Texte de XMaster,
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Sophie est bien sodomisée.
Sans rien dire, la jeune fille acquiesce en bougeant doucement son cul de droite à gauche, excitée comme elle est, elle permet tout à cet inconnu qui fait preuve de tant de douceur et de prévenance comparé au contrôleur lubrique dont elle a subi les assauts et les injures précédemment. D'ailleurs, elle commence maintenant à oublier ses malheurs.
Et Georges pousse doucement sur ses hanches pour faire entrer son gros mandrin dans le petit trou du cul chaud, mais déjà très bien dilaté. Le muscle se relâche encore pour laisser passer le pieu de chair, arrachant au passage de grands cris à sa propriétaire, cris de plaisir, juste entrecoupés par la respiration haletante de la jeune fille.
L'homme fait pénétrer doucement son terrible engin jusqu'au fond du boyau en ayant pris soin d'écarter les jolies fesses pour pouvoir aller le plus loin possible. Puis, quand il est sûr de ne plus pouvoir aller plus loin, il commence à faire ressortir sa bite tout aussi doucement.
Durant toute la lente introduction, la belle s’extasie, jamais elle n'aurait cru qu'un tel engin puisse entrer en elle, alors, bien sûr, elle ne pouvait pas imaginer un instant que pareil chose puisse loger dans ses entrailles. C'est une sensation nouvelle et très agréable pour cette jeune créature si dévergondée, elle sent son anus ouvert, béant. Quand son amant ressort entièrement son mandrin, elle a l'impression qu'elle restera à jamais dilatée, grande ouverte, et qu'elle peut maintenant engloutir par cet orifice des objets de plus en plus gros.
Georges a sorti sa bite intégralement pour regarder le petit trou essayer de se refermer lentement après cet incroyable passage. Après quelques instants de ce spectacle, il introduit à nouveau son gros sexe. Cette fois il va plus vite, que précédemment, au fond de l'affaire.
Comme le passage est déjà rodé, Sophie ne ressent qu'une immense joie à cette nouvelle introduction, et tout en gueulant de bonheur, elle se cambre pour recevoir le plus loin possible ce merveilleux membre qui lui procure tant de plaisir.
Le serveur se laisse maintenant aller à son propre jeu, il se régale d'enculer cette jolie jeune fille, il lui lime l'oignon sans vergogne en lui tenant fermement les hanches.
Sophie pousse de longs cris à chaque fois que cette grosse queue se fraye un chemin dans ses intestins, et reprend un peu son souffle quand elle se retire. Elle jouit comme une folle et s'en donne à cœur joie, cette fois elle se laisse totalement aller, elle aussi, à son plaisir. Ses sens sont en feu.
Georges a adopté un rythme soutenu, qu’il ne va pas pouvoir tenir très longtemps. Et, effectivement, rapidement il grogne et sent son foutre brûlant vouloir jaillir. Mais il tient à faire durer la chose le plus longtemps possible, alors tant pis pour son orgasme, il doit se maîtriser.
Sophie, les poings crispés, ses doigts emprisonnant le drap épais est à bout de souffle. Le rythme imposé est tel qu’elle manque cruellement d’oxygène. Elle est à la limite de l’évanouissement quand le gros bâton de chair ressort d’elle.
Le serveur vient de ressortir son épais sexe de l’anus qui reste béant. Se reculant de quelques centimètres, il admire cet œil de bronze qui vibre encore du traitement qui vient de lui être infligé. Le vicieux personnage, lâchant les hanches qu’il maintenait toujours fermement, enfonce ses pouces dans l’antre brun, et écarte encore un peu plus le sphincter. Il tire et étire le muscle le plus possible.
La pauvre jeune fille sent maintenant son anus être contraint de s’ouvrir encore plus grand, et d’un coup, c'est une vive brûlure qui lui déchire les entrailles. Elle pousse un cri qui se termine en une longue plainte, puis s’écrie :
- Vous me faites mal !
Sans répondre, l’employé retire ses doigts. De la main droite il guide sa grosse bite vers le trou encore plus béant que quand il en est sorti. La main gauche attrape la hanche gauche de la belle brune et il enfourne à nouveau son chibre épais dans le fourreau de chaires tendres.
Si le sphincter, totalement dilaté, ne présente aucune résistance au passage du gros pieu, l’intérieur est contraint à nouveau de laisser place à l’envahisseur. La sensation n’est pas douloureuse, mais quelque peu étrange. Elle a l’impression qu’on lui ouvre le ventre en deux, mais sans que ça ne lui fasse mal.
Dorénavant, le furieux serveur s’emploie à taper dans ce jeune cul de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Sophie gueule fort et en perd à nouveau le souffle. Elle a l‘impression d’être une poupée de chiffon, toute molle, maltraitée par le bonhomme ! Mais en même temps elle a orgasme sur orgasme ! Elle ne sait bientôt plus qui elle est !
- Il est bon ton petit cul, jeune putain !
Et, en même temps qu’il prononce ces mots, il sort sa bite de l’anus, et sans rien demander, l’enfile dans le vagin, qui est plus serré, lui. Là, il redouble de fureur et lime maintenant comme un démon.
Après cette sodomie fantastique, cette pénétration vaginale est totalement inattendue. Et là, après une série d’orgasmes fulgurants et de bonne intensité, dès les premiers va-et-vient, Sophie ressent un orgasme encore plus fort, et qui entre dans une durée bien supérieure aux précédentes.
Georges ne peut bientôt plus se contrôler. Il empoigne alors avec encore plus de dureté les hanches de la jeune femme, et pousse son dard épais au fond du vagin jusqu’à ce que son méat touche le col de l’utérus. Là, fermement campé sur ses puissantes cuisses, il décharge plusieurs jets brûlants qui vont directement dans l’utérus.
C'est l'apothéose pour Sophie ! elle n’a plus la force de crier, donc elle pousse un dernier gémissement, et se met à trembler de tout son être.
En sueur, Georges se pousse en arrière et ne met pas de temps à se remettre debout au milieu de la petite pièce. Là, tranquillement, après avoir ramassé ses affaires, il remet de l’ordre dans sa tenue, contemple pendant quelques instant la belle brune qui est encore secouée de spasmes, puis il ressort pour reprendre son service.
Une fois la porte refermée, il ne se passe pas plus de dix minutes avant que ne revienne l’affreux contrôleur. La pauvre brunette tremble encore et est restée allongée sur la couchette. Ses nerfs sont saturés d’impulsions électriques. l’homme défait, une fois de plus, sa ceinture, et l’entoure autour de sa main droite, puis, il frappe cinq fois sur le cul rebondi, sans ménagement.
Le premier coup violent sort Sophie de sa torpeur, et tout de suite elle pousse un hurlement en voulant se redresser. Toutefois, son élan est vite coupé par une main puissante qui la garde plaquée sur le drap. Elle subit les quatre coups suivants en poussant à chaque fois un cri perçant.
- Tu n’est pas là pour prendre ton pied, mais pour me rapporter de la fraîche ! Alors remets de l’ordre dans tout ça, j’ai un autre client à te présenter, celui-ci, tu lui demande quatre cents balles pour ta jeunesse, il est déjà au courant du prix !
- Je ne pourrai jamais…
- Tu fais ce que je te dis, et tu le fais bien, sinon, gare à ma ceinture !
- Mais ce n'est pas possible…
- Si, et avant notre arrivée, demain matin, tu en auras encore cinq ou six, à deux cents balles, alors ne perds pas de temps ! Tu les éponges, et hop, tu me bipes sur le talky que j’amène le suivant, compris ?
- Oui Monsieur !
FIN
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