lundi 27 mai 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 06

 Texte de Monique2.

*****

Cela va te changer ma chérie.

Fin juin, pendant un dîner, mon mari me dit :

- Samedi soir un couple viendra dîner à la maison, tu prépares un repas léger. Et très certainement Patrick nous rejoindra dans la soirée. Je vais te dire pourquoi ils viennent étant donné que Richard t'a un peu expliqué comment fonctionnait notre groupe. Lui, il est patron d’une petite entreprise qui a de grosses difficultés à l’heure actuelle. Il a besoin d’un marché pour relancer sa boite. Il a contacté des membres de notre groupe, il est absolument d’accord avec nos exigences et se pliera à toute demande. Cela va te changer ma chérie, car ça ne sera pas à toi de te soumettre pendant la soirée, mais à eux.

Le samedi se passa sans histoire, je préparai un poulet froid et plusieurs salades composées. Je m’habillai avec une jupe noire plissée et un chemisier blanc bien sûr (et vous me connaissez maintenant) ni culotte et soutien-gorge, d’ailleurs mon chemisier ne cachait rien de ma poitrine. 

Vers dix-neuf heures notre couple arriva. Je suis assez surprise, lui une cinquantaine d’années, un peu plus grand que moi, assez gros, le visage tout rond avec une petit moustache, très peu de cheveux qu’il ramène vers l’arrière. Il a des yeux rieurs, il porte un costume très simple et un nœud papillon. Elle c’est tout simplement "black big mama" comme on l’imagine, elle doit faire ma taille et peser 130kgs, des seins énormes, un cul encore plus énorme et un visage d’enfant très lisse d’un noir brillant avec un grand sourire, des dents très blanches et un rouge à lèvres très rouge. En la voyant on ne pouvait qu’avoir le sourire, elle représentait le bonheur et la joie de vivre. Elle portait une robe rouge très longue, avec un décolleté vertigineux. 

Ils nous embrassâmes, nous nous présentâmes, lui s’appelait Gilles et sa femme Rose. Puis mon mari invita le couple à aller au salon. Les deux hommes se mirent sur le canapé, et mon mari me demanda d’apporter les apéritifs et les amuses-gueule. Je partis vers la cuisine suivie par Rose qui voulait m’aider. Arrivées dans la cuisine, elle me demanda :

- Excuse moi Monique ? Je ne sais pas bien comment il faut procéder. Mon mari m’a dit que vous deviez profiter de moi comme de lui totalement, et que ton mari et toi soyez satisfaits !

Je lui fis un grand sourire, je réalisai que c’était à moi de donner les ordres à la différence de d’habitude, et il me parut normal comme je le faisais très souvent pour les amis de mon maître de lui dire :

- Ecoute Rose, si tu veux faire plaisir à mon mari, déshabille-toi complètement, et sers-nous l’apéritif toute nue.

Elle s’exécuta de suite. Elle retira sa robe en la passant au-dessus de sa tête, elle retira son soutien-gorge et libéra ses deux seins. Ils étaient énormes et tombaient sur son ventre très rond, puis elle descendit sa culotte. Je la regardais, elle avait un cul énorme, je lui demandai de tourner sur elle-même, elle me dit :

- Tu crois que je vais plaire a ton mari ?

- Sans aucun doute ! Avec des seins et un cul comme les tiens il va adorer. Passe devant pour entrer dans le salon, ça va lui faire plaisir.

Elle prit le plateau avec les verres et fit son entrée. Je voyais les yeux de mon mari. Il ne peut résister à des gros seins ou un gros cul et là, il est servi. Elle se pencha pour tendre le verre à mon maître. Ses seins pendaient, il la laissa dans cette position et tendit les mains pour soupeser sa poitrine, Gilles dit :

- Elle est tout à vous, vous pouvez lui demander n’importe quoi, elle sera ravie de vous satisfaire, et vous aussi madame, et je suis moi-même dans la même soumission vis à vis de vous deux !

Mon mari dit :

- Ca veut dire que vous acceptez aussi de faire les mêmes choses que votre femme ?

- Oui, tout à fait !

Mon mari eut un sourire,.

- Hé bien ! Gilles, vous allez vous mettre a genoux et me pomper, et Rose va s’occuper de Monique.

Gilles se leva, posa son verre sur la table du salon, se mit à genoux entre les jambes de mon mari, et lui sorti la queue de son pantalon. Il la mit dans sa bouche et commença à le sucer. Il avait la technique pour sucer les queues, ça se voyait, et pas du tout gêné de le faire. Quand à Rose, elle s’avança vers moi, je m’assis sur le fauteuil et je mis les jambes sur les accoudoirs comme je l’avais si souvent fait avec Laurent mon couvreur qui aimait tant me voir me branler. Ça me fait penser qu’il faudra que je leur téléphone à ces trois-là. Ainsi assise, Rose se mit a genoux et remonta ma jupe et se mit à me lécher. Elle aspirait les lèvres et le clito puis elle me rentrait sa langue dans mon vagin et ça avait l’air de lui plaire. Mon mari appréciait la pipe que lui faisait Gilles mais il ne perdait pas de vue le cul de Rose.

- Dis Gilles ! Ta Rose, elle se fait enculer souvent ? Ca doit être un plaisir de lui défoncer son gros cul non ?

Gilles arrêta de le sucer et dit :

- Elle adore ça, mais vous devez savoir que nous avons eu une expérience il y a très peu de temps.

- Ah oui ! Continue de me pomper Gilles, je vais le raconter à Monique. Il y a quelques jours, chérie, nos deux amis ont eu la visite un soir de cinq de nos membres sans être prévenus. Ils se sont fait baiser et enculer et ils ont sucé des queues une bonne partie de la nuit. D’ailleurs il se sont très bien débrouillés et nos membres ont été très satisfaits de leur soirée.

Gilles continuait de sucer mon mari et Rose me léchait la chatte et m’avait déjà fait jouir. Après m’avoir lécher le jus, elle s’était mise à me lécher le cul et rentrait sa langue dans ma rondelle. C’était un vrai plaisir. Gilles s’activait de plus en plus sur la queue de mon mari, il le suçait et le léchait avec ferveur. Je voyais qu’il appréciait vraiment la queue d’un homme. Brusquement mon mari lui tient avec ses deux mains la tête, il ferme les yeux et pousse un râle de plaisir. Il vient de décharger, il se vide dans la bouche de Gilles qui n’en perd pas une goutte. Il le suce deux trois fois en plus pour lui laver le gland.  Gilles se retire et se relève tout en avalant le foutre. Mon mari lui tend son whisky, il en boit une gorgée et il dit :

- C’est plus salé que les amuse-gueules, mais c’est vraiment agréable !

Mon mari se rhabille et dit :

- Si on passait à table !  les filles, vous voulez bien nous servir !

Les deux hommes s’assirent à leur place, et Rose et moi, nous allâmes à la cuisine pour prendre les plats. Ca me faisait drôle de voir Rose nue et de me voir habiller, il m’était si souvent arrivée de servir mon mari et ses invités à poil que cela me semblait bizarre. 

Le repas se passa très bien, Gilles et mon mari parlèrent des problèmes que rencontrait la société de Gilles. Après le repas nous débarrassons la table, je propose des cafés ou des digestifs. Gilles me demande un café, je me prépare à aller en faire quand Rose me dit de ne pas bouger qu’elle s’en occupe et elle part dans la cuisine sans attendre ma réponse. Mon mari dit :

- Toi et Gilles vous restez là, je vais aider Rose dans la cuisine !

Et il s’éclipsa, nous laissant seuls moi et Gilles. Je m’assis dans le fauteuil faisant face à Gilles.

- Dis-moi Gilles, raconte-moi la première fois que tu as eu des rapports avec un homme.

- Oh ! Ça remonte à vieux, ça doit faire trente ans. Je me trouvais à l’armée, il y avait une manœuvre et la plupart des gars étaient partis. Le soir dans ma chambrée, je me retrouvais seul, le sergent de garde amena deux mecs qui ne devaient passer qu’une nuit dans notre caserne et repartirent le lendemain. 

Au début tout se passait bien, mais un des mecs sortit une bouteille d’alcool et ils se mirent à boire. Au bout d’un moment l’un des gars trouva que j’avais un très beau cul, il faut dire qu’à l’époque j’étais plus mince que maintenant. Je n’ai rien pu faire, ils se sont jetés sur moi. Sans réellement m’en rendre compte, ils m’avaient baisé le pantalon et pendant que l’un me tenait l’autre me descendait le slip, celui qui me tenait me montra une lame et me dit que si je criais : Il passa sa lame autour de sa gorge, je compris de suite,. Il me dit aussi que si j’avais trop mal de mordre dans les couvertures. 

Le premier me défonça le cul sans ménagement, je mordais dans les couvertures tellement j’avais mal. Quand le premier eut fini de m’enculer, l’autre prit sa place, et il m’encula de plus belle. Au bout d’un certain temps il déchargea dans mon cul. Ils me laissèrent par terre, ils partirent prendre une douche.  Quand je fus seul, je me remis sur mon lit, tout en m’essuyant je me disais à moi-même, que si le premier m’avait fait mal avec le deuxième j’avais éprouvé du plaisir. Plus tard dans la nuit je fus réveillé par mes deux lascars, et je dus les sucer, ils me déchargèrent dans la bouche et m’obligèrent a tout avaler. Voilà Monique la première fois, et toi ta première fois ?

- Avant de te raconter ma première fois, je vais aller te chercher ton café car je crois qu’on t’a oublié à la cuisine.

Je me levai, et me dirigeai vers la cuisine. Arrivée dans l’embrasure de la porte, je vis Rose debout, les mains appuyées sur l’évier, les jambes écartées, la bouche ouverte, les yeux fermés prenant du plaisir. Mon mari était derrière elle, il la baisait ou l’enculait, je ne pourrais pas le dire, les énormes fesses de Rose me cachait l’entrée de la queue de mon mari. Il avait pris les gros seins et les tripotaient dans tous les sens. Je pris une tasse et versai le café qui était encore chaud. Mon mari me fit un clin d’œil, je lui fis une bise sur la joue et repartis vers le salon. Je tendis la tasse à Gilles, et lui dit :

- ils ont l’air de bien s’amuser tous les deux dans la cuisine !

- Cela ne m’étonne pas, Rose adore le sexe, il y a des soirs elle passe des heures à se fourrer un gros gode dans le cul ou dans la chatte. D’ailleurs Richard lui a proposé de faire un gang-bang avec neuf ou dix mecs et bien sûr ma grosse salope de femme a accepté, mais de toute façon c’est comme ça que je l’aime alors ! Mais revenons à notre discussion : ta première fois à toi !

- Cela remonte à au moins vingt cinq ans ! Oh Oui ! J’avais dix-huit ans, c’était au 14 juillet. Mes parents étaient partis en vacances, et moi pour la première fois je travaillais. J’avais été au feu d’artifice avec une amie qui avait dix ans de plus que moi. Pendant la fête elle avait retrouvé deux amis à elle, et l’un d’eux qui avait trente-deux ans me plaisait bien. Pendant la fête qui battait son plein, nous nous éclipsâmes, il n’habitait pas là, donc il est venu chez moi. On a fait ça dans le lit de mes parents, moi qui n’avais rien fait sauf me caresser dans mon lit, embrasser des garçons et me faire peloter les seins, j’avais, je l’avoue, sucé aussi mais pas plus, il me fit la totale. Je dus le sucer, puis il me mit à poil, il m’a léché la chatte vite fait, puis il m’a baisé dans la foulée sans réels ménagements, puis il m’a retourné et m’a enculé. Il a pris pied lui. Moi pas vraiment, surtout se faire baiser et se faire enculer par un sagouin qui se prenait pour un grand baiseur. Enfin ! Je peux dire que des grands baiseurs à commencer par mon mari, maintenant j’en connais ! Lui c’était un petit mais vraiment tout petit baiseur. Voilà c’est pas vraiment marrant. 

- C’est dommage pour une première fois d’avoir un si mauvais souvenir.

- Ce n’est pas grave, je me suis rattrapée depuis, mais tu sais beaucoup de femmes ont des souvenirs équivalents aux miens.

On sonna à l’interphone, je répondis, c’était Patrick, je lui ouvris. Il m’embrassa en arrivant, et il vit mon mari.

- Mon salaud ! Tu ne t’embêtes pas !

- Ah ça non, elle en veut cette salope !

Puis nous entrâmes dans le salon, Patrick salua Gilles et me dit :

- hé bien ma chérie, tu perds tes bonnes habitudes ! Qu’est-ce que tu fais encore habillée. Je suis sûr que Gilles appréciera de te voir à poil, et moi j’ai très envie de te baiser.

Je m’exécutai, j’enlevai mon chemisier et ma jupe. Patrick soupesa un de mes seins.

- Ils sont pas aussi gros que ceux de votre femme mais ça ne vous dit pas ? 

- Oui bien sûr ! Je me ferais bien sucer la bite !

- Hé bien tu vois ! Tu vas te mettre à quatre pattes sur la table du salon, comme ça on sera a hauteur.

Je débarrassai vite fait la petite table et me mit en position. Patrick se mit derrière moi et me rentra deux doigts dans la chatte.

- Je te reconnais bien là, tu mouilles déjà !

Il retira ses doigts et les remplaça par sa queue et il me pénétra profondément. Gilles me présenta sa bite que je pris dans la bouche et me mit à sucer. Patrick me défonçait vraiment de plus en plus, c’est à ce moment là que mon mari et Rose reviennent dans le salon.

- Je suis venu vous faire voir comment Rose aime le foutre !

Elle en avait plein le visage et sur les seins, elle se passait les doigts sur le visage puis dans la bouche, mon mari s’assit dans le canapé pour nous admirer. Rose s’assit sur une chaise et continua à se lécher les doigts et à retirer le reste de foutre de son visage et sur ses seins.

- Ne défonce pas trop notre grosse pute car il va falloir s’occuper du cul de Gilles, il adore aussi se faire enculer !

- Ca c’est sûr, j’espère qu'il vous restera assez de vigueur pour moi. dit Gilles. 

Mon mari reprenait des forces en mangeant une tartine de bonheur comme il disait, une tranche de pain bûcheron, avec du beurre demi-sel et du chèvre, le tout arrosé avec un petit beaujolais. C’est vrai que c’est bon mis à part le beurre demi-sel mais quand on a été élevé en Bretagne on aime le beurre salé.

J’étais toujours à quatre pattes sur la petite table du salon et Patrick me baisait consciencieusement, Gilles s’était retiré et goûtait le beaujolais de mon mari. Les femmes n’étaient pas vraiment son truc et je comprends Rose qui saute sur la première queue qui passe. 

Patrick me fit jouir deux fois avant de me retourner et de décharger dans ma bouche, Rose s’approcha de moi et m’embrassa pour partager le foutre de Patrick. Cette gymnastique nous avait donné faim, je sortis avec Rose du frigo charcuteries et fromages et mon mari ouvrit une deuxième bouteille de beaujolais. Patrick se mit a tripoter Rose tout en mangeant. Mon mari nous dit :

- Bon les filles, vous allez nous remettre en forme, il faut qu’on s’occupe du cul de Gilles, il serait déçu de repartir sans qu’on ait put lui faire ce plaisir.

Rose se mit sucer mon mari et moi je pris la queue de Patrick. Ce fut Patrick qui demanda à Gilles de se déshabiller et de se mettre comme moi à quatre pattes sur la table du salon, il lui mit la queue dans la bouche et dit à mon mari.

- A toi l’honneur de défoncer son gros cul !

Mon mari se leva pour se placer derrière Gilles, il lui écarta les fesses et sans autre forme de procès lui défonça le cul. Gilles poussa un râle de plaisir et de douleur les deux mélangés. Mon mari et Patrick se relayaient pour lui défoncer le cul, Gilles prenait vraiment un plaisir fou à se faire enculer. 

Ils l’avaient fait descendre de la table, il était maintenant à genoux sur le canapé, les mains posées sur le dossier du canapé, le cul au maximum relevé. Au bout d’un certain temps, ils lui dirent de se mettre à genoux par terre, ils enlevèrent les préservatifs, chacun de chaque coté de sa bouche, il les a sucés à tour de rôle, puis Patrick et mon maître essayèrent de mettre leur deux bites dans sa bouche en même temps, il avait du mal a engouffrer leur deux queues, mais il léchait leur deux glands avec une réelle passion.

Pendant ce temps là, Rose s’était remise à me lécher la chatte, je n’ai jamais été une passionnée des rapports entre femmes, mais il faut reconnaître qu’elle me léchait divinement. Vous ne savez pas vous les hommes, que quand vous vous appliquez à nous faire une gâterie, vous pouvez nous demander n’importe quoi après. 

Patrick déchargea le premier dans la bouche de Gilles, puis ce fut mon mari. Gille avala le tout il avait les yeux qui brillaient, il avait pris un réel plaisir à se faire ramoner par ces deux grosses queues. 

Mon mari nous offrit une coupe de champagne à tous. Gilles et Rose nous quittèrent absolument ravis de leur soirée, et nous répétèrent plusieurs fois, de ne pas hésiter si nous avions besoin de Rose ou de lui pour une soirée, ils étaient à notre service. Patrick répondit que de toute façon, il allait mettre au point une soirée pour Rose, elle le remercia et ils partirent. J’avais mes deux hommes de chaque coté de moi, mon mari dit :

- Tu restes coucher à la maison ?

- Oui d’accord ! Monique, tu es toujours en forme ?

- Moi ça va mais vous, vous êtes en état ?

Ils m’embrassèrent chacun sur une joue, et me dire de monter, que j’allais bien voir s’ils étaient toujours en forme. Je n’ai pas besoin de vous raconter la suite, ce fut une très bonne soirée, et je me suis endormie assez tard dans la nuit entre mes deux amants.

A suivre...

1 commentaire:

  1. J’ adore, très belle histoire. Je suis aux anges quand tous les protagonistes prennent vraiment leur pied. Merci…

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