Traduction d’un texte de MillerHighLife
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Tiffany est si nerveuse qu’elle se dit que son cœur va sortir de sa poitrine tellement il bat fort. Elle essaie de sa clamer en prenant de grandes inspirations. En dix ans de mariage, elle n’a jamais trompé son mari. En fait c’est le seul homme avec qui elle a couché. Tiffany aime toujours son mari et ses deux enfants, mais elle aspire à quelque chose de plus que la vie d’une femme au foyer en banlieue.
Il y a un an, elle a commencé à discuter en ligne avec un homme plus jeune. Son pseudonyme était LeGros. Au début, leurs échanges étaient purement portés sur le sexe et lorsqu’ils échangeaient des messages, c’était toujours vicieux. Pour la première fois depuis des années, Tiffany pu avoir des orgasmes satisfaisants en fantasmant sur son amant en ligne.
Au fil des mois, des morceaux de leur vie personnelle se sont glissés dans leurs conversations. Puis LeGros lui a dit qu’il avait un secret. Il était détenu dans une prison de haute sécurité et purgeait une peine de prison à vie pour trois vols à main armée et un meurtre.
A ce moment, Tiffany n’était pas sûre de savoir si elle devait répondre ou lui écrire à nouveau. Il lui fallut une semaine pour réfléchir et elle lui répondit sans rien cacher de sa vie. Elle lui a dit à quel point sa vie était ennuyeuse et qu’elle avait désespérément besoin d’excitation. Le massage suivant de LeGros fut le plus explicite et excitant qu’il ait jamais envoyé. Chaque mot l’excitait davantage au point qu’elle ne put s’empêcher de se masturber. A la fin du message, elle vit que LeGros avait joint un lien vers le site web de la prison. Lorsque elle a cliqué sur ce lien, un formulaire de demande de visite conjugale est apparu.
Son esprit s’embrouilla en réfléchissant aux conséquences de ce qu’il proposait. Si son mari découvrait son infidélité, il divorcerait sûrement. Si sa famille l’apprenait, elle serait reniée. Mais avant qu’elle puisse se convaincre que les risques étaient trop grands, elle remplit le formulaire et l’envoie. Trois jours plus tard, elle reçut une lettre officielle du service pénitentiaire lui indiquant que sa demande de visite conjugale avec le détenu n° 300169 était approuvée.
Le lendemain matin, Tiffany est assise au volant de sa mini-fourgonnette. Elle regarde la clôture recouverte de barbelés qui entoure la prison de haute sécurité. Ses inspirations profondes l’aident à faire ralentir son cœur qui s’emballe. Toutefois, son estomac se serre toujours. Elle a fait tout ce chemin, mais elle n’est pas sûre de pouvoir aller jusqu’au bout.
Rassemblant tout son courage, elle ouvre la porte de son véhicule et sort sur le parking. Tiffany s’est habillée pour mettre en valeur ses atouts féminins. Elle porte des talons hauts, une mini-jupe noire qui couvre à peine ses fesses et un débardeur rouge si serré qu’il est comme une seconde peau sur ses seins. Alors qu’elle se dirige vers la porte indiquée comme l’entrée des visiteurs, elle peut voir que les gardes de la tour la lorgnent. Toutes ces heures passées à se dépenser à la salle de gym semblent soudainement en valoir la peine.
Le garde à l’entrée prend sa lettre d’autorisation. Il la lit en détail et déverrouille la porte en grognant. Tiffany entre et se retrouve dans une allée étroite entre deux cours de promenade pour les détenus. Il s’y trouve une dizaine de prisonniers, tous habillés en orange vif. Ils arrêtent tous leur activité pour la regarder. Elle essaie alors d‘éviter tout contacte visuel et se concentre sur le prochain contrôle de sécurité.
Tiffany ne peut voir le visage du garde qu’à travers une petite fenêtre pare-balles du poste de contrôle. Par l’interphone, il lui ordonne de faire passer sa demande d’autorisation dans la fente qu’il vient d’ouvrir près de la porte. Elle s’apprête à faire passer le papier, mais elle le fait tomber accidentellement. Sans réfléchir, elle se penche pour le ramasser. Soudain, derrière elle, elle entend des cris des détenus, des sifflements et des remarques obscènes et vulgaires, les pires qu’elle ait jamais entendus. C’est alors qu’elle se rend compte que le fait que sa jupe soit très courte et qu’elle ne porte pas de culotte ont donné une vue imprenable sur son cul et sa chatte rasée quand elle s’est penchée. Rougissante elle se relève et tire sur sa jupe. Après avoir fait passer le document dans la fente, le verrou de la porte est déverrouillé et elle peut pénétrer à l’intérieur.
Elle est accueillie par un gardien à la voix monotone qui lui lit sur un bloc-notes :
- Bienvenue dans cette prison de haute sécurité. Pendant votre visite, vous devrez obéir à tous les ordres qui vous seront donnés par le personnel en uniforme de cet établissement. Pendant votre visite vous serez sous surveillance constante. Tenter de faire passer des produits de contrebande à la population carcérale est un crime de classe trois, passible d’une peine de prison de huit ans maximum et d’une amende de 25 000 dollars. En signant au bas de cette déclaration, vous consentez à une fouille de votre personne ainsi que des objets apportés dans cet établissement.
Le garde lui tend le bloc-notes. Tiffany jette un œil à ce formulaire de consentement et signe rapidement. La garde récupère son bloc-notes et dirige la femme vers un détecteur de métaux. Il lui dit :
- Enlevez vos chaussures, vos bijoux et tout autre objet et placez-les dans ce panier.
Tiffany connaît la procédure pour avoir plusieurs fois passé la sécurité d’un aéroport. Elle pose ses affaires dans le panier et elle franchit le détecteur en toute confiance. Aucune alarme ne se déclenche. Elle s’arrête en attendant que le garde lui rende le contenu du panier. Mais il le pose sur une étagère et lui dit :
- Passez la première porte à droite !
Elle voudrait récupérer ses talons, mais elle décide de ne rien dire. Elle fait ce qu’il lui a dit et trouve une gardienne qui l’attend. Tiffany est surprise de voir à quel point elle est attirante. Même dans l’uniforme gris, elle se rend compte que la gardienne aux cheveux blonds et aux yeux bleus a une silhouette étonnante. Elle se demande si elle n’a pas été engagée pour exciter les détenus.
D’un ton sévère qui ne va pas avec ses jolis traits, la gardienne dit :
- Vous allez devoir maintenant vous soumettre à une fouille corporelle complète et à une fouille de vos intimités. Enlevez vos vêtements un par un et donnez-les-moi !
Tiffany fait passer son haut par-dessus sa tête et lui donne. Elle regarde la gardienne examiner le vêtement, puis le déposer sur le sol à côté de la porte ouverte. Le processus se répète avec sa jupe. La femme lui demande ensuite de se tenir debout, les pieds sur les X en adhésifs sur le sol, les bras tendus au-dessus de sa tête. Tiffany prend a position et elle entend le bruit de latex sur la peau que l’on fait en enfilant des gants.
Tiffany n’a jamais subi de fouille corporelle auparavant, mais elle a une idée de ce quoi elle doit s’attendre. La gardienne lui ordonne d’ouvrir sa bouche en grand. Elle n’aime pas le goût du latex, mais elle ne se plaint pas quand la femme glisse son doigt autour des gencives et sous sa langue. Puis la gardienne soulève chacun de ses seins pour s’assurer que rien n’est collé dessous.
- Maintenant penchez-vous et posez les mains à plat sur le sol !
Les cours de yoga qu’elle suit trois soirs par semaine lui permettent de prendre cette pose sans problème. Tiffany sent deux doigts fins toucher sa chatte puis pénétrer à l’intérieur. La gardienne sonde l’intérieur de sa grotte jusqu’à ce qu’elle soit sûre que rien ne se cache dedans. Puis sans le moindre avertissement, la gardienne enfonce ses doigts dans son trou du cul. Tiffany sursaute sous cette intrusion anale.
- Ne bougez pas et détendez-vous ! Ordonne la gardienne.
Tiffany sent qu’elle prend plaisir à la dégrader ainsi.
Enfin la gardienne retire ses doigts et demande à Tiffany de s’habiller. La mère de famille se glisse rapidement dans ses vêtements et suit la gardienne jusqu’à une petite cellule vide tout au bout du couloir. Elle déverrouille la porte de la cellule et laisse Tiffany entrer.
Désignant la porte opposée à celle qu’elle vient d’ouvrir, la gardienne dit :
- Dans un instant, le détenu que vous venez voir entrera par là !
Puis la gardienne laisse tomber son ton autoritaire et dit :
- Vous devriez peut-être me donner vos vêtements. Ces types ont tendance à être un peu brutaux, et j’ai vu des femmes repartir d’ici presque nues parce que leurs vêtements étaient complètement déchirés.
Tiffany se contente de hocher la tête et de se déshabiller à nouveau. Elle tend ses habits à la gardienne en lui disant :
- Merci !
- Pas de problème, mais j’ai juste une autre question. Pourquoi veux-tu baiser un type qui purge une peine de prison à vie pour avoir brutalement violé six femmes ?
Tiffany secoue la tête en pensant qu’il doit y avoir une erreur. Son expression de surprise indique à la gardienne qu’on a dû lui mentir. Celle-ci dit en riant :
- Vous êtes tellement stupides, vous les salopes !
Elle fait claquer la porte de la cellule et s’éloigne. Tiffany tape du poing sur la lourde porte métallique dans une tentative futile pour qu’on la libère. Puis, derrière elle, l’autre porte s’ouvre. Elle se retourne et appuie son dos contre la porte métallique froide. L’homme qui se tient à l’extérieur de la cellule est tellement grand que les gardes qui l’escortent semblent être des nains. Des muscles épais ondulent sous sa peau noire comme du charbon quand il franchit la porte. Il doit se baisser et tourner ses épaules pour pouvoir entrer dans la cellule. A part les chaînes qui l’entravent, il est complètement nu. Les yeux de Tiffany sont immédiatement attirés par le membre massif entre ses jambes. Elle n’a jamais imaginé qu’un sexe puisse être aussi grand.
Les gardes qui l’escortent ne perdent pas de temps à lui enlever les menottes. L’un d’eux dit par-dessus son épaule en partant :
- Tu as une heure ! Amuse-toi bien !
Tiffany tremble tellement qu’elle peut à peine tenir debout. LeGros fait un pas vers elle et elle hurle de terreur. Il se jette sur elle et sa grande main se referme sur son cou. En chuchotant à son oreille, il lui dit :
- Nous pouvons faire ça de la manière douce ou de la manière forte. Ça n’a pas d’importance pour moi, car de toute façon j’obtiens ce que je veux.
Il relâche sa prise et Tiffany se met à genoux devant lui. Sa grosse bite commence à se dresser devant son visage. Rien qu’à son regard, elle sait ce qu’il veut qu’elle fasse. Tiffany ouvre la bouche aussi grande que possible et laisse le gland violet foncé glisser dans sa bouche. La queue continue à grossir et bientôt elle remplit sa bouche complètement. LeGros pose une main sur l’arrière de sa tête. Elle lève les yeux vers lui pour le supplier de ne pas lui faire de mal. Mais pour toute réponse, il lui lance un regard froid et insensible. Il lui fait basculer la tête en arrière et il commence à s’enfoncer dans sa gorge.
Tiffany commence à étouffer, mais l’homme se contente de rire. Elle peut sentir chaque veine de sa bite sur sa langue. Des larmes coulent de ses yeux. Par réflexe, elle commence à le mordre. c’est alors qu’il la gifle et lui crie :
- Je me retire quand tu lécheras mes couilles !
Sa gorge la brûle de plus en plus alors qu’il s’enfonce dans sa bouche. Sur le point de s’évanouir, Tiffany peut tirer la langue assez loin pour chatouiller les poils de ses couilles. A son grand soulagement, le colosse noir est fidèle à sa parole et il retire son membre de sa bouche. Sa bite est recouverte de longs filets de salive. Tiffany tousse et quand elle essaie de parler, les mots ne sortent que dans un murmure rauque. Elle voudrait se recroqueviller sur le sol et se laisser mourir pour s’être laissée entraîner dans cette situation.
En sanglotant de façon incontrôlable, Tiffany ne peut rien faire pour empêcher l’homme de continuer à la torturer. LeGros coince ses bras au sol à côté de sa tête et se met à cheval sur son corps. Il commence à mordre ses seins et à sucer ses tétons. Il laisse d’énormes zébrures rouge foncé sur sa poitrine. Mais il ne s’arrête pas qu’à ses seins, il laisse des marques le long de ses jambes, de ses bars, de son ventre et à un moment il la retourne pour lui faire la même chose au dos et à ses fesses. Il faudra des semaines pour que les marques disparaissent complètement.
LeGros sait que son heure va bientôt être terminée. Il a besoin de sentir sa chaleur autour de sa virilité. Il soulève Tiffany et la plaque au mur, assez haut pour que ses pieds ne touchent plus le sol. A ce stade, la mère de famille a abandonné toute résistance. Sa vie telle qu’elle l’a connue est terminée. Elle n’arrive pas à s’expliquer ce qui lui arrive. Elle peut sentir la bite de l’homme noir s’enfoncer en elle tandis qu’il la laisse glisser le long du mur. Son propre poids l’empale sur la grosse queue. Tout ce qu’elle peut faire c’est de grimacer à cause de la douleur de cette bite qui pénètre profondément en elle.
Elle finit par sentir les poils pubiens de l’homme contre ses lèvres de chatte gonflées. LeGros se déplace vers le centre de la cellule. Puis il commence à la soulever et à la laisser retomber sur sa queue. Les gémissements de Tiffany sont dus au début à cause de la douleur, mais finalement le plaisir se mêle à cette douleur. Le rythme de l’homme accélère et elle jouit d’une intensité qu’elle n’a jamais connue. Plus rien ne semble avoir de sens pour elle. Elle est en train de se faire violer violemment et elle lui crie de ne pas s’arrêter. Ses orteils se recroquevillent et elle griffe son dos alors que les orgasmes s’enchaînent.
Le colosse noir ne peut se retenir plus longtemps. Il explose en elle. Il peut encore sentir sa chatte se serrer quand il sort. Le corps de Tiffany en demande encore. Il l’allonge sur le sol et admire son travail. Ses yeux sont rouges et les larmes coulent sur ses joues. Les marques qu’il lui a infligées sont bien visibles. Mais son chef-d’œuvre se trouve entre ses jambes encore tremblantes. Sa chatte est béante et laisse échapper son foutre qui forme une flaque sous elle.
Les gardes reviennent et lui remettent les menottes. Ils ne prêtent aucune attention à Tiffany, qui est assise contre le mur de la cellule, en état de choc. Un moment plus tard, la gardienne ouvre l’autre porte côté visiteurs et jette ses vêtements à Tiffany.
Plus tard ce soir-là, Tiffany est seule dans le confort douillet de sa tranquille maison de banlieue. Elle vérifie ses e-mails. Sa famille est au lit. Elle a convaincu son mari qu’elle n’allait pas bien et que c’était pour ça qu’elle portait un jogging plutôt que sa nuisette habituelle. Même si elle est meurtrie dans sa chair et dans son âme, elle espère avec impatience recevoir un message de LeGros. Juste avant qu’elle ne soit sur le point d’éteindre l’ordinateur et d’aller se coucher, elle reçoit un nouvel e-mail. Elle ne reconnaît pas l’expéditeur, mais l’ouvre quand même. Le message dit :
« Je suis un ami de LeGros. Il m’a dit que tu étais une salope blanche excitée qui aime les bites noires. J’aimerai beaucoup te rencontrer »
En bas de l’e-mail, il y a un lien vers le site web de la prison. Tiffany clique dessus.
FIN
Court, simple (mais détaillé) et efficace.
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