samedi 29 juin 2024

Les débauches de mon épouse - Ch. 08

 Texte de Cadan (2011).
*****

C se prostitue.

Trois jours se sont écoulés. Mon épouse est restée à la maison, prétextant une grippe pour ne pas avoir à aller travailler. Chaque soir, quand je rentrais, elle était là, silencieuse, vêtue de sa vieille robe de chambre et pas maquillée. Les soirées se passaient quasiment sans un mot. Elle attendait d’aller se coucher, n’osant pas m’adresser la parole de peur de revenir sur sa vie en tant que Lola. Moi, je ne pensais qu’à ça. Je ne pouvais la regarder sans que toutes ces images de dépravation me reviennent dans la tête. La nuit, je n’arrivais pas à dormir et je n’osais pas la toucher. 

Quand le téléphone a sonné, le troisième soir, nous avons su, tous les deux, que ça recommençait. Avec de mon côté une espèce de joie malsaine, et du sien, de la résignation.

- Alors le petit cocu, ma pute a pu se reposer ?

- Oui, Monsieur.

- Elle a toujours son gode dans le cul ? 

Je me rendis compte que je ne l’avais plus vue nue depuis la dernière séance dans le bar. Je demandai alors à C, par gestes de se retourner et de soulever sa robe de chambre pour me montrer ses fesses. L’excroissance noire qui en sortait me prouvait qu’elle avait continué à obéir.

- Oui, Monsieur.

- À la bonne heure. Elle le garde toute la nuit et elle vient demain soir. Tu peux l’amener si tu veux, et si tu as encore envie de jouer au serveur. Je veux qu’on sache bien que c’est une putain dès qu’elle sera entrée dans mon restaurant. Rendez-vous à 18 heures, et qu’elle ne soit pas en retard. 

Il avait déjà raccroché. C était tourné vers moi et attendait. 

- Tu as rendez-vous demain à 18 heures. Tu devras être habillée comme une pute. En attendant tu as interdiction d’enlever ton gode. 

Elle ne répondit rien et la soirée se passa dans un silence absolu entre nous. 

Le lendemain, je savais que j’allais l’amener. J’avais honte, et, cependant, mon sexe se tendait dans mon pantalon. 

En rentrant à la maison, je vis que C, ma douce épouse avait disparu. Devant moi se tenait Lola. Elle avait ses talons de 14 cm, des bas couture noir tenus par un porte-jarretelles d’un rouge criard, un string ficelle de dentelle noire au travers duquel on voyait son sexe rasé, son redresse seins que j’avais déjà vu et bien sûr son collier de chien. Elle était très maquillée, avec, en particulier, un rouge à lèvres très vif. Je remarquais que ses seins étaient eux aussi rougis.

- Tu n’es pas encore prête. Tu vas être en retard.

- Je suis prête.

- Mais…

- Je sais que, pour Maître Ali, une pute doit être reconnaissable du premier coup d’œil, et elle doit pouvoir être baisée immédiatement. Donc je suis prête. 

Elle enfile un manteau et traverse la rue pour entrer dans la voiture. Les passants se retournent sur cette apparition. J’en rougis. 

Arrivé à destination, devant le restaurant de Monsieur Ali, C enlève son manteau et c’est dans son costume de pute qu’elle traverse la salle. Des sifflets et des commentaires grivois accompagnent son passage.

- Quel cul !

- Alors, Lola, tu es prête à te faire enfiler !

- C’est combien, salope ? 

C avance sans un mot. Ses seins se balancent au rythme de sa marche. Elle entre dans la cuisine-bureau. Monsieur Ali est toujours assis dans son fauteuil. C s’arrête devant, écarte les cuisses et pose les mains derrière la tête.

- Salut, Lola.

- Bonjour, Maître. Votre pute est à votre disposition.

- Ton cocu est venu. Dis-lui de s’asseoir et qu’il ne prononce pas un mot. 

- Assieds-toi là-bas et tais-toi !

- Maître, ma chatte et mes nichons sont à vous. Faites-en ce que vous voulez.

- C’est bien, petite salope. Tu commences à comprendre ce que tu es.

- Oui, Maître, une salope et votre putain.

- Et ton cul, chienne ?

- Je l’ai préparé, Maître.

- Montre. 

C se tourne vers Ali. Elle se plie en deux et écarte ses fesses devant son Maître. Le plug apparaît, d’une indécence folle au milieu de ces fesses rebondies.

- Bien, Lola. Dis-moi, combien de fois t’es-tu déjà fait enculer ?

- Ja… jamais, Maître.

- Comment ça, ton cocu ne t’a jamais pris le cul ?

- Non, Maître. 

- Tu vas me le donner, salope.

- Oui, Maître.

- Je ne t’ai pas demandé ton avis, sale cochonne. Tu vas te faire enculer et, ainsi, tu me ramèneras plus de pognon. Compris ?

- Oui, Maître.

- Pose tes nichons sur la table, écarte les cuisses et ouvre tes fesses avec tes mains. 

Sans une hésitation, C s’installe dans la position exigée par son maître. Je suis terriblement excité, mais je ne m’attends pas au nouvel ordre de monsieur Ali.

- Toi, le cocu, va me chercher Youssef. 

Je vais immédiatement au bar et dis au serveur que monsieur Ali le demande. Lorsqu’il entre dans le bureau, il ne se prive de regarder les fesses de ma femme.

- Youssef, tu as déjà essayé une fois de l’enculer et tu n’as pas pu.

- Oui, Monsieur Ali.

- Lola me dit qu’elle est prête. Alors, enlève-lui le plug et baise-la par le cul. D’accord, Lola ?

- Oui, Maître.

- Dis-le, putain.

- Je suis prête à être enculée, Maître. Youssef, prends-moi par-derrière !

- Tu dois vouvoyer tous les hommes, et les femmes, qui te baiseront, salope.

- Oui, Maître. Youssef, mon cul est à vous. Enculez-moi !

Le serveur s’approche de mon épouse. D’un geste brusque, il enlève le plug. L’anus apparaît largement dilaté. L’homme baisse son pantalon et son slip. Son sexe est déjà érigé. Il le dirige vers l’anneau de C qui commence à se rétracter. Il se présente entre les fesses de C, qui ne bouge pas. Pourtant, elle doit sentir le gland. D’un seul coup, Youssef s’enfonce dans le cul de ma femme qui hurle de douleur.

- Tais-toi, sale pute. Ton cul doit servir. 

Youssef reste au plus profond de mon épouse. Moi, je regarde, hypnotisé, sans l’idée de me rebeller. Puis il recule, presque jusqu’à faire sortir le gland, avant de replonger au fond du cul offert. Le va-et-vient se poursuit. C ne hurle plus, mais elle commence à gémir. Va-t-elle prendre son plaisir de cette manière bestiale ? Elle n’a pas cette possibilité, car Youssef vient de lui asséner une série de claques sur ses fesses qui rougissent. 

- Tu n’es pas là pour prendre du plaisir, mais pour en donner. Tu comprends, petite pute ?

- Oui, Maître. Je suis là pour faire jouir les hommes à qui vous me vendrez.

- Alors, bouge ton cul, salope !

Et je vois mon épouse qui, maintenant, avance les fesses vers l’homme qui l’encule. Elle ose même des petits mouvements de rotation qui semblent faire beaucoup d’effets. Youssef accélère l’allure. Ses testicules claquent contre les lèvres vaginales de C. Je l’entends dire :

- Enculez-moi bien. C’est trop bon. Donnez-moi votre foutre. 

Le serveur se raidit. Je sens qu’il vient de se déverser dans les intestins de ma femme. Et j’en ai la confirmation quand il se retire et que je vois du sperme s’écouler entre ses fesses.

- Va t’essuyer, Lola !

Mon épouse prend une serviette tendue par Marie et s’essuie l’entrejambe et la raie des fesses. Je la trouve très excitante dans cette position. Puis elle revient se placer debout devant son maître, jambes écartées. Décidément, elle n’oublie rien des ordres d’Ali.

- Lola, tu vas aller t’asseoir au bar. Tu as une heure pour faire cinq cents francs. Une pipe c’est cinquante francs, une baise dans la chatte, cent et ton cul, ce sera deux cents. Tu sais ce que tu as à faire.

- Oui, Maître.

- Et toi, le cocu, comme je sais que ça t’excitera de voir ma pute, ton ex-femme, monter avec des clients, tu iras au bar laver la vaisselle. Lola, tu prendras la chambre au fond du couloir pour tes passes.

- Bien, Maître. 

Je la vois se lever en string, bas et redresse-seins et franchir la porte. Je la suis et m’installe derrière le comptoir. J’évite de regarder Youssef qui me dévisage en ricanant. C est assise sur un tabouret. Manifestement, elle attend le client. Cela ne tarde pas. Un premier homme d’une cinquantaine d’années s’approche d’elle. Il la regarde longuement. Elle a les yeux baissés.

- C’est combien ?

- Cinquante la pipe, cent la chatte, deux cents, le cul.

- Tiens, voilà cent balles. Tu devras être bonne.

- Bien sûr, Monsieur. 

Elle se lève et emmène son premier client par la main vers les escaliers. Je vois ses fesses chalouper et le client se délecter du regard. C, mon épouse va recommencer à se faire baiser par des inconnus contre de l’argent. Et là, je ne peux que l’imaginer, n’ayant pas la possibilité de quitter le bar. ¼ d’heure plus tard, le client redescend et s’installe au comptoir. Il commande une bière que lui sert Youssef. Celui-ci lui demande :

- Alors, elle a été bonne.

- Pas mal, cette nouvelle pute. Bonne chatte lisse et bien mouillée. Elle m’a chevauché et je voyais ses nichons se balancer dans le rythme. Par contre, elle pourrait montrer qu’elle y prend du plaisir, cette salope, au lieu de toujours avoir les yeux fermés. Une pute doit flatter son client, non ?

- Tout à fait, monsieur. J’en parlerai à son maître. 

Quelques instants plus tard, c’est C qui apparaît. Elle a réarrangé sa tenue. Pourtant je remarque que ses joues sont rouges (aurait-elle pleuré, seule dans la chambre), mais aussi que ses fesses sont marquées par les doigts de son client. Il la regarde et sa main se tend vers sa poitrine, mais Youssef intervient :

- La passe est finie, monsieur. Ou alors, il faut repayer.

- Et toi, Lola, ne lambine pas et fais-toi payer pour ce que tu fais. Compris ?

- Oui, monsieur Youssef. 

Et elle se réinstalle sur son tabouret. Les clients vont se succéder, quasi sans interruption. Deux d’entre eux vont la baiser, trois autres se faire faire une pipe. L’heure est passée sans que je m’en rende compte. C a les yeux cernés et humides et beaucoup de mal à avoir un maquillage correct. C’est le moment où le serveur lui dit qu’elle doit aller voir son Maître pour lui rendre compte. Je dois la suivre. Marchant derrière elle, je remarque quelques gouttes de sperme qui lui coulent le long des cuisses. Sitôt arrivée devant le bureau, elle reprend sa position de soumission : jambes écartées, reins cambrés pour projeter sa poitrine vers l’avant et mains derrière la tête.

- Alors, Lola ?

- J’ai suivi vos ordres, Maître. J’ai sucé trois clients et trois autres m’ont baisé la chatte.

- Le pognon, petite pute. 

De son redresse-seins, elle sort une liasse de billets chiffonnée qu’elle tend à son maquereau.

- Il n’y a pas le compte, Lola !

- J’ai fait ce que j’ai pu, Maître. 

- Personne n’a pris ton cul ?

- Non, Maître. Pourtant je l’ai proposé.

- Ce n’est pas assez, salope. En plus Youssef m’a dit que tu te laissais caresser sans que le client ne paie.

- Je n’en pouvais plus, Maître.

- Une heure de passes et tu es déjà fatiguée. Tu me déçois.

- Je ferai mieux, Maître. Je peux y retourner.

- Non, c’est trop tard. Mais ne t’inquiète pas. On trouvera une situation où tu me ramèneras suffisamment de pognon. Pour l’instant, à poil, complètement. 

Mon épouse enlève immédiatement le peu de tissu qui couvre encore son corps. Dès qu’elle est nue, elle reprend sa position de soumission, jambes largement écartées et mains derrière la nuque.

- Toi, le cocu, accroche la laisse au collier. Et tu la fixes au plafond. 

C a maintenant le cou étiré par la laisse. Elle ne touche plus le sol que par la pointe de ses pieds nus.

- Tu n’as pas su être une bonne pute. Tu vas devenir une bonne chienne. N’est-ce pas, chienne Lola ?

- Oui, Maître, je serai votre chienne, obéissante.

- Qu’en penses-tu, Marie ?

- Je pense que les clients vont être ravis de s’occuper de la croupe de cette chienne. Remarque, j’y avais déjà pensé. Lola, à partir de maintenant, tu es une esclave.

- Oui, Maître, je suis votre esclave.

- Ce soir, tu fais tes débuts. 

Ses débuts de quoi ? me demandai-je. C s’était montrée attifée comme une pute. Elle s’était exhibée dans la salle du restaurant. Elle s’était déjà fait prendre par tous les trous. Elle s’était fait payer pour ça. Je l’avais déjà vue se faire fouetter sur ordre de son maître. Qu’avait-il trouvé de nouveau pour avilir encore plus ma femme ? De plus, je n’oubliais pas qu’il cherchait à tirer du bénéfice de cette adorable femme qui était tombée sous sa coupe (et je l’y avais un peu aidé, je ne l’oubliais pas). 

Marie s’approche de mon épouse. Elle lui prend les poignets qu’elle tire dans son dos. Elle les relie par des bracelets de cuir réunis par un mousqueton. Puis elle attache de nouveaux bracelets identiques autour de chaque cheville. Enfin, elle introduit une balle de mousse dans sa bouche et en referme les attaches derrière sa nuque. 

- Voilà, Lola. C’est comme cela que tu seras présentée ce soir. Tes bracelets serviront à t’attacher solidement et le bâillon empêchera qu’on t’entende crier. Je te laisse la surprise du reste. 

C a fermé les yeux, de peur que son Maître ne voie la lueur de peur dans son regard. Ne pouvant parler, elle réussit quand même à hocher la tête. Ali peut être fier de lui. Il a réussi, en quelques semaines à transformer une jeune femme ordinaire en femelle totalement soumise. Et moi, je suis formidablement excité par ce que je vois.

- Toi, le cocu, si tu veux voir ce qui se passera ce soir, retourne au bar. Il y a du rangement à faire et des verres à nettoyer. 

Évidemment, j’obéis. Moi aussi, maintenant, je suis aux ordres du Maître de mon épouse. 

Dans la salle, je me rends compte que l’espace a été modifié. Une grande place a été vidée au milieu. Les tables ont été placées autour. Du plafond, pendent deux chaînes reliées à une poulie et terminées par un mousqueton. 

Je vais derrière le comptoir et commence mon travail. Les premiers clients arrivent et s’installent. Lorsqu’un couple entre, la femme me regarde et s’exclame :

- Mais c’est le mari cocu qui est là ! Il aime vraiment voir sa femme se faire baiser.

A-t-elle vraiment tort ?

- Il risque d’éjaculer dans son froc, ce soir, avec tout ce qu’on va lui faire à cette pute. Il y a vraiment des mecs pervers. 

Dire que c’est moi qu’elle traite de pervers ! 

La salle est maintenant comble. Manifestement, la soirée a été annoncée. C’est à ce moment qu’entre la vedette de la soirée, mon épouse C, ou Lola ? C’est Youssef qui la traîne par la laisse. Hormis des talons hauts de quatorze centimètres, elle est totalement nue. Elle a les mains dans le dos et je remarque qu’elle est outrageusement maquillée : les yeux, les lèvres, les seins et les lèvres de son sexe. 

Youssef l’amène jusqu’au centre de la salle, juste sous les chaînes. Monsieur Ali la suit en souriant au public. Le serveur prend alors les poignets de C et les attache aux mousquetons des chaînes. Ma femme est dans cette salle, nue et attachée face à une trentaine de personnes qui ne perdent pas une miette du spectacle. Ses bras levés tendent ses seins et cambrent ses fesses. Elle est magnifique, ainsi.

- Chers clients, voici la vedette de la soirée, dit Monsieur Ali en montrant ma femme. Elle va d’abord se présenter.

- Je m’appelle Lola et je suis la putain de Maître Ali, dit-elle en rougissant sous son maquillage.

- Ce soir tu n’es plus une pute, mais mon esclave.

- Oui, Maître Ali, ce soir je suis votre esclave. 

- Et chers clients, j’ai décidé de vous l’offrir, cette chienne. Tout est possible avec elle. Vous avez tous les droits sur elle. Et je suis sûr que vous en jouirez encore plus en sachant que son mari légitime est derrière le comptoir et qu’il va assister à tout ce que vous allez faire subir à cette salope. 

Rugissements dans la salle.

- Et tout d’abord je pense que vous allez pouvoir commencer en vous occupant de ses fesses. 

Un premier homme se lève. Il s’approche de ma femme offerte, tourne lentement autour d’elle. Tout en la regardant, il lui assène une claque sur son derrière. C tend violemment son corps vers l’avant en étouffant un cri. 

Un second client arrive et la claque, encore plus fort que le précédent. C crie. Et cela agit comme un signal. Tous les clients mâles se succèdent. Les coups n’arrêtent pas de pleuvoir. Les fesses de C sont rouge écarlate. Elle essaie désespérément de retenir ses sanglots. 

Les femmes présentes s’approchent et griffent de leurs ongles longs les globes fessiers mis ainsi à leur disposition. C est vaincue et ne réagit plus, même quand une de ces clientes lui prend la bouche et l’embrasse violemment, forçant sa bouche. 

Un homme s’approche de moi, et tout en me réclamant un verre :

- Elle est sacrément bandante ta pouliche. Mais je pense qu’après ce soir, tu ne la verras plus jamais du même œil… si tu la revois. 

Que veut-il dire, si je la revois ? Mais je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps. Youssef s’est approché de mon épouse et il lui attache aux chevilles une barre qui lui écarte fortement les jambes. Son sexe est maintenant bien visible de tous. Puis il tire lentement sur les cordes qui la maintiennent attachée et je vois ses pieds, lentement quitter le sol. 

Quand il arrête, C est suspendue, vingt bons centimètres au-dessus du plancher. Il pose une main sur ses fesses et pousse. C se balance, uniquement tenue par les poignets. Puis il se dirige vers le bureau et en revient tenant, dans ses bras, un certain nombre d’objets. Je reconnais des martinets, des cravaches, des pinces. 

Un homme prend un martinet à longues lanières de cuir noir et cingle les fesses de ma femme, qui recommence à balancer au bout de ses liens. Quand elle revient en arrière, nouveau coup. J’en compte cinq. Au sixième, un autre client, qui s’est placé devant, au moment où C arrive en avant vers lui, frappe le ventre offert, juste au-dessus du pubis. Puis il l’arrête et la force à prendre le martinet entre ses lèvres. Ensuite, il prend ses seins à pleine main. Ses doigts viennent serrer les tétons qu’ils tirent, lentement, mais sans arrêt. Effaré, je les vois s’allonger de plusieurs centimètres. Il reprend alors le martinet et frappe un coup violent sur la poitrine offerte, qui porte immédiatement les traces rouges des lanières. La force renvoie mon épouse en arrière, ce qu’attendait l’autre homme pour, de nouveau, frapper les fesses offertes. C n’essaie même pas d’éviter les coups. Monsieur Ali intervient :

- Ne vous avais-je pas dit qu’elle était bien dressée, ma nouvelle esclave ? Mais si vous voulez que la soirée dure, laissez-la se reposer un peu. 

Quelques filles apparaissent alors. Toutes sont habillées d’un string et d’un soutien-gorge avec des hauts talons. Quelques-unes ont des bas. Il s’agit, je pense, des autres filles de Monsieur Ali. Les clients s’en emparent et commencent à les lutiner, tout en buvant force verres de bière et de whisky. 

Pendant ce temps, Youssef a fait redescendre C sur le sol, mais l’a laissée attachée, les bras en l’air. La musique est forte, les filles rient. Seule, C est silencieuse, au milieu de la salle, nue, les bras tirés vers le plafond, les jambes grandes ouvertes, les fesses et les seins rougis. Après quelques minutes, je vois Youssef s’approcher de ma femme. Il détache les mousquetons qui relient ses poignets aux cordes du plafond. Puis il lui ordonne de s’allonger sur le sol. Sur un signe de Monsieur Ali, les autres filles ont quitté le bar. Les clients s’approchent, curieux de la suite. Youssef accroche les mousquetons aux chevilles de C. Il tire sur la corde et je vois mon épouse se redresser. Elle prend appui sur ses mains, mais ses jambes n’arrêtent pas de monter. Elle est maintenant suspendue, la tête en bas, les mains ne touchant plus le sol. Ses seins pendent, mais tout le monde ne regarde que son sexe offert. Ali prend un martinet, pose les lanières sur les lèvres vaginales.

- Je pense que cette chatte demande à être caressée. 

Et il assène un coup sur ce sexe fragile. Puis il tend l’instrument à un client, qui vise la poitrine. C halète, mais ne crie pas. Tous les clients vont s’acharner sur ce corps offert. Au bout de ce traitement, le corps de mon épouse est entièrement rouge. Quelques stries laissent apparaître quelques gouttes de sang. Elle a les yeux fermés et ne réagit plus. Lorsque Youssef la fait redescendre, elle reste allongée sur le carrelage, essayant de reprendre son souffle. On détache ses jambes de la barre d’écartement.

- Maintenant, tu connais ton maître, Lola.

- Oui, Maître, je suis votre esclave. Faites de moi ce que vous voulez.

- À genoux, et suce mes amis ! 

Immédiatement, tous les hommes présents baissent leur pantalon et font cercle autour d’elle. Elle ouvre la bouche et prend tous ces sexes dans sa bouche, les uns après les autres. Quand elle en suce un, elle caresse avec ses mains deux autres. Elle tourne sur ses genoux, cuisses largement écartées. Certains clients frottent leurs chaussures sur ses fesses, entre ses cuisses. Rien ne l’arrête. Les premiers jets de sperme éclaboussent sa gorge. Elle avale sans un signe de dégoût. D’autres s’écrasent sur son visage, dans ses cheveux, sur sa poitrine, dans son dos. La liqueur dégouline partout, entre ses cuisses, sur ses fesses. Elle ruisselle de sperme.

- Maintenant, tu vas te laver et tu reviens, maquillée, avec tes bas et ton porte-jarretelles.

- Bien, Maître. 

Et elle part vers la cuisine. Toutes les personnes présentes discutent de ce que vient de se passer, et le moins que l’on puisse dire, c’est que les commentaires sont particulièrement crus.

- Qu’est-ce qu’elle est bonne, cette salope !

- Quand j’ai giclé dans sa bouche, elle a tout avalé sans un mouvement de recul.

- En plus, elle réagit bien au fouet. 

- Ali a vraiment bien réussi avec cette pouliche.

- Je lui fourrerai bien sa chatte.

- J’espère que Ali nous la laissera plus longtemps, ce soir.

- Et moi, je prendrai bien son cul !

- Et toi, le cocu, quand tu retrouveras ta pouffiasse, si tu la retrouves, je doute que tu puisses la satisfaire. 

Quelle honte pour moi ! Mais aussi, quelle trouble jouissance : ma femme adorée s’est fait fouetter, elle a sucé une bonne dizaine de queues, elle a été recouverte de sperme… et ça m’a terriblement excité !

Puis C fait son retour dans la salle. Elle a bien obéi à son Maître. À part ses bas noirs, son porte-jarretelles et ses talons, elle est nue. Elle n’a pas oublié non plus de farder les pointes de ses seins d’un rouge agressif. Elle avance, les mains dans le dos, les yeux baissés. Ali la regarde.

- Dis donc, esclave salope, c’est comme ça que tu obéis à ton Maître ?

- Mais je vous ai obéi, Maître.

- Je n’avais pas autorisé les chaussures, pouffiasse.

- Pardon, Maître, je n’avais pas compris.

- Approche !

C enlève ses talons et s’avance vers son maître, pieds nus dans ses bas sur le carrelage. Ali lui assène alors une énorme claque et la tête de mon épouse accuse le coup. Sa joue est toute rouge. 

- J’attends, salope.

- Merci, Maître.

- Quant à vous, dit-il aux clients, cette salope est maintenant à vous. Il vous suffira d’aller acheter un jeton à son cocu pour pouvoir utiliser cette chienne. Un jeton jaune, pour sa bouche, un vert, pour sa chatte, un rouge pour son cul. Oui, messieurs, vous avez bien entendu. Aujourd’hui, son cul est à vous. Et pour corser la soirée, je mets en vente deux jetons noirs. Le premier vous permettra de lui faire tout ce dont vous aurez envie. Le second, eh bien on verra plus tard. 

Ali se dirige alors vers moi, derrière le bar et me tend une boîte. 

- Les jaunes sont à cinquante, les verts à cent, les rouges à deux cents et les noirs à cinq cents. Bonne vente, le cocu. 

Dans sa perversion, il me fait participer à la mise en vente de mon épouse. Et je n’imagine pas une seconde refuser. Je n’ai d’ailleurs pas le temps, car les premiers clients, déjà, s’approchent. 

- Un jaune pour moi ! dit un homme en tendant un billet de cinquante francs. 

Dès qu’il l’a en main, il se dirige vers ma femme et la fait mettre à genoux. Elle s’exécute docilement.

- Ouvre mon pantalon, pute. 

C obéit délicatement, sort le sexe déjà bien érigé et se l’enfonce directement dans la bouche. Elle commence à le sucer en faisant bien attention de ne pas le toucher avec les mains. L’homme se laisse faire et j’ai toute l’occasion de voir la bouche de mon épouse entourer le sexe de cet inconnu et le faire grossir entre ses lèvres rouges. Un tressaillement m’indique qu’il a joui. C avale tout, sans un geste de retenue. Deux autres clients :

- Un jaune et un vert pour nous. Et regarde bien. 

C n’a pas le temps de récupérer de la fellation qu’elle vient d’effectuer. Les deux hommes s’approchent d’elle. Le premier la prend par les cheveux pour la faire se mettre à quatre pattes. Le second prend ses fesses à pleines mains pour qu’elle se cambre. Il sort son sexe qu’il introduit d’un seul coup jusqu’au fond de son vagin. Pendant ce temps, l’autre s’est installé dans sa bouche et a commencé d’aller et venir. Je vois celle qui est encore ma tendre épouse embrochée entre deux sexes d’hommes qui la pilonnent violemment. Puis ils changent de place. C suce le sexe d’un inconnu encore luisant de son jus intime. Nouvelle éjaculation. Elle se relève tandis que les hommes viennent vers moi :

- Elle est vraiment bonne ta salope. Tu pourras remercier Monsieur Ali de son éducation de ta pouliche. Tu t’amuseras quand elle sera avec toi. Et tu pourras t’imaginer toutes les bites qui se la seront faite.

Rouge de honte, je ne réponds rien pendant qu’ils partent en riant. Mais déjà un quatrième client se présente, et ce que je redoutais arrive :

- Un rouge pour moi. J’ai trop envie de goûter ce cul. 

Je prends les billets et lui tends son jeton. C a compris et je lis dans ses yeux sa peur. Mais elle ne recule pas. Il la prend par le bras puis, après avoir baissé son pantalon, s’assoit sur une chaise au milieu de la salle.

- Viens là, Lola. Tourne-toi. Écarte tes fesses et viens t’enculer, ma salope. 

Je vois ma femme obéir. Elle plie lentement les genoux jusqu’à ce que son anus touche la mentule dressée. Elle n’a pas le temps de réagir que l’homme l’a prise par les hanches et l’a enfoncée d’un seul coup sur son sexe. Elle crie, mais :

- Ta gueule, pouffiasse. Tu vas voir que tu vas aimer ça. Allez, applique-toi. 

Et C commence un lent va-et-vient. Je vois le sexe masculin sortir lentement de son fondement, avant de rentrer brutalement. Et ça dure. Maintenant, elle s’encule d’elle-même, sous les applaudissements des autres clients. 

- Dis que tu aimes ça, sale pute.

- Oui, Monsieur, j’aime ça.

- Quoi ? Dis-le, cochonne.

- J’aime me faire enculer par votre sexe, Monsieur.

- Oh, les copains, c’est bon d’enculer cette pute. Elle est encore toute serrée. Continue, ma chérie. Vas-y, fais-toi plaisir. 

Je ne peux détacher les yeux de la scène qui se déroule devant moi. Ses cuisses grandes ouvertes autour de celles d’un parfait inconnu, ses jambes soulignées de bas noirs, ses pieds, nus dans le nylon, à peine posés sur les pointes, ces mains d’homme, un autre que moi, qui lui tiennent les hanches pour ajuster le mouvement et surtout ce pieu qui la laboure profondément entre les fesses. Et ses râles, ses paroles :

- Enculez-moi, Monsieur. Plus fort. Allez-y. 

Jusqu’au moment où il la maintient, ses fesses à elle posées sur ses cuisses à lui. Il est en train de se répandre.

- Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne ! N’hésitez pas les copains. 

C’est à ce moment qu’un client d’une soixantaine d’années, que je n’avais pas encore remarqué, s’approche et me tend un billet de cinq cents francs. Il me regarde droit dans les yeux et me dit :

- Regarde bien, cornard, parce que ce que tu vas voir maintenant, tu ne l’as pas encore vu. 

Que va-t-il encore arriver à mon épouse ? Je commence à être très inquiet. Cet homme a une lueur dangereuse dans le regard. Il prend C par le bras et la place face à lui.

- Embrasse-moi, ma chérie, bien langoureusement. 

Elle lève la tête vers lui, pose ses lèvres sur les siennes et commence à l’embrasser, un long baiser d’amoureux. C’est effectivement complètement nouveau. Jusqu’alors, elle s’est fait prendre, partout et dans toutes les positions, mais elle n’était qu’un objet. Cette fois-ci, je ressens réellement une blessure de jalousie.

- Pendant que nous nous embrassons, caresse ta petite chatte. 

La main de C se pose sur son pubis et elle commence à se prodiguer une caresse pleine de douceur. Les autres clients sont conscients qu’il se passe quelque chose et restent silencieux.

- Dis-moi que tu m’aimes.

- Je… je vous aime, Monsieur.

- Tu es merveilleuse, Lola. Va me chercher à boire. 

C’est pire que tout, pour moi. Cet homme est en train de me la prendre, corps, mais surtout âme.

A suivre...

jeudi 27 juin 2024

Le bonheur d'être mère - Ch. 02

 Texte de Xmaster.
*****
 
Maurice assoit sa domination sur la mère.

Maurice, voyant parfaitement que la femme est à sa merci, attrape le jean par la ceinture, défait le bouton, puis fait glisser la fermeture éclair. D'un geste précis, il fait descendre le pantalon avec la culotte jusqu'aux genoux de la pauvre femme en pleurs. Puis, se reculant d'un pas et regardant le sexe peu poilu offert à sa vision, il remarque :

- Bof ! une chatte de vieille, mais pas trop poilu, ça peut encore aller. 

Puis après quelques instants d'observation complémentaires, il poursuit :

- Tourne-toi, que je puisse voir si on peut se servir de ta rondelle. 

La malheureuse Sophie ne réagit toujours pas plus. Elle n'a même pas un geste pour cacher sa vulve au regard inquisiteur de cet homme si méchant. L'homme la prend brutalement par le bras de la main droite, de la gauche il s'empare de la chaise devant la table et la recule vivement, puis il place la pauvre femme juste devant la table et la contraint à s'allonger sur le bois dur et froid. Là, il prend les fesses à deux mains et les écarte pour admirer l'anus brun. Tout en fixant la rondelle, il interpelle sa proie :

- Tu ne dois pas être un super coup ! J'suis sure que tu ne t'es même jamais fait enculer ! 

La pauvrette entend ces mots comme à travers un voile sonore. Elle ne réalise même pas totalement qu'elle est allongée sur une table d'un bistrot qu'elle ne connaissait pas quelques heures auparavant, qu'elle a ses seins dénudés à même le bois, et que cet homme, ce salaud, lui écarte les fesses pour lui dire des cochonneries. Elle s'entend tout de même dire dans un souffle :

- Mais je ne vous permet pas... 

La réponse ne se fait pas attendre, elle prend la forme d'une grande claque encore plus sonore que la première, et cette fois sur le cul rebondi de la femme offerte. Maurice, ne voulant absolument pas que cette femme se rebelle, en profite pour lui mettre son majeur dans le rectum en disant d'une voix méchante :

- Ta gueule connasse, je vais te roder le trou du cul, par là tu gagneras plus vite mon fric ! 

En essayant de serrer les fesses et de se redresser, la pauvre mère répond :

- Mais vous vous prenez pour qui vous ?

- C'est simple connasse, tu fais le tapin pour me rembourser, ou ton rejeton se fait buter, tu vas finir par comprendre ou merde ! 

Puis l'homme pervers en profite pour redonner une autre claque sur le cul, à l'endroit même de la précédente. La pauvre femme ressent une vive brulure à l'anus. Elle voudrait bouger et se sauver, mais elle sent qu'elle n'en a absolument pas la force, de plus, ses craintes quant à son fils lui tenaillent les entrailles, aussi se laisse-t-elle faire non sans rechigner ni se plaindre, mais en gémissant.

- Mais ferme ta gueule connasse ! Dit encore l'homme en lui vrillant le cul de son doigt expert. 

Il finit par enfoncer son majeur entièrement, puis annonce encore : 

- Tu vois que ce trou peut servir tout autant ! 

Sophie n'a même pas honte, en fait, elle ne se rend pas vraiment compte de la situation et de l'obscénité du moment. Elle reste offerte à ce diable d'homme qu'elle craint tellement.

- Tu vas t'en prendre deux maintenant. Dit encore Maurice en introduisant tout à coup son index dans l'anus déjà malmené. 

Il ne prend aucune précaution et enfonce son deuxième doigt aussi loin que le premier. Sophie sent son anus s'ouvrir pour laisser passer le nouvel envahisseur. La douleur est certes forte, mais encore supportable, et ce n'est pas cette douleur qui occupe l'esprit de la pauvre femme.

- Très bien ma pute, un troisième maintenant. S'exclame encore le vicieux mac en lui glissant l'annulaire dans le rectum. 

Dès que le doigt est en place, il force et écarte les chairs en éloignant ses trois doigts les uns des autres. Cette fois c'est une vraie brûlure douloureuse qui réveille la femme. Elle commence à bouger sur la table, fait des efforts désespérés pour échapper à son tortionnaire, mais rien n'y fait, elle sent une lourde main puissante venir se coller sur son dos et la bloquer.

- Arrête connasse ! Sinon je t'encule à sec, et là tu auras de quoi pleurer comme une madeleine ! Lance l'homme qui s'énerve. 

Maintenant Sophie pleure à chaudes larmes, bien sûr la douleur y est pour beaucoup, mais les idées noires qui envahissent son esprit participent amplement à sa déchéance. 

Sans la prévenir, et tout en la gardant toujours fermement collé à la table, Maurice retire ses doigts de l'anus déjà bien agrandie. Tranquillement, sans se presser le moins du monde, il commence à ouvrir sa braguette tout en prévenant la femme d'une voix dure :

- Maintenant tu vas te prendre une bonne bite salope, tu vas voir putasse, tu vas aimer... 

La blonde respire un peu, son anus enfin libéré ne lui fait plus vraiment mal, seul subsiste une petite brulure, mais rien que de très supportable. 

Le mac sort sa bite de son pantalon. C'est une grosse queue pas encore en érection totale, mais déjà bien avancé. Il se masturbe quelques secondes en tenant toujours fermement sa proie, puis écarte les fesses de la femme pour venir placer son gland sur le sphincter, là il lâche :

- Respire un grand coup... 

Puis il introduit son membre dans un grand coup de rein net et précis. L'introduction de la grosse queue fait pousser un grand cri à Sophie. D'un seul coup, elle a l'impression qu'un fer rouge vient de lui être enfoncer dans le cul. Elle reprend un peu ses esprits et commence à crier à l'aide, mais c'est peine perdue, une main vient lui bâillonner la bouche. Le pervers personnage se met à limer ce cul encore vierge de sexe sans ménagement.

- Tout va bien pour toi Maurice ? 

C'est le patron du bar qui vient de faire irruption dans l'arrière salle.

- Ouais René, t'inquiètes pas, j'explique juste à cette connasse comment arrondir ses fins de mois qui vont devenir de plus en plus difficile.

- Hé hé... Je l'ai vu tout à l'heure, faudras que tu penses à me la prêter un de ces quatre...

- Tu me connais mon ami, je ne suis pas un ingrat... 

Sophie sent la honte monter en elle, non seulement elle est à moitié nue sur une table de bistrot, non content de se faire violer par un être abject et repoussant qui lui fait le plus odieux chantage qui soit, mais en plus, on parle d'elle comme si elle n'était désormais plus qu'une marchandise. Et, bien que son anus la brûle toujours affreusement, de honte, elle éclate en sanglot. 

Maurice, lui, ne se laisse pas déconcentrer. Il laboure le cul de sa proie de plus en plus vite. Le fait que son pote soit venu l'excite encore plus, et il sent sa queue gonfler de plus belle. Et d'entendre la femme pleurer ajoute encore à son excitation. Il en profite pour dire dans un souffle :

- Alors, l'enculée, elle est bonne ma bite, non ? 

La blonde ne fait que pleurer. Maintenant, elle commence à ne plus sentir la douleur, elle se surprend même à mouiller. Comme la réponse se fait attendre, le vicieux mac s'empare des cheveux de la femme, tire dessus violement, et répète encore :

- Alors pétasse, tu réponds oui ou merde ?

- Oui... S'entend répondre d'une toute petite voix la pauvre Sophie entre deux sanglots.

- Parfait, j'savais bien que t'étais une morue... 

Maurice redouble de violence dans ses coups de reins. Il sait parfaitement se retenir et tient avant tout à ce que la pauvre femme émette les premiers signes du plaisir. 

Au bout d'une bonne dizaine de minutes, et bien qu'elle pleure toujours sur son compte, la pauvre blonde se surprend à gémir de plaisir, et cela lui donne encore plus honte. Elle sent sa chatte totalement détrempée, et des vagues de plaisirs remontent le long de son dos. Elle voudrait se retenir, mais n'y arrive pas du tout. 

Cette fois ça y est, Maurice se rend compte que la femme commence à jouir, il en profite alors pour sortir sa queue totalement de son écrin, la laisse une seconde dehors, puis, d'un élan parfait, l'enfourne à nouveau dans le cul bien ouvert. La deuxième entrée du sexe en elle à fait crier Sophie de plaisir mêlé à une nouvelle douleur, mais bien moins violente celle-ci. L'homme pervers jubile, il sent que cette fois sa proie est à sa merci, il s'amuse donc à sortir et entrer sa bite dans le boyau, et se réjouit qu'à chaque fois la femme soumise pousse un cri. 

La blonde ne pourrait dire combien de temps dure ce petit jeu, elle se sent submergée par des vagues de plaisirs de plus en plus intenses, mais en même temps, elle a honte de ce plaisir. Honte de jouir alors que son fils est en grand danger, honte aussi que ce soit cet homme, ce violeur, qui lui donne ce plaisir.

Voyant que sa victime est au bord de l'orgasme, et ne voulant surtout pas qu'elle s'abandonne, Maurice se met à crier :

- Putain, mais t'as sali ma bite... 

Et, en se plaçant sur le coté de la table, la queue à la main, empoignant une nouvelle fois les cheveux de la blonde et les tirant vers sa bite raide, il poursuit d'un ton des plus autoritaire : 

- Tiens, regarde, c'est ta merde qui m'a sali, regarde je te dis ! 

Sophie est frustrée, elle était vraiment au bord de l'orgasme, mais ce diable d'homme la prive de ce plaisir qu'elle sentait pourtant intensément venir à grands pas. Elle ouvre les yeux une seconde.

- Nettoie, enculée va... 

Et le mac pousse son membre vers la bouche de la blonde. La pauvre femme ne peut rien faire d'autre que d'accueillir cette queue souillée dans sa bouche, elle a un haut de cœur, des larmes coulent à nouveau sur ses joues.

- Tu gerbes et je te défonce ta gueule de pute... Nettoie ma queue putasse... 

Maurice tient maintenant fermement à deux mains la tête blonde et la force à aller et venir sur son sexe raide. La malheureuse Sophie fait des gestes incontrôlés et brusques dans tous les sens pour se défaire de la prise dont elle est l'objet. Malgré sa bouche envahie par l'énorme queue, elle râle, produits des sons incompréhensibles, mais rien n'y fait, elle est obligée de subir les tourments de ce salaud.

- Suce bien maintenant qu'elle est toute propre... Tu vas avoir l'honneur de recevoir mon foutre ! Dit encore l'homme avec un sourire sadique aux coins des lèvres. 

Un peu apaisée, la pauvre femme exécute une fois encore ce que lui impose le mac. Elle trouve que le sexe qu'elle a en bouche a un drôle de goût, un peu un goût d'oignon, elle lutte contre les nausées qui montent parfois et suce le membre du mieux qu'elle peut, espérant en cela pouvoir se sauver dès que l'homme aura éjaculé. 

Maintenant qu'il sent cette femme plus obéissante, Maurice relâche un peu sa prise. Il se laisse aller, son but étant de répandre son sperme dans la bouche de sa victime, il sourit tranquillement. Quand il sent que sa semence monte, il reprend sa prise, bloque la tête et enfouit sa queue le plus loin possible dans la douce bouche et dit :

- Tiens... Prend mon jus de couille... 

Sophie est surprise par les deux premières saccades qui vont directement au fond de sa gorge. Elle est obligée de déglutir et d'avaler ce vil liquide épais et chaud, un nouvel haut le cœur vient lui chavirer l'esprit.

- Vas-y, régale toi... dit encore d'une voix forte le mac. 

Le sperme se répand dans toute la bouche de la blonde. Elle essaye de ne plus en avaler, mais elle est toujours tenue par les cheveux, et n'ose pas bouger pour le moment.

- Tu es une bonne putain, j'apprécie tu sais. Finit par dire Maurice. 

Puis, toujours en la tenant par les cheveux, il l'oblige à se relever de la table et lui fait pencher la tête vers le sol. Elle qui s'imaginait que lorsque l'homme aurait eu son plaisir elle serait tranquille, elle n'en croit pas ses sens. Ce salaud vient d'éjaculer dans sa bouche, et au lieu de partir tranquillement, le voilà maintenant qui tente de la faire mettre à genoux au sol !

- Allez, à genoux... Comme une bonne pute doit savoir le faire devant son mac ! 

Sophie exécute une fois de plus l'ordre qu'elle vient de recevoir. Malgré l'entrave de son jean descendu, il s'agenouille et attend, les yeux rivés au sol. 

- Parfait, tu reste là jusqu'à ce que je revienne, et si tu bouges, je te jure que tu le regretteras amèrement !

Et l'homme sort de la pièce en laissant la blonde agenouillée en pleurs.

A suivre...

mardi 25 juin 2024

En bas de la rue Ch. 02

 Traduction d’un texte de Thecsm.

  *****

Exhibition, punition et partouze...

Le lendemain, j’arrive un peu tard au garage pour cause de grasse matinée. La porte étant verrouillée, je frappe. Bob vient m’ouvrir :

- Salut John, J’ai cru que tu n’allais pas venir.

- Est-ce que j’ai manqué des choses ?

-Non pas grand-chose. Jusqu’à présent, nous nous sommes contentés d’inspecter leurs chattes pour savoir si elles sont bien rasées. Et Jake s’amuse avec elles en leur faisant faire une compétition de « Jumping Jacks ».

En entrant dans le garage, je vois May et Karen sauter sur place et Jake assis dans un canapé. Je commence à rire :

- Eh bien Jake, je suppose que tu veux t’assurer qu’elle reste en forme ?

En ricanant il me répond :

- Je m’en fous un peu qu’elles soient en forme, je veux juste voir leurs seins rebondir.

- Ouais, il faut qu’elles s’habituent à être humiliées. Ajoute Bob en souriant.

Il dit ensuite à haute voix :

- La gagnante de la compétition choisira le centre commercial où nous irons. Compris ?

- D’accord ! Répond l’une d’elle en haletant.

Jake passe derrière elles et leur claque violemment les fesses :

- J’ai pas compris !

- D’accord Monsieur ! Disent-elles ensemble.

- C’est mieux, mesdames. Dit Jake.

Il se penche vers moi pour chuchoter :

- On va les emmener au centre commercial pour qu’elles puissent acheter de la nouvelle lingerie qu’elles porteront à une fête que l’on organise.

- On dirait que nous avons notre gagnante ! Dit-il.

Je sais qu’il s’agit de Karen à cause de son regard soulagé. 

- Il est temps de s’habiller mesdames !

- Oui Monsieur ! Répondent-elles en fouillant le tas de vêtements sur le canapé.

Jake dit alors :

- Ok, Karen tu choisis le centre commercial. On va prendre le 4x4 de May et John tu conduiras. Tout le monde est d’accord ?

Personne ne le contredit alors nous nous entassons dans le SUV. Je ne sais pas pourquoi ils avaient organisé une fête, ni à quoi elle ressemblerait, mais mon esprit frétillait d’impatience. Je savais que ce serait génial.

Alors que nous sortons de l’allée, Karen commence à me dire dans quel centre commercial nous allons, mais Jake l’interrompt :

- Tourne à droite au prochain feu ! Dit-il en riant.

- Monsieur ? Je pensais que je pouvais choisir le centre commercial ? Proteste Karen.

- Ouais, c’est ça, tu as mal pensé ! Dit alors Bob en riant.

Je tourne à droite et je commence à me diriger vers le centre-ville. Puis Bob se tourne soudainement vers les deux femmes.

- Enlevez tout de suite vos soutien-gorges ! Ordonne-t-il.

May et Karen, étonnées, regardent Bob et Jake. Elles n’arrivent pas à croire ce qu’il dit. Jake est assis à côté de May près de la porte. Il se tourne pour regarder les femmes nerveuses. Il ne sourit pas. Il lève la main et gifle May avec force. Puis il se penche devant elle pour frapper Karen. 

- Écoutez les deux salopes ! Quand on vous dit de faire quelque chose, faites-le ! Pas de questions, pas d’hésitations ! Maintenant, donnez-moi vous soutien-gorges !

Les deux femmes étaient vêtues des tenues de course qu’elles portent habituellement. Elles ont des débardeurs, des soutien-gorges de course, des shorts de course et des baskets. Lentement elles enlèvent leurs débardeurs, puis leurs soutien-gorges, exposant leurs seins à tous les conducteurs et passagers des voitures aux alentours. Elles remettent rapidement leurs débardeurs avant de donner les soutien-gorges à Bob. Leurs seins sont libres sous le fin tissu. Les deux femmes sont gênées de voir que leurs corps les trahissent et que leurs tétons menacent de percer le tissu.

- Peut-être qu’on devrait leur prendre leur culotte aussi ! Suggère Jake.

- NON ! On ne peut pas se promener presque nues en public ! Crient de concert May et Karen.

- Je commence à en avoir marre que vous soyez toutes les deux aussi irrespectueuses. Quand on vous dit de faire quelque chose, vous le faites. Je crois que je vais devoir envoyer des photos de vous en train de nous baiser à vos fils ! Hurle Jake.

- Monsieur s’il vous plaît non, nous essayons de faire ce que vous demandez. Plaide May.

- S’il vous plaît, n’envoyez pas les photos. Nous avons seulement peur d’être arrêtées si nous en montrons trop. Ajoute Karen.

- Qu’en penses-tu John ? Demande Bob.

Je suis surpris par la question, mais je réponds :

- Je pense que nous pouvons leur donner une autre chance !

Puis je dis aux femmes :

- Mais ne vous attendez pas à ce que je sois toujours aussi gentil !

Je commence à bander en pensant à ce pouvoir de pouvoir contrôler deux mères de famille.

- Très bien, alors nous allons écouter le nouveau gars de l’équipe ! Dit Bob en regardant Jake qui ne semble pas très content de cette décision.

Je regarde May et Karen dans le rétroviseur qui attendent nerveusement de voir si je vais les faire se déshabiller un peu plus. Je regarde Jake et décide de ne pas aller trop loin.

- Vous pouvez garder vos culottes pour l’instant.

Les deux femmes poussent un soupir de soulagement. Même si j’apprécie de pouvoir commander, je n’arrive pas à être trop dur avec les mères de mes amis.

- Tourne à gauche à la prochaine rue ! Dit Bob.

Nous entrons dans une partie de la ville qui est nettement plus glauque, avec des bars miteux et des sans-abris qui traînent aux coins des rues.

- Gare-toi sur le parking près du bâtiment rouge là-bas à droite !

En m’approchant de l’immeuble, je remarque qu’il s’agit d’un simple bâtiment en briques rouges aux fenêtres noircies, avec des barres et du grillage au-dessus des portes et des fenêtres. Une enseigne au néon clignote, il y a marqué « Pour Adultes ».

Alors que May et Karen descendent de la voiture, elles se regardent nerveusement. Leurs seins rebondissent et leurs tétons pointent sous le tissu à la vue de tous. Sur le côté, les rondeurs des seins sont bien visibles à travers les trous des débardeurs. Elles n’arrivent pas à croire qu’elles sont dans cette situation, presque seins nus dans la rue, sur le point de rentrer dans un magasin pour adultes avec trois jeunes garçons qui pourraient être leurs fils.

Une fois entrées, les deux mères sont soulagées de voir qu’il n’y a personne. Je les suis de près en observant leurs réactions alors qu’elles regardent le magasin. Juste à l’entrée, se trouve un étalage de godes et vibrateurs de toutes tailles, suivi d’un étalage de fouets, jouets BDSM, de chaînes et de pinces.

Je vois Jake saisir le cul de May et lui dire :

- J’ai hâte de les utiliser sur toi !

May glapit et essaie de se retourner, Mais Jake garde son cul serré dans sa main.

- Ne me résiste pas, salope !

May se calme rapidement et regarde le sol, humiliée par tout ce qui l’entoure.

Soudain je vois Madame Smith, mon ancienne prof d’anglais. J’étais dans sa classe l’année dernière. C’était la prof la plus sexy de l’école. Elle était le fantasme de tous les garçons, surtout après les vacances de Noël de l’année dernière. Elle avait commencé à porter des vêtements plus sexy à l’école. Elle ne s’habillait plus qu’avec des jupes et des hauts moulants qui semblaient devenir de plus en plus petits au fil de l’année.

Juste avant les vacances de printemps, on pouvait voir qu’elle ne portait plus de soutien-gorge et les jupes étaient si courtes qu’on pouvait voir ses fesses quand elle se penchait. Tous les étudiants masculins se précipitaient en cours pour avoir une place au premier rang et devant son bureau où elle s’asseyait pendant une partie du temps. Et tous les gars avaient toujours une érection qu’ils ne pouvaient cacher.

Après les vacances de printemps, nous avons eu subitement un nouveau professeur et nous n’avons jamais revu Mme Smith. La rumeur disait qu’elle avait eu une liaison avec un élève et que le conseil d’administration de l’école avait reçu une vidéo compromettante. Mais la raison de son départ fut tenue secrète.

Maintenant, elle est là, devant moi, dans un magasin pour adultes, vêtue d’une jupe extrêmement courte qui couvre à peine son cul et sa chatte. Son haut blanc transparent est boutonné si serré que ses seins semblent vouloir éclater à tout moment. Si je ne bandais pas déjà complètement à cause de nos deux mères de famille, ma bite était sur le point de faire éclater la fermeture éclair de mon pantalon. Mme Smith s’approche alors de Jake.

- Monsieur, je vois que vous avez deux nouvelles salopes avec vous aujourd’hui. Dit-elle.

Jake l’attrape et la tire vers lui afin de l’embrasser.

- Oui et j’ai besoin que tu t’occupes d’elles avec ce dont nous avons parlé la nuit dernière. Tu as tout préparé ? Je veux qu’elles aient des vêtements de salope appropriés quand elles sont avec nous.

- Oui Monsieur, je dois juste m’assurer que j’ai les bonnes tailles. Mais pourquoi John est avec vous ?

- C’est l’un des nôtres maintenant. A partir d’aujourd’hui tu l’appelleras aussi Monsieur.

Alors que je m’approche d’eux, Jake me dit :

- John, voici Pam. C’est une de nos salopes. Vas-y, tu peux toucher.

C’est comme un rêve qui devient réalité. Ma prof d’anglais sexy, celle sur laquelle je me suis tant branlé, est debout devant moi, attendant que je la tripote. Je tends la main vers ses seins et je les presse avant de pincer ses tétons. 

Je suis perdu dans mes rêves quand Bob s’approche avec les deux mères de famille et dit :

- Ok John, tu pourras t’amuser avec Pam plus tard, mais pour l’instant on a besoin qu’elle s’occupe de ces deux-là.

- Suivez-moi ! Dit Mme Smith aux deux femmes.

May et Karen se regardent nerveusement, puis suivent l’ancienne enseignante. Elle conduit les deux femmes à l’arrière du magasin où elle a préparé deux sacs sur une table.

Je ne peux m’empêcher de les suivre et de regarder les trois femmes sexy marcher dans l’allée devant moi. Je veux voir ce que Jake et Bob ont prévu pour elles. Je garde une petite distance, mais je suis assez proche pour les entendre parler.

Pam Smith regarde les deux femmes et dit :

- Je me souviens de vous deux, vous êtes les mères de Dave et Tim, n’est-ce pas ?

- Oui c’est ça ! Répond May à l’ancienne enseignante en se demandant ce qui lui est arrivée pour être là.

- Je ne sais pas comment vous vous êtes retrouvées avec ces deux trous du cul, mais croyez-moi, vaut mieux pas les énerver. Ils peuvent être très gentils, mais une fois qu’ils sont en colère, ce ne sont que des problèmes et on souffre.

May sourit et essaie d’être confiante. Elle répond :

- On ne fait que s’amuser pour le moment. Ils ont les plus grosses bites que j’ai jamais vues. Et je ne pense pas qu’ils nous feront quoi que ce soit. Je suis sûre qu’ils ne font que menacer.

- Je vais vous le dire une seule fois et vous feriez mieux de m’écouter mesdames. Ces deux-là ne balancent pas des paroles en l’air. J’ai fait une erreur stupide. Quand j’ai vu leurs bites, je me suis entichée d’eux et cela m’a vraiment coûté. Ils ont pris le contrôle de ma vie.

May et Karen ouvrent grand les yeux en entendant l’ancienne professeure. Celle-ci continue :

- Ça a commencé doucement au début. Comme me faire porter des jupes à l’université. Mais ensuite ils sont devenus plus exigeants. Chaque fois que je protestais, ils enlevaient quelque chose que j’avais le droit de porter, comme les soutien-gorges ou les culottes,  ou ils m’obligeaient à porter des jupes plus courtes. Et si je refusais vraiment d’obéir, ils me punissaient avec des fessées, des fouets, des pinces, du bondage. Finalement j’ai dû succomber et céder à leurs exigences.

- Oh mon Dieu ! Glapit Karen.

Pam la regarde et continue :

- Pendant tout ce temps, je n’étais qu’un jouet sexuel pour eux ou pour ceux avec qui ils me partageaient. L’administration de l’école s’est alors aperçue comme je m’habillais. Bon sang, juste avant les vacances de printemps, je donnais mes cours presque nue. Puis j’ai protesté une fois de trop. Ils ont envoyé au conseil de l’école une vidéo qu’ils avaient de moi. C’est comme ça qu’ils m’ont fait virée de mon poste d’enseignante. Le vendredi avant les vacances, j’ai été convoquée et licenciée.

- Quels salauds ! L’interrompt May sur un ton de colère.

- J’ai juste de la chance que mon mari comprenne et ne m’ait pas quittée. Il sait que s’il intervient je pourrais aller en prison. Parfois ils l’invitent même à leurs fêtes pour qu’il regarde et participe à me baiser moi et les autres salopes. Ils m’ont aussi trouvé ce travail l’été dernier. Je vous le dis, ne les énervez pas. Je ne suis pas sûre que vous compreniez dans quoi vous vous êtes fourrées.

Je vois Karen et May se regarder avec de l’appréhension sur le visage. Mais Karen se reprend vite et dit :

- Ne vous inquiétez pas pour nous, on va s’en sortir !

Je peux presque la voir penser : « cette salope de prof n’aurait pas dû baiser des élèves. Nous n’avons pas ce problème, nous ne sommes pas enseignantes ».

Je me détourne et je retourne à l’avant du magasin où se trouvent Jake et bob. Mon cerveau est en ébullition avec l’idée de ce qui va arriver dans l’avenir. Ma bite prend lentement le contrôle de mon esprit. Je commence à être intoxiqué par l’idée de soumettre les deux mères de famille ainsi que mon ancienne prof d’anglais. Ma réticence à humilier ces femmes s’est évaporée. Je rigole en pensant que ma bite risque de déborder et que je suis impatient qu’elle déborde avec ces femmes.

Environ trente minutes plus tard, Pam revient voir Jake :

- Nous avons terminé Monsieur. Comme toujours je me suis assurée qu’elles paient tout. Je suppose que vous ne les avez pas encore dressées ?

Jake sourit et regarde l’ancienne enseignante sexy.

- Leur entraînement ne fait que commencer. Ces deux garces vont s’en apercevoir bientôt. Maintenant je veux que tu tailles une pipe à John ! Fais-lui plaisir.

- Oui Monsieur ! Répond-elle.

Pam s’approche de moi et s’agenouille. Je la regarde pendant qu’elle dézippe mon jean et que sa jupe remonte au-dessus de sa chatte. Je vois qu’elle ne porte pas de culotte quand elle écarte les jambes. Je peux voir ses lèvres mouillées d’excitation. Elle sort ma bite et commence à lécher le gland et le long de la tige. La sensation est enivrante. Une fois que ma queue est mouillée par sa salive, elle prend mon membre dans sa bouche et commence à le sucer.

Je ne pense pas avoir été aussi excité jusqu’à ce jour. Je lutte pour ne pas éjaculer alors qu’elle continue de me sucer. Mais je ne peux résister longtemps alors je mets mes mains derrière sa tête et je commence à la baiser avec dureté. Quand je sens ma sève monter, je lève les yeux et je vois May et Karen qui regardent.

May a la main dans son haut et se pince les tétons alors que Karen a la main dans son short. Elle passe lentement ses doigts sur son clito en regardant Pam prendre toute ma bite dans sa gorge. En les voyant ainsi toutes les trois, j’explose et je jouis intensément en faisant avaler mon foutre à l’ancienne prof d’anglais.  Puis j’entends Bob dire :

- Vous voyez comme elle obéit bien ? Vous feriez mieux de prendre exemple, sinon…

Les deux mères de famille ne répondent pas, mais enlèvent rapidement leurs mains de sous leurs vêtements lorsque Jake passe derrière elles et leur donne une grosse claque sur les fesses. Elles sursautent.

- Oui Monsieur !

Il ne me faut pas longtemps pour ranger ma bite en regardant Pam. Elle est toujours à genoux et elle se caresse le clitoris en essayant d’avoir un orgasme. Alors que nous quittons le magasin je regarde May et Karen qui sont toujours excitées, mais qui ont un regarde d’appréhension. Aucune d’elle ne sait dans quelle situation elle s’est embarquée.

Nous sautons dans le SUV et nous retournons au garage. Quand nous sommes arrivés, Bob demande aux deux femmes de ranger leurs sacs dans un placard. Pam a confirmé les tailles et les deux mères de famille ont regardé alors qu’elle enfournait plusieurs tenues dans les sacs. Mais May et Karen n’ont pas pu voir ces vêtements. Qu’est-ce qu’il peut y avoir dedans ? Jake dit d’une voix ferme :

- Rappelez-vous, salopes, gardez vos portables sur vous à tout moment. Et quand nous vous appellerons ou vous enverrons un message, vous répondrez immédiatement. Compris ?

Les deux femmes hochent la tête.

- C’est tout pour le moment les salopes ! Cassez-vous, on vous enverra un texto plus tard.

 *****

Le lendemain matin, je reçois un message de Bob qui me dit : « Viens vite ici ! May n’a pas répondu à un texto la nuit dernière. Jake a réussi à la contacter et elle sera là à neuf heures».

Je pense alors à ce qu’a dit Pam aux deux femmes hier. Et en pensant à cela, je remarque que pour moi elles ne sont plus les mères de mes amis, mais seulement deux salopes, des salopes à utiliser pour notre plaisir de la manière que l’on veut.

Je sais que Bob et Jake vont la punir et des tonnes d’idées me passent par la tête. Je m’habille en un temps record. Ma bite est déjà dure en pensant à ce qu’il va se passer. Je cours jusqu’au garage pour m’assurer d’y être avant neuf heures. Bob et Jake m’attendent quand j’arrive. Jake me dit :

- Content que tu sois là. Nous voulons que tu voies ce que nous faisons quand une de nos chiennes ne suit pas les règles. Nous avons été gentils avec ces deux-là et ça ne marche pas. Mais à partir d’aujourd’hui elles vont être obéissantes.

Je fais le tour du garage avec mes yeux et je remarque que sur un côté il y a un banc avec des menottes sur chaque pied. Sur le billard, il y a deux raquettes, une cravache et une canne d’un mètre de long. A côté il y a les sacs que les femmes ont ramenés la veille.

J’entends alors que l’on tape doucement à la porte. j’ouvre et je vois May qui a l’air très nerveuse. Elle porte une tenue similaire à celle de la veille, un short, un tee-shirt, un soutien-gorge et une culotte. Je suppose qu’elle utilise le jogging pour pouvoir sortir de chez elle.

En pénétrant dans le garage, elle voit que Jake et Bob semblent vraiment énervés, alors elle fait un pas en arrière. Les deux gars ne tournent pas autour du pot pour montrer leur mécontentement :

- Tu sembles avoir un problème pour obéir aux ordres. Tu n’as pas répondu à notre message la nuit dernière ? Dit Jake.

- Je suis désolé Monsieur, mais mon mari était à la maison et je ne pouvais pas venir à ce moment-là. Nous venions de terminer le dîner et je n’ai pas pu me libérer pour vous répondre. Le temps a passé et j’ai oublié votre message. Je ne veux pas de problèmes. S’excuse May.

Bob grogne :

- Waouh, cette salope pense que l’on se soucie de son mari ! Tu sembles être la moins obéissante des deux. Pam nous a raconté ce que tu as dit hier. Je suppose aussi que tu n’as pas écouté ce qu’elle a dit et que tu n’as pas remarqué comme elle a obéi ? Nous pensions que tu aurais compris qu’il y a des conséquences à ne pas suivre nos ordres. Alors nous allons te faire comprendre aujourd’hui.

Puis Jake lui crie dessus :

- Tu croyais que nous allions oublier et pardonner ? On t’a dit de répondre immédiatement à tous nos appels et nos textos. Si tu ne peux pas le faire, tu nous dit pourquoi et nous déciderons si l’excuse est bonne. Mais là nous avons un problème !

- Non, non, non, non, s’il vous plaît ! Crie May alors que Jake vient de l’attraper par les cheveux pour la tirer vers le banc.

Celui-ci fait trente centimètres de large et un mètre vingt de long environ. Jake penche la femme sur le banc et Bob prend ses mains et les menotte à chaque pied à l’extrémité. Jake lui déchire et arrache ses vêtements. May est maintenant complètement paniquée. Elle est nue et menottée au banc. Son cul et sa chatte sont complètement exposés, les jambes à cheval sur le banc. Elle lève les yeux vers Bob en face d’elle et supplie :

- S’il vous plaît Monsieur ! Je ne le ferais plus ! S’il vous plaît, ne me punissez pas ! Je vous promets de vous obéir.

Bob la regarde d’un air malicieux et lui dit :

- Quand on en aura fini, je te garantis que tu n’auras plus envie de nous désobéir.

- Tu te souviens des règles ? Demande Jake.

Il s’approche d’elle par derrière et lui gifle le cul.

- Oui Monsieur, je me rappelle de ce que vous nous avez dit. Répond May.

- Je pense que tu le dis parce que tu crois que nous sommes stupides. Souviens-toi que Pam nous a rapporté toute votre conversation.

- Non Monsieur, je ne pense pas que vous soyez stupides.

Jake prend la raquette que Bob lui tend et il continue :

- A chaque coup sur ton cul, je veux t’entendre dire : « Merci Monsieur, puis-je en avoir un autre ? » Compris ?

- Oui Monsieur !

Jake lève la raquette et l’abat avec force sur la fesse gauche de May. Celle-ci sursaute et hurle sous la douleur.

- OH MON DIEU ! Crie-t-elle.

Puis elle ajoute rapidement :

- Merci Monsieur, puis-je en avoir un autre ?

Jake sourit en visant soigneusement et en frappant l’autre fesse. May crie à nouveau, mais fait ce qu’on lui a demandé. Elle remercie et demande un autre coup.

Jake nous regarde et commence à frapper le cul de May. Celle-ci pleure de façon incontrôlable alors que la douleur se répand dans tout son corps et dans sa chatte. Puis Bob prend le relais et claque encore son cul. La mère de famille continue de remercier et d’en demander encore.

Elle est maintenant dans un autre monde. Elle est confuse. Son cul la brûle horriblement. Mais il se passe autre chose, elle est de plus en plus excitée. Sa chatte mouille comme jamais. Son jus commence à couler sous le banc et forme une flaque. Chaque fois que Bob lui donne un coup de raquette sur le cul, la douleur monte au cerveau et l’excitation monte dans sa chatte. Et chaque fois qu’il cogne, elle se surprend à en redemander.

Après environ trente coups, les gars arrêtent. May continue de pleurer de façon incontrôlable en espérant que c’est fini. Bob qui est en face d’elle, voit Jake saisir ses cheveux pour la tirer en arrière. Elle est soulevée du banc avec les mains toujours menottées, mais ses seins sont accessibles.

Bob tend les deux mains et commence à pincer ses mamelons. Puis il les tord jusqu’à ce qu’elle hurle de douleur. May crie alors que la douleur dans ses tétons prend le dessus sur la douleur dans son cul.

Elle pense qu’elle va jouir quand Jake lâche ses cheveux et qu’elle retombe sur le banc, ses seins écrasés sous elle.

Je la regarde, allongée, pleurant et frottant son entrejambe contre le banc. Elle supplie ne disant qu’elle fera n’importe quoi pour plaire à ses Maîtres s’ils arrêtent la punition et la laissent jouir. En me regardant Bob me dit :

- A ton tour ! Prends quelque chose sur le billard et fais lui comprendre qui est le patron !

Je me dirige vers les objets et je prends la cravache. Puis je passe derrière elle.

- S’il te plaît, arrête ! Gémit-elle.

Je ne la frappe pas aussi fort que Jake, mais mon coup est plus précis et tombe en plein dans la zone tendre de son cul. May se raidit. La douleur se situe dans une zone que la raquette n’a pas touchée. Ses yeux se brident et sa respiration devient plus laborieuse. Puis nous entendons un gémissement guttural qui vient du plus profond de son âme. Mais elle ne me remercie pas et ne me demande pas un autre coup.

- Salope, celui-ci ne compte pas ! Tu n’as pas demandé à en avoir un autre !

Rapidement May s’excuse et demande à ce que je la frappe à nouveau. Alors je me penche à son oreille et je lui dis :

- La punition continuera jusqu’à ce que nous soyons certains que tu ne désobéiras plus jamais, salope !

Je vois son corps s’affaisser sur le banc, complètement vaincu. Toute idée de lutte a disparu. Le coup suivant tombe directement sur sa chatte. Son corps se tend, mais cette fois elle crie :

- Merci Monsieur, puis-je en avoir un autre ?

Je continue à battre son corps avec la cravache encore et encore en me concentrant sur son cul et sa chatte. Après la première dizaine de coups, son cul commence à se soulever pour répondre. Ma bite est si raide qu’elle menace de sortir de mon short. Je voudrais m’enfoncer en elle et bien la baiser tout de suite.

Je sais que si je ne m’arrête pas maintenant, je vais jouir sans même avoir touché ma bite. Alors je stoppe et je la regarde. May est dans un sale état. Son corps tout entier est couvert de sueur. Son cul est d’un rouge sombre et je sais qu’elle ne pourra pas s’asseoir pendant quelques jours. Sa chatte est rouge vif et son jus coule sous l’effet de son excitation. Son visage est rouge et taché par ses pleurs. Ses cheveux sont emmêlés autour de sa figure.

Je m’éloigne d’elle et Jake prend ma place derrière elle. Il l’attrape de nouveau par les cheveux et la tire vers le haut. Bob recommence à tirer et tordre ses tétons, et cette fois je l’aide à étirer ses seins pour les frapper avec la cravache. May n’oppose aucune résistance. Même si je sais que ça doit lui faire mal, elle se contente de gémir et de demander d’autres coups. Je pense qu’elle est en deçà de la douleur. Sa seule pensée doit être d’obéir sans poser de questions.

Puis c’est au tour de Bob. Mais il a prévu autre chose. Il nous regarde et nous demande de la libérer du banc. Rapidement nous enlevons les menottes et nous la conduisons vers Bob.

Il est occupé téléphone. Il regarde May qui a de la peur dans les yeux et qui commence à le supplier d’avoir pitié. Bob la fait attendre jusqu’à ce qu’il finisse  avec son téléphone puis il lui sourit et lève la main pour attraper une barre suspendue aux poutres du garage. Nous levons les mains de May et nous la menottons à la barre. Jake se dirige vers un mur pour tirer sur une corde afin de soulever la barre. Il continue jusqu’à ce que la femme ne tienne plus que sur la pointe des pieds.

- Je viens d’envoyer un SMS à Karen pour qu’elle vienne ici immédiatement. Elle doit apporter un short et un tee-shirt en plus pour que May ait quelque chose à porter quand elle rentrera chez elle.

Je regarde la mère de famille qui s’efforce de rester sur la pointe des pieds afin d’épargner la tension sur ses poignets. Je souris. Je sais que lorsque Karen la verra, elle fera tout ce qu’on lui demandera. May a toujours été la décideuse entre eux deux. Si May obéit, Karen se soumettra et obéira aussi. Jake me regarde et me dit :

- John, va attendre Karen à l’extérieur du garage et ne la laisse pas entrer tout de suite jusqu’à ce que je te le dise. Je veux qu’elle entende May sans savoir ce qui lui arrive. Je veux qu’elle imagine ce qui se passe et qu’elle ait peur avant d’entrer.

Je sors dehors et je regarde dans la rue. Je vois alors Karen courir en portant un sac. J’ai l’impression qu’elle est en panique. Elle porte un pantalon de survêtement ample et un sweat-shirt. Je suis sûr qu’elle essaie de paraître le moins sexy possible en couvrant son corps le plus possible. Quand elle s’approche de la porte je lui dis :

- Nous devons attendre ici pour l’instant, ils nous diront quand rentrer.

- Oui Monsieur ! Dit-elle, nerveuse.

Elle regarde autour d’elle pour voir si quelqu’un peut la voir attendre devant le garage. Elle tremble et commence à faire les cent pas. Puis elle entend une forte claque. Elle sursaute et on entend May qui implore la pitié.

Ça continue pendant quelques minutes. Les larmes dans les yeux, Karen me regarde et me demande :

- Qu’est-ce qu’il se passe Monsieur ?

Je ne me suis jamais senti aussi puissant. Je la regarde et je lui réponds :

- May est punie pour ne pas avoir obéi.

Karen pâlit. j’ai l’impression qu’elle va s’évanouir en demandant :

- Pourquoi Monsieur ?

- May n’a pas répondu au SMS qu’on lui a envoyé hier soir, et c’est pour ça qu’elle est punie.

Je pense qu’elle est sur le point de s’enfuir quand tout devient silencieux. La porte du garage s’ouvre et Bob nous laisse entrer. May est toujours menottée à la barre et se tient sur la pointe des pieds.

Karen la regarde et affiche un air surpris. Elle voit sa copine suspendue nue. Ses seins sont barrés de lignes horizontales rouge qui ont l’air douloureuses. Son cul est toujours rouge sombre et elle est couverte de sueur. Elle pleure et supplie :

- S’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voulez ou choisissez de me faire. Je sucerai vos bites et j’avalerai votre foutre. Vous pourrez m’enculer quand vous le voudrez. S’il vous plaît, je ferai tout pour vous, pour vous rendre heureux.

Je n’en crois pas mes oreilles. May est devenue une salope soumise. Jake regarde Karen :

- Tu vois ce qui arrive quand on nous désobéit. Regarde bien, salope ! Rappelle-toi, tu fais tout ce qu’on te dit ou ce sera toi à la place de May.

Karen regarde sa copine et se rend compte que ces gars sont sérieux.

Je m’aperçois qu’ils ont vraiment brisé May. Désormais elle fera tout ce qui lui sera demandé. Je regarde Karen et je vois la peur dans ses yeux. Je vois ses épaules s’affaisser. Elle baisse la tête, regarde le sol et dit docilement :

- Oui Monsieur.

Je sais qu’elle sera elle aussi une bonne salope complètement soumise et qu’elle nous laissera faire ce que nous voulons d’elle. Les deux nouvelles putes du harem de Bob et Jake ne sont plus aussi combatives.

Karen lève les yeux et demande :

- Messieurs, puis-je parler à May ?

Jake et Bob me regardent avec un grand sourire et Bob dit :

- C’est mieux comme ça, salope. Oui tu peux. Mais tu vas ramper jusqu’à elle, salope !

Karen se met à quatre pattes et avance jusqu’à May. Inquiète, elle demande :

- Tu vas bien May ?

- Oh… Ohhh oui… je… Je… Je suis OK ! Répond-elle en serrant les dents.

Jake fait ensuite descendre la barre et Karen serre May dans ses bras et l’aide à tenir debout, car son ami a du mal à rester sur ses jambes pendant une minute.

- Viens me voir ! Maintenant, salope ! Crie Jake.

May se déplace lentement vers l’endroit où se trouve Jake. Elle le regarde puis jette un coup d’œil à Bob et à moi, puis elle dit :

- Merci Messieurs de m’avoir appris à ne pas vous désobéir. Je ne vous manquerai plus de respect, je ferai ce que vous voudrez et je m’appliquerai.

Jake l’attrape alors et il la tire vers le canapé. Elle gémit brièvement car tout son corps semble lui faire mal. Tandis qu’elle se tient devant lui, Jake passe ses mains sur son corps tremblant. Il touche ses seins, pince ses tétons. Elle halète quand il touche les marques qui traversent sa poitrine. Puis il pose sa main sur son épaule pour lui faire comprendre qu’elle doit s’agenouiller. Une fois à genoux, la mère de famille tend la main et aide le garçon à enlever son pantalon.

Elle prend son membre bien tendu dans ses mains et elle le caresse. Jake saisit alors l’arrière de sa tête et la tire jusqu’à ce que sa bite soit dans sa bouche. Il commence à la pousser de plus en plus à travers les lèvres pulpeuses. Il lui baise la bouche pendant une minute. 

Puis il la repousse brutalement. Il continue de la pousser jusqu’à ce qu’elle soit sur le canapé. Là, il lui ordonne d’écarter les jambes. Il se penche sur elle et lui dit :

- Attrape ma bite et pousse-la dedans, salope !

Docilement, May attrape le gros membre et le place à l’entrée de sa chatte. Elle crie brièvement, car sa chatte est encore rouge et douloureuse à cause de la punition. Mais elle s’excuse rapidement et supplie Jake de la baiser. Celui-ci sourit en regardant sa bite qui vient de s’enfoncer dans l’antre humide. Il voit le jus féminin couler de sa chatte et descendre sur son cul.

Il enfonce alors totalement sa bite dans la chatte de May qui laisse échapper un long gémissement sous l’effet à la fois de la douleur et du plaisir

Jake continue de sourire en poussant profondément en elle, doucement au début, puis de plus en plus rapidement. Il la pousse vers des sommets qu’elle n’a jamais atteints auparavant. On peut voir la passion sur son visage. Mais le garçon ne se soucie pas d’elle. Elle n’est qu’un jouet de baise, une salope, sa vide-couilles à utiliser comme bon lui semble.

- OoooOOOOhhhh… OOOOOHHH MERDE ! Crie May qui est proche de l’orgasme.

Jake gémit et inonde la chatte de May de son sperme. Puis il arrête de bouger en laissant sa grosse queue au fond de la grotte humide pour finir de se vider.

- Ne vous arrêtez pas ! Je suis si proche de jouir ! Crie la mère de famille.

Mais Jake sourit, la regarde et dit :

- Ce n’est pas important que tu jouisses. Je suis le seul qui a besoin d’être satisfait.

May s’effondre sur le canapé et se remet à pleurer, de frustration cette fois. J’observe avec fascination le contrôle que Jake exerce sur May et Karen qui regarde les évènements. Puis j’entends Bob dire :

- Viens voir John !

Je regarde où se tiennent Bob et Karen. Celle-ci regardait Jake et May Baiser. Je peux voir qu’elle est excitée. Et je pense que c’est à cause de la partie de baise, mais aussi de la domination totale imposée à sa copine. Je m’approche d’eux. Bob dit alors à Karen :

- Salope, ne viens plus jamais dans ce garage habillée de cette façon ! Enlève tout ça, TOUT DE SUITE !

Karen sursaute et obéis immédiatement en enlevant son sweat, son pantalon de survêt et ses sous-vêtements. Elle se tient debout devant nous, nue et tremblante dans l’attente d’autres instructions. Bob saisit son sweat, sort un couteau et coupe les bras du vêtement. Il fait de même avec le pantalon et en fait un short très court. Puis il prend le soutien-gorge et la culotte qu’il déchire en lambeaux. Karen reste là sans rien dire, mais je suis sûr qu’elle se demande comment elle va rentrer chez elle en étant presque nue. Bob me regarde et dit :

- Vas-y John, amuse-toi avec cette salope ! Fais-lui ce que tu veux !

Puis il se penche vers moi et murmure :

- Essaie de ne pas la laisser jouir. On veut qu’elles nous supplient de les baiser avant de les laisser jouir.

Je souris et regarde la mère d’un de mes amis. Je pense que le pouvoir que nous avons sur elles est plus excitant que la vision de cette salope nue qui est devant moi et qui attend mes ordres sur la façon dont elle doit se laisser violer. Je saisis son téton avec ma main droite et je la tire vers le canapé. Karen crie de douleur alors que son mamelon est tiré à l’extrême.

Je m’assois sur le canapé et je lui dis :

- A genoux salope, et occupe-toi de ma bite avec ta bouche !

Immédiatement elle s’agenouille et commence à me lécher la bite et les couilles avec un regard distant dans les yeux.

- Joue avec ta chatte de salope tant que tu y es, mais ne t’avise pas de jouir, il te faut notre permission pour ça ! Grogné-je en sentant déjà mon sperme s’accumuler dans mes couilles.

Karen porte sa main droite à sa chatte alors qu’elle enveloppe ma queue avec sa bouche. Je la regarde prendre de plus en plus de ma bite dans sa gorge jusqu’à ce qu’elle commence à étouffer. La sensation est exquise et je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Cette salope gémit et étouffe en serrant ma queue dans sa gorge pour me pousser à l’orgasme tandis qu’elle se rapproche du sien. Mais ce n’est pas ce trou que je voulais utiliser, c’était juste pour lubrifier mon membre.

Je saisis ses cheveux, je la retire de ma queue et je la fais basculer sur l’autre canapé, les genoux au sol et le visage enfoui dans les coussins. Je me place ensuite derrière elle et j’aligne mon gland avec son petit trou du cul. Elle s’attend à ce que je la baise normalement donc elle ne bouge pas, mais quand elle sent ma bite sur son cul elle crie :

- OH MON DIEU ! NON, S’IL VOUS PLAÎT, PAS LA ! ON NE ME L’A JAMAIS FAIT !

Je claque durement son cul deux fois de suite et je grogne :

- Salope, tu n’as pas à dire où on te baise ! Et je crois que ta plainte devrait mériter une punition.

Karen glapit après chaque claque, puis elle me regarde par-dessus son épaule, la peur dans les yeux. Et elle dit :

- Je suis désolé Monsieur, j’ai juste peur. s’il vous plaît, enculez-moi, je ne dirais rien. S’il vous plaît, ne me punissez pas !

Je souris et je pousse ma bite sur son cul pour ouvrir son sphincter. Elle laisse échapper un long gémissement et continue à gémir alors que je m’enfonce lentement dans son cul. Quand je suis à mi-chemin, je remarque qu’elle a cessé de jouer avec sa chatte alors je lui dis :

- Continue de te toucher, salope !

Rapidement elle remet sa main sur son sexe et recommence à caresser son clito. Je continue à pousser jusqu’à ce que je sois enfoui profondément dans son cul. Je commence alors à la baiser lentement. Au début, elle ne fait que gémir de douleur, mais, ses doigts travaillant plus vite, ses gémissements se changent en gémissements de plaisir. Alors elle met son autre main sur sa chatte et enfonce deux doigts dedans. Elle commence à pousser son cul sur ma bite.

C’est tout ce dont j’avais besoin, je gicle mon foutre dans ses intestins. Je tiens ses hanches immobiles alors que je me vide en elle aussi profondément que je le peux. Karen continue de se masturber pour essayer d’atteindre l’orgasme, mais je lui dit d’arrêter et de nettoyer ma bite avec sa bouche. Elle se tourne lentement et me regarde, puis elle me lèche des couilles au gland. Finalement elle ouvre la bouche et prend totalement ma bite.

Jake et Bob sont restés là à regarder et ils sourient. Ils savent que le plaisir ne fait que commencer. Je regarde May qui est toujours allongée sur le canapé. Elle regarde son amie finir de nettoyer ma bite. Je vois qu’elle ne sait pas ce qui va se passer ensuite. Son monde s’est écroulé et elle ne sait plus à quoi s’attendre.

Bob prend les choses en main. Il dit aux deux mères de famille de ramper jusqu’au centre du garage. May et Karen obéissent en se mettant à quatre pattes à l’endroit désigné par Bob. Celui-ci leur dit alors :

- Je vais vous donner les règles une fois de plus, alors vous feriez mieux d’être attentives. 1- Vous répondez toujours au téléphone. 2- Quand l’un de nous vous dit de bouger, alors vous bougez tout de suite. 3- Si on vous dit que l’on veut vous voir, vous venez en courant. Si vous ne pouvez pas, vous avez intérêt à avoir une bonne raison et nous déciderons si elle est bonne. 4- Gardez toujours vos chattes bien rasées, on ne veut voir s poils. 5- Appelez-nous toujours « Maître » sauf si nous sommes en public, alors appelez-nous « Monsieur ». 6- Ne portez jamais de sous-vêtements lorsque vous venez au garage. 7- Quand vous recevez du sperme de n’importe qui, vous devez le lécher et l’avaler. La seule exception est lorsque vous êtes ensemble. Dans ce cas, vous devez lécher le sperme de l’autre, peu importe où il est ou dans quel trou il a été déposé.

Bob regarde les deux femmes et demandent :

- Est-ce qu’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas dans ces règles ?

Karen regarde May et commence à s’approcher de sa chatte pour lécher le sperme de Jake. May essaie d’attraper mon foutre qui coule du cul de Karen. Celle-ci est déjà bien excitée. Quand sa copine commence à lui lécher le cul, immédiatement elle gémit avec sa langue enfoncée dans la chatte de May.

Aucune des deux femmes n’a jamais fait l’amour avec une autre femme, encore moins avec une amie. Mais je vois qu’elles apprécient ce qu’elles se font l’une à l’autre. Elles ne voient que l’orifice près de leur visage.

Au moment où chacune d’elle est sur le point d’atteindre le point de non-retour, Jake prend la cravache et fouette le cul des deux salopes pour les arrêter avant qu’elles jouissent. Les deux esclaves s’assoient et regardent autour d’elles, confuses. Elles ont toutes les deux besoin de jouir tellement leur excitation est grande.

Bob les regarde et leur dit alors :

- Demain, un homme passera chez vous. Vous devez lui laisser un accès total à toutes les pièces de votre maison. Vous devrez l’attendre dans votre jardin jusqu’à ce qu’il ait terminé et qu’il vous le dise. Pour le remercier, vous devrez lui faire une fellation. Est-ce compris ?

Les deux salopes hochent la tête et disent :

- Oui Maître !

Jake me dit alors d’aller chercher les sacs rangés la veille. Je les prends et je les remets à Karen et à May. Bob donne à May les vêtements apportés pour elle par Karen et il jette à celle-ci ce qui reste de sa tenue quand elle est arrivée. Il leur dit de s’habiller et de partir.

- N’oubliez pas toutes les deux : Répondez toujours au téléphone.

Les deux mères de famille s’habillent rapidement, saisissent les sacs et quittent le garage. Je pense que ça a été les heures les plus longues de leur vie.

 *****
Cela fait quelques jours que May a été punie et les deux soumises sont maintenant certaines que Bob et Jake contrôlent tout dans leur vie. Chaque fois que l’une d’elles essaie d’assouvir son besoin de jouir, son téléphone sonne et l’un de leurs Maîtres l’interrompt. C’est comme s’ils étaient dans la pièce et pouvaient voir tout ce qu’elles faisaient.

Heureusement le mari de May était en voyage d’affaires et elle n’eut pas à expliquer les bleus sur son cul, sa chatte ou ses seins. Elle commençait même à se traiter elle-même de salope. Le mari de Karen semblait absorbé par un gros projet à son travail et il restait dans son monde. Il ne remarquait donc pas le comportement nerveux de sa femme.

Les gars font se masturber les deux femmes plusieurs fois par jour pour qu’elles restent tellement excitées que leurs chattes mouillent sans arrêt. Ils ont même demandé à May d’aller dans la chambre de son fils et de se masturber jusqu’à ce qu’une grosse tache humide reste sur les draps.

Ils ont ordonné à Karen qu’elle ne porte qu’un maillot de corps de son fils avec un string toute la journée. Un jour, alors que Tim est revenu de l’université, ses yeux ont failli sortir de sa tête. Karen était tellement gênée et excitée qu’elle ne pouvait que regarder sa bite durcir à la vue de sa mère sexy.

 *****

La fête a lieu ce soir. Bob voulait que ses salopes soient si excitées qu’elles feraient n’importe quoi pour assouvir cette envie qui a couvé toute la semaine. Il a donc appelé les femmes pour leur donner des instructions.

Il a demandé aux deux mères de famille d’ouvrir les sacs qu’elles avaient ramenés avec elles et d’en sortir trois articles : un plug anal de taille moyenne, un jeu de boules Ben-Wa et un collier de chien en cuir noir. Il leur a demandé d’insérer le plug ainsi que les boules et de les porter toute la journée avec le collier. Elles étaient autorisées à enlever le collier si leur fils ou leur mari étaient à la maison, mais elles devaient garder le reste.

Ce que les deux femmes ne savaient pas, c’est que l’homme qui s’était rendu chez elles il y a quelques jours avait placé des caméras espions dans chaque pièce. Il les avait connectées à un petit ordinateur portable dans le grenier. Bob et Jake pouvaient observer les deux salopes toute la semaine.

La surprise était que les boules Ben-Wa étaient équipées de technologie Bluetooth. Elles étaient connectées à l’ordinateur au grenier et elles pouvaient être activées pour vibrer plus ou moins fortement lorsqu’on appuyait sur un bouton. 

 *****

Les deux femmes ont raconté à leur conjoint qu’elles sortaient pour une soirée entre filles avec de vieilles amies et qu’elles ne rentreraient que très tard. May Récupère Karen à 17 heures et elles se rendent dans un centre commercial pour se garer et prendre un taxi pour la soirée. Elles ne veulent pas risquer que quelqu’un voit le 4x4 garé dans la rue.

Lorsqu’elles arrivent au centre commercial, elles reçoivent un SMS leur demandant de prendre à l’arrière du 4x4 les seuls vêtements qu’elles doivent porter à la fête. Quand elles regardent dans les boites à l’arrière, elles sont choquées. La seule chose qui s’y trouve est une robe en dentelle fine qui descend légèrement sous leurs chattes et qui ne cache rien ainsi qu’une pire de talons de quinze centimètres.

Après s’être changées, elles réalisent qu’elles doivent rester à l’extérieur du centre commercial pour attendre le taxi, vêtues seulement de leurs talons, de leur robe fine et du collier de chien, avec un plug dans le cul et des boules vibrantes dans leur chatte. Elles ont honte tellement elles ressemblent à des prostitués. Elles sont vraiment humiliées, mais cela ne fait que renforcer leur excitation et leur soumission.

 *****

Quand les deux femmes arrivent au garage, elles se retrouvent dans un autre monde. La seule chose à laquelle elles pensent c’est de pouvoir prendre leur pied. Rien d’autre ne compte. A ce moment-là, elles baiseraient n’importe qui ou n’importe quoi juste pour satisfaire leur faim sexuelle.

Elles sont choquées après être entrées dans le garage. Il y a une douzaine d’autres femmes, toutes habillées de lingerie sexy.Et le pire c’est qu’elles connaissent chacune d’entre elles. Bien que May et Karen soient humiliées d’être vues ainsi par ces autres femmes, leur excitation est si forte qu’elles ne peuvent que penser à comment elles vont pouvoir baiser et jouir.

Bob et Jake veulent que je me présente environ une heure avant le début de la fête pour que je puisse rencontrer les autres femmes de leur harem. En me dirigeant vers le garage, je ne cesse de penser à la façon dont les deux mères de mes amis sont devenues de plus en plus soumises au fil de la semaine. 

J’ai observé à quel point elles étaient frustrées de ne pas pouvoir satisfaire leur excitation au point de ne pas pouvoir penser à autre chose que leur chatte en feu. Maintenant, Karen exhibait ouvertement son corps devant son fils lorsqu’il était à la maison. 

Quand j’entre dans le garage, Bob est occupé à s’assurer que tout son équipement vidéo fonctionne. Jake, lui, s’assure que les femmes préparent l’endroit. Il y a quinze femmes, toutes habillées de lingerie sexy. Pour moi c’est un fantasme devenu réalité. En regardant ces femmes, je remarque que je les connais toutes. Jake m’aperçoit et dit alors :

- Très bien les salopes, mettez-vous en ligne par ici, je veux vous présenter John. Vous toutes, vous l’appellerez Monsieur quand vous lui parlerez et vous ferez tout ce qu’il vous dira à partir de maintenant. Il fait partie de notre équipe.

Toutes les femmes s’alignent et je peux voir dans leurs yeux qu’elles me reconnaissent toutes. Puis Jake élève la voix :

- Maintenant, une par une, passez devant John et présentez-vous !

May est la première. Elle sourit et ne peut s’empêcher de regarder mon entrejambe. Puis Karen effleure de sa main le devant de mon pantalon.

La personne suivante est mon ancienne professeur d’anglais :

- Bonjour Monsieur. Je suis Pam Smith.

Elles s’arrêtent toutes devant moi pour se présenter. La dernière est ma voisine d’à côté.

- Monsieur, je suis Maggie.

Puis elle regarde autour d’elle pour s’assurer que Jake et Bob ne regardent pas et elle continue. :

- Je n’aurais jamais pensé que tu sois impliqué dans tout ça.

Avant que je puisse répondre quoi que ce soit, elle est partie. Je sais qu’avant la fin de la nuit, je devrais lui parler et m’assurer qu’elle comprenne qui commande.

Les femmes se remettent à préparer le garage. Jake s’approche de moi et me dit :

- Il n’y a plus grand-chose à faire. Tu devrais voir si Bob a besoin d’aide.

Tandis que je me dirige vers Bob, les invités commencent à arriver. Bob finit juste ce qu’il faisait. Il me regarde et me dit :

- Suis-moi !

Nous allons à la porte du garage et Bob commence à accueillir chaque invité. Le premier est l’entraîneur de football. Il est accompagné de quelques joueurs de l’année dernière. Lorsque tout le monde est là, je compte quinze hommes pour quinze femmes. Je suppose que nous trois, nous sommes là pour nous assurer que les femmes obéissent et pour participer quand nous le pourrions.

Tous ces hommes adorent la scène qui se présente devant eux. Beaucoup d’alcool et des femmes presque nues, qui peut ne pas aimer ? Bob s’assure que May et Karen aient toujours un verre plein. Il veut qu’elles perdent toutes inhibition pour leur première fête. Il veut aussi qu’elles restent très excitées.

Après environ une heure, la danse devient assez intense. Les hommes tripotent et tâtent les femmes dès qu’ils le peuvent. Jake demande alors l’attention de tout le monde :

- Très bien messieurs, choisissez une femme. Nos putes sont prêtes à être utilisées, et croyez-moi, elles feront tout ce que vous voulez.

- Y’a-t-il quelque chose qu’elles peuvent refuser ? Crie un gars.

- Si on vous refuse quelque chose, faites-le-moi savoir ! Rigole Jake.

- Tu as bien dit qu’elles étaient toute mariées ? Demande un autre gars à Bob.

- Oui tu peux me croire, et elles feront toujours ce que tu veux.

Chaque homme choisit une femme et ça devient une énorme partouze. Quand ils ont fini avec une, il l’échange contre une autre. Après deux heures d’orgie, toutes les femmes ont bien été baisées. Certaines de ces femmes mûres semblent sur le point de s’évanouir d’épuisement à force d’être autant baisées. Les gars qui ont terminé commencent alors partir.

May et Karen ont été baisées à fond dans tous leurs trous. Elles sont couvertes de sperme et semblent satisfaites. Elles traversent la pièce jusqu’à un canapé, s’assoient et commencent à se lécher mutuellement le foutre qui couvre leur corps et s’écoule de leurs orifices. Bien que leur excitation a diminué et qu’elles n’ont plus le besoin impérieux de se faire baiser, toutes deux semblent impatientes de lécher tout le sperme qui les recouvre.

Elles se sont vraiment abandonnées à la domination de leurs Maîtres, chacune réalisant que les orgasmes intenses qu’elles viennent de vivre sont la pièce finale de leur soumission. Maintenant, non seulement elles ne peuvent pas refuser les ordres de leurs Maîtres, mais elles en veulent plus. Après le départ de tous les invités, Jake demande aux femmes de se nettoyer mutuellement comme l’ont fait May et Karen.

Puis il leur a ordonné de nettoyer le garage. Il ne se soucie pas de savoir si elles sont fatiguées ou non. Quand tout est propre, il renvoie ces femmes. Mais avant qu’elles ne partent, je crie :

- Pas toi Maggie ! Viens ici !

Je suis surpris que May et Karen restent dans un coin. Elles ont remis leur tenue de salope avec le collier. Elles se mettent à genoux et avancent jusqu’à nous trois. Je regarde Maggie et lui dit d’un ton sec :

- Toi aussi salope, rampe jusqu’ici !

Bob et Jake me regardent avec étonnement.

- C’est ma voisine et je dois m’assurer qu’elle suive bien tous mes ordres.

Quand les trois sont proches de nous, elles se lèvent, mettent les mains derrière la tête et disent :

- Maîtres, pouvons-nous vous satisfaire ? Vos esclaves salopes attendent vos ordres.

Nous avons tous les trois un grand sourire vicieux. Bob et Jake prennent May et Karen pour s’amuser et leur donner ce qu’elles veulent. Je lance un regard méchant à Maggie et je la gifle durement.

- Bien salope ! Tu comprends qu’à partir de maintenant, tu vas obéir à mes ordres.

- Oui Maître !

J’attrape ses cheveux et je tire sa tête vers mon entrejambe. Elle sait quoi faire et commence à me tailler une pipe. Ensuite je la baise brutalement.

Environ une heure plus tard, alors que ces trois salopes se lèchent pour enlever nos spermes, Bob dit :

- Je pense qu’il est temps pour nous de chercher un nouveau membre pour le harem. Vous les salopes, vous auriez quelqu’un à nous suggérer ?

May lève les yeux vers moi et dit timidement :

- Et la mère de John ?

A suivre...