mercredi 15 mai 2024

Gang-bang d’une femme riche.

 Traduction d’un texte de Glenn S

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Wendy a 43 ans. Elle est très séduisante, maquillée avec soin et ne porte que des vêtements de marque très chers. Son mari est riche, il travaille dans la finance. Ils possèdent un grand manoir avec une vue superbe sur un lac.

Wendy n’a pas besoin de travailler et elle fait ce qu’elle veut. Son mari étant souvent en déplacement, elle passe ses journées à faire du shopping, déjeuner avec ses amies, puis refaire du shopping et aller au salon de beauté et chez le coiffeur. 

Elle aime l’art et fréquente souvent les galeries avec ses amies, achetant parfois des œuvres pour les exposer dans son manoir. Le prix n’est jamais un problème pour elle et elle achète ce qu’elle veut. Elle est riche, séduisante et obtient toujours ce qu’elle veut. Pour certains, ses manières brusques dénotent un caractère hautain et grossier.

Toutefois, elle charme tous les hommes qu’elle rencontre. Ceux-ci remarquent toujours ses gros seins avant le reste. Elle sait que sa sexualité peut lui apporter tout ce qu’elle veut. Après tout, elle l’avait bien utilisée pour épouser son mari riche bien plus âgé. Le vieux fou. Elle a eu de nombreuses liaisons discrètes pendant les cinq ans de leur mariage. Elle aime tout ce qui est cher dans la vie.

Nous sommes mardi et Wendy a son rendez-vous habituel chez son coiffeur. Elle conduit son cabriolet Mercedes jusqu’au parking client puis elle entre dans le salon. Elle remarque qu’il y a une nouvelle personne qui y travaille.

- Qu’est-il arrivé à Linda ? Demande-t-elle à la propriétaire, Mme Krueger.

- Elle a dû retourner dans son pays, car sa mère est malade, donc nous avons un nouvel employé dans l’équipe. Il s’appelle Antonio, il est italien. Il est charmant et il a beaucoup d’expérience. Il va vous coiffer aujourd’hui si ça vous va ?

Wendy regarde Antonio de haut en bas. Il est grand, bien foutu, avec de larges épaules et un incroyable sourire. Wendy estime qu’il a juste un peu plus de vingt ans. Il y a une vraie aura sexuelle autour de lui. Des pensées vicieuses traversent l’esprit de la femme riche. Elle aime fantasmer sur l’idée d’être infidèle à son mari. Mais ce jeune homme n’a pas d’argent ni de position sociale. Elle ne baise que des hommes riches. Son mari n’a jamais de temps pour elle, il est toujours occupé par son travail et ses voyages d’affaires à l’étranger. Elle est prête pour une nouvelle aventure, mais pas avec Antonio. Toutefois elle dit : « un peu de flirt ne fait jamais de mal ». Elle aime exciter les hommes. Finalement elle répond à la propriétaire du salon de coiffure :

- Oui bien sûr, Antonio peut me coiffer, ça sera parfait, merci !

Le jeune coiffeur a déjà été informé que Wendy et l’une des meilleures clientes fortunées et qu’elle doit faire l’objet de toutes les attentions. Elle s’assoit sur la chaise et se présente à Antonio. Celui-ci répond avec un accent sexy :

- Appelez-moi Tony.

Il passe ses doigts dans ses cheveux et commence à lui masser le cuir chevelu. C’est agréable et elle s’enfonce un peu plus dans le fauteuil. Elle lui demande où il loge. Il lui dit qu’il a loué un appartement pendant six mois, non loin du salon. Il le partage avec quelques amis qui sont venus en Australie avec lui. 

- Mme Krueger m’a dit que vous aimiez l’art ? Je suis un peu artiste en Italie, mais je commence. Dit Antonio.

Wendy est intéressée. Alors il poursuit :

- Je n’ai pas d’œuvres d’art ici, mais j’ai quelques photos si vous voulez les voir ? Peut-être pourrions-nous prendre un café ensemble un jour et je les apporterai pour vous les montrer ?

Wendy a-t-elle bien entendu ? Cet homme l’invite-t-elle à prendre un café ? Ils viennent juste de se rencontrer, mais il est assez séduisant alors elle se dit « Pourquoi pas ? »

- Merci Tony, ça sera agréable. Mais vous devrez me laisser payer. 

Ils prennent rendez-vous pour le lendemain dans un endroit qu’elle ne fréquente pas souvent, mais qui est idéal pour passer un moment agréable dans des petits box qui offrent une certaine intimité aux clients.

Le lendemain elle est excitée à l’idée de son rendez-vous avec Antonio. Elle est la quintessence de la femme fatale, alors elle s’habille en conséquence. Elle met une jupe très courte, mais élégante, un chemisier moulant, des chaussures et un sac à main assortie. La tenue vaut plus que ce qu’Antonio gagnera en trois mois à coiffer des riches femmes. En dessous de tout ça, elle porte un soutien-gorge et une culotte noirs. 

Au moment de partir, elle a une idée géniale. Elle s’arrête, remonte sa jupe et enlève sa culotte qu’elle laisse derrière elle en se disant : « Peut-être que Tony aimera avoir un aperçu de ce qu’il ne peut pas avoir »

Elle retrouve le jeune garçon qui est à l’heure. C’est bien, elle aime la ponctualité. Elle le surprend à regarder ses jambes et ses seins, alors elle a une montée d’adrénaline . Elle adore manipuler les hommes. « Continue de regarder Tony ! Tu ne pourras jamais me baiser, alors continue de rêver, pauvre petit rital coupeur de cheveux ».

Ils s’assoient à la table qu’elle a réservée et le serveur prend leur commande. Elle croise les jambes et s’assure que Tony puisse bien voir le haut de ses cuisses. Elle est dans son élément. Ils commandent tous les deux du vin rouge et en boivent un verre avant que le repas arrive et qu’elle feuillette l’album photo des œuvres d’art du jeune homme. Au bout d’un moment Wendy s’excuse pour aller aux toilettes.

Tony en profite pour remplir les verres de vin et il ajoute discrètement un liquide transparent dans le verre de la femme. Wendy revient, s’assoit et dit :

- Je ne peux boire qu’un dernier verre de vin , Tony. Je conduis.

Le repas arrive et ils parlent de choses et d’autres. Wendy flirte avec lui en faisant ressortir ses seins et en croisant et décroisant ses jambes. Elle laisse discrètement sa jupe remonter assez haut pour qu’il puisse voir sa chatte. Elle a l’habitude de jouer comme ça avec les hommes. Au bout d’une vingtaine de minutes, elle commence à avoir la tête qui tourne, comme si elle avait bu deux bouteilles de vin plutôt que deux verres. Elle dit :

- Je ne comprends pas. Deux verres ne me font jamais ça.

Tony lui propose alors de la raccompagner chez elle, car il ne veut pas qu’elle conduise. Elle paie l’addition et donne les clés de la Mercedes à Tony. Il lui prend le bras et l’accompagne jusqu’à la voiture. Il la fait asseoir sur le siège passager. Lorsqu’elle entre dans l’auto, sa jupe courte se retrousse presque à la taille. Antonio peut voir sa chatte sans problème, il voit qu’elle est soigneusement taillée et ses lèvres sont gonflées. Wendy ne se rend pas compte que sa jupe est complètement remontée, elle ne bouge plus.

Tony prend la place du conducteur et démarre. Mais il ne la ramène pas chez elle. Il l’emmène à son appartement. A l’arrivée, il l’aide à sortir de la voiture. La drogue a bien fait son effet et elle est presque endormie. Cette drogue est conçue pour cela et rendre coopérative la personne. Il ouvre la porte de son appartement et il aide Wendy à aller dans la chambre où elle s’assoit sur le bord du lit.

Elle sait qu’elle n’est pas chez elle, mais elle ne s’en soucie pas. Elle se sent vraiment bien et c’est tout ce qui compte pour elle à ce moment. Elle s’allonge sur le lit et perd connaissance.

Quand elle se réveille, elle constate qu’il fait nuit dehors. Elle réfléchit qu’elle a bien dû dormir au moins six heures. Sa tête est embrumée, mais elle se sent bien. Puis elle a un choc. Il y a quatre personnes dans la pièce ainsi que de l’équipement vidéo et des caméras. C’est alors qu’elle se rend compte qu’elle est complètement nue.

- Qu’est-ce qui se passe, bon sang ? Demande-t-elle.

C’est Tony qui répond :

- Relaxe, salope ! On t’a juste bien baisée et on a fait un film. Laisse-moi te présenter à mes amis, Mike, Sal et Théo.

Les trois hommes lui font un signe de tête.

- Les autres hommes qui t’ont baisée sont juste des gars que j’ai trouvés dans la rue. Ils t’ont baisée pour rien. Ça ne m’a pas coûté un centime. 

Wendy est en état de choc. Elle a été droguée et baisée comme une pute. c’est alors qu’elle se rend compte que sa chatte et son cul sont légèrement douloureux et que l’odeur inimitable du sperme couvre son corps.

- Mon Dieu, vous m’avez tous violée ! Je vais appeler la police !

Elle se lève et se dirige vers le téléphone.

- Doucement, sale pute ! Tu veux peut-être regarder la vidéo avant. Je sais que ton mari aimerait la voir.

Tony appuie sur un bouton et la vidéo commence sur la télévision. Wendy est debout et regarde se faire baiser et enculer par au moins douze hommes. Elle se voit sucer leur bite et elle a l’air d’aimer ça. Pour quiconque qui verrait ce film, il aurait l’impression qu’elle participe de son plein gré à ce gang-bang.

- Tu as apprécié nos bites, salope. Bon sang, je pense que tu n’avais même pas besoin d’être droguée, tu nous aurais baisés quand même. Tu n’avais pas de culotte sous ta jupe de marque, donc je pense que tu voulais baiser le vieux Tony. Maintenant, parlons affaires !

Wendy ne sait pas que faire. Si son mari met la main sur ce film, elle perdra tout y compris son train de vie luxueux. Mon Dieu, comment peut-elle être si stupide ? Elle n’a pas d’autre choix que de coopérer.

Tony Romano est un petit criminel à deux balles qui gagne de l’argent dans la prostitution, les paris illégaux, le chantage et la drogue. Ce n’est pas un gros bonnet, mais il connaît bien la rue ainsi que certaines personnes.

Tony présente le contrat à Wendy. Elle doit déposer de l’argent chaque mois sur un compte bancaire, mais pas trop sinon son mari va avoir des soupçons. Elle doit juste déposer assez pour permettre à Tony et ses amis de vivre un peu mieux pendant un certain temps.

- D’accord, je vous donnerai votre argent. Maintenant, rendez-moi mes vêtements pour que je puisse m’en aller.

- Pas si vite salope ! Tu dois faire quelque chose d’autre pour nous.

- Quoi ? Vous allez avoir votre argent !

- Non, espèce de salope blanche stupide riche et coincée, tu vas vendre ta chatte et ton cul pour gagner de l’argent tous les jours. Les gars et moi ne sommes pas avares alors nous avons besoin de plus d’argent que tu pourras mettre en banque. Et tu as intérêt à être bonne ou nous ferons en sorte que ton mari ait une copie de la vidéo. Nous en enverrons aussi à tous tes amis riches et nous la vendrons sur internet. Tu comprends, sale pute ?

Wendy est piégée, elle ne voit pas d’échappatoire. Elle peut leur dire d’aller se faire foutre, partir et risquer de divorcer et tout perdre. Elle perdait même sa réputation et serait connue comme une vulgaire pute par tous ses amis riches. Mais devenir une prostituée ? Non, elle doit jouer le jeu.

- Tu peux commencer par nous baiser à nouveau tout de suite. Et ça a intérêt à être bien. Allume la caméra, Mike.

Celui-ci obéit et les quatre hommes entourent Wendy, leur bite devant son visage.

- Obéis salope ! Suce nos putains de bite ! Crie Tony.

Elle prend la bite de Sal dans sa bouche et commence à la sucer. La queue est bientôt dure comme de la pierre et elle a du mal à la faire entrer dans sa bouche. 

- Fous-toi à quatre pattes maintenant qu’on puisse t’enculer ! Dit Tony.

Lentement elle obéit. Tony passe derrière elle et enfonce vicieusement sa bite dans le cul de la salope riche. Elle proteste bruyamment et reçoit immédiatement une claque sur son visage.

- Ferme ta gueule, sale pute !

La bite de vingt centimètres est entrée dans son cul jusqu’au bout. Tony commence à la retirer et l’enfoncer à nouveau violemment tout en claquant durement son cul. Wendy commence rapidement à pousser ses hanches  en arrière pour répondre aux coups de boutoir de Tony. 

Commence-t-elle à aimer ça ? Est-ce possible ?

Sal éjacule dans sa bouche et elle s’étouffe avec le sperme pendant un moment avant que Théo n’enfonce sa bite. Mike vérifie la caméra puis prend sa part. Il s’allonge sous elle et enfonce sa bite dans sa chatte de bourgeoise. Elle est baisée en double alors qu’elle doit sucer deux bites. La caméra continue de tourner. Tony la regarde et dit aux autres :

- Les gars, je pense que nous avons une petite esclave soumise ici.

Wendy se déhanche maintenant et suce goulûment les bites dures qui lui tombent sous la main comme une prostituée. Elle n’a plus besoin d’être obligée, elle en profite pleinement et tout est filmé.

Les hommes continuent de l’utiliser comme une pute pendant encore une heure avant de s’effondrer d’épuisement. A ce moment-là il est 22 heures. Tony dit alors à Wendy :

- Ton premier service va commencer, salope ! Mets ça !

Il lui jette une minuscule mini-jupe et un haut transparent. La jupe est si courte que l’on peut voir sa chatte et son trou du cul si elle se penche légèrement. Ses gros seins sont bien visibles à travers le tissu fragile de son haut.

Elle ressemble vraiment à une prostituée et c’est exactement ce qu’ils ont prévu pour elle à l’avenir. Qu’elle soit une riche salope blanche hautaine, obligée de sucer des bites pour 5 dollars et de se faire enculer pour 10 dollars, ce sont les instructions spécifiques que Tony a reçues de son « client » inconnu, mais qui paye bien. Tony avait été engagé pour organiser tout ça, il s’était dit qu’elle avait dû vraiment déplaire à quelqu’un.

Tony ordonne à Wendy de sortir de l’appartement et de marcher sur le trottoir pour le plaisir des hommes, sa jupe remontant et montrant sa chatte et son cul, l’intérieur des cuisses mouillé du sperme qui suinte de ses orifices bien baisés.

Puis elle est poussée sur le siège arrière de sa voiture entre Sal et Mike. Tony se dirige vers le quartier le plus chaud où Wendy rencontrera ses premiers clients pour la nuit. Il y en aura d’innombrables autres.

Tony arrête la voiture à un feu rouge et crie vers une bande de 15 libanais . Il leur fait signe de s’approcher.

- Les gars, vous voulez une pute pour la nuit ? Une salope blanche ? Elle aime se faire enculer. Vous aimez les salopes blanches, n’est-ce pas ?

Les jeunes jettent un coup d’œil à l’arrière de la voiture et examinent Wendy.

- Elle a de beaux nichons. Combien tu demandes ?

- Vous pouvez tous la baiser pour 50 dollars !

Wendy remue sur le siège arrière de la voiture. Elle a déjà été bien baisée et elle est sur le point d’être vendue à cette bande de voyous étrangers pour 50 dollars. Mais sa chatte est inondée de jus, elle ne peut l’empêcher. « Qu’est-ce qui m’arrive ? » Pense-t-elle, « Je suis vraiment une pute bon marché ».

L’un des gars donne 50 dollars à Tony et Wendy doit sortir de la voiture. Sal l’escorte jusqu’à une chambre d’un motel minable qu’ils ont réservé pour la nuit. Il ordonne à Wendy de se déshabiller et de commencer à sucer des bites. Elle obéit avec diligence en faisant des bruits de succion avec sa bouche tout en branlant les gars qui attendent.

Très vite, tous les gars ont sorti leur bite en attendant leur tour pour baiser cette pute blanche. D’énormes quantités de sperme éclaboussent le visage et les seins de Wendy alors que les bites se succèdent. On lui ordonne de présenter son cul et elle est rapidement sodomisée par les gars. Sal prend des photos. Il fait même la queue pour avoir une fellation et il l’encule une nouvelle fois. Il aime tant son cul serré.

Après deux heures environ, la bande de jeunes, épuisée, se rhabille et part. 

- C’est une putain assoiffée de bites ! Dit l’un d’eux à Sal en partant.

La nuit de Wendy n’est pas encore terminée. Sal appelle Tony sur son portable, et, cinq minutes plus tard, la Mercedes s’arrête près du trottoir.

- Je viens d’organiser d’autres réjouissances pour toi, salope !

Tony vient de s’arranger pour que Wendy fasse un strip-tease dans une boite louche et ensuite elle doit se faire baiser par le public. Pour quel prix ? Tony a vendu Wendy pour 40 dollars. Pour quel public ? Pour une centaine de clients excités de pouvoir la baiser à fond.

Le cœur de Wendy bat la chamade, sa chatte et son cul bien baisés palpitent. Elle pue le foutre et ses cheveux sont emmêlés avec du sperme séché. Mais Tony ne la laisse pas se nettoyer. Elle ne pense qu’à ce que ces hommes vont lui faire. Quelle quantité de sperme va-t-elle être obligée d’avaler ?

La boite est un repaire dégoûtant et délabré où les petits délinquants vendent de la drogue et où de vieilles putes se prostituent. C’est le genre d’endroit que Wendy n’a vu que dans des films. Jamais elle n’aurait pensé qu’elle serait obligée d’y travailler en suçant des bites et en se faisant enculer.

Mon Dieu, comment son monde à changer en moins de 24 heures. De la riche femme mondaine et hautaine avec du style, elle est devenue une pute bon marché qui suce la racaille dans les rues et qui se fait baiser comme une chienne.

Elle est fatiguée, sale et tout ce qu’elle veut, c’est pouvoir rentrer chez elle, dans sa belle maison. Mais Tony a d’autres plans.

- Tu vas monter sur scène, danser et enlever ces putains de chiffons. Sois sexy pour que le public ait envie de te baiser. Compris Salope ? Rugit Tony.

Wendy acquiesce alors qu’il la pousse vers la scène. Elle peut entendre la foule bruyante. Elle sait qu’elle va être baisée comme jamais elle ne l’a été auparavant. Sa chatte commence à mouiller et son jus commence à couler. C’est comme si son sexe avait sa propre conscience et qu’il voulait toutes ses bites, que le cerveau de Wendy le veuille ou non.

Une musique retentit et le rideau se lève. Tony lui met dans les mains deux godes vibrants géants en forme de bite et il lui dit :

- Utilise ça dans ton cul et ta chatte, salope !

Il la pousse sur scène et elle tombe à la renverse. Une voix crie :

- Lève-toi sale pute ! Et enlève tes putains de vêtements !

Elle obéit, se lève et commence à se déhancher. Elle regarde le public. Il y a tous les pervers et dégénérés qui aiment se branler en regardant ce genre de choses. 

Elle pose les godes et enlève son petit haut. Ses gros seins nus sont accueillis pars des hurlements d’approbation. Elle se tourne et remue son cul en enlevant sa jupe. Elle l’écarte d’un pied et un homme s’en saisit comme souvenir.

- Montre-nous ta chatte ! Crie un sale bâtard.

Elle obéit en se mettant à quatre pattes en en montrant son sexe et son cul au public. Les sifflements et les applaudissements sont presque assourdissants.

Wendy peut voir Tony, hors de la scène, faire des gestes vers les godes. Elle prend l’un d’eux et commence à l’enfoncer dans sa chatte. Elle le fait vibrer à pleine vitesse et s’assoit dessus pour qu’il entre entièrement. Elle remue son bassin et il glisse plus profondément. Elle sent arrivé un orgasme puissant.

A ce moment-là, Tony apparaît sur scène. Il prend l’autre énorme gode, verse du lubrifiant dessus et commence à l’enfoncer dans le trou du cul de Wendy. Celle-ci commence à protester, mais Tony crie :

- Ferme ta gueule !

Impitoyablement il enfonce le gode dans son cul jusqu’à ce qu’il y en ait deux tiers. Le gode est presque aussi gros qu’une canette de coca. Le cul de Wendy est distendu à l’extrême. Et c’est là qu’elle a un orgasme puissant, son corps convulsant comme un épileptique.

- Tu aimes ça, n’est-ce pas ? 

Puis il se lève et crie à la foule :

- Elle est prête pour vous tous maintenant !

Les hommes hurlent leur approbation et commence à se diriger vers la scène. Un agent de sécurité leur fait former deux queues à peu près égales, une au niveau du cul, une au niveau de la tête. Tony établit les règles :

- Par-devant, vous avez droit à une pipe. Par-derrière vous la baiser dans son cul ou sa chatte. Ensuite, soit vous retournez faire la queue, soit vous rentrez chez vous !

Tony retire les deux godes. Wendy regarde les hommes. Elle estime qu’il y a au moins 50 gars par queue. Une première bite est poussée dans sa bouche.

- Suce salope ! Demande son propriétaire.

Une autre bite pénètre son cul. Elle sait que la plupart des gars vont vouloir l’enculer. Mais avec un peu de chance, ils ne mettront pas trop de temps à jouir.

Après quinze minutes, elle n’a réduit les files que de quatre gars. Mike n’arrête pas de lui mettre la caméra sous le nez. Il ne manque pas une minute de l’action.

Une heure passe et elle est couverte de foutre. Certains gars lui demandent d’avaler alors que d’autres veulent voir leur sperme éclabousser son visage. Ses cheveux sont complètement trempés de foutre et ses yeux piquent à cause du sperme que des mecs aiment y faire gicler. Wendy perd le compte du nombre de queues qui ont baisé son cul et sa chatte. Mais elle se dit qu’il y en a au moins vingt qui sont passés. Certains types sont des salauds brutaux et claquent son cul si fort que la douleur manque la faire s’évanouir.

Une autre heure passe et les files d’attente diminuent. Elle n’essaie même plus de compter. Le sperme forme des flaques autour d’elle et sous elle, là où il a coulé de son corps. Incroyablement, elle aime toujours être baisée, être une pute pour tant d’hommes. Ça l’excite et elle est déterminée à finir les deux files. Elle adore ça, mais elle se demande « Comment puis-je aimer ça ? ».

Tony se tourne vers Mike et dit :

- Mec, ça va faire une super vidéo. Cette salope prend la bite comme aucune pute ne l’a jamais fait !

Wendy continue à être baisée pendant plusieurs heures jusqu’à ce qu’il ne reste que huit hommes. Tony leur dit d’entourer Wendy et de se branler sur son visage.

- Quelle belle façon de terminer cette vidéo ! Dit Mike.

Les gars éjaculent sur la femme qui reste là à regarder l’objectif de la caméra. Puis elle sourit et lèche le foutre avec sa langue. Elle l’attrape avec ses doigts et le met goulûment dans sa bouche. Tony et ses amis n’en reviennent pas. 

Il est presque 6 heures du matin et Tony dit :

- Il est temps de rentrer chez toi, sale pute. N’oublie pas que tu dois revenir ce soir ;

Wendy est étonnée de répondre :

- Super, j’espère que les clients seront meilleurs que ce soir.

Tony demande à Sal de l’enrouler dans une couverture afin qu’elle ne salisse pas les sièges de la Mercedes.

Wendy, la femme riche et hautaine devenue une pute bon marché est conduite à quatre pâtés de son luxueux manoir. Le soleil se lève et les rues commencent à être animées, les gens vaquant à leurs occupations quotidiennes. Tony ordonne à Wendy de sortir de la voiture et il lui reprend la couverture. Elle proteste, mais comme d’habitude l’homme lui dit de la fermer. Il lui jette un petit short en jean, dont les fesses ont été découpées. Il ne lui donne pas de haut, mais il lui tend ses clés de maison.

- Mets ce short, salope et rentre chez toi !

Elle enfile le short qui ne cache rien du tout. Ses bras cachant ses seins, elle part. Mike s’est mis à la fenêtre de la voiture et filme son cul alors qu’elle s’éloigne sur le trottoir.

Les gens remarquent cette prostituée presque nue qui marche vite dans leur rue de banlieue chic. Wendy se dit qu’elle est sûrement regardée par des gens qu’elle connaît. « Quel salaud ce Tony ! »  Se dit-elle.

Quand elle arrive près de son manoir, elle remarque que sa Mercedes est garée dans l’allée. 

- Qu’est-ce qu’il veut encore cet enfoiré ? Dit-elle tout haut.

Elle ouvre la porte avec se clés et entre. Elle voit son mari avec les quatre hommes répugnants. « NON » Crie-t-elle dans son esprit.

- Assieds-toi ma chérie, tu es dans un état lamentable ! Dit son mari Arthur.

Elle balbutie des excuses incohérentes sur le fait que Tony l’a enlevée et violée.

- Doucement ma chérie. c’est moi qui aie engagé Tony. Dit son mari.

Wendy est en état de choc. A-t-elle bien entendu ? Son mari a engagé des hommes pour l’enlever, la baser et la transformer en pute .

- Pourquoi ? Demande-t-elle doucement.

- Tu vois, je sais tout de tes coucheries dans mon dos ces cinq dernières années. Tu a cru que j’étais idiot ? Il fallait bien que tu reçoives une leçon. Bien sûr, maintenant je n’ai pas besoin d’une pute dans ma maison alors je me suis arrangé pour que tu quittes le pays ce soir dans mon jet privé.

Wendy le regarde d’un air perplexe.

- Je t’ai vendu comme esclave sexuel à des hommes du Moyen-orient, ma chère. Tu m’as rapporté une belle somme je dois dire. Ta disparition est bien planifiée, je dirais que tu as choisi d’aller vivre en Europe.

En vint-quatre heures, la vie de Wendy a été réduite à néant. Maintenant elle devra servir le reste de ses jours comme une misérable esclave sexuelle d’arabes.

Sa chatte commence à palpiter et son jus commence à couler.

FIN

1 commentaire:

  1. J’adore cette histoire mon cher Didier. En revanche, ne l’auriez vous pas déjà publié sur Literotica?

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