Texte de Monique2.
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Une partouze dans un manoir.
Le soir, vers 20 heures, nous sommes arrivés à la clinique où Patrick était hospitalisé. Comment vous présenter Patrick ? Il est le double de mon mari, son ami de toujours, son frère, avec lui il a fait les quatre cent coups. Donc moi je le connais très bien, c’est avec lui que mon mari m’a initié à la double pénétration. Et depuis quinze ans, ils m'ont prise en sandwich un nombre incalculable de fois, ils m'ont pénétrée dans toute les positions possibles. Ils ont même établi des records. Celui qui tenait le plus longtemps quand je le suçais, celui qui pouvait m’enculer ou me baiser le plus longtemps ou celui qui me faisait jouir le plus vite en me léchant.
Arrivé devant la porte de sa chambre mon mari frappa, Patrick nous dit d’entrer.
- Alors vieux frère, on veut jouer au jeune homme, à quarante ans on ne fait plus de moto !
Et mon mari me dit a l’oreille :
- Mets-toi à droite du lit, c’est sa main valide !
Je m’exécutai sur-le-champ et m’approchai de Patrick par la droite. Je me penchai pour l’embrasser, je me relevai et me plaçai de façon que sa main droite soit au niveau de mon entrejambe.
- Tu parles, s’il n’avait pas plu, je n’en serais pas là !
Il avait passé sa main sous ma jupe et commençait à tripoter ma chatte, j’écartai tout ce que je pouvais pour lui faciliter la tache,
- Tu en as pour longtemps avec ce bras ?
- Non, je dois sortir dans deux jours, et je garderais le plâtre deux ou trois semaines je ne sais pas !
Mon mari me fit signe avec ses yeux que Patrick avait besoin de réconfort. Je m’empressai de lever son drap et de sortir sa queue, et je me baissai pour lui prendre son membre et commencer à le sucer. Il continuait à parler, je le suçais comme il aimait en lui tournant la queue avec la main et en même temps je montais et descendais avec ma bouche. Je lui caressais les couilles de l’autre main.
Au bout un moment il se mit à jouir. Je pris tout dans la bouche et l’avalai, et puis je lavai le reste de sperme qui restait sur sa queue.
- Maintenant chérie tu vas descendre à l’accueil nous chercher des cafés, nous avons à parler !
Je m’essuyai la bouche et sortis, je pris tout mon temps, mon maître ne voulait pas de moi dans la chambre. Il me dirait quand je pourrais rentrer.
Au bout de dix minutes, je me retrouvai devant la porte. Je frappai très doucement, je ne voulais pas qu’ils boivent leur café froid. Mon maître ouvrit la porte, me prit les cafés des mains et la referma, je restai dans le couloir à attendre l’autorisation de rentrer.
Au bout du couloir, deux infirmiers commençaient leurs soins du soir. J’ai patienté un bon quart d’heures avant que mon mari ouvre et m’autorise à pénétrer dans la chambre. Nous parlâmes de tout et de rien, puis mon mari dit qu’il était temps de partir pour laisser Patrick se reposer. Je l’embrassai, il avait des étincelles dans les yeux, je connaissais bien ce regard, il me préparait quelque chose.
Le voyage de retour se passa sans problème, je ne posai aucune question à mon maître. Je n’avais pas l’habitude de le questionner, il me donnait des ordres et je les exécutais. Je repris ma vie normale à faire des ménages surtout chez des habitués comme Marcel. Je couchai avec deux hommes à qui j’avais été offerte par mon maître. Je revis Patrick, plusieurs fois chez lui ou à la maison, enfin une vie tout fait dévouée à son maître. Ah si, j’avais fêté l’anniversaire de Marcel, il avait invité quelques potes mais je vous raconterais ça un autre jour. Trois semaines s’étaient passées, j’avais oublié cette discution entre mon mari et Patrick. Le samedi pendant le déjeuner mon mari me dit :
- Ce soir tu sors ! Tu te fais belle, et tu mets ton manteau car tu rentreras dans la nuit, voire au petit matin, et où tu vas il ne fait pas très chaud. Je veux être totalement satisfait de toi, et ne pas avoir de reproches, je t’emmène vers vingt et une heures !
Et brutalement me revenait en mémoire cet évènement de la clinique. Ça c’est un coup de Patrick. Mon maître me prêtait pour la nuit, je devais être nue sous un manteau et être totalement l’esclave des personnes que je verrais cette nuit.
- Je serai totalement soumise et je serai le jouet des personnes que je verrais cette nuit, tu seras fière de moi, chéri !
Nous avons fini de déjeuner. L’après midi s’écoula tranquillement.Vers vingt heures, je pris un bain et me rasai de près la chatte et le reste. Nous partirent à vingt et une heure comme prévue, je me rendis compte que nous allions vers l’Oise. Après avoir fait bien soixante dix kilomètres, il faisait nuit noire, mon mari s’arrêta derrière une grosse voiture type Espace juste avant un grand carrefour.
- Tu descends là, monte dans la voiture devant !
Je m’exécutai, mon mari repartit aussitôt. Je me dirigeai vers cette voiture, le chauffeur me fit signe de monter derrière.
- Bonsoir Monsieur !
- Bonsoir Madame, veuillez attacher votre ceinture !
Et la voiture démarra. L’homme ne parlait pas, nous roulâmes quelques kilomètres sur la grande route, puis il bifurqua dans une petite route qui rentrait dans la forêt. Et il roula un certain temps, cela me paraissait assez long. Je ne pus réprimer un frisson, on était en pleine forêt, tout était noir sauf les faisceaux de lumière de la voiture qui balayaient la route qui n’arrêtait pas de tourner. Puis il prit à droite dans une sorte de chemin de terre. J’étais pas mal secouée et une inquiétude montait en moi. Dans quel fantasme m’avaient entraînée mon mari et patrick ?
Brusquement, au détour d’un virage, une très grande maison apparue. La voiture stoppa, le chauffeur arrêta le moteur et descendit. Je fit de même, je me trouvais sur un parking où six autres voitures étaient garées. L’homme me fit signe de la main de le suivre. Tout en marchant je regardais cette batîsse, c’était une grande maison, presque un petit château en pleine forê. En m’approchant je remarquai des panneaux de publicité. C’était un restaurant. D’ailleurs je vis maintenant que tout le bas de la maison était des baies vitrées.
L’homme s’arrêta devant une porte vitrée, s’accroupit et ouvrit avec une clef, se releva, m’ouvrit la porte et me fit signe d’entrer. J’étais dans une immense pièce qui était dans noir. On ne distinguait les tables dressées que par la faible lumière des blocs de sécurité qui étaient allumés.
L’homme derrière moi referma la porte à clef et passa devant, je le suivis. Arrivé au fond il ouvrit une porte dissimulée derrière une grande tenture et se pencha pour allumer la lumière. Je vis un escalier qui descendait. Il fit signe de descendre, derrière moi il referma la porte a clef. L’escalier descendait pas mal. Arrivée en bas, je me trouvais devant une nouvelle porte. L’homme passa devant moi et frappa trois coups et s’effaça pour que ce soit moi qui soit devant la porte. J’entendis une clef tourner dans la serrure et la porte s’ouvrit. Un homme d’une quarantaine d’années de taille moyenne était dans l’encadrement de la porte. Cheveux mi-longs châtains presque blonds peignés vers l’arrière, des yeux bleus rieurs, une barbe naissante blonde, et un large sourire finissait le tableau. Il était craquant, il portait un gilet de costume, une chemise blanche avec cravate et un pantalon de costume très certainement d’une grande marque. Il s’effaça pour me permettre de rentrer dans la pièce. Mon chauffeur passa devant moi pour rejoindre un groupe de personne.
L’homme qui m’avait ouvert la porte la referma derrière moi et me prit par le bras. J’étais dans une grande pièce très large et encore plus profond, toute voûtée comme une cave mais elle devait être d’une hauteur de quatre à cinq mètres. Les murs et la voûte étaient en grosses pierres de taille de couleur beige. A ma gauche une grande table rectangulaire avec une nappe blanche. Dix couverts y étaient mis avec des verres à pieds. Plus loin quatre fauteuils en cuir marron clair mis en croix et au centre de cette croix un pouf de grande taille lui aussi en cuir de couleur marron. A ma droite une table rectangulaire contre le mur avec une nappe blanche, dessus une multitude de bouteilles d’alcools, et de grands raviers avec toute sorte d’amuse-gueules, puis une petite table à roulettes contre le mur. Trois fauteuils du même genre que les autres disposés en demi-cercle qui faisaient face à un autre fauteuil en cuir mais ou l’on pouvait s’allonger. Puis toujours à droite, un lit ou plutôt un sommier et un matelas recouvert d’un drap. Tout à fait au fond une grande table toujours avec une nappe blanche où était disposé un buffet. Au fond de la salle deux portes. Je sus par la suite que celle de droite était un cabinet de toilette avec deux wc, un grand lavabo et tous qu’il faut pour se laver. Ainsi qu’une douche qui rendra bien service. La porte de droite, c’était une réserve avec deux frigidaires, micro-onde, lave vaisselle et réserve de vins.
Maintenant les personnes qui se tiennent à quelques pas de moi, et qui me font face sont huit hommes, tous entre quarante et cinquante ans. Ils sont en gilets de costume comme l’homme qui me tient le bras. J’ai nettement impression qu’ils ont l’habitude d’être ensemble, et qu’ils sont tous aisés. Je me repère aussi aux voitures que j’ai vues sur le parking qui sont toutes de luxe, et à leurs costumes qui sont de grande marque, et je me trompe rarement sur les vêtements.
Un peu sur la gauche du groupe d’hommes, trois personnes se tenaient l’une à coté de l’autre. Un jeune homme d’une vingtaine d’année, une jeune fille à qui je donnerais à peine dix sept ou dix huit ans, et une femme de vingt cinq ans environ. Le jeune homme avait un visage très fin presque féminin, des petites lunettes rondes cerclées d’or. Ses cheveux était très courts et bruns. Il portait un pantalon de toile de couleur blanche et une chemisette de couleur saumon. La jeune fille était blonde les cheveux attachés derrière sa tête en tresse arrondie. Elle avait le teint très pâle sans maquillage et des taches de rousseur autour du nez. Ses yeux étaient noirs très inquiets voir un peu affolés, elle portait une robe dos nu, noire très moulante et très courte, on voyait ses touts petits seins à travers le tissu. L'autre femme était brune, les cheveux mi-longs attachés derrière, de taille moyenne elle avait le visage un peu allongée sans réellement d’expression. Elle portait un cache cœur bleu clair, et une jupe noire. Je distinguais sous le cache cœur une poitrine assez belle. Tous les trois me regardaient avec inquiétude. L’homme qui me tenait le bras prit la parole :
- Messieurs, je vous présente Monique la femme de notre ami qui a eu l’extrême obligeance de nous la prêter pour cette soirée. Etant l’esclave de notre frère de débauche, vous ne verrez pas objection à la considérer comme des nôtres, et à ne pas appliquer nos règles pour les jouets sexuels de nos soirée !
Dans un ensemble parfait les huit hommes rebondirent par l’affirmative à la demande. Il reprit la parole en désignant les trois jouets comme le disait le maître de cérémonie :
- Bien pour vous trois je vous rappelle nos règles. Vous êtes nos esclaves pour la nuit, vous devez soumission totale aux neuf membres. Vous avez interdiction de parler entre vous, interdiction de parler aux neuf membres et bien sur à Monique, sauf si on vous y invite. Vous pouvez crier voir hurler vous êtes dans une cave et personne nous entendra. Vous devez accepter toute demande des neuf membres, si vous dérogez à ces règles notre punition sera à la mesure de votre refus. Je tiens à vous rappeler que vous avez tous un compte a régler avec un des membres de cette assemblée !
Les deux jeunes étaient vraiment inquiets maintenant. L’homme qui me tenait le bras se pencha à mon oreille et dit doucement :
- Bien sûr pour vous ma chère il n’est pas besoin de punition, nous savons très bien que vous êtes toute disposée à nous satisfaire, et nous sommes tous impatients de vous voir en action. A ce que je sais de votre mari et de Patrick, votre réputation n’ai plus à faire vis à vis des choses du sexe !
Puis il releva la tête et dit :
- Est-ce que ces trois personnes pourraient se déshabiller maintenant !
Tous les yeux se tournèrent vers eux. La jeune fille était un peu pétrifiée, puis doucement elle passa ses mains derrière sa nuque et défit le nœud qui tenait le haut de sa robe. Puis elle descendit les mains avec la robe jusqu’à la taille et dévoila ses petit seins puis elle continua jusqu’aux pieds et leva ses deux pieds pour la retirer complètement, puis elle mit ses pouces de chaque coté de ses hanches et descendit sa culotte qu’elle retira. Elle était vraiment blonde naturelle et avait de petites fesses. L’homme près de moi reprit sur le même ton :
- Jeune fille, quel est ton prénom !
- Aurélie, monsieur !
- Bien, ma petite Aurélie; je crois que tu vas découvrir des choses ce soir !
Le garçon défit sa chemisette, il était assez maigre. Il défit sa ceinture et descendit sa braguette et laissa tomber son pantalon. Puis il défit son slip, il avait un petit sexe comme d’un enfant de quatorze ans.
- Quel est ton prénom !
- Bruno, monsieur !
Puis se fut le tour de la femme. Elle détacha dans son dos son cache cœur et l’enleva, elle avait des seins vraiment très jolis pas vraiment gros mais vraiment proportionnés. Puis elle défît sa jupe puis sa culotte.
- Quel est ton prénom !
- Céline, monsieur !
ils étaient tous les trois nus, et attendaient un peu comme des animaux qui vont à l’abattoir. Il se tourna vers moi :
- Et maintenant le plat de résistance, Monique vous voulez bien ?
Je défis mon manteau, il y eu quelques murmures, qui était tous sur la grosseur de mes seins.
- Maintenant les domestiques veuillez prendre place pour nous servir l’apéritif !
Tous les membres se dirigèrent vers la table près de la porte d’entrée. La femme et le garçon se mirent à servir les apéritifs et la jeune fille prit des raviers contenant des amuses gueules. Le maître de cérémonie avait mit sa main gauche sur une de mes fesses et la droite sur mon sein droit et commençait à me tripoter. Il me dit :
- Il y a longtemps que j’entends parler de toi, Patrick m’avait parlé de ton corps. Mais il était en dessous de la vérité.
Un autre homme se mit à ma gauche et me prit la fesse gauche et le sein et tout les deux se mirent à me tripoter, puis leurs mains lâchèrent mes seins, descendirent vers ma chatte et se mirent à fouiller mon intimité. Pendant qu’ils me caressaient, je regardai autour de moi.
Le jeune homme avait fini de servir, il était à genoux et était en train de pomper un des hommes et il tenait de sa main gauche une autre queue. Pour la femme elle était dans la même position, mais elle avait trois queues à s’occuper. Et pour la jeune fille, elle continuait de servir mais un homme lui prit les raviers des mains, les posa sur la table puis la fit s’agenouiller et lui présenta sa queue qu’elle prit dans la bouche. Le dernier homme lui mit sa bite sous le nez, elle la prit avec sa main gauche et commença a le branler.
- Je manque à tous mes devoirs, voulez vous boire quelque chose Monique ?
- Oui, s’il vous plait, un verre de jus d’orange… Je me rends compte que je ne connais pas votre prénom !
- Richard, vous devez l’avoir déjà entendu !
C’était vrai, mon maître et Patrick l’avait déjà prononcé devant moi. Je lui fit un sourire. Après avoir bu mon verre, je me mis en devoir de faire pareille que mes petits camarades. Je tendis mon verre à l’homme qui me tripotait sur ma gauche et me mis à genoux. Leurs queues étaient sorties. Je pris la queue de Richard dans la bouche, et l’autre queue je me mis à la branler et j’allais de l’un à l’autre. Cette séance de fellation battait son plein et au bout d’un certain temps Richard dit :
- Bon ! Messieurs, nous n’allons pas jouir de suite, la nuit est encore longue, je vous propose de passer à table !
Richard m’aida à me relever et tous ensemble nous nous dirigeâmes vers le buffet. Les trois esclaves sexuels se mirent à courir pour être les premiers près du buffet pour pouvoir servir les membres. Chaque homme se présentait devant l’un des trois, leur disait ce qu’il voulait manger, et pendant que l’esclave le servait, il lui tripotait ou la chatte ou le cul ou les seins. Quand tout les membres furent servis, Richard dit :
- Bon maintenant que tout le monde est servi et à sa place, Aurélie et Bruno vous passez sous la table, et Céline nous servira à table !
Les deux jeunes disparurent sous la table et commencèrent à pomper chaque membre, et Céline les servit. Chaque fois qu'elle se mettait entre deux hommes elle se faisait tripoter la chatte le cul ou les seins. Moi j’étais entre Richard et l'autre homme.
Tous les hommes parlaient et demandaient à Céline de venir pour du vin ou pour rien simplement pour lui mettre les doigts dans la chatte ou dans le cul. Dans ces cas là, elle écartait les jambes pour faciliter l’opération. Richard mangeait toujours et discutait avec moi ou un des membres. L’autre homme sur ma gauche avait arrêté de manger et me palpait les seins et me promettait une cravate de notaire à la fin du repas, je lui répondis que j’étais à sa disposition. Richard dit :
- Bon il serait bien d’avoir un petit spectacle non !
Il demanda à deux des membres en bout de table d’amener la table à roulettes près deux, ce qu’ils firent. Elle était plus haute que la table où on mangeait.
- Très bien, Céline et Aurélie vous allez nous faire le plaisir de faire un 69 sur cette table !
Céline posa la bouteille et alla s’allonger sur la table, Aurélie sortit de dessous de la table et commença à monter dessus. En passant près du visage de Céline elle lui dit tout doucement :
- Je n’ai jamais fait ça !
Et Céline de répondre :
- Tu lèches et tu fermes ta gueule sinon tu vas être punie.
Tout le monde pouvait les voir, Bruno continuait a pomper en dessous.
Le dîner continua, mon voisin de gauche me léchait les seins et tripotait ma chatte, on avait demandé à Bruno de sortir de dessous de la table pour servir à boire, un membre lui avait mit une bougie dans cul et il devait servir comme ça. Je discutai avec Richard, puis je me permis de lui poser une question :
- Tu pourrais m’expliquer ! Comment trouvez-vous ces gens pour ces soirée !
- Tu es bien curieuse Monique, en général on ne parle pas de la façon de procéder. Bon ! Parce que c’est toi, prends Aurélie, elle est en apprentissage avec lui !
Il me montre un des membres,
- Elle avait eu déjà à faire avec la justice pour de menus larcins, rien de très grave mais du sursis quand même. Mais voilà la petite se fait prendre par les cameras de surveillance de sa société en train de piquer dans la caisse. Il lui a fait voir la cassette, et lui a mit le marché en main, et donc elle est là. Pour Céline c’est autre chose, son mari l'a quitté en la laissant avec un bébé, des dettes et pas de travail. Je lui ai trouvé un travail. Un autre membre lui a trouvé un financement pour ses dettes, ça lui évite de perdre sa maison. Donc en échange, elle nous consacre des soirées à notre demande. On a plusieurs femmes dans ce cas là, et on les appelle de temps à autre pour changer !
- Combien de soirée !
- Une vingtaine, et pour notre petit pédé c’est le mignon de ce membre !
et il me montre un homme.
- Il est tombé amoureux de lui, alors tout de suite notre membre a vu l’opportunité. Il l'a dressé et il est devenus son esclave, c’est la première fois qu’il vient. D’ailleurs c’est pareil que pour Aurélie !
A la fin du repas, tout le monde sortit de table, trois membres demandèrent à Céline de venir. Un des hommes s’assit sur un des fauteuil la queue bien raide. Céline s’assit en s’empalant sur sa bite. Les deux autres étaient de chaque coté et se faisaient pomper.
Deux autres prirent Aurélie, la mirent à quatre pattes sur le lit, un la baisait, l’autre se faisait sucer.
Pour Bruno, ils le mirent à califourchon sur le grand pouf. Il avait les jambes qui pendaient d'un coté et les bras et la tête de l’autre. Un homme se mit derrière lui, il lui écarta les fesses et l’encula sans ménagement. Il poussa un cri, un autre lui présentait sa queue, il la prit dans sa bouche. L’homme lui prit la tête de chaque coté et se mit a limer avec force et lui rentra la queue complètement dans la bouche.
Pour moi Richard et mon voisin m’entraînèrent sur le grand fauteuil où on pouvait s’allonger. J’étais sur le dos, l’homme avait mit sa queue entre mes seins et se mit a limer. Richard était face a lui et me mit sa bite dans la bouche et je me mis a sucer. Au bout d’un certain temps, Richard et l’homme me firent me relever, Richard s’allongea il demanda que je m’asseye sur sa queue, il m’écarta les fesses et je m’enculai sur lui. L’autre homme me mit sa bite dans la chatte et ils commencèrent à me labourer.
Je vis un des hommes qui se faisait pomper par Céline se diriger vers le groupe d’Aurélie. L’homme qui la baisait s’allongea et Aurélie se mit sur lui, elle tournait la tête vers l’homme qui venait d’arriver avec des yeux implorants. L’homme écarta ses petites fesses, lui présenta sa bite prête à forcer sa rondelle, et il mit un violent coup de rein pour lui perforer le cul. Elle se mit a hurler, en le suppliant d’arrêter. L’homme continuait de plus belle en riant, celui de dessous se mit à la baiser avec force, le troisième les laissa. Il se dirigea vers Bruno, qui se faisait toujours enculer, il demanda la place à l’homme qui le besognait, qui lui laissa.
- Vas-y, continue à défoncer le pédé, je vais aller me faire laver la queue par celle qui hurle ça la fera taire !
L’homme se dirigea vers la bouche d’Aurélie et lui présenta sa queue. Elle détourna la tête, il lui força la bouche et lui rentra sa bite.
- Eh les gars ! Allez plus doucement pour défoncer la petite pute, elle doit s’appliquer pour me laver la queue !
Celui qui l’enculait s’arrêta de la défoncer, et dit :
- il me semble avoir vu un refus de sa part !
Il répondit par l’affirmative.
- Bon ! Quand on en aura marre on va lui dilater le cul avec une bouteille de vin comme punition !
Pour Céline les choses avaient changé, elle était sur la table où elle avait fait le 69, elle était allongée sur dos dans le sens de la largeur la tête pendante vers l’arrière, un des deux hommes lui avait mit sa queue dans la bouche, et l’autre lui avait levé les jambes et les tenaient avec ses mains tout en l’enculant profondément.
Quand ils eurent fini avec Aurélie, les trois plus l’homme qui se faisait sucer par Bruno prirent la petite et la mirent sur le pouf à la place de Bruno. Elle était à califourchon les jambes d’un coté, les bras et la tête de l’autre. Un des homme s’assit sur elle pour qu’elle ne puisse pas se relever, deux autres lui tenaient les jambes, le dernier tenait dans ses mains une bouteille de Bourgogne. Il enleva le papier métallique qui entourait le goulot, et il présenta la bouteille. Chaque homme qui tenait les jambes d’une main, lui écartèrent les fesses de l’autre. L’homme à la bouteille mit le goulot contre sa rondelle et l’enfonça tout en tournant. Il rentra la bouteille au maximum qu’il pouvait, et se mit a faire un va et vient de plus en plus rapide. Aurélie criait et pleurait.
L’homme qui se faisait sucer par Céline lui avait déchargé dans la bouche, l’autre qui avait arrêté de l’enculer était parti se laver. Ils se retrouvèrent à table pour manger un morceau.
Pour moi l’homme qui me baisait était parti se faire sucer par Bruno. Richard se lavait la queue après avoir déchargé dans ma bouche, et en partant il demanda à Céline de venir me lécher pour nettoyer ma chatte et mon cul. Elle s’exécuta. Richard revint me voir pour discuter avec moi pendant que Céline me léchait, c’est comme ça que j’appris que ce groupe de joyeux dépravés existait depuis plus de dix ans. Que les fondateurs étaient Patrick mon mari et Richard, qu’ils se retrouvaient deux à trois fois par mois, mais qu’ils avaient d’autres activités comme fournir des femmes aux membres pour un soir ou un week-end, quand leurs femmes et enfants étaient partis. Ou faire un jeu de pines, c’est Cécile qui expliqua. La fille a huit à dix adresses pour une journée de travail de neuf heures a dix sept heures et elle doit se rendre à chaque adresse professionnelle et faire une pipe à chaque membre vu à ces adresses. D’ailleurs pendant le bref moment ou nous étions toutes les deux, elle me dit tout doucement que si jamais un jour nous avions besoin d’une esclave femelle, moi et mon mari, elle serait toute dévouée à nous deux.
Et la nuit continua, Aurélie après son traitement avec la bouteille fut totale soumise à tous les hommes. Ils la prirent par tous les trous. Bruno passa une bonne partie de la nuit à genoux a sucer des queues, et bien sûr, son petit cul fut défoncé plus d’une fois.
Pour moi et Céline nous étions prises régulièrement en sandwich. Vers trois heures du matin, la soirée se termina et mon chauffeur me ramena chez moi, je n’avais pas besoin de raconter à mon mari ma nuit, car dans la cave il y avait des caméras numériques, et ils lui firent une copie de ma nuit. Je revis Richard pendant les vacances de cette année dans un hôtel club très spécial pour libertins avertis en Espagne.
D’ailleurs mon mari et moi avons emmené Céline avec nous. Je vous raconterais peut-être ces vacances un jour.
A suivre...
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