mercredi 29 mai 2024

Bonjour et désolé

 Bonjour à vous tous, fidèles lecteurs de mon blog...

Désolé, mais il n'y aura pas d'histoire aujourd'hui, vous retrouverez les aventures de C ou "lola" le 9 juin prochain.

Comme parfois, je me retrouve aujourd'hui dans une période d'introspection. Pourquoi je tiens un blog d'histoires pornographiques, pourquoi j'écris ou traduis ce genre d'histoires ? Mon but n'étant pas de monétiser ce travail, pourquoi je le fais ? 

J'avoue qu'au début, je m'intéressais beaucoup au nombre de vues de ce blog, je cherchais toujours à faire mieux. J'étais arrivé à 60 000 vues pour un mois. Aujourd'hui, avec la connection obligatoire pour un blog adulte imposée par Google, j'arrive à peine à 20 000 vues. Alors pourquoi continuer si je n'ai même pas le plaisir d'arriver à augmenter mon audience ? 

(Une petite précision : Je trouve ce blocage de contenus adultes tout à fait utile et j'aimerai qu'il soit appliqué sur tous les sites)

Alors voilà, je me pose la question de savoir si je dois continuer ou non. Et j'ai besoin de votre aide.

 J'aimerai savoir pourquoi vous venez sur ce site, quels sont les catégories que vous préférez (candaulisme, BDSM, gang-bang ou autres), quelles sont les genres de publication que vous préférez (histoires, bandes dessinées, images commentées...), et si vous verriez d'autres choses à intégrer à ce blog (vous pouvez aussi critiquer son format)

Je voudrais aussi savoir si vous consultez d'autres sites et lesquels.

Je vous demanderai donc de bien vouloir me répondre avec un petit commentaire sur cette page. Ce n'est pas obligatoire et vous pouvez tout à fait rester anonyme bien sûr.

Je vous remercie d'avance pour votre participation.

lundi 27 mai 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 06

 Texte de Monique2.

*****

Cela va te changer ma chérie.

Fin juin, pendant un dîner, mon mari me dit :

- Samedi soir un couple viendra dîner à la maison, tu prépares un repas léger. Et très certainement Patrick nous rejoindra dans la soirée. Je vais te dire pourquoi ils viennent étant donné que Richard t'a un peu expliqué comment fonctionnait notre groupe. Lui, il est patron d’une petite entreprise qui a de grosses difficultés à l’heure actuelle. Il a besoin d’un marché pour relancer sa boite. Il a contacté des membres de notre groupe, il est absolument d’accord avec nos exigences et se pliera à toute demande. Cela va te changer ma chérie, car ça ne sera pas à toi de te soumettre pendant la soirée, mais à eux.

Le samedi se passa sans histoire, je préparai un poulet froid et plusieurs salades composées. Je m’habillai avec une jupe noire plissée et un chemisier blanc bien sûr (et vous me connaissez maintenant) ni culotte et soutien-gorge, d’ailleurs mon chemisier ne cachait rien de ma poitrine. 

Vers dix-neuf heures notre couple arriva. Je suis assez surprise, lui une cinquantaine d’années, un peu plus grand que moi, assez gros, le visage tout rond avec une petit moustache, très peu de cheveux qu’il ramène vers l’arrière. Il a des yeux rieurs, il porte un costume très simple et un nœud papillon. Elle c’est tout simplement "black big mama" comme on l’imagine, elle doit faire ma taille et peser 130kgs, des seins énormes, un cul encore plus énorme et un visage d’enfant très lisse d’un noir brillant avec un grand sourire, des dents très blanches et un rouge à lèvres très rouge. En la voyant on ne pouvait qu’avoir le sourire, elle représentait le bonheur et la joie de vivre. Elle portait une robe rouge très longue, avec un décolleté vertigineux. 

Ils nous embrassâmes, nous nous présentâmes, lui s’appelait Gilles et sa femme Rose. Puis mon mari invita le couple à aller au salon. Les deux hommes se mirent sur le canapé, et mon mari me demanda d’apporter les apéritifs et les amuses-gueule. Je partis vers la cuisine suivie par Rose qui voulait m’aider. Arrivées dans la cuisine, elle me demanda :

- Excuse moi Monique ? Je ne sais pas bien comment il faut procéder. Mon mari m’a dit que vous deviez profiter de moi comme de lui totalement, et que ton mari et toi soyez satisfaits !

Je lui fis un grand sourire, je réalisai que c’était à moi de donner les ordres à la différence de d’habitude, et il me parut normal comme je le faisais très souvent pour les amis de mon maître de lui dire :

- Ecoute Rose, si tu veux faire plaisir à mon mari, déshabille-toi complètement, et sers-nous l’apéritif toute nue.

Elle s’exécuta de suite. Elle retira sa robe en la passant au-dessus de sa tête, elle retira son soutien-gorge et libéra ses deux seins. Ils étaient énormes et tombaient sur son ventre très rond, puis elle descendit sa culotte. Je la regardais, elle avait un cul énorme, je lui demandai de tourner sur elle-même, elle me dit :

- Tu crois que je vais plaire a ton mari ?

- Sans aucun doute ! Avec des seins et un cul comme les tiens il va adorer. Passe devant pour entrer dans le salon, ça va lui faire plaisir.

Elle prit le plateau avec les verres et fit son entrée. Je voyais les yeux de mon mari. Il ne peut résister à des gros seins ou un gros cul et là, il est servi. Elle se pencha pour tendre le verre à mon maître. Ses seins pendaient, il la laissa dans cette position et tendit les mains pour soupeser sa poitrine, Gilles dit :

- Elle est tout à vous, vous pouvez lui demander n’importe quoi, elle sera ravie de vous satisfaire, et vous aussi madame, et je suis moi-même dans la même soumission vis à vis de vous deux !

Mon mari dit :

- Ca veut dire que vous acceptez aussi de faire les mêmes choses que votre femme ?

- Oui, tout à fait !

Mon mari eut un sourire,.

- Hé bien ! Gilles, vous allez vous mettre a genoux et me pomper, et Rose va s’occuper de Monique.

Gilles se leva, posa son verre sur la table du salon, se mit à genoux entre les jambes de mon mari, et lui sorti la queue de son pantalon. Il la mit dans sa bouche et commença à le sucer. Il avait la technique pour sucer les queues, ça se voyait, et pas du tout gêné de le faire. Quand à Rose, elle s’avança vers moi, je m’assis sur le fauteuil et je mis les jambes sur les accoudoirs comme je l’avais si souvent fait avec Laurent mon couvreur qui aimait tant me voir me branler. Ça me fait penser qu’il faudra que je leur téléphone à ces trois-là. Ainsi assise, Rose se mit a genoux et remonta ma jupe et se mit à me lécher. Elle aspirait les lèvres et le clito puis elle me rentrait sa langue dans mon vagin et ça avait l’air de lui plaire. Mon mari appréciait la pipe que lui faisait Gilles mais il ne perdait pas de vue le cul de Rose.

- Dis Gilles ! Ta Rose, elle se fait enculer souvent ? Ca doit être un plaisir de lui défoncer son gros cul non ?

Gilles arrêta de le sucer et dit :

- Elle adore ça, mais vous devez savoir que nous avons eu une expérience il y a très peu de temps.

- Ah oui ! Continue de me pomper Gilles, je vais le raconter à Monique. Il y a quelques jours, chérie, nos deux amis ont eu la visite un soir de cinq de nos membres sans être prévenus. Ils se sont fait baiser et enculer et ils ont sucé des queues une bonne partie de la nuit. D’ailleurs il se sont très bien débrouillés et nos membres ont été très satisfaits de leur soirée.

Gilles continuait de sucer mon mari et Rose me léchait la chatte et m’avait déjà fait jouir. Après m’avoir lécher le jus, elle s’était mise à me lécher le cul et rentrait sa langue dans ma rondelle. C’était un vrai plaisir. Gilles s’activait de plus en plus sur la queue de mon mari, il le suçait et le léchait avec ferveur. Je voyais qu’il appréciait vraiment la queue d’un homme. Brusquement mon mari lui tient avec ses deux mains la tête, il ferme les yeux et pousse un râle de plaisir. Il vient de décharger, il se vide dans la bouche de Gilles qui n’en perd pas une goutte. Il le suce deux trois fois en plus pour lui laver le gland.  Gilles se retire et se relève tout en avalant le foutre. Mon mari lui tend son whisky, il en boit une gorgée et il dit :

- C’est plus salé que les amuse-gueules, mais c’est vraiment agréable !

Mon mari se rhabille et dit :

- Si on passait à table !  les filles, vous voulez bien nous servir !

Les deux hommes s’assirent à leur place, et Rose et moi, nous allâmes à la cuisine pour prendre les plats. Ca me faisait drôle de voir Rose nue et de me voir habiller, il m’était si souvent arrivée de servir mon mari et ses invités à poil que cela me semblait bizarre. 

Le repas se passa très bien, Gilles et mon mari parlèrent des problèmes que rencontrait la société de Gilles. Après le repas nous débarrassons la table, je propose des cafés ou des digestifs. Gilles me demande un café, je me prépare à aller en faire quand Rose me dit de ne pas bouger qu’elle s’en occupe et elle part dans la cuisine sans attendre ma réponse. Mon mari dit :

- Toi et Gilles vous restez là, je vais aider Rose dans la cuisine !

Et il s’éclipsa, nous laissant seuls moi et Gilles. Je m’assis dans le fauteuil faisant face à Gilles.

- Dis-moi Gilles, raconte-moi la première fois que tu as eu des rapports avec un homme.

- Oh ! Ça remonte à vieux, ça doit faire trente ans. Je me trouvais à l’armée, il y avait une manœuvre et la plupart des gars étaient partis. Le soir dans ma chambrée, je me retrouvais seul, le sergent de garde amena deux mecs qui ne devaient passer qu’une nuit dans notre caserne et repartirent le lendemain. 

Au début tout se passait bien, mais un des mecs sortit une bouteille d’alcool et ils se mirent à boire. Au bout d’un moment l’un des gars trouva que j’avais un très beau cul, il faut dire qu’à l’époque j’étais plus mince que maintenant. Je n’ai rien pu faire, ils se sont jetés sur moi. Sans réellement m’en rendre compte, ils m’avaient baisé le pantalon et pendant que l’un me tenait l’autre me descendait le slip, celui qui me tenait me montra une lame et me dit que si je criais : Il passa sa lame autour de sa gorge, je compris de suite,. Il me dit aussi que si j’avais trop mal de mordre dans les couvertures. 

Le premier me défonça le cul sans ménagement, je mordais dans les couvertures tellement j’avais mal. Quand le premier eut fini de m’enculer, l’autre prit sa place, et il m’encula de plus belle. Au bout d’un certain temps il déchargea dans mon cul. Ils me laissèrent par terre, ils partirent prendre une douche.  Quand je fus seul, je me remis sur mon lit, tout en m’essuyant je me disais à moi-même, que si le premier m’avait fait mal avec le deuxième j’avais éprouvé du plaisir. Plus tard dans la nuit je fus réveillé par mes deux lascars, et je dus les sucer, ils me déchargèrent dans la bouche et m’obligèrent a tout avaler. Voilà Monique la première fois, et toi ta première fois ?

- Avant de te raconter ma première fois, je vais aller te chercher ton café car je crois qu’on t’a oublié à la cuisine.

Je me levai, et me dirigeai vers la cuisine. Arrivée dans l’embrasure de la porte, je vis Rose debout, les mains appuyées sur l’évier, les jambes écartées, la bouche ouverte, les yeux fermés prenant du plaisir. Mon mari était derrière elle, il la baisait ou l’enculait, je ne pourrais pas le dire, les énormes fesses de Rose me cachait l’entrée de la queue de mon mari. Il avait pris les gros seins et les tripotaient dans tous les sens. Je pris une tasse et versai le café qui était encore chaud. Mon mari me fit un clin d’œil, je lui fis une bise sur la joue et repartis vers le salon. Je tendis la tasse à Gilles, et lui dit :

- ils ont l’air de bien s’amuser tous les deux dans la cuisine !

- Cela ne m’étonne pas, Rose adore le sexe, il y a des soirs elle passe des heures à se fourrer un gros gode dans le cul ou dans la chatte. D’ailleurs Richard lui a proposé de faire un gang-bang avec neuf ou dix mecs et bien sûr ma grosse salope de femme a accepté, mais de toute façon c’est comme ça que je l’aime alors ! Mais revenons à notre discussion : ta première fois à toi !

- Cela remonte à au moins vingt cinq ans ! Oh Oui ! J’avais dix-huit ans, c’était au 14 juillet. Mes parents étaient partis en vacances, et moi pour la première fois je travaillais. J’avais été au feu d’artifice avec une amie qui avait dix ans de plus que moi. Pendant la fête elle avait retrouvé deux amis à elle, et l’un d’eux qui avait trente-deux ans me plaisait bien. Pendant la fête qui battait son plein, nous nous éclipsâmes, il n’habitait pas là, donc il est venu chez moi. On a fait ça dans le lit de mes parents, moi qui n’avais rien fait sauf me caresser dans mon lit, embrasser des garçons et me faire peloter les seins, j’avais, je l’avoue, sucé aussi mais pas plus, il me fit la totale. Je dus le sucer, puis il me mit à poil, il m’a léché la chatte vite fait, puis il m’a baisé dans la foulée sans réels ménagements, puis il m’a retourné et m’a enculé. Il a pris pied lui. Moi pas vraiment, surtout se faire baiser et se faire enculer par un sagouin qui se prenait pour un grand baiseur. Enfin ! Je peux dire que des grands baiseurs à commencer par mon mari, maintenant j’en connais ! Lui c’était un petit mais vraiment tout petit baiseur. Voilà c’est pas vraiment marrant. 

- C’est dommage pour une première fois d’avoir un si mauvais souvenir.

- Ce n’est pas grave, je me suis rattrapée depuis, mais tu sais beaucoup de femmes ont des souvenirs équivalents aux miens.

On sonna à l’interphone, je répondis, c’était Patrick, je lui ouvris. Il m’embrassa en arrivant, et il vit mon mari.

- Mon salaud ! Tu ne t’embêtes pas !

- Ah ça non, elle en veut cette salope !

Puis nous entrâmes dans le salon, Patrick salua Gilles et me dit :

- hé bien ma chérie, tu perds tes bonnes habitudes ! Qu’est-ce que tu fais encore habillée. Je suis sûr que Gilles appréciera de te voir à poil, et moi j’ai très envie de te baiser.

Je m’exécutai, j’enlevai mon chemisier et ma jupe. Patrick soupesa un de mes seins.

- Ils sont pas aussi gros que ceux de votre femme mais ça ne vous dit pas ? 

- Oui bien sûr ! Je me ferais bien sucer la bite !

- Hé bien tu vois ! Tu vas te mettre à quatre pattes sur la table du salon, comme ça on sera a hauteur.

Je débarrassai vite fait la petite table et me mit en position. Patrick se mit derrière moi et me rentra deux doigts dans la chatte.

- Je te reconnais bien là, tu mouilles déjà !

Il retira ses doigts et les remplaça par sa queue et il me pénétra profondément. Gilles me présenta sa bite que je pris dans la bouche et me mit à sucer. Patrick me défonçait vraiment de plus en plus, c’est à ce moment là que mon mari et Rose reviennent dans le salon.

- Je suis venu vous faire voir comment Rose aime le foutre !

Elle en avait plein le visage et sur les seins, elle se passait les doigts sur le visage puis dans la bouche, mon mari s’assit dans le canapé pour nous admirer. Rose s’assit sur une chaise et continua à se lécher les doigts et à retirer le reste de foutre de son visage et sur ses seins.

- Ne défonce pas trop notre grosse pute car il va falloir s’occuper du cul de Gilles, il adore aussi se faire enculer !

- Ca c’est sûr, j’espère qu'il vous restera assez de vigueur pour moi. dit Gilles. 

Mon mari reprenait des forces en mangeant une tartine de bonheur comme il disait, une tranche de pain bûcheron, avec du beurre demi-sel et du chèvre, le tout arrosé avec un petit beaujolais. C’est vrai que c’est bon mis à part le beurre demi-sel mais quand on a été élevé en Bretagne on aime le beurre salé.

J’étais toujours à quatre pattes sur la petite table du salon et Patrick me baisait consciencieusement, Gilles s’était retiré et goûtait le beaujolais de mon mari. Les femmes n’étaient pas vraiment son truc et je comprends Rose qui saute sur la première queue qui passe. 

Patrick me fit jouir deux fois avant de me retourner et de décharger dans ma bouche, Rose s’approcha de moi et m’embrassa pour partager le foutre de Patrick. Cette gymnastique nous avait donné faim, je sortis avec Rose du frigo charcuteries et fromages et mon mari ouvrit une deuxième bouteille de beaujolais. Patrick se mit a tripoter Rose tout en mangeant. Mon mari nous dit :

- Bon les filles, vous allez nous remettre en forme, il faut qu’on s’occupe du cul de Gilles, il serait déçu de repartir sans qu’on ait put lui faire ce plaisir.

Rose se mit sucer mon mari et moi je pris la queue de Patrick. Ce fut Patrick qui demanda à Gilles de se déshabiller et de se mettre comme moi à quatre pattes sur la table du salon, il lui mit la queue dans la bouche et dit à mon mari.

- A toi l’honneur de défoncer son gros cul !

Mon mari se leva pour se placer derrière Gilles, il lui écarta les fesses et sans autre forme de procès lui défonça le cul. Gilles poussa un râle de plaisir et de douleur les deux mélangés. Mon mari et Patrick se relayaient pour lui défoncer le cul, Gilles prenait vraiment un plaisir fou à se faire enculer. 

Ils l’avaient fait descendre de la table, il était maintenant à genoux sur le canapé, les mains posées sur le dossier du canapé, le cul au maximum relevé. Au bout d’un certain temps, ils lui dirent de se mettre à genoux par terre, ils enlevèrent les préservatifs, chacun de chaque coté de sa bouche, il les a sucés à tour de rôle, puis Patrick et mon maître essayèrent de mettre leur deux bites dans sa bouche en même temps, il avait du mal a engouffrer leur deux queues, mais il léchait leur deux glands avec une réelle passion.

Pendant ce temps là, Rose s’était remise à me lécher la chatte, je n’ai jamais été une passionnée des rapports entre femmes, mais il faut reconnaître qu’elle me léchait divinement. Vous ne savez pas vous les hommes, que quand vous vous appliquez à nous faire une gâterie, vous pouvez nous demander n’importe quoi après. 

Patrick déchargea le premier dans la bouche de Gilles, puis ce fut mon mari. Gille avala le tout il avait les yeux qui brillaient, il avait pris un réel plaisir à se faire ramoner par ces deux grosses queues. 

Mon mari nous offrit une coupe de champagne à tous. Gilles et Rose nous quittèrent absolument ravis de leur soirée, et nous répétèrent plusieurs fois, de ne pas hésiter si nous avions besoin de Rose ou de lui pour une soirée, ils étaient à notre service. Patrick répondit que de toute façon, il allait mettre au point une soirée pour Rose, elle le remercia et ils partirent. J’avais mes deux hommes de chaque coté de moi, mon mari dit :

- Tu restes coucher à la maison ?

- Oui d’accord ! Monique, tu es toujours en forme ?

- Moi ça va mais vous, vous êtes en état ?

Ils m’embrassèrent chacun sur une joue, et me dire de monter, que j’allais bien voir s’ils étaient toujours en forme. Je n’ai pas besoin de vous raconter la suite, ce fut une très bonne soirée, et je me suis endormie assez tard dans la nuit entre mes deux amants.

A suivre...

samedi 25 mai 2024

Visite en prison.

 Traduction d’un texte de MillerHighLife

 *****

Tiffany est si nerveuse qu’elle se dit que son cœur va sortir de sa poitrine tellement il bat fort. Elle essaie de sa clamer en prenant de grandes inspirations. En dix ans de mariage, elle n’a jamais trompé son mari. En fait c’est le seul homme avec qui elle a couché. Tiffany aime toujours son mari et ses deux enfants, mais elle aspire à quelque chose de plus que la vie d’une femme au foyer en banlieue. 

Il y a un an, elle a commencé à discuter en ligne avec un homme plus jeune. Son pseudonyme était LeGros. Au début, leurs échanges étaient purement portés sur le sexe et lorsqu’ils échangeaient des messages, c’était toujours vicieux. Pour la première fois depuis des années, Tiffany pu avoir des orgasmes satisfaisants en fantasmant sur son amant en ligne. 

Au fil des mois, des morceaux de leur vie personnelle se sont glissés dans leurs conversations. Puis LeGros lui a dit qu’il avait un secret. Il était détenu dans une prison de haute sécurité et purgeait une peine de prison à vie pour trois vols à main armée et un meurtre.

A ce moment, Tiffany n’était pas sûre de savoir si elle devait répondre ou lui écrire à nouveau. Il lui fallut une semaine pour réfléchir et elle lui répondit sans rien cacher de sa vie. Elle lui a dit à quel point sa vie était ennuyeuse et qu’elle avait désespérément besoin d’excitation. Le massage suivant de LeGros fut le plus explicite et excitant qu’il ait jamais envoyé. Chaque mot l’excitait davantage au point qu’elle ne put s’empêcher de se masturber. A la fin du message, elle vit que LeGros avait joint un lien vers le site web de la prison. Lorsque elle a cliqué sur ce lien, un formulaire de demande de visite conjugale est apparu.

Son esprit s’embrouilla en réfléchissant aux conséquences de ce qu’il proposait.  Si son mari découvrait son infidélité, il divorcerait sûrement. Si sa famille l’apprenait, elle serait reniée. Mais avant qu’elle puisse se convaincre que les risques étaient trop grands, elle remplit le formulaire et l’envoie. Trois jours plus tard, elle reçut une lettre officielle du service pénitentiaire lui indiquant que sa demande de visite conjugale avec le détenu n° 300169 était approuvée.

Le lendemain matin, Tiffany est assise au volant de sa mini-fourgonnette. Elle regarde la clôture recouverte de barbelés qui entoure la prison de haute sécurité.  Ses inspirations profondes l’aident à faire ralentir son cœur qui s’emballe. Toutefois, son estomac se serre toujours. Elle a fait tout ce chemin, mais elle n’est pas sûre de pouvoir aller jusqu’au bout.

Rassemblant tout son courage, elle ouvre la porte de son véhicule et sort sur le parking. Tiffany s’est habillée pour mettre en valeur ses atouts féminins. Elle porte des talons hauts, une mini-jupe noire qui couvre à peine ses fesses et un débardeur rouge si serré qu’il est comme une seconde peau sur ses seins. Alors qu’elle se dirige vers la porte indiquée comme l’entrée des visiteurs, elle peut voir que les gardes de la tour la lorgnent. Toutes ces heures passées à se dépenser à la salle de gym semblent soudainement en valoir la peine.

Le garde à l’entrée prend sa lettre d’autorisation. Il la lit en détail et déverrouille la porte en grognant. Tiffany entre et se retrouve dans une allée étroite entre deux cours de promenade pour les détenus. Il s’y trouve une dizaine de prisonniers, tous habillés en orange vif. Ils arrêtent tous leur activité pour la regarder. Elle essaie alors d‘éviter tout contacte visuel et se concentre sur le prochain contrôle de sécurité. 

Tiffany ne peut voir le visage du garde qu’à travers une petite fenêtre pare-balles du poste de contrôle. Par l’interphone, il lui ordonne de faire passer sa demande d’autorisation dans la fente qu’il vient d’ouvrir près de la porte. Elle s’apprête à faire passer le papier, mais elle le fait tomber accidentellement. Sans réfléchir, elle se penche pour le ramasser. Soudain, derrière elle, elle entend des cris des détenus, des sifflements et des remarques obscènes et vulgaires, les pires qu’elle ait jamais entendus. C’est alors qu’elle se rend compte que le fait que sa jupe soit très courte et qu’elle ne porte pas de culotte ont donné une vue imprenable sur son cul et sa chatte rasée quand elle s’est penchée. Rougissante elle se relève et tire sur sa jupe. Après avoir fait passer le document dans la fente, le verrou de la porte est déverrouillé et elle peut pénétrer à l’intérieur.

Elle est accueillie par un gardien à la voix monotone qui lui lit sur un bloc-notes :

- Bienvenue dans cette prison de haute sécurité. Pendant votre visite, vous devrez obéir à tous les ordres qui vous seront donnés par le personnel en uniforme de cet établissement. Pendant votre visite vous serez sous surveillance constante. Tenter de faire passer des produits de contrebande à la population carcérale est un crime de classe trois, passible d’une peine de prison de huit ans maximum et d’une amende de 25 000 dollars. En signant au bas de cette déclaration, vous consentez à une fouille de votre personne ainsi que des objets apportés dans cet établissement.

Le garde lui tend le bloc-notes. Tiffany jette un œil à ce formulaire de consentement et signe rapidement. La garde récupère son bloc-notes et dirige la femme vers un détecteur de métaux. Il lui dit :

- Enlevez vos chaussures, vos bijoux et tout autre objet et placez-les dans ce panier.

Tiffany connaît la procédure pour avoir plusieurs fois passé la sécurité d’un aéroport. Elle pose ses affaires dans le panier et elle franchit le détecteur en toute confiance. Aucune alarme ne se déclenche. Elle s’arrête en attendant que le garde lui rende le contenu du panier. Mais il le pose sur une étagère et lui dit :

- Passez la première porte à droite !

Elle voudrait récupérer ses talons, mais elle décide de ne rien dire. Elle fait ce qu’il lui a dit et trouve une gardienne qui l’attend. Tiffany est surprise de voir à quel point elle est attirante. Même dans l’uniforme gris, elle se rend compte que la gardienne aux cheveux blonds et aux yeux bleus a une silhouette étonnante. Elle se demande si elle n’a pas été engagée pour exciter les détenus.

D’un ton sévère qui ne va pas avec ses jolis traits, la gardienne dit :

- Vous allez devoir maintenant vous soumettre à une fouille corporelle complète et à une fouille de vos intimités. Enlevez vos vêtements un par un et donnez-les-moi !

Tiffany fait passer son haut par-dessus sa tête et lui donne. Elle regarde la gardienne examiner le vêtement, puis le déposer sur le sol à côté de la porte ouverte. Le processus se répète avec sa jupe. La femme lui demande ensuite de se tenir debout, les pieds sur les X en adhésifs sur le sol, les bras tendus au-dessus de sa tête. Tiffany prend a position et elle entend le bruit de latex sur la peau que l’on fait en enfilant des gants.

Tiffany n’a jamais subi de fouille corporelle auparavant, mais elle a une idée de ce quoi elle doit s’attendre. La gardienne lui ordonne d’ouvrir sa bouche en grand. Elle n’aime pas le goût du latex, mais elle ne se plaint pas quand la femme glisse son doigt autour des gencives et sous sa langue. Puis la gardienne soulève chacun de ses seins pour s’assurer que rien n’est collé dessous.

- Maintenant penchez-vous et posez les mains à plat sur le sol !

Les cours de yoga qu’elle suit trois soirs par semaine lui permettent de prendre cette pose sans problème. Tiffany sent deux doigts fins toucher sa chatte puis pénétrer à l’intérieur. La gardienne sonde l’intérieur de sa grotte jusqu’à ce qu’elle soit sûre que rien ne se cache dedans. Puis sans le moindre avertissement, la gardienne enfonce ses doigts dans son trou du cul. Tiffany sursaute sous cette intrusion anale.

- Ne bougez pas et détendez-vous ! Ordonne la gardienne.

Tiffany sent qu’elle prend plaisir à la dégrader ainsi.

Enfin la gardienne retire ses doigts et demande à Tiffany de s’habiller. La mère de famille se glisse rapidement dans ses vêtements et suit la gardienne jusqu’à une petite cellule vide tout au bout du couloir. Elle déverrouille la porte de la cellule et laisse Tiffany entrer.

Désignant la porte opposée à celle qu’elle vient d’ouvrir, la gardienne dit :

- Dans un instant, le détenu que vous venez voir entrera par là !

Puis la gardienne laisse tomber son ton autoritaire et dit :

- Vous devriez peut-être me donner vos vêtements. Ces types ont tendance à être un peu brutaux, et j’ai vu des femmes repartir d’ici presque nues parce que leurs vêtements étaient complètement déchirés.

Tiffany se contente de hocher la tête et de se déshabiller à nouveau. Elle tend ses habits à la gardienne en lui disant :

- Merci !

- Pas de problème, mais j’ai juste une autre question. Pourquoi veux-tu baiser un type qui purge une peine de prison à vie  pour avoir brutalement violé six femmes ?

Tiffany secoue la tête en pensant qu’il doit y avoir une erreur. Son expression de surprise indique à la gardienne qu’on a dû lui mentir. Celle-ci dit en riant :

- Vous êtes tellement stupides, vous les salopes !

Elle fait claquer la porte de la cellule et s’éloigne. Tiffany tape du poing sur la lourde porte métallique dans une tentative futile pour qu’on la libère. Puis, derrière elle, l’autre porte s’ouvre. Elle se retourne et appuie son dos contre la porte métallique froide. L’homme qui se tient à l’extérieur de la cellule est tellement grand que les gardes qui l’escortent semblent être des nains. Des muscles épais ondulent sous sa peau noire comme du charbon quand il franchit la porte. Il doit se baisser et tourner ses épaules pour pouvoir entrer dans la cellule. A part les chaînes qui l’entravent, il est complètement nu. Les yeux de Tiffany sont immédiatement attirés par le membre massif entre ses jambes. Elle n’a jamais imaginé qu’un sexe puisse être aussi grand.

Les gardes qui l’escortent ne perdent pas de temps à lui enlever les menottes. L’un d’eux dit par-dessus son épaule en partant :

- Tu as une heure ! Amuse-toi bien !

Tiffany tremble tellement qu’elle peut à peine tenir debout. LeGros fait un pas vers elle et elle hurle de terreur. Il se jette sur elle et sa grande main se referme sur son cou. En chuchotant à son oreille, il lui dit :

- Nous pouvons faire ça de la manière douce ou de la manière forte. Ça n’a pas d’importance pour moi, car de toute façon j’obtiens ce que je veux.

Il relâche sa prise et Tiffany se met à genoux devant lui. Sa grosse bite commence à se dresser devant son visage. Rien qu’à son regard, elle sait ce qu’il veut qu’elle fasse. Tiffany ouvre la bouche aussi grande que possible et laisse le gland violet foncé glisser dans sa bouche. La queue continue à grossir et bientôt elle remplit sa bouche complètement. LeGros pose une main sur l’arrière de sa tête. Elle lève les yeux vers lui pour le supplier de ne pas lui faire de mal. Mais pour toute réponse, il lui lance un regard froid et insensible. Il lui fait basculer la tête en arrière et il commence à s’enfoncer dans sa gorge.

Tiffany commence à étouffer, mais l’homme se contente de rire. Elle peut sentir chaque veine de sa bite sur sa langue. Des larmes coulent de ses yeux. Par réflexe, elle commence à le mordre. c’est alors qu’il la gifle et lui crie :

- Je me retire quand tu lécheras mes couilles !

Sa gorge la brûle de plus en plus alors qu’il s’enfonce dans sa bouche. Sur le point de s’évanouir, Tiffany peut tirer la langue assez loin pour chatouiller les poils de ses couilles. A son grand soulagement, le colosse noir est fidèle à sa parole et il retire son membre de sa bouche. Sa bite est recouverte de longs filets de salive. Tiffany tousse et quand elle essaie de parler, les mots ne sortent que dans un murmure rauque. Elle voudrait se recroqueviller sur le sol et se laisser mourir pour s’être laissée entraîner dans cette situation.

En sanglotant de façon incontrôlable, Tiffany ne peut rien faire pour empêcher l’homme de continuer à la torturer. LeGros coince ses bras au sol à côté de sa tête et se met à cheval sur son corps. Il commence à mordre ses seins et à sucer ses tétons. Il laisse d’énormes zébrures rouge foncé sur sa poitrine. Mais il ne s’arrête pas qu’à ses seins, il laisse des marques le long de ses jambes, de ses bars, de son ventre et à un moment il la retourne pour lui faire la même chose au dos et à ses fesses. Il faudra des semaines pour que les marques disparaissent complètement.

LeGros sait que son heure va bientôt être terminée. Il a besoin de sentir sa chaleur autour de sa virilité. Il soulève Tiffany et la plaque au mur, assez haut pour que ses pieds ne touchent plus le sol. A ce stade, la mère de famille a abandonné toute résistance. Sa vie telle qu’elle l’a connue est terminée. Elle n’arrive pas à s’expliquer ce qui lui arrive. Elle peut sentir la bite de l’homme noir s’enfoncer en elle tandis qu’il la laisse glisser le long du mur. Son propre poids l’empale sur la grosse queue. Tout ce qu’elle peut faire c’est de grimacer à cause de la douleur de cette bite qui pénètre profondément en elle.

Elle finit par sentir les poils pubiens de l’homme contre ses lèvres de chatte gonflées. LeGros se déplace vers le centre de la cellule. Puis il commence à la soulever et à la laisser retomber sur sa queue. Les gémissements de Tiffany sont dus au début à cause de la douleur, mais finalement le plaisir se mêle à cette douleur. Le rythme de l’homme accélère et elle jouit d’une intensité qu’elle n’a jamais connue. Plus rien ne semble avoir de sens pour elle. Elle est en train de se faire violer violemment et elle lui crie de ne pas s’arrêter. Ses orteils se recroquevillent et elle griffe son dos alors que les orgasmes s’enchaînent.

Le colosse noir ne peut se retenir plus longtemps. Il explose en elle. Il peut encore sentir sa chatte se serrer quand il sort. Le corps de Tiffany en demande encore. Il l’allonge sur le sol et admire son travail. Ses yeux sont rouges et les larmes coulent sur ses joues. Les marques qu’il lui a infligées sont bien visibles. Mais son chef-d’œuvre se trouve entre ses jambes encore tremblantes. Sa chatte est béante et laisse échapper son foutre qui forme une flaque sous elle.

Les gardes reviennent et lui remettent les menottes. Ils ne prêtent aucune attention à Tiffany, qui est assise contre le mur de la cellule, en état de choc. Un moment plus tard, la gardienne ouvre l’autre porte côté visiteurs et jette ses vêtements à Tiffany.

Plus tard ce soir-là, Tiffany est seule dans le confort douillet de sa tranquille maison de banlieue. Elle vérifie ses e-mails. Sa famille est au lit. Elle a convaincu son mari qu’elle n’allait pas bien et que c’était pour ça qu’elle portait un jogging plutôt que sa nuisette habituelle. Même si elle est meurtrie dans sa chair et dans son âme, elle espère avec impatience recevoir un message de LeGros. Juste avant qu’elle ne soit sur le point d’éteindre l’ordinateur et d’aller se coucher, elle reçoit un nouvel e-mail. Elle ne reconnaît pas l’expéditeur, mais l’ouvre quand même. Le message dit :

« Je suis un ami de LeGros. Il m’a dit que tu étais une salope blanche excitée qui aime les bites noires. J’aimerai beaucoup te rencontrer »

En bas de l’e-mail, il y a un lien vers le site web de la prison. Tiffany clique dessus.

FIN

jeudi 23 mai 2024

Ils sont à moi - Ch 02

  Récit de Marphil. (histoire sans vraie fin, malheureusement)

*****

Le couple est complètement soumis.

Les jours passèrent. Phil avait complètement adapté les orifices de Marie à son sexe. Mais cela ne lui suffisait pas. Il avait visiblement décidé de nous emporter plus loin dans sa perversité et d’asseoir définitivement son autorité sur notre couple.

Il instaura quelques règles simples : Marie devait être disponible, tous les jours, à partir de 18 heures en semaine et le week-end. Elle ne devait porter dorénavant que des jupes courtes, car cela l’excitait. Il avait aussi imposé que leurs ébats se déroulent à huis clos, le temps disait-il, que Marie lui devienne suffisamment soumise, il craignait que ma présence ne la trouble et qu’elle ne se livre pas complètement à lui. Il exigea un trousseau de clef de la maison afin qu’il puisse venir profiter à sa guise de Marie.

Un samedi soir, vers 23 heures, nous étions déjà au lit, Phil débarqua visiblement un peu éméché. Sortant d’un repas avec des amis, il saisit Marie par le bras et l’emmena dans la salle de bain. Après une demi-heure, ils revinrent dans la chambre, puis il me congédia. En sortant, je pus constater que les aisselles et le sexe de Marie étaient complètement épilés. 

Je dus patienter de longues heures, le temps que notre maître puisse se rassasier de Marie qu’il avait consommé sans modération. Le claquement de la porte d’entrée me sortit de ma somnolence. Je rejoignis alors Marie, et je pus admirer sa nouvelle apparence. Sans ses poils, elle paraissait encore plus nue, mais surtout, cela avait pour effet que la liqueur sacrée déposée dans le sexe de ma chérie, le rendait luisant, brillant comme un bijou. Marie me confia que Phil lui avait indiqué qu’il n’était plus question qu’elle dissimule son intimité derrière une toison. Cela lui procura une sensation bizarre les premiers jours. Mais lorsque Phil la pénétrait, elle le ressentait plus agréablement à l’entrée de son sexe, surtout quand il la prenait en levrette, elle pouvait sentir les testicules de son maître contre son sexe.

Lorsque Marie avait ses règles, elle n’était pas mise au repos, bien au contraire. Sa bouche était alors très sollicitée. Durant ces périodes, sa bouche et ses lèvres étaient toujours très douces à force de cajoler le sexe de notre propriétaire. Il la récompensait avec de grands jets de son nectar qui donnait à sa bouche un goût et un parfum très agréable.

Marie avait appris, très vite, à apprécier tout ce que lui offrait le sexe de cet homme. Au fil du temps, notre soumission augmentait. Nous avions pu le constater lors des vacances scolaires où Phil partait avec sa famille pendant plusieurs jours. Marie était en manque, déprimée, je faisais de mon mieux pour essayer de la satisfaire avec mon sexe, mais c’était très insuffisant. Finalement, nous nous masturbions mutuellement en évoquant notre maître. Ce qui rendait la douleur due à cette absence quelque peu supportable.

Il l’avait déjà tellement transformée, elle avait découvert avec lui le plaisir anal, savait apprécier maintenant le goût et l’odeur des sécrétions masculines. Elle n’aurait jamais, il y a quelques temps encore, imaginé que son petit sexe et son anus pouvaient engloutir entièrement un phallus aussi gigantesque et surtout lui procurer autant de plaisir.

Phil conscient de son pouvoir croissant plaça la barre encore un peu plus haut. C’est sur le plan psychologique, cette fois, qu’il décida d’agir. Nous devions dorénavant avoir son accord pour rencontrer nos amis, partir en vacance, aller au restaurant. Bref tout ce qui pouvait nous distraire du but qu’il nous avait assigné : le servir aux mieux de ses intérêts. Pour vous dire la vérité, cela n’a pas été difficile ni pour Marie, ni pour moi, étant donné que dès qu’il partait de chez nous, il nous manquait déjà. Nous étions prêt à ce moment là à bien plus encore, y a avait-il une limite d’ailleurs ?

Il eut d’ailleurs l’occasion de tester son emprise. Nous avions un ami, Gaël, que Phil ne trouvait pas à son goût. Nous nous en sommes séparé.

Fort de ses succès, il passa à la psychologie sexuelle. Je devais dormir, dorénavant, dans la chambre d’ami. Plus aucune relation sexuelle ne nous était autorisée. Il nous interdisait également la masturbation. Cela a été un moment très dur pour nous, mais son délire de vouloir nous contrôler sexuellement et complètement n’avait pas de limite. 

Nous nous sommes soumis. Nous avions basculé : nous tirions le plaisir de ses désirs. On ne comprend toujours pas aujourd’hui comment on en est arrivé là.

Il nous emmena encore un peu plus loin. Pour ma part, je m’avais plus le droit de prendre de plaisir qu’en me masturbant, sur son ordre et en sa présence dans la chambre d’ami. Il avait très vite appris à juger ma quantité de sperme afin d’établir si j’avais triché. Ce n’était jamais le cas, tant j’avais peur de le décevoir.

Pour Marie, ce fut plus délicat. Dans le but de la maintenir dans un état excité, il lui avait imposé de l’informer du moment où elle commençait à jouir. A ce moment, il s’arrêtait et la prenait par ailleurs afin que lui se soulage, mais qu’elle ne puisse jouir. Elle avait appris ainsi à interrompre son coït afin d’être toujours disponible pour son maître. Dans ses bons jours, il la récompensait, lors de sa dernière giclée, en l’emmenant au plaisir absolu où elle explosait jusqu’à perdre connaissance.

Je vous assure que quand on a renoncé à sa liberté dans ces conditions, il est très difficile de faire machine arrière. Il était devenu impossible pour nous de vivre sans ce maître qui s’était imposé avec tant de patience. Il aurait pu nous imposer n’importe quoi. Il a en avait conscience. Pour nous récompenser de notre docilité, il nous réserva, un soir, une séance particulière.

Ce soir là, à peine arrivé, il nous fit passer tous les deux à la douche. j’étais surpris d’être impliqué, il fallait être bien propre pour lui, nous devions nous laver à l’eau, afin que l’odeur et la saveur de nos corps soit neutre, nous aurions ainsi facilement le goût et l’odeur que son corps nous imposerait.

Il nous fit entrer dans la chambre et me coucha sur le dos sur le lit. Il plaça Marie sur moi, ventre en l’air en prenant soin d’introduire mon sexe raidi dans la partie intime arrière de Marie, Il l’avait tellement élargie qu’il n’eut aucun mal à m’arrimer profondément en elle. Je découvrai pour la première fois cet endroit qui, je dois bien le dire, ressemblait à un sexe féminin. 

Puis il nous lia jambe à jambe et bras à bras avec des cordelettes, il en passa également plusieurs autour de notre torse et notre ventre, si bien que nous semblions ne former plus qu’une seule personne. Il se plaça ensuite au dessus de nous et pénétra doucement Marie. Je sentis un énorme corps imposant entrer en elle, il était dur, ferme, j’en sentais les contours. Il comprimait fortement mon sexe de l’intérieur. 

Puis il commença de lents va et viens frottant mon gland sans relâche. Les seins de Marie étaient devenus pointus comme jamais auparavant, son visage devenait rouge comme durant les journées d’été au soleil. Il accéléra, Marie vibrait de l’intérieur, son ventre était pris de saccades, cela ne lui était jamais arrivé avec moi. Il accéléra encore, Marie et moi étions ballottés comme des poupées. Il transpirait déjà beaucoup et sa sueur coulait sur nous, il lui enfonçait sa langue sauvagement dans la bouche, lui pétrissaient les seins. Elle s’agrippait violemment aux draps et je devais suivre ses mouvement à cause des cordelettes. Elle écartait les jambes le plus possible, mais j’avais du mal à suivre. Elle partit en sanglot de plaisir sans retenir ses gémissements de jouissance. Je comprenais ce qu’elle pouvait ressentir. Ce plaisir immense que jamais je n’aurais pu lui offrir. J’éjaculai rapidement, mais pour la première fois de ma vie, je ne débandai pas et je restai excité. C’est quand Phil a déchargé que le plaisir est retombé, nous étions déjà bien programmés, je pense. Il s’est endormi sur nous et nous avons attendu qu’il se réveille sans dire un mot.

Le maître à son réveil n’était pas repu de sexe, au contraire. Sans nous libérer de nos liens, il nous glissa vers le bas du lit, de manière à ce qu’il soit confortablement installé. Il nous demanda de nous embrasser langoureusement, j’étais toujours sévèrement enfiché en Marie et je n’avais pas débandé mais son corps me semblait vide de son maître. D’un coup, son gland s’est glissé entre nos bouches. Marie et moi, avions commencé à le sucer jalousement. Très vite il éjacula, chacun essayant d’avaler le maximum de cette récompense.

FIN.

mardi 21 mai 2024

Hôtel des rencontres sévères - 3ème partie

Bande dessinée de Claudio Trinca.


*****
A suivre...

dimanche 19 mai 2024

Les débauches de mon épouse - Ch. 05

 Texte de Cadan (2011).

*****

Ses premiers "clients".

C a eu beaucoup de mal à dormir. À chaque mouvement dans le lit, le plug se rappelait à son bon souvenir en lui vrillant le sphincter. Heureusement, son mari ne s’était rendu compte de rien. De plus, elle essayait de trouver un prétexte pour s’absenter le soir. "Comme si j’étais une femme infidèle", pensait-elle, alors qu’elle n’était que l’esclave sexuelle de son Maître. Que lui préparait-il ? 

La journée face aux élèves fut très longue. Elle sentait ses jambes flageolantes. Son cerveau se projetait sur la soirée, imaginant des scénarios, toujours plus fous pour cette jeune institutrice. À midi, elle téléphona à son mari pour le prévenir de ne pas l’attendre ce soir, prétextant un repas entre collègues pour un anniversaire. À sa grande surprise, il ne fit aucune remarque. Elle ne pouvait savoir qu’il avait bien compris ce qu’elle allait faire. Malgré son désespoir, il ne contacta pas le patron, ayant compris qu’il n’attendait que cela pour l’avilir encore plus. 

Dès la fin de la classe, C se précipita chez elle pour se préparer comme le souhaitait son Maître. Une douche rapide. Elle ceint le porte-jarretelles, fait glisser les bas résille le long de ses jambes. C’était le seul ordre explicite. Que mettre par-dessus ? Elle se décide pour le chemisier transparent, et la mini (ras la touffe). Elle termine par les talons aiguilles. En se regardant dans la glace, elle se rend compte qu’elle a oublié le maquillage : vite, fond de teint, rouge écarlate sur ses lèvres. Ça y est, elle est prête. Son manteau (les voisins !), et elle est partie. Arrivée devant le restaurant, C laisse le manteau dans la voiture et se dirige droit vers la cuisine. Quelques hommes attablés voient passer une pute.

- Ah Lola. C’est bien, tu es à l’heure. À poil ! Tu gardes juste tes bas, tes talons et ton collier. 

Elle se retrouve encore une fois nue devant son Maître. Elle prend soin de ne cacher ni son sexe ni ses seins. Cependant, ce n’est pas encore assez.

- Tu dois apprendre à te présenter, Lola. Tu dois écarter tes cuisses, pour montrer qu’on peut te baiser, et ouvrir la bouche pour montrer que tu es une bonne suceuse. De plus, tu mettras tes mains derrière la tête, pour redresser tes nichons. Pour être sûre que tu n’oublieras plus, tu vas avoir droit au fouet.

- Non, Maître, s’il vous plaît, je n’oublierai pas.

- Il me plaît de faire traiter ton cul de salope au fouet. Alors, ta gueule !

Il n’est plus question de rébellion pour C. Elle obéira. Elle se fera fouetter et elle sait qu’elle comptera les coups qui s’abattront sur ses globes charnus. En attendant.

- Viens me montrer ton cul, ma petite chienne.

C s’approche de son Maître, se retourne. Il lui appuie sur la nuque pour la faire se pencher. Ses mains se posent sur ses fesses, les écartent. Le plug queuté est bien visible. Elle ne bouge pas.

- Alors, comment tu te sens, enculée ?

- Ça me gêne, Maître.

- Il faut préparer tes fesses, Lola. Marie, viens vérifier. 

Marie tire violemment le plug. L’anus de C est encore ouvert. La cuisinière pose alors un doigt et l’enfonce d’un seul coup. C crie de surprise et de douleur. Marie tente un deuxième doigt, sans succès.

- C’est encore trop étroit, Monsieur.

- Bien, tu lui en prépareras un plus large. Pour l’instant, Lola, tes nichons sur mon bureau et tends tes fesses. La punition va commencer !

Lola se met en position et attend. Le premier coup s’abat sur ses deux fesses en même temps. Elle sursaute, mais compte « un ». La lanière du fouet cingle son cul. Parfois, elle entoure complètement, venant finir sa course au ras de son pubis. Au quinzième coup, elle n’en peut plus et sanglote convulsivement. Son derrière est strié de marques rouges, dont certaines laissent perler quelques gouttes de sang.

- Ça suffit, Marie. On va voir si cette pute a retenu sa leçon. À toi, Lola !

- J’écarterai mes cuisses pour montrer ma chatte à baiser. J’ouvrirai la bouche pour sucer. Je mettrai les mains derrière la tête pour redresser mes nichons.

- Bravo, Lola. Tu vois quand tu veux. Maintenant, en position !

C se redresse, cuisses bien écartées, bouche ouverte, mains derrière la tête. Ses fesses la brûlent outrageusement, mais elle ne bouge pas.

- Tes clients t’attendent, Lola. Comme ils ne peuvent pas t’enculer, je perds beaucoup d’argent. Il faudra vite être prête de ce côté. En attendant, sois gentille et donne-leur ce pour quoi ils vont payer !

Cette fois, ça y est. Elle va être baisée contre de l’argent. Elle va se prostituer. Elle se sent plonger dans l’abîme. La porte derrière elle s’ouvre. Une voix masculine :

- Eh bien Ali, tu n’avais pas menti. Elle est bonne, ta nouvelle recrue.

- Qu’est-ce que tu veux : sa bouche ou sa chatte ?

- Je baiserais bien sa chatte.

- C’est deux cents francs. Donne-lui l’argent ! 

C se rend compte que son Maître l’a fait volontairement pour la faire mieux rentrer sans sa nouvelle condition : pute ! Elle se tourne alors vers l’homme. Il a une quarantaine d’années et la regarde avidement. Il lui tend deux billets qu’immédiatement elle donne à Monsieur Ali et elle attend le désir de son client.

- Mets-toi à quatre pattes. Et tends tes fesses. 

Elle prend la position, le cul tourné vers son client, le regard vers son Maître. Les mains de l’homme se posent rudement sur ses globes, la faisant sursauter : elle sent encore les suites du fouet. Le sexe masculin, tendu, se glisse entre ses cuisses, vient se frotter sur ses lèvres vaginales. D’un seul coup, il s’enfonce dans son sexe, écartant sans ménagement les lèvres. Elle a le dard fiché profondément dans son vagin et elle essaie de s’habituer à cette pénétration qui n’est que bestiale : c’est un mâle qui saillit une femelle. L’homme recule lentement, jusqu’à amener son gland au bord du sexe féminin : c’est doux. Mais, nouvelle poussée violente. Tout son corps est projeté vers l’avant. Ses seins ballottent sous les coups de boutoir de l’homme qui violente son sexe.

- Écrase tes nichons sur le sol, pour bien lever ton cul. 

Évidemment, elle obéit. L’homme rugit de plaisir : 

- Qu’est-ce qu’elle est bonne, cette salope ! 

Il continue de la limer férocement. Le corps de C réagit et son sexe commence, mécaniquement, à mouiller. Cette réaction n’échappe pas à Ali, qui sourit. Il vient de gagner une fille qui pourra lui ramener gros. Enfin, le client déverse son sperme au fond du vagin de la fille et se retire lentement. Au moment où son sexe sort, il emmène avec lui une partie de la liqueur qui se met à couler le long des jambes de C, atteignant la lisière de ses bas. Une claque sur ses fesses et il quitte la pièce. C se relève. Ses seins sont couverts de poussière, son sexe déborde de sperme. Elle n’a pas le temps de s’essuyer qu’un second client entre. C’est un homme plus âgé, une soixantaine d’années.

- Tu la baises, ou tu te contentes d’une pipe.

- Je veux qu’elle me suce.

- Bien. C’est cent balles. 

Et le manège recommence. L’homme lui tend un billet qu’elle tend respectueusement à son Maître.

- À genoux, salope, et suce-moi bien. 

Lola, car c’est bien d’elle qu’il s’agit à ce moment, s’agenouille. Elle n’oublie pas de bien écarter les cuisses. Elle prend entre ses doigts le sexe, encore un peu mou, et l’approche de sa bouche. Il n’est pas très propre et sent l’urine. Pourtant, bien éduquée, elle glisse ses lèvres autour de la bite et commence à la sucer. Le sexe n’est pas très important et elle n’a pas trop de difficulté à se le mettre en bouche. Elle fait tourner sa langue autour du gland. Le client a l’air d’apprécier.

- Lèche-moi les couilles, putain. 

La langue de Lola se râpe un peu sur les poils des testicules. Elle ré embouche la queue. Elle la suce tout en la masturbant.

- Prends tout dans ta gueule, salope !

Le sperme s’écrase sur ses yeux, son nez, ses lèvres. Il coule dans le cou. Elle n’a pas le temps de s’essuyer. Un troisième client est entré. Il descend son pantalon et son slip et en sort un sexe déjà tendu. Il s’assied sur une chaise.

- Allez, viens, ma salope ! Viens t’enfoncer sur ma bite !

Lola s’approche, écarte les cuisses, plie les genoux. Le sexe effleure sa fente. Soudain, d’un geste brutal, l’homme la prend par les épaules et la fait s’empaler d’un seul coup. Elle se sent déchirée.

- Bouge ton cul pour me caresser les couilles. 

Elle obéit et entame un mouvement circulaire. Les testicules du mâle lui frottent les fesses. La verge, dans son ventre, grossit encore. Il pose ses mains sur sa poitrine.

- Veux-tu que je te les caresse ?

- ...

- Réponds salope !

- Oui, monsieur !

- Alors, demande-le-moi !

- Caressez-moi les seins, Monsieur !

- Demande-le comme la salope que tu es !

- Pelotez-moi les nichons, les mamelles, Monsieur !

Il empaume ses seins, passe aux tétons qu’il étire, ce qui la fait gémir. Il les pince, leur fait faire quasiment un tour complet. La douleur est horrible et, pourtant, elle sent l’humidité gagner son sexe rempli par celui de son client.

- Bouge sur ma bite, sale pute !

Lola appuie sur ses hauts talons. Ses lèvres glissent lentement le long de la tige jusqu’à ce que le gland atteigne l’entrée de sa chatte. Puis elle s’empale de nouveau complètement. Le manège dure. Elle commence à avoir des crampes dans les cuisses. Son client n’arrête pas de lui torturer les tétons. Elle n’arrête pas de le chevaucher. Quand il lâche ses seins, c’est pour lui claquer les fesses, encore endolories du fouet. Enfin, le sexe enfoncé au plus profond de son ventre éjacule de longs jets de foutre, qu’elle sent bien frapper le fond de sa matrice. Avant de partir, l’homme essuie sa bite souillée sur les poils pubiens de Lola. Il quitte la pièce et un nouveau client entre. Combien y en aura-t-il ? À cet instant, elle entend la voix de son Maître :

- Attends un moment, et toi Lola, viens ici. 

Que se passe-t-il ? Elle a pourtant été bien obéissante.

- Alors, Lola, est-ce que tu es une bonne pute ?

- Je pense, Maître.

- Pourquoi ? 

Elle comprend que son Maître la met à l’épreuve.

- Ma bouche a bien sucé la bite du client, Maître. Et ma chatte les a bien essorées.

- Et tu n’as rien oublié, connasse ? 

Mon Dieu, elle a oublié de faire payer le troisième client.

- Je vais te punir pour ça. Fous-toi à poil complètement et approche. 

C enlève ses chaussures, ses bas et son porte-jarretelles. Monsieur Ali a sorti une paire de menottes en acier. Il lui attache brutalement les mains dans le dos. Un martinet apparaît dans ses doigts. Les lanières partent et s’abattent violemment sur ses seins. C se plie de douleur. Marie, la cuisinière à tout faire, lui tire brutalement les cheveux en arrière. Elle ne peut plus alors rien faire pour éviter le martinet qui s’abat maintenant régulièrement sur ses seins, ses tétons qui se marquent, comme ses fesses de stries violacées.

- Tu n’oublieras plus Lola ?

- Non, Maître.

- Rappelle-moi tes tarifs.

- Cent francs la pipe, deux cents francs la chatte.

- Maintenant, à quatre pattes. Ton client a entendu. Il veut ta chatte. 

Difficilement, avec les mains attachées dans le dos, Lola s’agenouille puis se penche en avant jusqu’à ce que ses épaules, ses seins soient sur le sol. Dans cette position, elle présente ses fesses et son sexe de manière très obscène. Le client ouvre son pantalon, en sort son sexe déjà bandé. Il écarte les lèvres de C avec ses pouces et la pénètre d’une seule et longue poussée. Son vagin, encore poisseux du sperme précédent, est de nouveau empli. La bite, très longue vient cogner le fond de sa matrice. Elle reste au fond.

- Baise-toi, salope !

Lola comprend. Elle avance son bassin, sans que l’homme ne bouge, ce qui fait glisser le phallus. Puis elle recule pour l’avaler complètement. Elle est en train de se baiser elle-même. Elle continue le mouvement. L’homme souffle fort dans son dos. Puis l’agrippant par les hanches, il se met à la pilonner violemment. Ses seins endoloris frottent le sol. Le client finit par sortir sa queue et lui gicle sur les fesses. Lola sent le sperme couler dans sa raie, entre ses cuisses. 

Cela fait plus d’une heure que Lola est le jouet sexuel d’inconnus. Elle est toujours en position de chienne sur le sol, avec les mains menottées dans le dos. Comme elle n’entend plus de client entrer, elle pense qu’elle en a terminé.

- Relève-toi Lola et viens ici. 

Elle roule sur le sol pour se redresser et se rapproche de son Maître. Il lui enlève ses chaînes.

- Va te laver, maintenant. Tu es sale et tu sens le foutre. 

Elle se dirige vers l’évier, seul point d’eau de la pièce. Marie lui tend un chiffon mouillé. C frotte toutes les parties de son corps marqué par les hommes qui se sont succédés sur elle et en elle. Elle a mal partout et surtout elle a honte. Elle vient d’avoir des rapports sexuels avec quatre hommes complètement inconnus. Elle ne peut pas dire qu’elle y a pris du plaisir, mais elle n’a pas refusé non plus. Elle s’est laissé faire. Pire, elle sait qu’elle recommencera quand son Maître lui ordonnera. Pour l’instant, il l’appelle :

- Viens ici petite chienne. 

Vêtue seulement (si l’on peut dire) de son collier de chienne, C s’approche de Monsieur Ali.

- À genoux. Et pose tes nichons sur mes cuisses. 

En s’agenouillant, elle n’oublie pas de garder les cuisses écartées. Ses seins douloureux du martinet se posent sur le pantalon de son Maître.

- Lève la tête et ouvre la bouche. 

Sans décoller sa poitrine, elle se casse le cou pour regarder Monsieur Ali. Elle reçoit sa langue, qui lui lèche la sienne. Puis un filet de salive, qu’elle avale docilement. Enfin, elle doit sucer servilement la langue de son Maître qui lui en donne l’ordre.

- Tu vois, Lola, avec moi, tu es bien obéissante. Mais tu n’es pas bonne avec les clients. Non seulement ils ne peuvent pas prendre ton cul, mais, en plus, tu te contentes d’être baisée : tu ne sais pas les contenter. Il va falloir que tu deviennes meilleure pute. Sinon, je te mets en maison d’abattage. Tu sais ce que c’est ?

- Non, Maître. 

- On te couche sur une paillasse. Tu n’as qu’à ouvrir les fesses et tu te prends une centaine de bites à suivre. Ça rapporte moins, mais je me rattraperai sur la quantité.

- Je vous en supplie, Maître, je ferai des efforts. Je donnerai du plaisir aux… clients.

- Et ton cul, Lola ?

- Je ne peux pas, Maître. Il est trop étroit.

- Tu l’élargiras, salope ?

- Comme il vous plaira, Maître.

- Comment ? 

C comprend qu’il veut qu’elle s’humilie encore plus.

- Avec le plug, Maître. Je vais me fourrer le cul avec le plug jusqu’à ce qu’on puisse m’enculer.

- Tu vois quand tu veux. Tiens, enfile-le. 

Et il lui met dans la bouche le jouet anal. Lola le suce un peu. Puis, sans se relever, ouvre ses fesses d’une main, et s’enfonce le plug dans le fondement. Preuve que cela commence à faire de l’effet, elle a beaucoup moins mal qu’hier. Elle se sent investie. Elle imagine la crinière, sortant de sa raie, reposant sur le sol. Elle imagine l’image qu’elle donne. Et elle imagine ce que dirait son mari s’il la voyait comme ça.

- Bon, ma petite salope, tu vas suivre Marie. Elle va t’emmener dans une chambre. Youssef et Marco t’attendent pour t’apprendre à te conduire comme une bonne pute. Ne les déçois pas, et surtout ne me déçois pas. Autrement, je serais obligé de t’envoyer en maison d’abattage. 

Une petite tape sur ses seins et C se redresse. Elle suit Marie qui monte l’escalier. Elle sent la crinière lui caresser les cuisses. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que Ali est en train de téléphoner à son mari.

- Dites donc, je n’ai pas eu de vos nouvelles. Vous n’avez pas envie de savoir ce que fait votre adorable petite salope de femme quand elle est chez moi.

- Vous nous tenez avec votre chantage, que voulez-vous de plus ?

- Je veux que tu saches. Elle vient de se prendre trois bites dans la chatte et d’en sucer une quatrième. Tu sais qu’elle apprend bien. Elle a tout avalé.

- Ça suffit.

- Tu n’as pas envie de la voir se faire sauter. Viens demain à dix-huit heures. 

Et il raccroche. 

Marie a ouvert la porte d’une chambre et y a poussé C. La chambre est minable, un papier peint défraîchi, un lavabo branlant et un bidet. Assis sur le lit, Youssef et Marco la regardent. C ne sait quoi faire. Alors, elle reste nue, debout, immobile.

- Monsieur Ali pense que tu as encore beaucoup à apprendre pour devenir une bonne gagneuse, dit Youssef. Alors, tu vas être bien obéissante et bien retenir ce qu’on va te faire faire, salope. 

C’est la première fois qu’elle est dans une chambre, avec deux hommes. Elle a compris que cela allait durer et qu’elle devrait, non seulement se prêter à tous leurs ordres, mais en plus, vraiment, participer.

- Tu dois nous donner envie de te baiser, petite chienne. Pour commencer, présente tes nichons, à pleines mains.

- Tourne-toi. Présente tes fesses.

- Elles sont bandantes, tes fesses, avec les marques du fouet et la crinière qui sort de ton cul.

- Maintenant, mets-toi à quatre pattes, comme la chienne docile que tu es.

- Viens vers nous, doucement. Ouvre la bouche et lèche-toi les lèvres. Regarde-nous dans les yeux. 

Lola approche du lit. Les deux hommes ont ouvert leur braguette et se caressent doucement le sexe.

- Prends-les dans tes mains et branle-nous.

- Oui, c’est bien. Maintenant, suce une queue pendant que tu branles l’autre. 

Elle fait coulisser ses lèvres autour de la verge. Sa langue titille le gland dans sa bouche. Dans sa main, elle sent l’autre sexe durcir encore. Puis elle change. Sa main est maintenant humide de sa salive et la verge glisse mieux. Elle se voit, nue, à genoux, dans une chambre d’hôtel, avec deux hommes qui vont la prendre. Quelle honte ! Pourtant, elle continue. Elle s’applique. Tout pour plaire à son Maître.

- Viens sur le lit et écarte les cuisses, petite chienne. On va te baiser. 

Lola s’ouvre en grand. Youssef, le premier, pointe sa verge à l’entrée de son vagin. Il s’enfonce lentement. Elle se sent pénétrée, bien plus fort que tout à l’heure, dans la cuisine. Il est au fond de son ventre. Marco s’installe alors sur ses seins et lui présente son sexe à sucer. Elle n’hésite pas à le happer, et, alors qu’elle commence à jouer avec sa bouche, Youssef se met à la limer, sortant presque entièrement avant de replonger au fond de sa chatte.

- Caresse-moi les couilles pendant que tu me suces, petite pute.

- Et contracte les muscles de ta chatte, pour me masser la queue. 

Lola, bien sûr, obéit, essayant de donner le maximum de plaisir aux deux hommes. Les verges sortent de ses orifices quand ils décident d’échanger leur place. La bite de Marco n’a aucun mal à fouiller son minou. Elle sent ses sécrétions vaginales quand elle suce celle de Youssef, et cela l’écœure un peu. Puis ils la font se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle est entre les jambes de Marco et l’embouche immédiatement.

- Tends tes fesses vers ma queue. Les pouces de Youssef écartent ses lèvres. Il la pénètre à nouveau.

- À toi de te baiser sur ma queue. 

Les deux hommes changent encore de position. De nouveau, elle suce sa crème intime. Cela fait plus d’une demi-heure qu’ils usent de son corps.

- Maintenant, tu vas t’allonger en travers du lit, cuisses grandes ouvertes et tête renversée. 

Youssef lui baise la bouche, ce n’est pas autre chose. Il utilise la bouche de C comme si c’était un sexe. Pendant ce temps, Marco la pilonne sauvagement. Elle le sent lâcher le premier son sperme au fond de son ventre. Puis c’est Youssef qui lui éjacule au fond de la gorge. Elle s’applique à ne rien laisser ressortir.

- Nettoie nos bites avec ta bouche. 

Lola s’applique à les débarrasser de tout ce qui macule ces sexes qui viennent de la saillir.

- Pas mal, Lola. On pense que tu vas vite devenir une bonne gagneuse. 

Elle a bien compris. Son Maître va la prostituer. Elle va devenir une putain. Et pourtant, elle ne ressent aucun sentiment, ni peur, ni honte, ni rien. Elle est comme anesthésiée.

- Lave ta chatte et redescends voir Monsieur Ali. 

C descend les escaliers, complètement nue (excepté le collier qui montre son appartenance). Elle se place devant son Maître dans la position qu’il exige d’elle : cuisses écartées, mains derrière la tête pour redresser ses nichons et attend.

- Bon, Lola. Youssef et Marco étaient assez contents de toi. Alors, tu reviens demain soir, pour six heures et tu te mettras au boulot. 

Alors, ça y est. Demain sera les débuts de Lola la pute. Elle ne cherche même pas à savoir comment elle va faire passer ça à son mari. Elle sait qu’elle obéira, c’est tout.

- Par contre, les clients aiment les dessous de pute. Alors, ce soir, tu passes au sex-shop et tu t’achètes ce qu’il faut pour les exciter. Et n’oublie le porte-jarretelles, je ne veux pas de ces bas qui tiennent seuls. Maintenant, viens sur mes genoux et embrasse-moi, salope. 

Long baiser où les langues s’emmêlent. Crachat dans sa bouche. Elle avale.

- Casse-toi, maintenant. 

Rhabillage (elle a toujours le plug fiché au fond de ses fesses). Elle prend sa voiture et se dirige vers le magasin qu’elle commence à bien connaître. Cette fois-ci, le patron n’a pas à lui imposer quoi que ce soit. Elle se dirige directement vers le rayon lingerie. Elle choisit des bas noirs, un serre-taille de la même couleur. Puis une culotte de dentelle noire, fendue devant et derrière. Enfin, un redresse-seins noir et rouge. Une pause devant le rayon des plugs. Une impulsion irraisonnée. Elle en prend un, plus large que celui qu’elle a. Le patron ricane. Elle ne réagit pas. Elle est devenue une putain et son cul va devoir servir.

A suivre...

vendredi 17 mai 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 05

 Texte de Monique2.

*****

Une partouze dans un manoir.

Le soir, vers 20 heures, nous sommes arrivés à la clinique où Patrick était hospitalisé. Comment vous présenter Patrick ? Il est le double de mon mari, son ami de toujours, son frère, avec lui il a fait les quatre cent coups. Donc moi je le connais très bien, c’est avec lui que mon mari m’a initié à la double pénétration. Et depuis quinze ans, ils m'ont prise en sandwich un nombre incalculable de fois, ils m'ont pénétrée dans toute les positions possibles. Ils ont même établi des records. Celui qui tenait le plus longtemps quand je le suçais, celui qui pouvait m’enculer ou me baiser le plus longtemps ou celui qui me faisait jouir le plus vite en me léchant.

Arrivé devant la porte de sa chambre mon mari frappa, Patrick nous dit d’entrer.

- Alors vieux frère, on veut jouer au jeune homme, à quarante ans on ne fait plus de moto !

Et mon mari me dit a l’oreille :

- Mets-toi à droite du lit, c’est sa main valide !

Je m’exécutai sur-le-champ et m’approchai de Patrick par la droite. Je me penchai pour l’embrasser, je me relevai et me plaçai de façon que sa main droite soit au niveau de mon entrejambe.

- Tu parles, s’il n’avait pas plu, je n’en serais pas là !

Il avait passé sa main sous ma jupe et commençait à tripoter ma chatte, j’écartai tout ce que je pouvais pour lui faciliter la tache,

- Tu en as pour longtemps avec ce bras ?

- Non, je dois sortir dans deux jours, et je garderais le plâtre deux ou trois semaines je ne sais pas !

Mon mari me fit signe avec ses yeux que Patrick avait besoin de réconfort. Je m’empressai de lever son drap et de sortir sa queue, et je me baissai pour lui prendre son membre et commencer à le sucer. Il continuait à parler, je le suçais comme il aimait en lui tournant la queue avec la main et en même temps je montais et descendais avec ma bouche. Je lui caressais les couilles de l’autre main.

Au bout un moment il se mit à jouir. Je pris tout dans la bouche et l’avalai, et puis je lavai le reste de sperme qui restait sur sa queue.

- Maintenant chérie tu vas descendre à l’accueil nous chercher des cafés, nous avons à parler !

Je m’essuyai la bouche et sortis, je pris tout mon temps, mon maître ne voulait pas de moi dans la chambre. Il me dirait quand je pourrais rentrer. 

Au bout de dix minutes, je me retrouvai devant la porte. Je frappai très doucement, je ne voulais pas qu’ils boivent leur café froid. Mon maître ouvrit la porte, me prit les cafés des mains et la referma, je restai dans le couloir à attendre l’autorisation de rentrer. 

Au bout du couloir, deux infirmiers commençaient leurs soins du soir. J’ai patienté un bon quart d’heures avant que mon mari ouvre et m’autorise à pénétrer dans la chambre. Nous parlâmes de tout et de rien, puis mon mari dit qu’il était temps de partir pour laisser Patrick se reposer. Je l’embrassai, il avait des étincelles dans les yeux, je connaissais bien ce regard, il me préparait quelque chose.

Le voyage de retour se passa sans problème, je ne posai aucune question à mon maître. Je n’avais pas l’habitude de le questionner, il me donnait des ordres et je les exécutais. Je repris ma vie normale à faire des ménages surtout chez des habitués comme Marcel. Je couchai avec deux hommes à qui j’avais été offerte par mon maître. Je revis Patrick, plusieurs fois chez lui ou à la maison, enfin une vie tout fait dévouée à son maître. Ah si, j’avais fêté l’anniversaire de Marcel, il avait invité quelques potes mais je vous raconterais ça un autre jour. Trois semaines s’étaient passées, j’avais oublié cette discution entre mon mari et Patrick. Le samedi pendant le déjeuner mon mari me dit :

- Ce soir tu sors ! Tu te fais belle, et tu mets ton manteau car tu rentreras dans la nuit, voire au petit matin, et où tu vas il ne fait pas très chaud. Je veux être totalement satisfait de toi, et ne pas avoir de reproches, je t’emmène vers vingt et une heures !

Et brutalement me revenait en mémoire cet évènement de la clinique. Ça c’est un coup de Patrick. Mon maître me prêtait pour la nuit, je devais être nue sous un manteau et être totalement l’esclave des personnes que je verrais cette nuit.

- Je serai totalement soumise et je serai le jouet des personnes que je verrais cette nuit, tu seras fière de moi, chéri !

Nous avons fini de déjeuner. L’après midi s’écoula tranquillement.Vers vingt heures, je pris un bain et me rasai de près la chatte et le reste. Nous partirent à vingt et une heure comme prévue, je me rendis compte que nous allions vers l’Oise. Après avoir fait bien soixante dix kilomètres, il faisait nuit noire, mon mari s’arrêta derrière une grosse voiture type Espace juste avant un grand carrefour.

- Tu descends là, monte dans la voiture devant !

Je m’exécutai, mon mari repartit aussitôt. Je me dirigeai vers cette voiture, le chauffeur me fit signe de monter derrière.

- Bonsoir Monsieur !

- Bonsoir Madame, veuillez attacher votre ceinture !

Et la voiture démarra. L’homme ne parlait pas, nous roulâmes quelques kilomètres sur la grande route, puis il bifurqua dans une petite route qui rentrait dans la forêt. Et il roula un certain temps, cela me paraissait assez long. Je ne pus réprimer un frisson, on était en pleine forêt, tout était noir sauf les faisceaux de lumière de la voiture qui balayaient la route qui n’arrêtait pas de tourner. Puis il prit à droite dans une sorte de chemin de terre. J’étais pas mal secouée et une inquiétude montait en moi. Dans quel fantasme m’avaient entraînée mon mari et patrick ? 

Brusquement, au détour d’un virage, une très grande maison apparue. La voiture stoppa, le chauffeur arrêta le moteur et descendit. Je fit de même, je me trouvais sur un parking où six autres voitures étaient garées. L’homme me fit signe de la main de le suivre. Tout en marchant je regardais cette batîsse, c’était une grande maison, presque un petit château en pleine forê. En m’approchant je remarquai des panneaux de publicité. C’était un restaurant. D’ailleurs je vis maintenant que tout le bas de la maison était des baies vitrées. 

L’homme s’arrêta devant une porte vitrée, s’accroupit et ouvrit avec une clef, se releva, m’ouvrit la porte et me fit signe d’entrer. J’étais dans une immense pièce qui était dans noir. On ne distinguait les tables dressées que par la faible lumière des blocs de sécurité qui étaient allumés. 

L’homme derrière moi referma la porte à clef et passa devant, je le suivis. Arrivé au fond il ouvrit une porte dissimulée derrière une grande tenture et se pencha pour allumer la lumière. Je vis un escalier qui descendait. Il fit signe de descendre, derrière moi il referma la porte a clef. L’escalier descendait pas mal. Arrivée en bas, je me trouvais devant une nouvelle porte. L’homme passa devant moi et frappa trois coups et s’effaça pour que ce soit moi qui soit devant la porte. J’entendis une clef tourner dans la serrure et la porte s’ouvrit. Un homme d’une quarantaine d’années de taille moyenne était dans l’encadrement de la porte. Cheveux mi-longs châtains presque blonds peignés vers l’arrière, des yeux bleus rieurs, une barbe naissante blonde, et un large sourire finissait le tableau. Il était craquant, il portait un gilet de costume, une chemise blanche avec cravate et un pantalon de costume très certainement d’une grande marque. Il s’effaça pour me permettre de rentrer dans la pièce. Mon chauffeur passa devant moi pour rejoindre un groupe de personne. 

L’homme qui m’avait ouvert la porte la referma derrière moi et me prit par le bras. J’étais dans une grande pièce très large et encore plus profond, toute voûtée comme une cave mais elle devait être d’une hauteur de quatre à cinq mètres. Les murs et la voûte étaient en grosses pierres de taille de couleur beige. A ma gauche une grande table rectangulaire avec une nappe blanche. Dix couverts y étaient mis avec des verres à pieds. Plus loin quatre fauteuils en cuir marron clair mis en croix et au centre de cette croix un pouf de grande taille lui aussi en cuir de couleur marron. A ma droite une table rectangulaire contre le mur avec une nappe blanche, dessus une multitude de bouteilles d’alcools, et de grands raviers avec toute sorte d’amuse-gueules, puis une petite table à roulettes contre le mur. Trois fauteuils du même genre que les autres disposés en demi-cercle qui faisaient face à un autre fauteuil en cuir mais ou l’on pouvait s’allonger. Puis toujours à droite, un lit ou plutôt un sommier et un matelas recouvert d’un drap. Tout à fait au fond une grande table toujours avec une nappe blanche où était disposé un buffet. Au fond de la salle deux portes. Je sus par la suite que celle de droite était un cabinet de toilette avec deux wc, un grand lavabo et tous qu’il faut pour se laver. Ainsi qu’une douche qui rendra bien service. La porte de droite, c’était une réserve avec deux frigidaires, micro-onde, lave vaisselle et réserve de vins.

Maintenant les personnes qui se tiennent à quelques pas de moi, et qui me font face sont huit hommes, tous entre quarante et cinquante ans. Ils sont en gilets de costume comme l’homme qui me tient le bras. J’ai nettement impression qu’ils ont l’habitude d’être ensemble, et qu’ils sont tous aisés. Je me repère aussi aux voitures que j’ai vues sur le parking qui sont toutes de luxe, et à leurs costumes qui sont de grande marque, et je me trompe rarement sur les vêtements. 

Un peu sur la gauche du groupe d’hommes, trois personnes se tenaient l’une à coté de l’autre. Un jeune homme d’une vingtaine d’année, une jeune fille à qui je donnerais à peine dix sept ou dix huit ans, et une femme de vingt cinq ans environ. Le jeune homme avait un visage très fin presque féminin, des petites lunettes rondes cerclées d’or. Ses cheveux était très courts et bruns. Il portait un pantalon de toile de couleur blanche et une chemisette de couleur saumon. La jeune fille était blonde les cheveux attachés derrière sa tête en tresse arrondie. Elle avait le teint très pâle sans maquillage et des taches de rousseur autour du nez. Ses yeux étaient noirs très inquiets voir un peu affolés, elle portait une robe dos nu, noire très moulante et très courte, on voyait ses touts petits seins à travers le tissu. L'autre femme était brune, les cheveux mi-longs attachés derrière, de taille moyenne elle avait le visage un peu allongée sans réellement d’expression. Elle portait un cache cœur bleu clair, et une jupe noire. Je distinguais sous le cache cœur une poitrine assez belle. Tous les trois me regardaient avec inquiétude. L’homme qui me tenait le bras prit la parole :

- Messieurs, je vous présente Monique la femme de notre ami qui a eu l’extrême obligeance de nous la prêter pour cette soirée. Etant l’esclave de notre frère de débauche, vous ne verrez pas objection à la considérer comme des nôtres, et à ne pas appliquer nos règles pour les jouets sexuels de nos soirée !

Dans un ensemble parfait les huit hommes rebondirent par l’affirmative à la demande. Il reprit la parole en désignant les trois jouets comme le disait le maître de cérémonie :

- Bien pour vous trois je vous rappelle nos règles. Vous êtes nos esclaves pour la nuit, vous devez soumission totale aux neuf membres. Vous avez interdiction de parler entre vous, interdiction de parler aux neuf membres et bien sur à Monique, sauf si on vous y invite. Vous pouvez crier voir hurler vous êtes dans une cave et personne nous entendra. Vous devez accepter toute demande des neuf membres, si vous dérogez à ces règles notre punition sera à la mesure de votre refus. Je tiens à vous rappeler que vous avez tous un compte a régler avec un des membres de cette assemblée !

Les deux jeunes étaient vraiment inquiets maintenant. L’homme qui me tenait le bras se pencha à mon oreille et dit doucement :

- Bien sûr pour vous ma chère il n’est pas besoin de punition, nous savons très bien que vous êtes toute disposée à nous satisfaire, et nous sommes tous impatients de vous voir en action. A ce que je sais de votre mari et de Patrick, votre réputation n’ai plus à faire vis à vis des choses du sexe !

Puis il releva la tête et dit :

- Est-ce que ces trois personnes pourraient se déshabiller maintenant !

Tous les yeux se tournèrent vers eux. La jeune fille était un peu pétrifiée, puis doucement elle passa ses mains derrière sa nuque et défit le nœud qui tenait le haut de sa robe. Puis elle descendit les mains avec la robe jusqu’à la taille et dévoila ses petit seins puis elle continua jusqu’aux pieds et leva ses deux pieds pour la retirer complètement, puis elle mit ses pouces de chaque coté de ses hanches et descendit sa culotte qu’elle retira. Elle était vraiment blonde naturelle et avait de petites fesses. L’homme près de moi reprit sur le même ton :

- Jeune fille, quel est ton prénom !

- Aurélie, monsieur !

- Bien, ma petite Aurélie; je crois que tu vas découvrir des choses ce soir !

Le garçon défit sa chemisette, il était assez maigre. Il défit sa ceinture et descendit sa braguette et laissa tomber son pantalon. Puis il défit son slip, il avait un petit sexe comme d’un enfant de quatorze ans.

- Quel est ton prénom !

- Bruno, monsieur !

Puis se fut le tour de la femme. Elle détacha dans son dos son cache cœur et l’enleva, elle avait des seins vraiment très jolis pas vraiment gros mais vraiment proportionnés. Puis elle défît sa jupe puis sa culotte.

- Quel est ton prénom !

- Céline, monsieur !

ils étaient tous les trois nus, et attendaient un peu comme des animaux qui vont à l’abattoir. Il se tourna vers moi :

- Et maintenant le plat de résistance, Monique vous voulez bien ? 

Je défis mon manteau, il y eu quelques murmures, qui était tous sur la grosseur de mes seins.

- Maintenant les domestiques veuillez prendre place pour nous servir l’apéritif !

Tous les membres se dirigèrent vers la table près de la porte d’entrée. La femme et le garçon se mirent à servir les apéritifs et la jeune fille prit des raviers contenant des amuses gueules. Le maître de cérémonie avait mit sa main gauche sur une de mes fesses et la droite sur mon sein droit et commençait à me tripoter. Il me dit :

- Il y a longtemps que j’entends parler de toi, Patrick m’avait parlé de ton corps. Mais il était en dessous de la vérité.

Un autre homme se mit à ma gauche et me prit la fesse gauche et le sein et tout les deux se mirent à me tripoter, puis leurs mains lâchèrent mes seins, descendirent vers ma chatte et se mirent à fouiller mon intimité. Pendant qu’ils me caressaient, je regardai autour de moi. 

Le jeune homme avait fini de servir, il était à genoux et était en train de pomper un des hommes et il tenait de sa main gauche une autre queue. Pour la femme elle était dans la même position, mais elle avait trois queues à s’occuper. Et pour la jeune fille, elle continuait de servir mais un homme lui prit les raviers des mains, les posa sur la table puis la fit s’agenouiller et lui présenta sa queue qu’elle prit dans la bouche. Le dernier homme lui mit sa bite sous le nez, elle la prit avec sa main gauche et commença a le branler.

- Je manque à tous mes devoirs,  voulez vous boire quelque chose Monique ?

- Oui, s’il vous plait, un verre de jus d’orange… Je me rends compte que je ne connais pas votre prénom !

- Richard, vous devez l’avoir déjà entendu !

C’était vrai, mon maître et Patrick l’avait déjà prononcé devant moi. Je lui fit un sourire. Après avoir bu mon verre, je me mis en devoir de faire pareille que mes petits camarades. Je tendis mon verre à l’homme qui me tripotait sur ma gauche et me mis à genoux. Leurs queues étaient sorties. Je pris la queue de Richard dans la bouche, et l’autre queue je me mis à la branler et j’allais de l’un à l’autre. Cette séance de fellation battait son plein et au bout d’un certain temps Richard dit :

- Bon ! Messieurs, nous n’allons pas jouir de suite, la nuit est encore longue, je vous propose de passer à table !

Richard m’aida à me relever et tous ensemble nous nous dirigeâmes vers le buffet. Les trois esclaves sexuels se mirent à courir pour être les premiers près du buffet pour pouvoir servir les membres. Chaque homme se présentait devant l’un des trois, leur disait ce qu’il voulait manger, et pendant que l’esclave le servait, il lui tripotait ou la chatte ou le cul ou les seins. Quand tout les membres furent servis, Richard dit :

- Bon maintenant que tout le monde est servi et à sa place, Aurélie et Bruno vous passez sous la table, et Céline nous servira à table !

Les deux jeunes disparurent sous la table et commencèrent à pomper chaque membre, et Céline les servit. Chaque fois qu'elle se mettait entre deux hommes elle se faisait tripoter la chatte le cul ou les seins. Moi j’étais entre Richard et l'autre homme. 

Tous les hommes parlaient et demandaient à Céline de venir pour du vin ou pour rien simplement pour lui mettre les doigts dans la chatte ou dans le cul. Dans ces cas là, elle écartait les jambes pour faciliter l’opération. Richard mangeait toujours et discutait avec moi ou un des membres. L’autre homme sur ma gauche avait arrêté de manger et me palpait les seins et me promettait une cravate de notaire à la fin du repas, je lui répondis que j’étais à sa disposition. Richard dit :

- Bon il serait bien d’avoir un petit spectacle non !

Il demanda à deux des membres en bout de table d’amener la table à roulettes près deux, ce qu’ils firent. Elle était plus haute que la table où on mangeait.

- Très bien, Céline et Aurélie vous allez nous faire le plaisir de faire un 69 sur cette table !

Céline posa la bouteille et alla s’allonger sur la table, Aurélie sortit de dessous de la table et commença à monter dessus. En passant près du visage de Céline elle lui dit tout doucement :

- Je n’ai jamais fait ça !

Et Céline de répondre :

- Tu lèches et tu fermes ta gueule sinon tu vas être punie. 

Tout le monde pouvait les voir, Bruno continuait a pomper en dessous. 

Le dîner continua, mon voisin de gauche me léchait les seins et tripotait ma chatte, on avait demandé à Bruno de sortir de dessous de la table pour servir à boire, un membre lui avait mit une bougie dans cul et il devait servir comme ça. Je discutai avec Richard, puis je me permis de lui poser une question :

- Tu pourrais m’expliquer ! Comment trouvez-vous ces gens pour ces soirée !

- Tu es bien curieuse Monique, en général on ne parle pas de la façon de procéder. Bon ! Parce que c’est toi, prends Aurélie, elle est en apprentissage avec lui !

Il me montre un des membres,

- Elle avait eu déjà à faire avec la justice pour de menus larcins, rien de très grave mais du sursis quand même. Mais voilà la petite se fait prendre par les cameras de surveillance de sa société en train de piquer dans la caisse. Il lui a fait voir la cassette, et lui a mit le marché en main, et donc elle est là. Pour Céline c’est autre chose, son mari l'a quitté en la laissant avec un bébé, des dettes et pas de travail. Je lui ai trouvé un travail. Un autre membre lui a trouvé un financement pour ses dettes, ça lui évite de perdre sa maison. Donc en échange, elle nous consacre des soirées à notre demande. On a plusieurs femmes dans ce cas là, et on les appelle de temps à autre pour changer ! 

- Combien de soirée !

- Une vingtaine, et pour notre petit pédé c’est le mignon de ce membre !

et il me montre un homme.

- Il est tombé amoureux de lui, alors tout de suite notre membre a vu l’opportunité. Il l'a dressé et il est devenus son esclave, c’est la première fois qu’il vient. D’ailleurs c’est pareil que pour Aurélie !

A la fin du repas, tout le monde sortit de table, trois membres demandèrent à Céline de venir. Un des hommes s’assit sur un des fauteuil la queue bien raide. Céline s’assit en s’empalant sur sa bite. Les deux autres étaient de chaque coté et se faisaient pomper. 

Deux autres prirent Aurélie, la mirent à quatre pattes sur le lit, un la baisait, l’autre se faisait sucer. 

Pour Bruno, ils le mirent à califourchon sur le grand pouf. Il avait les jambes qui pendaient d'un coté et les bras et la tête de l’autre. Un homme se mit derrière lui, il lui écarta les fesses et l’encula sans ménagement. Il poussa un cri, un autre lui présentait sa queue, il la prit dans sa bouche. L’homme lui prit la tête de chaque coté et se mit a limer avec force et lui rentra la queue complètement dans la bouche. 

Pour moi Richard et mon voisin m’entraînèrent sur le grand fauteuil où on pouvait s’allonger. J’étais sur le dos, l’homme avait mit sa queue entre mes seins et se mit a limer. Richard était face a lui et me mit sa bite dans la bouche et je me mis a sucer. Au bout d’un certain temps, Richard et l’homme me firent me relever, Richard s’allongea il demanda que je m’asseye sur sa queue, il m’écarta les fesses et je m’enculai sur lui. L’autre homme me mit sa bite dans la chatte et ils commencèrent à me labourer. 

Je vis un des hommes qui se faisait pomper par Céline se diriger vers le groupe d’Aurélie. L’homme qui la baisait s’allongea et Aurélie se mit sur lui, elle tournait la tête vers l’homme qui venait d’arriver avec des yeux implorants. L’homme écarta ses petites fesses, lui présenta sa bite prête à forcer sa rondelle, et il mit un violent coup de rein pour lui perforer le cul. Elle se mit a hurler, en le suppliant d’arrêter. L’homme continuait de plus belle en riant, celui de dessous se mit à la baiser avec force, le troisième les laissa. Il se dirigea vers Bruno, qui se faisait toujours enculer, il demanda la place à l’homme qui le besognait, qui lui laissa.

- Vas-y, continue à défoncer le pédé, je vais aller me faire laver la queue par celle qui hurle ça la fera taire !

L’homme se dirigea vers la bouche d’Aurélie et lui présenta sa queue. Elle détourna la tête, il lui força la bouche et lui rentra sa bite.

- Eh les gars ! Allez plus doucement pour défoncer la petite pute, elle doit s’appliquer pour me laver la queue !

Celui qui l’enculait s’arrêta de la défoncer, et dit :

- il me semble avoir vu un refus de sa part !

Il répondit par l’affirmative.

- Bon ! Quand on en aura marre on va lui dilater le cul avec une bouteille de vin comme punition !

Pour Céline les choses avaient changé, elle était sur la table où elle avait fait le 69, elle était allongée sur dos dans le sens de la largeur la tête pendante vers l’arrière, un des deux hommes lui avait mit sa queue dans la bouche, et l’autre lui avait levé les jambes et les tenaient avec ses mains tout en l’enculant profondément. 

Quand ils eurent fini avec Aurélie, les trois plus l’homme qui se faisait sucer par Bruno prirent la petite et la mirent sur le pouf à la place de Bruno. Elle était à califourchon les jambes d’un coté, les bras et la tête de l’autre. Un des homme s’assit sur elle pour qu’elle ne puisse pas se relever, deux autres lui tenaient les jambes, le dernier tenait dans ses mains une bouteille de Bourgogne. Il enleva le papier métallique qui entourait le goulot, et il présenta la bouteille. Chaque homme qui tenait les jambes d’une main, lui écartèrent les fesses de l’autre. L’homme à la bouteille mit le goulot contre sa rondelle et l’enfonça tout en tournant. Il rentra la bouteille au maximum qu’il pouvait, et se mit a faire un va et vient de plus en plus rapide. Aurélie criait et pleurait. 

L’homme qui se faisait sucer par Céline lui avait déchargé dans la bouche, l’autre qui avait arrêté de l’enculer était parti se laver. Ils se retrouvèrent à table pour manger un morceau. 

Pour moi l’homme qui me baisait était parti se faire sucer par Bruno. Richard se lavait la queue après avoir déchargé dans ma bouche, et en partant il demanda à Céline de venir me lécher pour nettoyer ma chatte et mon cul. Elle s’exécuta. Richard revint me voir pour discuter avec moi pendant que Céline me léchait, c’est comme ça que j’appris que ce groupe de joyeux dépravés existait depuis plus de dix ans. Que les fondateurs étaient Patrick mon mari et Richard, qu’ils se retrouvaient deux à trois fois par mois, mais qu’ils avaient d’autres activités comme fournir des femmes aux membres pour un soir ou un week-end, quand leurs femmes et enfants étaient partis. Ou faire un jeu de pines, c’est Cécile qui expliqua. La fille a huit à dix adresses pour une journée de travail de neuf heures a dix sept heures et elle doit se rendre à chaque adresse professionnelle et faire une pipe à chaque membre vu à ces adresses. D’ailleurs pendant le bref moment ou nous étions toutes les deux, elle me dit tout doucement que si jamais un jour nous avions besoin d’une esclave femelle, moi et mon mari, elle serait toute dévouée à nous deux.

Et la nuit continua, Aurélie après son traitement avec la bouteille fut totale soumise à tous les hommes. Ils la prirent par tous les trous. Bruno passa une bonne partie de la nuit à genoux a sucer des queues, et bien sûr, son petit cul fut défoncé plus d’une fois. 

Pour moi et Céline nous étions prises régulièrement en sandwich. Vers trois heures du matin, la soirée se termina et mon chauffeur me ramena chez moi, je n’avais pas besoin de raconter à mon mari ma nuit, car dans la cave il y avait des caméras numériques, et ils lui firent une copie de ma nuit. Je revis Richard pendant les vacances de cette année dans un hôtel club très spécial pour libertins avertis en Espagne.

D’ailleurs mon mari et moi avons emmené Céline avec nous. Je vous raconterais peut-être ces vacances un jour.

A suivre...