jeudi 23 mai 2024

Ils sont à moi - Ch 02

  Récit de Marphil. (histoire sans vraie fin, malheureusement)

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Le couple est complètement soumis.

Les jours passèrent. Phil avait complètement adapté les orifices de Marie à son sexe. Mais cela ne lui suffisait pas. Il avait visiblement décidé de nous emporter plus loin dans sa perversité et d’asseoir définitivement son autorité sur notre couple.

Il instaura quelques règles simples : Marie devait être disponible, tous les jours, à partir de 18 heures en semaine et le week-end. Elle ne devait porter dorénavant que des jupes courtes, car cela l’excitait. Il avait aussi imposé que leurs ébats se déroulent à huis clos, le temps disait-il, que Marie lui devienne suffisamment soumise, il craignait que ma présence ne la trouble et qu’elle ne se livre pas complètement à lui. Il exigea un trousseau de clef de la maison afin qu’il puisse venir profiter à sa guise de Marie.

Un samedi soir, vers 23 heures, nous étions déjà au lit, Phil débarqua visiblement un peu éméché. Sortant d’un repas avec des amis, il saisit Marie par le bras et l’emmena dans la salle de bain. Après une demi-heure, ils revinrent dans la chambre, puis il me congédia. En sortant, je pus constater que les aisselles et le sexe de Marie étaient complètement épilés. 

Je dus patienter de longues heures, le temps que notre maître puisse se rassasier de Marie qu’il avait consommé sans modération. Le claquement de la porte d’entrée me sortit de ma somnolence. Je rejoignis alors Marie, et je pus admirer sa nouvelle apparence. Sans ses poils, elle paraissait encore plus nue, mais surtout, cela avait pour effet que la liqueur sacrée déposée dans le sexe de ma chérie, le rendait luisant, brillant comme un bijou. Marie me confia que Phil lui avait indiqué qu’il n’était plus question qu’elle dissimule son intimité derrière une toison. Cela lui procura une sensation bizarre les premiers jours. Mais lorsque Phil la pénétrait, elle le ressentait plus agréablement à l’entrée de son sexe, surtout quand il la prenait en levrette, elle pouvait sentir les testicules de son maître contre son sexe.

Lorsque Marie avait ses règles, elle n’était pas mise au repos, bien au contraire. Sa bouche était alors très sollicitée. Durant ces périodes, sa bouche et ses lèvres étaient toujours très douces à force de cajoler le sexe de notre propriétaire. Il la récompensait avec de grands jets de son nectar qui donnait à sa bouche un goût et un parfum très agréable.

Marie avait appris, très vite, à apprécier tout ce que lui offrait le sexe de cet homme. Au fil du temps, notre soumission augmentait. Nous avions pu le constater lors des vacances scolaires où Phil partait avec sa famille pendant plusieurs jours. Marie était en manque, déprimée, je faisais de mon mieux pour essayer de la satisfaire avec mon sexe, mais c’était très insuffisant. Finalement, nous nous masturbions mutuellement en évoquant notre maître. Ce qui rendait la douleur due à cette absence quelque peu supportable.

Il l’avait déjà tellement transformée, elle avait découvert avec lui le plaisir anal, savait apprécier maintenant le goût et l’odeur des sécrétions masculines. Elle n’aurait jamais, il y a quelques temps encore, imaginé que son petit sexe et son anus pouvaient engloutir entièrement un phallus aussi gigantesque et surtout lui procurer autant de plaisir.

Phil conscient de son pouvoir croissant plaça la barre encore un peu plus haut. C’est sur le plan psychologique, cette fois, qu’il décida d’agir. Nous devions dorénavant avoir son accord pour rencontrer nos amis, partir en vacance, aller au restaurant. Bref tout ce qui pouvait nous distraire du but qu’il nous avait assigné : le servir aux mieux de ses intérêts. Pour vous dire la vérité, cela n’a pas été difficile ni pour Marie, ni pour moi, étant donné que dès qu’il partait de chez nous, il nous manquait déjà. Nous étions prêt à ce moment là à bien plus encore, y a avait-il une limite d’ailleurs ?

Il eut d’ailleurs l’occasion de tester son emprise. Nous avions un ami, Gaël, que Phil ne trouvait pas à son goût. Nous nous en sommes séparé.

Fort de ses succès, il passa à la psychologie sexuelle. Je devais dormir, dorénavant, dans la chambre d’ami. Plus aucune relation sexuelle ne nous était autorisée. Il nous interdisait également la masturbation. Cela a été un moment très dur pour nous, mais son délire de vouloir nous contrôler sexuellement et complètement n’avait pas de limite. 

Nous nous sommes soumis. Nous avions basculé : nous tirions le plaisir de ses désirs. On ne comprend toujours pas aujourd’hui comment on en est arrivé là.

Il nous emmena encore un peu plus loin. Pour ma part, je m’avais plus le droit de prendre de plaisir qu’en me masturbant, sur son ordre et en sa présence dans la chambre d’ami. Il avait très vite appris à juger ma quantité de sperme afin d’établir si j’avais triché. Ce n’était jamais le cas, tant j’avais peur de le décevoir.

Pour Marie, ce fut plus délicat. Dans le but de la maintenir dans un état excité, il lui avait imposé de l’informer du moment où elle commençait à jouir. A ce moment, il s’arrêtait et la prenait par ailleurs afin que lui se soulage, mais qu’elle ne puisse jouir. Elle avait appris ainsi à interrompre son coït afin d’être toujours disponible pour son maître. Dans ses bons jours, il la récompensait, lors de sa dernière giclée, en l’emmenant au plaisir absolu où elle explosait jusqu’à perdre connaissance.

Je vous assure que quand on a renoncé à sa liberté dans ces conditions, il est très difficile de faire machine arrière. Il était devenu impossible pour nous de vivre sans ce maître qui s’était imposé avec tant de patience. Il aurait pu nous imposer n’importe quoi. Il a en avait conscience. Pour nous récompenser de notre docilité, il nous réserva, un soir, une séance particulière.

Ce soir là, à peine arrivé, il nous fit passer tous les deux à la douche. j’étais surpris d’être impliqué, il fallait être bien propre pour lui, nous devions nous laver à l’eau, afin que l’odeur et la saveur de nos corps soit neutre, nous aurions ainsi facilement le goût et l’odeur que son corps nous imposerait.

Il nous fit entrer dans la chambre et me coucha sur le dos sur le lit. Il plaça Marie sur moi, ventre en l’air en prenant soin d’introduire mon sexe raidi dans la partie intime arrière de Marie, Il l’avait tellement élargie qu’il n’eut aucun mal à m’arrimer profondément en elle. Je découvrai pour la première fois cet endroit qui, je dois bien le dire, ressemblait à un sexe féminin. 

Puis il nous lia jambe à jambe et bras à bras avec des cordelettes, il en passa également plusieurs autour de notre torse et notre ventre, si bien que nous semblions ne former plus qu’une seule personne. Il se plaça ensuite au dessus de nous et pénétra doucement Marie. Je sentis un énorme corps imposant entrer en elle, il était dur, ferme, j’en sentais les contours. Il comprimait fortement mon sexe de l’intérieur. 

Puis il commença de lents va et viens frottant mon gland sans relâche. Les seins de Marie étaient devenus pointus comme jamais auparavant, son visage devenait rouge comme durant les journées d’été au soleil. Il accéléra, Marie vibrait de l’intérieur, son ventre était pris de saccades, cela ne lui était jamais arrivé avec moi. Il accéléra encore, Marie et moi étions ballottés comme des poupées. Il transpirait déjà beaucoup et sa sueur coulait sur nous, il lui enfonçait sa langue sauvagement dans la bouche, lui pétrissaient les seins. Elle s’agrippait violemment aux draps et je devais suivre ses mouvement à cause des cordelettes. Elle écartait les jambes le plus possible, mais j’avais du mal à suivre. Elle partit en sanglot de plaisir sans retenir ses gémissements de jouissance. Je comprenais ce qu’elle pouvait ressentir. Ce plaisir immense que jamais je n’aurais pu lui offrir. J’éjaculai rapidement, mais pour la première fois de ma vie, je ne débandai pas et je restai excité. C’est quand Phil a déchargé que le plaisir est retombé, nous étions déjà bien programmés, je pense. Il s’est endormi sur nous et nous avons attendu qu’il se réveille sans dire un mot.

Le maître à son réveil n’était pas repu de sexe, au contraire. Sans nous libérer de nos liens, il nous glissa vers le bas du lit, de manière à ce qu’il soit confortablement installé. Il nous demanda de nous embrasser langoureusement, j’étais toujours sévèrement enfiché en Marie et je n’avais pas débandé mais son corps me semblait vide de son maître. D’un coup, son gland s’est glissé entre nos bouches. Marie et moi, avions commencé à le sucer jalousement. Très vite il éjacula, chacun essayant d’avaler le maximum de cette récompense.

FIN.

2 commentaires:

  1. Merci quelle frustration maintenant

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  2. Nous saurons donc jamais comment ce couple a fini. S’en est-il lassé et les libéré de son emprise. En à-t-il fait des esclaves uniquement pour son plaisir personnel où les a-t-il partagé pour des orgies hors normes ?

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