Récit de Marphil.
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Un couple rencontre un dominant.
En 1996, pour Marie et moi Pierre, un homme Phil va chambouler à jamais notre vie. Nous avions à l’époque 33 ans tous les deux. Je vivais avec Marie depuis 10 ans. Phil avait été le petit ami de vacance de Marie durant ses années de fac quand elle avait 20 ans, cela n’avait duré qu’un été et leur relation était restée platonique.
En cette année 1996, nous l’avons rencontré par hasard lors d’une soirée entre de vieux amis de fac de Marie, c’est à cette occasion que j’appris leur ancienne petite aventure. Phil sympathisa avec moi et Marie n’y trouva rien à y redire. Leur histoire était une aventure de jeunesse comme il en arrive souvent, et pour elle, il n’y avait aucune raison de ne pas fréquenter cet ex. On s’est échangé nos téléphones et puis le temps a passé.
Un jour, je reçois un appel de Phil pour nous inviter au restaurant, nous avons accepté et la soirée fut agréable, si bien que je l’invitai à boire un verre à la maison après le repas. Nous avons alors développé au cours de la soirée notre amitié. Les jours ont passé, et il est devenu un habitué de la maison, débarquant souvent avec un repas complet, ce qui nous arrangeaient bien Marie et moi car nous travaillions toute la journée.
Phil était marié et avait deux enfants à l’époque, une fille de 7 ans et un fils de 10 ans, par contre niveau mariage, ce n’était plus ça. Il me parlait souvent de ces problèmes familiaux et avec les mois, il laissait la boisson prendre le dessus lors de nos soirées. Marie et moi voyions bien qu’il était de plus en plus malheureux. Une soirée sans doute trop arrosée, il affirma qu’il aurait dû garder Marie. Elle fut flattée mais sans plus, il est sûr que Marie était bien plus jolie que sa femme paysanne devenue grosse et égrise.
Nous l’épaulions du mieux possible. Les mois passèrent et un soir que Marie était absente, il me confie son désarroi, il ne faisait plus l’amour avec sa femme, ajoutant que c’était insupportable pour lui qui avait besoin d’éjaculer au moins 8 fois par jour de grande quantité de semence, m’expliquant au passage, sans doute sous l’effet de l’alcool, que cela était dû sans doute à son impressionnant sexe que lui avait offert la nature, ce furent ces propres mots.
Je rigolai un peu, et visiblement bourré, il descendit son pantalon. Effectivement il était bien bâti, malgré son sexe au repos en forme de cône très épais à la base se finissant par un gland très arrondi, je ne pus estimer la longueur qui était très honorable, mais j’étais surtout impressionné par l’épaisseur, à quoi devait-il ressembler en érection ?
Avec de telles caractéristiques, je me demandais si le problème de son couple de ne venait pas de cela. Je ne pus m’empêcher d’imaginer ce qu’aurait été l’enfer de Marie si elle avait poursuivi sa relation, devenue sexuelle avec le temps, avec lui.
Marie n’a connu sexuellement que moi et moi je n'ai connu qu’elle. Mes dimensions sont bien plus humbles et elle est très étroite. Phil encore plus bourré me dit :
- Tu ne me la prêterais pas Marie ?
Ma réponse fut qu’il était temps de rentrer dormir. Les jours passèrent.
Phil revint un jour avec un livre sur le libertinage où on parlait de couples qui faisait des choses bizarres. Je vais passer sur cette période qui a duré des semaines et pour vous dire la vérité ni Marie, ni moi n’étions intéressés, mais au vu de la situation de Phil qui se dégradait avec le temps, nous l’écoutions pour lui faire plaisir.
Au bout d’un moment, au fil de ses lectures perverses, son discours a changé. Il était convaincu que la solution à son problème de couple serait de disposer d’une femme ou d’un couple soumis à ses désir sexuels, ainsi il pourrait avoir avec sa famille une vie normale et il ferait subir ses excès sexuels à ce couple. Vous pensez deviner la suite…
En fait, il commença par devenir obsédé par ce problème, il nous racontait comment avec un couple cela pourrait se passer, il avait compris que Marie et moi étions très unis. Mais il était évident pour nous qu’il voulait nous emporter dans sa perversité, nous aurions dû mettre fin à notre relation à ce moment là. Mais nous ne l’avons pas fait. Pourquoi ? Ni Marie, ni moi ne le savons encore aujourd’hui.
Il devenait plus explicite, nous décrivant ce qu'un couple apporterait à son maître, il était parfois très lourd. Ce cirque a duré des mois, nous étions persuadés que cela lui passerait. Et un soir où je faisais l’amour avec Marie, un de ces soirs où on est un peu plus excité que d’autre, on la inclut dans notre fantasme, nous rappelant de ces prétentions sexuels, finalement, une forte jouissance était au rendez vous. Cela nous a troublé. D’autant que les jours suivants le phénomène se répéta. Le temps avait joué en sa faveur, il faisait parti de notre sexualité. On a mis du temps à l’accepter.
Dès lors, les choses ont changé, je ne sais toujours pas s'il avait prévu cela, mais nous nous sommes montré plus dociles, oui, c’est le mot, nous étions plus attentifs à son discours, il a dû le sentir.
Un soir où Marie n’était pas encore là, il s’est lâché :
- Je veux que vous soyez à moi !
J’étais abasourdi, à croire qu’il avait toujours un coup d’avance sur nous. Je ne savais quoi dire. J’étais heureux, surpris, honteux. Je me sentais un peu homosexuel, mais ce n’était pas ça !
Je ne suis d’ailleurs toujours pas homosexuel aujourd’hui, il s’agit de bien d’autre chose dont je reparlerai dans un autre texte. Non, il nous avait conditionné patiemment et il obtenait le fruit de son long travail. Il avait réussi à sublimer le sexe. Alors que c’était son seul but pour lui, il l’avait fait mûrir en nous en un plaisir tiré du plaisir que l’on peut procurer à celui qui vous possède ou vous domine.
Au vu de ma réaction, il n’eut aucune hésitation quand Marie rentra. Figée, il l’entraîna presque de force dans notre chambre fermant la porte. Il n’en sont ressorti que 6 heures plus tard et il quitta notre maison.
Je rejoignis Marie aussitôt, elle était nue sur le lit les yeux fermés, les jambes écartées. Je me couchai à ses côtés. Elle avait l’odeur du mâle. Son corps était humide. Elle était visiblement épuisée d’un nouveau plaisir inconnu. Je la réveillai doucement. Elle se plaignit d’un mal de ventre, ce sexe inconnu énorme l’avait comme à nouveau défloré. Elle sentait une sueur que je ne connaissais pas. Ses tétons avaient été sucés à l’extrême, ils avaient un goût salé que je ne leur connaissais pas. Sa bouche était laiteuse, il y avait autour de ses lèvres de petites plaques blanches séchées acres.
Je devinai tout ce qu’elle avait pu subir. Mais je me surpris à porter ma langue sur son sexe et m’en servant comme d’une cuillère, je remontai jusqu’à sa bouche et je l’embrassai mélangeant nos salives à ce nectar. Elle me dit :
- Il ne m’a pas demandé mon avis, il s’est servi de moi comme on se sert d’un objet. Son sexe est énorme, il m’a fait mal, il m’a obligée à avaler sa semence, ce que je ne pensais pas possible. Il m’a interdit de me laver avant son retour demain, et mon chéri, tu vas me haïr, mais je suis déjà en manque de lui, je suis une folle, mais je ne l’aime pas, je me sens comme une esclave qui doit obéir, pardonne moi, mon amour,je suis folle !
Nous avons discuté le reste la nuit. Je l’ai rassurée et nous avons trouvé un peu de sommeil.
Le lendemain dès son arrivée, Phil a emporté Marie dans la chambre et cela a duré des heures, malgré son mal de ventre de la veille. Il est également venu avec de la vaseline, j’ai tout de suite compris.
Quand il est parti, je n’ai fais que la cajoler. Il l’avait rassuré en lui expliquant que la douleur de ses orifices ne durerait que quelques semaines, le temps que son petit corps s’adapte au sexe de celui qui devenait notre maître.
En effet Marie a souffert le temps de l’adaptation de son vagin et de son anus qui était vierge. Elle n’avait pas avalé auparavant de semence, cela la dégoûtait. Mais bien qu’elle ne m’ait pas raconté en détail sa nouvelle éducation sexuelle, j’ai bien vite compris qu’elle n’avait pas trop droit à la parole et que cela lui convenait ainsi.
Au bout de quelques semaines, son corps et son esprit furent adaptés à son nouvel ôte. Phil avait pris le contrôle sexuel et mental de Marie. Les exigences de Phil étaient énormes et effectivement il éjaculait plus de 8 fois en une journée. C’était anormal pour moi, mais Marie dut satisfaire ses besoins sexuels. Même si nous n’avions pas des relations de type SM heureusement car on n’aurait pas supporté ça, il était très sévère avec elle.
Très vite, mon petit sexe s’est mis à flotter dans le minou de ma chérie, c’était très humiliant, elle finissait par se caresser en pensant à Phil.
Mais après quelques temps, nous avons accepté cette situation qui nous avait été imposée. Mais le pire restait à venir…
A suivre...
Faites attention à l'orthographe. Différence entre ce et se, aigrie, ....
RépondreSupprimerCe sont des textes que je récupère par ci par là. J'essaie de corriger au maximum les fautes, mais comme ça m'ennuie, il se peut que j'en laisse. Trouchard.
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