et elle ne veut pas trop y penser. Diane, n’étant pas mince, sa grosse culotte remplit la bouche de Sarah et la rend silencieuse.
L’enseignante est sur le point de pleurer, mais une nouvelle humiliation lui est infligée. Alors que les derniers boutons de sa robe sont enlevés, elle sent que l’on ouvre les deux côtés. Elle se trouve encore plus vulnérable. Il y a des petits cris parmi la foule d’étudiants alors qu’ils jettent tous un œil sur sa petite culotte. Un des garçons dit alors :
- Quelle salope, regardez, sa culotte est trempée !
Sarah sanglote sous son bâillon. En effet, sa chatte dégouline et elle réalise qu’elle ne s’est jamais sentie aussi excitée. Chaque humiliation infligée par ses élèves semble l’exciter encore plus. Maintenant elle sait qu’ils connaissent la vérité. Sa chatte est humide, sa culotte est trempée et elle sait très bien qu’ils peuvent tous voir les contours de ses petites lèvres rasées à travers le coton fin rendu transparent par son jus.
- Tout le monde voit bien ça ! Demande Thomas.
Sarah sait qu’ils prennent de nouvelles photos avec leurs portables, des images qui vont montrer ses sous-vêtements sexy et sa chatte humide de salope. Pourtant, plus ils l’humilient et plus elle est excitée. Elle ne sait pas à quel point elle aurait pu être dégradée si la sonnerie n’avait pas annoncé la fin du cours à ce moment-là.
- Eh bien, il est temps pour nous de partir maintenant. J’espère mademoiselle que vous passerez un bel été, et rappelez-vous, si jamais vous parlez à qui que ce soit de cette histoire, les photos se retrouveront sur internet avant même que la police nous arrête. Alors réfléchissez bien avant de faire quoi que ce soit de stupide.
Sur ces mots, Thomas et le reste des étudiants la laissent à son sort. En fait Sarah s’était un peu détendue en entendant la sonnerie, elle pensait que ça signifiait la fin de son tourment. Mais son humiliation n’est pas terminée. Elle écoute les élèves quitter sa salle de cours et elle sait qu’ils ont laissé la porte ouverte. Elle aurait du les supplier de la libérer, mais c’est trop tard maintenant. Elle est laissée exposée et attachée à la merci de quiconque la retrouvera. Elle ne peut même pas crier à l’aide, car Diane, manifestement, avait décidé qu’elle n’avait plus besoin de sa culotte sale.
Au bout de quelques instants, les bruits des étudiants qui s’éloignent s’éteignent. Mais soudain, elle croit entendre quelque chose provenant de l’embrasure de la porte. Son corps sursaute et elle essaie de tourner la tête pour découvrir la source du bruit. Puis tout d’un coup, elle entend la porte se fermer et être verrouillée. Des pas s’approchent d’elle et elle sent quelqu’un s’accroupir à côté de sa tête. Une voix menaçante lui murmure à l’oreille :
- Vous me devez encore une photo, mademoiselle.
Sarah lutte contre ses liens qui la maintiennent attachée sur son propre bureau. Elle sait qu’elle ne peut rien faire, mais elle lutte toujours en essayant de cracher la culotte sale de Diane. Sa chatte est de plus en plus humide sous son string.
- Je crois que nous pouvons nous débarrasser de ce bandeau, non ? Demande Thomas.
Il a un sourire insolent en libérant ses yeux. Elle lutte un moment avec la lumière, puis elle se concentre sur l’étudiant penché sur elle. Elle veut essayer de parler, le supplier de la libérer, mais il se contente de rire.
- Je ne peux pas comprendre ce que vous dites, mademoiselle. Mais par contre, je veux que vous me compreniez. Je suis en colère que vous ayez supprimé ma photo de votre jolie cul. Alors maintenant, vous devez me rembourser. Et avec des intérêts.
Sarah a peur de ce que peut signifier « avec des intérêts », mais elle pense qu’elle va le savoir bientôt. Et elle a raison. Thomas sort son téléphone et le met en mode vidéo. Il va s’assurer qu’elle paie pour ce qu’elle a fait, et il aura encore de meilleurs souvenirs de son dernier jour à l’université.
- Commençons par ton visage, d’accord ? Je veux m’assurer que tout le monde sache exactement qui est la salope qui a permis à ses élèves de l’attacher à son bureau avant de les laisser prendre des photos coquines de son corps. Ne détournez pas la tête mademoiselle !à
Sarah secoue la tête afin que ses cheveux recouvrent son visage et cache son identité, mais son bourreau n’est pas d’accord. Il attrape ses longs cheveux à pleine main et il tourne Sarah ver son téléphone, s’assurant que son visage taché de larmes soit bien visible et filmé. Puis il relâche la chevelure et descend le long de son corps tremblant.
La pauvre enseignante ne peut que rester allongée, et honteuse alors que l’étudiant passe son téléphone sur chaque centimètre carré de son corps. Il prend son temps en passant des seins au ventre plat, puis sur son entrejambe. Il filme alors avec soin les petites lèvres sensibles de sa chatte clairement visibles à travers le coton humidifié de sa culotte.
- Très bien mademoiselle, très bien. Je pense que j’appellerai cette vidéo « La professeure apprend une nouvelle leçon ». Maintenant qu’allons-nous faire ? Ah oui je sais, faisons un cours d’anatomie !
Sarah a honte, elle est mortifiée, mais aussi tremblante de désir. Et puis elle est terrifiée. Elle se demande ce que son élève veut dire, et elle crache presque la culotte dégoûtante de Diane quand elle voit Thomas sortir un couteau.
- Ne vous inquiétez pas mademoiselle, je ne vais pas vous faire de mal. Je veux seulement voir ce que vous cachez sous ces sous-vêtements sexy.
Arrivant enfin à pousser son bâillon avec sa langue, Sarah supplie :
- Non Thomas, s’il te plaît, ne fais pas ça. Je suis ta professeure, tu ne devrais pas me regarder de cette façon. S’il te plaît, ne me touche pas !
Ignorant ses plaintes désespérées, Thomas glisse son couteau bien aiguisé sous la fine lanière entre les deux seins et tire une seule fois. Le couteau coupe le tissu avec facilité et Sarah sent que son soutien-gorge se détache de sa poitrine. L’étudiant sourit, presque gentiment, en balayant d’une main le morceau de dentelle qui recouvrait à peine ses seins. Puis il recule pour admirer son travail.
- Vous n’êtes plus ma professeure, mademoiselle. Je viens de quitter l’université. Je pense que je ne devrais plus vous appeler « mademoiselle », non ? Comment vais-je vous appeler à la place ? Sarah ? Non ? Que diriez-vous si je vous appelle « salope » ou « petite pute » à la place ? Je pense que ces termes conviendraient à la façon dont vous vous êtes habillée aujourd’hui.
Comme Sarah ne répond pas et secoue simplement la tête de désespoir, Thomas continue :
- Vous appréciez ça, non ?
Ne sachant que dire, elle murmure :
- Non !
- Non ? Alors pourquoi vos tétons sont si durs ? Vous mouillez alors que vous êtes allongée là pendant qu’un jeune homme vous déshabille et joue avec vous ? Continuons, d’accord ?
Sarah ne peut rien faire d’autre que de rester allongée et accepter son destin, le visage rouge et son esprit rempli de honte. Elle peut sentir le poids de son regard alors que ses yeux se déplacent le long de son corps, sur ses seins nus, sur son ventre et sur ses jambes attachées. L’étudiant s’approche d’elle et elle peut sentir sa bite dure se presser contre sa chatte à travers son pantalon. Elle est contente d’avoir toujours sa culotte, même si elle est minuscule et trempée. Elle prie pour qu’il s’arrête là et lui épargne l’humiliation ultime. Mais elle connaît assez bien Thomas pour savoir qu’il se moque d’elle.
Comme s’il lisait dans ses pensées, le jeune homme fait un pas en arrière et sort son couteau de nouveau. Le glissant sous la lanière du string, il le coupe d’un côté puis de l’autre et arrache le minuscule string du corps tremblant. Mettant le tissu mouillé dans sa poche de jean, il la regarde. Sarah ne s’est jamais sentie aussi humiliée et honteuse. Mais Thomas n’a pas encore fini.
Il range son couteau et reprend son téléphone. Il passe de nouveau en mode vidéo et recommence à la filmer en commençant pas son visage, continuant sur les tétons engorgés jusqu’à sa chatte rasée. Tenant le téléphone d’une main, il passe un doigt de l’autre le long des petites lèvres humides puis il l’insère lentement avant de le retirer et de le filmer en gros plan. Il veut s’assurer que l’on voit bien le jus intime de Sarah dessus.
Celle-ci sent que sa chatte la trahit en devenant de plus en plus humide à chaque minute de son humiliation. Mais c’est lorsque que Thomas lui montre ce que ça lui fait qu’elle a vraiment peur. Il revient près de son visage et sort sa bite. Elle fait bien vingt centimètres de long avec une épaisseur de cinq centimètres. L’étudiant attrape les cheveux noirs de son enseignante et lui tourne le visage. Sarah ne peut rien faire pour l’empêcher de barbouiller ses lèvres étroitement fermées avec la goutte de liquide pré-éjaculatoire dégoulinant du gland.
- Lèche salope ! Lèche ma bite ! Regarde-moi pendant que tu le fais et alors je pourrais peut-être supprimer tout ce qui est sur mon téléphone.
Sarah déteste être forcée dans cette position, mais s’il y a la moindre chance qu’elle puisse échapper à ce cauchemar et que son identité reste cachée, il faut qu’elle la saisisse. Regardant le garçon droit dans les yeux, elle lèche le bout de sa bite. Thomas gémit et baisse les yeux vers son ex-professeure soumise.
- C’est bien salope, mais maintenant il est temps de me sucer. Ouvre grand !
Sarah frissonne à chaque fois qu’il la traite de « salope », mais elle ne peut pas l’empêcher de faire. Elle rougit à la pensée que quiconque la verrait sucer la bite de ce jeune garçon l’appellerait aussi une salope. Thomas pose sa queue sur les lèvres douces et s’enfonce presque jusqu’au fond de sa bouche. Il n’y a aucune tendresse. Il ne l’aime pas, il la baise et elle ne peut pas l’empêcher de faire ça non plus.
Très vite elle sent le gland gonfler dans sa bouche et elle sait qu’il ne va pas tarder à jouir. Effectivement elle regarde son corps se tendre et sa bite exploser dans sa bouche, le sperme chaud frappant le fond de sa gorge et coulant vers le bas. Elle pense qu’il ne va jamais s’arrêter alors que sa bouche se remplit de foutre salé jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus avaler et qu’il commence à couler le long de son menton. Le garçon doit savoir quand va venir sa dernière giclée, car il sort de sa bouche et gicle son foutre sur son visage pour la marquer comme la salope qu’elle vient de devenir.
Il reste là, sa bite dégoulinante à quelques centimètres de son visage, et, une fois de plus, il sort son téléphone. C’est la meilleure photo, sa jeune professeure allongée sur son bureau, la bouche ouverte, son foutre dégoulinant sur son menton, et son visage strié d’un filet de sperme blanc de façon évidente. Sarah supplie une nouvelle fois.
- S’il te plaît Thomas ! Tu t’es bien amusé, alors s’il te plaît, laisse-moi partir. Et tu as promis de supprimer les photos et les vidéos.
- Non salope, je ne crois pas avoir promis quoi que ce soit. De plus, ça a une valeur inestimable. C’est mon assurance que tu n'impliqueras pas la police. Maintenant, sois une bonne fille et reste-là tranquillement.
Juste pour s’assurer que Sarah reste tranquille, il replace le bandeau sur ses yeux et lui fourre une fois de plus quelque chose d’humide dans sa bouche. Elle sait que ce n’est pas la grosse culotte de Diane, car c’est beaucoup plus petit. Mais ça a un parfum et un goût familier. Sarah se remet à sangloter quand elle réalise que son ex-élève vient de la faire taire avec sa propre petite culotte. Le goût qu’elle reconnaît est celui de son propre jus de chatte qui a imbibé le tissu avant qu’il l’enlève. Pensant que sa situation ne peut pas être pire, elle entend Thomas ouvrir la porte et s’en aller, la laissant à son sort , la porte ouverte, n’importe qui pouvant la trouver dans cette posture.
Elle commence à perdre toute notion de temps, consciente seulement qu’elle va être en retard pour le barbecue du directeur, si jamais elle y arrive. Elle commence alors à penser qu’elle ne sera jamais libérée de ce cauchemar lorsqu’elle entend quelqu’un dans l’embrasure de la porte de sa classe. Elle veut tourner la tête et voir qui est là, le supplier de la détacher, mais avec le bandeau et le bâillon elle en est incapable.
Puis elle entend la personne entrer dans la pièce et fermer la porte. Elle est soudainement soulagée, car elle est sur le point d’être libérée. Elle se dit qu’elle ne sera jamais en mesure d’exprimer suffisamment sa gratitude à son libérateur. Puis elle entend la clé de la serrure tourner une fois de plus. Pour Sarah, cela devient subitement inquiétant.
Le tour de clé a claqué fortement dans le silence de la pièce. Sarah s’imagine alors qu’elle ne va pas être détachée, qu’un autre homme, ou un étudiant, va l’utiliser et la maltraiter une nouvelle fois. Puis elle prend conscience de l’odeur de parfum qui se dégage de la personne. Elle se détend en comprenant qu’il s’agit d’une femme et non d’un étudiant. Il s’agit du parfum d’une femme mûre, sophistiquée, délicate. Sous son bâillon, Sarah commence à dire « merci ». c’est alors qu’elle sent la main de la femme sur sa cuisse nue.
Elle sent la personne changer de position. Elle a l’impression que la femme se met à genoux. Une fois de plus, Sarah essaie de se détendre en imaginant que la personne va d’abord lui détacher les chevilles bien qu’elle aurait souhaité qu’elle commence par le bandeau et le bâillon. Elle veut voir qui vient la sauver et elle veut pouvoir la remercier. Une fois encore, elle pense qu’elle ne sera jamais capable de remercier suffisamment la femme, mais elle essaiera.
En fin de compte la femme ne s’est pas agenouillée pour retirer les liens des chevilles de l’enseignante. Elle a une autre idée en tête. Elle se lèche les lèvres en se félicitant que sa nouvelle meilleure amie lui soit présentée de cette manière. Elle convoite Sarah depuis que la professeure a rejoint le personnel de l’université et maintenant elle a l’occasion parfaite pour réaliser ses rêves. Elle sourit quand la captive sursaute alors qu’elle embrasse ses cuisses lisses l’une après l’autre.
Le filet de sperme sur le visage de Sarah est très évident et il raconte son histoire. Elle n’est pas la première personne à trouver l’enseignante dans cette position difficile et elle se demande si c’est un autre membre du personnel qui a éjaculé sur le visage de son amie. Ou peut-être est-ce Thomas WILSON qu’elle a vu quitter l’établissement longtemps après le départ des autres étudiants. La femme se demande s’il aurait eu le courage de faire ça. Mais une chose est sûre, le mâle inconnu n’était pas le seul à être excité. Quand elle se penche plus près de la merveilleuse chatte de Sarah, elle peut facilement sentir l’arôme d’excitation qui s’en dégage. Elle se demande si son « partenaire » précédent l’a faite jouir.
Sarah est désespérée maintenant. Avec beaucoup d’efforts, elle réussit enfin à pousser la culotte hors de sa bouche avec sa langue. C’est plus facile, car son string est beaucoup plus petit que la culotte sale de Diane. De toute façon l’important est qu’elle puisse parler à nouveau. Elle avale de l’air dans sa bouche sèche, lève la tête du bureau et supplie son nouvel agresseur :
- S’il vous plaît, qui que vous soyez, s’il vous plaît, laissez-moi partir ! Vous n’êtes pas obligé d’enlever mon bandeau, Détachez-moi simplement les mains et je ferai le reste. S’il vous plaît, laissez-moi partir !
Mais l’autre femme est obnubilée par une seule chose, goûter la chatte de Sarah. Elle recommence à embrasser les jambes de la prisonnière, de haut en bas, en s’assurant de ne pas trop se rapprocher de sa véritable cible. Sarah commence à se tortiller sous la bouche insistante. Elle peut sentir sa chatte s’humidifier une nouvelle fois et elle se demande si son corps va vraiment la trahir.
Soudain elle sent un nouveau baiser. Il se pose là où elle le désirait et où elle le redoutait à la fois. Ces lèvres inconnues se posent sur le bas de sa fente humide et remontent jusqu’en haut, où se trouve son clitoris. Un frisson traverse tout son corps. Elle comprend alors que cette femme a envie de la taquiner, de la tourmenter et qu’elle n’a pas l’intention de la libérer.
- S’il vous plaît, je ne sais pas qui vous êtes, mais vous devez savoir que je suis une enseignante ici et vous ne devez pas me faire ça. S’il vous plaît, relâchez-moi et je ne dirais rien à personne.
En réponse, les lèvres chaudes se posent de nouveau sur ses cuisses lisses et voyagent de haut en bas, évitant sa petite chatte désespérée. Sarah comprend que l’autre femme n’est pas une novice, qu’elle a déjà dû jouer avec une personne de sexe féminin. Elle sait exactement ce qu’elle fait. La jeune enseignante ne peut empêcher son corps de se tortiller sur son bureau alors que les baisers finissent par se rapprocher de plus en plus de son intimité. Finalement, quand elle sent les lèvres douces se poser sur ses petites lèvres mouillées, elle ne peut faire rien d’autre que de soupirer de plaisir. Lorsque la bouche de la femme atteint son clitoris gonflé une seconde fois, instinctivement, Sarah lève ses hanches à sa rencontre.
La femme enroule ses bras autour des cuisses de Sarah pour la rapprocher de sa bouche gourmande et finalement, elle commence à lui lécher la chatte avec une passion que la professeure n’a jamais ressentie auparavant. Le sentiment de pouvoir sur l’enseignante attachée est enivrante, et alors qu’elle fait courir sa langue de haut en bas sur le sexe de Sarah, elle sait que la jeune captive apprécie ce traitement tout autant qu’elle. Alors qu’elle commence à enfoncer légèrement sa langue entre les petites lèvres ouvertes de Sarah, elle sourit alors qu’elle entend celle-ci gémit d’un plaisir incontrôlé. Toutefois, même si elle aurait aimé prolongé la torture, elle sait qu’elle doit se préparer pour le barbecue. Alors elle décide d’activer les choses.
Sarah ne peut rien faire contre les réactions de son corps. Elle est attachée à son bureau et elle ne peut pas se libérer pour échapper à la langue qui la conduit à de nouveaux niveaux de plaisir. C’est quand la femme inconnue commence à se concentrer sur son clitoris que Sarah sent ses hanches se soulever du bureau pour se plaquer contre la bouche entreprenante. Elle se met à gémir et hurler alors que le plaisir la submerge, vagues après vagues. Elle ne peut pas arrêter cette langue et elle ne le veut pas non plus, car elle s’active sur son clitoris et Sarah sait qu’elle va bientôt jouir.
Sarah sait qu’elle va jouir là, sur son propre bureau, dans sa propre salle de classe à cause d’une langue et d’une bouche d’une femme qu’elle ne peut même pas voir. Ses doigts se resserrent sur les côtés du bureau alors qu’elle crie de plaisir quand son orgasme la terrasse violemment. Mais la langue ne s’arrête pas, alors elle jouit encore et encore. La langue continue alors qu’elle commence à faiblir et que son corps se détend enfin.
Alors que sa respiration revient lentement à la normale et qu’elle est sur le point de supplier une nouvelle fois qu’on la libère, la femme inconnue donne un dernier coup de langue et un baiser sur son clitoris avant de se lever. Elle embrasse légèrement Sarah sur la joue. Avant que celle-ci, épuisée, ne puisse dire quoi que ce soit, elle entend la porte s’ouvrir une fois de plus. L’enseignante comprend qu’elle est de nouveau toute seule.
Sarah reste allongée là, certaine que son corps vient de subir le plus gros orgasme de sa vie. Elle commence à se rendre compte une fois de plus qu’elle reste exposée à d’autres personnes qui passeraient par là. La personne suivante toutefois ne reste pas silencieuse :
- Que diable se passe-t-il ici ?
« Oh non » pense Sarah. La journée peut-elle être pire ? Que fait encore le directeur ici ? Il devrait être parti depuis longtemps et s’assurer que son barbecue soit prêt. Elle frissonne d’embarras quand elle comprend qu’il regarde son corps nu. Elle est sûre qu’il est capable de voir à quel point les lèvres de sa chatte sont engorgées. Elle est sûre qu’il va voir qu’elle vient de jouir.
Immédiatement l’homme arrache le bandeau. Sarah ne peut pas dire si son visage exprime de la colère ou de la perplexité. Sans dire un mot, il lui délie les bras et les jambes avant de l’aider à s’asseoir. Elle rougit quand elle le voit fixer ses petits seins, ses tétons toujours dressés, et elle a honte en voyant les traces de son propre jus sur le haut de ses cuisses. Enroulant sa robe autour de son corps, elle se force à lever les yeux et à le regarder.
- Je n’ai pas le temps de m’occuper de ça pour le moment. Nous sommes tous les deux en retard pour le barbecue et ma femme va se demander ce que je fais. Heureusement pour vous, je fais toujours le tour de toutes les classes le dernier jour de cours. Maintenant essayez de redevenir décente, je vais vous attendre dans ma voiture. Non, je n’ai pas le temps de discuter. Mes invités m’attendent et vous en êtes une. Voilà, si vous voulez donner des cours ici l’année prochaine, faites ce que je vous dis et retrouvez-moi dans cinq minutes dans ma voiture.
Le trajet en voiture jusqu’à la maison du directeur se passe dans un silence total. Visiblement il est en colère contre elle et Sarah est trop gênée pour même le regarder. Elle est assise sur le siège passager, recroquevillée et reconnaissante que son patron ne dise rien. Elle semble parfaite, à part un détail. Son dernier agresseur avait visiblement décidé de garder sa culotte en souvenir. Sarah est bien consciente de ses fesses et de sa chatte nues sur le siège en cuir froide de la voiture du directeur. Elle espère que sa chatte ne laisse rien couler et qu’elle ne laissera pas une flaque sous elle que l’on pourrait voir quand elle sortira.
Lorsque qu’ils arrivent dans sa grande maison, le directeur rejoint directement ses invités et assume son rôle d’hôte. Sarah est forcée de bavarder avec le reste du personne. Elle se rend compte que de porter sa robe courte était une mauvaise idée, car elle se retrouve nue en dessous. Les professeurs masculins ainsi que une ou deux femmes semblent s’être rendu compte qu’elle est mal à l’aise. Ils deviennent de plus en plus entreprenants au fur et à mesure que la boisson fait fondre leurs inhibitions.
Après quelque temps, le directeur les rassemble pour faire son traditionnel discours de fin d’année scolaire. Il commence à passer en revue tous les points forts de l’année, puis il poursuit en souhaitant à tous de bonnes vacances et qu’ils reviennent tous en forme pour la prochaine année. Sarah est sur le point de croire que sa journée de cauchemar est presque terminée lorsque le directeur annonce qu’il a un autre point à aborder.
- Comme vous le savez tous, nous avons eu une nouvelle enseignante cette année et je pense qu’il est bon de vous informer si elle a réussi son année probatoire et si elle reviendra après les vacances. Jusqu’à aujourd’hui, Sarah a prouvé qu’elle était une professeure exemplaire. Mais je dois partager avec vous quelque chose qu’au cours de toutes mes années à la tête de l’établissement je n’ai jamais rencontré. Ce soir, j’ai trouvé Sarah dans sa salle de cours ligotée et bâillonnée sur son propre bureau, son corps nu exposé à qui passerait par là. Heureusement pour elle, c’est moi qui l’ai trouvée. Mais je pense que nous devons voir ce problème plus en détail. Sarah, voulez-vous venir ici ?
La pauvre enseignante a l’impression que tout le monde s’est tourné pour la regarder. Elle avait bien essayé de reculer derrière tous les autres professeurs rassemblés quand le directeur avait commencé à parler de sa situation. Il y a des cris de surprise quand ses collègues découvrent ce qui lui est arrivée, mais il y a aussi des rires et des regards moqueurs. Son visage devient rouge vif à cette humiliation publique.
Elle commence à se frayer lentement un chemin à travers ses collègues, essayant d’ignorer certains commentaires chuchotés près d’elle. Elle se place debout à côté du directeur et elle le regarde d’un air interrogateur devant l’assemblée.
- Faites face à vos collègues professeurs, Sarah ! Merci ! Donc, cette jeune femme a été trouvée dans une position très compromettante. Elle aurait pu être molestée ou pire encore, elle aurait pu corrompre l’un de ses élèves. Bien sûr, elle nie être la complice de ceux qui l’ont mise dans cette position, mais j’ai bien l’intention d’aller au fond de cette affaire et je vais le faire tout de suite. Toutefois pour faire cela correctement j’ai besoin de l’aide de quelques enseignants masculins. Y a-t-il des volontaires ?
Sarah est complètement bouleversée par l’afflux de collègues masculins qui se portent volontaires. Finalement le directeur fait son choix : M. BATTE et M. MASSON, les deux entraîneurs de football. Sarah n’est pas sûre de ce qui va se passer, mais elle est soudainement effrayée lorsque les deux hommes costauds passent derrière elle et lui prennent les bras. Ils la conduisent vers une longue table en bois dans le fond du jardin et ils la penchent dessus. Puis ils fixent ses jambes aux pieds de la table et ils tiennent ses bars tendus devant elle sur la table.
Sarah sait que tous les regards sont fixés sur sa robe courte et ses jambes nues. Tous ses collègues, tout comme elle, se demandent ce qui va se passer ensuite.
Elle regarde les autres professeurs et voit qu’ils se sont tous rapprochés pour ne rien manquer de la suite. Elle pense que ce traitement est vraiment injuste et humiliant. Que veut faire le directeur ? Elle est sur le point de le découvrir. Elle voit l’homme marcher vers elle, se placer à côté d’elle et se tourner pour s’adresser à l’assemblée alors qu’elle tremble de peur.
- La première chose que nous devons déterminer est si cette jeune femme méritait d’être traitée comme elle l’a été. Je pense que la meilleure façon de s’assurer qu’elle n’a pas excité quelqu’un pour qu’il la ligote est d’examiner ses sous-vêtements.
Sur ces mots, Sarah sent que sa robe courte est soulevée sur ses fesses et jetée sur le bas de son dos. Elle entend un murmure collectif quand tous les hommes voient son joli cul nu. Toutes les femmes réagissent aussi, certaines sont jalouses, d’autres sont autant excitées que les hommes.
Une femme, celle qui avait léché Sarah un peu plus tôt, passe sa langue sur ses lèvres en se remémorant ce moment passionnant. Sarah baisse la tête de honte. C’est vraiment injuste. Si on ne lui avait pas volé son string, son petit trou du cul serait au moins couvert.
- Il semble que vous n’êtes pas entièrement irréprochable sur votre situation, Sarah. Je pense qu’il est tout à fait approprié que je vous punisse maintenant, devant tous vos collègues, afin que nous puissions tourner la page et oublier cet épisode avant de continuer la fête. Si vous acceptez, nous serons ravis de vous accueillir de nouveau l’année prochaine en tant que membre du personnel à part entière. Si vous ne voulez pas, il faudra que j’informe l’académie que vous n’êtes pas assez responsable moralement pour être enseignante. Que choisissez-vous ?
Sarah sait qu’elle n’a pas le choix. Avec ces références, elle ne trouvera plus jamais un autre emploi d’enseignante. Elle doit se soumettre. En réprimant un sanglot de désespoir et honteuse, elle hoche la tête pour donner son approbation à la punition. Elle essaie de se préparer à ce qui va arriver, mais, quand l’énorme main du directeur frappe ses fesses lisses, elle ne peut s’empêcher de crier de douleur.
- Comptez pour moi ! Ordonne son patron.
Sarah ne sait pas s’il lui parle, mais alors que les claques pleuvent sur son pauvre cul, chacune est accueillie par un cri de la foule des professeurs.
CLAC !
- UNE !
CLAC !
- DEUX !
CLAC !
- TROIS !
Et ainsi de suite, chaque claque poussant Sarah de plus en plus fort contre le bord de la table, jusqu’à ce que, une fois de plus, sa chatte frotte contre quelque chose de dur. A travers la douleur infligée par les coups, le plaisir commence lentement à prendre le dessus. Dans l’esprit de Sarah, la foule de spectateurs disparaît et elle se concentre sur le plaisir qui monte entre ses jambes. Elle est sur le point d’en tirer le meilleur lorsque la fessée s’arrête soudainement et que les cris de la foule cessent.
- NON ! NON ! NON ! Crie-t-elle de frustration.
Le directeur commençait à fatiguer, mais quand il l’entend gémir de désir, il trouve de l’énergie pour recommencer. Cette fois, la main de l’homme s’abat alternativement sur les deux fesses et irradie la douleur dans le corps de Sarah.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
Il n’y a plus moyen d’arrêter le directeur maintenant et bientôt les fesses de Sarah sont aussi rouges que son visage.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
Elle pleure de douleur, d’humiliation, du fait qu’elle n’a rien fait pour mériter ça.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
Juste au moment où il est sur le point d’abandonner à nouveau, le directeur baisse les yeux sur l’enseignante et voit que ses jambes bougent d’elles-mêmes. Il regarde de plus près et voit que sa jeune chatte est bien humide et commence à s’ouvrir. Convaincu plus que jamais qu’il punit une petite salope, il reprend sa fessée avec une vigueur renouvelée.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
Sarah se tortille toujours pour essayer de se libérer, mais plus elle le fait et plus elle sent sa chatte frotter contre le bord de la table. Elle n’arrête pas d’essayer de se mentir, mais le plaisir est bien là alors que son cul est sévèrement puni. Plus les claques sont fortes, plus elle se tortille, plus sa chatte cogne contre la table et plus le plaisir grandit. Elle peut sentir son jus couler le long de ses jambes nues. Et même si elle est gênée à l’idée de jouir devant tous ses collègues, elle sait aussi que le plaisir est plus fort que la douleur et la honte. Juste au moment où elle pense qu’elle va avoir un merveilleux orgasme, la fessée s’arrête.
Il y a un grand silence alors qu’elle sent qu’on lui détache les jambes. Elle se relève lentement avant de se retourner. Face à ses collègues, le visage aussi rouge que ses fesses, elle sourit honteusement. Ses jambes tremblent alors qu’elle lisse sa robe courte et arrange sa chevelure. Ne sachant plus que faire ensuite, elle traverse la foule des professeurs et demande gentiment à la femme du directeur si elle peut appeler un taxi.
Son patron la regarde avec étonnement. Il est certain que s’il avait continué, elle aurait joui devant eux tous. Il ne pouvait laisser faire cela. Il est un homme respectable, un pilier de la communauté, et sa femme est là. Néanmoins il va garder Sarah. Et il va mettre une point d’honneur à mieux la connaître dans les années à venir.
Sa femme, en revanche, connaît très bien l’enseignante. Alors qu’elle l’escorte jusqu’au taxi, elle se demande quel serait le moment opportun pour lui rendre sa culotte. Elle a hâte de pouvoir goûter à nouveau à cette jeune chatte.
FIN.