Traduction d'un texte de Black Demon par Coulybaca.
La première erreur de John Cumberland avait été de sous-estimer le niveau de ressources et de résolution des victimes qui voulaient se venger de ses multiples exactions. Dans un effort pour sauver son entreprise flageolante, le jeune entrepreneur désespéré avait fait la dramatique faute de recruter Carl Morton, un ex-détenu pervers pour se venger duquel ses victimes auraient payé de fortes sommes.
Morton avait bien accompli sa part dans l'affaire, et si John avait été correct avec lui, l'histoire en serait restée là. Mais John s'était montré trop cupide, et lorsque Morton avait quitté le pays comme programmé, il ne lui avait jamais payé le solde de leur contrat. John était persuadé qu'il ne prendrait pas le risque de revenir, qu'il se contenterait de ce qu'il avait touché.
Toutefois, Carl Morton n'était pas le genre d'homme à se laisser berner, il était de ceux qui ne s'avérerait satisfait qu'une fois leur vengeance accomplie. L'ex-détenu se rendit compte qu'il avait très peu de chance de convaincre son ex-complice de respecter ses engagements, d'autant plus qu'il n'était plus sous le feu de la colère.
Et comme John Cumberland prétendait qu'il avait mal calculé les retombées et qu'il ne disposait pas du solde d'argent qu'il lui devait, Carl ne pouvait que fulminer et comploter.
En félon déjà condamné pour diverses escroqueries et fraudes, Carl Morton savait qu'il ne devait pas laisser transparaître ses sentiments. Mais il n'était pas le genre d'homme à passer la main, il était déterminé à faire payer le prix fort à John Cumberland pour le punir de l'avoir doublé.
Alors qu'il considérait les différentes options qui s'offraient à lui, il se rappela avoir vu plusieurs photos dans le bureau de Cumberland, et entre autres des photos de ce sale trou du cul avec une somptueuse blonde. En réfléchissant mieux, il se souvint d'avoir vu une photo de mariage de Cumberland et de sa femme. Fermant les yeux, il se lécha les lèvres en tentant de se représenter la jolie petite jeune mariée vêtue de ses atours de mariage. Bien sûr l'expression qu'affichaient le visage du jeune marié et le fait qu'il mettait cette photo en évidence sur sa bibliothèque, montrait à quel point il tenait à sa femme.
- " Quel meilleur moyen de se venger de ce salopard que de s'en prendre à ce qui fait sa joie et sa fierté !" se dit-il s'échauffant.
- "Oui... Cet enculé... Je vais le faire payer... Je vais faire payer sa femme pour m'avoir roulé... Et je m'arrangerai pour que t'en sois le témoin privilégié sale bâtard... Je parie que je vais en faire une sacrée pute... " gloussait-il.
Le plan qu'il concocta était un peu compliqué, mais ingénieux, et très gratifiant. Carl Morton, voulait voir s'afficher l'angoisse, l'humiliation et la défaite sur la face de cul de ce salaud au spectacle des compensations qu'il allait tirer de sa femme. En plus de tout ça, il se demandait s'il pourrait élargir son plan pour générer des bénéfices financiers conséquents.
Carl recruta les services d'une copine pour l'aider, il parvint à convaincre Connie Rustin, sa dernière / future petite amie pour l'aider à faire chuter la belle Shannon Cumberland. Il savait que Connie se rapprocherait plus facilement de Shannon que lui, et plus spécialement il voulait que Connie capte sa confiance rapidement.
Alors que Shannon Cumberland faisait des courses, le débrouillard ex-détenu avait saboté la voiture de la jeune femme, Connie était chargée de venir à son secours lorsqu'elle ne parviendrait pas à démarrer son véhicule.
Elle commença par placer une borne téléphonique d'assistance auto au bord de la route. Un garagiste, recruté par Carl, l'avisa que sa voiture devait être remorquée. C'est alors que survint Connie lui offrant de la ramener chez elle.
Sur le chemin de son domicile, Connie et Shannon eurent tout le temps de nouer des liens amicaux, Connie était toute surprise de découvrir à quel point cette jeune femme était naïve, innocente. Renseignée par Carl, Connie se rendit compte que si John Cumberland avait tendance à se montrer cupide et sans scrupules, la jolie Shannon Cumberland était l'opposée de son mari. Rien d'étonnant à ce qu'elle fasse la joie et la fierté de John Cumberland, comme l'avait conjoncturé Carl à la vue de leur photo de mariage.
Connie frissonna se demandant si John Cumberland considérerait toujours que la femme assise à son coté sur le siège passager, était sa fierté et sa joie lorsque Carl en aurait fini avec elle.
Lorsqu'ils arrivèrent chez elle, Shannon convia gracieusement Connie à boire un verre, Connie accepta disant que cela lui ferait une coupure.
Comme elles sortaient de voiture, Shannon lui confia qu'elle débutait une nouvelle vie, elle s'était mariée récemment, elle ajouta que son mari avait voulu qu'elle arrête de travailler pour tenir un rôle de femme et de mère au foyer. Malheureusement son nouveau boulot ne s'était pas passé comme prévu, ce qui avait déprimé son mari et reporté leur vœu de fonder une famille rapidement. Shannon confia à sa nouvelle amie qu'elle lui avait suggéré de reprendre le travail pour l'aider, tout au moins jusqu'à ce que ses affaires reprennent. Mais son mari, John ne voulait rien entendre l'assurant qu'il avait un plan pour relancer ses affaires.
Il était évident, pour Connie, que la naïve jeune femme était totalement ignorait totalement que son mari avait contacté un ex-détenu et s'était engagé dans des actions frauduleuses pour sauver son entreprise.
Connie écoutait à quel point Shannon semblait désemparée à l'idée de devoir faire réparer sa voiture. Connie prétendit comprendre son dilemme et offrit une solution susceptible de l'aider, suggérant que Shannon devrait rechercher des rentrées additionnelles qui l'aideraient sans pour autant travailler 40 heures par semaine. Connie lui expliqua alors qu'elle travaillait pour une agence de modèles et que l'exceptionnelle beauté de Shannon, et sa classe pourrait lui rapporter pas mal d'argent comme modèle.
Shannon s'empourpra et prétendit ne pas avoir les qualités pour faire un modèle, qu'elle appréciait l'offre, mais que ce n'était pas pour elle, Connie refusa de s'en tenir à cette réponse. Elle rassura la jeune femme, elle s'occuperait d'elle et prendrait tous les contacts nécessaires. Connie savait qu'il fallait battre le fer tant qu'il était chaud, avant que Shannon ait eu le temps de réfléchir à son offre, et tant que les deux verres de vin altéraient son jugement.
Elle donna alors un rapide coup de fil à Carl, lui disant qu'elle venait de rencontrer une jeune femme faite pour être un modèle, donnant les indication à Carl pour qu'il les rejoigne chez les Cumberland. Bien entendu, attendant le coup de fil de Connie, Carl était dans sa voiture à deux cent mètres de chez elle.
- "Très bien, on prend un autre verre de vin en t'attendant !" répondit Connie à voix forte pour le bénéfice de Shannon.
Se relevant, Connie attrapa la bouteille de vin et remplit leurs verres, puis elle prit Shannon par la main et l'entraîna dans sa chambre pour trouver une tenue plaisante pour son audition. Dans son fort intérieur, Connie ressentait quelques remords de ce qu'elle faisait à cette innocente jeune beauté.
- "Oh ma petite chérie... On n'a aucun besoin de te trouver une tenue charmante... Ce qui intéresse Carl, c'est te voir entièrement nue ! "
Les choses allaient trop vite pour Shannon, mais ses efforts pour freiner Connie s'avérèrent vains. Shannon l'écoutait lui dire qu'elle était sûre qu'elle allait devenir un modèle reconnu et qu'elle gagnerait facilement beaucoup d'argent et que ce serait très amusant. Avec sa voiture au garage, ce qui générerait un coût assez élevé pour la réparer, c'était juste ce dont avait besoin Shannon.
Connie fit s'asseoir Shannon sur une table basse et entreprit de la maquiller et de la coiffer, transformant la jeune femme insouciante en une vestale pour l'arrivée de Carl. La tête de Shannon lui tournait et elle cherchait à rassembler ses esprits alors que Connie allait et venait lui disant à quel point elle était magnifique et sensuelle.
Puis Connie fouilla le cabinet de Shannon sélectionnant une tenue pour Shannon passer son audition, elle savait que Carl aimerait bien la voir dans une élégante robe noire.
La bite de Carl durcit dans son pantalon lorsque Connie qui l'attendait sur le seuil, entra dans la maison et lui présenta Shannon. La jeune et innocente madame Cumberland lui semblait carrément baisable après les préparatifs de Connie, sa bite tendit l'avant de son caleçon. C'est tout ce qu'il pouvait se permettre sans l'effaroucher alors qu'il admirait sa peau ivoire au teint renforcé par le noir de son élégante robe.
Se composant un personnage, Carl assura à la jeune femme que Connie ne se trompait pas sur ses potentialités de devenir modèle. Il avait amené une sacoche contenant une caméra, et des contrats types.
Il expliqua que c'était un contrat type et que tous les modèles devaient le signer avant de faire des essais photos.
Shannon avait un réel problème pour rassembler ses pensées, et ce à cause de la drogue que Connie avait glissé dans son dernier verre de vin tout en la maquillant. En fait, elle était si groggy qu'elle était absolument étourdie. Connie lui glissa un stylo entre les doigts, lui enjoignant de signer le formulaire avant toute chose.
Puis Shannon se rappelait vaguement qu'on l'avait étendue sur le dos dans le grand lit la préparant pour les essais photos, Carl avait une caméra en main et le regardait. Au début les choses allèrent lentement, Connie devait assister Shannon pour toutes les poses, avant qu'elle ne s'effondre. Puis lorsque Carl sortit de la pièce, Connie prévint la jeune droguée qu'ils avaient assez de photos d'elle habillée, que maintenant, elle devait se dévêtir et qu'elle l'aiderait à enfiler de la lingerie sexy. Connie lui expliqua que les modèles qui présentaient de la lingerie gagnaient plus d'argent et que certainement Shannon était bâtie pour le faire. Comme Shannon lui disait qu'elle ne pouvait pas se montrer au photographe ne portant que ces sous-vêtements froufroutants, cette dernière lui répondit :
- "Carl est un photographe professionnel, et il a déjà vu des centaines de jeunes femmes en sous-vêtements !Il en avait même photographiées habillées de cuir !"
Sous l'emprise de la drogue, Shannon était incapable de réfléchir, de se rendre compte des poses aussi aguichantes que honteuses qu'ils lui faisaient prendre. Comme la drogue faisait maintenant son plein effet, Shannon était vaguement conscient que Carl avait posé l'appareil photo et s'approchait du lit pour rectifier sa pose.
Ses paupières devenaient lourdes, elle ne réalisa pas que Connie tenait maintenant la caméra alors que l'athlétique noir se positionnait avec elle dans le lit. Une chaude démangeaison courut entre ses cuisses, elle en trempa son fond de culotte de cyprine. La drogue comportait une bonne dose de cantharide qui portait ses sens à ébullition. La caressant de ses mains rugueuses Carl savait qu'elle était hors d'état de se rebeller, aussi lui écarta-t-il les cuisses en grand. Tout en caressant la beauté pantelante, il lui mordillait l'oreille murmurant pour la caméra :
- "Oh, madame Cumberland, vous avez la peau si douce... Vous êtes si sensuelle...Votre mari n'aurait pas du me doubler... Maintenant je vais lui retourner le compliment en me faisant son précieux petit ange..."
Puis Connie ajouta quelques sarcasmes de son cru :
- "La jolie madame Cumberland est jeune mariée, elle se prépare à fonder une famille... Penses-tu pouvoir l'aider grâce à ce gros gourdin pendant entre tes jambes ?"
Se plaçant entre les cuisses de la succulente beauté Carl frissonna et s'esclaffa :
- "Que je sois damné d'appliquer ma loi... Mais je suis si heureux de le faire ! Mais oui ma chérie... Ecarte tes cuisses.. Je ne vais plus tarder à t'embrocher !"
Shannon secouait la tête d'un côté à l'autre, essayant de comprendre ce qui lui arrivait. Tout était si brumeux, mais elle ne faisait pas d'erreur, un étranger... Un homme noir... S'apprêtait à introduire sa grosse bite en elle. Shannon ne pouvait faire que des prières incohérentes pour que cet homme arrête, elle lui disait qu'elle était une femme mariée et qu'elle ne pouvait pas faire l'amour avec un autre homme que son mari. Mais ses prières furent totalement ignorées, tandis que l'épais gland courait dans sa fente juteuse.
Bientôt dans son délire induit par la drogue, son corps commença à la trahir, ses supplications laissèrent place à des gémissements et de sourds grognements de plaisir alors que Carl se penchait sur elle, forçant son étroite intimité à s'ouvrir pour enfourner son bourgeon enflé. Cherchant désespérément à repousser le musculeux gaillard allongé sur elle, Shannon jetait un œil inquiet vers Connie qu'elle supposait son amie la suppliant :
- "Connie... Connie... Aide moi... Aide moi s'il te plait... Je t'en prie... Dis lui d'arrêter... Dis lui d'arrêter... Ne le laisse pas me faire ça... S'il te plait... Je t'en priiiiiiiiiiee..."
Toute aussi endurcie qu'elle fut, Connie frémit de remords et de dégoût de participer ainsi à la dégradation de cette innocente jeune femme. Ayant souvent couché avec Carl, Connie savait à quel point il était difficile de s'adapter à ses mensurations sortant de l'ordinaire.
- "Aieeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnn... C'est bien trop gros... "
Connie entendait Shannon crier ces mots alors que ses bras se couvraient de chair de poule à la vue de Carl s'enfouissant dans l'étroite chatte de la jeune femme. Réglant sa caméra, Connie vérifia que l'angle de vue permettait de capturer à la fois son visage déformé par la peur et l'énorme bite disparaissant dans sa toison dorée.
- "Argggggggggggghhhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhh... Nonnnnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnnnn ! "
Shannon poussait des cris aigus alors que les babines soyeuses de sa chatte enveloppaient l'énorme envahisseur. Connie regardait avec intensité Carl agripper ses hanches menues puis s'élancer et la défoncer la faisant hurler de plus belle :
- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh... mon Diiiiiiieu... Arrêtez... Je vous en prie Arrêtez... S'il vous plait... Mon Dieu... Arrêtez... Vous allez me tuuuuuuuuuer..."
Connie frissonna de nouveau ressentant de la pitié pour l'innocente jeune femme, elle savait ce qu'elle endurait. Heureusement pour elle, la cantharide pesait lourdement sur les sens de la beauté inexpérimentée, transformant sa chatte en un marécage félicitant le coulissement du piston bien huilé alors qu'il se mettait à aller et venir en elle.
Maintenant, elle avait bouclé ses poignets dans son cou et ses chevilles dans son dos. Connie était épatée de voir l'effet de la cantharide qui transformait la naïve et innocente jeune femme en une goule affamée de plaisir.
Alors que l'adorable petite beauté s'arc-boutait sur ses petits pieds menus afin d'amplifier les poussées de Marcus dans son ventre, ceux qui verraient cette vidéo ne pourraient douter que l'adorable madame Shannon Cumberland était une salope qui adorait les bites noires, et plus spécialement celle qui la ramonait à ce moment.
Elle vagissait :
- "Mmmmmmmmm... Mnnnnnnnnnn... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii... "
La transformation de la naïve jeune femme en une fieffée salope était totale, elle s'agrippait désespérément à son "amant" noir pour obtenir la jouissance qui la délivrerait.
- "Ohhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh... Encore... Encore... Plus vite... Plus vite... Baisez-moi... Encore... Plus fort... Ouiiiiii... Je vais... je jouiiiiiiiiiiiiiiiis... Oh oui Je jouiiiiiiiiiiissssssss !"
Connie avait les mâchoires qui se décrochaient à la vue du rapport sexuel imposé qui se déroulait dans le lit conjugal des Cumberland. Cela rappelait à Connie le jour où elle avait vu un étalon monter une jument au ranch de son oncle. L'étalon de son oncle dépensait la même énergie brutale que Carl pour faire soumettre par la jeune ménagère innocente, à ce rapport sexuel, subi sur son lit conjugal.
Comme le petit corps ivoire tremblait convulsivement sous les assauts du musculeux athlète noir, Connie observait le soin que prenait Carl à lui enfouir la totalité de sa bite dans l'étroite moule. Les fesses de Carl se crispèrent, l'orgasme le terrassa alors qu'il grognait :
- "Uhhhhhhhhhhhh... Ah... Uggggggggghhhhhhhhhhhhh... Oh, chérie... Ma Chériiiiiiiieeeeeeeee... Oh ouiiiiiiiiiiiiiii..."
Le pervers savait que la version éditable de la vidéo devrait persuader les spectateurs que la belle madame Shannon Cumberland était une amante consentante. Et, lorsque la jeune femme s'évanouit, submergée par l'orgasme, Connie réalisa un terrible plan de sa longue bite noire palpitante qu'il extrayait de son étroite chatte frémissante On pouvait distinguer clairement les traînes de foutre s'écoulant de sa chatte béante pour se répandre sur ses fesses et former une large mare sur le lit.
Shannon se traîna hors du lit cherchant désespérément à surmonter les indésirables effets de la drogue pour prendre une douche avant le retour de John.
A son retour, il lui demanda pourquoi elle semblait si absente. Nerveusement Shannon expliqua qu'elle avait du attraper un rhume lors de sa sortie en ville. Elle était submergée par la honte et le dégoût à l'évocation de ce qui venait de lui arriver cet après-midi, Shannon espérait seulement que Carl et Connie avaient pris leur pied, puisque c'était apparemment leur but. Elle aspirait à oublier tout ça, malade de savoir qu'ils avaient pris ces photos compromettantes.
Shannon frissonna et serra les dents au souvenir des mains rugueuses de cet homme sur son corps, lui écartant largement les cuisses...
- "Il pouvait ainsi introduire facilement sa vile mentule dans mon ventre !".
Elle ne déniait pas le fait qu'il lui avait ouvert un monde insoupçonné de jouissance, la soumettant à l'orgasme de la pus grande intensité qu'elle ait jamais connu. Shannon frémit craignant les suites possibles de cet horrible viol, elle avait tout oublié du contrat qu'ils lui avaient fait signer.
Les six semaines suivantes, chaque jour elle se demandait avec angoisse si ce salaud l'avait engrossée.
Elle frémissait, se rappelant qu'il lui avait dit que John l'avait berné et qu'il entendait bien se venger de lui. Elle aurait aimé lui demander s'il connaissait ce dénommé Carl, mais elle n'osait pas, sachant qu'elle devrait alors expliquer ce qu'il lui avait fait... Dans le lit qu'ils partageaient.
Shannon ouvrit la porte, toute surprise d'avoir la visite inattendue de Connie qui brandissait une copie de son contrat et un cocktail de photos compromettantes. La mémoire lui revint immédiatement à la vue de ces photos montrant la grosse bite noire s'introduisant lentement en elle, elle fut prise de nausées. Elle ne put qu'écouter Connie lui expliquer ce qu'on attendait d'elle, lui disant que tout irait bien tant qu'elle se plierait aux exigences de Carl.
La jeune femme de 24 ans faisait tout l'intérêt de la vie de John Cumberland, sa compagnie, son boulot... Tout ça importait peu à coté d'elle. Elle était sa seule raison de vivre, il la regardait longuement chaque matin en quittant son domicile. Accosté par deux mecs encapuchonnés alors qu'il montait dans sa voiture, John avait été emmené dans un vieil entrepôt, il était assis face à l'homme qu'il avait doublé.
- "Je... Je... j'ai juste besoin d'un peu de temps pour te donner ton fric... Dans quelques jours j'aurai réuni ce que je te dois !" bégayait John effrayé, craignant pour sa vie alors que l'ex-détenu le fixait du regard.
- "Argent que tu me dois John ! Je comptais dessus pour m'installer en Amazonie, là où on ne viendrait pas me rechercher... Tout ce que tu avais à faire c'était de me télégraphier le fric... Mais tu as tout gardé pour toi !" ricana son ex complice.
John ne pouvait que rester assis à écouter les accusations de son ex comparse.
- "Ecoute moi bien Johnny... Je vais te faire une proposition... je voudrai bien recommencer des affaires dans le coin... mais j'aurai besoin d'une bonne couverture... Quelqu'un qui porte un nom respecté... Comme la personne que j'ai devant moi... Qu'en dis Johnny ? .T'as une bonne réputation...
Assis sur un baril de poudre, John ne pouvait qu'opiner :
- "Bien sûr... Bien sûr... Comme tu voudras Carl !"
- "C'est bon... J'ai ici quelques papiers que tu vas me signer.. J'ai pris la liberté de les préparer auparavant. Tu seras mon homme de paille pour ma nouvelle société appelée "Fantasmes Filmés". Je vais me faire quelques billets avec ce que j'ai en tête. Les gens paieront pas mal de fric pour avoir ce que je propose. Ouais les gens paieront pour voir d'innocentes jeunes femmes se faire violer et dégrader... Obligées à coucher avec de nombreux ados noirs... " l'informa Carl.
Yeux braqués sur les formulaires, John n'avait pas d'autre choix que les signer sans même savoir ce qu'ils contenaient même s'il doutait pouvoir y injecter l'argent nécessaire. Enfin ça lui permettait déjà de se tirer d'affaire sans se faire estropier ou tuer par ses sbires, conjecturait John bien qu'il sache que les ennuis s'accumulaient sur sa tête. Comme le géant tendait la main vers lui ricanant :
- "Sers moi la main partenaire !"
Il avala sa salive et étreignit fermement la main de l'ex détenu. Surpris il l'entendit alors s'esclaffer :
- "Maintenant que les contrats sont signés, il est temps de te montrer notre première production ! Son titre est : "Une salope blanche paie les dettes de son mari !"
Carl se rendit alors compte qu'ils se trouvaient dans une salle insonorisée, muni d'un miroir sans teint qui allait leur permettre de suivre les ébats des acteurs. D'une chiquenaude sur le commutateur il alluma les hauts parleurs. Puis la salle fut plongée dans le noir alors qu'une lumière s'allumait dans la pièce adjacente. Une jeune blonde tenant l'ardoise annonçant la production souriait dans leur direction. Dans son dos une chambre bourgeoise meublée d'un grand lit.
- "C'est Connie qui est chargée de recruter les actrices pour nos productions... C'est moi qui choisit les gaillards qui vont jouer avec ces beautés." l'informa Carl.
Puis Carl saisit le micro et dit :
- "C'est bon Connie... Fais entrer les jeunes acteurs du show..."
Trois noirs musculeux, en costume d'Eve, paradèrent devant le miroir. John ouvrait des grands yeux stupéfaits :
- "Bordel... Où Carl avait-il bien pu trouver ces gars ! Bordel ils ont tous une bâte de base-ball en guise de bite... Putain, si j'avais la moitié de la taille de leur queue je serai déjà heureux comme tout !" pensait-il abasourdi.
Alors que les trois gaillards se branlaient machinalement, Connie était sortie de la pièce. Carl expliqua :
- "Elle est partie chercher la ravissante vedette de notre première production porno... j'espère que tu apprécieras cette jeune beauté Johnny... On dirait un bonbon crémeux... Une fille innocente... Vraiment naïve en fait... Elle n'a couché qu'avec son mari depuis son mariage l'année dernière... Elle va avoir une sacrée partouze..."
John haleta, frôlant l'arrêt cardiaque, à la vue de sa femme qui était amenée à contrecœur dans la chambre par une Connie triomphante. Bouche grande ouverte il avait les yeux rivés sur la scène, Il entendit son sarcastique ex-complice dire :
- "N'est-elle pas mignonne hein Johnny ? 24 ans... Regarde l'anneau à son doigt...Visiblement elle est mariée à un partenaire qui ne lui donne pas assez de plaisir ! Eh..."
Avalant sa salive, pantelant de peur pour son adorable femme, John ne savait ni que dire, ni que faire alors que Carl poursuivait :
- "Regarde moi ça Johnny, quel beau morceau... Eh oui mec... Je l'ai testée moi-même... Dans le lit qu'elle partage avec son petit blanc de mari... Bordel... J'aurais aimé que tu l'entendes couiner quand j'ai enfoui ma grosse bite dans son étroite petite chatte... On aurait dit un cochon qu'on égorge... Mais une fois que j'ai mis en route, elle s'est réjouie de se faire fourrer la chatoune par une belle grosse queue noire !"
Dans l'attente de son destin fatal, Shannon avait bue la boisson que Connie lui avait donnée. Elle avait senti alors une certaine euphorie l'envahir, ne se sentant plus la même. Une vague de chaleur parcourait son corps des pieds à la tête, la chaleur gagnait son entrecuisse alors que ses sécrétions jaillissaient poissant le fond de sa petite culotte. Elle savait pourquoi Connie l'avait amenée ici, Connie lui avait dit carrément qu'elle allait se faire baiser. Elle savait qu'une bite allait la pénétrer, qu'un homme autre que son mari allait la posséder, Elle espérait que ce serait encore le dénommé Carl.
Mais au moment d'entrer dans la chambre, ses jambes se paralysèrent à la vue des trois musculeux gaillards noirs qui l'attendaient, chacun d'entre eux doté d'un imposant outil entre les cuisses. Elle essaya de se retourner pour s'enfuir, mais Connie la tenait fermement, et une voix familière résonna lui dictant ses instructions.
- "Bonjour chérie... Ces trois gaillards sont là exprès pour toi... Regarde leurs grosses bites... Maintenant montre leur combien t'aime les grosses queues noires !"
Réfrénant ses larmes, Shannon sentit les doigts de Connie déboutonner l'agrafe de sa robe dans son dos, puis elle descendit la fermeture éclair jusqu'à ses reins. Comme elle se redressait pour faire passer la robe au dessus de ses épaules, Shannon ne savait pas qu'elle se donnait en spectacle à d'autres que le caméraman, Connie et les trois étudiants noirs.
Derrière le miroir Carl, ses deux gardes du corps et son propre mari la mataient. John Cumberland ne parvenait pas à croire ce que l'ex-détenu venait de lui confier, qu'il avait couché avec Shannon il y a peu. En voyant l'élégante robe noire chuter aux pieds de sa femme ils vite les acteurs empoigner leurs bites alors que Shannon se tenait face à eux vêtu d'un soutien gorge en dentelle et de sa froufroutante petite culotte.
- "Elle n'aura pas à tous les subir... Pas ensemble !" s'inquiétait John.
Lorsqu'il la vit se débarrasser de son soutien gorge exposant ses nibards tout roses, John les entendit apprécier le spectacle :
- "Oooooo..."
- "Quelle belle paire !"
Puis elle roula sa petite culotte sur ses chevilles sous les encouragements des trois gaillards déchaînés. Il sembla à John qu'elle n'agissait plus tant que ça à contrecœur, comme lorsqu'on l'avait introduite dans la chambre. Il la vit quitter ses chaussures puis Connie la mena vers ses futurs amants. John se refusait à en croire ses yeux lorsqu'il entendit Connie faire les présentations :
- "Les gars, je vous présente Shannon, elle est ici pour répondre des dettes de son fou de mari..."
John avala sa salive, sachant qu'il ne pouvait rien faire pour arrêter ce qui advenait, qu'il allait être le témoin de la souillure de sa femme qui allait payer de son corps pour son escroquerie. Sa mâchoire tomba en entendant Connie poursuivre :
- "Shannon, voici Bill et John..."
Les deux premiers hommes présentés, John vit que Connie plaçait les mains de sa femme sur leurs grosses queues... Il vit les doigts de son épouse se refermer sur les fûts ébène et se mettre à les branler vigoureusement. Comme le troisième homme faisait un pas en avant , Connie le présenta :
- "Et voila Willie !"
Comme elle avait les deux mains occupées, John comprit qu'elle allait satisfaire ce troisième homme d'une façon tout à fait différente, alors que mains posées sur ses épaules Connie la forçait à s'agenouiller. C'était était totalement inconcevable pour John et pourtant sa jeune épouse si prude tendait une langue frétillante sur le gland turgescent.
- "Mon Dieu... Elle se comporte comme une petite pute ! Elle tend la langue sur sa bite... Elle a toujours refusé de poser la langue sur ma queue en dépit de mes supplications !" frissonnait-il.
La tête entre les mains de l'homme qu'elle suçait, Shannon continuait à branler les deux autres qui la soulevèrent et l'allongèrent sur le grand lit. Tout en faisant une pipe à Willie, Shannon sentit une des hommes qu'elle branlait se glisser sous elle promenant son gland dans sa fente entrouverte.
- "Mmmmmmmmmmmm... Mmmmmmmmmmm !" grogna-t-elle alors que Willie reculait sa bite enfouie dans sa bouche, alors qu'une autre bite explorait sa chatte juteuse.
Elle posa les mains sur la taille de l'homme qu'elle suçait alors que la bite dans sa chatte continuait son expertise. Elle trembla alors de peur en sentant l'homme posté dans son dos poser son gland sur son œillet frémissant, elle n'avait jamais été enculée et elle avait mortellement peur de devoir subir cet acte dégradant.
L'homme qu'elle suçait se sentait concerné, Carl et Connie les ayant prévenu qu'ils pariaient que la jeune femme était vierge du cul. En voyant le signe de tête que lui faisait Bill, Willie lui saisit ses longs cheveux soyeux et se retira de sa bouche, juste le temps que Bill lui casse le cul
- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnnnnnn... arrêtez... J'ai mal... Si maaaaaaaaaaalllll..." se lamentait la jeune femme angoissée.
Ce ne fut que lorsque Shannon exprima humblement sa douleur, que Willie se replanta dans sa bouche avide.
Cela dura des heures et des heures, ses amants échangeant leurs positions, afin de goûter à tous ses charmes. Chatte, cul, lèvres eurent tous droits à de bonnes doses de foutre crémeux de la part de chacun des étudiants.
Ressentant les effets de la drogue, elle finit par s'évanouir épuisée, Shannon ne sut rien de l'acte dégradant auquel dut se livrer son mari sous la menace de se faire briser les bras par les deux sbires de Carl. Alors que Carl s'agenouillait face à son visage, John Cumberland dut sortir sa bite et le branler jusqu'à ce qu'il éjacule sur son visage, ses cheveux, son cou...
Même si savoir que l'ex-détenu avait assouvi ses appétits de luxure avec sa petite femme l'avait profondément humilié, ce n'était rien à coté de ce qu'il ressentait après ce qu'il venait de lui faire subir.
C'était à son tour, alors que sa jolie femme se faisait baiser dans la salle contiguë de se faire tapisser le visage avec du foutre glaireux. Il avait senti l'odeur de transpiration émanant du corps de Carl alors qu'il éjaculait sur sa figure.
Sa trique s'était ramollie sous les sarcasmes des hommes de main. Sa bite ne mesurant que la moitié de la taille des acteurs qui venaient de s'envoyer sa femme, John se sentait gêné, déplacé. Alors qu'il pénétrait son con marécageux, un des hommes railla :
- "J'espère que je ne me noierai pas, mon gars..."
En fait, la lumière de la chambre était toujours éteinte lorsqu'il se vidait dans le ventre de sa femme. Il n'avait jamais vu sa chatte béante, pendant ce temps, son amant momentané voyait glisser sa bite hors du cloaque sans avoir éjaculé, sa chatte était vraiment trop engorgée de foutre.
Quelques heures plus tard, ayant laissé le temps à Connie d'assister Shannon pour se nettoyer, puis de rentrer à la maison, John Cumberland se rangea dans l'allée de son garage. Se dirigeant tranquillement vers la chambre conjugale, il vit son adorable petite femme blottie sous les couvertures.
Il se rendit dans la salle de bain pour prendre une douche, il allait déposer ses vêtements dans la corbeille à linge sale lorsqu'il vit ses sous vêtements noirs. S'emparant de la petite culotte en dentelles noires, il sentit et vit le foutre tachant le fond du cache sexe.
Le lendemain matin, en se levant, John sentit l'odeur appétissante des œufs au bacon qui allait de conserve avec celle du café. S'étant rafraîchi, il descendit à la cuisine et obtint un sourire et un baiser sur la joue, comme tous les jours.
- "Désolé je suis rentré plus tard que prévu chérie ! Je ne pouvais pas quitter la négociation en cours et il m'était impossible de te passer un coup de fil !
- "C'est rien chéri... J'ai été prise moi aussi... Quelque chose d'inhabituel m'a retenu... Quelque chose de plutôt osé...
A suivre...