mardi 7 mai 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 04

Texte de Monique2.

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Un trio avec une collègue de mon mari.

Un jeudi vers les 14 heures, le téléphone sonna, au bout du fil c’était mon mari.

- Bonjour chérie, pour ce soir je t’amène pour le dîner une collègue de bureau, tu fais comme j’aime pour me satisfaire sur tous les points, on arrive vers les 19 heures, bon à ce soir je t’embrasse !

Il m’amène une collègue à dîner, tiens mon mari veut se payer une partie a trois, et il a dit « pour me satisfaire », traduction pour moi, c’est à poil avec juste un petit tablier blanc pour le service.

Je ne suis pas une accro des femmes. Il m’est arrivée dans ma jeunesse de coucher deux ou trois fois mais je préfère une bonne grosse queue qu’une chatte, et je préfère une partie a trois avec deux mecs que d’avoir à partager un mec avec une autre fille. Mais mon mari est le seul à décider et je serais toujours soumise à ses envies. 

Je prépare tout pour le dîner et vers les 19 heures 30, mon mari et sa collègue arrivent. Je suis nettement impressionnée. La femme qui accompagne mon maître, j’estime son âge à une cinquantaine d’années, elle doit mesurer au moins 1m75, et peser dans les 90 à 100 kg. Elle a une paire de seins qui doivent faire 100 à 110, elle porte des lunettes à monture noire, elle a des cheveux noir jais. Elle a fait une tresse qui lui descend jusqu’aux fesses. Elle porte un veste de costume noire sur une jupe noire, courte assez serrée sur ses cuisses et un chemisier blanc. Je me tiens devant eux à poil avec mon tout petit tablier blanc, très intimidée par cette femme, je devrais être habituée depuis le temps. Mon mari adore me mettre dans des situations pas possibles, c’est ça qui l’excite.

- Tu vois Odile, que ma femme est tout ce qu’il y a de plus soumise et je pense que tu pourras t’amuser avec elle.

- Je suis tout à fait d’accord avec toi, tu peux lever ton tablier ma chérie que je puisse voir cette chatte que tu nous cache.

Je m’exécute sur-le-champ.

- Une chatte rasée, quel délice. J’en salive d’avance !

Ils s’installent dans le salon, Odile sur le canapé et mon mari dans le fauteuil. Je leur sers l’apéritif et les amuses-gueules.

- Eh Odile ! Ça ne te plairait pas te faire brouter la chatte tout en buvant l’apéritif.

- Tout a fait, viens là ma chérie pour enlever ma culotte. 

Elle se lève, et je me mets à genoux à ses pieds. Je passe mes deux mains sous sa jupe, et je lui attrape la culotte que je descends à ses pieds. Elle remonte sa jupe jusqu'à la taille et se rassoit, elle écarte ses grosses cuisses, elle a une chatte très poilue. J’avance la tête et je constate un sexe très ouvert avec de grosses lèvres et un clitoris très proéminent, il est vraiment plus ouvert que le mien malgré toutes les queues que je me suis enfilées. 

Ma bouche et mon nez sont dans cette chatte qui sent très fort. Cela ne me gène pas, après avoir sucé les queues de mes couvreurs en fin de journée ça ne sentait pas la rose. Je rentre la langue au plus profond, et je commence à m’activer le plus rapidement possible. Elle appuie une main sur ma tête, et continue de boire de l’autre, et de parler à mon mari. Elle a l’air d’apprécier de plus en plus, elle mouille, et j’ai le visage de plus en plus trempé. Au bout d’un certain temps...

- La salope elle va me faire jouir !

Elle pose son verre et m’appuie sur la tête avec ses deux mains, elle jouit, je suis trempée, ça coule jusque dans mon cou. Je continue à la lécher et boire son jus. Elle me retire la tête de sa chatte et me roule une pelle, sa langue fouille l’intérieur de ma bouche, puis elle se met à me lécher le visage. Après cette apéritif nous passons a table. Je pars à la cuisine sortir la viande du four, mon mari rit et parle avec Odile, je tends l’oreille.

- Ma chère Odile, j’ai toujours admiré depuis que je te connais ta poitrine, combien fais-tu de tour ?

- Je m’étais rendue compte de ton admiration pour mes seins. Je fais du 105C, mais de toute façon ta femme étant à poil je ne vois pas pourquoi j’en ferais pas autant et vous les cacherais plus longtemps. Ce serai une torture n’est ce pas ?

J’arrive avec les plats et je m’assois pour admirer le strip-tease. Elle se leve et défait sa jupe puis déboutonne les boutons de son chemisier, et défait son soutien-gorge. Une paire de seins énormes surgissent. C’était vraiment tentant de les palper. Mon mari ne peut résister, il se leve et fait le tour de table et les prend à pleines mains. Odile me dit :

- Ne sois pas jalouse ma chère, tu as de gros nichons toi aussi et je suis impatiente de te les lécher !

Le repas se déroule dans une très bonne ambiance. Odile remet sur ses épaules son chemisier mais on peut toujours admirer ses deux gros seins qui balancent de droite à gauche chaque fois quelle bouge.

Mon mari est aux anges, une grosse pute avec d’énormes nichons complètement à poil devant lui, et sa salope de femme à sa gauche à poil aussi, avec de gros nichons qui ne sont pas si ridicules face aux obus d’Odile. Après le repas, ils s’installent dans le salon à la même place que pour l’apéritif. Je leur sers le café que nous buvons tout en discutant. Mon mari me demande un cognac et quand il est servi, il nous dit :

- Ca serait agréable de me faire un petit spectacle, par exemple un 69 sur le canapé, qu’est ce que vous en dites les filles ?

Odile s’allonge de suite la chatte face à mon mari les jambes écartées, je me mets tête-bêche et nous commençons chacune à nous lécher. elle est très douée et me fait déjà mouiller. Mon mari va d’un côté à l’autre, pour admirer les ébats qui l’excitent au plus haut point. Il s’amuse à nous mettre ses doigts dans le cul.

- Tu sais Odile, que ma femme à le cul beaucoup plus dilaté que toi ?

elle s’arrête de me lécher.

- Et ! Combien de mecs lui ont défoncé le cul ?

- Oh ça ! Difficile à dire, mais c’est toi qui me disais dans la voiture que tu avais l’habitude de te défoncer la rondelle avec un gros gode, voir même un concombre, alors ?

- Oui c’est exacte, mais Monique tu te fais enculer combien de fois par semaine ?

Et elle se remet à me lécher.

- De 7 à 10 fois par semaine, il y a eu des jours où je me suis faite enculer 8 fois dans la même journée.

- Ton mari a raison quand il te décrit comme une grosse pute et comme il dit, un sac à foutre !

Nous nous remettons sérieusement à nous lécher de plus en plus violemment, c'est moi qui jouit la première. Je me mets à crier tellement c’est bon, tout en creusant les reins pour coller le plus ma chatte à sa bouche. Odile m’aspire avec sa bouche pour récupérer le plus de jus possible. Elle adore ça, autant que moi j’aime le foutre, et c’est pas peu dire. 

Après cet orgasme, je me remets à lécher Odile et je rentre ma langue au plus profond de sa chatte. Après un bon bout de temps, elle se met à jouir comme une fontaine. J’en ai plein le visage. Mon mari se penche sur moi pour m’embrasser et pour dire que je suis la reine des salope avec ma langue. Odile approuve et me félicite pour mes qualité de lécheuse. Je lui dis que je me suis beaucoup entraînée avec tout les queues que j’ai léchées et sucées ces derniers mois.

- Bon, si on allait dans la chambre les filles, vous m’avez donné un spectacle super, mais je veux participer activement, on monte ?

Nous sommes toutes les deux d’accord pour continuer, et je suis décidée à jouir encore plus. Nous montons à l’étage, Odile demande si elle peut prendre une douche à mon mari, tout en se retournant sur moi.

- Bien sûr tu peux prendre une douche, et d’ailleurs je vais la prendre avec toi, j’ai envie de profiter de ton corps !

Odile me regarde avec regret, ce qui fait sourire mon mari, et pour bien faire comprendre à Odile qui est le maître, et qui est l’esclave, il me dit en me regardant droit dans les yeux.

- Toi, le sac a foutre, tu vas aller nous chercher à boire, Odile adore le champagne !

Je fais demi-tour, et descends presque en courant l’escalier. J’entends Odile lui dire qu’il ne devrait pas me parler ainsi, et lui de répondre que je suis totalement soumise à lui, et que j’aime ça. C’est vrai j’aime ça, être son esclave et plus il m’humilie, surtout devant d’autres personnes, ou en m’obligeant a faire des chose que je n’aime pas comme, coucher avec des vieux, ou m’offrir à des inconnues, et plus j’aime lui obéir. 

En remontant avec le plateau, je les entends, mon mari lui dit qu’il aime lui savonner les seins. Je ne rentre pas dans la salle d’eau et les attends assise sur le lit. Ils sortirent de la pièce, et mon maître s’allonge sur le lit.

- Odile, j’aimerais que tu t’occupes de ma queue avec ma grosse salope de femme ! 

Je me mets sur la gauche de mon mari à quatre pattes et j'engloutis sa queue.

- Odile, arrête de regarder les nichons pendants de Monique et vient !

Elle s’allonge à droite et se met à lui sucer les couilles. On continue chacune notre tour à le sucer, puis on se met à le branler avec notre bouche chacune de notre coté le long de sa queue. Au bout d’un certain temps mon mari nous arrête et se met à se branler avnat de décharger sur le visage d’Odile très surprise, et pas habituée par autant de sperme.

- Monique, fait moi disparaître tout ce foutre !

Je me mets à la lécher consciencieusement, et j'avale tout, elle en avait plein dans la bouche.

- Allonge-toi Monique, et toi Odile crache le reste de foutre dans la bouche ! 

Je m’exécute, et Odile met sa tête juste au-dessus de moi et se débarrasse du reste de foutre qui coule dans ma bouche et je l’avale avec plaisir. Je me rends compte qu’Odile n’aime pas trop ça, alors je lui prends la tête pour l’embrasser et je lui lave tout l’intérieur de la bouche, elle sourit après...

- Tu vois Odile, elle adore le foutre, et depuis qu’elle est avec moi, elle en a avalé des litres. Maintenant ma grosse salope pour me faire pardonner, tu vas lui bouffer la chatte !

Odile est allongée sur le dos, moi à quatre pattes, elle écarte les jambes, remonte les genoux au maximum. Je me mets à lui lécher la chatte avec force, mon mari s’est allumé une cigarette, et nous regarde très intéressé. Au bout d’un long moment Odile jouit. Le visage tout inondé, je m’apprête à relever la tête, quand je sens ses deux mains sur ma nuque.

- Continue salope à me lécher, tu es vraiment une grosse chienne, ton mari a raison, je n’ai jamais vu une poufiasse aussi… Putain c’est bon, continue !

Et je continue, je lui mets la langue au plus profond de sa chatte, et ça dure un certain temps. Elle m’appuie sur la tête de ses deux mains, et ça commence à me faire mal. Mon mari a retrouvé sa vigueur.

- Dis Odile, ça te plairais que je te mette ma queue dans cul, ça te changerait de ton concombre !

- Bien sûr, mais pour reposer la grosse pute, c’est elle qui va s’allonger, c’est normal pour cette salope d’être en dessous !

Elle se retire du lit, et elle me dit :

- Toi le sac a foutre, tu t’allonges sur le dos, les pieds sur les oreillers !

Odile a changé, et elle me prend pour son jouet, mon mari sourit, ça lui plait. Je me mets rapidement en place, Odile se met tête-bêche. Mon maître met un coussin sous la tête, pour être à hauteur de la chatte, puis écarte les grosses fesses d’Odile. Il rentre brutalement sa bite dans le cul d’Odile, elle pousse des cris.

- Allons Odile ! Si tu avais pris autant de bites dans cul que Monique, tu ne crierais plus !

Mon mari me fait un clin d’œil, et me tire la langue. Je comprends toute de suite, et me mets à lécher la chatte d’Odile. Elle halète à chaque coup de boutoir de mon mari. De temps en temps, je lui suce les couilles, Odile prends tout doucement du plaisir, et elle se met à me lécher. Elle gémit de plus en plus fort, et je sents son jus couler dans ma bouche, puis brutalement elle se raidit. Je sens ses cuisses se crisper, et elle jouit en criant. Elle fait bouger sa tête dans tous les sens, je vois ses gros seins bouger aussi au rythme de son plaisir. Elle reprend ses esprits, et tourne la tête vers mon mari.

- Putain mon salaud, tu m’a vraiment défoncé. Je ne suis pas prête de l’oublier, tiens j’aimerais bien que tu décharges sur la gueule de cette pute !

- Tes désirs sont des ordres, allez grosse salope, à genoux !

Odile se releve, elle attrape mes tétons.

- Ma salope de chienne, dépêche-toi, tu as du foutre à avaler !

Je me releve et me mets à genoux face à mon maître qui se branle énergiquement. J’ouvre la bouche en grand et tire la langue. Il décharge sur mon visage et dans ma bouche. Je me mets prestement à récupérer le foutre, et me le mettre dans la bouche puis j’avale avec délice.

- Elle aime ça, cette grosse chienne ! dit Odile. 

Nous avons fini la bouteille de champagne, Odile demande à mon mari s’il peut descendre chercher son sac, ce qu’il fait et il nous dit qu’il en profitera pour remonter une autre bouteille. Odile me demande de lui sucer les seins, elle les prend dans ses deux mains, et me les présente. J’ouvre en grand la bouche pour lui aspirer le téton et un peu du reste vu la grosseur de ses nichons. Mon maître remonte un instant plus tard et tend le sac qui ressemble plutôt à un cabas. Elle le prend, et en sort un sac plastique qu’elle ouvre. Dedans il y a un gode-ceinture, elle me fait un grand sourire quand elle me le mt sous le nez.

- Il n’y a pas que ton mari qui peut s’occuper de ta chatte et de ton cul, je suis sur que tu vas aimer !

Mon mari nous sert du champagne. Odile me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit de façon qu’elle puisse rester debout pour me prendre. Le gode est plus long et plus gros que la queue de mon mari. Elle met ses mains sur mes hanches, et rentre son pieu dans ma chatte et commence à limer de plus en plus vite, je commence à gémir rythmé par son va et vient.

- Alors ma grosse chienne, tu aimes mon manche qui défonce ta chatte, et en plus moi je peux faire ça pendant des heures !

Je me mets à jouir comme une folle, je n’arrive plus a retenir mes cris, et elle continue de plus belle. Elle n’arrête pas de m’enfoncer son gode c’est une folie.

- Tu sais Monique, montre en main, ça fait au moins 15 minutes qu’elle te baise, Odile tu devrais changer de trou, tu vas m’abîmer sa chatte !

- Il n’y a pas de risque de surchauffe, si tu voyais comment elle mouille cette salope, ça coule sur le lit, mais tu as raison, je vais lui mettre dans le cul !

Elle retire son gode, et écarte mes fesses, elle le fait rentrer dans mon cul et le va et vient reprend sans aucune pitié pour moi. Très vite je me remets à jouir, ça n’arrête pas, elle se déchaîne, et me défonce le cul de plus en plus. Je n’en peux plus, mes bras ne me supportent plus, je m’effondre la tête sur le lit le cul en l’air, et elle continue son œuvre de destruction. Au bout d’un temps qui me parait une éternité, elle s’arrête, et retire son pieu de mon cul, je m’écroule totalement vidée, je vois le visage de mon maître au-dessus de moi tout près, il me sourit.

- Record battu, elle t’a enculée pendant 25 minutes, on va te laisser te remettre, tu devrais te mettre au lit tu l’a bien mérité !

Je les entends descendre, je me mets à ramper pour rentrer dans le lit, je me glisse sous les couvertures, et je m’endors tout suite. 

Le lendemain matin, je me réveille à 11 heures, il n’y a plus personne à la maison, je descends dans la cuisine, et en passant devant le téléphone, je remarque qu’il a un message, j’appuie sur le bouton.

-Bonjour Monique, ton maître est très satisfait de toi, après que tu te sois endormie, je me suis fait pomper la queue par Odile, mais à coté de toi elle manque vraiment de pratique. N’oublie pas que ce soir nous allons voir Patrick à l'hosto, tu es vraiment la reine des putes !

Si mon maître est satisfait, alors je suis heureuse. Bon pour le moment, j’ai vraiment besoin d’un grand bol de café, et pour Patrick c’est une autre histoire.

A suivre...

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